« Oeil rouge (approche clinique) » : différence entre les versions

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m (Antoine Mercier-Linteau a déplacé la page Oeil rouge vers Oeil rouge (approche clinique))
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== Étiologies ==
== Étiologies ==
Les causes les plus fréquentes des yeux rouges comprennent :
Les causes les plus fréquentes des yeux rouges comprennent :

Version du 4 février 2023 à 17:02

Voici les objectifs de la révision d'une page.

  1. Améliorer le contenu médical de la page.
  2. S'assurer que la page répond aux objectifs du CMC. Attention ! Plusieurs sujets du CMC ont été divisés en plusieurs plus petites pages, donc l'information pourrait se retrouver sur plusieurs pages pour un seul objectif du CMC. En cas de doute, pose-nous la question à savoir s'il faut ajouter ou supprimer certaines sections de la présente page. Voici le lien pour l'ensemble des objectifs du CMC.
  3. S'assurer que la page répond aux conventions et à la ligne éditoriale.
  4. Ajouter des liens (voir Aide:Liens).
  5. Ajouter des images (voir Aide:Éditeur Visuel).
  6. Selon le type de page, s'asssurer que le contenu et le format des sections est adéquat.

Un descriptif du contenu et du format des sections est inclus ci-dessous (aussi accessible sur le prototype). Certaines sections sont facultatives et ne figurent pas dans la page ci-contre. Si pertinent, elles peuvent être rajoutées.

Descriptif du contenu des sections

Oeil rouge
Approche clinique
Caractéristiques
Drapeaux rouges Diminution de l'acuité visuelle, Douleur et vomissements soudains et intenses, Éruption de zona, Cratère cornéen, Lésion cornéenne dendritique, Pression oculaire élevée, Ne pas blanchir avec un collyre à la phényléphrine

Page non révisée


La section obligatoire Définition ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur le sujet de la page (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion homme:femme, régions où la prévalence est la plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque.
  • Le pronostic est présenté dans cette section, le cas échéant (contrairement aux pages de maladie).
Exemple:
 
Les saignements digestifs bas représentent 20% à 30% de tous les patients présentant des saignements GI majeurs. L'HDB est moins fréquente que les hémorragies digestives hautes (HDH) avec une prévalence de 20 à 27 cas par 100 000 vs 50 à 150 cas par 100 000.

Étiologies

La section obligatoire Étiologies ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description:
  • Cette section décrit les étiologies de l'approche clinique, c'est-à-dire ce qui cause la situation couverte dans la page d'approche clinique (ex. polype intestinal pour l'hémorragie digestive basse).
  • Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Ne pas ajouter de section Diagnostic différentiel à la page de type Approche clinique. La présente section couvre déjà les maladies qui provoquent l'approche clinique dont il est question sur cette page. Par définition, une page d'approche clinique ne contient pas de diagnostic différentiel, mais bien des étiologies.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau, selon ce qui vous apparait le plus efficace. S'il y a une ou deux étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les format plus simple (l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce).
  • Si la liste à puce est utilisée, elle est toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
Exemple:
 
Les étiologies de l'hémorragie digestive basse sont :
  • la diverticulose [Étiologie]
  • la colite ischémique [Étiologie]
  • le cancer colorectal [Étiologie]
  • le polype intestinal [Étiologie].

Les étiologies sont :

Consultez la bannière ci-dessus pour plus de détails.

Physiopathologie

La section facultative Physiopathologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition de l'approche clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Attention de ne pas traiter de la physiopathologie de l'ensemble des étiologies couvertes dans la section Étiologies, mais de seulement discuter de la physiopathologie générale de la sémiologie couverte par le sujet de la page.
Exemple:
 
Différentes voies physiologiques peuvent entraîner une dyspnée, notamment via les chimiorécepteurs ASIC, les mécanorécepteurs et les récepteurs pulmonaires. On pense que trois composantes principales contribuent à la dyspnée : les signaux afférents, les signaux efférents et le traitement central de l'information. [...]

