« Utilisatrice:Dania Sakr/Brouillons/Urticaire » : différence entre les versions
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===Facteurs de risque=== | ===Facteurs de risque=== | ||
{{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Facteurs de risque}}Les facteurs de risque sont : | {{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Facteurs de risque}}Les facteurs de risque sont : | ||
*{{Facteur de risque | nom = | |||
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* <sup></sup>la {{Facteur de risque|nom=Utilisateur:Danaé Audet/Brouillons/Rhinite allergique|affichage=rhinite allergique}}. | |||
=== | ===Questionnai<sup></sup>re=== | ||
{{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Questionnaire}}Les symptômes de l'urticaire sont | {{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Questionnaire}}Les symptômes de l'urticaire sont | ||
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**de nouvelles lésions peuvent apparaitre | **de nouvelles lésions peuvent apparaitre | ||
**généralement pancorporelle | |||
*le {{Symptôme | nom = Prurit cutané (symptôme)|affichage=prurit}} | *le {{Symptôme | nom = Prurit cutané (symptôme)|affichage=prurit}} | ||
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L'urticaire est parfoit accompagné d'angioedème | L'urticaire est parfoit accompagné d'angioedème | ||
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*... | *... |
Version du 14 juin 2023 à 21:10
Maladie | |
Caractéristiques | |
---|---|
Signes | Plaques, Papules, Anaphylaxie, Température corporelle élevée |
Symptômes |
Rhinorrhée, Douleur, Conjonctivite, Dyspnée , Brûlure, Angio-œdème, Vertige , Céphalée , Piqûre, Arthralgie , ... [+] |
Diagnostic différentiel |
Érysipèle, Dermatomyosite, Dermatite de contact, Érythème polymorphe, Dermatite atopique, Syndrome de Sjögren, Polycythémie vraie, Syndrome de Sweet, Lupus érythémateux systémique, Cryoglobulinémie, ... [+] |
Informations | |
Wikidata ID | Q187440 |
|
Urticaire, angio-oedème (97-2)
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire. |
Exemple: | L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice. |
L'urticaire est une éruption cutanée composée de papules ou plaques cutanées érythémateuses, prurigineuses, migratrices et délimitées. L'urticaire peut être aigu ou chronique.
Moins de 5% des cas durent plus de six semaines; on parle alors d'urticaire chronique.[1]
.[1] Dans la moitié des cas, la cause reste inconnue. [1] Les facteurs de risque comprennent des conditions telles que rhume des foins ou asthme. Patch test ing peut être utile pour déterminer l'allergie. [1]
Les ruches ont été décrites au moins depuis Hippocrate. [2] Le terme urticaire vient du latin urtica signifiant «ortie» .[3]
Épidémiologie
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution. |
Exemple: | La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an. |
Environ 20% de la population sera atteinte d'urticaire.[1] Les hommes sont plus souvent atteints que les femmes. Environ 3% des cas deviendront chroniques.[2] Les cas aigus sont plus fréquents chez les enfants tandis que les cas chroniques sont plus fréquents chez l'adulte. [1]
Étiologie
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies. |
Formats: | Texte, Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Étiologie |
Commentaires: |
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Exemple: | Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
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Les causes les plus communes d'urticaire sont présentées dans le tableau suivant. [4][5] Il faut toutefois noter que la cause d'un épisode d'urticaire aigue n'est pas identifiable dans environ 50% des cas (urticaire idiopathique). [6]
Mécanisme | Étiologie |
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Infections | |
Réaction allergique médiée par IgE |
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Dégranulation mastocytaire |
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Stimuli physiques |
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Maladies systémiques/auto-immunes |
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Autres |
L'urticaire aigue et chronique ont des étiologies différentes
urticaire aigue | urticaire chronique | ||
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Physiopathologie
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie. |
Exemple: | Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique. |
L'urticaire peut être aigue L'éruption cutanée liée à l'urticaire résulte ultimement d'une libération, immunitaire ou via d'autres mécanismes, de substances vasoactives; notamment l'histamine, la bradykinine et la kallikréine secondairement à la dégranulation de cellules immunitaires (mastocytes, éosinophiles et basophiles) situées dans le derme. Ces substances provoquent une vasodilatation locale, une attraction chimiotactique et une augmentation de la perméabilité capillaire ce qui cause la formation d'œdème intradermique. [1]
Pour plusieurs pathologies les mécanismes menant à cette libération de substances ne sont pas clairs.[7] On retrouve cependant :
Phénomènes immunologiques[1][8][9]
