Cholélithiase

De Wikimedica
Révision datée du 1 décembre 2020 à 20:25 par Michaël St-Gelais (discussion | contributions) (Ajout de commentaires)
Cholélithiase
Maladie

cholélithiases
Caractéristiques
Signes Aucun signe clinique
Symptômes
Asymptomatique
Diagnostic différentiel
Syndrome du côlon irritable, Appendicite, Gastrite, Ulcère gastro-duodénal, Cancer du pancréas, Cancer de la vésicule biliaire, Cholangiocarcinome, Spasme œsophagien, Hépatite, Cholédocholothiase, ... [+]
Informations
Wikidata ID Q7069348

Page non révisée

Les cholélithiases, aussi appelée calculs biliaires, sont des dépôts durcis de bille qui peuvent se former dans la vésicule biliaire alors qu'il y a une altération du métabolisme du cholestérol, de la bilirubine et des sels biliaires. Exceptionnellement, des pierres peuvent aussi se créer à cause de médicaments ou de conditions médicales (ex. : sphérocytose).

Épidémiologie

La cholélithiase est assez courante et peut être trouvée chez environ 10 à 20% de la population occidentale. La prévalence la plus élevée de cholélithiase survient dans les populations amérindiennes. Les calculs biliaires ne sont pas aussi courants en Afrique ou en Asie. L'épidémie d'obésité a probablement amplifié la hausse des calculs biliaires.[1][2]

Malgré la prévalence des calculs biliaires, plus de 80% des personnes restent asymptomatiques. La douleur biliaire, cependant, se développera annuellement chez 1% à 2% de ces individus. Ceux qui ont développé des symptômes peuvent continuer à avoir des complications majeures (cholécystite, cholédocholithiase, pancréatite par calculs biliaires, cholangite, néoplasie de la vésicule bilaire, syndrome de Mirizzi, fistule cholécystoduodénale) survenant à un taux de 0,1% à 0,3% par an.[1][2]

Les calculs de la vésicule biliaire asymptomatiques trouvés fortuitement dans une vésicule biliaire normale et un arbre biliaire normal ne nécessitent pas de traitement, mais le patient doit être avisé de consulter s'il a des symptômes. Dans de rares cas, la présence de cholélithiases asymptomatiques doit nécessiter une cholécystectomie prophylactique (ex : splénectomie pour sphérocytose, nécessite cholécystectomie simultanément). Cependant, environ 15 à 20% de ces calculs biliaires asymptomatiques développeront des symptômes sur 20 ans de suivi.[1][2]

Après un 2e épisode symptomatique, 70% auront une récidive si le problème n'est pas traité. [2]

Étiologies

Les cholélithiases sont issues d'un processus multifactoriel. En effet, le métabolisme biliaire est influencé par différents facteurs : sexe, âge, ethnie, médication, maladie métabolique, habitudes de vie, etc. Selon l'étiologie, les calculs biliaires auront des compositions différentes. Les trois types les plus courants sont les calculs biliaires de cholestérol, les calculs biliaires noirs et les calculs biliaires bruns. 90% des calculs biliaires sont des calculs biliaires de cholestérol.[1] Voici les quatre grands groupes de mécanismes qui favorisent la formation de pierre de cholestérol :

Dans la prochaine section, nous détaillerons la pathogénèse de la formation des calculs biliaires.

Physiopathologie

La vésicule biliaire est un petit organe situé juste sous le foie et reçoit et concentre la bile formée par le foie. Elle peut ensuite se contractée et se vider dans le cholédoque vers le duodénum. L'humain produit environ 650 à 700 mL/jour de bile et la production de bile est stimulée par la sécrétine, la cholécystokinine (CCK) et la gastrine. La bile est ensuite stockée dans la vésicule biliaire qui a une capacité de 40 à 50 mL. Le rôle de la bile est de mettre l'absorption des lipides et les vitamines liposolubles A, D, E et K et excréter l'excédent de bilirubine et cholestérol[2]. Elle peut également contenir des déchets du métabolisme hépatique comme des médicaments.

