« Hémorroïdes internes » : différence entre les versions
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{{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Physiopathologie}} | {{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Physiopathologie}} | ||
La physiopathologie exacte des hémorroïdes reste mal comprise et est considérée comme multifactorielle. Les hémorroïdes sont en corrélation avec des conditions pathologiques qui entraînent une augmentation de la pression intra-abdominale, comme chez les patients atteints de bronchopneumopathie chronique obstructive (MPOC), les patients souffrant chroniquement d'une hypertrophie de la prostate ou d'une sténose urétrale, les patients présentant une lésion intra-abdominale occupant l'espace comme une tumeur ovarienne ou un grand carcinome rectosigmoïde, chez les patients atteints d'ascite et pendant la grossesse. Ces conditions conduisent à des hémorroïdes symptomatiques en provoquant une diminution du retour veineux des veines hémorroïdales qui conduit à une augmentation pathologique de la taille des coussins vasculaires. En outre, les régimes pauvres en fibres conduisent à des selles dures et à une augmentation de la tension - les selles dures provoquent un traumatisme tissulaire local qui provoque des saignements. De plus, les fibres du muscle de Treitz, qui supportent normalement les hémorroïdes, peuvent s’atténuer et devenir moins favorables avec l’âge, ce qui peut conduire à un prolapsus des hémorroïdes; cela explique pourquoi les personnes âgées sont plus sujettes aux symptômes hémorroïdaires. <ref name=":3">https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18506529</ref><ref name=":0" /> | La physiopathologie exacte des hémorroïdes reste mal comprise et est considérée comme multifactorielle. Les hémorroïdes sont en corrélation avec des conditions pathologiques qui entraînent une augmentation de la pression intra-abdominale, comme chez les patients atteints de bronchopneumopathie chronique obstructive (MPOC), les patients souffrant chroniquement d'une hypertrophie de la prostate ou d'une sténose urétrale, les patients présentant une lésion intra-abdominale occupant l'espace comme une tumeur ovarienne ou un grand carcinome rectosigmoïde, chez les patients atteints d'ascite et pendant la grossesse. Ces conditions conduisent à des hémorroïdes symptomatiques en provoquant une diminution du retour veineux des veines hémorroïdales qui conduit à une augmentation pathologique de la taille des coussins vasculaires. En outre, les régimes pauvres en fibres conduisent à des selles dures et à une augmentation de la tension - les selles dures provoquent un traumatisme tissulaire local qui provoque des saignements. De plus, les fibres du muscle de Treitz, qui supportent normalement les hémorroïdes, peuvent s’atténuer et devenir moins favorables avec l’âge, ce qui peut conduire à un prolapsus des hémorroïdes; cela explique pourquoi les personnes âgées sont plus sujettes aux symptômes hémorroïdaires. <ref name=":3">https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18506529</ref><ref name=":0" /> | ||
· 3 sites (patient en lithotomie) : - Droit antérieur (11h) | |||
- Droit postérieur (7h) | |||
- Gauche latéral (3h) | |||
· Complexes 2aires peuvent se rajouter | |||
· Fonction : aide à la continence | |||
== Présentation clinique == | == Présentation clinique == | ||
{{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Présentation clinique}} | {{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Présentation clinique}} | ||
=== Facteurs de risque === | === Facteurs de risque === | ||