Réaction d'hypersensibilité médiée par IgE
Dans les réactions d'hypersensibilité immédiate (type I), une phase de sensibilisation est nécessaire durant laquelle les allergènes seront présentés aux lymphocytes T par des cellules présentatrices d'antigène. Les lymphocytes T vont ensuite signaler aux lymphocytes B de produire des immunoglobulines E (IgE) antigène-spécifiques qui vont venir se fixer sur leurs récepteurs au niveau des cellules immunitaires. Ensuite, lors d'un nouveau contact avec l'allergène, ce dernier se fixe à ces IgE et va entrainer l'agrégation des cellules immunitaires (voir schéma ci-dessous). Par la suite, il se produit la dégranulation des cellules c'est-à-dire la libération des substances vasoactives mentionnées précédemment. Cette réaction peut être localisée ou bien systémique (anaphylaxie).
Activation du complément
Les différentes voies d'activation du complément en réaction à la présence d'un pathogène ou antigène, clivent et remodèlent les protéines. Les fractions C3a et C5a disposent d'un puissant pouvoir de dégranulation.
Phénomènes non-immunologiques[1][8][9]
Dégranulation directe
Certaines molécules, comme les opiacés et la vancomycine entre autres, sont capables d'indure une dégranulation directe des mastocytes tissulaires ou basophiles circulants et ne passent donc pas par les mécanismes immunitaires, ce qui explique l'absence de sensibilisation préalable.
Scombrotoxisme[10]
La consommation de la chaire de certains poissons (thon, maquereau, sardine, anchois entre autres) mal conservée ou en trop grande quantité peut causer l'urticaire. Ces poissons contiennent une quantité importante d'histidine qui est dégradée par certaines bactéries en histamine causant alors les symptômes.
"Hypersensibilité histamine"/Sur relache
Urticaire chronique (ABC OF DERMATO)
(Les lésions cutanées de la maladie urticarienne sont causées par une réaction inflammatoire de la peau, provoquant une fuite des capillaires dans le derme, et entraînant un œdème qui persiste jusqu'à ce que le liquide interstitiel soit absorbé dans les cellules environnantes.
L'urticaire est causée par la libération de histamine et d'autres médiateurs de l'inflammation (cytokines) des cellules de la peau. Ce processus peut être le résultat d'une réaction allergique ou non allergique, différant par le mécanisme de déclenchement de la libération d'histamine.
Présentation clinique
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
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Exemple: |
(Aucun texte)
(Texte)
(Texte)
(Texte) |
Facteurs de risque
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc. |
Formats: | Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Facteur de risque |
Commentaires: |
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Exemple: | Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
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Les facteurs de risque sont :
Questionnaire
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients. |
Formats: | Liste à puces |
Balises sémantiques: | Symptôme, Élément d'histoire |
Commentaires: |
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Exemple: | Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :
Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :
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Les symptômes de l'urticaire sont
- une éruption cutanée
- chaque lésion disparait après 24 h
- de nouvelles lésions peuvent apparaitre
- généralement pancorporelle
- le prurit
- une sensation de brûlure, piqure
L'urticaire est parfoit accompagné d'angioedème
Welts (zones en relief entourées d'une base rouge) de l'urticaire peut apparaître n'importe où sur la surface de la peau. Que le déclencheur soit allergique ou non, une libération complexe de médiateurs inflammatoires, y compris histamine des mastocytes cutanés, entraîne une fuite de liquide des vaisseaux sanguins superficiels. Les soudures peuvent être de taille précise ou de plusieurs pouces de diamètre. Souvent, les plaques d'éruptions cutanées se déplacent.[1]
Environ 20% des personnes sont touchées.[1] Les cas de courte durée surviennent également chez les hommes et les femmes, durant quelques jours et sans laisser de changements cutanés durables.[1] Les cas de longue durée sont plus fréquents chez les femmes.[2] Cas de courte durée sont plus fréquents chez les enfants tandis que les cas de longue durée sont plus fréquents chez ceux qui sont d'âge moyen.[2] Moins de 5% des cas durent plus de six semaines.[1] La condition se reproduit fréquemment.[1] Dans la moitié des cas d'urticaire, le cause reste inconnue. [1]
L'œdème de Quincke est une affection connexe (également de causes allergiques et non allergiques), bien que les fuites de liquide proviennent de vaisseaux sanguins beaucoup plus profonds dans les couches sous-cutanées ou sous-muqueuses. Les ruches individuelles qui sont douloureuses, durent plus de 24 heures ou laissent une ecchymose à mesure qu'elles guérissent sont plus susceptibles d'être une affection plus grave appelée vascularite urticarienne. L'urticaire causée par des caresses cutanées (souvent d'apparence linéaire) est due à une affection bénigne appelée urticaire dermatographique.