Évaluation clinique

La section obligatoire Évaluation clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique. Elle détaille les différents items qu'un clinicien doit rechercher lorsqu'il évalue le patient.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen clinique en un ou des paragraphes dans la section Évaluation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Évaluation clinique
    • (Aucun texte)
    • Facteurs de risque
      • (Texte)
    • Questionnaire
      • (Texte)
    • Examen clinique
      • (Texte)

Facteurs de risque

La section facultative Facteurs de risque ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les principaux facteurs de risque discriminants à l'histoire. Ces facteurs de risques servent à discriminer une étiologie par rapport à une autre ou une complication potentielle.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque discriminant
Commentaires:
 
  • Alors que la section Approche clinique sert à intégrer les facteurs de risque, les signes, les symptômes et les examens paracliniques, cette section sert uniquement à lister les facteurs de risque discriminants et leur associer des étiologies potentielles.
  • Attention d'utiliser le bon modèle sémantique. Le modèle Facteur de risque discriminant est le bon modèle dans les pages de type Approche clinique. Le modèle Facteur de risque est utilisé exclusivement sur les pages de maladie et de classe de maladie.
  • Les antécédents personnels, familiaux, les habitudes de vie et les médicaments sont détaillés dans cette section (et non dans la section Questionnaire).
  • Cette section ne détaille pas les facteurs de risque d'une étiologie particulière : ceci est laissé aux pages de maladies.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
Exemple:
 
Les facteurs de risque à rechercher chez les patients qui se présentent avec céphalée sont :
  • des antécédents personnels de migraine [Facteur de risque discriminant] qui pourront indiquer cette pathologie
  • des antécédents personnels de cancer [Facteur de risque discriminant], un drapeau rouge qui évoque des métastases cérébrales
  • l'utilisation chronique de médicaments pour les céphalées [Facteur de risque discriminant] qui pourrait entraîner une céphalée de surconsommation médicamenteuse
  • le tabagisme [Facteur de risque discriminant], pouvant indiquer des métastases cérébrales.

Les facteurs de risque à rechercher sont :

Consultez la bannière ci-dessus pour plus de détails.

Questionnaire

La section facultative Questionnaire ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description:
  • Cette section liste des symptômes discriminants au questionnaire.
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Questionnaire, Symptôme discriminant et Élément d'histoire discriminant.
  • Ces éléments servent à discriminer une étiologie par rapport à une autre ou une complication potentielle.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Questionnaire, Symptôme discriminant, Élément d'histoire discriminant
Commentaires:
 
  • Alors que la section Approche clinique sert à intégrer les facteurs de risque, les signes, les symptômes et les examens paracliniques, cette section sert uniquement à lister les symptômes discriminants et leur associer des étiologies potentielles.
  • Attention d'utiliser le bon modèle sémantique. Le modèle Symptôme discriminant est le bon modèle dans les pages de type Approche clinique. Le modèle Symptôme est utilisé exclusivement sur les pages de Maladie et de Classe de maladie.
  • Les éléments d'histoire discriminants se distinguent des symptômes. Par exemple, la chute dans une page d'approche clinique de la céphalée aiguë est un élément d'histoire discriminant (modèle Élément d'histoire discriminant), et non un symptôme.
  • Le modèle Élément d'histoire discriminants est utilisé exclusivement sur les pages de type Approche clinique. Le modèle Élément d'histoire est utilisé sur les pages de type Maladie et Classe de maladie.
  • Cette section ne détaille pas l'histoire d'une étiologie particulière : ceci est laissé aux pages de maladies. La section Approche clinique permet d'expliquer les caractéristiques distinctives et discriminantes pour les différents diagnostics au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
Exemple:
 
