Utilisateur:Isabelle Thibault/Brouillons/Toux chronique (approche clinique)
Approche clinique | |
Caractéristiques | |
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Symptômes discriminants | Dyspnée (symptôme), Toux productive, Expectorations, Durée, Hémoptysies (signe clinique), Infection des voies respiratoires supérieures (IVRS), Couleur de l'expectorat, Température corporelle élevée (signe clinique) |
Signes cliniques discriminants |
Oedème des membres inférieurs, Pression veineuse jugulaire, Crépitants, Uvéite, Sibilances (signe clinique), Wheezing, Thorax en tonneau, Atopie, Écoulement nasal postérieur, De l'hippocratisme digital, ... [+] |
Examens paracliniques |
Protéine C réactive, Gaz artériel, Radiographie pulmonaire, Échocardiographie, Néoplasie pulmonaire, Atélectasie, Bronchoscopie, Culture, Sérologie, Biopsie, ... [+] |
Drapeaux rouges |
Drapeau rouge |
Informations | |
Terme anglais | Chronic cough |
Spécialités | Pneumologie, infectiologie, cardiologie |
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Toux (18)
La toux est une action réflexe du tractus respiratoire permettant de dégager les voies respiratoires supérieures. C’est un symptôme fréquent et peu spécifique.[1][2][3] La toux peut être aiguë, subaiguë ou chronique[3]:
- une toux aiguë < 3 semaines
- une toux subaiguë entre 3 et 8 semaines
- une toux chronique > 8 semaines.
Cette page concerne la toux chronique et la toux subaiguë, pour la toux aiguë, voir Toux aiguë (approche clinique).
Épidémiologie
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Description: | Cette section contient les données épidémiologiques sur le sujet de la page (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion homme:femme, régions où la prévalence est la plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
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Exemple: | Les saignements digestifs bas représentent 20% à 30% de tous les patients présentant des saignements GI majeurs. L'HDB est moins fréquente que les hémorragies digestives hautes (HDH) avec une prévalence de 20 à 27 cas par 100 000 vs 50 à 150 cas par 100 000. |
La toux est une des raisons de consultation les plus fréquentes en médecine familiale. Les patients aux prises avec de la toux chronique représentent environ 1-38% des consultations respiratoires.[2] On estime qu’au niveau mondial, le nombre de personnes souffrant de toux chronique pourrait atteindre 12 %. Des données récentes canadiennes estiment que ce chiffre pourrait être encore plus élevé et touche environ 16 % des Canadiens de 45 à 85 ans[4].
Étiologies
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Description: |
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Formats: | Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Étiologie |
Commentaires: |
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Exemple: | Les étiologies de l'hémorragie digestive basse sont :
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Les causes les plus courantes de la toux chronique sont les suivantes[5][6][7]:
- les atteintes pulmonaires:
- le tabagisme
- une toux post-infectieuse (cause subaiguë)
- une tracheobronchite, une bronchopneumonie, une pneumonie virale, un bronchite aiguë sur chronique, la coqueluche
- l'asthme
- la MPOC et bronchite chronique
- un cancer du poumon (ou autre tumeur bénigne) ou une métastase pulmonaire[note 1]
- les maladies reliées à la pollution de l'air, à l'exposition à l'amiante, à asbestos, le mésothéliome,la bérylliose, la byssinose, la pneumoconiose du charbon, sillicose, etc.)[8][note 2]
- une bronchiectasie
- un abcès
- les maladies granulomateuses: tuberculose, sarcoïdose
- une maladie pulmonaire professionnelle[note 2]
- une fibrose pulmonaire
- une maladie interstitielle
- les médicaments IECA ou sitagliptine
- un corps étranger
- une toux post IVRS
- les atteintes non-pulmonaires:
- le reflux gastro-œsophagien (RGO) [note 3]
- l'écoulement nasal postérieur (STOVAS)
- l'insuffisance cardiaque
- l'apnée du sommeil[note 4]
- une atteinte ORL
- une irritation du conduit auditif externe, atteinte du larynx ou pharynx[9]
- une artérite à cellules géantes
- une toux chronique idiopathique ou réfractaire.
Physiopathologie
Le réflexe de toux peut être provoqué par de nombreux stimuli inflammatoires ou mécaniques.
