Laryngotrachéite virale aiguë chez l'enfant

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Laryngotrachéite virale aiguë chez l'enfant
Maladie
Caractéristiques
Signes Stridor, Tachycardie , Tirage , Tachypnée , Battement des ailes du nez, Cyanose , Hypoxémie (signe paraclinique), Température corporelle élevée
Symptômes
Dyspnée , Détresse respiratoire, Infection des voies respiratoires supérieures, Dysphonie, Toux
Diagnostic différentiel
Bronchiolite, Diphtérie, Abcès rétropharyngé, Inhalation de fumée, Abcès périamygdalien, Trachéite bactérienne, Hémangiome laryngé, Cancer du larynx, Anaphylaxie, Épiglottite, ... [+]
Informations
Wikidata ID Q836356

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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.


#1 formulation si l'on garde laryngotrachéite

La laryngotrachéite est la cause la plus fréquente d'obstruction des voies respiratoires supérieures chez l'enfant. [1] Elle touche le larynx et les voies respiratoires sous-glottiques. [2] La laryngotrachéite peut également être appelée "Croup", mais il faut noter que ce terme englobe les affections respiratoires du larynx, de la trachée et des bronches notamment la laryngotrachéobronchite et la laryngotrachéobronchopneumonite. [3]


#2 formulation si l'on change pour CROUP

Le croup est la cause la plus fréquente d'obstruction des voies respiratoires supérieures chez l'enfant. [1] Laryngotracheite, la laryngotracheobronchite et la laryngotracheobronchopneumonite sont toutes incluses dans le spectre du croup, qui une affection respiratoire commune touchant la trachée, du larynx et les bronches. [3] [4]

Épidémiologie

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Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

Le croup touche typiquement les jeunes enfants et entraine des taux importants de consultations à l'urgence (soit une proportion de 3.2% à 5.1% des consultations à l'urgence en Alberta chez les moins de 2 ans) et d'hospitalisation au Canada. [5] Le même phénomène est observé aux États-Unis puisque le croup représente 7 % des hospitalisations chez les enfants de moins de cinq ans.[6] Le croup affecte environ 3 % des enfants par an, généralement entre 6 mois et trois ans.[7] Un pic d'incidence vers 2 ans est observé. [1] Il est plus fréquent chez les garçons que chez les filles avec un ratio de 1,5:1. Environ 85 % des cas sont définis comme un croup léger et moins de 1 % sont considérés comme un croup sévère.[8]

Étiologies

La section facultative Étiologies ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].


L'étiologie est le plus souvent virale, certains cas étant causés par des bactéries. Le virus parainfluenza est responsable à lui seul de 75% des cas. [3]

Les autres virus causes comprennent l'influenza A et B, la rougeole, l'adénovirus, le virus respiratoire syncytial (VRS) [3], le métapneumovirus [5]et l'entérovirus[4].


Option si l'on décide d'inclure les causes bactériennes

  • Le croup bactérien est divisé en diphtérie laryngée, trachéite bactérienne, laryngotrachéobronchite et laryngotrachéobronchopneumonie.
  • La diphtérie laryngée est causée par Corynebacterium diphtheriae. La trachéite bactérienne, la laryngotrachéobronchite et la laryngotrachéobronchopneumonie commencent généralement par des infections virales, qui s'aggravent en raison de la croissance bactérienne secondaire.
  • Les causes bactériennes courantes sont Staphylococcus aureus, Streptococcus pneumoniae, Hemophilus influenzae et Moraxella catarrhalis.[8]

Physiopathologie

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Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

Le croup est une inflammation des voies respiratoires qui provoque un oedème du larynx, de la trachée et des grandes bronches en raison de l'infiltration de globules blancs. Le gonflement entraîne une obstruction partielle des voies respiratoires supérieures, soit un rétrécissement des voies respiratoires supérieures variable selon l'atteinte qui mène à une altération du flux d'air responsable des manifestations cliniques du croup. [3][4]

Présentation clinique

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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

