Symptômes du bas appareil urinaire (approche clinique)

De Wikimedica

Les symptômes du bas appareil urinaire (SBAU) s’agit d’un terme large regroupant un ensemble de symptômes qui affectent l’appareil génito-urinaire dans son plein fonctionnement. Cela implique

Symptômes du bas appareil urinaire
Approche clinique

1. Appareil urinaire humain : 2. Rein, 3. Pelvis rénal, 4. Uretère, 5. Vessie, 6. Urètre. 7. Glande surrénale, 8. Artère et veine rénales, 9. Veine cave inférieure, 10. Aorte abdominale, 11. Artère et veine iliaques communes, 12. Foie, 13. Gros intestin, 14. Pelvis.
Caractéristiques
Symptômes discriminants Polydipsie, Nausées, Douleur pelvienne, Hématurie macroscopique (signe clinique), Écoulement urétral, Pollakiurie (symptôme), Dysurie (symptôme), Urgenturie (symptôme), Nycturie (symptôme), Leucorrhée (signe clinique), ... [+]
Signes cliniques discriminants
Hyponatrémie, Hyperkaliémie, Cystocèle, Rectocèle, Entérocèle, Prolapsus utérin, Leucocytose, Altération de l'état de conscience (signe clinique), Masse rectale, Punch rénal, ... [+]
Examens paracliniques
Urée, Créatinine, Culture d'urine, TDM abdomino-pelvien avec contraste, Analyse d'urine, Test urodynamique, Échographie abdomino-pelvienne, FSC, Dosage des ions, Évaluation de la mobilité urétrale, ... [+]
Drapeaux rouges
Incontinence, Insuffisance rénale aiguë, Symptômes B, Hydronéphrose, Anurie, Incontinence urinaire (symptôme), Hématurie macroscopique (signe clinique), Immunodéficience, Hématome scrotal, Globe vésical, ... [+]
Informations
Wikidata ID Q1596398
Spécialité Urologie

Page non révisée

toute combinaison de symptômes urinaires principalement associés à une vessie hyperactive (fréquence, urgence et nycturie) et des troubles obstructifs urinaires, manifestant par des symptômes liés au stockage et ou aux troubles mictionnels courants liés au vieillissement.

Épidémiologie

La prévalence des SBAU est élevée chez les hommes et les femmes de tous âges. Ils constituent un des motifs de consultation le plus fréquent en soins primaire. Cela peut avoir un impact direct sur le bien-être et la qualité de vie de la personne. Également, Il s’agit l’une des causes des affections graves de l’appareil urogénital. Sa prévalence augmentent avec l'âge. Cette situation entraine une problématique de santé courantes auprès de la population des ainés. Les SBAU peuvent se manifester par l'incontinence ou la rétention urinaire avec ou sans obstruction.

Dans ce même d'ordre d'idées, les SBAU peuvent être diviser en deux: symptômes irritatifs ou obstructifs. Diverses pathologies peuvent causer des symptômes du bas appareil urinaire.

Physiopathologie

Pour mieux comprendre les SBAU ainsi que la sévérité de cette problématique de santé, physiopathologie d’une miction normale est nécessaire. Cette dernière se produit de façon méthodique et continue par la contraction vésicale qui est coordonnée par la relaxation du sphincter urétral. Également, la miction normale nécessite une relaxation musculaire de l'urètre et du plancher pelvien suivie d'une contraction de la vessie. De même, le réflexe mictionnel est un processus complexe érigé par différents mécanismes à laquelle se retrouve le centre de miction pontique qui conduit à la relaxation du sphincter urétral strié externe, par l'innervation sympathique du nerf hypogastrique et des muscles du plancher pelvien par l'innervation somatique par le nerf pudendal. La baisse de pression urétrale entraine automatiquement une contraction du muscle détrusor de la vessie, qui est médiée par une innervation parasympathique du plexus pelvien. Tout obstacle perturbant ce mécanisme peut entraîner une rétention urinaire. Ainsi, une vidange incomplète peut résulter d'un fonctionnement anormal n'importe où le long du chemin ci-dessus ou en cas d'obstruction au niveau de la sortie entrainant (SBAU).

