Adhérences intestinales

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Adhérences intestinales
Maladie
Caractéristiques
Signes Aucun signe clinique
Symptômes
Ballonnement, Obstruction de l'intestin grêle, Nausées et vomissements (approche clinique), Infertilité (approche clinique), Douleur abdominale, Douleur abdominale aiguë (approche clinique), Asymptomatique , Nausées et vomissements en pédiatrie (approche clinique), Constipation
Diagnostic différentiel
Appendicite, Maladies inflammatoires intestinales, Endométriose, Diverticulite de Meckel, Cancer digestif, Constipation chez l'adulte (approche clinique), Dysménorrhée (approche clinique), Ischémie mésentérique chronique, Diverticulite colique aiguë, Ischémie mésentérique aiguë, ... [+]
Informations
Terme anglais Adhérences intestinales

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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

Les adhérences intestinales sont des bandes irrégulières de tissu cicatriciel qui se forment entre deux structures qui ne sont normalement pas liées ensemble. Les bandes de tissu peuvent se développer lorsque le corps guérit de toute perturbation du tissu qui survient à la suite d'une intervention chirurgicale, d'une infection, d'un traumatisme ou d'une radiothérapie. Alors que les adhérences abdominales qui se forment sont une réponse normale à la lésion de la surface péritonéale, elles sont la cause d'une morbidité importante, notamment l'obstruction intestinale adhésive (ASBO), l'infertilité chez les femmes, les douleurs abdominales chroniques et créent un environnement difficile pour l'avenir. chirurgies.[1][2][3][4] Les complications d'une intervention chirurgicale ultérieure lorsque des adhérences sont présentes peuvent inclure : accès abdominal difficile et anatomie déformée, incapacité à effectuer une chirurgie laparoscopique en toute sécurité, lésion accidentelle de l'intestin grêle, augmentation de la durée de la chirurgie de la vessie ou des uretères, [5]

Épidémiologie

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Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

Les adhérences représentent environ un pour cent de toutes les admissions en chirurgie générale et trois pour cent de toutes les laparotomies. On estime qu'il coûte aux États-Unis plus de 2 milliards de dollars par an pour la gestion des complications liées aux adhérences. Les réclamations pour faute professionnelle médicale dans des cas impliquant des adhérences surviennent très probablement en raison du défaut d'avertir les patients pendant le processus de consentement d'éventuelles blessures viscérales, du défaut d'utiliser des mesures préventives spécifiques et du défaut de diagnostiquer ou de retarder le diagnostic des complications.[5]

Étiologies

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Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

La source la plus probable d'adhérences abdominales dans le monde occidental est une chirurgie abdominale antérieure. Les chirurgies les plus probablement associées à l'occlusion intestinale grêle adhésive sont les procédures gynécologiques ouvertes, la formation de la poche iléale-anastomose anale, et enfin, la colectomie ouverte. Les autres causes d'adhérences comprennent (mais sans s'y limiter) les traumatismes, la diverticulite, la maladie de Crohn, le shunt ventriculopéritonéal (VP), la péritonite (par exemple, la péritonite tuberculeuse), la maladie inflammatoire pelvienne et la radiothérapie abdominale ou pelvienne. Des affections congénitales telles que la malrotation peuvent également être associées à des adhérences appelées bandes de Ladd.[5]

Physiopathologie

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Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

Lorsque la surface péritonéale est blessée au cours d'une intervention chirurgicale ou d'un événement traumatique, une réponse de réparation est initiée. La formation d'adhérences implique une interaction complexe de cytokines et de facteurs de croissance sécrétés par les cellules à proximité de la zone de lésion. La réponse à une blessure commence immédiatement par l'hémostase et la coagulation, qui libèrent plusieurs messagers chimiques. Les cellules messagères les plus abondantes sont les leucocytes, en particulier les macrophages, et les cellules mésothéliales. [6][7] Les macrophages envoient un signal qui attirera de nouvelles cellules mésothéliales qui réépithélialisent toute la surface péritonéale blessée (par opposition à la cicatrisation traditionnelle qui guérit d'un bord à l'autre). Cette réponse passe par une phase inflammatoire immédiate culminant les quatre à cinq jours. La présence d'adhérences dépend principalement de l'équilibre entre les dépôts de fibrine et la dégradation (fibrinolyse).[5]

