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Dyspepsie
Approche clinique
Caractéristiques
Symptômes discriminants Anémie, Méléna, Nausées, Nausée, Ictère (signe clinique), Dysphagie (symptôme), Ballonnements, Satiété précoce, Pyrosis, Régurgitations, ... [+]
Signes cliniques discriminants
Ictère (signe clinique), Tachycardie (signe clinique), Distension abdominale (signe clinique), Pâleur (signe clinique), Perte de poids (signe clinique), Masse abdominale (signe clinique), Douleur à la palpation de l'abdomen (signe clinique), Cachexie (signe clinique), Adénopathie sus-claviculaire (signe clinique)
Examens paracliniques
Bilan hépatique, Échographie abdominale, ECG, Troponines, Oesophagogastroduodénoscopie, Créatinémie, FSC, TDM abdomino-pelvien, Scintigraphie de la vidange gastrique, Lipase sérique (examen paraclinique), ... [+]
Drapeaux rouges
Âge, Ictère (signe clinique), Dysphagie (symptôme), Odynophagie, Cancer de l'estomac, Douleur abdominale (symptôme), Vomissement (signe clinique), Perte de poids (signe clinique), Masse abdominale (signe clinique), Asie du Sud-est, ... [+]
Informations
Terme anglais Dyspepsia
Autres noms Indigestion, syndrome digestif haut
Wikidata ID Q653971
SNOMED CT ID 162031009
Spécialités Gastro-entérologie, chirurgie générale, médecine de famille

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La dyspepsie (indigestion) est définie[note 1][1] comme une douleur, gêne, malaise ou inconfort épigastrique chronique et souvent liée aux repas[2]. La dyspepsie peut aussi inclure le ballonnement post-prandial et la satiété précoce[1].

On réfère parfois aux patient souffrant de dyspespsie comme ayant une dyspepsie non investiguée.

Épidémiologie

La dyspepsie affecte jusqu'à 30% de la population aux États-Unis, Canada et Royaume-Uni[3].

La dyspepsie constituerait 3 à 5% des visites en première ligne[4].

Étiologies

La dyspepsie est généralement d'étiologie digestive haute. Les autres causes sont toutes rares[5].

Étiologies de la dyspepsie[6][5]
Digestif haut
Hépatobiliaire
Pancréatique
Intestinal
Locomoteur
Médicamenteuses[7]
Autres

Évaluation clinique

Facteurs de risque

Les facteurs de risque à rechercher sont[5] :

  • l'obésité évoque la colique biliaire, la cholécystite ou le RGO
  • le sexe féminin mets à risque de dyspepsie fonctionnelle, de coliques biliaires, de cholécystites, de SCI ou de troubles psychiatriques (conversion, somatisation, anxiété)
  • le tabagisme et/ou la consommation d'alcool mettent à risque de RGO, d'ulcères, de gastrite, mais aussi de cancer de l'oesophage ou de l'estomac
    • le tabagisme est aussi un facteur de risque pour les MII et l'ischémie mésentérique
  • des ATCD personnels ou familial d'ulcère
  • l'abus d'alcool peut causer des pancréatites
  • des ATCD de cancer mettent à risque de métastases hépatiques, d'hypercalcémie
  • un voyage récent met à risque d'infections intestinales
  • plusieurs médicaments ont comme effets secondaires la dyspepsie:
  • l'âge augmente la probabilité de certaines pathologies:
    • > 60 ans: néoplasies MCAS, insuffisance cardiaque, dyspepsie fonctionnelle, métastases hépatiques
    • ~ 40 ans: coliques biliaires, cholécystites, SCI
    • < 35 ans: MII, SCI
  • du RGO de longue date peut causer une oesophagite érosive, mais aussi une dyspepsie fonctionnelle (très co-morbide)
  • plusieurs maladies ont des composantes familiales, comme les cancer de l'estomac, de l'oesophage, la maladie cœliaque, le trouble anxieux
  • le diabète sucré de longue date (type 1 [prévalence de 50%] ou 2 [30%]) cause des gastroparésies[8].