Le croup se caractérise par une toux « semblable à un aboiement de phoque », un stridor inspiratoire, un enrouement et des difficultés respiratoires, qui s'aggravent généralement la nuit. L'agitation aggrave le stridor et peut être entendue au repos. D'autres symptômes incluent la fièvre et la dyspnée, mais l'absence de fièvre ne devrait pas réduire la suspicion de croup. La fréquence respiratoire et la fréquence cardiaque peuvent également être augmentées avec une fréquence respiratoire normale comprise entre 20 et 30 respirations par minute. L'inspection visuelle de l'évasement nasal, de la rétraction et rarement de la cyanose augmente la suspicion de croup.[8]

présentation typique:

  • 1 à 2 jours d'infection des voies respiratoires supérieures (URI) suivie d'une toux aboyante et d'un stridor
  • Fièvre légère
  • Pas de bave ni de dysphagie
  • La durée est de 3 à 7 jours avec les symptômes les plus sévères les jours 3 ou 4[8]

Facteurs de risque

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Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Les facteurs de risque connus sont associés spécifiqueemnt au croup récurrent, soit plus de 2 épisodes par années, et sont les suivants:[4]

Questionnaire

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Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

Les symptômes de cette maladie sont :

Examen clinique

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

L'examen clinique permet d'objectiver les signes suivants :

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Les examens paracliniques pertinents sont :

Le système le plus couramment utilisé pour classer la gravité du croup est le score de Westley allant de 0 à 17 points divisé par cinq facteurs : stridor, rétractions, cyanose, niveau de conscience et entrée d'air.[8]


  • Stridor inspiratoire : 0 (aucun) ; 1 (lorsqu'il est agité); 2 (Au repos)
  • Rétractations : 0 (Aucun) ; 1 (léger); 2 (modéré); 3 (sévère)
  • Entrée d'air : 0 (Normal) ; 1 (diminué); 2 (nettement diminué)
  • Cyanose : 0 (aucune) ; 4 (En pleurant); 5 (au repos)
  • Niveau de conscience : 0 (Alerte) ; 5 (Désorienté)[8]

Un score de Westley inférieur ou égal à 2 indique un croup léger.[8]

Un score de Westley entre 3 et 5 indique un croup modéré.[8]

Un score de Westley entre 6 et 11 indique un croup sévère et un score supérieur à 12 indique une insuffisance respiratoire imminente.[8]

Plus de 85 % des enfants présentent une maladie bénigne ; le croup sévère est rare (moins de 1%).[8]

Le croup est généralement un diagnostic clinique basé sur des signes et des symptômes.[8]


  • Envisager des lavages nasaux pour les sérologies de la grippe, du virus respiratoire syncytial et de la parainfluenza.
  • Exclure d'autres conditions obstructives, telles que l'épiglottite, un corps étranger des voies respiratoires, une sténose sous-glottique, un œdème de Quincke, un abcès rétropharyngé et une trachéite bactérienne.
  • Une radiographie frontale du cou peut être envisagée mais n'est pas réalisée en routine. Elle peut montrer un rétrécissement caractéristique de la trachée dans 50 % des cas, appelé signe du clocher, en raison de la sténose sous-glottique, qui ressemble à un clocher.
  • Les tests sanguins et la culture virale sont déconseillés, car ils peuvent provoquer une agitation inutile et entraîner un gonflement et une obstruction supplémentaires des voies respiratoires.
  • Les cultures virales, par aspiration nasopharyngée, peuvent confirmer la cause mais sont généralement limitées aux paramètres de recherche.
  • Tenez compte de l'étiologie bactérienne primaire ou secondaire si un patient ne répond pas aux traitements standard.[8]

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Le diagnostic différentiel de la maladie est :

Le diagnostic différentiel comprend la trachéite bactérienne, l'épiglottite, l'aspiration de corps étranger, l'hémangiome, l'abcès périamygdalien, le néoplasme, l'abcès rétropharyngé et l'inhalation de fumée. Il est extrêmement important de distinguer le croup de l'épiglottite en raison de la détérioration rapide des patients. La toux est très sensible et spécifique au croup, tandis que la bave est très sensible et spécifique à l'épiglotte.[37] D'autres symptômes à surveiller chez les enfants atteints d'épiglottite comprennent la dysphagie aiguë, l'odynophagie, une forte fièvre et une voix étouffée. Les enfants atteints d'abcès périamygdalien peuvent avoir mal à la gorge, de la fièvre et la voix classique de la "patate chaude". Les enfants atteints d'abcès rétropharyngé peuvent aussi avoir de la fièvre, baver, dysphagie, odynophagie mais aussi avoir des cervicalgies avec une paroi postérieure du pharynx bombée sur la radiographie du cou.[8]