Chez les patients atteints de dyspnée aiguë, les symptômes à rechercher sont :
  • au questionnaire cardiaque [Questionnaire] :
    • l'oedème des membres inférieurs [Symptôme discriminant], qui évoque une insuffisance cardiaque décompensée
    • une douleur thoracique [Symptôme discriminant] qui évoque un syndrome coronarien aigu, une insuffisance cardiaque décompensée ou une embolie pulmonaire
    • la lipothymie [Symptôme discriminant] et la la syncope [Symptôme discriminant], qui pourront être présents lors du syndrome coronarien aigu, de l'arrythmie et de l'embolie pulmonaire
    • etc.
  • au questionnaire pulmonaire [Questionnaire]
    • la toux [Symptôme discriminant], présente dans la pneumonie et l'EAMPOC et parfois dans l'embolie pulmonaire et l'insuffisance cardiaque
    • les crachats [Symptôme discriminant], présents dans la pneumonie et l'EAMPOC
    • les hémoptysies [Symptôme discriminant] sont un symptôme grave qui indique une potentielle embolie pulmonaire
    • un traumatisme récent [Élément d'histoire discriminant] évoque une fracture de côte ou une costo-chondrite
  • etc.

Chez les patients atteints par cette problématique, les symptômes à rechercher au questionnaire sont :

Consultez la bannière ci-dessus pour plus de détails.

Examen clinique

La section facultative Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description:
  • Cette section traite des signes à rechercher à l'examen clinique qui permettent de différencier les étiologies entre elles.
  • Cette section doit faire l'usage du modèle Examen clinique et du modèle Signe clinique discriminant.
  • Ces éléments servent à discriminer une étiologie par rapport à une autre ou une complication potentielle.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique discriminant
Commentaires:
 
  • Alors que la section Approche clinique sert à intégrer les facteurs de risque, les signes, les symptômes et les examens paracliniques, cette section sert uniquement à lister les examens cliniques et les signes cliniques discriminants et leur associer des étiologies potentielles.
  • Attention d'utiliser le bon modèle sémantique. Le modèle Signe clinique discriminant est le bon modèle dans les pages de type Approche clinique. Le modèle Signe clinique est utilisé exclusivement sur les pages de maladie et de classe de maladie.
  • Cette section ne détaille pas l'examen clinique et les signes cliniques d'une étiologie particulière : ceci est laissé aux pages de maladies. La section Approche clinique permet d'expliquer les caractéristiques distinctives et discriminantes pour les différents diagnostics au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
Exemple:
 
Chez les patients atteints d'une dyspnée aiguë, les éléments suivants sont à rechercher à l'examen clinique :
  • à l'examen cardiaque [Examen clinique] :
    • un souffle systolique [Signe clinique discriminant] indique une sténose aortique critique
    • de l'oedème des membres inférieurs [Signe clinique discriminant] indique une insuffisance cardiaque décompensée
    • la TVC augmentée [Signe clinique discriminant] évoque une insuffisance cardiaque décompensée ou sera présent dans 13% des embolies pulmonaires
  • à l'examen pulmonaire [Examen clinique] :
    • des crépitants [Signe clinique discriminant] en présence d'une pneumonie ou d'une surcharge secondaire à une insuffisance cardiaque décompensée.
    • des sibilances [Signe clinique discriminant] en cas d'asthme, d'EAMPOC et parfois d'insuffisance cardiaque.

À l'examen physique, il est pertinent de rechercher les éléments suivants :

Consultez la bannière ci-dessus pour plus de détails.

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit les examens paracliniques (ex. laboratoires, imageries, etc.) à effectuer pour cette approche clinique. Les signes paracliniques discriminants orientant vers une étiologie particulière ou une complication sont listés.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique discriminant
Commentaires:
 
  • En lisant cette section, le lecteur devrait être en mesure de comprendre les indications et les signes paracliniques attendus pour chaque examen paraclinique, ce qui lui permettra d'avoir une compréhension approfondie de la manière d'utiliser les examens paracliniques pour naviguer le diagnostic différentiel et diagnostiquer la maladie. La section Approche clinique permet d'expliquer les caractéristiques distinctives et discriminantes pour les différents diagnostics au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Chaque examen paraclinique devrait être défini à l'aide d'une propriété sémantique de type Examen paraclinique. Le modèle Signe paraclinique n'est pas utilisé.
  • La liste à puce ou le tableau sont les formats à utiliser. Lorsque la liste à puce est utilisée, celle-ci est toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
Exemple:
 
