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== Physiopathologie == | == Physiopathologie == | ||
=== Physiologie normale de la fécondation et de l'implantation<ref>{{Citation d'un ouvrage|langue=anglais|auteur1=F. Gary Cunningham, Kenneth J. Leveno, Jodi S. Dashe, Barbara L. Hoffman, Catherine Y. Spong, Brian M. Casey|titre=Williams Obstetrics|lieu=New York|éditeur=McGraw Hill|date=7 avril 2022|numéro d'édition=26|pages totales=1328|isbn=9781260462746}}</ref> === | |||
Dans le contexte d'une implantation normale, le processus débute avec la libération de l'ovocyte de 2e ordre qui est rapidement attrapé par l'infundibulum des trompes de Fallope. Le péristaltisme tubaire et le mouvement unidirectionnel des cils permettent d'acheminer l'ovocyte dans la lumière tubaire. La fécondation peut alors avoir lieu, au sein de la lumière tubaire. À partir du 3<sup>e</sup> jour post-fécondation, la morula (l'ovule fécondé) pénètre dans la cavité utérine. | |||
Après 6 à 7 jours post-fécondation, le blastocyte s'implante au sein de la paroi utérine. L'implantation se divise en trois étapes : (1) l'apposition, (2) l'adhésion et (3) l'invasion. Tout d'abord, l'apposition est le premier contact entre la paroi utérine et le blastocyte. Ensuite, l'adhésion consiste à établir un contact plus important entre le blastocyte et la paroi utérine. Et le tout se termine avec l'invasion, avec la pénétration dans le myomètre et le système vasculaire utérin. | |||
Donc, lors d'une grossesse ectopique, les mêmes étapes se produisent, mais dans un endroit anatomique non favorable au développement d'une grossesse. Comme mentionné dans l'explication du processus menant à une implantation optimale, les trompes de Fallope doivent être compétentes pour apporter l'ovule fécondé au niveau de la paroi utérine. Ceci explique pourquoi toutes atteintes au niveau de celles-ci peut entrainer un risque augmenté de grossesse ectopique ; n'importe quelle insulte au sein de la trompe engendrant un dysfonctionnement des cils tubaires ou du péristaltisme tubaire compromet l'acheminement de l'ovule fécondé dans la cavité utérine. | |||
La physiologie des premiers jours après la fécondation est également importante pour expliquer les conséquences possibles d'une grossesse ectopique. L'invasion attendue du myomètre et du système vasculaire utérin par le blastocyte explique pourquoi des grossesses abdominales, par exemple, peuvent entrainer des chocs hémorragiques. | |||
Une grossesse extra-utérine survient lorsqu'un ovule fécondé s'implante à l'extérieur de la cavité utérine.<ref name=":5">{{Citation d'un article|prénom1=Erin|nom1=Hendriks|prénom2=Rachel|nom2=Rosenberg|prénom3=Linda|nom3=Prine|titre=Ectopic Pregnancy: Diagnosis and Management|périodique=American Family Physician|volume=101|numéro=10|date=2020-05-15|issn=1532-0650|pmid=32412215|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32412215|consulté le=2024-03-17|pages=599–606}}</ref> Cet ovule fécondé peut s'implanter à plusieurs endroits tout au long du tractus génital ou encore au niveau de l'espace péritonéal. | Une grossesse extra-utérine survient lorsqu'un ovule fécondé s'implante à l'extérieur de la cavité utérine.<ref name=":5">{{Citation d'un article|prénom1=Erin|nom1=Hendriks|prénom2=Rachel|nom2=Rosenberg|prénom3=Linda|nom3=Prine|titre=Ectopic Pregnancy: Diagnosis and Management|périodique=American Family Physician|volume=101|numéro=10|date=2020-05-15|issn=1532-0650|pmid=32412215|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32412215|consulté le=2024-03-17|pages=599–606}}</ref> Cet ovule fécondé peut s'implanter à plusieurs endroits tout au long du tractus génital ou encore au niveau de l'espace péritonéal. | ||
=== Classification de la grossesse ectopique <ref name=":3" /><ref name=":0" /><ref name=":1" /> === | === Classification de la grossesse ectopique <ref name=":3" /><ref name=":0" /><ref name=":1" /> === | ||
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==== Aménorrhée secondaire ==== | ==== Aménorrhée secondaire ==== | ||
