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* {{Étiologie|nom=Scombrotoxisme|principale=0}}
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L'urticaire aigue et chronique ont des étiologies différentes
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|idiopathique
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{{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Physiopathologie}}
{{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Physiopathologie}}
L'éruption cutanée liée à l'urticaire résulte ultimement d'une libération, immunitaire ou via d'autres mécanismes, de substances vasoactives; notamment l'histamine, la bradykinine et la kallikréine secondairement à la dégranulation de cellules immunitaires (mastocytes, éosinophiles et basophiles) situées dans le derme. Ces substances provoquent une vasodilatation locale, une attraction chimiotactique et une augmentation de la perméabilité capillaire ce qui cause la formation d'œdème intradermique. <ref name="Jaf2015" />
L'urticaire peut être aigue L'éruption cutanée liée à l'urticaire résulte ultimement d'une libération, immunitaire ou via d'autres mécanismes, de substances vasoactives; notamment l'histamine, la bradykinine et la kallikréine secondairement à la dégranulation de cellules immunitaires (mastocytes, éosinophiles et basophiles) situées dans le derme. Ces substances provoquent une vasodilatation locale, une attraction chimiotactique et une augmentation de la perméabilité capillaire ce qui cause la formation d'œdème intradermique. <ref name="Jaf2015" />


Pour plusieurs pathologies les mécanismes menant à cette libération de substances ne sont pas clairs.<ref>{{Citation d'un ouvrage|last1=PhD|first1=[edited by] Kathryn L. McCance, RN, PhD, Sue E. Huether, RN, PhD; section editors, Valentina L. Brashers, MD, Neal S. Rote|title=Pathophysiology : the biologic basis for disease in adults and children|date=2014|publisher=Elsevier – Health Sciences Division|isbn=9780323088541|edition=Seventh}}</ref> On retrouve cependant :
Pour plusieurs pathologies les mécanismes menant à cette libération de substances ne sont pas clairs.<ref>{{Citation d'un ouvrage|last1=PhD|first1=[edited by] Kathryn L. McCance, RN, PhD, Sue E. Huether, RN, PhD; section editors, Valentina L. Brashers, MD, Neal S. Rote|title=Pathophysiology : the biologic basis for disease in adults and children|date=2014|publisher=Elsevier – Health Sciences Division|isbn=9780323088541|edition=Seventh}}</ref> On retrouve cependant :
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{{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Questionnaire}}Les symptômes de l'urticaire sont
{{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Questionnaire}}Les symptômes de l'urticaire sont
*une {{Symptôme | nom = éruption cutanée}}
*une {{Symptôme | nom = éruption cutanée}}
**chaque lésion disparait après 24 h
**de nouvelles lésions peuvent apparaitre
*le {{Symptôme | nom = Prurit cutané (symptôme)|affichage=prurit}}
*le {{Symptôme | nom = Prurit cutané (symptôme)|affichage=prurit}}
*{{Symptôme | nom = Symptôme 3}}
*{{Symptôme | nom = Symptôme 3}}
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==Diagnostic différentiel==
==Diagnostic différentiel==


{{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Diagnostic différentiel}}
{{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Diagnostic différentiel}}Le diagnostic différentiel regroupe plusieurs pathologies qui peuvent, durant certaines phases de leur évolution ou via leur atteinte cutanée isolée, mimer l'uritcaire :
 
*{{Diagnostic différentiel | nom = Diagnostic différentiel 1}}
*{{Diagnostic différentiel | nom = Diagnostic différentiel 2}}
*{{Diagnostic différentiel | nom = Diagnostic différentiel 3}}
*...
Le diagnostic différentiel regroupe plusieurs pathologies qui peuvent, durant certaines phases de leur évolution ou via leur atteinte cutanée isolée, mimer l'uritcaire :


* {{Diagnostic différentiel|nom=Dermatite de contact}}
* {{Diagnostic différentiel|nom=Dermatite de contact}}
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==Traitement==
==Traitement==


{{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Traitement}}
{{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Traitement}}La première ligne de traitement sont les antihistaminiques H1. Les anti-H1 de première génération, comme la {{Traitement|nom=diphenhydramine}} ou l'{{Traitement pharmacologique|nom=hydroxyzine|dose=|commercial_name1=Atarax|units=|frequency=|route=PO|duration=}}, sont efficaces, mais causent une sédation ce qui limite leur utilisation. Les anti-H1 de deuxième génération, comme la loratadine, la cétirizine ou la desloratadine bloquent sélectivement les récepteurs H1 périphériques ce qui réduit leur effet sédatif et anticholinergique.  
 
*{{Traitement | nom = Traitement 1}}
*{{Traitement | nom = Traitement 2}}
*{{Traitement | nom = Traitement 3}}
*...


L'éducation, en évitant les déclencheurs et en utilisant des antihistaminiques, est le pilier du traitement des ruches aiguës et chroniques.
Les corticostéroïdes sont indiqués dans les cas réfractaires aux antihistaminiques. Leur utilisation à long terme est déconseillée à cause des nombreux effets secondires (la suppression surrénalienne, la prise de poids, l'ostéoporose, l'hyperglycémie, etc.) et le risque de résistance.