Les examens paracliniques suggérés dans le cas d'une céphalée aiguë sont :
  • une tomodensitométrie cérébrale sans contraste [Examen paraclinique] pour éliminer un saignement intracrânien [Signe paraclinique discriminant] (AVC démorragique) et des masses intracrâniennes [Signe paraclinique discriminant] (métastases ou cancer cérébal) grossières
  • une ponction lombaire [Examen paraclinique] si le patient fait de la fièvre ou s'il y a des signes de méningisme à l'examen physique :
    • en cas de méningite, une leucocytose importante dans le LCR [Signe paraclinique discriminant] et une coloration au Gram positive [Signe paraclinique discriminant] est caractéristique
  • une vitesse de sédimentation [Examen paraclinique] chez tous les patients de plus de 50 ans pour éliminer l'artérite temporale ou chez tous les patients qui pourraient avoir des symptômes compatibles
  • etc.

Les examens paracliniques suggérés sont :

Consultez la bannière ci-dessus pour plus de détails.

Drapeaux rouges

La section obligatoire Drapeaux rouges ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description:
  • Les drapeaux rouges sont des signes, des symptômes, des facteurs de risque ou des signes paracliniques qui, lorsqu'ils sont présents, peuvent orienter vers un diagnostic grave ou demandant une prise en charge immédiate.
  • Chaque drapeau rouge devrait être défini à l'aide d'une propriété sémantique de type Drapeau rouge.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Drapeau rouge
Commentaires:
 
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Cette section doit rester simple et courte.
Exemple:
 
Les drapeaux rouges des patients qui se présentent en céphalée aiguë sont :
  • une altération de l'état de conscience [Drapeau rouge] indique une possible méningite, encéphalite, un AVC hémorragie ou une HIP
  • une faiblesse [Drapeau rouge] évoque un AVC
  • de la diplopie [Drapeau rouge] évoque également un AVC du tronc ou une lésion occupant de l'espace
  • une immunosuppression [Drapeau rouge] pourrait évoquer une méningite, encéphalite ou un abcès cérébral ou spinal
  • etc.

Les drapeaux rouges à surveiller sont :

Consultez la bannière ci-dessus pour plus de détails.

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description:
  • Alors que les sections Évaluation et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie. C'est la section par excellence pour l'enseignement.
  • En lisant cette section, le lecteur doit être en mesure de comprendre la stratégie à adopter au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques pour naviguer les étiologies de l'approche clinique.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du diagramme est encouragée (voir Aide:Diagramme).
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
  • La section Approche clinique permet d'expliquer les caractéristiques distinctives et discriminantes pour les différents diagnostics au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques. C'est une section où les trucs du métier, les stratégies pour le diagnostic et le raisonnement clinique sont expliqués : c'est la section idéale pour l'enseignement.
Exemple:
 

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: La section contient la prise en charge générale qui s'applique à l'ensemble des étiologies. Que doit-on faire avant que la cause n'ait été clairement établie ? Des traitements généraux doivent-ils être amorcés avant l'identification de la cause ? Comment traite-t-on la symptomatologie du patient ? Quelles sont les indications d'hospitalisation ? Quand doit-on demander une consultation ? Un résumé de la prise en charge de certaines étiologie clés peut aussi être résumée avec un lien vers la page dédiée à la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique (seulement pour le traitement des symptômes, pas pour les étiologies)
Commentaires:
 
  • Le traitement spécifique associé à chaque étiologie est spécifié sur sa page de maladie (ne pas la décrire sur la page d'approche clinique). Le traitement général en lien avec l'approche clinique est décrit (par exemple, le soulagement du symptôme).
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Le tableau peut être adéquat en fonction du contexte.
  • Des algorithmes de traitement peuvent être présentés avec le modèle Flowchart (voir Aide:Diagramme).
Exemple:
 

Traitement symptomatique

Les traitements suggérés sont les suivants :

Traitement des étiologies

Traitement des étiologies
Étiologie Description
Étiologie 1
Page principale: Étiologie 1#Traitement
  • Décrire le traitement en quelques lignes.
  • Les détails sont donnés sur la page de maladie.
  • Ne pas mettre de balises dans ce tableau.
Étiologie 2
Page principale: Étiologie 2#Traitement
  • Décrire le traitement en quelques lignes.
  • Les détails sont donnés sur la page de maladie.
  • Ne pas mettre de balises dans ce tableau.
... ...