La toux est initiée suite à l’activation des nerfs sensitifs des voies respiratoires. Il existe plusieurs types de neurorécepteurs sensoriels des voies respiratoires qui détectent des stimuli suite à l’inhalation d’irritants chimiques ou mécaniques. Les voies afférentes de ces récepteurs convergent via le nerf vague jusqu’au noyau solitaire situé dans le tronc cérébral.[10]
Le noyau solitaire est connecté aux neurones respiratoires situés dans les centres respiratoires qui coordonnent la réponse efférente de la toux. Cette réponse est conduite via les motoneurones jusqu’aux muscles respiratoires, au larynx et aux bronches enclenchant ainsi une toux[11]
La physiopathologie des toux chroniques n’est pas encore totalement élucidée; après un épisode aigu initiateur, le passage à la chronicité résulterait d’une sensibilisation périphérique ou centrale du réflexe tussigène avec réponse à de nombreux stimuli habituellement bien tolérés.[12]
Évaluation clinique
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Description: | Cette section contient les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique. Elle détaille les différents items qu'un clinicien doit rechercher lorsqu'il évalue le patient. |
Formats: | Texte |
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Exemple: |
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Facteurs de risque
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Description: | Cette section contient les principaux facteurs de risque discriminants à l'histoire. Ces facteurs de risques servent à discriminer une étiologie par rapport à une autre ou une complication potentielle. |
Formats: | Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Facteur de risque discriminant |
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Exemple: | Les facteurs de risque à rechercher chez les patients qui se présentent avec céphalée sont :
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Il importe de rechercher certains facteurs de risque à l'histoire tels que :
- des antécédents de tabagisme
- d'exposition professionnelle
- les antécédents de maladie pulmonaire (fibrose, bronchiectasie, maladie interstitielle, maladie granulomateuse)
- les maladies autoimmunes notamment la polyarthrite rhumatoïde, la sclérodermie, la dermatomyosite et la polymyosite, la maladie mixte du tissu conjonctif, le syndrome de sjögren et la sarcoïdose, peuvent provoquer une maladie pulmonaire interstitielle.
- les conditions médicales connues (ex. asthme[note 5], MPOC, bronchite chronique[note 6], allergie)
- la prise de médicaments (ex. IECA, sitagliptine)
- des antécédents d'infection (infection respiratoire, abcès, IVRS)
- l'irritation des récepteurs de la toux via un processus inflammatoire continu secondaire à l'infection amène généralement de la toux subaiguë.[13]
- des cancer du poumon ou autre cancer[note 1]
- des atteintes non-pulmonaires:
- le reflux gastro-œsophagien (RGO)
- l'écoulement nasal postérieur (STOVAS)
- les rhinites allergiques, les rhinites non allergiques, les irritations des voies aériennes postérieures de longue date peuvent produire de la toux.
- les problèmes cardiaques: insuffisance cardiaque
- l'apnée du sommeil[note 4]
- une atteinte ORL[14]
- une artérite à cellules géantes (voix rauque, mal de gorge, symptômes respiratoires associés à claudication intermittente de la mâchoire et douleurs à la palpation des artères temporales)
- une toux chronique idiopathique ou réfractaire
Questionnaire
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Description: |
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Formats: | Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Questionnaire, Symptôme discriminant, Élément d'histoire discriminant |
Commentaires: |
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Exemple: | Chez les patients atteints de dyspnée aiguë, les symptômes à rechercher sont :
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Questionnaire
Les éléments essentiels de la séance d'anamnèse devraient inclure:[15]
- les informations en lien avec les habitudes de vie:
- le tabagisme, qui peut aussi entraîner une toux secondaire à MPOC ou à un cancer
- la perte de poids, qui peut indiquer le potentiel de néoplasie, associés aux autre symptômes B
- la profession, qui suggère une possible exposition à des matières dangereuses
- la présence d'une infection des voies respiratoires supérieures (IVRS)
- les éléments du PQRST :
- les facteurs aggravants, comme une toux qui a tendance à s'aggraver le soir ou en position allongée[16][17] peut suggérer un RGO
- les facteurs de soulagement
- la variation diurne, un écoulement postérieur doit être suspecté, la toux sera pire le matin généralement
- une toux productive ou non, indiquant possible maladie pulmonaire suppurée
- une toux avec expectorations ou non
- la couleur de l'expectorat, qui peut être suggestif d'une infection
- des hémoptysies, symptômes importants laissant suspecter un processus de néoplasie, d'embolie pulmonaire[13] ou de maladie vasculaire
- une fièvre associée, en lien avec une infection sous-jacente
- une dyspnée associée, suggère un problème de parenchyme pulmonaire ou de maladie pulmonaire suppurée
