Hémorragie intraparenchymateuse
L'hémorragie intraparenchymateuse (HIP), aussi appelée hémorragie intracérébrale, est un saignement dans le parenchyme cérébral causé par la rupture d'un vaisseau sanguin.
L'HIP est une maladie dans la famille des AVC hémorragiques, subdivisés ainsi :
- l'hémorragie intracérébrale (HIC) ou intraparenchymateuse (HIP) : l'hémorragie est dans le parenchyme cérébral
- l'hémorragie sous-arachnoïdienne (HSA) : l'hémorragie est dans l'espace sous-arachnoïdien
- l'hémorrhagie intra-ventriculaire (HIV) : l'hémorragie est dans les ventricules.
1 Épidémiologie[modifier | w]
L'AVC hémorragique contribue à 10 à 20 % des AVC annuellement, alors que le reste concerne les AVC ischémiques[1][2][3]. Le pourcentage d'hémorragie en cas d'AVC est de 8 à 15 % aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Australie et de 18 à 24 % au Japon et en Corée. L'incidence est environ de 12 à 31 par 100,000 habitants par an[4]. L'incidence est plus élevée dans les pays à revenu faible et intermédiaire et en Asie. Elle semble plus fréquente chez les hommes[5] et augmente avec l'âge, doublant pour chaque tranche de dix ans après l'âge de 35 ans[6]. L'incidence mondiale augmente, principalement dans les pays africains et asiatiques. Il a été démontré au Japon que le contrôle de l'hypertension et des facteurs de risque vasculaire réduit l'incidence des HIP[7]. Le taux de mortalité est de 25 à 30 % dans les pays à revenu élevé, alors qu'il est de 30 à 48 % dans les pays à revenu faible ou intermédiaire. Le taux de mortalité dépend généralement de l'efficacité des soins intensifs[8].
2 Étiologies[modifier | w]
L'hypertension artérielle (HTA) est la cause la plus fréquente d'HIP. Les changements hypertensifs provoquent généralement une HIP non lobaire. En effet, l'hypertension de longue date produit une microangiopathie qui se développe par une dégénérescence des médias, une rupture de la lame élastique et une fragmentation des muscles lisses des artères. Les sites d'origine communs de l'hémorragie intracérébrale induite par l'hypertension sont les petites artères pénétrantes qui sont plus susceptibles aux conséquences de l'HTA. Les petites branches artérielles de 30 à 400 μm de diamètre ont souvent de multiples sites de rupture associés à des couches d'agrégats de plaquettes et de fibrine. Ce sont les mêmes vaisseaux qui sont responsables des AVC lacunaires. On les trouve surtout au niveau du mésencéphale et de la protubérance (pénétrantes de l'artère basilaire), du thalamus (pénétrantes des branches de l'artère cérébrale postérieure) et du noyau caudé/putamen (pénétrantes de l'artère lenticulostriée). À la pathologie, la lipohyalinose, la nécrose fibrinoïde du sous-endothélium, les microanévrismes (de Charcot-Bouchard) et les dilatations focales sont observés dans les artérioles[8]. L'HTA aiguë, comme on le voit dans l'éclampsie, peut également provoquer une HIP, connue sous le nom d'HIP post-partum[8].
L'angiopathie amyloïde cérébrale (AAC) est une cause importante d'HIP lobaire primaire chez les adultes plus âgés. Elle est caractérisée par le dépôt du peptide β-amyloïde (Aβ 40) dans les capillaires, les artérioles et les artères de petite et moyenne taille dans le cortex cérébral, les leptoméninges et le cervelet. Elle se distingue de la déposition d'amyloïde (Aβ 42) dans la maladie d'Alzheimer qui se trouve plutôt au niveau du parenchyme. L'AAC est associé à des variantes du gène codant pour l'apolipoprotéine E, qui est le facteur de risque génétique le plus fortement associé à cette maladie. Un syndrome familial peut survenir chez les jeunes patients, généralement associé à des mutations dans le gène codant pour la protéine précurseur amyloïde. L'incidence de cette maladie augmente avec l'âge. À l'autopsie, on trouve entre 20-40 % d'AAC chez les patients non-déments, mais jusqu'à 50-60 % chez les patients déments[9]. Des hémorragies récurrentes peuvent survenir en raison d'AAC[8].
Les traumatismes crâniens sont également une cause importante d'HIP.