Questionnaire

Les déclencheurs sont à questionner :

Les symptômes à rechercher au questionnaire sont[5] :

Les drapeaux rouges sont à questionner car ils peuvent évoquer un cancer (rares chez les patients souffrant de dyspepsie)[2]:

Examen clinique

Trouvailles potentielles à l'examen clinique d'une dyspepsie
Examen Signes discriminants Étiologies
Apparence générale Normale[5] Dyspepsie fonctionnelle, gastrite, ulcères, RGO, oesophagite, SCI, coliques biliaires, gastroparésie
Pâleur (si anémie secondaire)[5] Ulcères, gastrite, cancers
Cachexie, perte de poids Cancer, malabsorption, MII, ischémie mésentérique
Ictère[5] Cancers
Signes vitaux[5] Normaux Dyspepsie fonctionnelle, gastite, ulcères, RGO, oesophagite, SCI, coliques biliaires, gastroparésie
Tachycardie (si anémie secondaire) Ulcères, gastrite, cancers
Examen abdominal Normal (la majorité du temps)[5] Dyspepsie fonctionnelle, gastrite, ulcères, RGO, oesophagite, SCI, coliques biliaires, gastroparésie
Douleur épigastrique Dyspepsie fonctionnelle (parfois), gastrite, ulcères, cancers, pancréatite, gastroparési
Douleur à l'hypochondre droit Cancers
Distension abdominale Cancers, gastro parésie, SCI
Masse Cancers
Examen des aires ganglionnaires[5] Adénopathie sus-claviculaire gauche (ganglion de Virchow ou signe de Troisier) Cancers

Examens paracliniques

La plupart du temps, les examens paracliniques seront normaux.

Laboratoires

Les laboratoires pertinents sont [5]:

Imagerie et gastroscopie

La gastroscopie n'est pas systématique, mais doit être réalisée lorsqu'il y a présence de drapeaux rouges ou selon le jugement[2].

D'autres modalités d'imagerie peuvent être pertinentes:

  • Un TDM abdomino-pelvien, spécialement si il y a suspicion de cancer, de pancréatites.
  • L'échographie abdominale est plus sensible que le TDM pour les pathologies biliaires comme les coliques ou la cholécystite;
  • La scintigraphie de la vidange gastrique est un examen peu disponible mais pourrait aider à différencier une satiété précoce causée par un estomac qui s'accommode mal au bolus (dyspepsie fonctionnelle, cancer gastrique) d'une estomac qui prend trop de temps à se vider (gastroparésie)[11].

Drapeaux rouges

Les signes et symptômes de néoplasies gastro-intestinales sont à surveiller[2] :

Même en présence de drapeaux rouges, l'Association canadienne de gastro-entérologie stipule que le risque de néoplasie reste très faible chez les < 60 ans (par exemple, la présence de dysphagie augment de 2-3 fois le risque de malignité) car la prévalence des néoplasies gastro-intestinales supérieures est très faible dans cette population (<< 1%). Conséquemment, la faible VPP des drapeaux rouges fait en sorte que l'endoscopie systématique dans cette population en leur présence GI pourrait ne pas être une mesure économiquement justifiée[2].

Le jugement du clinicien prévaut et il reste que certains drapeaux rouges (perte de poids importante, dysphagie rapidement progressive pourraient justifier une endoscopie peut importe l'âge du patient[2].

D'autres drapeaux rouges sont à surveiller:

Approche clinique

L'investigation initiale devrait cibler les pathologies fréquentes[5].

Dyspepsie chez l'adulte[32]


Dans environ 60% des cas, aucune étiologie ne sera trouvée. Le diagnostic sera celui de la dyspepsie fonctionnelle[5].

Traitement

Traitement symptomatique

La dyspepsie peut être causée par des maladies potentiellement graves et le traitement symptomatique devrait être utilisé seulement pour soulager le patient le temps que les investigations soient effectuées[note 3]:

Traitement des étiologies

Traitement des étiologies
Étiologie Description
Dyspepsie fonctionnelle Les lignes de traitements de la dyspepsie fonctionnelle sont les suivantes[2]:
  1. éradication du H. pylori
  2. IPP empiriques
  3. antidépresseurs tricycliques
  4. prokinétiques
  5. psychothérapie.
Gastrite
Page principale: Gastrite#Traitement
Traiter la cause[33]:
  • éradication du H. pylori
  • arrêt des AINS, alcool, médicaments
  • gastrite biliaire: acide urodéoxycholique (urso), IPP, prokinétiques[34].
Infection à H. pylori Il y a une importante résistance de H. pylori aux antibiotiques mondialement. Le traitement se fait selon la résistante locale[35]:
  1. quadruple thérapie au Bismuth
  2. triple thérapie à la clarithromycine (si résistance < 15%)
  3. quadruple ou triple thérapie à la lévofloxacine
  4. triple thérapie au rifabutin.