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de l'approche clinique
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Y a-t-il des examens paracliniques à répéter ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
Exemple:
 

Complications

La section facultative Complications ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des complications possibles de l'approche clinique classées en ordre de probabilité (si possible).
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication. Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Attention ! Les complications sont celles de l'approche clinique elle-même et non de son traitement. Par exemple, l'anémie est une complication de l'hémorragie digestive basse, mais la perforation intestinale en raison d'une colonoscopie doit plutôt être décrit sur la page de la procédure Colonoscopie.
Exemple:
 

Les complications potentielles sont :

Consultez la bannière ci-dessus pour plus de détails.

Particularités

La section facultative Particularités ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des particularités concernant la gestion de l'approche clinique pour certaines clientèles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 

Gériatrie

La section facultative Gériatrie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section mentionne les particularités concernant la gestion de l'approche clinique chez une clientèle gériatrique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Le format texte est à privilégier.
  • Il est possible que l'approche clinique en gériatrie nécessite une approche clinique complètement différente. Dans ce cas, il est préférable de faire un page d'approche clinique séparée. (ex. Ictère chez le nouveau-né est trop différente de l'Ictère chez la personne âgée).
Exemple:
 

Pédiatrie

La section facultative Pédiatrie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section mentionne les particularités concernant la gestion de l'approche clinique chez une clientèle pédiatrique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Le format texte est à privilégier.
  • Il est possible que l'approche clinique en pédiatrie nécessite une approche clinique complètement différente. Dans ce cas, il est préférable de faire un page d'approche clinique séparée. (ex. Ictère chez le nouveau-né est trop différente de l'Ictère chez la personne âgée)
Exemple:
 

Notes

La section facultative Notes ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Dans la section notes se trouve toutes les notes de bas de page (références du groupe "note" [ou autres]).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Pour ajouter des notes, passez par la fonction d'ajout de notes. Il est aussi possible d'ajouter des notes d'autres groupes, comme "pharmaco", "pédiatrie", "indications", etc. Classez ces autres groupes de notes dans des sous-sections. N'ajoutez pas de notes manuellement.
Exemple:
 
TRAITEMENTS

Les traitements:

  • médicament 1, 100-200 mg PO DIE[pédiatrie]
  • traitement 2 BID x 1 sem[gériatrie]

NOTES


Gériatrie

  1. Poursuivre le traitement 2 semaines de plus.

Pédiatrie

  1. 10mg/kg die


Références

La section obligatoire Références ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Dans la section références se trouve toutes les références (références sans groupe). Pour ajouter des références, passez par la fonction d'ajout de références. N'ajoutez pas de références manuellement.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 


Pour un exemple de page d'approche clinique bien construite, voir Hémorragie digestive haute (approche clinique).

Pour poser des questions.

  1. En tout temps, une excellente ressource est Aide:Autoformation.
  2. L'Aide:Forum est là pour les questions générales par rapport à la plateforme (la réponse profitera aux autres éditeurs).
  3. Sur la page de discussion ici-même pour les questions en lien avec l'article.
  4. Par la page Facebook de Wikimedica (dépannage rapide).

La première révision de l'article devrait te prendre quelques heures : écris-nous dans la présente discussion lorsque c'est fait. Nous te donnerons des conseils qui te permettront de mieux orienter ton écriture.

Bonne édition et merci pour ton implication !

Oeil rouge
Approche clinique

Uvéite antérieure
Caractéristiques
Drapeaux rouges Diminution de l'acuité visuelle, Douleur et vomissements soudains et intenses, Éruption de zona, Cratère cornéen, Lésion cornéenne dendritique, Pression oculaire élevée, Ne pas blanchir avec un collyre à la phényléphrine
Informations
Terme anglais Red eye
Spécialité Ophtalmologie

Page non révisée

L'œil rouge est un problème courant qui peut toucher un œil ou les deux. La rougeur associée aux yeux rouges provient des vaisseaux sanguins à la surface de l'œil qui sont dilatés en raison d'une certaine forme d'irritation ou d'infection.[1][2]

__NOVEDELETE__
Objectif du CMC
Rougeur oculaire (30)

Étiologies

Les causes les plus fréquentes des yeux rouges comprennent :

  • Conjonctivite infectieuse
  • Conjonctivite allergique

Les abrasions cornéennes et les corps étrangers sont également des causes courantes. Bien que l'œil soit rouge, les patients présentent généralement une plainte de blessure, de douleur oculaire ou les deux. Cependant, chez les jeunes enfants et les nourrissons, ces informations peuvent ne pas être disponibles.