Il existe trois voies principales dans la formation des calculs biliaires, que l'on résume communément en un triangle d'équilibre. Un déséquilibre d'une des composantes amène la création de cristaux dans la bile lorsqu'une concentration critique est atteinte. [1] La pathophysiologie de la formation des cholélithiases implique obligatoirement la saturation et la cristatisation, mais la croissance des pierres est favorisée par une diminution de la fonction de la vésicule biliaire (contraction, expulsion)[3].

  • supersaturation du cholestérol: normalement, la bile peut dissoudre la quantité de cholestérol excrétée par le foie. Mais si le foie produit plus de cholestérol que la bile ne peut en dissoudre, l'excès de cholestérol peut précipiter sous forme de cristaux. Les cristaux sont piégés dans le mucus de la vésicule biliaire, produisant de la boue biliaire. Avec le temps, les cristaux peuvent se développer pour former des calculs qui grossiront graduellement.
    • Exemples de situations cliniques pouvant favoriser une sursaturation du cholestérol biliaire :
  • excès de bilirubine: la bilirubine, un pigment jaune issu de la dégradation des globules rouges, est sécrétée dans la bile par les cellules hépatiques. Certaines conditions hématologiques amènent le foie à produire trop de bilirubine lors du traitement de la dégradation de l'hémoglobine. Cet excès de bilirubine peut également provoquer la formation de calculs biliaires.
    • Exemples de pathologies augmentation la production de bilirubine : dégradation augmentée de globules rouges par la rate (ex : sphérocytose) ce qui augmente l'hème et la globine.
  • déficit de sels biliaires: la solubilité du cholestérol est influencée par la quantité de sels biliaires dans la bile.
    • Exemples de situations cliniques qui diminuent les sels biliaires dans la circulation entérohépatique :
  • hypomotilité de la vésicule biliaire ou contractilité altérée: si la vésicule biliaire ne se vide pas efficacement, la bile peut se concentrer et former des calculs biliaires.
    • Exemples de situations pouvant favoriser l'hypomotilité de la vésicule :

Les calculs de cholestérol peuvent soient être pure (10%), soient avec du calcium (70-80%). Les calculs pigmentaires sont soit noire (20-30%), soit bruns.[2]

Présentation clinique

Les symptômes et complications de la cholélithiase surviennent lorsque les calculs obstruent le canal cystique, les voies biliaires ou les deux.[1]

  • L'obstruction temporaire du canal cystique (comme lorsqu'une pierre se loge dans le canal cystique avant que le canal ne se dilate et que la pierre ne retourne dans la vésicule biliaire) entraîne des douleurs biliaires, mais elle est généralement de courte durée. Ceci est connu sous le nom de cholélithiase ou colique biliaire.
  • Une obstruction plus persistante du canal cystique (comme lorsqu'une grosse pierre se loge en permanence dans le col de la vésicule biliaire) peut entraîner une cholécystite aiguë.
  • Parfois, un calcul biliaire peut traverser le canal cystique et se loger et avoir un impact sur le canal cholédoque, ce qui provoque une obstruction et de l'ictère. Cette complication est connue sous le nom de cholédocholithiase.
  • Si les calculs biliaires traversent le canal cystique, le canal biliaire commun et sont délogés au niveau de l'ampoule de la partie distale du canal biliaire, une pancréatite biliaire aiguë peut résulter de la sauvegarde de liquide et augmenter la pression dans les canaux pancréatiques et l'activation in situ des enzymes pancréatiques.
  • Parfois, de gros calculs biliaires perforent la paroi de la vésicule biliaire et créent une fistule entre la vésicule biliaire et le petit ou le gros intestin, produisant une occlusion intestinale ou un iléus.