D'autres causes non traumatiques d'HIP incluent :
- les malformations vasculaires cérébrales (ex. malformation artérioveineuse, fistule durale)
- les tumeurs cérébrales primaires
- les métastases cérébrales
- les thromboses veineuses cérébrales
- les transformations hémorragiques d'AVC ischémiques
- les coagulopathies
- le syndrome réversible de vasoconstriction cérébrale et les vasculites.
3 Physiopathologie[modifier | w]
Les HIP se trouvent dans les localisations suivantes : les noyaux gris centraux (50-60 %), les lobes cérébraux (10 % à 20 %), le thalamus (15 %), le tronc cérébral (10 % à 20 %) et le cervelet (10 %)[10][11].
Par son effet de masse, l'hématome cause un impact direct sur les neurones et la glie. Cela entraîne une oligémie, une libération excessive de neurotransmetteurs, un dysfonctionnement mitochondrial et un œdème cytotoxique. L'hématome et l'œdème péri-lésionnelle peuvent entraîner un effet de masse important menant à une augmentation de la pression intracrânienne (PIC)[3][8]. Cela peut alors mener à une diminution de la perfusion cérébrale et à des lésions ischémiques[12]. Les HIP de gros volume peuvent éventuellement causer une herniation[13][8]. Les lésions secondaires sont causées par l'inflammation, la perturbation de la barrière hémato-encéphalique (BHE), l'œdème cytotoxique, la surproduction de radicaux libres tels que les espèces réactives de l'oxygène (ROS), l'excitotoxicité induite par le glutamate et la libération d'hémoglobine et de fer de l'hématome.
Des microsaignements sont communément retrouvés dans les cas d'HIP, surtout en association avec les HIP lobaires[14]. Ceux-ci sont détectés sur certaines séquences d'IRM (écho de gradient, imagerie de susceptibilité magnétique et T2*)[15]. Ils sont rapportés chez seulement 5 % des adultes en santé, mais jusqu'à 60 % des patients avec HIP[16].
Habituellement, l'hématome grossit surtout dans les premières heures. L'essentiel de l'expansion survient en trois heures dans la majorité des cas[17]. Les facteurs prédictifs de l'expansion sont la durée depuis le début des symptômes, le volume initial de l'hématome, la prise d'antiplaquettaire ou d'anticoagulant et l'extravasation de contraste (spot sign)[18].
L'œdème péri-lésionnelle augmente en 24 heures, culmine autour de 5 à 6 jours et dure jusqu'à environ 14 jours à la suite de l'insulte initiale. On retrouve une zone d'hypoperfusion autour de l'hématome. Les facteurs à l'origine de la détérioration de l'HIP sont une expansion de l'hématome, une hémorragie intraventriculaire et un œdème péri-lésionnelle[2]. L'hématome cérébelleux peut produire une hydrocéphalie par compression du quatrième ventricule au stade précoce[8].
4 Présentation clinique[modifier | w]
4.1 Facteurs de risque[modifier | w]
Les principaux facteurs de risque sont :
- l'hypertension artérielle
- la prise d'anticoagulants (surtout le warfarin)
- l'âge.
Les autres facteurs de risque importants sont[8] :
- le tabagisme
- la consommation d'alcool
- les hépatopathies chroniques (cela augmente le risque d'HIP en raison de la coagulopathie et de la thrombocytopénie)
- les dyslipidémies (surtout un faible taux de cholestérol ou de LDL)
- les sympathomimétiques, tels que la cocaïne, l'héroïne, les amphétamines, l'éphédrine et la phénylpropanolamine
- les tumeurs cérébrales, dont certaines sont plus plus sujettes aux saignements :
- le glioblastome
- le lymphome
- les métastases cérébrales
- le méningiome
- l'adénome hypophysaire
- l'hémangioblastome.
4.2 Questionnaire[modifier | w]
Les présentations courantes de l'AVC sont[3] :
- des symptômes neurologiques focaux (ex. aphasie, hémiparésie, paralysie faciale) d'apparition rapide, atteignant un paroxysme en quelques minutes/heures
- la céphalée [Pr: 50 %] (plus fréquente avec un grand hématome)
- les vomissements (indiquent une PIC élevée et sont fréquents avec un hématome cérébelleux)
- une altération de l'état de conscience[note 1]
- des convulsions [Pr: 15 %] (plus courantes avec les HIP lobaires)[19].