L'aménorrhée est dite secondaire en grossesse, puisqu'elle survient, généralement, après que la patiente aille déjà eu une ménarche et des cycles menstruelles. Que la grossesse soit intra- ou extra-utérine, l'aménorrhée survient suite à des niveaux de progestérone et d'œstrogène importants, ce qui suppriment l'axe hypothalamique et ainsi le cycle menstruel. | |||
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Physiopathologie}} | {{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Physiopathologie}} | ||
Version du 20 mars 2024 à 16:46
Maladie | |
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Caractéristiques | |
---|---|
Signes | Aucun signe clinique , Douleur à la mobilisation du col , Douleur à la palpation de l'abdomen, Douleur à la mobilisation des annexes , Masse à la palpation des annexes , Utérus trop petit pour l'âge gestationnel |
Symptômes |
Vertige , Syncope , Douleur abdominale , Asymptomatique , Aménorrhée secondaire , Diarrhée , Vomissement , Nausées , Douleur pelvienne , Saignement vaginal |
Diagnostic différentiel |
Grossesse, Colique néphritique, Appendicite, Avortement spontané, Rupture de kyste ovarien, Avortement spontané ou fausse couche, Torsion ovarienne, Hémorragie sous-chorionique, Gastro-entérite virale, Atteinte inflammatoire pelvienne, ... [+] |
|
La grossesse ectopique, ou grossesse extra-utérine, est définie comme l'implantation et le développement d'un blastocyte à l'extérieur de la cavité utérine.[1]
La grossesse ectopique fait partie du diagnostic différentiel du saignement de premier trimestre.[2]
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire. |
Exemple: | L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice. |
Épidémiologie
L'incidence des grossesses ectopiques est de 1 à 2% de toutes les grossesses. La rupture d'une grossesse extra-utérine est la première cause de mortalité maternelle au premier trimestre ; elle représente 75% des décès maternels au cours du premier trimestre. La grossesse ectopique représente 5 à 10% de tous les décès liés à la grossesse.[2][3][4]
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution. |
Exemple: | La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an. |
Étiologies
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies. |
Formats: | Texte, Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Étiologie |
Commentaires: |
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Exemple: | Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
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Les étiologies de la grossesse ectopiques sont :
- l'étiologie 1 - Ceci est une balise sémantique de type étiologie que vous devez modifier. (50 %)
- l'étiologie 2 - Ceci est une balise sémantique de type étiologie que vous devez aussi modifier.
- l'étiologie 3 - Copiez ce modèle pour définir d'autres étiologies.
Tous dommages ou dysfonctionnement au niveau des trompes de Fallope peut entrainer une implantation aberrante du blastocyte. [5]
Physiopathologie
Physiologie normale de la fécondation et de l'implantation[6]
Dans le contexte d'une implantation normale, le processus débute avec la libération de l'ovocyte de 2e ordre qui est rapidement attrapé par l'infundibulum des trompes de Fallope. Le péristaltisme tubaire et le mouvement unidirectionnel des cils permettent d'acheminer l'ovocyte dans la lumière tubaire. La fécondation peut alors avoir lieu, au sein de la lumière tubaire. À partir du 3e jour post-fécondation, la morula (l'ovule fécondé) pénètre dans la cavité utérine.
Après 6 à 7 jours post-fécondation, le blastocyte s'implante au sein de la paroi utérine. L'implantation se divise en trois étapes : (1) l'apposition, (2) l'adhésion et (3) l'invasion. Tout d'abord, l'apposition est le premier contact entre la paroi utérine et le blastocyte. Ensuite, l'adhésion consiste à établir un contact plus important entre le blastocyte et la paroi utérine. Et le tout se termine avec l'invasion, avec la pénétration dans le myomètre et le système vasculaire utérin.
