Utilisateur:Adam Benharrats/Brouillons/Bradycardie (approche clinique)

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Bradycardie (Brady)
Approche clinique
Caractéristiques
Symptômes discriminants Confusion, Frissons, Dyspnée (symptôme), Céphalée (symptôme), Voyage, Lipothymie (symptôme), Syncope (symptôme), Fatigue (symptôme), Arthralgie (symptôme), Douleur thoracique (symptôme), ... [+]
Signes cliniques discriminants
Obésité, Tachycardie (signe clinique), Sommeil, Altération de l'état de conscience (signe clinique), Bradycardie (signe clinique), Hypotension artérielle (signe clinique), Souffle cardiaque (signe clinique), Rythme cardiaque irrégulier (signe clinique), Température corporelle élevée (signe clinique), Cachexie (signe clinique), ... [+]
Examens paracliniques
ECG
Informations
Terme anglais Bradycardia
Spécialités Cardiologie, médecine d'urgence

Page non révisée

La bradycardie est un rythme cardiaque anormalement bas. Sa définition varie selon l'âge du patient :

  • Adultes: < 50 bpm et / ou une pause sinusale de > 3 secondes (selon l'AHA)[1][note 1] mais ce rythme peut descendre encore plus bas lors du sommeil.
  • Enfants[2]: à l'éveil
    • 0 - 3 ans : < 100 bpm
    • 3 - 9 ans: < 60 bpm
    • 9 - 16 ans: < 60 bpm

Étiologies

À des fin pratiques on peut classifier les bradycardies selon 2 grandes catégories soit : les atteintes du nœud sinusal et les bradycardies attribuables aux blocages du nœud AV.[3]

Atteintes du nœud sinusal

Étiologies venant du noeud sinusal[1]
Origine Étiologies
Extrinsèque
Intrinsèque

Blocs auriculoventriculaires

Les étiologies des bloc auriculoventriculaires (AV) sont variées mais communes pour chaque type de bloc. Les causes communes auxquelles il faut penser sont :

  • maladie chroniques cardiaques (insuffisance cardiaque, MCAS)
  • fibrose cardiaque idiopathique
  • bloc AV en post-opératoire (ex : remplacement de valve aortique chirurgicale ou post TAVI)
  • désordres électrolytiques (ex : patient connu IRC).
Blocs auriculoventriculaires[1]
Type Bloc Critères Commentaire
Incomplet Bloc AV du 1er degré
  • Intervalle PR > 200ms
Bloc AV du 2e degré (Mobitz 1)
  • Augmentation progressive de l'intervalle PR
  • Suivi ou non d'un P non conduit
  • Peut-être associé à un infarctus inférieur
Bloc AV du 2e degré (Mobitz 2)
  • P bloqué soudainement
  • Intervalle PR fixe
  • Peut-être associé à un infarctus antérieur
  • Relié à un conduction anormale dans le faisceau de His (infranodale)
Complet Bloc AV de haut grade
  • 2 ou plus P consécutifs bloqués
  • Certains P conduits
Bloc AV du 3e degré
  • Pas de relation entre le P et le QRS
  • Rythme ventriculaire régulier
  • Dissociation AV
  • Rythme auriculaire plus rapide que ventriculaire

Physiopathologie

La fréquence cardiaque est principalement contrôlée par deux composantes, soit le système de conduction cardiaque et les influx du système nerveux (sympathique et parasympathique)[5]. De manière générale, le système de conduction cardiaque est composé de fibres de conduction spécialisés avec des propriétés intrinsèques d’automaticité qui permettent au cœur d’initier une impulsion électrique et propager celle-ci pour créer une contraction mécanique cardiaque synchronisée.[6]

Système de conduction électrique du coeur et son rapport au PR

À l’origine de chaque battement cardiaque il y a une impulsion électrique qui est initiée dans le nœud sinusal (rythme intrinsèque de 60 à 100 battements/minute), située dans la jonction latérale entre la veine cave supérieure et l’oreillette droite, qui va atteindre le nœud AV à travers les faisceaux internodaux et accessoirement à l’oreillette gauche par le faisceau de Bachmann[6].

