Urétrite
Classe de maladie | |||
![]() Urétrite à N. gonorrhea | |||
Caractéristiques | |||
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Signes | Écoulement urétral, Érythème du pénis, Érythème de la vulve | ||
Symptômes |
Écoulement urétral, Pollakiurie , Dysurie , Urgenturie , Asymptomatique , Prurit de l'appareil génital féminin , Prurit de l'appareil génital masculin , Douleur au pénis , Douleur à la vulve | ||
Étiologies |
Cause idiopathique, Arthrite réactive, Haemophilus influenzae, Neisseria gonorrhoeae, Candida albicans, Adénovirus, Ureaplasma urealyticum, Irritation, Trichomonas vaginalis, Herpès simplex, Mycoplasma genitalium, Chlamydia tachomatis, Treponema pallidum, Traumatisme urétral, Neisseria meningitides, Ureaplasma parvum | ||
Informations | |||
Terme anglais | Urethritis | ||
Spécialités | Infectiologie, santé publique, urologie, gynécologie | ||
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L'urétrite est une inflammation de l'urètre[1]. Elle peut être de nature infectieuse ou non infectieuse.
Cette page indique la prise en charge syndromique.
1 Épidémiologie[modifier | w]
Il existe peu de données sur l'incidence et la prévalence de l'urétrite[2]. Cependant, il est bien documenté que les ITS sont une cause infectieuse importante de l'urétrite[3].
2 Étiologies[modifier | w]
Les causes infectieuses:
- Neisseria gonorrhoeae (30 %)[4] (gonorrhée)
- Chlamydia tachomatis (15 à 40 %)[5] (chlamydiose)
- Mycoplasma genitalium (15 à 25 %)[6] (infection à mycoplasma genitalium)
- Trichomonas vaginalis[7] (trichomonase)
- un adénovirus[8]
- le virus de l'herpès simplex (herpès génital)
- Candida albicans[9]
- Treponema pallidum: par un chancre syphyllitique endourétral, peu commun[1]
- Haemophilus influenzae: transmission par les sécrétions respiratoires lors du sexe oral, peu commun[1]
- Neisseria meningitides: transmission par les sécrétions respiratoires lors du sexe oral, peu commun[1]
- Ureaplasma urealyticum et Ureaplasma parvum chez les hommes plus jeunes et ceux avec peu de partenaires sexuels, à soupçonner lorsque les causes usuelles sont absentes[10]
Les causes non infectieuses[11]:
- l'arthrite réactive (syndrome de Reiter): de cause auto-immune
- le traumatisme : lors d'un cathétérisme intermittent, après une instrumentation urétrale ou suite à l'insertion d'un corps étranger
- l'irritation: frottement par des vêtements serrés ou de relations sexuelles, activité physique, irritants.
Plus de la moitié des cas d'urétrite n'on pas d'étiologies[3].
3 Présentation clinique[modifier | w]
3.1 Facteurs de risque[modifier | w]
Les facteurs de risque sont [12][13]:
- le jeune âge
- des activités sexuelles non protégées avec des partenaires multiples
- des antécédents personnels ou des partenaires avec antécédents d'ITS, tels que la gonorrhée, la chlamydia, l'herpès génital, etc..
- un faible niveau socio-économique.
- la toxicomanie.
3.2 Questionnaire[modifier | w]
Les symptômes sont[3] :
- une pollakiurie et une urgenturie
- un prurit (♂, ♀) ou une douleur (♂, ♀)
- chez les femmes, il peut y avoir des symptômes de cervicite associée (leucorrhée, saignement, prurit vulvaire, dyspareunie, douleur pelvienne) lorsque l'urétrite est causée par C. trachomatis ou N. gonorrhoeae.
Les symptômes de l'urétrite gonococcique apparaissent 2 à 6 jours après l'acquisition de l'infection[3].
Les symptômes de l'urétrite non gonococcique apparaissent généralement 1 à 5 semaines (généralement entre 2 et 3 semaines)[3].
Devant une douleur articulaire asymétrique et un œil rouge, il faut soupçonner l'arthrite réactive.