Donc, lors d'une grossesse ectopique, les mêmes étapes se produisent, mais dans un endroit anatomique non favorable au développement d'une grossesse. Comme mentionné dans l'explication du processus menant à une implantation optimale, les trompes de Fallope doivent être compétentes pour apporter l'ovule fécondé au niveau de la paroi utérine. Ceci explique pourquoi toutes atteintes au niveau de celles-ci peut entrainer un risque augmenté de grossesse ectopique ; n'importe quelle insulte au sein de la trompe engendrant un dysfonctionnement des cils tubaires ou du péristaltisme tubaire compromet l'acheminement de l'ovule fécondé dans la cavité utérine.
La physiologie des premiers jours après la fécondation est également importante pour expliquer les conséquences possibles d'une grossesse ectopique. L'invasion attendue du myomètre et du système vasculaire utérin par le blastocyte explique pourquoi des grossesses abdominales, par exemple, peuvent entrainer des chocs hémorragiques.
Une grossesse extra-utérine survient lorsqu'un ovule fécondé s'implante à l'extérieur de la cavité utérine.[7] Cet ovule fécondé peut s'implanter à plusieurs endroits tout au long du tractus génital ou encore au niveau de l'espace péritonéal.
Classification de la grossesse ectopique [1][2][3]
La grossesse ectopique est classifiée selon l'emplacement de l'implantation du blastocyte. Pratiquement toutes les grossesses extra-utérines se produisent au niveau de la trompe de Fallope.
Classification | Localisation | Incidence[1][3] |
---|---|---|
Tubaire | Implantation dans une trompe de Fallope
|
98%
|
Interstitielle | Implantation dans la partie interstitielle de la trompe de Fallope et traverse le myomètre dans le fond utérien
|
2 à 4% |
Hétérotopique | Grossesse intra-utérine et ectopique concomitantes
|
1 à 3% |
Ovarienne | Implantation au niveau d'un ovaire
|
1/7 000 |
Abdominale | Implantation au niveau de la cavité péritonéale de l'abdomen
|
1/5 000 |
Cicatrice de césarienne | Implantation au niveau de la paroi utérine antérieure du segment utérin inférieur où réside la cicatrice d'une césarienne antérieure | 1/2 000 |
Cervicale | Implantation au niveau de la muqueuse du canal endocervicale
|
Rare |
Physiopathologie de la symptomatologie
Douleurs abdominales
La physiopathologie des douleurs abdominales, au niveau d'une grossesse ectopique tubaire, s'explique non par l'implantation en tant que tel, mais bien par l'hémorragie qui en suit. En fait, l'implantation se produit généralement dans la paroi de la trompe, au niveau du tissu conjonctif, sous la séreuse. Au niveau de l'intérieure de la trompe elle-même, une réaction minimale ou encore absente peut se produire. C'est plutôt l'envahissement du trophoblastes au sein des vaisseaux sanguins qui entraine une hémorragie locale. Cette hémorragie engendre un hématome dans l'espace sous-séreux au fur et à mesure que la grossesse progresse. La distension progressive de la trompe conduit finalement à des douleurs et à une rupture.[3]
Saignements utérins anormaux
Les saignements utérins anormaux sont dus à la desquamation de l'endomètre décidual. Ils peuvent aller d'absent à des saignements similaires aux menstruations.[7]
Aménorrhée secondaire
L'aménorrhée est dite secondaire en grossesse, puisqu'elle survient, généralement, après que la patiente aille déjà eu une ménarche et des cycles menstruelles. Que la grossesse soit intra- ou extra-utérine, l'aménorrhée survient suite à des niveaux de progestérone et d'œstrogène importants, ce qui suppriment l'axe hypothalamique et ainsi le cycle menstruel.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie. |
Exemple: | Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique. |
Présentation clinique
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
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Exemple: |
(Aucun texte)
(Texte)
(Texte)
(Texte) |
Facteurs de risque
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc. |
Formats: | Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Facteur de risque |
Commentaires: |
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Exemple: | Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
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Il est important de mentionner que 50% des patientes présentant une grossesse ectopique auront aucun facteur de risque identifiable. Les facteurs de risque sont : [2]
- la grossesse ectopique antérieure : 10% des patientes présenteront une récidive.