Une matrice de gel de fibrine est nécessaire à la formation d'adhérences. Plusieurs systèmes enzymatiques fonctionnent pour briser la fibrine dans le péritoine qui protège contre les adhérences, comme l'activateur tissulaire du plasminogène (tPA), qui peut éliminer la matrice de gel de fibrine et réduire par la suite l'incidence des adhérences. L'étendue de la fibrinolyse et le contact des surfaces endommagées sont des événements clés dans la détermination de l'étendue de la formation d'adhérences. Une fibrinolyse incomplète et une mauvaise résorption des produits de dégradation permettent le développement de cicatrices et d'adhérences du tissu conjonctif, permettant finalement la croissance interne des fibroblastes, des capillaires et des nerfs.[5]

Présentation clinique

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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

La majorité des patients ayant des adhérences intestinales sont asymptomatiques. Environ 75 % de tous les patients présentant des symptômes liés à une maladie adhésive ont des antécédents de chirurgie abdominale. Les 25% restants ont des antécédents de processus inflammatoires intra-abdominaux ou pelviens. Les patients symptomatiques se manifestent généralement par une occlusion intestinale (complète ou partielle), une douleur chronique et une infertilité chez les femmes.[5]


  • Les adhérences sont responsables de la plupart des cas d'occlusion intestinale dans les pays occidentaux. Tout patient ayant déjà subi une chirurgie abdominale ou pelvienne présentant une obstruction doit être suspecté d'avoir des adhérences intestinales. Le plus souvent, ces patients décrivent des nausées, des vomissements, des crampes et une constipation. Une douleur périombilicale avec des crampes toutes les 4 ou 5 minutes est typique. Une douleur plus focale peut indiquer une irritation péritonéale. L'apparition soudaine d'une douleur intense peut suggérer une ischémie intestinale aiguë et une perforation possible. L'examen physique peut démontrer qu'un patient est déshydraté, a un abdomen distendu et des variations du bruit intestinal à l'auscultation. Ceux-ci peuvent être des tintements aigus ou des sons absents selon que l'intestin est ou non distendu avec de l'air ou du liquide.
  • Des douleurs abdominales chroniques ou des douleurs pelviennes peuvent être attribuées à des adhérences. Bien que cette relation soit mal comprise, il existe des preuves que des adhérences étendues peuvent limiter la mobilité naturelle des organes, entraînant une douleur viscérale.
  • Les adhérences peuvent être une source d'infertilité chez les femmes. L'interférence avec la capture et le transport des ovules ou des adhérences tubaires ou intra-utérines peut entraver le transport des spermatozoïdes et l'implantation de l'embryon.[5]

Pour tout patient suspect de symptômes liés aux adhérences, une évaluation physique complète de l'abdomen doit être réalisée. Les symptômes d'obstruction et certainement de péritonite doivent inciter à une consultation chirurgicale.[5]

Facteurs de risque

La section facultative Facteurs de risque ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Questionnaire

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Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

Examen clinique

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Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

En règle générale, un diagnostic d'adhérence est posé lorsque la suspicion clinique et un historique détaillé indiquent des facteurs de risque antérieurs. L'examen direct de l'abdomen sous forme de laparoscopie ou de laparotomie est le seul moyen direct de confirmer le diagnostic d'adhérences. L'imagerie telle que les films simples, l'échographie, la résonance magnétique, la tomodensitométrie et l'étude du contraste de l'intestin grêle peuvent être utilisées ; cependant, ceux-ci sont moins fiables que la visualisation directe pour identifier les adhérences intestinales provoquant une obstruction, mais peuvent être utiles pour poser le diagnostic d'obstruction. [8][9] Des signes tels que le « signe de pontage de graisse », une formation en forme de cordon qui contient de la graisse mésentérique forme une connexion à travers le péritoine ; torsion ou tourbillonnement du mésentère (signe de tourbillon ); et l'ancrage de l'épiploon sont des signes spécifiques d'obstruction qui peuvent être observés chez les patients présentant une obstruction due à des adhérences.[5]

L'évaluation de laboratoire typique comprend une numération formule sanguine (CBC), un panel métabolique complet (CMP) et de l'acide lactique. Bien que ceux-ci ne soient pas spécifiques, ils peuvent aider à indiquer la gravité. Les gaz du sang artériel (GAB) et les hémocultures doivent être envisagés chez les personnes présentant des signes systémiques, notamment fièvre, tachycardie, hypotension et altération de l'état mental. L'alcalose métabolique est souvent associée à des vomissements, mais l'acidose métabolique peut également être associée à une ischémie intestinale.[5]

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].


