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* L'acidose ou l'alcalose<ref>{{Citation d'un ouvrage|langue=Anglais|auteur1=Judith E. Tintinalli, et. al.|titre=Emergency Medicine|passage=|lieu=États Unis|éditeur=Tintinalli|date=Octobre 2019|pages totales=2025|isbn=1260019934|lire en ligne=}}</ref><ref>{{Citation d'un article|langue=Anglais|auteur1=Panayiotis N. Varelas|titre=Modern Approach to Brain Death|périodique=Thieme Medical Publishers|date=2016|issn=|lire en ligne=https://www.thieme-connect.com/products/ejournals/abstract/10.1055/s-0036-1592317|pages=}}</ref>
* L'acidose ou l'alcalose<ref>{{Citation d'un ouvrage|langue=Anglais|auteur1=Judith E. Tintinalli, et. al.|titre=Emergency Medicine|passage=|lieu=États Unis|éditeur=Tintinalli|date=Octobre 2019|pages totales=2025|isbn=1260019934|lire en ligne=}}</ref><ref>{{Citation d'un article|langue=Anglais|auteur1=Panayiotis N. Varelas|titre=Modern Approach to Brain Death|périodique=Thieme Medical Publishers|date=2016|issn=|lire en ligne=https://www.thieme-connect.com/products/ejournals/abstract/10.1055/s-0036-1592317|pages=}}</ref>
==Traitement==
==Traitement==
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Traitement}}'''Constant de décès'''
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Traitement}}'''Constat de décès'''


Le processus du constat de décès comprend plusieurs étapes. Pour commencer, les résidents doivent se poser la question de savoir s'il s'agissait d'un décès prévu ou inattendu. En cas d'imprévu, le résident doit appeler le patron ou son résident sénior pour l'en aviser. Ensuite, la famille doit être contactée. Si le personnel n'a pas encore avisé la famille du décès, les résidents ne doivent pas annoncer le décès par téléphone. Au lieu de cela, ils devraient dire à la famille que la situation se détériore et qu'ils doivent se rendre à l'hôpital.
Le processus du constat de décès comprend plusieurs étapes. Pour commencer, les résidents doivent se poser la question de savoir s'il s'agissait d'un décès prévu ou inattendu. En cas d'imprévu, le résident doit appeler le patron ou son résident sénior pour l'en aviser. Ensuite, la famille doit être contactée. Si le personnel n'a pas encore avisé la famille du décès, les résidents ne doivent pas annoncer le décès par téléphone. Ils devraient plutôt dire à la famille que la situation se détériore et qu'ils doivent se rendre à l'hôpital.
 
'''Disposition du corps'''
 
La dépouille est amenée à la morgue. La famille peut repartir avec les effets personnels ou les laisser à la chambre. Ils doivent contacter le salon funéraire de leur choix, c’est lui qui va rapatrier le corps et les effets personnels que la famille n'a pas pris.  


==Complications==
==Complications==

Version du 24 novembre 2022 à 17:07

Décès
État
Caractéristiques
Signes Hypotonie , Apnée, Incontinence urinaire , Incontinence fécale, Asystolie, Ptose, Mydriase , Pupille fixe
Symptômes
Asymptomatique
Diagnostic différentiel
Coma, Hypernatrémie, Hyponatrémie, Mort cérébrale, Alcalose, Arrêt respiratoire, Asystolie, Hypercalcémie, Arrêt cardiaque, Hypothermie, ... [+]
Informations
Autres noms Mort
Wikidata ID Q4
Spécialité Médecine

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Le décès est ''la disparition permanente de tout signe de vie à tout moment après une naissance vivante.'' [1]

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

Voici toutes les causes de décès par âge en 2016 :[2]

  • Moins de 1 an (23 161) : Les malformations congénitales, les déformations et les anomalies chromosomiques sont les principales causes
  • 1 à 4 ans (4045) : Les blessures non intentionnelles sont la principale cause
  • 5 à 14 ans (5503) : Les blessures non intentionnelles sont la première cause
  • 15 à 24 ans (32 575) : Les blessures non intentionnelles sont la première cause
  • 25 à 44 ans (135 408) : Les blessures non intentionnelles sont la première cause
  • 45 à 64 ans (539 961) : Les tumeurs malignes sont les principales causes
  • 65 ans et plus (2 003 458) : Les maladies cardiaques sont les principales causes. Le taux de mortalité ajusté selon l'âge pour tous les âges, par sexe pour 100 000 habitants en 2016 :
  • Masculin (861,0)
  • Féminin (617,5)[2]

Étiologies

La section facultative Étiologies ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

Voici les principales causes du décès au Canada en 2020:[2]

Présentation clinique

La section obligatoire Présentation clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

La grande majorité des patients qui éprouvent une mort naturelle, c'est-à-dire sans intervention médicale vitale pour contrer le processus, suit un schéma stéréotypé de signes et de symptômes dans la période précédant la mort. Ce laps de temps est souvent appelé « mort active » ou « mort imminente ». [2]