- à deux ATCD de grossesse ectopique, le risque de récidive augmente à 25%
- les facteurs tubaires :
- les lésions au niveau des trompes de Fallope : chirurgie ou pathologie antérieure des trompes de Fallope
- les complications d'une infection pelvienne ascendante
- la maladie inflammatoire pelvienne
- la chirurgie pelvienne antérieure
- la fécondation in vitro :
- le risque de grossesse ectopique passe de 2% (pour une conception naturelle) à 2,1 à 8,6% pour un transfert d'embryon.
- l'hypothèse est que les médicaments utilisés entrainent des taux élevés de progestérone et d'estradiol altérant ainsi le péristaltisme tubaire et la relaxation utérine[3]
- certains facteurs tels que le nombre d'embryons de transféré, le stade embryonnaire (3 jours versus 5 jours) et l'état de l'embryon (frais versus cryocongelés) peuvent avoir un impact sur ce risque.
- l'infertilité
- le tabagisme :
- la fumée de cigarette affecte potentiellement la fonction ciliaire et des muscles lisses de la trompe de Fallope[3]
- l'âge maternel avancé (>35 ans)
- l'endométriose
- la variante anatomique du système reproducteur
- l'utilisation d'un dispositif intra-utérin (DIU) :
- 53% des grossesses survenant chez les patientes ayant un DIU sont extra-utérines.
Les éléments suivants ne sont pas associés de manière significative aux grossesses ectopique : l'utilisation de contraceptifs oraux, l'interruption volontaire de grossesse, l'échec de la grossesse d'urgence, la césarienne et l'avortement spontané antérieur.
Questionnaire
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients. |
Formats: | Liste à puces |
Balises sémantiques: | Symptôme, Élément d'histoire |
Commentaires: |
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Exemple: | Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :
Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :
|
Les symptômes liés à la grossesse ectopique sont souvent non spécifiques. Ils sont : [2]
- les douleurs abdominales basses : présentes dans près de 100% des cas[3]
- unilatérale ou bilatérale
- localisée ou généralisée
- les douleurs sous-diaphragmatiques ou à l'épaule : évoquent un saignement intra-abdominal
- les saignements vaginaux : surviennent dans 75% des cas
- l'aménorrhée secondaire : environ 50% des femmes
- la syncope, les étourdissements
Examen clinique
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique. |
Formats: | Liste à puces |
Balises sémantiques: | Examen clinique, Signe clinique |
Commentaires: |
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Exemple: | L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
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L'examen clinique permet d'objectiver les signes suivants : [3]
- à l'examen abdominal:
- la sensibilité abdominale : diffuse ou localisée
- la sensibilité à la mobilisation des annexes et/ou du col
- la masse annexielle unilatérale
- les modifications utérines typiques de la grossesse : ramollissement et légère augmentation de sa taille
- les signes vitaux :
- le instabilité hémodynamique : suspecter une rupture des trompes et un saignement intra-abdominal
- à l'examen gynécologique
Comorbidités
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section énumère les comorbidités fréquemment retrouvées dans cette maladie. |
Formats: | Liste à puces |
Balises sémantiques: | Comorbidité |
Commentaires: |
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Exemple: | La dyspepsie fonctionnelle a les comorbidités suivantes :
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Les comorbidités associées à cette maladie sont:
- la comorbidité 1 - Copiez ce modèle pour définir d'autres comorbidités (25 %[8])
- la comorbidité 2 - Copiez ce modèle pour définir d'autres comorbidités (25 %[9]).