Le nœud AV (rythme intrinsèque de 40 à 60 battements/minute) permet de transmettre l’impulsion des oreillettes aux ventricules, de retarder l’impulsion cardiaque (pour permettre un remplissage ventriculaire adéquat) et limite la quantité de stimulation qui parvient aux ventricules. Cela permet donc d’éviter que des arythmies auriculaires puissent être transmises aux ventricules et causer des arythmies ventriculaires.[5]

Le faisceau de His qui est la continuité du nœud AV se divise en branche gauche et droite, qui longent tous les deux le septum interventriculaire jusqu’à ce que la branche gauche se divise en faisceau antérieur et postérieur. La branche droite garde un faisceau unique jusqu’à ce qu’elle se divise en petits faisceaux qui se mélangent dans les fibres de Purkinje[5].

Les fibres de Purkinje sont le dernier élément du système de conduction cardiaque et permettent de transmettre le stimulus électrique pour pouvoir dépolariser les ventricules. Lorsqu’il y a une dysfonction ou un ralentissement significatif au niveau du nœud sinusal, c’est un autre foyer d’automaticité (pacemaker physiologique) qui prendra le relai pour déterminer la fréquence cardiaque. À titre d’exemple, chez un patient avec un bloc AV de 3eme degré[note 2], ce sera un pacemaker physiologique accessoire situé plus bas que le nœud AV qui prendra les commandes, ce qui va créer ce qu’on appelle un rythme d’échappement jonctionnel[5].

Évaluation clinique

En cas de bradycardie, il est crucial de compléter une histoire et un examen physique détaillé [Classe I, Opinion d'expert, ACC/AHA/HRS[7]].

Facteurs de risque

Les facteurs de risque pertinents à rechercher sont [8]:

Questionnaire

Au questionnaire:

Revue des systèmes
Systèmes Symptômes à rechercher Étiologies possibles
Digestif Nausées, vomissements, douleur abdominale
  • Hypercalcémie
  • Hyperkaliémie
  • Hypokaliémie[11]
Neurologique Faiblesse musculaire, paresthésies
  • Hyperkaliémie
  • Hypermagnésémie
Faiblesse musculaire
Symptômes neurologiques focaux
  • HTIC secondaire à une lésion intracrânienne
Céphalée
  • SAOS (la céphalée sera matinale)
  • Maladie de Lyme
  • HTIC
Respiratoire Toux et expectorations
Toux sèche
Dyspnée chronique
Infectieux Fièvre, frissons
  • Cause infectieuse
Musculosquelettique et cutané Arthralgies, éruption cutanée
Psychiatrique Fatigue
  • Sarcoïdose[13]
  • Maladie de Lyme
  • SAOS
  • Hypothyroïdie
Idéations suicidaires
  • Intoxication

Examen clinique

La première étape de l'examen clinique est de s'assurer de l'état hémodynamique du patient. Par la suite, chaque système peut être évalué à la recherche de l'étiologie de la bradycardie.

Examen Trouvaille Étiologie
État général Altération de l'état de conscience
  • Possible instabilité hémodynamique
  • SCA
  • Blocs AV
  • Insuffisance cardiaque (choc)
Sommeil
  • Bradycardie sinusale au sommeil
Cachexie
  • HTIC sur néoplasie
  • Anorexie nerveuse
Patient jeune et athlétique
  • Bradycardie de l'athlète
Obésité
  • SAOS
Signes vitaux Température basse
Fièvre
Épisodes de tachycardie
  • Maladie du noeud sinusal
Hypotension
  • SCA
  • Blocs AV
  • Insuffisance cardiaque (choc)
À l'examen cardiaque, porter attention à:
  • la régularité
  • la présence de bruits surajoutés
  • les souffles.
Rythme cardiaque irrégulier
  • Blocs AV
Souffle
Bradycardie au massage du sinus carotidien (toujours éliminer un souffle)
  • Hypersensibilité du sinus carotidien
Examen pulmonaire Crépitants fins ou grossiers prédominants aux bases
  • Insuffisance cardiaque (choc)
examen de l'abdomen
  • Insuffisance cardiaque
extrémités
  • Insuffisance cardiaque
  • Maladie de Lyme
examen neurologique
  • HTIC secondaire à une lésion intracrânienne

Examens paracliniques

ECG

Un ECG 12 dérivations est recommandé pour préciser le diagnostic [Classe I, Niveau B, ACC/AHA/HRS[14]].