- des détails sur la durée,
- l'utilisation d'inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (IECA)
- de la douleur à la poitrine, suggérant des arythmies ou de l'asthme[13]
Examen clinique
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Description: |
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Formats: | Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Examen clinique, Signe clinique discriminant |
Commentaires: |
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Exemple: | Chez les patients atteints d'une dyspnée aiguë, les éléments suivants sont à rechercher à l'examen clinique :
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À l'examen physique, il est pertinent de rechercher les éléments suivants :
- à l'examen cardiaque :
- un oedème des membres inférieurs, indique une insuffisance cardique potentiellement décompensée
- une TVC augmentée qui évoque une insuffisance cardiaque ou une embolie pulmonaire
- à l'examen pulmonaire :
- un wheezing est caractéristique d'une lésion intrathoracique comme de l'asthme ou de la trachéomalacie
- des crépitants, pouvant laisser suspecter une infection pulmonaire, une surcharge ou maladie interstitielle
- des sibilances, en présence d'asthme, d'EAMPOC ou même insuffisance cardiaque
- un thorax en tonneau, de l'hippocratisme digital, une augmentation du temps expiratoire, peuvent évoquer une MPOC
- à l'examen de la tête et du cou:
- un écoulement nasal postérieur, de l'atopie peuvent être caractéristiques d'un STOVAS
- la présence d'uvéite, de problème dermatologique, de douleur à la palpation de l'artère temporale peuvent laisser suspecter une maladie autoimmune, une maladie des tissus conjonctifs, une artérite temporale
Examens paracliniques
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Description: | Cette section décrit les examens paracliniques (ex. laboratoires, imageries, etc.) à effectuer pour cette approche clinique. Les signes paracliniques discriminants orientant vers une étiologie particulière ou une complication sont listés. |
Formats: | Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Examen paraclinique, Signe paraclinique discriminant |
Commentaires: |
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Exemple: | Les examens paracliniques suggérés dans le cas d'une céphalée aiguë sont :
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Une toux chronique peut nécessiter des mesures diagnostiques pouvant inclure[13]:
- une radiographie pulmonaire pour éliminer une tumeur, des métastases, des épanchements pleuraux, de la fibrose , des corps étrangers
- des tests de la fonction pulmonaire pour éliminer l'asthme, la MPOC
- un gaz artériel pour les patients avec VEMS < à 40% ou si la SaO2 est < à 90%
- une bronchoscopie, si suspicion de néoplasie ou corps étranger et pour exclure toute lésion des cordes vocales, masse endotrachéale ou masse endobronchique
- une culture, une protéine C réactive ou sérologie pour coqueluche si suspectée
- une biopsie et/ou un lavage bronchoalvéolaire pour obtenir des échantillons pour une analyse microbiologique et cytologique
- un TDM thoracique pour éliminer une néoplasie pulmonaire, une atélectasie ou maladie interstitielle
- une échocardiographie peut être indiquée pour les tests de la fonction cardiaque
- des études gastro-oesophagiennes peuvent être indiquées, y compris des évaluations de la parole et de la déglutition
- Les patients sans antécédent et avec un examen physique normal ainsi qu'une radiographie pulmonaire et une spirométrie normales peuvent nécessiter une référence à un pneumologue pour une évaluation plus approfondie
- si la toux survient principalement la nuit et que le patient présente des signes et des symptômes évoquant une apnée obstructive du sommeil, on peut demander une étude du sommeil pour confirmer le diagnostic et traiter l'apnée du sommeil en conséquence.
Drapeaux rouges
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Description: |
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Formats: | Liste à puces |
Balises sémantiques: | Drapeau rouge |
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Exemple: | Les drapeaux rouges des patients qui se présentent en céphalée aiguë sont :
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Les drapeaux rouges à surveiller chez les patients qui présentent cette situation clinique sont[18] :
- des hémoptysies qui peuvent évoquer la présence de néoplasie, de bronchite ou bronchiectasie, de trauma, de corps étranger, de pneumonie, d'embolie pulmonaire, d'infarctus pulmonaire, de malformation artérioveineuse, d'anévrisme de l'artère pulmonaire, d'hypertension pulmonaire, d'abcès, de tuberculose, de mycétome ou d'aspergillome, de contusion pulmonaire, du syndrome de Goodpasture, de maladie vasculaire ou de collagénose (granulomatose avec polyangéite, polyangéite microscopique, lupus) de syndrome des antiphospholipides, etc.
- une histoire de tabagisme > 20 paquets année qui peut évoquer la présence de néoplasie, de MPOC, d'asthme, de pneumonie
- une dyspnée associée qui peut évoquer une MPOC grave ou exacerbée, de l'asthme, une atteinte interstitielle, une insuffisance cardiaque, un pneumothorax, un épanchement pleural, etc.