Examen clinique
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique. |
Formats: | Liste à puces |
Balises sémantiques: | Examen clinique, Signe clinique |
Commentaires: |
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Exemple: | L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
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Examens paracliniques
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie. |
Formats: | Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Examen paraclinique, Signe paraclinique |
Commentaires: |
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Exemple: | Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
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- Investigation 1: signe paraclinique 1, signe paraclinique 2, ...
- Investigation 2: signe paraclinique 3, signe paraclinique 4, ...
- ...
Approche clinique
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement. |
Formats: | Texte, Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
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Exemple: | |
Diagnostic
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent). |
Formats: | Texte, Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
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Exemple: | L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.
Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :
|
Le diagnostic est généralement basé sur l'apparence.[1] La cause de l'urticaire chronique peut rarement être déterminée.[12] Patch test ing peut être utile pour déterminer l'allergie.[1] Dans certains cas, un test d'allergie intensif régulier sur une Une longue période de temps est demandée dans l'espoir d'obtenir de nouvelles informations.
Aiguë contre chronique
- l'urticaire est définie comme la présence de évanescente papules qui disparaissent complètement en six semaines.[13] L'urticaire aiguë devient évidente quelques minutes après que la personne a été exposée à un allergène. L'épidémie peut durer plusieurs semaines, mais les ruches ont généralement disparu en six semaines. En règle générale, les ruches sont une réaction à la nourriture, mais dans environ la moitié des cas, le déclencheur est inconnu. Les aliments courants peuvent en être la cause, ainsi que les piqûres d'abeilles ou de guêpes, ou le contact cutané avec certains parfums. L'infection virale aiguë est une autre cause fréquente d'urticaire aiguë (virale exanthème). Les causes moins courantes de l'urticaire comprennent la friction, la pression, les températures extrêmes, l'exercice et la lumière du soleil.
- urticaire (urticaire ordinaire) [14] est définie comme la présence de papules évanescentes qui persistent plus de six semaines.[13] Certains des cas chroniques les plus graves ont duré plus de 20 ans. Une enquête a indiqué que l'urticaire chronique durait un an ou plus chez plus de 50% des personnes atteintes et 20 ans ou plus chez 20% d'entre elles.[15]
Les ruches aiguës et chroniques sont visuellement impossibles à distinguer.
Conditions associées
Angioedème
L'œdème de Quincke est similaire à l'urticaire, [16] mais dans l'œdème de Quincke, le gonflement se produit dans une couche inférieure du derme que dans l'urticaire, [17] ainsi que dans le sous-cutané. Ce gonflement peut se produire autour de la bouche, des yeux, de la gorge, de l'abdomen ou à d'autres endroits. L'urticaire et l'œdème de Quincke surviennent parfois ensemble en réponse à un allergène et sont préoccupants dans les cas graves, car l'angio-œdème de la gorge peut être mortel.