{{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Facteurs de risque}} | {{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Facteurs de risque}}Les facteurs de risque favorisant l'apparition d'hémorroïdes internes sont les suivants: <ref>{{Citation d'un ouvrage|prénom1=Rodrigue F.|nom1=Fontem|prénom2=Daniel|nom2=Eyvazzadeh|titre=StatPearls|éditeur=StatPearls Publishing|date=2021|pmid=30725867|lire en ligne=http://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK537182/|consulté le=2021-03-04}}</ref><ref>{{Citation d'un article|prénom1=A|nom1=Le Quellec|prénom2=P.|nom2=Bories|prénom3=J. C.|nom3=Rochon|prénom4=J. M.|nom4=Garrigues|titre=[Portal hypertension and hemorrhoids. Cause effect relationship?]|périodique=Gastroenterol. Clin. Biol.|volume=12|numéro=8–9|date=1988|lire en ligne=https://www.wikidoc.org/index.php/Hemorrhoids_risk_factors|consulté le=2021-03-04|pages=646–8}}</ref><ref>{{Citation d'un lien web|langue=en-ca|titre=Chirurgie|url=https://apps.apple.com/ca/app/chirurgie/id1066365766|site=App Store|consulté le=2021-03-04}}</ref> | ||
* {{Facteur de risque | nom = Facteur de risque | * la {{Facteur de risque|nom=constipation|RR=|référence_RR=|RC=}} | ||
* {{Facteur de risque | nom = Facteur de risque | * les {{Facteur de risque | nom = antécédents familiaux|RR=|référence_RR=|RC=}} | ||
* {{Facteur de risque | nom = Facteur de risque | * la {{Facteur de risque | nom = diarrhée|RR=|référence_RR=|RC=}} | ||
* tout ce qui augmente la pression intra-abdominale (ex: le levage de charges lourdes, la {{Facteur de risque | nom = toux chronique|RR=|référence_RR=|RC=}}, la {{Facteur de risque | nom = grossesse|RR=|référence_RR=|RC=}}, l'{{Facteur de risque | nom = accouchement|RR=|référence_RR=|RC=}}, les {{Facteur de risque|nom=vomissements|RR=|référence_RR=|RC=}}) | |||
* une consommation insuffisante de fibres et d'eau | |||
* l'{{Facteur de risque | nom = obésité|RR=|référence_RR=|RC=}} | |||
* le {{Facteur de risque | nom = sexe anal|RR=|référence_RR=|RC=}}. | |||
=== Questionnaire === | === Questionnaire === | ||
{{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Questionnaire}} | {{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Questionnaire}}Les patients souffrant d'hémorroïdes internes peuvent rapporter les symptômes suivants: <ref>{{Citation d'un ouvrage|prénom1=Rodrigue F.|nom1=Fontem|prénom2=Daniel|nom2=Eyvazzadeh|titre=StatPearls|éditeur=StatPearls Publishing|date=2021|pmid=30725867|lire en ligne=http://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK537182/|consulté le=2021-03-04}}</ref><ref>{{Citation d'un lien web|langue=en-ca|titre=Chirurgie|url=https://apps.apple.com/ca/app/chirurgie/id1066365766|site=App Store|consulté le=2021-03-04}}</ref> | ||
* {{Symptôme | nom = Symptôme | * des {{Symptôme | nom = démangeaisons|affichage=|prévalence=}} ou du {{Symptôme | nom = prurit|affichage=|prévalence=}} | ||
* {{Symptôme | nom = Symptôme | * des {{Symptôme | nom = saignements|affichage=|prévalence=}} indolores, couleur rouge vif se produisant à la fin d'une selle | ||
* {{Symptôme | nom = Symptôme | * de la {{Symptôme | nom = douleur|affichage=|prévalence=}} intense (surtout si hémorroïdes thrombosées ou étranglées) | ||
* | * une sensation de {{Symptôme | nom = brûlure|affichage=|prévalence=}} | ||
* une {{Symptôme | nom = protusion|affichage=|prévalence=}} | |||
* l'{{Symptôme | nom = écoulement|affichage=|prévalence=}} de mucus | |||
* l'enflure | |||
* difficulté durant le nettoyage de la région périanale | |||
* avoir l'impression d'être assis sur un objet étranger | |||
* une forte envie de déféquer ou une sensation de défécation incomplète (si prolapsus interne) | |||
* {{Symptôme | nom = salissure|affichage=|prévalence=}} ou {{Symptôme | nom = humidité|affichage=|prévalence=}} | |||
=== Examen clinique === | === Examen clinique === | ||
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* {{Examen clinique | nom = Examen clinique 1}}: {{Signe | nom = Signe 1}}, {{Signe | nom = Signe 2}} | * {{Examen clinique | nom = Examen clinique 1}}: {{Signe | nom = Signe 1}}, {{Signe | nom = Signe 2}} | ||
* {{Examen clinique | nom = Examen clinique 2}}: {{Signe | nom = Signe 3}} | * {{Examen clinique | nom = Examen clinique 2}}: {{Signe | nom = Signe 3}} | ||