Examens paracliniques
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie. |
Formats: | Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Examen paraclinique, Signe paraclinique |
Commentaires: |
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Exemple: | Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
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Les examens paracliniques pertinents pour le diagnostic d'une grossesse ectopique sont :
- le dosage du β-hCG : permet d'établir la viabilité de la grossesse
- des taux décroissants de β-hCG
- une faible augmentation de β-hCG
- l'échographie abdomino-pelvienne (transvaginale ou transabdominale) : [3]
- une masse annexielle avec un utérus vide
- un anneau tubaire hyperéchogène (sacs liquidiens avec des anneaux échogènes épais) [5]
- un sac gestationnel avec un sac vitellin ou un embryon dans les annexes
- une masse annexielle complexe
- la formule sanguine complète : évalue les pertes sanguines et indirectement, l'état hémodynamique [3]
- le dosage sérique de progestérone [1][4]
- l'imagerie par résonnance magnétique : peut être utile pour imager une grossesse extra-utérine atypique (rarement)[3]
Approche clinique
Il est important de comprendre que le diagnostic de la grossesse ectopique n'est pas aussi simple que dans les livres. En effet, on pose habituellement un diagnostic temporaire, une grossesse à localisation indéterminée (GLI) avant de pouvoir déterminer avec certitude la présence d'une grossesse ectopique.[1]
Les protocoles de prise en charge n'ont pas une valeur diagnostique, mais une valeur prédictive. Ils permettent d'établir un faible risque ou un risque élevé de grossesse ectopique.[1]
La première étape est de prescrire un test de grossesse sérique (un dosage de β-hCG) positif. Une grossesse intra-utérine viable a 99% de chances de démontrer une augmentation de 49% des taux de β-hCG sanguin lorsque les taux initiaux sont <1 500 UI/L. Au contraire, des taux décroissants de β-hCG ou une faible augmentation (<35% en 48 heures) suggère une grossesse de localisation indéterminée (GLI) avec une précision de 80,2%[2][4]. Il convient de noter que le tiers des grossesses extra-utérines ont une progression normale des taux de β-hCG[3].
L'échographie endovaginale est utilisée pour visualiser une grossesse intra- ou extra-utérine[10]. Idéalement, elle doit être performée par un échographiste ou un radiologiste expérimentés[1] et l'échographie transvaginale est plus précise et sensible que la transabdominale[11]. Le diagnostic peut être facile lorsqu'un visualise une grossesse intra-utérine ou extra-utérine.[4] On est habituellement en mesure de détecter une grossesse intra-utérine lorsque les taux de β-hCG se retrouve entre 1 500 et 2 000 UI/L.[3]
Grossesse à localisation indéterminée
Si l'échographie ne permet pas de localiser la grossesse et que les taux de β-hCG s'avèrent positifs, le diagnostic devient alors une grossesse à localisation indéterminée (GLI)[4]. Il faut alors se fier aux dosages sériés de β-hCG et de l'état clinique de la patiente. Ce n'est pas parce que l'échographie est négative, qu'il y a une absence de grossesse intra- ou extra-utérine. Plusieurs raisons peuvent l'expliquer :
- la grossesse intra-utérine ne peut pas être visualisée puisque le sac gestationnel ne s'est pas encore développé
- la grossesse extra-utérine est trop petite pour être détectée par l'échographie[3]
La prise en charge d'une GLI doit comporter des suivis serrés avec des examens paracliniques jusqu'à ce que le diagnostic de grossesse intra-utérine viable ou de grossesse extra-utérine non viable soit posé.
Les issues possibles pour une grossesse à localisation indéterminée sont : [1]
- une grossesse intra-utérine (GIU) - 34 à 40%
- une GIU viable
- une GIU non-viable
- une grossesse à localisation indéterminée arrêtée - 44 à 69%
- lorsque les taux de β-hCG se négativent et que la localisation de la grossesse reste indéterminée.
- une grossesse à localisation indéterminée persistante - 2%
- diagnostic toutefois temporaire pouvant mener aux autres issues précédentes ou un diagnostic n'impliquant pas une grossesse comme un tératome ou une source non gynécologique.
