Tamponnade cardiaque

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Tamponnade cardiaque
Maladie
Caractéristiques
Signes Tachycardie , Tachypnée , Triade de Beck, Distension des veines jugulaires, Pulsus paradoxus, Bruits cardiaques atténués, Absence de frottement péricardique, Signe de Kussmaul , Hypotension artérielle , Température corporelle élevée
Symptômes
Dyspnée , Vertige , Lipothymie , Altération de l'état de conscience , Syncope , Palpitations , Température corporelle élevée
Diagnostic différentiel
Embolie pulmonaire, Insuffisance cardiaque, Oesophagite, Gastrite, Ulcère gastro-duodénal, Infarctus du myocarde, Cirrhose hépatique, Péricardite constrictive, Dissection aortique, Pneumothorax sous tension
Informations
Terme anglais Tamponade cardiaque aiguë

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Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

La péricardite aiguë est retrouvée chez 5% des patients admis aux urgences pour des douleurs thoraciques non liés à une ischémie myocardique [1] et chez 0,1% à 0,2% des patients hospitalisés. [2]. La prévalence des épanchements péricardiques est par ailleurs difficile à estimer car bon nombre d'entre eux peuvent ne pas être cliniquement significatifs. Finalement, la prévalence de la péricardite est beaucoup plus importance chez les populations de patients souffrant de certaines maladies, notamment le VIH, l'insuffisance rénale terminale, la tuberculose, certaines néoplasies et certains troubles auto-immuns. [3][4]

Seule une fraction de ces patients souffriront d'une tamponnade cardiaque. Ce taux d'évolution en tamponnade menaçant la vie dépend du moment et de la prise en charge initiale de la péricardite, mais surtout de la cause sous-jacente.

Étiologies

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Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

Toute cause de péricardite ou d'épanchement cardiaque peut évoluer en péricardite constrictive et ainsi donner une tamponnade cardiaque. Selon la cause, l'épanchement péricardique impliqué peut être de nature transsudative, exsudative ou encore être formé de sang. [3] Les principales étiologies de la tamponnade cardiaque sont donc les suivantes :

Tableau des principales étiologies de la tamponnade cardiaque [4][3][5][6][7][8][9]
Catégories Exemples
idiopathique Chez les patients sans facteurs de risque ou maladies sous-jacente identifiées jusqu'à 90% péricardites aigues seront idiopathiques. Bon nombre de ces cas seront présumés être d'étiologie post-virale. Il ne s'agit toutefois pas de la première cause d'épanchements symptomatiques nécessitant une hospitalisation. [5][8]
Infectieuses virale (péricardite commune, mais évolution très rare en tamponnade)
  • Enterovirus (coxsackievirus, echovirus), virus herpétiques (EBV, CMV, HHV-6), adenovirus, parvovirus B19

bactérienne (4 %)

  • mycobacterium tuberculosis (1 %) étant de loin la bactérie la plus communément impliquée
  • Rarement : Coxiella burnetii, Borrelia burgdorferi, Pneumococcus spp, Meningococcus spp, Gonococcus spp, Streptococcus spp, Staphylococcus spp, Haemophilus spp, Chlamydia spp, Mycoplasma spp, Legionella spp, Leptospira spp, Listeria spp, Providencia stuartii.

fongique (très rare)

  • Histoplasma spp (pouvant survenir chez les patients immunocompétents), Aspergillus spp, Blastomyces spp, Candida spp (plus commun chez les patients immunodéficients)

parasitique (très rare)

  • Echinococcus spp, Toxoplasma spp

Autre :

Non-infectieuses Auto-immune et auto-inflammatoire :

Néoplasique (33 %) :

Cardiaque :

Traumatique (12 %) :

Métabolique

  • l'urémie (6 %) en contexte d'insuffisance rénale
  • l'hypothyroïdie via un phénomène de myxoedème (8%)

Médicamenteuse :

Les valeurs de prévalence affichées en exposant représentent la fraction des épanchements péricardiques symptomatiques pour lesquels les patients ont du subir une péricardiocentèse selon l'étiologie retrouvée dans une étude rétrospective incluant 173 patients. [9]

En plus des valeurs sus-mentionnées, 12% des patients étaient atteints d'une péricardite aigue d'étiologie non spécifiée, 14% d'épanchement chronique-idiopathique et 8% d'épanchements de cause indéterminée [9].