JE NE COMPREND PAS CETTE PARTIE:

·      Boue biliaire:

o  70% régression,

o  20% lithiases ou Cx

La section obligatoire Présentation clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

Facteurs de risque

La section facultative Facteurs de risque ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Voici les principaux facteurs de risque:[1] [2]

Il existe un truc mnémotechnique pour se rappeler sous les 5F: Female, Forty, Fatty, Fertile, Family

Voici d'autres facteurs de risque possible:[1][2]

Certains facteurs de risque sont plus spécifiques aux calculs pigmentaires noirs et bruns (2% de tous les calculs):[2][4][5][6][7][1]

Questionnaire

La section obligatoire Questionnaire ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

La présentation clinique la plus fréquente des cholélithiases est celle de la colique biliaire. Elle peut être typique ou atypique.[1]

La présentation classique de la colique biliaire comprend: [2][1]

L'histoire naturelle de la maladie va évoluer vers des complications (voir section Complications).[2]

Examen clinique

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

La colique biliaire donne généralement des résultats d'examen physique normaux. Un examen physique approfondi est utile pour distinguer les douleurs biliaires dues à une cholécystite aiguë, une cholélithiase non compliquée ou d'autres complications.[1]

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Laboratoire

Les examens paracliniques de la colique biliaire sont généralement normaux.[1]

Imagerie

Plusieurs imageries peuvent être effectués:[1][2]

  • Échographie abdominale: première ligne, meilleure modalité pour diagnostiquer
    • Sensibilité de 84% et spécificité de 99%
    • FN 5% ->15% en cholécystite aigue (VEUT DIRE QUOI, FAUX NÉGATIFS ?
    • Calculs biliaires: apparence de structures hyperéchogènes dans la vésicule biliaire avec des ombres acoustiques distales (cône d'ombre, car les ondes ne passent pas la pierre)
      • Des boues dans la vésicule biliaire peuvent également être observées, avec une apparence de superposition hyperéchogène dans la vésicule biliaire. Les boues, contrairement aux pierres, ne projettent pas d'ombrage acoustique.
      • Il est aussi possible de voir les calculs flotter dans la vésicule biliaire lors d'un changement de position
    • Soupçonner une cholécystite aiguë si la paroi de la vésicule biliaire antérieure est épaissie (> 3 mm), présence de liquide péricholécystique ou signe de Murphy échographique positif (À ENLEVER ?)
    • Soupçonner une cholédocholithiase si les mesures du canal biliaire commun (CBD) sont augmentées. (La normale est de 4 mm jusqu'à 40 ans, puis 1 mm supplémentaire par décennie supplémentaire de vie) (À ENLEVER ?)
      • Les patients post-cholécystectomie sont autorisés jusqu'à 10 mm de diamètre puisque le canal commun devient le réservoir de la bile une fois la vésicule biliaire retirée.
  • Radiographie abdominale: 15% des cholélithiases sont radio-opaques
  • Tomodensitométrie de l'abdomen
    • Beaucoup moins sensibles pour les cholélithiases
    • 50% des lithiases calcifiées peuvent être visualisées
    • Il peut être utile pour déterminer si une dilatation du canal biliaire commun est présente et peut détecter une inflammation ou des complications pancréatiques (masses, pseudo-kystes, caractéristiques nécrosantes)
    • Utile si l'échographie exclut la maladie biliaire et que d'autres causes de douleur abdominale sont recherchées.
  • Cholangio-pancréatographie par imagerie par résonance magnétique (MRCP)
    • Utile pour l'évaluation des voies biliaires intra-hépatiques et extra-hépatiques
    • C'est une méthode non-invasive

Si la présentation des cholélithiases est atypique, il faut rechercher toutes les autres causes possibles, donc il peut être pertinent de faire un scanner urinaire, une oesogastroduodénoscopie, un examen du transit intestinal ou une scintigraphie HIDA.[2]

§ CN, PUD, HH, hernie abdo, mx hépatique, grêle (JE NE COMPRENDS PAS CERTAINES ABBRÉVIATIONS...)