- une grossesse extra-utérine - 8 à 14%
Lorsqu'on établit le diagnostic transitoire est posé, si ce n'est pas déjà fait, on dose la progestérone. Les taux de progestérone peuvent nous aider à évaluer la viabilité de la grossesse, et ainsi sa localisation : [4]
- un taux sérique ≤ 2 mmol/L a une spécificité d'environ 100% pour identifier une grossesse anormale
- un taux sérique > 2 mmol/L est associé à une grossesse intra-utérine normale
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement. |
Formats: | Texte, Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
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Exemple: | |
Diagnostic
La grossesse de localisation indéterminée (GLI) est un état transitoire dans le processus de diagnostic pour la grossesse ectopique [1] (ou encore une catégorisation qui suggère que la patiente a un risque de grossesse extra-utérine). Environ 15% des femmes qui subissent une échographie lors du premier trimestre reçoivent le diagnostic de GLI.[4]
Le diagnostic de la grossesse ectopique repose à la fois sur l'échographie abdomino-pelvienne et l'évolution des taux de β-hCG.[2] Il est important de mentionner qu'aucun signe ou symptôme spécifique est pathognomonique de la grossesse extra-utérine ; le diagnostic différentiel est très élargi.[3]
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent). |
Formats: | Texte, Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
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Exemple: | L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.
Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :
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Diagnostic différentiel
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic. |
Formats: | Liste à puces |
Balises sémantiques: | Diagnostic différentiel |
Commentaires: |
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Exemple: | Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
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Le diagnostic différentiel de la maladie est : [2][3]
- la grossesse normale
- la menace d'avortement
- l'avortement spontané
- l'avortement incomplet
- la rupture de kyste ovarienrupture de kyste ovarien
- la torsion ovarienne
- l'appendicite
- les calculs urinaires
- le traumatisme abdominal
- la gastro-entérite
- l'hémorragie sous-choriale lors d'une grossesse intra-utérine[7]
- la maladie inflammatoire pelvienne[7]
Traitement
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section décrit le traitement de la maladie. |
Formats: | Liste à puces, Tableau, Texte |
Balises sémantiques: | Traitement, Traitement pharmacologique |
Commentaires: |
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Exemple: | |
Une fois le diagnostic de grossesse ectopique établit, le traitement peut prendre différentes formes, allant du moins invasif au plus invasif : l'expectative, le traitement pharmacologique et le traitement chirurgical.
Le choix du traitement repose sur la symptomatologie et l'état hémodynamique de la patiente, la tendance des niveaux de β-hCG et le risque de rupture de la grossesse ectopique.[2] Le type de grossesse ectopique est également important dans la prise en charge, mais l'article présent abordera seulement la prise en charge de la grossesse ectopique[1].
Il est crucial de noter que la littérature, telle que l'essai randomisé DEMETER[12], suggère qu'il n'y a aucune différence significative quant aux taux de fertilité ultérieurs entre les traitements médicaux et chirurgicaux.[2][13]
Expectative
L'expectative est l'approche la plus conservative. Toutefois, l'expectative peut entraîner des complications graves en cas d'échec. D'où l'importance d'assurer un suivi.[1]
Il est possible, dans certains cas bien précis, d'observer et de suivre attentivement les taux de β-hCG afin de s'assurer que le corps fasse son travail et se débarrasse lui-même de la grossesse ectopique.
Indications à l'expectative
Pour être éligible à un traitement conservateur, les patientes doivent avoir tous les critères suivants : [1]
- la patiente doit être asymptomatique
- l'échographie démontre l'absence de cœur fœtal, l'absence d'hématosalpinx et la présence non significative ou l'absence de liquide libre
- un taux de β-hCG <1 000 UI/L
- un taux de β-hCG diminuant de >15-20% sur 48 heures
- la possibilité d'assurer un suivi serré et fiable
- la patiente doit comprendre et accepter les risques de l'expectative et doit avoir été informée des signes et symptômes nécessitant qu'elle se présente à l'urgence
Les taux de résolution spontanée diminuent à mesure que les niveaux de β-hCG augmentent. Par exemple, des taux de β-hCG <200 UI/L se résorberont spontanément dans 88% des cas. Il faut suivre les patientes aux 48 heures pour s'assurer que le dernier critère (ci-haut) est rempli.[2]
Traitement pharmacologie
Le traitement pharmacologique consiste à prescrire du méthotrexate ; c'est un traitement sûr et efficace[1]. Étant un antagoniste du folate, il permet l'inhibition de la division cellulaire rapide (comme dans un blastocyte), entraînant l'arrêt de la croissance de la grossesse extra-utérine. Il s'agit d'un schéma thérapeutique à dose unique ou en deux doses[1]. Le traitement pharmacologique atteinte des taux de succès de 70 à 95%. Étant un tératogène puissant, il est important d'assurer une contraception 3 mois post-traitement. [1][2]
Le traitement avec le méthotrexate demande des analyses de laboratoire comme la formule sanguine complète, une créatinine et un dosage d'ALT.