  • Cholécystite aiguë et colique biliaire[5]


  • Acidocétose alcoolique[5]


  • Constipation[5]


  • Diverticulite[5]


  • Dysménorrhée[5]


  • Perte de grossesse précoce[5]


  • Endométriose[5]


  • Calculs biliaires[5]


  • Maladie inflammatoire de l'intestin[5]

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

La plupart du traitement est centré sur les manifestations des symptômes, telles que l'occlusion intestinale secondaire aux adhérences. Le traitement initial de ces patients comprend la réanimation liquidienne par voie intraveineuse et le remplacement des électrolytes. La décompression nasogastrique peut également être bénéfique. Une consultation chirurgicale doit également être obtenue pour une éventuelle intervention chirurgicale (adhésiolyse) si nécessaire. La prise orale doit être minimisée en ambulatoire et les personnes nécessitant une hospitalisation ne doivent rien prendre par la bouche. La mise en place d'une sonde nasogastrique est souvent nécessaire pour la décompression intestinale et la gestion des nausées et des vomissements. Le contrôle de la douleur se fait avec des analgésiques intraveineux. Cependant, une douleur incessante est souvent une indication pour la chirurgie. D'autres indications pour une intervention chirurgicale comprennent une occlusion intestinale complète, une obstruction en boucle fermée, une ischémie, une nécrose ou une perforation de la paroi intestinale. Ces complications d'obstruction sont basées sur l'examen clinique et radiologique et doivent être emmenées au bloc opératoire pour une exploration abdominale en temps opportun si cela est justifié. [10][11][12] Les patients atteints de péritonite doivent avoir une consultation chirurgicale rapide. Les patients présentant davantage un processus de maladie chronique telle que la maladie de Crohn présentant une obstruction mécanique peuvent être observés et parfois suivis en ambulatoire.[5]

La prise en charge définitive des adhérences intestinales causant des symptômes est la laparoscopie ou la laparotomie avec adhésiolyse. Comme mentionné précédemment, ces procédures ne sont pas sans risques, et une divulgation complète des risques par rapport aux avantages doit être entreprise avec le patient/la famille lorsque cela est possible.[5]

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Complications

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

Prévention

La section facultative Prévention ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Concepts clés

Un domaine de recherche et un vaste champ d'amélioration comprend la prévention des adhérences péritonéales. Bien que l'utilisation de méthodes pharmacologiques n'ait pas été approuvée, l'accent a été mis sur les agents barrières pour empêcher les adhérences et la technique du chirurgien. Les principes fondamentaux de la prévention comprennent la minimisation des blessures, la création d'une barrière entre les surfaces blessées, la prévention de la coagulation excessive de l'exsudat séreux, l'élimination ou la dissolution de la fibrine déposée, la minimisation de la réponse fibroblastique aux lésions tissulaires, l'amélioration de l'activateur tissulaire du plasminogène recombinant et le nouveau fibrinolytique.[5]

Les techniques chirurgicales comprennent : [5]


  • Manipulation douce des tissus : une hémostase méticuleuse et une manipulation douce et minimale des tissus sont primordiales. Il est recommandé de prévenir les lésions séreuses en minimisant les traumatismes, les saignements excessifs et l'ischémie, et en gardant le champ opératoire humide.
  • Les éponges de laparotomie sont abrasives et doivent être évitées. Lorsqu'un emballage abdominal ou pelvien est nécessaire, placez les éponges de laparotomie dans des sacs ou des champs en plastique stériles pour minimiser les lésions tissulaires et la formation d'adhérences.
  • La prévention de la réaction de corps étrangers à un excès de suture, de peluches ou de talc minimise le dépôt de fibrine. Les sutures en soie doivent être évitées car elles sont fibrogènes.
  • La survenue d'adhérences est similaire quelle que soit la fermeture du péritoine après laparotomie.
  • La chirurgie laparoscopique minimise la manipulation des tissus et crée des incisions abdominales plus petites, qui minimisent les adhérences intestinales. Cependant, cela ne garantit pas la prévention des adhérences ; et un temps opératoire plus long et une pression d'insufflation plus élevée peuvent augmenter le risque d'adhérences.[5]

Références

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Aucune maladie ne correspond à la requête.

Est une complication de ...

Aucune maladie ne correspond à la requête.