L'urticaire chronique peut être difficile à traiter et entraîner une invalidité importante. Contrairement à la forme aiguë, 50 à 80% des personnes atteintes d'urticaire chronique n'ont pas de déclencheurs identifiables. Mais 50% des personnes atteintes d'urticaire chronique connaîtront une rémission dans un délai d'un an.<ref>{{Citation d'un article |auteurs=Kozel MM, Mekkes JR, Bossuyt PM, Bos JD | year = 2001 | title = Natural course of physical and chronic urticaria and angioedema in 220 patients | journal = J Am Acad Dermatol | volume = 45 | issue = 3| pages = 387–391 | doi=10.1067/mjd.2001.116217| pmid = 11511835 }}</ref> Dans l'ensemble, le traitement est orienté vers la gestion des symptômes. Les personnes souffrant d'urticaire chronique peuvent avoir besoin d'autres médicaments en plus des antihistaminiques pour contrôler les symptômes. Les personnes qui souffrent d'urticaire avec angio-œdème nécessitent un traitement d'urgence car il s'agit d'une maladie potentiellement mortelle.
Ex. prednisone 40 mg par jour pour 7 jours


Des lignes directrices de traitement pour la prise en charge de l'urticaire chronique ont été publiées.<ref>{{Citation d'un article|last1=Maurer|first1=M|title=Revisions to the international guidelines on the diagnosis and therapy of chronic urticaria|journal=J Dtsch Dermatol Ges|volume=11|issue=10|pages=971–978|date=2013|doi=10.1111/ddg.12194|pmid=24034140|s2cid=22110680|doi-access=free}}</ref><ref>{{Citation d'un article|last1=Bernstein|first1=J|title=The diagnosis and management of acute and chronic urticaria: 2014 update.|journal=J Allergy Clin Immunol|date=2014|volume=133|issue=5|pages=1270–1277.e66|doi=10.1016/j.jaci.2014.02.036|pmid=24766875}}</ref> Selon les paramètres de la pratique américaine de 2014, le traitement implique une approche par étapes. L'étape 1 consiste en des antihistaminiques bloquant les récepteurs H1 de deuxième génération. Les glucocorticoïdes systémiques peuvent également être utilisés pour les épisodes de maladie grave, mais ne doivent pas être utilisés à long terme en raison de leur longue liste d'effets secondaires. L'étape 2 consiste à augmenter la dose de l'antihistaminique actuel, à ajouter d'autres antihistaminiques ou à ajouter un antagoniste des récepteurs des leucotriènes tel que le montélukast. L'étape 3 consiste à ajouter ou remplacer le traitement actuel par de l'hydroxyzine ou de la doxépine. Si la personne ne répond pas aux étapes 1 à 3, elle est considérée comme présentant des symptômes réfractaires. À ce stade, des médicaments anti-inflammatoires (dapsone, sulfasalazine), des immunosuppresseurs (cyclosporine, sirolimus) ou d'autres médicaments tels que [[omalizumab]] peuvent être utilisés. Ces options sont expliquées plus en détail ci-dessous.
Les antagonistes des récepteurs des leucotriènes comme le montélukast et le zafirlukast peuvent être utilisés comme traitement d'appoint ou en monothérapie. Cette classe est particulièrement efficace pour les cas d'urticaire induit par les AINS. <ref>{{Citation d'un article | author = AU Erbagci Z SO | year = 2002 | title = The leukotriene receptor antagonist montelukast in the treatment of chronic idiopathic urticaria: a single-blind, placebo-controlled, crossover clinical study | journal = J Allergy Clin Immunol | volume = 110 | issue = 3| pages = 484–488 | doi=10.1067/mai.2002.126676| pmid = 12209099 }}</ref><ref>{{Citation d'un article |auteurs=Pacor ML, Di Lorenzo G, Corrocher R | year = 2001 | title = Efficacy of leukotriene receptor antagonist in chronic urticaria. A double-blind, placebo-controlled comparison of treatment with montelukast and cetirizine in patients with chronic urticaria with intolerance to food additive and/or acetylsalicylic acid | journal = Clin Exp Allergy | volume = 31 | issue = 10| pages = 1607–1614 | doi=10.1046/j.1365-2222.2001.01189.x| pmid = 11678862 | s2cid = 33770584 }}</ref>


===Antihistaminiques===


Les [[antihistaminiques]] non sédatifs qui bloquent les récepteurs de l'histamine H1 constituent la première ligne de traitement. [[H1_antagonist # First-generation_ (non-sélectif) | Antihistaminiques de première génération]], comme la [[diphenhydramine]] ou [[hydroxyzine]], bloquent les récepteurs H1 du cerveau et périphériques et provoquent une sédation. [[H1_antagonist # Deuxième génération_et_troisième génération_ (sélectifs) | Antihistaminiques de deuxième génération]], tels que [[loratadine]], [[cétirizine]] ou [[desloratadine]], antagonisent sélectivement les récepteurs H1 périphériques et sont moins sédatifs , moins [[anticholinergique]], et généralement préféré aux antihistaminiques de première génération.
<ref>{{Citation d'un article|last1=Fedorowicz|first1=Zbys|last2=van Zuuren|first2=Esther J|last3=Hu|first3=Nianfang|date=2012-03-14|title=Histamine H2-receptor antagonists for urticaria|url=http://www.cochrane.org/CD008596/SKIN_histamine-blocking-drugs-for-hives|journal=Cochrane Database of Systematic Reviews|issue=3|pages=CD008596|language=en|doi=10.1002/14651858.CD008596.pub2|pmid=22419335|issn=1465-1858|pmc=7390502}}</ref><ref>{{Citation d'un article|last1=Maurer|first1=M|title=Revisions to the international guidelines on the diagnosis and therapy of chronic urticaria|journal=J Dtsch Dermatol Ges|volume=11|issue=10|pages=971–978|date=2013|doi=10.1111/ddg.12194|pmid=24034140|s2cid=22110680|doi-access=free}}</ref><ref>{{Citation d'un article|last1=Bernstein|first1=J|title=The diagnosis and management of acute and chronic urticaria: 2014 update.|journal=J Allergy Clin Immunol|date=2014|volume=133|issue=5|pages=1270–1277.e66|doi=10.1016/j.jaci.2014.02.036|pmid=24766875}}</ref> <ref name="Zuberbier2012">{{Citation d'un article|last1=Zuberbier|first1=T|title=A Summary of the New International EAACI/GA2LEN/EDF/WAO Guidelines in Urticaria.|journal=The World Allergy Organization Journal|date=January 2012|volume=5 Suppl 1|pages=S1-5|doi=10.1097/WOX.0b013e3181f13432|pmid=23282889|doi-access=free}}</ref>


