Hypothyroïdie

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Hypothyroïdie
Maladie
Caractéristiques
Signes Macroglossie, Oedème des membres inférieurs, Galactorrhée , Prise de poids, Masse cervicale, Bradypnée, Ralentissement psychomoteur, Xérose cutanée, Bradycardie , Aucun signe clinique , ... [+]
Symptômes
Pâleur, Prise de poids, Céphalée , Ménorragies , Oligoménorrhée , Ralentissement psychomoteur, Fatigue , Xérose cutanée, Écoulement mammaire , Asymptomatique , ... [+]
Diagnostic différentiel
Maladie de Chagas, Maladie de Lyme, Hyperthyroïdie, Anémie, Maladie d'Addison, Syndrome coronarien aigu, Hypopituitarisme, Maladie rhumatologique, Hypersensibilité du sinus carotidien, Syndrome de fatigue chronique, ... [+]
Informations
Wikidata ID Q16501

Page non révisée
La section obligatoire Définition ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

L'hypothyroïdie est le déficit en hormones thyroïdiennes T3 et T4[1][2].

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

La dysfonction thyroïdienne (c'est-à-dire l'hypothyroïdie ou l'hyperthyroïdie) touche environ 10 % des Canadiens âgés de 45 ans ou plus[3]. La prévalence est plus élevée chez les femmes (16 %) que chez les hommes (4 %)[3]. Elle est également plus élevée chez les adultes de plus de 85 ans (16 %)[3].

La prévalence de l'hypothyroïdie augmente avec l'âge[4] et varie de 1 % à 2 %[4]

Au Canada, les tests de dépistage permettent de déceler 1 bébé atteint d’hypothyroïdie sur 4000 à 5000 nouveau-nés en bonne santé[5].

Environs 0,3 à 0,4% de la population provenant de pays ayant suffisamment d'iode, souffrirait d'hypothyroïdie manifeste. Un plus grand pourcentage, 4,3 à 8,5 %, souffrirait d'hypothyroïdie subclinique. Parmi ces personnes, 80 % ont un taux de TSH inférieur à la barre des 10 mUI/l[6].

La maladie thyroïdienne auto-immune (thyroïdite de Hashimoto) est la cause la plus fréquente d'hypothyroïdie dans les pays riches en iode comme le Canada ou les Etats Unis[4]. A l'échelle mondiale, le manque d'iode dans l'alimentation est la cause la plus fréquente[4].

Physiopathologie

La section facultative Physiopathologie ne contient pour le moment aucune information.
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Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.
Schéma d'une personne avec une grosse flèche bleue représentant les actions de la thyroxine sur le corps et une flèche verte et rouge représentant respectivement les actions de la TSH et de la TRH
Schéma de l'axe hypothalamo-hypophyso-thyroïdien. L'hypothalamus sécrète la TRH (verte) qui stimule la production de TSH (rouge) par l'hypophyse. Ceci, à son tour, stimule la production de thyroxine par la thyroïde (bleu). Les niveaux de thyroxine diminuent la production de TRH et de TSH par un processus de rétroaction négative.

La glande thyroïde synthétise et sécrète environ 100 à 125 nmol par jour de thyroxine (T4)[7]. Sa demi-vie est de 7 à 10 jours. Elle est convertie en triiodothyronine (T3) périphériquement par 5'-désiodation[7]. La triiodothyronine se lie au récepteur de l'hormone thyroïdienne dans le noyau des cellules[8][9], ce qui stimule toutes sortes de processus tels que la formation de vaisseaux sanguins et la croissance cellulaire[10].Dans le sang, presque toutes les hormones thyroïdiennes (99,97 %) sont liées à des protéines plasmatiques telles que globuline liant la thyroxine ; seule l'hormone thyroïdienne libre non liée est biologiquement active.[11] Le processus de formation des hormones thyroïdiennes nécessite l'iode. L'iode dans le sang est absorbé par la glande et incorporé dans les molécules de thyroglobuline. Le processus est contrôlé par la hormone stimulant la thyroïde (TSH, thyrotropine), qui est sécrétée par l'hypophyse. La production de TSH par l'hypophyse antérieure est stimulée à son tour par la thyrotropin-releasing hormone (TRH), libérée par l'hypothalamus. La production de TSH et de TRH est diminuée par la thyroxine par un processus de rétroaction négative.[12] En cas d'hypothyroïdie, la baisse de la production de T4 entraîne une augmentation de la sécrétion de TSH par l'hypophyse, provoquant une hypertrophie et une hyperplasie du parenchyme thyroïdien.