Indications au traitement pharmacologique
Pour être éligible à un traitement pharmacologique, la patiente doit rencontrer tous ces critères : [1]
- la patiente doit être asymptomatique et cliniquement stable (sans douleur abdominale)
- un taux de β-hCG <1 500 UI/L et une augmentation <20% en 48h
- l'échographie démontre, tous les éléments suivants :
- une masse annexielle <3,5 cm
- un sac vide ou hétérogène
- la présence minime ou l'absence de liquide libre
- la possibilité d'assurer un suivi serré et fiable
Contre-indications au traitement pharmacologique
Puisque le méthotrexate est un antimétabolite puissant, il affecte les tissus en prolifération, comme la moelle osseuse, la muqueuse intestinale, les cellules malignes et le tissu trophoblastique[3]. Il y a alors quelques contre-indications à son utilisation.
Les contre-indications absolues du traitement au méthotrexate sont : [1][3]
- l'insuffisance rénale ou hépatique cliniquement significative
- la dyscrasie ou la myélosuppression (leucopénie, thrombopénie, neutropénie, anémie importante)
- la fibrose pulmonaire
- les ulcères gastroduodénal actif
- l'immunosuppression
- l'infection chronique
- la grossesse intra-utérine concomitante
- l'allaitement maternel
Traitement chirurgical
Le traitement chirurgical de la grossesse ectopique a un taux de succès supérieur à celui du traitement pharmacologique. Le traitement chirurgical consiste à aller retirer directement la grossesse ectopique. Lors d'une grossesse extra-utérine tubaire, il y a principalement deux techniques utilisées :
- la salpingotomie : consiste à retirer la grossesse ectopique via une incision dans la trompe de Fallope.
- la salpingectomie : ablation d'une partie (partielle) ou de la totalité (totale) de la trompe de Fallope contenant la grossesse ectopique.
On opte habituellement, lors possible, une prise en charge minimalement invasive. Il n'existe pas de preuves solides priorisant le choix d'une technique (salpingotomie versus salpingectomie) dans la gestion chirurgicale de la plupart des grossesses tubaires.[1]
Comparaison entre la salpingotomie et la salpingectomie[1]
Salpingotomie | Salpingectomie | |
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Avantages | La salpingotomie permet de :
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La salpingectomie permet de :
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Inconvénients | la salpingotomie entraine :
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La salpingectomie entraine :
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Indications pour le traitement chirurgical
Les indications faisant opter pour une intervention chirurgicale sont : [1]
- la présence de signes de rupture de la grossesse ectopique
- la présence de contre-indications pour un traitement pharmacologique et/ou l'expectative
- la préférence personnelle de la patiente
- le développement de symptôme ou d'instabilité hémodynamique chez une patiente sous méthotrexate
Traitement d'urgence
Il est important de reconnaître une rupture de grossesse ectopique et de prodiguer un traitement chirurgical d'urgence. Il est essentiel de faire immédiatement appel à la banque de sang pour demander des produits sanguins.
La prévention de la sensibilisation maternelle à l'antigène Rhésus D (le WhiRho) doit également être administré chez toutes les femmes ayant un Rh négatif.[3]
Traitement psychologique
Les interventions psychologiques sont cruciales dans la prise en charge d’une patiente ayant une grossesse à localisation indéterminée ou une grossesse ectopique. Le counseling et l’éducation (sur les interventions médicales possibles, les complications physiques et psychologiques des interventions et sur les soins péri- et post-opératoires) des patientes sont primordiaux et permettent d’améliorer la santé mentale et l’estime de soi [14].