Les personnes qui ne répondent pas à la dose maximale d'antihistaminiques H1 peuvent bénéficier d'une augmentation de la dose, puis de passer à un autre antihistaminique non sédatif, puis d'ajouter un [[antagoniste des leucotriènes]], puis d'utiliser un antihistaminique plus ancien, puis d'utiliser stéroïdes systémiques et enfin à l'utilisation de [[ciclosporine]] ou [[omalizumab]]. <ref name="Zuberbier2012">{{Citation d'un article|last1=Zuberbier|first1=T|title=A Summary of the New International EAACI/GA2LEN/EDF/WAO Guidelines in Urticaria.|journal=The World Allergy Organization Journal|date=January 2012|volume=5 Suppl 1|pages=S1-5|doi=10.1097/WOX.0b013e3181f13432|pmid=23282889|doi-access=free}}</ref>
1ère ligne: anti-h1 de 2e génération


Les antagonistes des récepteurs H2 sont parfois utilisés en plus des antagonistes H1 pour traiter l'urticaire, mais il existe des preuves limitées de leur efficacité.<ref>{{Citation d'un article|last1=Fedorowicz|first1=Zbys|last2=van Zuuren|first2=Esther J|last3=Hu|first3=Nianfang|date=2012-03-14|title=Histamine H2-receptor antagonists for urticaria|url=http://www.cochrane.org/CD008596/SKIN_histamine-blocking-drugs-for-hives|journal=Cochrane Database of Systematic Reviews|issue=3|pages=CD008596|language=en|doi=10.1002/14651858.CD008596.pub2|pmid=22419335|issn=1465-1858|pmc=7390502}}</ref>
2e ligne: optimiser la dose de l'anti-h1, ajouter un 2e antihistaminique, antagoniste des leucotriènes


===Stéroïdes systémiques===
3e ligne: hydroxyzine ou doxépine


Les glucocorticoïdes oraux sont efficaces pour contrôler les symptômes de l'urticaire chronique mais ils ont une longue liste d'effets indésirables tels que la suppression surrénalienne, la prise de poids, l'ostéoporose, l'hyperglycémie, etc. Par conséquent, leur utilisation doit être limitée à quelques semaines. De plus, une étude a révélé que les glucocorticoïdes systémiques associés à des antihistaminiques n'accéléraient pas le temps de contrôle des symptômes par rapport aux antihistaminiques seuls.<ref>{{Citation d'un article |auteurs=Kim S, Baek S, Shin B, Yoon SY, Park SY, Lee T, Lee YS, Bae YJ, Kwon HS, Cho YS, Moon HB, Kim TB | year = 2013 | title = Influence of initial treatment modality on long-term control of chronic idiopathic urticaria | journal = PLOS ONE | volume = 8 | issue = 7| page = e69345 | doi=10.1371/journal.pone.0069345 | pmid=23935990 | pmc=3720657| bibcode = 2013PLoSO...869345K }}</ref>
4e ligne: anti-inflammatoires, immunosuppresseurs ou anticorps monoclonal


===Antagonistes des récepteurs des leucotriènes===
Cyclosporine (3–5 mg/kg/day)


Les leucotriènes sont libérés des mastocytes avec l'histamine. Les médicaments, le montélukast et le zafirlukast bloquent les récepteurs des leucotriènes et peuvent être utilisés comme traitement d'appoint ou isolément pour les personnes atteintes de CU. Il est important de noter que ces médicaments peuvent être plus bénéfiques pour les personnes atteintes de CU induite par les AINS. <ref>{{Citation d'un article | author = AU Erbagci Z SO | year = 2002 | title = The leukotriene receptor antagonist montelukast in the treatment of chronic idiopathic urticaria: a single-blind, placebo-controlled, crossover clinical study | journal = J Allergy Clin Immunol | volume = 110 | issue = 3| pages = 484–488 | doi=10.1067/mai.2002.126676| pmid = 12209099 }}</ref><ref>{{Citation d'un article |auteurs=Pacor ML, Di Lorenzo G, Corrocher R | year = 2001 | title = Efficacy of leukotriene receptor antagonist in chronic urticaria. A double-blind, placebo-controlled comparison of treatment with montelukast and cetirizine in patients with chronic urticaria with intolerance to food additive and/or acetylsalicylic acid | journal = Clin Exp Allergy | volume = 31 | issue = 10| pages = 1607–1614 | doi=10.1046/j.1365-2222.2001.01189.x| pmid = 11678862 | s2cid = 33770584 }}</ref>
Ce traitement nécessite le suivi de la pression artérielle, la fonction rénale et la concentration sérique.  


===Autre===
Case reports and other small clinical trials have also found the following treatments to be effective for select patients with severe, refractory, chronic urticaria: sulfasalazine; the antibacterial, dapsone; the anti-IgE monoclonal antibody, omalizumab; and intravenous immunoglobulin G (IVIG) [4]. However, the efficacy of these agents in the treatment of chronic urticaria needs to be confirmed in large, randomized controlled trials.