L'hypothyroïdie est principalement divisée en deux catégories, l'hypothyroïdie primaire et centrale. L'hypothyroïdie est appelée primaire lorsque la glande thyroïde elle-même n'est pas capable de produire des quantités adéquates d'hormones thyroïdiennes. L'hypothyroïdie moins courante, secondaire ou centrale, est étiquetée lorsque la glande thyroïde elle-même est normale et que la pathologie est liée à l'hypophyse ou à l'hypothalamus[13].

Les maladies thyroïdiennes auto-immunes sont les principales causes d'hypothyroïdie dans les régions où l'iode est suffisante. La thyroïdite d'Hashimoto est la plus courante.

L'étiologie peut être influencée localement par l'enrichissement en iode et l'émergence de nouvelles zones carencées en iode. perchlorate, rifampicine, éthionamide, phénobarbital, phénytoïne, carbamazépine, interleukine-2 et lithium[14].

Les étiologies de l'hypothyroïdie primaire sont :

Les étiologies de l'hypothyroïdie centrale (secondaire et tertiaires) sont [15]:


La grossesse entraîne des changements marqués dans la physiologie des hormones thyroïdiennes. La taille de la glande augmente de 10 %, la production de thyroxine est augmentée de 50 % et les besoins en iode sont augmentés. De nombreuses femmes ont une fonction thyroïdienne normale mais présentent des signes immunologiques d'auto-immunité thyroïdienne (comme en témoignent les auto-anticorps) ou présentent une carence en iode et développent des signes d'hypothyroïdie avant ou après l'accouchement.

Présentation clinique

Facteurs de risque

Les facteurs de risque sont[17] :

Questionnaire

La section obligatoire Questionnaire ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

Les symptômes peuvent être non spécifiques, légers, voire inexistants. L'entrevue vise à rechercher:

Examen clinique

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

L'examen clinique permet d'objectiver les signes suivants :

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Les examens paracliniques sont :

Pour le diagnostic positif:

  • TSH:
    • élévation du taux de TSH en cas d'hypothyroïdie primaire
    • TSH anormalement basse en cas d'hypothyroïdie secondaire (rarement)
  • T4 totale et T4 libre
    • Taux de T4 diminué
  • T3 totale et T3 libre
    • Taux diminué
  • TBG (Thyroid Binding Globulin)
    • taux est normal en cas d'hypothyroïdie vraie[22]

Pour le retentissement:

Pour le bilan étiologique:


Notes:

Les anticorps antithyroglobuline n'ont quasiment aucun intérêt dans le cadre de l'hypothyroïdie, exception faite du suivi d'un cancer de thyroïde[23]

T3 total et libre

  • American Association of Clinical Endocrinologists (AACE) et American Thyroid Association (ATA) n’ont pas recommandé leur utilisation pour le diagnostic de l’hypothyroïdie[24]

Il n'est pas recommandé de faire un dépistage de l'hypothyroïdie par dosage de marqueurs thyroïdiens ou par anti TPO dans la population asymptomatique qui n'est pas à risque de développer une hypothyroïdie[25][26]

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Le diagnostic différentiel de la maladie se fait principalement avec[20] :

Si la fatigue est le symptôme prédominant[27]:

En cas de bradycardie[20]:

En cas de TSH élevée:

  • syndrome de résistance à la TSH[28]
  • adénome hypophysaire thyréotrope[29] (à discuter)

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

Le traitement standard de l'hypothyroïdie se base sur l'hormone thyroïdienne synthétique :