- une dysphonie, suggérant une atteinte du nerf récurrent laryngé secondaire à une néoplasie
- des symptômes B, suggérant un métabolisme néoplasique
- des expectorations copieuses
- des pneumonies récurrentes
- une radiographie pulmonaire anormale
Approche clinique
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Description: |
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Formats: | Liste à puces, Tableau, Texte |
Balises sémantiques: | |
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Exemple: | |
Traitement
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Description: | La section contient la prise en charge générale qui s'applique à l'ensemble des étiologies. Que doit-on faire avant que la cause n'ait été clairement établie ? Des traitements généraux doivent-ils être amorcés avant l'identification de la cause ? Comment traite-t-on la symptomatologie du patient ? Quelles sont les indications d'hospitalisation ? Quand doit-on demander une consultation ? Un résumé de la prise en charge de certaines étiologie clés peut aussi être résumée avec un lien vers la page dédiée à la maladie. |
Formats: | Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Traitement, Traitement pharmacologique (seulement pour le traitement des symptômes, pas pour les étiologies) |
Commentaires: |
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Exemple: | |
Suivi
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Description: | Cette section traite du suivi de l'approche clinique |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
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Exemple: | |
Complications
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Description: | Cette section traite des complications possibles de l'approche clinique classées en ordre de probabilité (si possible). |
Formats: | Liste à puces, Texte |
Balises sémantiques: | Complication |
Commentaires: |
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Exemple: | |
Les complications en lien avec cette présentation clinique sont :
- la complication 1
- la complication 2
- ...
Consultez la bannière ci-dessus pour plus de détails.
Particularités
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Description: | Cette section traite des particularités concernant la gestion de l'approche clinique pour certaines clientèles. |
Formats: | Texte |
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Commentaires: | |
Exemple: | |
Gériatrie
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Description: | Cette section mentionne les particularités concernant la gestion de l'approche clinique chez une clientèle gériatrique. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
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Exemple: | |
Pédiatrie
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Description: | Cette section mentionne les particularités concernant la gestion de l'approche clinique chez une clientèle pédiatrique. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
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Exemple: | |
Notes
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Description: | Dans la section notes se trouve toutes les notes de bas de page (références du groupe "note" [ou autres]). |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | Pour ajouter des notes, passez par la fonction d'ajout de notes. Il est aussi possible d'ajouter des notes d'autres groupes, comme "pharmaco", "pédiatrie", "indications", etc. Classez ces autres groupes de notes dans des sous-sections. N'ajoutez pas de notes manuellement. |
Exemple: | TRAITEMENTS
Les traitements:
NOTES Gériatrie
Pédiatrie
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- ↑ 1,0 et 1,1 Les tumeurs peuvent provoquer un effet de masse avec obstruction physique ou collapsus des voies respiratoires, induisant ainsi une accumulation de mucus et des infections secondaires en plus de l'irritation directe des récepteurs de la toux. De plus, certains cancers peuvent avoir des effets sécrétoires sur les voies respiratoires.
- ↑ 2,0 et 2,1 Les maladies pulmonaires interstitielles sont un grand groupe de troubles qui provoquent une cicatrisation progressive et un durcissement du tissu pulmonaire. Elles surviennent à la suite d'une exposition à long terme à diverses matières dangereuses, telles que l'amiante, le silicone, la poussière de charbon, les radiations ou les métaux lourds. Souvent lié au travail, comme chez les travailleurs des centrales nucléaires, les mineurs de charbon, les travailleurs du sablage, etc.
- ↑ Le RGO représente jusqu'à 40 % des toux chroniques et survient à la suite du retour du contenu acide de l'estomac vers le pharynx et le larynx. Cela irrite les récepteurs laryngés et peut causer une microaspiration épisodique.
- ↑ 4,0 et 4,1 L'apnée obstructive du sommeil se caractérise par une obstruction partielle ou complète des voies respiratoires de manière transitoire pendant le sommeil. Cette augmentation de la résistance des voies respiratoires provoque un spasme réflexif du diaphragme et des muscles thoraciques et une toux pour ouvrir les voies respiratoires obstruées et aspirer l'air dans les poumons. Cela se produit généralement en raison d'une musculature relâchée dans le pharynx ou en raison de l'augmentation du poids du cou qui affaisse le pharynx chez les personnes obèses.
- ↑ Une toux non productive, répétitive, qui survient jour et nuit et est exacerbée par l'exercice, l'air froid ou une infection des voies respiratoires supérieures peut être un signe de toux assiciée à l'asthme. Il faut recherchez des antécédents familiaux positifs ou des variations saisonnières. Le rétrécissement et l'inflammation provoqueraient une respiration sifflante et une dyspnée.
- ↑ La bronchite chronique est par définition une toux présente depuis plus de trois mois consécutifs sur deux ans. La toux est généralement présente en raison de sécrétions muqueuses excessives provoquant un colmatage muqueux des voies respiratoires. Une composante inflammatoire a également été évoquée dans cette étiologie.
Références
- Cette page a été modifiée ou créée le 2021/02/28 à partir de Cough (StatPearls / Cough (2021/02/11)), écrite par les contributeurs de StatPearls et partagée sous la licence CC-BY 4.0 international (jusqu'au 2022-12-08). Le contenu original est disponible à https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29630273 (livre).
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