D'autres options pour les symptômes réfractaires de l'urticaire chronique comprennent les médicaments anti-inflammatoires, l'omalizumab et les immunosuppresseurs.
* la dapsone, la sulfasalazine et l'hydroxychloroquine, l'omalizumab et les immunosuppresseurs, immunoglobulines IV (IVIG)
Les agents anti-inflammatoires potentiels comprennent la dapsone, la sulfasalazine et l'hydroxychloroquine. La dapsone est un agent antimicrobien sulfone et on pense qu'elle supprime l'activité des prostaglandines et des leucotriènes. Il est utile dans les cas réfractaires au traitement <ref>{{Citation d'un article  |auteurs=Boehm I, etal | date = Jul 1999 | title = Urticaria treated with dapsone | journal = Allergy | volume = 54 | issue = 7| pages = 765–6 | doi=10.1034/j.1398-9995.1999.00187.x| pmid = 10442538 | s2cid = 40767363 }}</ref> et est contre-indiqué chez les personnes présentant un déficit en G6PD. On pense que la sulfasalazine, un dérivé du 5-ASA, modifie la libération d'adénosine et inhibe la dégranulation des mastocytes médiée par les IgE, la sulfasalazine est une bonne option pour les personnes souffrant d'anémie qui ne peuvent pas prendre de dapsone. L'hydroxychloroquine est un antipaludique qui supprime les lymphocytes T. Il a un faible coût, mais il prend plus de temps que la dapsone ou la sulfasalazine pour agir.
* La dapsone est un agent antimicrobien sulfone et on pense qu'elle supprime l'activité des prostaglandines et des leucotriènes. Il est utile dans les cas réfractaires au traitement <ref>{{Citation d'un article  |auteurs=Boehm I, etal | date = Jul 1999 | title = Urticaria treated with dapsone | journal = Allergy | volume = 54 | issue = 7| pages = 765–6 | doi=10.1034/j.1398-9995.1999.00187.x| pmid = 10442538 | s2cid = 40767363 }}</ref> et est contre-indiqué chez les personnes présentant un déficit en G6PD. On pense que la sulfasalazine, un dérivé du 5-ASA, modifie la libération d'adénosine et inhibe la dégranulation des mastocytes médiée par les IgE, la sulfasalazine est une bonne option pour les personnes souffrant d'anémie qui ne peuvent pas prendre de dapsone. L'hydroxychloroquine est un antipaludique qui supprime les lymphocytes T. Il a un faible coût, mais il prend plus de temps que la dapsone ou la sulfasalazine pour agir.


Omalizumab a été approuvé par la FDA en 2014 pour les personnes atteintes d'urticaire de 12 ans et plus souffrant d'urticaire chronique. C'est un anticorps monoclonal dirigé contre les IgE. Une amélioration significative du prurit et de la qualité de vie a été observée dans un essai de phase III, multicentrique et contrôlé randomisé.<ref>{{Citation d'un article |doi=10.1056/NEJMoa1215372 |title=Omalizumab for the Treatment of Chronic Idiopathic or Spontaneous Urticaria |year=2013 |last1=Maurer |first1=Marcus |last2=Rosén |first2=Karin |last3=Hsieh |first3=Hsin-Ju |last4=Saini |first4=Sarbjit |last5=Grattan |first5=Clive |last6=Gimenéz-Arnau |first6=Ana |last7=Agarwal |first7=Sunil |last8=Doyle |first8=Ramona |last9=Canvin |first9=Janice |last10=Kaplan |first10=Allen |last11=Casale |first11=Thomas |journal=New England Journal of Medicine |volume=368 |issue=10 |pages=924–35 |pmid=23432142}}</ref>
Omalizumab a été approuvé par la FDA en 2014 pour les personnes atteintes d'urticaire de 12 ans et plus souffrant d'urticaire chronique. C'est un anticorps monoclonal dirigé contre les IgE. Une amélioration significative du prurit et de la qualité de vie a été observée dans un essai de phase III, multicentrique et contrôlé randomisé.<ref>{{Citation d'un article |doi=10.1056/NEJMoa1215372 |title=Omalizumab for the Treatment of Chronic Idiopathic or Spontaneous Urticaria |year=2013 |last1=Maurer |first1=Marcus |last2=Rosén |first2=Karin |last3=Hsieh |first3=Hsin-Ju |last4=Saini |first4=Sarbjit |last5=Grattan |first5=Clive |last6=Gimenéz-Arnau |first6=Ana |last7=Agarwal |first7=Sunil |last8=Doyle |first8=Ramona |last9=Canvin |first9=Janice |last10=Kaplan |first10=Allen |last11=Casale |first11=Thomas |journal=New England Journal of Medicine |volume=368 |issue=10 |pages=924–35 |pmid=23432142}}</ref>
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==Complications==
==Complications==


{{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Complications}}
{{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Complications}}En l'absence de réaction allergique grave associée, les complications de l'urticaire se résument aux effets délétères liés au prurit : <ref>{{Citation d'un ouvrage|prénom1=Sandhya|nom1=Vethachalam|prénom2=Yudy|nom2=Persaud|titre=StatPearls|éditeur=StatPearls Publishing|date=2022|pmid=31751080|lire en ligne=http://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK549890/|consulté le=2022-05-31}}</ref><ref>{{Citation d'un ouvrage|prénom1=Dominique|nom1=Dabija|prénom2=Prasanna|nom2=Tadi|prénom3=Gerard N.|nom3=Danosos|titre=StatPearls|éditeur=StatPearls Publishing|date=2022|pmid=32310370|lire en ligne=http://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK555910/|consulté le=2022-05-31}}</ref>
 
*{{Complication | nom = Complication 1}}
*{{Complication | nom = Complication 2}}
*{{Complication | nom = Complication 3}}
*...
En l'absence de réaction allergique grave associée, les complications de l'urticaire se résument aux effets délétères liés au prurit : <ref>{{Citation d'un ouvrage|prénom1=Sandhya|nom1=Vethachalam|prénom2=Yudy|nom2=Persaud|titre=StatPearls|éditeur=StatPearls Publishing|date=2022|pmid=31751080|lire en ligne=http://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK549890/|consulté le=2022-05-31}}</ref><ref>{{Citation d'un ouvrage|prénom1=Dominique|nom1=Dabija|prénom2=Prasanna|nom2=Tadi|prénom3=Gerard N.|nom3=Danosos|titre=StatPearls|éditeur=StatPearls Publishing|date=2022|pmid=32310370|lire en ligne=http://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK555910/|consulté le=2022-05-31}}</ref>