L'examen physique peut révéler des signes de maladie hépatique, de BPCO, des signes de constipation tels qu'une distension abdominale ou une impaction fécale. Un examen anorectal est idéalement effectué en position couchée sur le ventre pour une exposition maximale du périnée et de l'anus. Elle peut également être réalisée en décubitus latéral ou en position de lithotomie. Le périnée est ensuite inspecté, et les hémorroïdes externes, les acrochordons, les hémorroïdes internes prolapsus, les fissures, les fistules, les abcès sont notés. La palpation est effectuée pour évaluer les masses, l'induration, la sensibilité. Un examen numérique évalue ensuite le tonus du sphincter, les masses, la douleur et les abcès. <ref name=":4">https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30276625</ref><ref name=":0" /> | |||
== Examens paracliniques == | == Examens paracliniques == | ||
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* {{Investigation | nom = Investigation 2 | indication = Indication}}: {{Signe paraclinique | nom = Signe paraclinique 3}}, {{Signe paraclinique | nom = Signe paraclinique 4}}, ... | * {{Investigation | nom = Investigation 2 | indication = Indication}}: {{Signe paraclinique | nom = Signe paraclinique 3}}, {{Signe paraclinique | nom = Signe paraclinique 4}}, ... | ||
* ... | * ... | ||
'''1. Anuscopie''' | |||
2. Rectoscopie | |||
3. Colonoscopie : | |||
- Si anémie | |||
- Sx vague pt > 40ans; r/o néo | |||
Une anoscopie est nécessaire pour évaluer correctement tout patient atteint d'hémorroïdes. Un anoscope à vision latérale est optimal pour l'évaluation des hémorroïdes internes car les hémorroïdes internes peuvent prolapsus dans la fente, donnant à l'examinateur une idée de son volume. Les anoscopes jetables en plastique sont transparents et ont l'avantage de visualiser simultanément tout le canal anal. Le patient doit être invité à faire des efforts pendant l'examen pour évaluer le degré de prolapsus. S'asseoir sur une commode et faire des efforts peut donner une meilleure idée du degré de prolapsus chez certains patients. Une proctoscopie flexible ou rigide doit également être pratiquée, en particulier chez les patients présentant des symptômes d'alerte tels que saignements, perte de poids, modification des habitudes intestinales ou anémie. Une coloscopie formelle doit également être envisagée chez les patients présentant des symptômes de signal d'alarme. <ref name=":5">https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29431977</ref><ref name=":0" /> | Une anoscopie est nécessaire pour évaluer correctement tout patient atteint d'hémorroïdes. Un anoscope à vision latérale est optimal pour l'évaluation des hémorroïdes internes car les hémorroïdes internes peuvent prolapsus dans la fente, donnant à l'examinateur une idée de son volume. Les anoscopes jetables en plastique sont transparents et ont l'avantage de visualiser simultanément tout le canal anal. Le patient doit être invité à faire des efforts pendant l'examen pour évaluer le degré de prolapsus. S'asseoir sur une commode et faire des efforts peut donner une meilleure idée du degré de prolapsus chez certains patients. Une proctoscopie flexible ou rigide doit également être pratiquée, en particulier chez les patients présentant des symptômes d'alerte tels que saignements, perte de poids, modification des habitudes intestinales ou anémie. Une coloscopie formelle doit également être envisagée chez les patients présentant des symptômes de signal d'alarme. <ref name=":5">https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29431977</ref><ref name=":0" /> | ||
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{{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Approche clinique}} | {{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Approche clinique}} | ||
En présence de douleur, Il est important de rechercher d'autres causes de douleur telles que des fissures ou une excoriation périnéale. | |||
== Diagnostic == | == Diagnostic == | ||
{{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Diagnostic}} | {{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Diagnostic}}Les hémorroïdes internes sont classées en quatre grades (voir tableau suivant). | ||
{| class="wikitable" | |||
|+Classification des hémorroïdes internes | |||
!Grade | |||
!Caractéristiques | |||
|- | |||
|I | |||
| | |||
* vaisseaux proéminent | |||