Angioedème vibratoire
Cette forme très rare d'angio-œdème se développe en réponse au contact avec des vibrations. Dans l'œdème de Quincke vibratoire, les symptômes se développent dans les deux à cinq minutes suivant le contact avec un objet vibrant et s'atténuent après environ une heure. Les personnes atteintes de ce trouble ne souffrent ni de dermographisme ni d'urticaire à la pression. L'angio-œdème vibratoire est diagnostiqué en tenant un dispositif vibrant tel qu'une machine vortex de laboratoire contre l'avant-bras pendant quatre minutes. Un gonflement rapide de tout l'avant-bras s'étendant dans le haut du bras est également noté plus tard. Le traitement principal est d'éviter les stimulants vibratoires. Les antihistaminiques se sont également avérés utiles.
Diagnostic différentiel
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic. |
Formats: | Liste à puces |
Balises sémantiques: | Diagnostic différentiel |
Commentaires: |
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Exemple: | Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
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Le diagnostic différentiel regroupe plusieurs pathologies qui peuvent, durant certaines phases de leur évolution ou via leur atteinte cutanée isolée, mimer l'uritcaire :
- Dermatite de contact
- Dermatite atopique
- Érythème polymorphe
- Exanthémes médicamenteux et viraux
- Syndrome de Sweet
- Pemphigoïde bulleuse
Traitement
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section décrit le traitement de la maladie. |
Formats: | Liste à puces, Tableau, Texte |
Balises sémantiques: | Traitement, Traitement pharmacologique |
Commentaires: |
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Exemple: | |
La première ligne de traitement sont les antihistaminiques H1. Les anti-H1 de première génération, comme la diphenhydramine ou l'hydroxyzine (Atarax®) PO, sont efficaces, mais causent une sédation ce qui limite leur utilisation. Les anti-H1 de deuxième génération, comme la loratadine, la cétirizine ou la desloratadine bloquent sélectivement les récepteurs H1 périphériques ce qui réduit leur effet sédatif et anticholinergique.
Les corticostéroïdes sont indiqués dans les cas réfractaires aux antihistaminiques. Leur utilisation à long terme est déconseillée à cause des nombreux effets secondires (la suppression surrénalienne, la prise de poids, l'ostéoporose, l'hyperglycémie, etc.) et le risque de résistance.
Ex. prednisone 40 mg par jour pour 7 jours
Les antagonistes des récepteurs des leucotriènes comme le montélukast et le zafirlukast peuvent être utilisés comme traitement d'appoint ou en monothérapie. Cette classe est particulièrement efficace pour les cas d'urticaire induit par les AINS. [18][19]
1ère ligne: anti-h1 de 2e génération
2e ligne: optimiser la dose de l'anti-h1, ajouter un 2e antihistaminique, antagoniste des leucotriènes
3e ligne: hydroxyzine ou doxépine
4e ligne: anti-inflammatoires, immunosuppresseurs ou anticorps monoclonal
Cyclosporine (3–5 mg/kg/day)
Ce traitement nécessite le suivi de la pression artérielle, la fonction rénale et la concentration sérique.
Case reports and other small clinical trials have also found the following treatments to be effective for select patients with severe, refractory, chronic urticaria: sulfasalazine; the antibacterial, dapsone; the anti-IgE monoclonal antibody, omalizumab; and intravenous immunoglobulin G (IVIG) [4]. However, the efficacy of these agents in the treatment of chronic urticaria needs to be confirmed in large, randomized controlled trials.
- la dapsone, la sulfasalazine et l'hydroxychloroquine, l'omalizumab et les immunosuppresseurs, immunoglobulines IV (IVIG)
- La dapsone est un agent antimicrobien sulfone et on pense qu'elle supprime l'activité des prostaglandines et des leucotriènes. Il est utile dans les cas réfractaires au traitement [24] et est contre-indiqué chez les personnes présentant un déficit en G6PD. On pense que la sulfasalazine, un dérivé du 5-ASA, modifie la libération d'adénosine et inhibe la dégranulation des mastocytes médiée par les IgE, la sulfasalazine est une bonne option pour les personnes souffrant d'anémie qui ne peuvent pas prendre de dapsone. L'hydroxychloroquine est un antipaludique qui supprime les lymphocytes T. Il a un faible coût, mais il prend plus de temps que la dapsone ou la sulfasalazine pour agir.