* {{Complication|nom=Excoriation}} des zones affectées
* {{Complication|nom=Excoriation}} des zones affectées
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{{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Évolution}}
{{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Évolution}}
*L'urticaire chronique peut être difficile à traiter et entraîner une invalidité importante. Contrairement à la forme aiguë, 50 à 80% des personnes atteintes d'urticaire chronique n'ont pas de déclencheurs identifiables. Mais 50% des personnes atteintes d'urticaire chronique connaîtront une rémission dans un délai d'un an.<ref>{{Citation d'un article |auteurs=Kozel MM, Mekkes JR, Bossuyt PM, Bos JD | year = 2001 | title = Natural course of physical and chronic urticaria and angioedema in 220 patients | journal = J Am Acad Dermatol | volume = 45 | issue = 3| pages = 387–391 | doi=10.1067/mjd.2001.116217| pmid = 11511835 }}</ref> Dans l'ensemble, le traitement est orienté vers la gestion des symptômes. Les personnes souffrant d'urticaire chronique peuvent avoir besoin d'autres médicaments en plus des antihistaminiques pour contrôler les symptômes. Les personnes qui souffrent d'urticaire avec angio-œdème nécessitent un traitement d'urgence car il s'agit d'une maladie potentiellement mortelle.


==Prévention==
==Prévention==

Version du 6 juin 2023 à 20:17

Urticaire
Maladie
Caractéristiques
Signes Plaques, Papules, Anaphylaxie, Température corporelle élevée
Symptômes
Rhinorrhée, Douleur, Conjonctivite, Dyspnée , Brûlure, Angio-œdème, Vertige , Céphalée , Piqûre, Arthralgie , ... [+]
Diagnostic différentiel
Érysipèle, Dermatomyosite, Dermatite de contact, Érythème polymorphe, Dermatite atopique, Syndrome de Sjögren, Polycythémie vraie, Syndrome de Sweet, Lupus érythémateux systémique, Cryoglobulinémie, ... [+]
Informations
Wikidata ID Q187440

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Objectif du CMC
Urticaire, angio-oedème (97-2)
La section obligatoire Définition ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

L'urticaire est une éruption cutanée composée de papules ou plaques cutanées érythémateuses, prurigineuses, migratrices et délimitées. L'urticaire peut être aigu ou chronique.

Moins de 5% des cas durent plus de six semaines; on parle alors d'urticaire chronique.[1]


.[1] Dans la moitié des cas, la cause reste inconnue. [1] Les facteurs de risque comprennent des conditions telles que rhume des foins ou asthme. Patch test ing peut être utile pour déterminer l'allergie. [1]


Les ruches ont été décrites au moins depuis Hippocrate. [2] Le terme urticaire vient du latin urtica signifiant «ortie» .[3]

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

Environ 20% de la population sera atteinte d'urticaire.[1] Les hommes sont plus souvent atteints que les femmes. Environ 3% des cas deviendront chroniques.[2] Les cas aigus sont plus fréquents chez les enfants tandis que les cas chroniques sont plus fréquents chez l'adulte. [1]

Étiologie

La section facultative Étiologies ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

Les causes les plus communes d'urticaire sont présentées dans le tableau suivant. [4][5] Il faut toutefois noter que la cause d'un épisode d'urticaire aigue n'est pas identifiable dans environ 50% des cas (urticaire idiopathique). [6]

Étiologies de l'urticaire
Mécanisme Étiologie
Infections
Réaction allergique médiée par IgE
Dégranulation mastocytaire
Stimuli physiques
  • le frottement ou le grattement de peau (le dermographisme)
  • l'application de pression
  • l'exposition au soleil
  • le froid
  • la chaleur
  • les émotions
  • la baignade
  • l'exercice physique
  • l'eau (aquagénique)
Maladies systémiques/auto-immunes
Autres


L'urticaire aigue et chronique ont des étiologies différentes

urticaire aigue urticaire chronique
aliment

médicament

infection

idiopathique

médicament (IECA)

idiopathique

connectivite

urticaire physique

médicam(froid, dermographisme, soleil, eau)ent idiopathique
infection connectivite
idiopathique urticaire physique (froid, dermographisme, soleil, eau)

Physiopathologie

La section facultative Physiopathologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

L'urticaire peut être aigue L'éruption cutanée liée à l'urticaire résulte ultimement d'une libération, immunitaire ou via d'autres mécanismes, de substances vasoactives; notamment l'histamine, la bradykinine et la kallikréine secondairement à la dégranulation de cellules immunitaires (mastocytes, éosinophiles et basophiles) situées dans le derme. Ces substances provoquent une vasodilatation locale, une attraction chimiotactique et une augmentation de la perméabilité capillaire ce qui cause la formation d'œdème intradermique. [1]

Pour plusieurs pathologies les mécanismes menant à cette libération de substances ne sont pas clairs.[7] On retrouve cependant :

Phénomènes immunologiques[1][8][9]

Réaction d'hypersensibilité médiée par IgE

Dans les réactions d'hypersensibilité immédiate (type I), une phase de sensibilisation est nécessaire durant laquelle les allergènes seront présentés aux lymphocytes T par des cellules présentatrices d'antigène. Les lymphocytes T vont ensuite signaler aux lymphocytes B de produire des immunoglobulines E (IgE) antigène-spécifiques qui vont venir se fixer sur leurs récepteurs au niveau des cellules immunitaires. Ensuite, lors d'un nouveau contact avec l'allergène, ce dernier se fixe à ces IgE et va entrainer l'agrégation des cellules immunitaires (voir schéma ci-dessous). Par la suite, il se produit la dégranulation des cellules c'est-à-dire la libération des substances vasoactives mentionnées précédemment. Cette réaction peut être localisée ou bien systémique (anaphylaxie).