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 
Pages complémentaires

Les traitements proposés sont les suivants :

  • le programme d'exercice 1
    • Exemple de recommandation. [B, 2]
  • le traitement non pharmacologique 2
  • Médicament 80 mg
  • l'absence d'intervention dans les circonstances suivantes ...
  • ...
  • Le traitement dépend de la gravité en fonction du score de croup de Westley. Les enfants atteints de croup léger défini comme un score de croup de Westley inférieur à 2 reçoivent une dose unique de dexaméthasone. Les enfants présentant un croup modéré à sévère défini comme un score de croup de Westley supérieur à 3 reçoivent de l'épinéphrine par nébulisation en plus de la dexaméthasone.[38] Les patients dont la saturation en oxygène est réduite doivent recevoir de l'oxygène supplémentaire. Les cas modérés à graves nécessitent jusqu'à 4 heures d'observation, et si les symptômes ne s'améliorent pas, une admission est requise.[8]


    Stéroïdes UNIQréf0000001B-QINU`"'?


    • Les corticostéroïdes, tels que la dexaméthasone, entraînent une résolution plus rapide des symptômes, une diminution du retour aux soins médicaux et une diminution de la durée du séjour.[39]
    • La dexaméthasone est supérieure au budésonide pour améliorer les scores des symptômes, mais il n'y a pas de différence dans les taux de réadmission.
    • La dexaméthasone à une dose de 0,15 mg/kg, 0,3 mg/kg et 0,6 mg/kg semble être aussi efficace, 0,6 mg/kg étant la dose la plus couramment utilisée.[8]


    Épinéphrine UNIQréf0000001E-QINU`"'?


    • Pour les cas modérés à graves, il a été constaté que l'épinéphrine racémique nébulisée améliore les scores de symptômes à 30 minutes, mais les avantages peuvent s'estomper après 2 heures. Les recommandations actuelles préconisent une période d'observation prolongée chez les patients recevant de l'épinéphrine racémique. Si les symptômes ne s'aggravent pas après 4 heures d'observation, envisager un retour à domicile avec un suivi rapproché.
    • 0,5 ml par kg de L-épinéphrine 1:1000 via un nébuliseur était plus efficace que l'épinéphrine racémique à deux heures en raison de ses effets plus longs.[40][8]


    Oxygène UNIQréf00000021-QINU`"'?


    • Délivrer de l'oxygène par administration "blow-by" car cela provoque moins d'agitation que l'utilisation d'un masque ou d'une canule nasale.[8]


    Intubation UNIQréf00000023-QINU`"'?


    • Environ 0,2 % des enfants ont besoin d'une intubation endotrachéale pour l'assistance respiratoire.
    • Utilisez le tube qui est une demi-taille plus petite que la normale pour l'âge/la taille du patient pour tenir compte du rétrécissement des voies respiratoires dû au gonflement et à l'inflammation.[8]


    Vapeur chaude UNIQréf00000025-QINU`"'?


    • Les études n'ont pas démontré d'amélioration significative avec l'administration de vapeur chaude inhalée ou d'air humidifié.[8]


    Médicaments contre la toux UNIQréf00000027-QINU`"'?


    • Les médicaments contre la toux, qui contiennent généralement du dextrométhorphane ou de la guaifénésine, sont déconseillés.[8]


    Héliox UNIQréf00000029-QINU`"'?


    • Peu de preuves soutiennent l'utilisation systématique de l'héliox dans le traitement du croup.[8]


    Antibiotiques UNIQréf0000002B-QINU`"'?