  • la lévothyroxine (T4):
    • Dose initiale[30]:
      • Si sujet âgé de > 60 ans ou atteints d'une maladie coronarienne ou d'une fibrillation auriculaire, commencer habituellement par une dose initiale de 25 à 50 mcg/jour (dose réduite)[31]
      • Si sujet jeune sans maladie coronarienne sous-jacente, la dose initiale habituelle est de 1.6 mcg/kg/jour
      • Si nourrissons suspectés d'hypothyroïdie congénitale dose initiale recommandée est de 10 à 15 mcg/kg/jour
    • Modes d'administration habituels
      • Comprimés pris par voie orale
      • Solution intraveineuse: indiquée lorsqu'un patient est incapable de prendre un remplacement thyroïdien par voie orale ou en cas de suspicion de coma myxoedémateux. La dose de lévothyroxine est alors réduite à généralement 50% à 80% de la dose orale. [13]
      • Note 1: Chez les nourrissons, les comprimés sont le plus souvent utilisés. Ils doivent être écrasés et mélangés avec du lait maternel, du lait maternisé (à l'exception du lait maternisé à base de protéines de soja) ou de l'eau.
      • Note 2: Les formulations liquides commerciales de lévothyroxine sont approuvées par la Food and Drug Administration des États-Unis pour les enfants de tout âge. Cependant, l'expérience de l'utilisation de préparations liquides pour traiter les nourrissons atteints d'hypothyroïdie congénitale est limitée et le dosage peut ne pas être équivalent au dosage avec des comprimés.
    • Précautions d'emploi:
      • Afin de faciliter l'absorption, la lévothyroxine doit être prise 30 à 45 minutes avant le petit-déjeuner et au moins 3 heures après le repas au coucher, ce qui est le moment idéal pour la plupart des patients[32].
      • Les suppléments élémentaires tels que le calcium, et le magnésium, ainsi que les inhibiteurs de la pompe à protons diminuent l'absorption de la lévothyroxine[31][32].
      • La dose est habituellement ajustée par paliers successif selon la TSH de contrôle[32]

Note: Il n'est pas recommandé de donner une combinaison de T3-T4 pour le traitement de l'hypothyroïdie[33]

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Le suivi se fait au début chaque mois, avec un examen physique à la recherche de signes cliniques d'hypothyroïdie et un bilan thyroïdien qui doit être prélevé toutes les 6 à 8 semaines jusqu'à ce que les niveaux cibles soient atteints[15] (source 2: https://www.chusj.org/getmedia/7ec7c8d2-6c09-4e4d-a1f9-01c9943d3347/depliant_F-1922_hypothyroidie-congenitale_FR.pdf.aspx?ext=.pdf) . Les dosages doivent également se faire après tout changement de dose, de formulation ou de marque de lévothyroxine, [15] et après le début ou l'arrêt de tout médicament susceptible d'affecter les niveaux. Si le patient est stable, l'intervalle de surveillance peut être prolongé jusqu'à 6 mois, et ensuite jusqu'à 12 mois[15].

Complications

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Les complications de l'hypothyroïdie sont:

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

Sans traitement, l'hypothyroïdie peut avoir un risque de morbi-mortalité élevé. Cela peut éventuellement conduire au coma ou même à la mort. Chez les enfants, l'absence de traitement de l'hypothyroïdie peut entraîner un retard mental sévère. L'insuffisance cardiaque est l'une des principales causes de décès chez les adultes. Avec le traitement, la plupart des patients ont un bon pronostic et les symptômes disparaissent généralement en quelques semaines ou mois.[13]

Prévention

La section facultative Prévention ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
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Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

La prévention passe par une alimentation suffisamment riche en iode, sélénium et zinc[36].

Références

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  2. 2,0 2,1 et 2,2 « Hypothyroïdie du nouveau-né - Problèmes de santé infantiles », sur Manuels MSD pour le grand public (consulté le 23 juin 2022)
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  33. Simona Grozinsky-Glasberg, Abigail Fraser, Ethan Nahshoni et Abraham Weizman, « Thyroxine-triiodothyronine combination therapy versus thyroxine monotherapy for clinical hypothyroidism: meta-analysis of randomized controlled trials », The Journal of Clinical Endocrinology and Metabolism, vol. 91, no 7,‎ , p. 2592–2599 (ISSN 0021-972X, PMID 16670166, DOI 10.1210/jc.2006-0448, lire en ligne)
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