Pathogène | Hommes | Femmes |
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Neisseria gonorrhea[4] |
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Chlamydia trachomatis |
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Mycoplasma genitalium[14][10][15] |
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HSV |
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Adénovirus[10][4] |
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Organismes entériques et bacilles gram négatif[4] |
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Neisseria meningitides, Moraxella catarrhalis, et Streptococcus pneumonia[4] |
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3.3 Examen clinique[modifier | w]
L'examen clinique permet d'objectiver les signes suivants[3] :
- les signes vitaux: normaux
- à l'examen de l'appareil génital masculin ou gynécologique
- un écoulement urétral
- chez l'homme, l'écoulement peut être provoqué en trayant le pénis, tout écoulement doit être récupéré pour être mis en culture[16]
- un écoulement urétral purulent est évocateur d'une gonorrhée
- chez la femme, des signes de cervicite (leucorrhée, exsudat endocervical, érythème vulvaire) peuvent aussi être présent lorsque l'urétrite est causée par C. trachomatis ou N. gonorrhoeae
- chez l'homme, palper les testicules à la recherche d'une épididymite/orchite associée; un toucher rectal peut être effectué en cas de douleur pour éliminer une prostatite[16]
- un érythème du méat urinaire (♂, ♀)
- il n'y a pas d'adénopathies inguinales ou d'ulcère[16]
- un écoulement urétral
- examen rhumatologique et de l'oeil: en présence d'une synovite et d'une uvéite, penser à l'arthrite réactive.
4 Examens paracliniques[modifier | w]
Les examens paracliniques pertinents sont :
- l'analyse d'urine de première miction[17][18]:
- une estérase leucocytaire positive positive sur la bandelette urinaire ou ≥ 10 leucocytes/hpf la microscopie est évocatrice d'une urétrite
- une culture d'urine
- un PCR gonorrhée et chlamydia pour l'identification de ces pathogènes[3]
- une coloration de Gram[3]:
- ≥ 5 leucocytes polynucléaires (PN) sur un frottis dans 5 champs d'observation aléatoirement choisis et non adjacents à grossissement x 1 000 (immersion à l'huile) évoque une urétrite non gonococcique[19]
- la présence de diplocoques intracellulaires gram négatifs permet généralement de poser un diagnostic de Neisseria gonorrhoeae
- la présence de diplocoques extracellulaires gram négatifs est un résultat équivoque qui nécessite un test de confirmation pour Neisseria gonorrhoeae
- considérer un test de détection de M. genitalium cas d'urétrite persistante ou récurrente, après un traitement empirique d'une infection à chlamydia ou d'une infection gonococcique, lorsque le PCR effectué avant ou après le traitement s'est révélé négatif pour Chlamydia trachomatis et Neisseria gonorrhoeae[3].
5 Approche clinique[modifier | w]
Il convient de soupçonner une urétrite chez tout individu sexuellement actif présentant des symptômes évocateurs tels que dysurie, prurit urétral et/ou écoulement urétral.[20]
Lorsqu'une urétrite persiste ou réapparaît, il est crucial d'évaluer différentes possibilités pour déterminer la cause sous-jacente. Cela comprend la vérification de la conformité au traitement prescrit, l'examen de l'utilisation d'autres traitements, l'évaluation d'une éventuelle réexposition à l'agent pathogène, la prise en compte de la résistance aux antibiotiques, la recherche d'une infection par d'autres agents pathogènes tels que M. genitalium ou Ureplasma[10], ainsi que la considération d'autres causes possibles comme une infection urinaire, une prostatite, un phimosis, une irritation chimique, un rétrécissement de l'urètre ou des tumeurs.[21]
6 Diagnostic[modifier | w]
L'urétrite est considérée comme un diagnostic clinique dans le cadre d'une approche syndromique.
7 Diagnostic différentiel[modifier | w]
Le diagnostic différentiel est :[22]
- la cystite
- l'épididymite
- la prostatite
- la irritation chimique (par exemple, due à des spermicides et des savons)
- la cervicite
- la vaginite à candida
- le syndrome de Reiter
- le chancroide
- une lithiase vésicale.
8 Traitement[modifier | w]
La décision de traiter de façon empirique ou d'attendre les résultats des tests doit être fondée sur[3] :
- la gravité de l'état clinique
- la probabilité qu'une infection soit présente
- les facteurs de risque d'ITSS
- la disposition de la personne à s'abstenir de toute activité sexuelle et à revenir pour obtenir les résultats des tests ou faire l'objet d'un suivi.
Dans certaines circonstances, une approche basée sur l'attente des résultats d'analyses de laboratoire peut être préférable (versus un traitement empirique) puisque la plupart des cas d'urétrite sont d'étiologie inconnue et les taux de résistance aux antimicrobiens augmentent[3].
1re intention |
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2e intention | Utile si l'adhérence au traitement sera douteuse :
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Urétrite à N. gonorrhoeae[note 3] |
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Urétrite à C. trachomatis |
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9 Suivi[modifier | w]
9.1 Tests de contrôle[modifier | w]
Le test de contrôle est recommandé pour toutes les infections à gonorrhée[23].