    • Le croup est le plus souvent une maladie virale. Les antibiotiques sont réservés aux cas où une infection bactérienne primaire ou secondaire est suspectée.
    • En cas d'infection bactérienne secondaire, la vancomycine et le céfotaxime sont recommandés.
    • Dans les cas graves associés à la grippe A ou B, des inhibiteurs antiviraux de la neuraminidase peuvent être utilisés.[8]

    Suivi

    La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
    Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

    Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
    Formats:Texte
    Balises sémantiques:
    Commentaires:
     
    • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
    • Quels doivent être les consignes données au patient ?
    • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
    • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
    Exemple:
     

    Complications

    La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
    Toute contribution serait appréciée.

    Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
    Formats:Liste à puces, Texte
    Balises sémantiques: Complication
    Commentaires:
     
    • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
    • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
    • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
      • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
      • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
    • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
    • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
    • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
    • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
    Exemple:
     
    Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
    • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
    • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
    • la tachycardie ventriculaire [Complication]
    • le bloc AV de haut grade [Complication].

    Les complications de cette maladie sont :

    Lorsqu'il n'y a pas de complications, l'indiquer avec aucune complication.

    Évolution

    La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
    Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

    Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
    Formats:Texte
    Balises sémantiques:
    Commentaires:
     
    Exemple:
     
    La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

    Prévention

    La section facultative Prévention ne contient pour le moment aucune information.
    Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

    Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
    Formats:Texte
    Balises sémantiques:
    Commentaires:
     
    Exemple:
     
    La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
    • l'arrêt tabagique
    • l'activité physique régulière
    • la perte de poids si obésité
    • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
    • éviter toute consommation de cocaïne.

    Concepts clés

    Le croup est une maladie spontanément résolutive, la plupart des cas se résolvant en quelques jours. Les complications peu fréquentes peuvent inclure une trachéite bactérienne, une pneumonie, un œdème pulmonaire et, rarement, la mort.[8]

    La vaccination contre la grippe et la diphtérie peut réduire l'incidence du croup.[8]


    Disposition UNIQréf0000002F-QINU`"'?


    Décharge UNIQréf00000030-QINU`"'?


    • Trois heures depuis la dernière nébulisation d'épinéphrine racémique
    • Capable de tolérer les fluides oraux
    • Aspect non toxique
    • Parents fiables et bonne compréhension des précautions de retour
    • Suivi étroit pour les cas modérés ou graves jugés appropriés pour la sortie[8]


    Admettre UNIQréf00000032-QINU`"'?


    • Signes et symptômes respiratoires persistants après deux traitements ou plus avec de l'épinéphrine
    • Aggravation des symptômes
    • Envisagez l'admission ou des périodes d'observation plus longues et pour les visites répétées[8]

    Références

    __NOVEDELETE__
    1. 1,0 1,1 et 1,2 « Bottom Line Recommendations: Croup (2020) »
    2. « Croup: Clinical features, evaluation, and diagnosis »
    3. 3,0 3,1 3,2 3,3 et 3,4 Omeed Sizar et Barbara Carr, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 28613724, lire en ligne)
    4. 4,0 4,1 4,2 et 4,3 (en-US) Dustin K. Smith, Andrew J. McDermott et John F. Sullivan, « Croup: Diagnosis and Management », American Family Physician, vol. 97, no 9,‎ , p. 575–580 (lire en ligne)
    5. 5,0 et 5,1 Société canadienne de pédiatrie, « La prise en charge du croup à la salle d’urgence | Société canadienne de pédiatrie », sur cps.ca (consulté le 7 avril 2023)
    6. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19159905
    7. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25263284
    8. 8,00 8,01 8,02 8,03 8,04 8,05 8,06 8,07 8,08 8,09 8,10 8,11 8,12 8,13 8,14 8,15 8,16 8,17 8,18 8,19 8,20 8,21 8,22 8,23 8,24 et 8,25 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28613724
    9. url
    10. url
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    26. url
    27. url
    28. url
    29. url
    30. url
    31. url
    32. url
    33. url
    34. url
    35. url
    36. url
    37. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21091577
    38. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23939212
    39. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15385657
    40. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26463007
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    Fait partie de la présentation clinique de ...

    Aucune maladie ne correspond à la requête.

    Est une complication de ...