Physiopathologie

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Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

Le péricarde

Le péricarde, ou sac péricardique, est une membrane enveloppant le cœur. Il comprend le péricarde fibreux externe (non-élastique) et le péricarde séreux interne (élastique) à deux couches : la couche viscérale et la couches pariétale. Celles-ci sont séparées par la cavité péricardique contenant 15 à 35 ml d'ultra-filtrat plasmatique chez les personnes en bonne santé. Le péricarde protège mécaniquement le cœur et réduit la friction induite par les battements continuels du coeur. [1][2][5] Les deux péricardes jouent aussi un rôle dans la fonction diastolique du coeur ; en favorisant le recul élastique pour le péricarde viscéral, tandis que le péricarde pariétal permet pour sa part le maintient d'un angle cardiaque optimal pour le remplissage via son attachement aux structures médiastinales et thoraciques adjacentes. Finalement, le péricarde pariétal possède agit comme barrière contre la dissémination d'infections pulmonaires par contiguïté. [5]

De façon physiologique, le péricarde pariétal, malgré son inélasticité, possède un certain volume de réserve péricardique. Cette volume est donné par les sinus transverse et oblique qui sont des endroit auxquels l'accolement des feuillets péricardiques est incomplet. Ce volume de réserve permet d'accommoder les variations de volume sanguin intracardiaque donnés par les diverses phases respiratoires et par les changements de position, sans augmenter les pressions intracardiaques. Lorsque ce volume de réserve est dépassé dans certains contextes pathologiques (ex : en status asthmaticus où l'effort inspiratoire entraîne un retour veineux important), alors il est possible de retrouver un pouls paradoxal. Ce signe clinique est occasionné par la compétition entre le remplissage des chambres cardiaques gauches et droite qui varient selon les cycles inspiratoire et expiratoire, donnant une chute de la pression systolique de plus de 10 mmHg à l'inspiration. [5][10]

La pression intra-péricardique

Le continuum des atteintes péricardiques

Les maladies péricardiques incluent la péricardite aiguë ou chronique, l'épanchement péricardique, la péricardite constrictive et la tamponnade cardiaque. Ces entités évoluent sur un spectre, bien que l'évolution ne soit pas toujours prévisible.

L'épanchement péricardique

Il consiste en l'accumulation supra-physiologique d'un liquide au sein du sac péricardique, le plus souvent lié à une péricardite aigue ou chronique. Les symptômes qu'il entraîne sont proportionnels à sa taille et inversement proportionnels à sa rapidité d'installation en raison du remodelage du péricarde pariétal. [11][5]

Selon la cause, il peut être de diverses natures :

  • séreux en contexte de péricardite idiopathique
  • séro-sanguin en contexte de péricardite induite par des maladies inflammatoires ou de certaines néoplasies
  • purulent en contexte d'infection
  • sanguin lorsqu'à la suite d'une intervention coronarienne percutanée avec perforation cardiaque. [5]

La péricardite constrictive

La tamponnade cardiaque

La tamponnade cardiaque est une affection grave qui survient après une accumulation soudaine et / ou excessive de liquide dans l'espace péricardique. L'état restreint le remplissage approprié des cavités cardiaques, perturbant l'hémodynamique normale et provoquant finalement une hypotension et un arrêt cardiaque.

La tamponnade cardiaque résulte du remplissage rapide de liquide dans le péricarde, conduisant à la compression des cavités cardiaques, entraînant en outre une diminution du retour veineux, un remplissage ventriculaire et une diminution du débit cardiaque. La péricardite, les maladies auto-immunes ou les néoplasmes entraînent souvent des épanchements à croissance lente, qui au fil du temps deviennent volumineux avant de conduire à une image de type tamponnade cardiaque. [4][3]

Présentation clinique

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Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

Les signes physiques classiques de la tamponnade cardiaque sont inclus dans la triade de Beck de l’hypotension, de la distension veineuse jugulaire et des bruits cardiaques étouffés. Le paradoxe des impulsions, qui est une diminution de la pression artérielle systolique de plus de 10 mm Hg avec l'inspiration, est un résultat important de l'examen physique qui suggère qu'un épanchement péricardique est à l'origine d'une tamponnade cardiaque. Lorsque le liquide comprime le cœur et gêne le remplissage, le septum interventriculaire s'incline vers le ventricule gauche pendant l'inspiration en raison d'un retour veineux accru vers le côté droit du cœur. Cela diminue encore l'espace ventriculaire gauche, ce qui entraîne une diminution de la précharge ventriculaire gauche et du volume systolique. Le défi de poser le diagnostic de tamponnade avec des signes cliniques seuls est difficile car ils ne sont ni sensibles ni spécifiques. [4][12][3]

Facteurs de risque

La section facultative Facteurs de risque ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Questionnaire