Étiologie Critères Image
Maladie du sinus[3]
Pause sinusale
STEMI
STEMI inférieur
NSTEMI
Hyperkaliémie (ou hypermagnésémie)
Hypercalcémie
Hypokaliémie[16]
Intoxication aux béta-bloqueurs
Intoxication aux bloqueurs des canaux calciques
Amiodarone
Inhibiteurs de la cholinestérase
Intoxication à la digoxine[17]
  • Bradycardie sinusale
  • Blocs AV (n'importe quel type)
  • Fibrillation auriculaire lente ou avec bloc complet
  • ESV avec bigéminisme et trigéminisme
  • Signe d'imprégnation digitalique (Ne traduit pas nécessairement une toxicité à la digoxine)[18]:
    1. sous-décalage de ST concave, associé à un intervalle QT normal ou court.
    2. Onde U ample (Signal de basse amplitude après l'onde T)[19]
Blocs auriculoventriculaires[1]
Type Bloc Critères Image Commentaire
Incomplet Bloc AV du 1er degré
Bloc AV du 2e degré (Mobitz 1)
  • Peut-être associé à un infarctus inférieur
Bloc AV du 2e degré (Mobitz 2)
  • Peut-être associé à un infarctus antérieur
  • Relié à un conduction anormale dans le faisceau de His (infranodale)
Complet Bloc AV de haut grade
Bloc AV du 3e degré
  • Rythme ventriculaire régulier
  • Dissociation AV
  • Rythme auriculaire plus rapide que ventriculaire

Laboratoires

  • Bilans sanguins de base:
    • FSC, Créatinine, E+ élargies (Na, K,Cl,Mg,PO4), Gaz veineux, troponines, INR, PTT, TSH
  • Pensez aux étiologies réversibles de bradycardie qui représentent des urgences vitales
    1. Hyperkaliémie
    2. Ischémie myocardique
    3. Intoxication aux BB, BCC & Digoxin
    4. Atteinte SNC (Reflexe Cushing)
  • Épreuve d’effort
    • Pour une suspicion d’une incompétence chronotropique ou la fréquence cardiaque maximale est <80 % de la fréquence cardiaque prédite pour l’âge (220-age). [Classe IIA, Niveau B, ACC/AHA/HRS][3]
    • À suspecter si les symptômes sont présents durant ou après exercice.
  • Bilan additionnel selon suspicion clinique ;
    • TSH/T4, Sérologie Lyme [Classe IIa, Niveau C, ACC/AHA/HRS]
    • Dosage digoxine
    • ANA
  • ETT
    • Indications : Bloc AV de 2e degré Mobitz Type II, Bloc AV haut degré, Bloc AV 3e degré et un Bloc de branche gauche de novo [Classe I, Niveau B, ACC/AHA/HRS][3]
    • S'il y a une suspicion d'atteinte cardiaque structurelle, il est raisonnable de faire un ETT. [Classe IIA, Niveau B, ACC/AHA/HRS]
    • Pas d'indication d'ETT pour les bradycardie sinusale asymptomatique & les bloc AV de 1e degré [Classe III, Niveau B, ACC/AHA/HRS]
  • Si bradycardie symptomatique intermittente possible de faire un monitorage cardiaque (important d’établir une corrélation entre les symptômes et la fréquence cardiaque ou l’anomalie de conduction) [Classe I, Niveau B, ACC/AHA/HRS][3] :
    • Holter (24h à 72h)
    • Moniteur en boucle externe (semaine à mois)
  • Saturométrie nocturne
    • Lorsque suspicion d’apnée du sommeil
  • Étude electrophysiologique (EPS) [Classe IIb, Niveau C, ACC/AHA/HRS]
    • Souvent non nécessaire mais peut être effectué lorsque les tests non invasifs sont non concluants.
    • Peut identifier une dysfonction au nœud sinusal, à la conduction atrio-ventriculaire et localiser anatomiquement n’importe quel défaut de conduction.