Suivi
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section traite du suivi de la maladie. |
Formats: | Texte |
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Exemple: | |
Complications
Les complications de la grossesse ectopique sont : [7]
- une rupture de la grossesse ectopique
- une infertilité secondaire due aux cicatrices ou au traitement chirurgical ayant mener à la perte d'une trompe de Fallope, par exemple.
- un risque accru de récidive de grossesse ectopique
Rupture de la grossesse ectopique
Une des complications possible est la rupture de la grossesse extra-utérine. Elle est habituellement spontanée.[3] Le taux de rupture d'une grossesse ectopique tubaire est de 15% dans les pays occidentaux.[2]
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section traite des complications possibles de la maladie. |
Formats: | Liste à puces, Texte |
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Exemple: | Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
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Évolution
Le pronostic est généralement bon chez les patientes ayant reçue un traitement approprié. Aux États-Unis, le taux de décès n'est que de 3,8 décès pour 10 000 grossesses ectopiques. La fertilité des patientes ayant eu une grossesse ectopique peut être compromis, peu dépendant du traitement utilisé. [7]
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps. |
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Exemple: | La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an. |
Prévention
Les interventions pouvant être mises en place pour prévenir les grossesses ectopiques se basent essentiellement sur les facteurs de risque. La prévention primaire consiste alors en : [2][7]
- la prévention et le traitement précoce des précoce des infections transmises sexuelles et par le sang (afin de prévenir les lésions au niveau de trompes de Fallope)
- la cessation tabagique
Une échographie endovaginale précoce et un suivi des taux de β-hCG peuvent être offerts chez les patientes ayant des facteurs de risque d'une grossesse ectopique.[7]
Prévention de l'allo immunisation maternelle
La prévention de la sensibilisation maternelle à l'antigène Rhésus D (le WhiRho) doit également être administré chez toutes les femmes ayant un Rh négatif et ayant reçu un diagnostic de grossesse extra-utérine.[3]
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent). |
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Exemple: | La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
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Références
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Description: | Dans la section références se trouve toutes les références (références sans groupe). Pour ajouter des références, passez par la fonction d'ajout de références. N'ajoutez pas de références manuellement. |
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- ↑ 1,00 1,01 1,02 1,03 1,04 1,05 1,06 1,07 1,08 1,09 1,10 1,11 1,12 1,13 1,14 1,15 1,16 1,17 1,18 1,19 1,20 1,21 et 1,22 Leslie Po, Jacqueline Thomas, Kelsey Mills et Andrew Zakhari, « Directive clinique no 414 : Prise en charge des grossesses de localisation indéterminée et des grossesses ectopiques tubaires et non tubaires », Journal of Obstetrics and Gynaecology Canada, vol. 43, no 5, , p. 631–649.e1 (ISSN 1701-2163, DOI 10.1016/j.jogc.2021.01.001, lire en ligne)
- ↑ 2,00 2,01 2,02 2,03 2,04 2,05 2,06 2,07 2,08 2,09 2,10 2,11 2,12 et 2,13 Kellie Mullany, Madeline Minneci, Ryan Monjazeb et Olivia C Coiado, « Overview of ectopic pregnancy diagnosis, management, and innovation », Women's Health (London, England), vol. 19, , p. 17455057231160349 (ISSN 1745-5065, PMID 36999281, Central PMCID PMC10071153, DOI 10.1177/17455057231160349, lire en ligne)
- ↑ 3,00 3,01 3,02 3,03 3,04 3,05 3,06 3,07 3,08 3,09 3,10 3,11 3,12 3,13 3,14 3,15 3,16 3,17 3,18 3,19 et 3,20 (en) Surette, AnnMarie et M. Dunham, Samantha et al., Current diagnosis & treatment : obstetrics & gynecology, New-York, McGraw-Hill Education, coll. « Lange medical book. », , 12e éd. (ISBN 978-0-07-183390-5), p. Chapitre 13
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