4.3 Examen clinique[modifier | w]
À l'examen physique, les AVC hémorragiques peuvent se manifester avec des déficits neurologiques variés, selon le site de l'hématome :
- aux signes vitaux :
- l'hypertension artérielle
- la bradycardie
- la respiration est anormale (tachypnée)
- à l'examen neurologique :
- le Glasgow est abaissé
- à l'examen du langage : une aphasie et une dysarthrie
- à l'examen des paires crâniennes : des anomalies oculomotrices, une hémianopsie homonyme et une parésie du visage
- à l'examen moteur : une hémiparésie
- à l'examen sensitif : une hypoesthésieet une héminégligence
- à l'examen cérébelleux : une ataxie.
5 Examens paracliniques[modifier | w]
5.1 Imagerie[modifier | w]
Modalité diagnostique | Commentaires |
---|---|
Tomodensitométrie cérébrale sans contraste |
|
Imagerie par résonnance magnétique cérébrale |
|
Angio-tomodensitométrie cérébrale |
|
Angiographie cérébrale |
|
5.2 Laboratoire[modifier | w]
Le bilan sanguin comporte différents éléments[1] :
- la glycémie pour exclure l'hypoglycémie comme cause d'anomalie neurologique
- la formule sanguine complète pour exclure l'anémie, l'hypoplaquettose et une infection
- les électrolytes pour les corriger au besoin
- les tests de coagulation : INR, TCA, fibrinogène
- un bilan hépatique
- l'urée sanguine et la créatinine
- une troponine.
D'autres tests afin d'évaluer les causes sous-jacentes :
- le dépistage urinaire des drogues de rue et un bilan toxicologique
- l'analyse d'urine
- le test de grossesse.
Si une vasculite est suspectée en fonction de l'imagerie ou de la sémiologie clinique, d'autres investigations sont à considérer, y compris les dosages sériques[30][8] :
- des immunoglobulines
- du facteur rhumatoïde
- des anticorps antithyroïdiens, antinucléaires (ANA), anti-dsADN, anti-histones, anti-Ro [SS-A ], anti-La [SS-B-] et anti-endothéliaux
- du complément
- du c-ANCA et du pANCA.
6 Approche clinique[modifier | w]
La présentation clinique peut permettre de suspecter certains diagnostics plus spécifiques.
Diagnostic | Signes paracliniques |
---|---|
Angiopathie amyloïde cérébrale | De multiples hémorragies d'âges différents dans les lobes pariéto-occipitaux |
Microangiopathie hypertensive | Hémorragie dans un territoire profond (ex. noyaux gris centraux) ou dans le tronc |
AVC ischémique avec transformation hémorragique | Hémorragie dans un territoire artériel chez un patient avec facteurs de risques vasculaires |
Hémorragie induite par l'anticoagulation | Plusieurs stades de saignement dans le même hématome avec un niveau de liquide |
Vasculite | Une combinaison de petites lésions ischémiques et hémorragiques |
Maladie de Moyamoya | L'hémorragie en présence de sténose des artères intracrâniennes avec une augmentation des collatérales |
Progression de l'hématome ou de l'œdème | Détérioration neurologique progressive |
Une imagerie vasculaire (CTA/MRA) est recommandée chez la majorité des patients avec une HIP afin d'exclure une lésion vasculaire sous-jacente. Certains facteurs augmentent la probabilité de déceler une lésion vasculaire, dont l'âge < 50 ans, le sexe féminin, l'HIP lobaire ou infratentorielle, la présence de déversement ventriculaire (HIV), l'absence de signes de microangiopathie à l'imagerie et l'absence d'HTA[33].
La présence d'œdème hors de proportion par rapport au moment de l'HIP suggère une transformation hémorragique, une tumeur sous-jacente ou une thrombose veineuse.
7 Diagnostic[modifier | w]
D'abord suspecté cliniquement, le diagnostic d'HIP se fait à la TDM cérébrale.
8 Diagnostic différentiel[modifier | w]
Les diagnostics différentiels d'une HIP sont[8][34] :
- la crise hypertensive aiguë/PRES
- l'apoplexie hypophysaire
- la thrombose veineuse cérébrale
- la dissection de l'artère cervicale
- l'hémorragie intraventriculaire
- l'hémorragie sous-arachnoïdienne
- le syndrome vasoconstricteur cérébral réversible (RCVS)
- les néoplasmes hémorragiques
- la méningite
- l'hémorragie sous-durale (HSD).