Étiologies

Les principales causes de symptômes bas appareil urinaire (non exhaustif): (Mettre plutot la liste exhastive dans le tabeau en bas, donc supprimer cette partie et faire une introduction pour les tableau )

  • Infections et inflammations (p. ex. cystite, prostatite)
  • Affection d'origine structurale (p. ex. calculs, prolapsus, hypertrophie bénigne de la prostate, altérations du plancher pelvien en postpartum)
  • Problème médical (p. ex. diabète sucré, sclérose en plaques)
  • Usage de médicaments (p. ex. anticholinergiques, opioïdes)
Effet de certains médicaments et autres agents sur la fonction de la vessie
Classe du médicament Exemples Mécanisme d'action sur la vessie
Médicaments et autres agents Effet sur la fonction de la vessie
Allergie
Antihistaminiques Antagonistes des récepteurs H 1 de première génération (p. Ex., Bromphéniramine, chlorphéniramine, clémastine, cyproheptadine, dimenhydrinate, diphenhydramine, hydroxyzine, etc.) Diminution de la contractilité par effet anticholinergique
Décongestionnants Pseudoéphédrine, phényléphrine Augmentation du tonus du sphincter urétral
Analgésique et sédatif
Benzodiazépines Chlordiazépoxide, clonazépam, témazépam, triazolam, autres Miction altérée par effet relaxant musculaire
Opioïdes Codéine, mépéridine, morphine, oxycodone, autres Diminution de la sensation de plénitude et augmentation du tonus du sphincter urétral
Anticholinergique *
Antimuscariniques (médicaments pour la vessie hyperactive) Darifénacine, fésotérodine, oxybutynine, solifénacine, toltérodine, trospium Diminution de la contractilité par effet anticholinergique
Spasmolytique Dicyclomine, hyoscyamine, glycopyrrolate, méthscopolamine, propanthéline, scopolamine (hyoscine) Diminution de la contractilité par effet anticholinergique
Anticholinergiques (médicaments antiparkinsoniens) Benztropine, trihexyphénidyle Diminution de la contractilité par effet anticholinergique
Cardiologie
Inhibiteurs de l'ECA Énalapril, lisinopril, ramipril, autres Diminution de la contractilité; toux chronique
Alpha-agonistes Midodrine, phényléphrine, vasopresseurs (divers) Augmentation du tonus du sphincter urétral
Bloqueurs Alpha 1ffet de certains médicaments et autres agents sur la fonction de la vessie Alfuzosine, doxazosine, prazosine, silodosine, tamsulosine, térazosine Diminution du tonus du sphincter urétral
Antiarythmique Disopyramide, flécaïnide Diminution de la contractilité par effet anesthésique local sur la muqueuse vésicale ou effet anticholinergique
Diurétiques Divers Augmentation de la production d'urine, de la contractilité ou du taux de vidange
Psychotrope
Les antidépresseurs IRSN: duloxétine, réboxétine Augmentation du tonus du sphincter urétral
Antidépresseurs tricycliques (amitriptyline, clomipramine, désipramine, doxépine, imipramine, nortriptyline, autres) Diminution de la contractilité par effet anticholinergique
Antipsychotiques Première génération (chlorpromazine, fluphénazine, méthotriméprazine); deuxième génération (clozapine, olanzapine, rispéridone); d'autres ont un effet plus faible Effets mixtes décrits; diminution de la contractilité par effet anticholinergique; augmentation de la miction et de l'incontinence à l'effort via la stimulation des récepteurs alpha 1 et / ou des récepteurs dopaminergiques centraux
Autres
Relaxants musculaires squelettiques Orphénadrine, tizanidine (également cyclobenzaprine, baclofène et méthocarbamol; mais l'effet est plus faible) Diminution de la contractilité par effet anticholinergique
Les œstrogènes Oestrogènes oraux (traitement hormonal substitutif) Incontinence urinaire accrue
Bêta 3 -agoniste Mirabegron Diminution de la contractilité par effet bêta 3 -adrénergique
De l'alcool Diminution de la contractilité
Caféine Augmentation de la contractilité ou du taux de vidange

ACE: enzyme de conversion de l'angiotensine; IRSN: inhibiteurs de la recapture de la sérotonine-noradrénaline; HBP: hyperplasie bénigne de la prostate. * Les bronchodilatateurs anti muscariniques inhalés (par exemple, ipratropium, tiotropium) et les gouttes ophtalmiques (par exemple, atropine, cyclopentolate) peuvent être absorbés par voie systémique à des degrés divers; la rétention urinaire a été rarement associée à leur utilisation, en particulier chez les personnes âgées, les hommes atteints d'HBP, et à l'administration d'un médicament anticholinergique inhalé par nébuliseur. Augmentation de la miction rapportée par ≤ 3% des patients dans les études cliniques sur les inhibiteurs calciques; des effets mixtes ont été décrits.

Les SBAU peuvent également être classé selon la localisation anatomique.

Orientation de notre diagnostic peut être basé sur plusieurs facteurs dont le sexe, l'âge et l'histoire clinique.

  • Selon l'âge

Voici un truc mnémotechnique pour chercher les causes d'incontinence chez les aînés: DIAPERS (avec quelques ajouts)

  • Delirium
  • Inf/inflam
  • Atrophie
  • Pharmaco ( cholinergique) et Psycho
  • Excess (trop-plein)
  • Restriction fonctionnelle (prob mobilité)
  • Stool impaction (constipation)

mnémotechnique original: https://www.medscape.com/viewarticle/740709_5

  • Selon le sexe et l'histoire clinique
Étiologies des symptômes du bas appareil urinaire
Symptômes Diagnostic
Homme Femme
Syndrome irritatif

Pollakiurie, nycturie, Infection, éventuellement incontinence

urgenturie, impériosité, brûlures mictionnelles.