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Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

Symptômes

Les patients atteints de péricardite présentent généralement une douleur thoracique soudaine, qui est pleurétique et s'améliore classiquement en se penchant en avant et s'aggrave en position couchée. Les patients atteints de tamponnade cardiaque présentent des manifestations de choc cardiogénique ou obstructif. Ils peuvent approuver de vagues symptômes de douleur thoracique, de palpitations, d'essoufflement ou, dans les cas plus graves, d'étourdissements, de syncope et d'altération de l'état mental. Ils peuvent également se présenter lors d'un arrêt cardiaque à activité électrique sans pouls. [3]

Examen clinique

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

L'examen physique ciblé à la recherche d'une tamponnade cardiaque est ni sensible ni spécifique. Classiquement, il est possible de retrouver une triade de Beck, soit l'hypotension artérielle, la distension des veines jugulaires et une diminution des bruits cardiaques. L'examen comportera notamment :

Selon l'étiologie suspectée, d'autres éléments pourront être recherchés à l'examen physique.

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Le bilan sanguin, mettant en évidence :

L'électrocardiogramme (ECG) montrant :

La radiographie thoracique à laquelle on peut retrouver un élargissement de la silhouette cardiaque avec un index cardio-thoracique > 0,6.

  • Cette trouvaille est plus fréquente en contexte d'épanchement progressif permettant une certaine accomodation de l'enveloppe péricardique.
    • Nécessite au moins une accumulation de 200 mL de fluide pour produite une image de cardiomégalie.
  • Les plages pulmonaires sont le plus souvent claires. [14]

L'échocardiogramme mettant en évidence un épanchement péricardique

  • L'échochardiographie par voie trans-thoracique (ETT) est la modalité d'imagerie la plus couramment employée. Elle permet notamment de montrer l'épanchement péricardique, d'en apprécier l'étendue et de donner une idée sur la nature du fluide. [3]
    • Une petite quantité de liquide sera contenue au niveau du sillon auriculo-ventriculaire postérieur, tandis qu'un épanchement massif enveloppera le coeur.
    • La quantité de liquide peut être estimée selon la distance séparant les feuillets péricardiques en diastole :
      • petit (< 10mm) = 300 ml
      • modéré (10-20mm) = 500 ml
      • grand ( > 20mm) = > 700 ml
  • Elle permet notamment l'étude de l'impact hémodynamique de l'épanchement péricardique :
  • L'utilisation du mode doppler permet l'identification de signes indiquant une faible réserve hémodynamique :
    • alors que la variabilité de la vélocité du flot au niveau des valves cardiaques selon les phases inspiratoires est normalament < 20%, en contexte de tamponnade, on peut retrouver :
      • une augmentation du flot cardiaque au travers des valves tricuspides et pulmonaires de plus de 40-50%
      • une diminution du flot cardiaque au sein des valves cardiaques gauches de plus de 25-40%.
    • un ratio E/A inversé au niveau tricuspidien ou mitral
      • Oriente vers une perte de la compliance ventriculaire
    • un pattern "adiastolique" au niveau des veines sus-hépatiques caractérisé par une composante systolique prédominante et la nette diminution des ondes diastoliques. [13][24]
  • L'ETT a finalement un rôle dans l'évaluation de la faisabilité d'un drainage percutané. [13]

Dans certains cas, notamment lorsqu'on suspecte une atteinte myocardique, une tomodensitométrie (TDM) ou un IRM cardiaque peuvent être obtenus. La TDM peut aussi servir à étudier un épanchement loculé en vue de prévoir son drainage. [3][14]

Diagnostic

Le diagnostic de la tamponnade cardiaque repose sur l'histoire et les trouvailles typiques à l'examen physique - qui sont peu spécifiques, mais qui permettent d'évoquer le diagnostic. Les examens paracliniques étant généralement facilement accessibles en temps opportuns, permettent de poser le diagnostic rapidement et d'orienter la prise en charge.