* pas de prolapsus | |||
|- | |||
|II | |||
| | |||
* prolapsus au Valsalva | |||
* réduction spontanée | |||
|- | |||
|III | |||
| | |||
* prolapsus au Valsalva | |||
* réduction manuelle | |||
|- | |||
|IV | |||
| | |||
* prolapsus chronique | |||
* non-réductible manuellement | |||
|} | |||
== Diagnostic différentiel == | == Diagnostic différentiel == | ||
Ligne 88 : | Ligne 144 : | ||
== Traitement == | == Traitement == | ||
{{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Traitement}}Le traitement conservateur est le traitement de première intention et | {{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Traitement}} | ||
Le traitement conservateur est le traitement de première intention chez tous les patients et est la seule optione de traitement chez les patients asymptomatiques. Il comprend:<ref name=":02">{{Citation d'un ouvrage|prénom1=Aaron|nom1=Lawrence|prénom2=Emily R.|nom2=McLaren|titre=StatPearls|éditeur=StatPearls Publishing|date=2021|pmid=29763185|lire en ligne=http://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK500009/|consulté le=2021-03-03}}</ref><ref>{{Citation d'un article|prénom1=Timothy|nom1=Mott|prénom2=Kelly|nom2=Latimer|prénom3=Chad|nom3=Edwards|titre=Hemorrhoids: Diagnosis and Treatment Options|périodique=American Family Physician|volume=97|numéro=3|date=2018-02-01|issn=0002-838X|issn2=1532-0650|lire en ligne=https://www.aafp.org/afp/2018/0201/p172.html|consulté le=2021-03-04|pages=172–179}}</ref> | |||
*des {{Traitement | nom = émollients fécaux|indication=|RRR=|RRA=|référence_RRR=|référence_RRA=}} ou {{Traitement | nom = laxatifs osmotiques|indication=|RRR=|RRA=|référence_RRR=|référence_RRA=}} (ex: le {{Traitement | nom = polyéthylène glycol|indication=|RRR=|RRA=|référence_RRR=|référence_RRA=}}, le {{Traitement|nom=docusate de sodium|indication=|RRR=|RRA=|référence_RRR=|référence_RRA=}}, etc.) | *des {{Traitement | nom = émollients fécaux|indication=|RRR=|RRA=|référence_RRR=|référence_RRA=}} ou {{Traitement | nom = laxatifs osmotiques|indication=|RRR=|RRA=|référence_RRR=|référence_RRA=}} (ex: le {{Traitement | nom = polyéthylène glycol|indication=|RRR=|RRA=|référence_RRR=|référence_RRA=}}, le {{Traitement|nom=docusate de sodium|indication=|RRR=|RRA=|référence_RRR=|référence_RRA=}}, etc.) | ||
*des suppléments de fibre (ex: psyllium 1 à 2 cuillère à thé PO die à tid avec beaucoup d'eau) | |||
*les {{Traitement|nom=analgésiques|indication=|RRR=|RRA=|référence_RRR=|référence_RRA=}} pour la douleur | *les {{Traitement|nom=analgésiques|indication=|RRR=|RRA=|référence_RRR=|référence_RRA=}} pour la douleur | ||
**oral : {{Traitement|nom=anti-inflammatoires non stéroïdiens|indication=|RRR=|RRA=|référence_RRR=|référence_RRA=}}, {{Traitement|nom=acétaminophène|indication=|RRR=|RRA=|référence_RRR=|référence_RRA=}} | **oral : {{Traitement|nom=anti-inflammatoires non stéroïdiens|indication=|RRR=|RRA=|référence_RRR=|référence_RRA=}}, {{Traitement|nom=acétaminophène|indication=|RRR=|RRA=|référence_RRR=|référence_RRA=}} | ||
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*l'eau d'{{Traitement|nom=hamamélis|indication=|RRR=|RRA=|référence_RRR=|référence_RRA=}} (ex: lingettes ''Tucks''): soulage les démangeaisons et l’enflure, à utiliser après chaque selle | *l'eau d'{{Traitement|nom=hamamélis|indication=|RRR=|RRA=|référence_RRR=|référence_RRA=}} (ex: lingettes ''Tucks''): soulage les démangeaisons et l’enflure, à utiliser après chaque selle | ||
*le {{Traitement|nom=sulfate de zinc|indication=|RRR=|RRA=|référence_RRR=|référence_RRA=}}: offre une barrière protectrice à la peau et prévient l'irritation et l'inflammation | *le {{Traitement|nom=sulfate de zinc|indication=|RRR=|RRA=|référence_RRR=|référence_RRA=}}: offre une barrière protectrice à la peau et prévient l'irritation et l'inflammation | ||