Schéma du phénomène d'aggrégation précédant la dégranulation d'une cellule immunitaire
Activation du complément

Les différentes voies d'activation du complément en réaction à la présence d'un pathogène ou antigène, clivent et remodèlent les protéines. Les fractions C3a et C5a disposent d'un puissant pouvoir de dégranulation.

Phénomènes non-immunologiques[1][8][9]

Dégranulation directe

Certaines molécules, comme les opiacés et la vancomycine entre autres, sont capables d'indure une dégranulation directe des mastocytes tissulaires ou basophiles circulants et ne passent donc pas par les mécanismes immunitaires, ce qui explique l'absence de sensibilisation préalable.

Scombrotoxisme[10]

La consommation de la chaire de certains poissons (thon, maquereau, sardine, anchois entre autres) mal conservée ou en trop grande quantité peut causer l'urticaire. Ces poissons contiennent une quantité importante d'histidine qui est dégradée par certaines bactéries en histamine causant alors les symptômes.

"Hypersensibilité histamine"/Sur relache

Urticaire chronique (ABC OF DERMATO)

(Les lésions cutanées de la maladie urticarienne sont causées par une réaction inflammatoire de la peau, provoquant une fuite des capillaires dans le derme, et entraînant un œdème qui persiste jusqu'à ce que le liquide interstitiel soit absorbé dans les cellules environnantes.

L'urticaire est causée par la libération de histamine et d'autres médiateurs de l'inflammation (cytokines) des cellules de la peau. Ce processus peut être le résultat d'une réaction allergique ou non allergique, différant par le mécanisme de déclenchement de la libération d'histamine.

Présentation clinique

La section obligatoire Présentation clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

Urticaire sur la paroi thoracique gauche. Notez qu'ils sont légèrement surélevés.
Hives
Dessin de ruches

Facteurs de risque

La section facultative Facteurs de risque ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Les facteurs de risque sont :

Questionnaire

La section obligatoire Questionnaire ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

Les symptômes de l'urticaire sont

L'urticaire est parfoit accompagné d'angioedème


L'urticaire, ou urticaire, est une forme de éruption cutanée avec des bosses rouges, surélevées et qui démangent.[4] Elles peuvent également brûler ou piquer.[1] Elles peuvent également provoquer des sensations de brûlure, piqure ou être accompagnées d'un angio-œdème.[1]Ces éruptions ne durent généralement que quelques jours et ne laissent pas de cicatrices résiduelles.[1]


Welts (zones en relief entourées d'une base rouge) de l'urticaire peut apparaître n'importe où sur la surface de la peau. Que le déclencheur soit allergique ou non, une libération complexe de médiateurs inflammatoires, y compris histamine des mastocytes cutanés, entraîne une fuite de liquide des vaisseaux sanguins superficiels. Les soudures peuvent être de taille précise ou de plusieurs pouces de diamètre. Souvent, les plaques d'éruptions cutanées se déplacent.[1]

Environ 20% des personnes sont touchées.[1] Les cas de courte durée surviennent également chez les hommes et les femmes, durant quelques jours et sans laisser de changements cutanés durables.[1] Les cas de longue durée sont plus fréquents chez les femmes.[2] Cas de courte durée sont plus fréquents chez les enfants tandis que les cas de longue durée sont plus fréquents chez ceux qui sont d'âge moyen.[2] Moins de 5% des cas durent plus de six semaines.[1] La condition se reproduit fréquemment.[1] Dans la moitié des cas d'urticaire, le cause reste inconnue. [1]

L'œdème de Quincke est une affection connexe (également de causes allergiques et non allergiques), bien que les fuites de liquide proviennent de vaisseaux sanguins beaucoup plus profonds dans les couches sous-cutanées ou sous-muqueuses. Les ruches individuelles qui sont douloureuses, durent plus de 24 heures ou laissent une ecchymose à mesure qu'elles guérissent sont plus susceptibles d'être une affection plus grave appelée vascularite urticarienne. L'urticaire causée par des caresses cutanées (souvent d'apparence linéaire) est due à une affection bénigne appelée urticaire dermatographique.

Examen clinique

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.
Fichier:Micrographie de l'urticaire.jpg
Micrographie de l'urticaire. Œdème cutané [flèches pleines en (A, B)] et infiltrat superficiel clairsemé principalement périvasculaire et interstitiel de lymphocytes et d'éosinophiles sans signes de vascularite (flèche en pointillés) .[11]

Le diagnostic est généralement basé sur l'apparence.[1] La cause de l'urticaire chronique peut rarement être déterminée.[12] Patch test ing peut être utile pour déterminer l'allergie.[1] Dans certains cas, un test d'allergie intensif régulier sur une Une longue période de temps est demandée dans l'espoir d'obtenir de nouvelles informations.

Aiguë contre chronique

  • l'urticaire est définie comme la présence de évanescente papules qui disparaissent complètement en six semaines.[13] L'urticaire aiguë devient évidente quelques minutes après que la personne a été exposée à un allergène. L'épidémie peut durer plusieurs semaines, mais les ruches ont généralement disparu en six semaines. En règle générale, les ruches sont une réaction à la nourriture, mais dans environ la moitié des cas, le déclencheur est inconnu. Les aliments courants peuvent en être la cause, ainsi que les piqûres d'abeilles ou de guêpes, ou le contact cutané avec certains parfums. L'infection virale aiguë est une autre cause fréquente d'urticaire aiguë (virale exanthème). Les causes moins courantes de l'urticaire comprennent la friction, la pression, les températures extrêmes, l'exercice et la lumière du soleil.
  • urticaire (urticaire ordinaire) [14] est définie comme la présence de papules évanescentes qui persistent plus de six semaines.[13] Certains des cas chroniques les plus graves ont duré plus de 20 ans. Une enquête a indiqué que l'urticaire chronique durait un an ou plus chez plus de 50% des personnes atteintes et 20 ans ou plus chez 20% d'entre elles.[15]

Les ruches aiguës et chroniques sont visuellement impossibles à distinguer.