Le test de contrôle n'est pas recommandé dans les cas de chlamydia, sauf dans les situations suivantes[23] :
- persistence ou récidive des symptômes
- grossesse
- problèmes d'observance du traitement
- traitement qui n'a pas été fait selon les lignes directries
- infection du génotype L1-3.
9.2 Urétrite persistante ou récurrente[modifier | w]
En cas d'urétrite persistante ou récurrente[3] :
- Évaluer la possibilité :
- d'une mauvaise adhérence au traitement
- l'utilisation d'un traitement autre que le traitement privilégié
- d'une réexposition
- d'une résistance antibiotique
- d'une infection par d'autres agents pathogènes (p. ex. M.genitalium);
- d'autres causes (p. ex. infection urinaire, prostatite, phimosis, irritation chimique, rétrécissement de l'urètre, tumeurs).
- Considérer :
- un prélèvement de nouveaux échantillons (urine ou écouvillonnage urétral) en vue d'une coloration de Gram et d'un PCR
- un écouvillonnage urétral ou prélèvement d'un échantillon d'urine du premier jet en vue d'un PCR pour détecter T. vaginalis[25][26]
- un écouvillonnage urétral en vue d'un PCR ou d'une mise en culture pour détecter le virus Herpes simplex, bien que l'infection au VHS soit généralement associée à des lésions[7][27]
- si cela n'a pas déjà été fait, envisager un PCR pour détecter M. genitalium, si le test de détection n'est pas disponible, envisager un traitement empirique de l'infection à M. genitalium
- envisager de consulter un collègue expérimenté ou orienter la personne vers un urologue.
9.3 Déclaration et notification aux partenaires[modifier | w]

Lorsqu'un traitement pour une ITS est indiqué, les partenaires sexuels doivent être informés, évalués, dépistés et de traités (le cas échéant)[23] :
- 60 derniers jours précédant les symptômes ou le prélèvement
- avant la fin d'un traitement ou 7 jours après un traitement à dose unique (en cas de doute concernant l'abstinence, il est recommandé d'utiliser des méthodes barrières lors de tout type de contact sexuel, que ce soit génital, oro-génital, anal ou oro-anal).
10 Complications[modifier | w]
Les complications de l'urétrite[1]:
- une prostatite
- une épididymite/orchite
- l'infertilité[note 6][28]
- la sténose urétrale[28]
- une atteinte inflammatoire pelvienne[29]
- une arthrite réactive (urétrite, uvéite, arthrite).
- le syndrome de Fitz-Hugh-Curtis
- la proctite.
11 Évolution[modifier | w]
La disparition des symptômes d'une urétrite infectieuse traitée de manière syndromique peut prendre jusqu'à 7 jours[23]. Une persistance des symptômes demande une investigation supplémentaire (voir #Urétrite persistante ou récurrente).
12 Prévention[modifier | w]
La prévention implique[30] :
- l'utilisation d'une méthode barrière (condom) lors des relations sexuelles
- l'abstinence de rapports sexuels jusqu'à ce que le patient et le(s) partenaire(s) aient été traités avec succès et ne présentent plus de symptômes
- le dépistage personnel et des cas contacts.
13 Notes[modifier | w]
- ↑ Pour que le médicament soit remboursé en totalité par la RAMQ.
- ↑ En cas de vomissement dans l'heure, administrer un anti-nauséeux et redonner la dose.
- ↑ La chlamydia et la gonorrhée sont les ITS bactériennes les plus fréquentes au Canada et la co-infection est courante. La bithérapie recommandée est efficace pour les deux.
- ↑ Pour que le médicament soit remboursé en totalité par la RAMQ.
- ↑ Le patient sera en charge de remettre ces prescriptions à ses contacts. Le médicament sera remboursée par la RAMQ.
- ↑ Par sténose des canaux éjaculateurs.
13.1 Pharmacologie[modifier | w]
14 Références[modifier | w]
- Cette page a été modifiée ou créée le 2023-06-19 à partir de Guides sur les Syndromes associés aux ITS : Urétrite (2022-07-07), écrite par les contributeurs de Santé Canada et partagée sous la licence Gouvernement ouvert. Le contenu original est disponible à https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/maladies-infectieuses/sante-sexuelle-infections-transmissibles-sexuellement/lignes-directrices-canadiennes/syndromes-associes-its/uretrite.html#a6.
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