Ces mesures médicales conservatrices peuvent réduire l'effort au passage des selles. | Ces mesures médicales conservatrices peuvent réduire l'effort au passage des selles. Les autres mesures comprennent: <ref name=":6">{{Citation d'un article|prénom1=C. P.|nom1=Gibbons|prénom2=J. J.|nom2=Bannister|prénom3=N. W.|nom3=Read|titre=Role of constipation and anal hypertonia in the pathogenesis of haemorrhoids|périodique=The British Journal of Surgery|volume=75|numéro=7|date=1988-07|issn=0007-1323|pmid=3416121|doi=10.1002/bjs.1800750712|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/3416121/|consulté le=2021-03-04|pages=656–660}}</ref><ref name=":0" /><ref name=":03">{{Citation d'un ouvrage|prénom1=Aaron|nom1=Lawrence|prénom2=Emily R.|nom2=McLaren|titre=StatPearls|éditeur=StatPearls Publishing|date=2021|pmid=29763185|lire en ligne=http://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK500009/|consulté le=2021-03-03}}</ref> | ||
Les autres mesures comprennent: <ref name=":6">{{Citation d'un article|prénom1=C. P.|nom1=Gibbons|prénom2=J. J.|nom2=Bannister|prénom3=N. W.|nom3=Read|titre=Role of constipation and anal hypertonia in the pathogenesis of haemorrhoids|périodique=The British Journal of Surgery|volume=75|numéro=7|date=1988-07|issn=0007-1323|pmid=3416121|doi=10.1002/bjs.1800750712|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/3416121/|consulté le=2021-03-04|pages=656–660}}</ref><ref name=":0" /><ref name=":03">{{Citation d'un ouvrage|prénom1=Aaron|nom1=Lawrence|prénom2=Emily R.|nom2=McLaren|titre=StatPearls|éditeur=StatPearls Publishing|date=2021|pmid=29763185|lire en ligne=http://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK500009/|consulté le=2021-03-03}}</ref> | |||
*l'activité physique régulière | *l'activité physique régulière | ||
*le maintien d'une bonne hygiène anale | *le maintien d'une bonne hygiène anale | ||
Ligne 306 : | Ligne 363 : | ||
o serait associé à diminution de dlr post-op, mais augmentation de la récidive à long terme et prolapus | o serait associé à diminution de dlr post-op, mais augmentation de la récidive à long terme et prolapus | ||
|} | |} | ||
''Tx conditions associées avant hémorroïdes'' | |||
- sphinctérotomie anale pour fissure | |||
- dilatation anale pour dlr et sgm associés à haute pression canal anal (risque incontinence) | |||
''Hémorroïde strangulée:'' | |||
· Hémorroïdectomie en urgence: ø technique fermée, plaies ouvertes vu risque élevé de sepsis péri-anal et dommage sphincter (pyémie portale possible via syst porte) | |||
=== Complications === | |||
Il peut y avoir plusieurs complications après les différentes procédures utilisées pour traiter les hémorroïdes: <ref>{{Citation d'un ouvrage|prénom1=Rodrigue F.|nom1=Fontem|prénom2=Daniel|nom2=Eyvazzadeh|titre=StatPearls|éditeur=StatPearls Publishing|date=2021|pmid=30725867|lire en ligne=http://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK537182/|consulté le=2021-03-04}}</ref><ref>{{Citation d'un lien web|langue=en-ca|titre=Chirurgie|url=https://apps.apple.com/ca/app/chirurgie/id1066365766|site=App Store|consulté le=2021-03-04}}</ref> | |||
* un saignement précoce (<24h) ( chez 1% des patients): dû au saignement de la plaie | |||
* un saignement retardé (5-10j) (chez 0,5-4% des patients après ligature élastique): dû à la séparation précoce du paquet ligaturé avant la thrombose adéquate du pédicule artériel | |||
* une douleur intense | |||
** traitée avec anti-inflammatoires non stéroïdiens et narcotiques oraux | |||
* une ulcération | |||
* un sepsis périnéal | |||
** chez les patients immunodéprimés | |||
** accompagnée de fièvre, d'œdème périnéal et des douleurs et de rétention urinaire | |||
** nécessite un traitement antibiotique à large spectre et un drainage chirurgical | |||
* la rétention urinaire (chez 15% des patients) | |||
** nécessite de limiter l'apport liquidien per-opératoire à 250 mL | |||
* la sténose anale (complication rare de l'hémorroïdectomie) | |||
** prise en charge par une dilatation anale et une modification du régime alimentaire. | |||
** peut être prévenue en laissant 1cm de muqueuse normale entre les résections | |||
* un trauma au sphincter et l'incontinence | |||
== Suivi == | == Suivi == | ||
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== Complications == | == Complications == | ||