Approche clinique

Bradycardie avec pouls[20]

Drapeaux rouges

Drapeaux rouges à immédiatement reconnaitre sont :

  1. Hyperkaliémie
  2. Étiologie médicamenteuse (Béta-bloqueur, BCC)
  3. Atteinte du SNC (⭡ QT, Inversion marqué et symétrique de l'onde T, Onde U proéminente)[21]
  4. Ischémie cardiaque

Traitement

Traitement aigu

Traitement en aigu pour patients hémodynamiquement instables[22] :

Ligne Traitement Commentaires
1ère Atropine 1 mg IV q3-5 minutes (max 3 mg)
  • Peut être efficace pour les blocs AV proximaux, les bradycardies sinusales ou les rythmes jonctionnels.
  • Peu utile pour les blocs AV distaux (Ex : Bloc AV 2e & 3e degré)
  • À éviter chez les patients greffés du cœur ! (Effet paradoxale d’exacerbation de la bradycardie)
2e Cardiostimulateur externe
Dopamine 5-20 mcg/kg/min IV
  • Titrer selon la réponse du patient.
Dopamine 2-10 mcg/min IV
  • Titrer selon la réponse du patient.
3e Isoprotérénol 1 mg IV q3-5 minutes (max 3 mg)
  • À éviter lorsqu’il y a suspicion d’une ischémie myocardique sous-jacente.

Traitement chronique

Les indications pour pacemaker permanent sont [3]:

  • bradycardie sinusale symptomatique avec une corrélation claire entre les symptômes et la bradycardie
  • bradycardie symptomatique induits par une médication indispensable pour le patient.
  • bradycardie symptomatique chez les patients avec fibrillation auriculaire
  • bloc AV acquis du 2e degré mobitz II, Bloc AV haut grade, du 3e degrés non attribuables à des causes réversibles peu importe les symptômes.
  • maladies neuromusculaire associé à des bloc AV du 2e ou 3e degré (dystrophie myotonique musculaire, Kearns-Sayre syndrome, etc.)

Traitement des étiologies

Traitement des étiologies
Étiologie Description
  • Intoxication aux BCC[3]
  • 10 % chlorure de calcium 1-2 g IV q10-20 min ou infusion 0,2-0,4mL/kg/h
  • 10 % gluconate de calcium 3-6 g IV q10-20 min ou infusion 0,6-1,2mL/kg/h
  • Intoxication aux Bêta-bloquants[3]
  • Glucagon 3-10 mg IV avec infusion à 3-5mg/h
  • Infusion d'insuline haute dose bolus de 1 unité/kg puis infusion 0,5 unité/kg/h.
  • Intoxication à la Digoxine[3]
  • Antitoxine digitalique (Digibind) 1 fiole administrée en 30 minutes, répétable.
  • Bloc AV de Haut-grade[3]
  • Bloc AV de 2e degré Mobitz Type II[3]
  • Bloc AV 3e degré[3]
  • En cas d'instabilité hémodynamique, la stimulation transcutanée doit être débutée.
  • Lorsque possible l'installation d'un pacemaker endoveineux temporaire est préférable en attendant la mise en place d'un pacemaker permanent.
  • Hypothermie
  • La mise en place d'un pacemaker transcutané ou endoveineux est généralement requise seulement lorsque la bradycardie persiste malgré les stratégies de réchauffement (Ex : Couverture de réchauffement, soluté intra-veineux chauffé, etc).
  • Les pacemakers transcutané sont plus sécuritaires dans les situations d'hypothermie que les pacemakers endoveineux temporaire, car ces derniers sont théoriquement plus susceptible de provoquer de la fibrillation ventriculaire.[23]

Particularités

La section facultative Particularités ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des particularités concernant la gestion de l'approche clinique pour certaines clientèles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 

Gériatrie

  • Le vieillissement est associé à une augmentation de déposition de tissu fibreux et adipeux autour des structures de conduction cardiaques tels que le noeud sinusal, le noeud AV & les faisceaux de His[24]. De plus, il y a une diminution de la densité des cellules myocardiques au sein du noeud sinusal[25]. Il en résulte donc une augmentation de la prévalence des maladies du noeud sinusale et des Bloc AV chez la population gériatrique.
  • La bradycardie chez les jeunes reste souvent asymptomatique (Ex : les athlètes), alors que chez les personnes âgées, elle est généralement symptomatique et peut dissimuler une cause pathologique sous-jacente. Bien que le rythme cardiaque au repos ne change pas de manière significative avec le vieillissement, la capacité d'augmenter sa fréquence cardiaque avec l'exercice diminue de 0,7 battements/an[24].
  • La bradycardie est un élément central à évaluer dans les syndrome gériatriques courants tels que les chutes/syncope et la polypharmacie. En effet, les bradyarythmies sont des causes sentinelles fréquentes de chute à répétition chez la personne âge. En ce qui concerne la polypharmacie, les doses suprathérapeutiques pour l'âge de béta-bloquant et de bloqueur de canaux calciques sont des causes courantes de bradycardie symptomatique.[26] En effet, la dose efficace de ces médicaments est souvent plus basse à cause de l'augmentation de la biodisponibilités de ces molécules chez cette population[27].
  • Les inhibiteurs de la cholinestérase utilisés dans le traitement symptomatique de certaines type de démence, peuvent avoir un effet bradycardisant par leur effet cholinergique sur le noeud sinusal et auriculoventriculaire[28].