Étiologies par système[2][1]
Pathologie Facteurs discriminants
Paupière
blépharite Inflammation du rebord des paupières avec présence de croûtes au niveau des cils, télangiectasies et congestion des glandes de Meibomius
chalazion / orgelet Inflammation à l’origine d’un enkystement d’une glande de la paupière
Entropion La paupière (généralement la paupière inférieure) se replie vers l'intérieur. Les cils frottent continuellement contre la cornée.
Conjonctive
conjonctivite Sensation de grattage, photosensibilité. Parfois écoulement mucopurulent (si bactérien), œdème des paupières ou papilles sur la conjonctive tarsienne
Conjonctivite gonoccocique Infection grave causée par Neisseria gonorrhoeae. Hyperpurulence, ganglion préauriculaire sensible, œdème des paupières, peut perforer rapidement la cornée. Peut se produire chez le nouveau-né (ophtalmie néonatale)
conjonctivite allergique Démangeaisons bilatérales proéminentes, éventuellement bombement conjonctival (chémosis). Allergies connues ou autres caractéristiques des allergies (par exemple, récurrences saisonnières, rhinorrhée)
conjonctivite irritative Exposition à des irritants potentiels (par exemple, poussière, fumée, ammoniac, chlore, phosgène)
hémorragie sous-conjonctivale Zone rouge focal, unilatéral asymptomatique ou rougeur confluente. Peut-être un traumatisme antérieur ou une manœuvre de Valsalva (par exemple, effort de vomissement). Souvent antécédents d'utilisation d'anticoagulants ou de médicaments antiplaquettaires (par exemple, aspirine, AINS, warfarine)
Épisclère
Épisclérite Rougeur focale unilatérale, légère irritation, larmoiement minimal
Sclère
sclérite Douleur intense, souvent décrite comme ennuyeuse. Photophobie, larmoiement. Taches rouges ou violacées sous la conjonctive bulbaire. Oedème scléral, tendresse du globe palpé. Souvent antécédents de troubles auto-immunes
Cornée
kératite Port prolongé de lentilles de contact (facteur de risque), larmoiement, œdème cornéen
kératite à herpès simplex Apparition après une conjonctivite. Lésion cornéenne dendritique classique sur coloration à la fluorescéine. Unilatéral. ATCD d'herpès labial
kératoconjonctivite sèche Motif ponctué (SPK) sur la coloration à la fluorescéine. Soulagement des symptômes avec l'utilisation de larmes artificielles.
ulcère cornéen Opacité souvent grisâtre sur la cornée, suivie d'un cratère visible. Peut-être une histoire de sommeil avec des lentilles de contact (important facteur de risque)
abrasion cornéenne / Corps étranger Apparition après une blessure (mais cette histoire peut être inapparente chez les nourrissons et les jeunes enfants). Sensation de corps étranger. Lésion sur coloration à la fluorescéine
zona ophtalmique Vésicules et croûtes unilatérales sur une base érythémateuse dans une distribution V1, affectant parfois le bout du nez (signe de Hutchinson), oedème des paupières, yeux rouges, peut être associée à une uvéite, douleur éventuellement intense
Autre
glaucome à angle fermé aigu Douleur oculaire sévère, maux de tête, nausées, vomissements, halos autour des lumières. Cornée trouble (causée par l'œdème), érythème conjonctival marqué. Diminution de l'acuité visuelle. Pression intraoculaire généralement > 40 mm Hg
uvéite antérieure Douleur oculaire, photophobie. "Flush" ciliaire (injection circumcornéenne). Souvent un facteur de risque (par exemple, trouble autoimmune, traumatisme contondant au cours des derniers jours). Diminution de l'acuité visuelle ou du pus dans la chambre antérieure (hypopyon). Cellules et "flare" dans la chambre antérieur à l'examen à la lampe à fente.
endophtalmie Inflammation purulente des fluides intraoculaires (vitrés et aqueux) qui survient après une intervention chirurgicale . Diminution soudaine de la vision avec douleur. Hypopion, fibrine, réaction sévère de la chambre antérieure, cellules vitreuses et brume, diminution du réflexe rouge.