{{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Complications}} | {{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Complications}}Les principales complications de l'hémorroïde interne sont les suivantes: <ref name=":0" /><ref>{{Citation d'un lien web|langue=en|titre=Hemorrhoids natural history, complications and prognosis - wikidoc|url=https://www.wikidoc.org/index.php/Hemorrhoids_natural_history,_complications_and_prognosis|site=www.wikidoc.org|consulté le=2021-03-04}}</ref><ref name=":9">{{Citation d'un article|prénom1=Marllus Braga|nom1=Soares|prénom2=Marcos Bettini|nom2=Pitombo|prénom3=Francisco Lopes|nom3=Paulo|prénom4=Paulo Cezar de|nom4=Castro|titre=Partial stapled hemorrhoidopexy: clinical aspects and impact on anorectal physiology|périodique=Revista Do Colegio Brasileiro De Cirurgioes|volume=44|numéro=3|date=2017-05|issn=1809-4546|pmid=28767804|doi=10.1590/0100-69912017003010|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/28767804/|consulté le=2021-03-04|pages=278–283}}</ref> | ||
* l'{{Complication | nom = hémorragie|RR=|référence_RR=|RC=}} | * l'{{Complication | nom = hémorragie|RR=|référence_RR=|RC=}} | ||
* la {{Complication | nom = thrombose|RR=|référence_RR=|RC=}} | |||
* la {{Complication|nom=nécrose|RR=|référence_RR=|RC=}} de la peau | |||
* l'{{Complication|nom=infection|RR=|référence_RR=|RC=}} ou la formation d'abcès | |||
* l'{{Complication | nom = anémie|RR=|référence_RR=|RC=}} en cas de saignement chronique. | |||
* | * | ||
== Évolution == | == Évolution == | ||
Ligne 347 : | Ligne 433 : | ||
== Références == | == Références == | ||
{{Article de l'application de chirurgie générale | |||
| date = 2021/03/04 | |||
{{Article importé d'une source | }}{{Article importé d'une source | ||
| accès = 2021/01/26 | | accès = 2021/01/26 | ||
| source = StatPearls | | source = StatPearls |
Version du 4 mars 2021 à 19:55
Maladie | |
Caractéristiques | |
---|---|
Signes | Abcès, Sensibilité, Douleur, Lésions de grattage, Saignement, Induration, Prolapsus, Hémorroïde interne prolabée, Marisques, Masses, ... [+] |
Symptômes |
Douleur, Brûlure, Écoulement, Saignements, Protusion, Salissure, Humidité, Sensation de défécation incomplète, Prurit anal |
Diagnostic différentiel |
Hémorroïdes externes, Fistule anale, Cancer anal, Abcès périanal, Fissure anale, Polype fibreux anal |
Informations | |
Terme anglais | Hémorroïde interne |
|
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire. |
Exemple: | L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice. |
Le terme hémorroïdes, également connu sous le nom de pieux, et maladie hémorroïdaire se réfère à l'état des symptômes attribués aux coussins vasculaires présents dans le canal anal. Les hémorroïdes sont des tissus vasculaires naturels dans la sous-muqueuse du canal anal et comprennent du tissu conjonctif lâche, du muscle lisse (muscle de Treitz) et des vaisseaux sanguins avec de nombreuses connexions artérioveineuses (pourquoi les saignements hémorroïdaires sont généralement rouge vif). On pense que les hémorroïdes aident à la continence des selles en fournissant du volume au canal anal. Les hémorroïdes se produisent généralement à trois endroits: les positions latérale gauche, antérieure droite et postérieure droite. Les hémorroïdes reçoivent un apport vasculaire par les artères hémorroïdales supérieures, moyennes et inférieures. Le drainage veineux se fait par les veines hémorroïdales inférieures et moyennes qui finissent par s'écouler dans les veines iliaques. Les hémorroïdes se classent en quatre grades: les hémorroïdes de grade I se gonflent dans le canal anal et ne prolapsent pas; les hémorroïdes de grade II prolapsus pendant la défécation et diminuent spontanément; prolapsus des hémorroïdes de grade III et nécessitent une réduction manuelle; les hémorroïdes de grade IV prolapsus et sont irréductibles.[1][2]
Épidémiologie
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution. |
Exemple: | La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an. |