Pédiatrie

La section facultative Pédiatrie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section mentionne les particularités concernant la gestion de l'approche clinique chez une clientèle pédiatrique.
Formats:Texte
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Commentaires:
 
  • Le format texte est à privilégier.
  • Il est possible que l'approche clinique en pédiatrie nécessite une approche clinique complètement différente. Dans ce cas, il est préférable de faire un page d'approche clinique séparée. (ex. Ictère chez le nouveau-né est trop différente de l'Ictère chez la personne âgée)
Exemple:
 

Notes

  1. La définition de FR < 60 bpm est couramment mentionnée. Cependant, des études populationnelles démontrent que des valeurs de < 60 sont très fréquentes et que des pauses sinusales de 2-3 secondes le sont également chez des sujets âgés en santé et des sportifs.
  2. Dissociation complète entre les oreillettes et le ventricule.

Références

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  2. « Approach to Bradycardia | Learn Pediatrics », sur learn.pediatrics.ubc.ca (consulté le 6 janvier 2023)
  3. 3,00 3,01 3,02 3,03 3,04 3,05 3,06 3,07 3,08 3,09 3,10 3,11 3,12 3,13 et 3,14 (en) Fred M. Kusumoto, Mark H. Schoenfeld, Coletta Barrett et James R. Edgerton, « 2018 ACC/AHA/HRS Guideline on the Evaluation and Management of Patients With Bradycardia and Cardiac Conduction Delay: A Report of the American College of Cardiology/American Heart Association Task Force on Clinical Practice Guidelines and the Heart Rhythm Society », Circulation, vol. 140, no 8,‎ (ISSN 0009-7322 et 1524-4539, DOI 10.1161/CIR.0000000000000628, lire en ligne)
  4. Steven K. Carlson, Akash R. Patel et Philip M. Chang, « Bradyarrhythmias in Congenital Heart Disease », Cardiac Electrophysiology Clinics, vol. 9, no 2,‎ , p. 177–187 (ISSN 1877-9190, PMID 28457234, DOI 10.1016/j.ccep.2017.02.002, lire en ligne)
  5. 5,0 5,1 5,2 et 5,3 « MODELISATION DE L’ACTIVITE ELECTRIQUE DU COEUR ET DE SA REGULATION PAR LE SYSTEME NERVEUX AUTONOME », theses.hal.science (consulté le 10 novembre 2022)
  6. 6,0 et 6,1 « physiologie cardio-vasculaire », sur facmed.univ-constantine3.dz (consulté le 10 novembre 2022)
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  10. Yamama Hafeez et Shamai A. Grossman, Sinus Bradycardia, StatPearls Publishing, (PMID 29630253, lire en ligne)
  11. 11,0 et 11,1 Danny Castro et Sandeep Sharma, Hypokalemia, StatPearls Publishing, (PMID 29494072, lire en ligne)
  12. « Infections par Legionella (Maladie du légionnaire) », sur Merck Manual
  13. 13,0 13,1 et 13,2 Monika Gawałko, Paweł Balsam, Piotr Lodziński et Marcin Grabowski, « Cardiac Arrhythmias in Autoimmune Diseases », Circulation Journal, vol. advpub,‎ , CJ–19–0705 (DOI 10.1253/circj.CJ-19-0705, lire en ligne)
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  15. Jean-Philippe Collet, Holger Thiele, Emanuele Barbato et Olivier Barthélémy, « 2020 ESC Guidelines for the management of acute coronary syndromes in patients presenting without persistent ST-segment elevation », European Heart Journal, vol. 42, no 14,‎ , p. 1289–1367 (ISSN 1522-9645, PMID 32860058, DOI 10.1093/eurheartj/ehaa575, lire en ligne)
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