Conditions associées

Angioedème

L'œdème de Quincke est similaire à l'urticaire, [16] mais dans l'œdème de Quincke, le gonflement se produit dans une couche inférieure du derme que dans l'urticaire, [17] ainsi que dans le sous-cutané. Ce gonflement peut se produire autour de la bouche, des yeux, de la gorge, de l'abdomen ou à d'autres endroits. L'urticaire et l'œdème de Quincke surviennent parfois ensemble en réponse à un allergène et sont préoccupants dans les cas graves, car l'angio-œdème de la gorge peut être mortel.

Angioedème vibratoire

Cette forme très rare d'angio-œdème se développe en réponse au contact avec des vibrations. Dans l'œdème de Quincke vibratoire, les symptômes se développent dans les deux à cinq minutes suivant le contact avec un objet vibrant et s'atténuent après environ une heure. Les personnes atteintes de ce trouble ne souffrent ni de dermographisme ni d'urticaire à la pression. L'angio-œdème vibratoire est diagnostiqué en tenant un dispositif vibrant tel qu'une machine vortex de laboratoire contre l'avant-bras pendant quatre minutes. Un gonflement rapide de tout l'avant-bras s'étendant dans le haut du bras est également noté plus tard. Le traitement principal est d'éviter les stimulants vibratoires. Les antihistaminiques se sont également avérés utiles.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Le diagnostic différentiel regroupe plusieurs pathologies qui peuvent, durant certaines phases de leur évolution ou via leur atteinte cutanée isolée, mimer l'uritcaire :


Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

La première ligne de traitement sont les antihistaminiques H1. Les anti-H1 de première génération, comme la diphenhydramine ou l'hydroxyzine (Atarax®) PO, sont efficaces, mais causent une sédation ce qui limite leur utilisation. Les anti-H1 de deuxième génération, comme la loratadine, la cétirizine ou la desloratadine bloquent sélectivement les récepteurs H1 périphériques ce qui réduit leur effet sédatif et anticholinergique.

Les corticostéroïdes sont indiqués dans les cas réfractaires aux antihistaminiques. Leur utilisation à long terme est déconseillée à cause des nombreux effets secondires (la suppression surrénalienne, la prise de poids, l'ostéoporose, l'hyperglycémie, etc.) et le risque de résistance.

Ex. prednisone 40 mg par jour pour 7 jours

Les antagonistes des récepteurs des leucotriènes comme le montélukast et le zafirlukast peuvent être utilisés comme traitement d'appoint ou en monothérapie. Cette classe est particulièrement efficace pour les cas d'urticaire induit par les AINS. [18][19]


[20][21][22] [23]

1ère ligne: anti-h1 de 2e génération

2e ligne: optimiser la dose de l'anti-h1, ajouter un 2e antihistaminique, antagoniste des leucotriènes

3e ligne: hydroxyzine ou doxépine

4e ligne: anti-inflammatoires, immunosuppresseurs ou anticorps monoclonal

Cyclosporine (3–5 mg/kg/day)

Ce traitement nécessite le suivi de la pression artérielle, la fonction rénale et la concentration sérique.

Case reports and other small clinical trials have also found the following treatments to be effective for select patients with severe, refractory, chronic urticaria: sulfasalazine; the antibacterial, dapsone; the anti-IgE monoclonal antibody, omalizumab; and intravenous immunoglobulin G (IVIG) [4]. However, the efficacy of these agents in the treatment of chronic urticaria needs to be confirmed in large, randomized controlled trials.

  • la dapsone, la sulfasalazine et l'hydroxychloroquine, l'omalizumab et les immunosuppresseurs, immunoglobulines IV (IVIG)
  • La dapsone est un agent antimicrobien sulfone et on pense qu'elle supprime l'activité des prostaglandines et des leucotriènes. Il est utile dans les cas réfractaires au traitement [24] et est contre-indiqué chez les personnes présentant un déficit en G6PD. On pense que la sulfasalazine, un dérivé du 5-ASA, modifie la libération d'adénosine et inhibe la dégranulation des mastocytes médiée par les IgE, la sulfasalazine est une bonne option pour les personnes souffrant d'anémie qui ne peuvent pas prendre de dapsone. L'hydroxychloroquine est un antipaludique qui supprime les lymphocytes T. Il a un faible coût, mais il prend plus de temps que la dapsone ou la sulfasalazine pour agir.

Omalizumab a été approuvé par la FDA en 2014 pour les personnes atteintes d'urticaire de 12 ans et plus souffrant d'urticaire chronique. C'est un anticorps monoclonal dirigé contre les IgE. Une amélioration significative du prurit et de la qualité de vie a été observée dans un essai de phase III, multicentrique et contrôlé randomisé.[25]

Les immunosuppresseurs utilisés pour l'UC comprennent la cyclosporine, le tacrolimus, le sirolimus et le mycophénolate. Les inhibiteurs de la calcineurine, tels que la cyclosporine et le tacrolimus, inhibent la réactivité des cellules aux mastocytes et inhibent l'activité des lymphocytes T. Certains experts les préfèrent pour traiter les symptômes sévères.[26] Le sirolimus et le mycophénolate ont moins de preuves de leur utilisation dans le traitement de l'urticaire chronique, mais des rapports ont montré leur efficacité. en raison de leur potentiel d'effets indésirables graves.