  • Infection (urétrite, prostatite, cystite, pyélonéphrite)
  • Neurogène (sclérose en plaques, diabète)
  • Lithiase urinaire
  • Néoplasie (cancer de la vessie)
  • Composante irritative de HBP : distension trigonale
  • Trouble de vidange vésicale (vessie hyperactive)
  • Infection (urétrite, vaginite, cervicite, cystite, pyélonéphrite)
  • Neurogène (sclérose en plaques, diabète)
  • Lithiase urinaire
  • Néoplasie (cancer de la vessie)
  • Vaginite non infectieuse (atrophique sur déficit œstrogénique, allergique, chimique sur savons/ tampons, traumatique)
  • Trouble de vidange vésicale (vessie hyperactive)
  • cystite interitielle
Syndrome obstructif

Jet faible, miction assise, sensation de vidange incomplète

retard au démarrage, dysurie, gouttes retardataires

  • Obstruction sous-vésicale : prostate (HBP), sténose uréthrale, neurogène (dys-synergie vésico-sphinctérienne)
  • Trouble de vidange vésicale : vessie neurogène (atone)
  • Tumeur pelvienne, sténose urétrale, neurogène (dys-synergie vésico-sphinctérienne)
  • Prolapsus génital
  • Trouble de vidange vésicale : vessie neurogène (atone)

Approche clinique

Questionnaire

Lorsqu’il s’agit de (SBAU), l’anamnèse ait d’une importance capitale afin déceler en majeur partie la nature, la localisation et la sévérité de cette problématique de santé. Également, elle permet de mieux structurer un plan d’intervention.  Elle doit tenir compte de :

  • la durée des symptômes et leur présence dans le passé.
  • Il faut aussi explorer des symptômes associés significatifs comme de la fièvre, des douleurs de l’hypochondre, ou un écoulement vaginal ou urétral;
  • des symptômes d’irritation vésicale ou d’obstruction.
  • il faut rechercher s’il existe du sang dans les urines, des urines troubles ou malodorantes et la nature de toute perte.
  • Il faut questionner les patients s’ils ont récemment eu des rapports sexuels non protégés, s'ils ont appliqué des substances potentiellement irritantes sur le périnée, s'ils ont eu des manœuvres endo-urétrales (p. ex., cystoscopie, sondage urinaire, chirurgie) ou si elles peuvent être enceintes.
  • Dans le cas de SBAU, il faut faire une revue systématique des autres appareils dans l’optique de retrouver les symptômes associés comme des douleurs dorsales ou des arthralgies et une irritation oculaire (trouble du tissu conjonctif) et des symptômes gastro-intestinaux, tels qu'une diarrhée (arthrite réactionnelle).
  • La recherche des antécédents médicaux doit permettre de rechercher des infections urinaires antérieures et toute anomalie connue des voies urinaires, dont des antécédents de calcul urinaire. Également, il faut explorer toutes pathologies potentiellement infectieuses, des antécédents d'immunodépression ou une hospitalisation récente sont importants.

Points clés du questionnaires en urologie ( À retravailler )

OPQRSTU

Début, position/lieu, qualité , irradiation, sévérité/intensité, temps, déjà vu

FUN (spx storage)

Freq, urgence, nyscturie

SHED (spx voiding)

Jet, 2 temps, goutte à goutte, hésitation, incomplet, gouttes post voiding

Dysurie

hématurie

-fcts sexuel (dysfct érectile)

Masse, infertilité

-spx associé

Constipation?

Fièvre?

-FDR

Atcds, fam, medocs, hbdv, trauma, chir

https://torontonotes.ca/

Examen clinique

À compléter

Drapeaux rouges

Mettre un introduction:

Drapeaux rouges devant un symptôme du bas appareil urinaire
situations auxquelles une consultation auprès d’un spécialiste est primordiale
Chez la femme
  • Douleurs abdominales ou pelviennes associées en l'absence d'infection urinaire
  • Infection des voies urinaires récurrentes prouvées par la culture (trois ou plus par an ou deux en six mois)
  • Hématurie macroscopique ou microscopique avec facteurs de risque de malignité en l'absence d'une infection urinaire
  • Incontinence permanente ou suspicion de fistule vésico-vaginale ou de diverticules urétraux à l'examen vaginal
  • Autres résultats anormaux de l'examen physique (par exemple, masse pelvienne, prolapsus des organes pelviens au-delà de l'hymen)
  • Nouveaux symptômes neurologiques en plus de l'incontinence
  • Incertitude dans le diagnostic
  • Antécédents de chirurgie reconstructive pelvienne ou d'irradiation pelvienne
  • Volume de PVR constamment élevé, après traitement des causes possibles (p. Ex. Médicaments, impaction des selles)
  • Incontinence par débordement suspectée, en particulier dans le contexte d'affections sous-jacentes
  • Cathétérisme urinaire chronique ou difficulté à passer un cathéter
Chez l'homme
  • Hommes <45 ans
  • Anomalie à l'examen de la prostate
  • Présence d'hématurie en l'absence d'infection
  • Absence de réponse au traitement initial
  • Les hommes qui souhaitent un traitement chirurgical
  • Hommes souffrant d'incontinence
  • Hommes présentant des symptômes sévères
  • Volume résiduel de 300 à 400 ml qui augmentent

Examens paracliniques

Le choix des examens paracliniques en cas de SBAU dépend généralement du résultat de l’anamnèse et l’examen physique. Il s’est orienté par les impressions clinques obtenue après une évaluation complète. Chez les patients qui présentent de SBAU une analyse d'urine doit être effectuée pour tous les patients et une culture d'urine doit être effectuée si une infection urinaire ou une hématurie est suggérée lors du dépistage. Il est suggéré de ne pas faire d’emblée une étude de la fonction rénale, sauf s'il existe une préoccupation concernant une rétention urinaire sévère entraînant une hydronéphrose. Les autres tests de laboratoire sont déterminés par des signes ou des symptômes évoqués lors de l'anamnèse et de l'examen physique.

Tests cliniques Seuls quelques tests cliniques sont nécessaires pour l'évaluation initiale des symptômes irritatifs, l’obtention d’imagerie radiographique n’est pas recommandée pour l'évaluation initiale chez les patients avec un examen physique normal et absence de troubles neurologiques complexes. Un test d'effort de la vessie est recommandé dans le cadre du bilan initial de l'incontinence à l'effort. Les tests urodynamiques ne sont pas non plus systématiquement effectués au départ, mais peuvent être effectués avant d'envisager des thérapies chirurgicales.
Résidu post-mictionnel (RVP) Il n'est pas nécessaire pour le traitement initial de l'incontinence urinaire d'effort ou d'urgence. Pourtant la mesure de la RVP peut être utile lorsque le diagnostic est incertain, que le traitement initial est inefficace ou chez les patients pour lesquels une rétention urinaire et / ou une incontinence par débordement est préoccupante. Il s’agit des patient qui présentent une maladie neurologique, d'infections récurrentes des voies urinaires, d'antécédents d'hyperactivité du détrusor ou d'obstruction de la vessie, d'antécédents de rétention urinaire, de constipation sévère, de prolapsus des organes pelviens au-delà de l'hymen, d'incontinence d'apparition récente ou récurrente après une intervention chirurgicale pour incontinence, diabète mellitus avec neuropathie périphérique ou certains médicaments qui suppriment la contractilité du détrusor ou augmentent le tonus du sphincter .
Test urodynamique Nous ne référons pas systématiquement aux tests urodynamiques dans l'évaluation initiale de l'incontinence urinaire dont les symptômes sont compatibles avec le stress, l'urgence ou l'incontinence mixte.
Évaluation de la mobilité urétrale Certains spécialistes peuvent évaluer l'hypermobilité urétrale.

Prise en charge

Le traitement des SBAU dépend de l'étiologie.

https://www.revmed.ch/RMS/2012/RMS-355/Symptomes-urinaires-bas-et-bandelette-normale-a-quoi-penser

Notes

La section facultative Notes ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Dans la section notes se trouve toutes les notes de bas de page (références du groupe "note" [ou autres]).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Pour ajouter des notes, passez par la fonction d'ajout de notes. Il est aussi possible d'ajouter des notes d'autres groupes, comme "pharmaco", "pédiatrie", "indications", etc. Classez ces autres groupes de notes dans des sous-sections. N'ajoutez pas de notes manuellement.
Exemple:
 
TRAITEMENTS

Les traitements:

  • médicament 1, 100-200 mg PO DIE[pédiatrie]
  • traitement 2 BID x 1 sem[gériatrie]

NOTES


Gériatrie

  1. Poursuivre le traitement 2 semaines de plus.

Pédiatrie

  1. 10mg/kg die


Références

La section obligatoire Références ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Dans la section références se trouve toutes les références (références sans groupe). Pour ajouter des références, passez par la fonction d'ajout de références. N'ajoutez pas de références manuellement.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
Les sections suivantes sont remplies automatiquement et se peupleront d'éléments à mesure que des pages sont crées sur la plateforme. Pour participer à l'effort, allez sur la page Gestion:Contribuer. Pour comprendre comment fonctionne cette section, voir Aide:Fonctions sémantiques.