  • Stade précoce : Perte de mobilité et alité ; perte d'intérêt ou de capacité à boire et à manger; changements cognitifs tels qu'une augmentation du temps de sommeil ou de délire. Le délire peut être un état hyperactif ou agité ou un état hypoactif. Le point caractéristique du délire est qu'il y a un changement aigu dans le niveau d'excitation.[3]
  • Stade intermédiaire : Déclin supplémentaire de l'état mental jusqu'à devenir obnubilé ou éveil lent avec stimulation et seulement de brèves périodes d'éveil. Les patients présentent souvent le "râle de la mort" qui est une respiration bruyante causée par une accumulation de sécrétions orales due à la perte du réflexe de déglutition.
  • Stade avancé : Coma ; fièvre, peut-être due à une pneumonie par aspiration ; un schéma respiratoire altéré qui peut être des périodes d'apnée alternées avec de l'hyperpnée ou une respiration irrégulière ; et des extrémités tachetées dues à la constriction de la circulation périphérique [2] La chronologie pour chaque patient est variable. Un patient peut ressentir ces signes et symptômes pendant 24 heures ou pendant plus de 14 jours.[4][2]

Facteurs de risque

La section facultative Facteurs de risque ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Voici les principaux facteurs de risque de décès:

Questionnaire

La section obligatoire Questionnaire ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

Strictement parlant, la mort est asymptomatique. Les symptômes qui sont courants en fin de vie comprennent :

Examen clinique

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

L'examen clinique permet d'objectiver les signes suivants :

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

La détermination neurologique de la mort utilise des critères cliniques pour confirmer la mort dans un coma profond lorsque l'activité cardio-respiratoire est maintenue par une ventilation mécanique continue. Les éléments essentiels pour diagnostiquer la mort à l'aide de critères neurologiques sont décrits ci-dessous. Il existe une acceptation internationale et un soutien juridique des critères neurologiques pour déterminer la mort dans cette circonstance.[8]

  1. Une étiologie établie capable de causer des dommages structurels au cerveau qui a entraîné la perte irréversible de la capacité de conscience associée à la perte irréversible de la capacité de respirer
  2. Une exclusion des conditions réversibles capables d'imiter ou de confondre le diagnostic de décès en utilisant les critères neurologiques
  3. Un examen clinique du patient qui démontre un coma profond, une apnée et une absence de réflexes du tronc cérébral[8]

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Le diagnostic différentiel du décès est :

  • L'asystolie
  • La mort cérébrale
  • L'activité électrique sans pouls
  • La surdose de drogue
  • L'état végétatif persistant
  • L'hypothermie
  • Le dérangement électrolytique
  • L'hypotension
  • L'acidose ou l'alcalose[9][10]

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

Constat de décès

Le processus du constat de décès comprend plusieurs étapes. Pour commencer, les résidents doivent se poser la question de savoir s'il s'agissait d'un décès prévu ou inattendu. En cas d'imprévu, le résident doit appeler le patron ou son résident sénior pour l'en aviser. Ensuite, la famille doit être contactée. Si le personnel n'a pas encore avisé la famille du décès, les résidents ne doivent pas annoncer le décès par téléphone. Ils devraient plutôt dire à la famille que la situation se détériore et qu'ils doivent se rendre à l'hôpital.

Disposition du corps

La dépouille est amenée à la morgue. La famille peut repartir avec les effets personnels ou les laisser à la chambre. Ils doivent contacter le salon funéraire de leur choix, c’est lui qui va rapatrier le corps et les effets personnels que la famille n'a pas pris.

Complications

Les complications du décès touchent les vivants :

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

La plupart des gens mourront à l'hôpital ; cependant, la plupart des Américains déclarent qu'ils ne souhaiteraient pas mourir à l'hôpital s'ils le pouvaient. Le nombre de jours passés à la maison est un résultat important centré sur le patient. Lors de l'examen des données des personnes âgées vivant dans la communauté, les jours passés à la maison au cours des 6 derniers mois de la vie ne différaient pas selon l'âge, le sexe ou la race/l'origine ethnique, mais ils étaient significativement plus faibles pour les patients souffrant d'insuffisance organique et les plus élevés pour la mort subite et cancer.[11][2]

Notes

Références

__NOVEDELETE__
  1. « Statistique Canada », sur statcan.gc.ca, (consulté le 25 août 2022)
  2. 2,0 2,1 2,2 2,3 2,4 2,5 2,6 2,7 et 2,8 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30725663
  3. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28975307
  4. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30518228
  5. Hannah Ritchie et Max Roser, « Causes of death », Our World in Data,‎ (lire en ligne)
  6. (en) Karen A. Kehl et Jennifer A. Kowalkowski, « A Systematic Review of the Prevalence of Signs of Impending Death and Symptoms in the Last 2 Weeks of Life », American Journal of Hospice and Palliative Medicine®, vol. 30, no 6,‎ , p. 601–616 (ISSN 1049-9091 et 1938-2715, DOI 10.1177/1049909112468222, lire en ligne)
  7. (en) Daren K. Heyland, Peter Dodek, Graeme Rocker et Dianne Groll, « What matters most in end-of-life care: perceptions of seriously ill patients and their family members », CMAJ, vol. 174, no 5,‎ , p. 627–633 (ISSN 0820-3946 et 1488-2329, PMID 16505458, Central PMCID PMC1389825, DOI 10.1503/cmaj.050626, lire en ligne)
  8. 8,0 et 8,1 (en) D. Gardiner, S. Shemie, A. Manara et H. Opdam, « International perspective on the diagnosis of death », British Journal of Anaesthesia, vol. 108,‎ , i14–i28 (ISSN 0007-0912 et 1471-6771, DOI 10.1093/bja/aer397, lire en ligne)
  9. (en) Judith E. Tintinalli, et. al., Emergency Medicine, États Unis, Tintinalli, , 2025 p. (ISBN 1260019934)
  10. (en) Panayiotis N. Varelas, « Modern Approach to Brain Death », Thieme Medical Publishers,‎ (lire en ligne)
  11. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30447203