L'éradication devra être confirmée[35].

RGO
Page principale: RGO#Traitement
La 1ère étape du traitement du RGO est la modification des habitudes de vie[36][37][38][39]:
  • perte de poids
  • évitement des repas au moins 3h avant le coucher
  • élévation de la tête du lit
  • diminuer la consommation de chocolat, menthe, agrumes, aliments gras, épices, oignons, cafés, etc.
  • cesser de fumer et diminuer la consommation d'alcool.

La thérapie médicales est[36]:

  • les IPP
  • des anti-H2
  • des agents prokinétiques
  • les antiacides.
Ulcères gastriques et duodénaux Le traitement repose principalement sur[40]:
  • les IPP ou les anti-H2
  • l'éradication de H. pylori
  • l'arrêt ou le contrôle des facteurs précipitants (tabac, alcool, AINS, corticos).
Oesophagite érosive Le traitement se fait selon les principes suivants[41]:
  • prise d'un IPP pendant 4 à 8 semaines
  • un traitement de maintient à long terme avec des IPP est souvent nécessaire.
Cancer gastrique ou esophagien Pour ces deux types de cancer, les principes de traitement sont les suivants[42][43]:
  • résection endoscopique (pour la maladie locale)
  • résection chirurgicale +- thérapie néoadjuvante (chiomiothérapie avec ou sans radiothérapie)
  • chimiothérapie et radiothérapie palliative.
Gastroparésie
Page principale: Gastroparésie#Traitement
Le traitement se fait selon les principes suivants[8]:
  • petits repas fréquente et diète faible en gras et en fibres
  • contrôle du diabète
  • cesser les médicaments qui affectent la motilité gastrique
  • médicaments prokinétiques (dompéridone, métoclopramine, érythromycine)
  • anti-nauséeux
  • jéjunostomie ou chirurgie pour les cas réfractaires.
Dyspepsie médicamenteuse
  • Cesser ou diminuer la dose des médicaments en causes.

Suivi

Les patients auront besoin d'une évaluation périodique afin d'évaluer la réponse au traitement et la présence de complications.

Complications

Mise à part les complications propres à chaque étiologie, la dyspepsie comme symptôme peut entraîner une importante détresse psychologique[4].

Particularités

Gériatrie

Une dyspepsie de novo dans la population gériatrique doit être investiguée par endoscopie avec ou sans imagerie selon la présentation car la prévalence des cancers est plus grande dans cette population[2].

Le diagnostic différentiel doit également rester ouvert car d'autres pathologies non digestives (comme la MCAS) peuvent donner de la dyspepsie[6].

Aussi, une revue de la médication est importante car cette population est plus à risque d'effets secondaires[6].

Pédiatrie

Les pathologies structurelles sont beaucoup moins probables dans cette population et l'infection à H. pylori est peu prévalente. Ainsi, l'endoscopie n'est pas recommandée de routine. La dyspepsie fonctionnelle (prévalence de 3 à 27% chez les enfants) ou de troubles de nature psychiatriques sont des diagnostics plus probables[44].

Notes

  1. La définition de la dyspepsie ne fait pas consensus. Selon les critères de ROME IV, elle exclue les symptômes de RGO comme les régurgitations et le pyrosis.
  2. Car elle peut affecter tout le tractus digestif.
  3. Les recommandations suivantes sont fournies à titre indicatif et sont extrapolées du traitement de la dyspepsie fonctionnelle et de la physiopathologie des autres causes de dyspepsie. Des ressources suggérant un traitement symptomatique de la dyspepsie n'ont pas été trouvées.

Références

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  5. 5,00 5,01 5,02 5,03 5,04 5,05 5,06 5,07 5,08 5,09 5,10 5,11 et 5,12 (en-US) Oralia V. Bazaldua et F. David Schneider, « Evaluation and Management of Dyspepsia », American Family Physician, vol. 60, no 6,‎ , p. 1773–1784 (lire en ligne)
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