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Voici une liste non-exhaustive du diagnostic différentiel: [1]

  • Strictures des conduits biliaires (CA VIENT DE STAT PEARLS TRADUIT, MAIS JE NE COMPREND PAS C'EST QUOI QUAND JE CHERCHE SUR INTERNET)

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

La prise en charge varie selon le type de patient:[2]

Traitement selon le type de présentation clinique
Type Présentation clinique Traitement
1 Avec cholélithiases, sans symptômes Traitement expectative ou une chirurgie si rempli les critères de chirurgie prophylactique (voir ci-dessous)
2 Avec cholélithiases et symptômes typiques Chirurgie
3 Avec cholélithiases et symptômes atypiques Faire des investigations complémentaire. Si il n'y a pas d'autre cause trouvée, faire une une cholécystectomie (surtout si bonne réponse à l'ursodiol. La chirurgie risque de ne pas corriger les symptômes.
4 Sans cholélithiase, mais avec symptômes typiques Évaluer pour un dysfonctionnement des voies biliaires. Si l'investigation s'avère positif, faire une endocholécystectomie. Dans le cas contraire, traiter pour de la dyspepsie ou pour un syndrome du colon irritable.

Traitement médical

  • acide ursodésoxycholique : pour les lithiases de cholestérol seulement
    • Il y a une dissolution complète dans 40% des cas et 50% ont une récidive avec à l'arrêt des médicaments
    • Contre-indications: >2 cm, calcifié, calculs pigmentaires, obstruction, cholangite, pancréatite
  • lithotripsie extra-corporelle: pour les lithiases uniques entre 0,5 et 2 cm
    • Il y a une récidive dans 20% des cas
    • La méthode n'est pas approuvé par la FDA

Traitement chirurgical

Indications pour un traitement chirurgical:

  • Cholélithiases symptomatiques (Certains symptômes non-spécifiques ne seront pas soulagés par la chirurgie)
  • S'il y a des complications (voir section)
  • Si cholélithiases asymptomatique en plus des critères ci-dessous
    • (Lithiases > 2,5 cm ???) (ÉCRIT TEL QUEL DANS LE DOCUMENT DE L'APP)
    • Personnes ayant eu une greffe cardiaque ou pulmonaire (ceci ne concerne pas les greffes rénales)
      • Il y a une augmentation de la formation de cholélithiase dû à la prise de cyclosporine
    • Chirurgie bariatrique : 36% auront des cholélithiases à 6 mois
    • Hémoglobinopathie (anémie falciforme, thalassémie, sphérocytose)
    • HAIV chronique (HAIV = hépatite auto-immune, VIH ?)
    • Cholélithiases durant une chirurgie abdominale : 1/3 Sx en < 1 an : si accessible facilement, ø contamination ajoutée (JE NE COMPRENDS PAS CETTE PHRASE)
    • Vésicule de porcelaine
      • S'il y a des calcifications intramurales complètes, il y a 0% de risque de néoplasie
      • S'il y a des calcifications muqueuses sélectives, il y a 5% de risque de néoplasie
        • C'est une chirurgie ouverte dans ce cas-là
    • Dyskinésie de la vésicule biliaire

La chirurgie est une cholécystectomie.

STAT PEARLS:

La gestion des calculs biliaires peut être divisée en deux catégories: les calculs biliaires asymptomatiques et les calculs biliaires symptomatiques.[1]

Les calculs biliaires asymptomatiques nécessitent que le patient soit informé des symptômes de colique biliaire et du moment où il doit consulter un médecin. La cholélithiase sans complications peut être traitée de manière aiguë par analgésie orale ou parentérale au service des urgences ou au centre de soins d'urgence une fois le diagnostic établi et les autres diagnostics exclus. Les patients doivent également se voir proposer des conseils diététiques pour réduire le risque d'épisodes récurrents et être référés à un chirurgien généraliste pour une cholécystectomie laparoscopique élective. Aujourd'hui, la cholécystectomie laparoscopique est la norme de soins et la plupart des patients sont pris en charge en ambulatoire.[1]

Un traitement médical avec de l'acide ursodésoxycholique est une option mais pas pratique. Le patient doit avoir des calculs de moins de 1 cm avec une teneur élevée en cholestérol. Mais la thérapie peut prendre de 9 à 12 mois pour dissoudre la pierre dans seulement 50% des cas.[1]