Omalizumab a été approuvé par la FDA en 2014 pour les personnes atteintes d'urticaire de 12 ans et plus souffrant d'urticaire chronique. C'est un anticorps monoclonal dirigé contre les IgE. Une amélioration significative du prurit et de la qualité de vie a été observée dans un essai de phase III, multicentrique et contrôlé randomisé.[25]
Les immunosuppresseurs utilisés pour l'UC comprennent la cyclosporine, le tacrolimus, le sirolimus et le mycophénolate. Les inhibiteurs de la calcineurine, tels que la cyclosporine et le tacrolimus, inhibent la réactivité des cellules aux mastocytes et inhibent l'activité des lymphocytes T. Certains experts les préfèrent pour traiter les symptômes sévères.[26] Le sirolimus et le mycophénolate ont moins de preuves de leur utilisation dans le traitement de l'urticaire chronique, mais des rapports ont montré leur efficacité. en raison de leur potentiel d'effets indésirables graves.
Suivi
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section traite du suivi de la maladie. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
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Exemple: | |
Les patients doivent être avisés de ne
Complications
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section traite des complications possibles de la maladie. |
Formats: | Liste à puces, Texte |
Balises sémantiques: | Complication |
Commentaires: |
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Exemple: | Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
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En l'absence de réaction allergique grave associée, les complications de l'urticaire se résument aux effets délétères liés au prurit : [27][28]
- excoriation des zones affectées
- infection des tissus mous
- Troubles du sommeil
- Effets sur anxiété/estime de soi etc. ?
Évolution
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | |
Exemple: | La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an. |
- L'urticaire chronique peut être difficile à traiter et entraîner une invalidité importante. Contrairement à la forme aiguë, 50 à 80% des personnes atteintes d'urticaire chronique n'ont pas de déclencheurs identifiables. Mais 50% des personnes atteintes d'urticaire chronique connaîtront une rémission dans un délai d'un an.[29] Dans l'ensemble, le traitement est orienté vers la gestion des symptômes. Les personnes souffrant d'urticaire chronique peuvent avoir besoin d'autres médicaments en plus des antihistaminiques pour contrôler les symptômes. Les personnes qui souffrent d'urticaire avec angio-œdème nécessitent un traitement d'urgence car il s'agit d'une maladie potentiellement mortelle.
Prévention
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent). |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | |
Exemple: | La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
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Notes
- ↑ Les médicaments les plus fréquemment associés à l'urticaire sont les antibiotiques (pénicillines et sulfamidés), les anti-inflammatoires non stéroïdiens, l'acide acétylsalicylique (ASA) et les opiacés.
Références
- Cette page a été modifiée ou créée le 2021/01/04 à partir de Hives (997429287), écrite par les contributeurs de Wikipedia (en) et partagée sous la licence CC-BY-SA 4.0 international. Le contenu original est disponible à https://en.wikipedia.org/wiki/Hives.
- ↑ 1,00 1,01 1,02 1,03 1,04 1,05 1,06 1,07 1,08 1,09 1,10 1,11 1,12 1,13 1,14 1,15 et 1,16 L Jafilan et C James, « Urticaria and Allergy-Mediated Conditions. », Primary Care, vol. 42, no 4, , p. 473–83 (PMID 26612369, DOI 10.1016/j.pop.2015.08.002)
- ↑ 2,0 2,1 2,2 et 2,3 (en) Christopher Griffiths, Jonathan Barker, Tanya Bleiker, Robert Chalmers et Daniel Creamer, Rook's Textbook of Dermatology, 4 Volume Set, 9, (ISBN 9781118441176, lire en ligne), p. Chapter 42.3
- ↑ (en) A Dictionary of Entomology, CABI, (ISBN 9781845935429, lire en ligne), p. 1430
- ↑ « Hives » [archive du ]
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