Physiopathologie

La dilatation des vaisseaux oculaires superficiels peut résulter de :

  • Infection
  • Allergie
  • Inflammation (non infectieuse)
  • Pression intraoculaire élevée (moins courante)

Plusieurs composants oculaires peuvent être impliqués, le plus souvent la conjonctive, mais également le tractus uvéal, l'épisclère et la sclère.[2]

Présentation clinique

Questionnaire

  • Antécédents
    • Antécédents de blessure ou maladies autoimmunes connues
    • Allergie
    • Épisodes antérieurs de douleur ou de rougeur oculaire et leurs schémas temporels
    • Utilisation récente de médicaments ophtalmiques topiques (y compris les médicaments en vente libre), qui pourraient être sensibilisants
  • Début et durée de la rougeur
  • Présence de tout changement de vision, de démangeaisons, de sensation de corps étranger, de douleur ou d'écoulement
    • Déterminer la nature et la gravité de la douleur, y compris si la douleur est aggravée par la lumière (photophobie)
    • Déterminer si l'écoulement est aqueux ou purulent
  • Présence d'halos autour des lumières (suggestif d'un glaucome à angle fermé aigu)
  • Exposition à des irritants ou l'utilisation de lentilles de contact (par exemple, une surutilisation possible, comme le port de celles-ci pendant le sommeil)
  • Traumatisme ou opération récente de yeux (orienter le patient vers le chirurgien qui a opéré)
  • Infection des voies respiratoires supérieures récente
  • Présence d'autres membres de la famille ayant eu un œil rouge récemment

Revue des systèmes

  • Maux de tête
  • Nausées, des vomissements
  • Écoulement nasal et éternuements (allergies, infection des voies respiratoires supérieures)
  • Toux, mal de gorge et malaise (infection des voies respiratoires supérieures)[2]
Antécédents
Trouvaille Penser à ...
Personnels
Maladie autoimmune
  • Sclérite
  • Uvéite
Allergie
  • Conjonctivite allergique
Sécheresse oculaire
  • Kératoconjonctivite sèche
Herpès labial
  • Kératite à herpès simplex
Ophtalmologie
Angle étroit dans la chambre antérieur
  • Glaucome à angle fermé aigu
Port de verre de contact
  • Kératite
  • Ulcère cornéen
Symptômes
Trouvaille Penser à ...
Photophobie
  • Abrasion cornéen
  • Ulcère cornéen
  • Glaucome à angle fermé aigu

Photophobie consensuelle:

  • Uvéite
Halo
  • Glaucome à angle fermé aigu
Écoulement séreux
  • Conjonctivite virale
  • Kératoconjonctivite sèche (écoulement paradoxal)
Écoulement purulent
  • Conjonctivite bactérienne
Effort de valsalva ou de vomissement
  • Hémorragie sous-conjonctivale
Inflammation de la paupière
  • Orgelet/Chalazion
  • Blépharite
  • Lésions (carcinome basocellulaire, carcinome cellulaire squameux)

Examen clinique

L'examen général doit comprendre :