La lithotripsie extracorporelle par ondes de choc pour les calculs biliaires non calcifiés est une autre option.[1]

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Complications

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Voici des complications possibles des cholélithiases: [1][2]

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

Les données suggèrent que seulement 50% des patients atteints de calculs biliaires développent des symptômes. Le taux de mortalité après cholécystectomie laparoscopique élective est inférieur à 1%. Cependant, la cholécystectomie d'urgence est associée à des taux de mortalité élevés. D'autres problèmes incluent des calculs dans le canal biliaire après une intervention chirurgicale, une hernie incisionnelle et une lésion du canal biliaire. Quelques pourcentages de patients développent une douleur post-cholécystectomie.[1]

Prévention

La section facultative Prévention ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Concepts clés

La cholélithiase fait partie d'un spectre de maladies biliaires qui va des patients asymptomatiques aux patients présentant de fréquents épisodes de coliques biliaires. Des complications liées aux calculs biliaires peuvent se développer, telles que la cholédocholithiase et la cholécystite. Le traitement définitif des calculs symptomatiques est la cholécystectomie. L'échographie est la principale modalité de diagnostic des calculs biliaires. Il a été démontré que l'échographie au point de service entre les mains d'opérateurs qualifiés est aussi précise que l'échographie radiologique dans la détection des calculs biliaires.

Références

__NOVEDELETE__
  1. 1,00 1,01 1,02 1,03 1,04 1,05 1,06 1,07 1,08 1,09 1,10 1,11 1,12 1,13 1,14 1,15 1,16 1,17 1,18 1,19 et 1,20 Jasmin Tanaja, Richard A. Lopez et Jehangir M. Meer, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 29262107, lire en ligne)
  2. 2,00 2,01 2,02 2,03 2,04 2,05 2,06 2,07 2,08 2,09 2,10 2,11 2,12 2,13 et 2,14 « Application de chirurgie »
  3. (en) Vasiliy Ivanovich Reshetnyak, « Concept of the pathogenesis and treatment of cholelithiasis », World Journal of Hepatology, vol. 4, no 2,‎ , p. 18–34 (PMID 22400083, Central PMCID PMC3295849, DOI 10.4254/wjh.v4.i2.18, lire en ligne)
  4. Ann Yih-Ann Chung et Meredith Colleen Duke, « Acute Biliary Disease », The Surgical Clinics of North America, vol. 98, no 5,‎ , p. 877–894 (ISSN 1558-3171, PMID 30243451, DOI 10.1016/j.suc.2018.05.003, lire en ligne)
  5. Kyo Sang Yoo, « [Management of Gallstone] », The Korean Journal of Gastroenterology = Taehan Sohwagi Hakhoe Chi, vol. 71, no 5,‎ 05 25, 2018, p. 253–259 (ISSN 2233-6869, PMID 29791983, DOI 10.4166/kjg.2018.71.5.253, lire en ligne)
  6. Charlotte Rebholz, Marcin Krawczyk et Frank Lammert, « Genetics of gallstone disease », European Journal of Clinical Investigation, vol. 48, no 7,‎ , e12935 (ISSN 1365-2362, PMID 29635711, DOI 10.1111/eci.12935, lire en ligne)
  7. Mounir Ibrahim, Shashank Sarvepalli, Gareth Morris-Stiff et Maged Rizk, « Gallstones: Watch and wait, or intervene? », Cleveland Clinic Journal of Medicine, vol. 85, no 4,‎ , p. 323–331 (ISSN 1939-2869, PMID 29634468, DOI 10.3949/ccjm.85a.17035, lire en ligne)
Les sections suivantes sont remplies automatiquement et se peupleront d'éléments à mesure que des pages sont crées sur la plateforme. Pour participer à l'effort, allez sur la page Gestion:Contribuer. Pour comprendre comment fonctionne cette section, voir Aide:Fonctions sémantiques.

Fait partie de la présentation clinique de ...

Est une complication de ...

Aucune maladie ne correspond à la requête.