Il est difficile de déterminer l'incidence réelle de la maladie hémorroïdaire car de nombreux patients ne consultent pas un médecin pour leurs symptômes. Selon les estimations, la maladie hémorroïdaire est le troisième diagnostic gastro-intestinal ambulatoire le plus courant aux États-Unis avec environ 4 millions de visites au bureau et aux urgences chaque année. Environ 75% des Américains connaîtront des symptômes hémorroïdaires à un moment de leur vie. La prévalence réelle de la maladie hémorroïdaire est inconnue, différentes études rapportant une prévalence comprise entre 4% et 40%. La prévalence est la plus élevée chez les patients caucasiens âgés de 45 à 65 ans et les patients de statut socio-économique élevé. Cependant, cette observation peut être attribuée à un biais de sélection, car ce groupe a le plus grand accès aux soins.[3][2]
Étiologies
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies. |
Formats: | Texte, Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Étiologie |
Commentaires: |
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Exemple: | Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
|
Comme mentionné ci-dessus, les hémorroïdes sont naturelles et sont présentes chez tous les individus. Ils contribuent à la continence fécale car même une fermeture complète du complexe sphinctérien n'entraîne pas une fermeture complète du canal anal. La tension, les éternuements ou l'effort provoquent un engorgement de ces coussins vasculaires conduisant à une fermeture complète de l'anus empêchant ainsi les fuites fécales. Les coussins vasculaires reviennent à leur taille normale après la fin de l'effort. [2]
Physiopathologie
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie. |
Exemple: | Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique. |
La physiopathologie exacte des hémorroïdes reste mal comprise et est considérée comme multifactorielle. Les hémorroïdes sont en corrélation avec des conditions pathologiques qui entraînent une augmentation de la pression intra-abdominale, comme chez les patients atteints de bronchopneumopathie chronique obstructive (MPOC), les patients souffrant chroniquement d'une hypertrophie de la prostate ou d'une sténose urétrale, les patients présentant une lésion intra-abdominale occupant l'espace comme une tumeur ovarienne ou un grand carcinome rectosigmoïde, chez les patients atteints d'ascite et pendant la grossesse. Ces conditions conduisent à des hémorroïdes symptomatiques en provoquant une diminution du retour veineux des veines hémorroïdales qui conduit à une augmentation pathologique de la taille des coussins vasculaires. En outre, les régimes pauvres en fibres conduisent à des selles dures et à une augmentation de la tension - les selles dures provoquent un traumatisme tissulaire local qui provoque des saignements. De plus, les fibres du muscle de Treitz, qui supportent normalement les hémorroïdes, peuvent s’atténuer et devenir moins favorables avec l’âge, ce qui peut conduire à un prolapsus des hémorroïdes; cela explique pourquoi les personnes âgées sont plus sujettes aux symptômes hémorroïdaires. [4][2]
· 3 sites (patient en lithotomie) : - Droit antérieur (11h)
- Droit postérieur (7h)
- Gauche latéral (3h)
· Complexes 2aires peuvent se rajouter
· Fonction : aide à la continence
Présentation clinique
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
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Exemple: |
(Aucun texte)
(Texte)
(Texte)
(Texte) |
Facteurs de risque
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc. |
Formats: | Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Facteur de risque |
Commentaires: |
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Exemple: | Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
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Les facteurs de risque favorisant l'apparition d'hémorroïdes internes sont les suivants: [5][6][7]
- la constipation
- les antécédents familiaux
- la diarrhée
- tout ce qui augmente la pression intra-abdominale (ex: le levage de charges lourdes, la toux chronique, la grossesse, l'accouchement, les vomissements)
- une consommation insuffisante de fibres et d'eau
- l'obésité
- le sexe anal.