9 Traitement[modifier | w]
Traitement | Description |
---|---|
Gestion de la pression artérielle |
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Thérapie hémostatique |
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Gestion de la pression intracrânienne élevée |
|
Chirurgie |
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Thérapie antiépileptique |
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Reprise de l'anticoagulation |
|
10 Complications[modifier | w]
Les complications des hémorragies intracrâniennes comprennent[51][8] :
- l'oedème cérébral
- l'hypertension intracrânienne
- l'hydrocéphalie
- les convulsions (l'incidence d'épilepsie à un an est de 2,6 à 4 %[52])
- les thromboses veineuses
- l'hyperglycémie
- l'hypertension artérielle
- les infections nosocomiales
- la fièvre d'origine centrale
- les complications pulmonaires :
- les complications cardiaques[note 4] :
11 Évolution[modifier | w]
L'AVC hémorragique est associé à une morbidité sévère et à une mortalité élevée[2]. La mortalité à 30 jours varie de 32 à 52 % selon les études[53][54][55]. La détérioration précoce et la mort sont les principales conséquences de la PIC élevée. L'ASA recommande que la surveillance et la prise en charge des patients atteints de PIC élevée se déroulent dans une unité spécialisée en AVC ou dans une unité de soins intensifs neurologiques.
Les facteurs de mauvais pronostic cliniques sont l'âge (surtout chez les plus de 80 ans), le coma, l'utilisation d'agent antithrombotique, l'hyperglycémie et l'insuffisance rénale chronique[3]. Le coma, au moment de la présentation, indique un pronostic plus sombre. Au niveau radiologique, les facteurs de mauvais pronostic incluent un volume supérieur à 30 cc, l'HIV, l'hémorragie de la fosse postérieure et la croissance de l'hématome[56].
Le score HIP prédit la mortalité. Voici les éléments donnant un point pour le score HIP[57] :
- un volume HIP > 30 mL (1 point)
- une hémorragie intraventriculaire (1 point)
- une hémorragie d'origine infratentorielle (1 point)
- un âge de 80 ans et plus (1 point)
- un score de Glasgow entre 5 et 12 inclusivement (1 point)
- un score de Glasgow entre 3 et 4 inclusivement (2 points).
La mortalité à 30 jours de chaque score est la suivante[8] :
- 0 % pour le score 0
- 13 % pour le score 1
- 26 % pour le score 2
- 72 % pour le score 3
- 97 % pour le score 4
- 100 % pour le score 5.
La récupération clinique est généralement plus importante au cours du premier mois suivant l'HIP, mais peut se poursuivre jusqu'à 12 mois[58]. Une réhabilitation précoce est recommandée afin d'optimiser la récupération fonctionnelle[59]. À trois mois, jusqu'à 51 % des patients peuvent atteindre un score de Rankin modifié (mRS) de 0 à 3[60]. Une proportion importante des survivants, soit 14% à 88 %, souffre de troubles cognitifs[61].
L'incidence de récidive varie de 2 à 7 % par année, en fonction des facteurs de risque et de l'étiologie de l'HIP[62][63]. Les HIP lobaires représentent un plus grand risque de récidive que les HIP profonds à cause de leur association avec l'AAC[64].
12 Prévention[modifier | w]
La tension artérielle doit être contrôlée avec un objectif de moins de 130/80 mmHg[44]. Certaines modifications du mode de vie sont recommandées, notamment la cessation tabagique, une activité physique régulière, une diète balancée et le maintien d'un poids santé[44].
13 Notes[modifier | w]
- ↑ Le coma se produit dans l'implication du système d'activation réticulaire du tronc cérébral et du thalamus.
- ↑ Les PCC sont des concentrés de facteurs dérivés du plasma contenant les facteurs II, VII, IX et X. Les PCC peuvent être reconstitués et administrés rapidement.
- ↑ La FFP présente un risque de réactions transfusionnelles allergiques.
- ↑ Environ 4 % des patients atteints d'hémorragie intracrânienne ont des complications cardiaques.
14 Références[modifier | w]
- Cette page a été modifiée ou créée le 2020/11/07 à partir de Hemorrhagic Stroke (StatPearls / Hemorrhagic Stroke (2020/08/10)), écrite par les contributeurs de StatPearls et partagée sous la licence CC-BY 4.0 international (jusqu'au 2022-12-08). Le contenu original est disponible à https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/32644599 (livre).
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