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Les patients doivent être avisés de ne

Complications

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

En l'absence de réaction allergique grave associée, les complications de l'urticaire se résument aux effets délétères liés au prurit : [27][28]

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.
  • L'urticaire chronique peut être difficile à traiter et entraîner une invalidité importante. Contrairement à la forme aiguë, 50 à 80% des personnes atteintes d'urticaire chronique n'ont pas de déclencheurs identifiables. Mais 50% des personnes atteintes d'urticaire chronique connaîtront une rémission dans un délai d'un an.[29] Dans l'ensemble, le traitement est orienté vers la gestion des symptômes. Les personnes souffrant d'urticaire chronique peuvent avoir besoin d'autres médicaments en plus des antihistaminiques pour contrôler les symptômes. Les personnes qui souffrent d'urticaire avec angio-œdème nécessitent un traitement d'urgence car il s'agit d'une maladie potentiellement mortelle.

Prévention

La section facultative Prévention ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Notes

  1. Les médicaments les plus fréquemment associés à l'urticaire sont les antibiotiques (pénicillines et sulfamidés), les anti-inflammatoires non stéroïdiens, l'acide acétylsalicylique (ASA) et les opiacés.

Références

__NOVEDELETE__
  1. 1,00 1,01 1,02 1,03 1,04 1,05 1,06 1,07 1,08 1,09 1,10 1,11 1,12 1,13 1,14 1,15 1,16 1,17 1,18 et 1,19 L Jafilan et C James, « Urticaria and Allergy-Mediated Conditions. », Primary Care, vol. 42, no 4,‎ , p. 473–83 (PMID 26612369, DOI 10.1016/j.pop.2015.08.002)
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  3. (en) A Dictionary of Entomology, CABI, (ISBN 9781845935429, lire en ligne), p. 1430
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  6. Amin Kanani, Robert Schellenberg et Richard Warrington, « Urticaria and angioedema », Allergy, Asthma & Clinical Immunology, vol. 7, no 1,‎ , S9 (ISSN 1710-1492, PMID 22165855, Central PMCID PMC3245442, DOI 10.1186/1710-1492-7-S1-S9, lire en ligne)
  7. [edited by] Kathryn L. McCance, RN, PhD, Sue E. Huether, RN, PhD; section editors, Valentina L. Brashers, MD, Neal S. Rote PhD, Pathophysiology : the biologic basis for disease in adults and children, Seventh, (ISBN 9780323088541)
  8. 8,0 et 8,1 U. Blank et B. David, « Agrégation des récepteurs à IgE et activation membranaire », Revue Française d'Allergologie et d'Immunologie Clinique, vol. 38, no 10,‎ , p. 878–885 (ISSN 0335-7457, DOI 10.1016/S0335-7457(98)80156-1, lire en ligne)
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  11. Jenny Giang, Marc A. J. Seelen, Martijn B. A. van Doorn, Robert Rissmann, Errol P. Prens et Jeffrey Damman, « Complement Activation in Inflammatory Skin Diseases », Frontiers in Immunology, vol. 9,‎ , p. 639 (ISSN 1664-3224, PMID 29713318, Central PMCID 5911619, DOI 10.3389/fimmu.2018.00639)
  12. American Academy of Allergy, Asthma, and Immunology, « Five Things Physicians and Patients Should Question », Choosing Wisely: An Initiative of the ABIM Foundation, American Academy of Allergy, Asthma, and Immunology, {{Article}} : paramètre « année » ou « date » manquant (lire en ligne)
  13. 13,0 et 13,1 William James, Timothy Berger et Dirk Elston, Andrews' Diseases of the Skin: Clinical Dermatology, 10th, (ISBN 978-0-7216-2921-6, lire en ligne), 150
  14. Ronald P. Rapini, Jean L. Bolognia et Joseph L. Jorizzo, Dermatology: 2-Volume Set, St. Louis, Mosby, (ISBN 978-1-4160-2999-1), p. 265
  15. R. H. Champion, S. O. B. Roberts, R. G. Carpenter et J. H. Roger, « Urticaria and Angio-Oedema », British Journal of Dermatology, vol. 81, no 8,‎ , p. 588–97 (PMID 5801331, DOI 10.1111/j.1365-2133.1969.tb16041.x)
  16. Modèle:DorlandsDict
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  19. Pacor ML, Di Lorenzo G, Corrocher R, « Efficacy of leukotriene receptor antagonist in chronic urticaria. A double-blind, placebo-controlled comparison of treatment with montelukast and cetirizine in patients with chronic urticaria with intolerance to food additive and/or acetylsalicylic acid », Clin Exp Allergy, vol. 31, no 10,‎ , p. 1607–1614 (PMID 11678862, DOI 10.1046/j.1365-2222.2001.01189.x)
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  21. M Maurer, « Revisions to the international guidelines on the diagnosis and therapy of chronic urticaria », J Dtsch Dermatol Ges, vol. 11, no 10,‎ , p. 971–978 (PMID 24034140, DOI 10.1111/ddg.12194)
  22. J Bernstein, « The diagnosis and management of acute and chronic urticaria: 2014 update. », J Allergy Clin Immunol, vol. 133, no 5,‎ , p. 1270–1277.e66 (PMID 24766875, DOI 10.1016/j.jaci.2014.02.036)
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  25. Marcus Maurer, Karin Rosén, Hsin-Ju Hsieh, Sarbjit Saini, Clive Grattan, Ana Gimenéz-Arnau, Sunil Agarwal, Ramona Doyle, Janice Canvin, Allen Kaplan et Thomas Casale, « Omalizumab for the Treatment of Chronic Idiopathic or Spontaneous Urticaria », New England Journal of Medicine, vol. 368, no 10,‎ , p. 924–35 (PMID 23432142, DOI 10.1056/NEJMoa1215372)
  26. Kaplan AP, « What the first 10,000 patients with chronic urticaria have taught me: a personal journey », J Allergy Clin Immunol, vol. 123, no 3,‎ , p. 713–717 (PMID 19081615, DOI 10.1016/j.jaci.2008.10.050)
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