  • Examen de la tête et du cou (adénopathie) afin de détecter des signes de troubles associés (par exemple, infection des voies respiratoires supérieures, rhinite allergique, éruption cutanée à zona).
  • Examen oculaire
    • Mesure de l'acuité visuelle
      • La meilleure acuité visuelle corrigée est mesurée
    • La taille pupillaire et la réactivité à la lumière sont évaluées
      • Une véritable photophobie (parfois appelée photophobie consensuelle) est présente si la lumière projetée dans un œil non affecté provoque une douleur dans l'œil affecté lorsque l'œil affecté est fermé. La photophobie consensuelle est une caractéristique de l'uvéite.
    • Décider par inspection si une rougeur est présente et si elle est due à une hémorragie sous-conjonctivale, une hyperémie conjonctivale, une "flush" ciliaire (injection circumcornéenne) ou une combinaison de ces éléments
    • Détecter la présence d'un écoulement (aqueux ou purulent, profuse ou peu abondante)
    • Les mouvements extraoculaires sont évalués
    • Les tissus périorbitaires sont inspectés pour les lésions et l'enflure
    • Coloration de la cornée à la fluorescéine à la recherche d'une abrasion, d'un ulcère, d'une dendrite, etc.
      • Si une abrasion cornéenne est détectée (particulièrement si verticale), la paupière est retournée et examinée à la recherche de corps étrangers cachés dans le cul-de-sac conjonctivale.
    • La pression oculaire est mesurée à l'aide de la tonométrie ou par applanation si la cornéen est régulière.

Il est préférable d'inspecter les structures oculaires et la cornée à l'aide d'une lampe à fente. Une lampe à fente est également utilisée pour examiner la chambre antérieure pour les cellules, les reflets et le pus (hypopyon). [2]

Test Trouvaille Penser à...
Examen du cou Adénopathie
  • Conjonctivite virale
Fluorescéine Coloration
  • Abrasion cornéen
  • Ulcère cornéen
  • Kératite (dendrite)
  • Corps étranger
Pression intraoculaire Élevé (> 20 mm Hg)
  • Glaucome à angle fermé aigu
Faible
  • Uvéite
Illumination Rougeur circumcornéenne
  • Uvéite
Zone rouge focale
  • Hémorragie sous-conjonctivale
Chambre antérieure Cellules et/ou "flare"
  • Uvéite
Conjonctive palpébrale Papille
  • Conjonctivite allergique
  • Conjonctivite bactérienne
Follicule
  • Conjonctivite virale
  • Réaction à un médicament

Drapeaux rouges

Drapeaux rouges[2] Causes sérieuses possibles Causes bénignes confondantes possibles
douleur et vomissements soudains et intenses
  • Glaucome à angle fermé aigu
Éruption de zona
  • Zona ophtalmique
cratère cornéen
  • Ulcère cornéen
diminution de l'acuité visuelle
  • Glaucome à angle fermé
  • Ulcère cornéen central
  • Zona ophtalmique
lésion cornéenne dendritique
  • Kératite à herpès
pression oculaire élevée
  • Glaucome à angle fermé aigu
ne pas blanchir avec un collyre à la phényléphrine
  • Sclérite

Investigation

Les tests sont généralement inutiles sauf dans certaines situations précises :

  • les cultures virales peuvent aider si l'herpès simplex ou l'herpès zoster est suspecté et que le diagnostic n'est pas clair cliniquement
  • les ulcères cornéens sont cultivés par un ophtalmologiste
  • la gonioscopie est réalisée chez les patients atteints de glaucome
  • le dépistage des troubles auto-immunes peut être utile chez les patients atteints d'uvéite récidivante et sans cause évidente (par exemple, un traumatisme)
  • les patients atteints de sclérite subissent des tests supplémentaires selon les directives d'un ophtalmologiste[2]

Prise en charge

Une fois la cause de l'oeil rouge traité, l'œil rouge lui-même ne nécessite pas de traitement. Les vasoconstricteurs topiques ne sont pas recommandés car les patients peuvent développer une rougeur de rebond.[2]

Il est nécessaire de référer en ophtalmologie dans les cas suivant :

  • Sclérite
  • Épisclérite
  • Zona ophtalmique
  • Ulcère cornéen
  • Uvéite
  • Kératite à herpès
  • Glaucome à angle fermé aigu
  • Conjonctivite gonoccocique
  • Endophthalmite

Références

  1. 1,0 et 1,1 (en) « Red eye », sur Mayo Clinic (consulté le 17 avril 2020)
  2. 2,0 2,1 2,2 2,3 2,4 2,5 2,6 et 2,7 (en) « Red Eye - Eye Disorders », sur Merck Manuals Professional Edition (consulté le 17 avril 2020)
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