Une littérature grandissante à démontré que les médecins de première ligne ayant reçu une formation adéquate en échographie ciblée parviennent à identifier cette condition avec une sensibilité de 96% et une spécificité de 98%, comparativement aux cardiologues. Il s'agit définitivement d'un facteur favorisant l'identification rapide de cette condition dont une prise en charge urgente diminue la morbidité et la mortalité. [24]

Diagnostic différentiel

Le diagnostic différentiel (Ddx) inclut notamment les entités cliniques pouvant entraîner des choc cardiogéniques ou obstructifs. Le causes de douleurs thoraciques, de dyspnée, d'augmentation de la TVC et d'anasarque doivent également être considérés dans le Ddx : [3][14]

Traitement (13,

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 
  • le drainage urgent de l'épanchement péricardique consiste en la pierre angulaire de la prise en charge de la tamponnade cardiaque.
    • la péricardiocentèse
      • Simple, rapide et peu de complications
      • Sous analgésie locale
      • L'approche consiste en lintroduction d'une aiguille en position sous-xyphoïdienne avec guidance échographique.
        • Une fois rendu au sac péricardique, un produit de contraste est injecté afin d'assister à l'opacification du l'épanchement péricardique.
        • En présence d'une perforation d'une chambre cardiaque, l'opacification se produire dans la chambre ponctionnée. Il s'agit de la complication redoutée.
        • Un cathéter est finalement laissé en place pour permettre une vidange du sac péricardique.
          • Vidange de l'épanchement dépendant de la chronicité de celui-ci ; devant être lent en contexte d'épanchement chronique pour limiter le risque de dilatation ventriculaire ou d'oedème pulmonaire.
          • Effet inflammatoire favorisant l'adhérence des feuillets péricardiques et diminuant le risque de récidive.
    • la péricardiotomie chirurgicale
      • Indications :
        • l'impossibilité de recourir à la péricardiocentèse percutanée
        • la loculation de l'épanchement péricardique
        • le caractère de l'épanchement :
          • hémopéricarde / hématome péricardique
          • matériel purulent
        • la nécessité de procéder à la biopsie du péricarde
        • la création simultanée d'une fenêtre pleuro-péricardique.
      • Sous anesthésie générale en évitant le recours à la ventilation mécanique jusqu'à ce que la décompression ait lieu en raison du risque de compromis hémodynamique entraîné par le changement des pressions intrathoraciques. Risque de décompensation cardiorespiratoire lors de l'induction.
  • la réplétion volémique lorsqu'en présence d'une hypovolémie
    • Dont la visée est de renverser le collapsus du coeur droit en favorisant le retour veineux malgré une pression auriculaire droite élevée.
    • Effet mitigé :
      • une amélioration de l'index cardiaque > 10% chez 48% des patients.
        • Facteur prédictif = TAsystolique < 100 mmHg
      • une diminution non cliniquement significative de l'index cardiaque chez 31% des patients
    • Utilisation recommandée de petits volumes de fluides et en monitorant la réponse hémodynamique de façon serrée.
  • le recours aux catécholamines
    • Évidences orientant vers l'usage de dobutamine pour son effet inotrope > chronotrope
      • L'induction d'une tachycardie entraîne une mauvaise relaxation myocardiaque et augmente le risque d'ischémie myocardique.
    • Recours à des vasopresseurs peut aussi être envisagé pour leur effet sur le retour veineux.
  • la prévention des récidives peut inclure le recours à des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), incluant la colchicine, ou encore à d'autres anti-inflammatoires tels que les corticostéroïdes ou d'autres médicaments immunosuppresseurs. Ces agents n'ont toutefois pas leur place dans la prise en charge aigue de la tamponnade cardiaque.

La péricardite aiguë répond souvent au traitement de la cause sous-jacente. Les AINS à forte dose, avec ou sans colchicine, diminués progressivement au fil des semaines, constituent le traitement de première intention. L'aspirine à forte dose (AAS) doit être utilisée dans le syndrome de Dressler post-infarctus du myocarde. La réponse est souvent évaluée cliniquement en fonction du soulagement des symptômes. Les corticostéroïdes ne sont pas recommandés comme traitement de première intention chez la plupart des patients car ils peuvent augmenter le risque de péricardite récurrente. Les patients sous corticostéroïde pour une péricardite récurrente, des agents immunosuppresseurs épargneurs de stéroïdes (azathioprine ou immunoglobuline intraveineuse) peuvent être envisagés. [25][3]

Le traitement de la tamponnade cardiaque est la péricardiocentèse. Au cours de cette procédure, une aiguille est avancée à travers la paroi thoracique dans le péricarde. La procédure peut être effectuée à l'aveugle ou avec l'aide de l'échographie ou de la fluoroscopie. Les patients hémodynamiquement instables justifient l'utilisation d'une péricardiocentèse sans imagerie. Un drainage chirurgical est nécessaire si le cœur ne peut pas être atteint par une aiguille, un hémopéricarde coagulé, une hémorragie intra-péricardique ou des conditions thoraciques qui rendent le drainage de l'aiguille difficile ou inefficace. [26] Un traitement définitif pour éviter toute nouvelle occurrence est obtenu avec une fenêtre péricardique, une intervention chirurgicale réalisée par un chirurgien cardiothoracique. [3]

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Complications

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

Prévention

La section facultative Prévention ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Références

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  2. 2,0 et 2,1 Massimo Imazio, Fiorenzo Gaita et Martin LeWinter, « Evaluation and Treatment of Pericarditis: A Systematic Review », JAMA, vol. 314, no 14,‎ , p. 1498–1506 (ISSN 1538-3598, PMID 26461998, DOI 10.1001/jama.2015.12763, lire en ligne)
  3. 3,00 3,01 3,02 3,03 3,04 3,05 3,06 3,07 3,08 3,09 3,10 et 3,11 Nitish K. Sharma et James R. Waymack, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 30521227, lire en ligne)
  4. 4,0 4,1 4,2 4,3 et 4,4 Eric Stashko et Jehangir M. Meer, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 28613742, lire en ligne)
  5. 5,0 5,1 5,2 5,3 5,4 5,5 et 5,6 Christopher Appleton, Linda Gillam et Konstantinos Koulogiannis, « Cardiac Tamponade », Cardiology Clinics, vol. 35, no 4,‎ , p. 525–537 (ISSN 1558-2264, PMID 29025544, DOI 10.1016/j.ccl.2017.07.006, lire en ligne)
  6. (en) Massimo Imazio et Fiorenzo Gaita, « Acute and Recurrent Pericarditis », Cardiology Clinics, vol. 35, no 4,‎ , p. 505–513 (DOI 10.1016/j.ccl.2017.07.004, lire en ligne)
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  9. 9,0 9,1 et 9,2 (en) Shomron Ben-Horin, Ilan Bank, Victor Guetta et Avi Livneh, « Large Symptomatic Pericardial Effusion as the Presentation of Unrecognized Cancer: A Study in 173 Consecutive Patients Undergoing Pericardiocentesis », Medicine, vol. 85, no 1,‎ , p. 49–53 (ISSN 0025-7974, DOI 10.1097/01.md.0000199556.69588.8e, lire en ligne)
  10. Matthew N. Van Dam et Brian M. Fitzgerald, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 29493917, lire en ligne)
  11. Massimo Imazio et Yehuda Adler, « Management of pericardial effusion », European Heart Journal, vol. 34, no 16,‎ , p. 1186–1197 (ISSN 1522-9645, PMID 23125278, DOI 10.1093/eurheartj/ehs372, lire en ligne)
  12. 12,0 et 12,1 Mena Yacoub, Bryan S. Quintanilla Rodriguez et Kunal Mahajan, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 30137863, lire en ligne)
  13. 13,0 13,1 13,2 13,3 et 13,4 Laurent Bodson, Koceïla Bouferrache et Antoine Vieillard-Baron, « Cardiac tamponade », Current Opinion in Critical Care, vol. 17, no 5,‎ , p. 416–424 (ISSN 1531-7072, PMID 21716107, DOI 10.1097/MCC.0b013e3283491f27, lire en ligne)
  14. 14,0 14,1 14,2 et 14,3 « UpToDate », sur www.uptodate.com (consulté le 19 février 2021)
  15. Matthew J. Snyder, Jennifer Bepko et Merima White, « Acute pericarditis: diagnosis and management », American Family Physician, vol. 89, no 7,‎ , p. 553–560 (ISSN 1532-0650, PMID 24695601, lire en ligne)
  16. 26746413
  17. 26746413
  18. 26746413
  19. 26746413
  20. 26746413
  21. 26746413
  22. 26746413
  23. 26746413
  24. 24,0 24,1 et 24,2 Elisa Ceriani et Chiara Cogliati, « Update on bedside ultrasound diagnosis of pericardial effusion », Internal and Emergency Medicine, vol. 11, no 3,‎ , p. 477–480 (ISSN 1970-9366, PMID 26746413, DOI 10.1007/s11739-015-1372-8, lire en ligne)
  25. Massimo Imazio et Fiorenzo Gaita, « Diagnosis and treatment of pericarditis », Heart (British Cardiac Society), vol. 101, no 14,‎ , p. 1159–1168 (ISSN 1468-201X, PMID 25855795, DOI 10.1136/heartjnl-2014-306362, lire en ligne)
  26. David H. Spodick, « Acute cardiac tamponade », The New England Journal of Medicine, vol. 349, no 7,‎ , p. 684–690 (ISSN 1533-4406, PMID 12917306, DOI 10.1056/NEJMra022643, lire en ligne)
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