Questionnaire
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients. |
Formats: | Liste à puces |
Balises sémantiques: | Symptôme, Élément d'histoire |
Commentaires: |
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Exemple: | Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :
Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :
|
Les patients souffrant d'hémorroïdes internes peuvent rapporter les symptômes suivants: [8][9]
- des démangeaisons ou du prurit
- des saignements indolores, couleur rouge vif se produisant à la fin d'une selle
- de la douleur intense (surtout si hémorroïdes thrombosées ou étranglées)
- une sensation de brûlure
- une protusion
- l'écoulement de mucus
- l'enflure
- difficulté durant le nettoyage de la région périanale
- avoir l'impression d'être assis sur un objet étranger
- une forte envie de déféquer ou une sensation de défécation incomplète (si prolapsus interne)
- salissure ou humidité
Examen clinique
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique. |
Formats: | Liste à puces |
Balises sémantiques: | Examen clinique, Signe clinique |
Commentaires: |
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Exemple: | L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
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L'examen physique peut révéler des signes de maladie hépatique, de BPCO, des signes de constipation tels qu'une distension abdominale ou une impaction fécale. Un examen anorectal est idéalement effectué en position couchée sur le ventre pour une exposition maximale du périnée et de l'anus. Elle peut également être réalisée en décubitus latéral ou en position de lithotomie. Le périnée est ensuite inspecté, et les hémorroïdes externes, les acrochordons, les hémorroïdes internes prolapsus, les fissures, les fistules, les abcès sont notés. La palpation est effectuée pour évaluer les masses, l'induration, la sensibilité. Un examen numérique évalue ensuite le tonus du sphincter, les masses, la douleur et les abcès. [10][2]
Examens paracliniques
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie. |
Formats: | Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Examen paraclinique, Signe paraclinique |
Commentaires: |
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Exemple: | Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
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- Investigation 1: signe paraclinique 1, signe paraclinique 2, ...
- Investigation 2: signe paraclinique 3, signe paraclinique 4, ...
- ...
1. Anuscopie
2. Rectoscopie
3. Colonoscopie :
- Si anémie
- Sx vague pt > 40ans; r/o néo
Une anoscopie est nécessaire pour évaluer correctement tout patient atteint d'hémorroïdes. Un anoscope à vision latérale est optimal pour l'évaluation des hémorroïdes internes car les hémorroïdes internes peuvent prolapsus dans la fente, donnant à l'examinateur une idée de son volume. Les anoscopes jetables en plastique sont transparents et ont l'avantage de visualiser simultanément tout le canal anal. Le patient doit être invité à faire des efforts pendant l'examen pour évaluer le degré de prolapsus. S'asseoir sur une commode et faire des efforts peut donner une meilleure idée du degré de prolapsus chez certains patients. Une proctoscopie flexible ou rigide doit également être pratiquée, en particulier chez les patients présentant des symptômes d'alerte tels que saignements, perte de poids, modification des habitudes intestinales ou anémie. Une coloscopie formelle doit également être envisagée chez les patients présentant des symptômes de signal d'alarme. [11][2]
Approche clinique
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement. |
Formats: | Texte, Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
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Exemple: | |
En présence de douleur, Il est important de rechercher d'autres causes de douleur telles que des fissures ou une excoriation périnéale.
Diagnostic
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent). |
Formats: | Texte, Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
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Exemple: | L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.
Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :
|
Les hémorroïdes internes sont classées en quatre grades (voir tableau suivant).
Grade | Caractéristiques |
---|---|
I |
|
II |
|
III |
|
IV |
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Diagnostic différentiel
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic. |
Formats: | Liste à puces |
Balises sémantiques: | Diagnostic différentiel |
Commentaires: |
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Exemple: | Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
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Les diagnostics à écarter sont les suivants: [2]
- les hémorroïdes externes
- l'abcès périanal
- la fistule anale
- le cancer anal
- la fissure anale
Traitement
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section décrit le traitement de la maladie. |
Formats: | Liste à puces, Tableau, Texte |
Balises sémantiques: | Traitement, Traitement pharmacologique |
Commentaires: |
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Exemple: | |
Le traitement conservateur est le traitement de première intention chez tous les patients et est la seule optione de traitement chez les patients asymptomatiques. Il comprend:[12][13]
- des émollients fécaux ou laxatifs osmotiques (ex: le polyéthylène glycol, le docusate de sodium, etc.)
- des suppléments de fibre (ex: psyllium 1 à 2 cuillère à thé PO die à tid avec beaucoup d'eau)
- les analgésiques pour la douleur
- oral : anti-inflammatoires non stéroïdiens, acétaminophène
- onguent analgésique (lidocaïne 5%, pramoxine 1%) et stéroïdien (hydrocortisone 0.5 ou 1%): soulagent la douleur, les démangeaisons et l'enflure, mais l'usage à long terme est à éviter
- injection d’un anesthésique local : peu utilisé, car courte durée d’action
- l'eau d'hamamélis (ex: lingettes Tucks): soulage les démangeaisons et l’enflure, à utiliser après chaque selle
- le sulfate de zinc: offre une barrière protectrice à la peau et prévient l'irritation et l'inflammation
Ces mesures médicales conservatrices peuvent réduire l'effort au passage des selles. Les autres mesures comprennent: [14][2][15]
- l'activité physique régulière
- le maintien d'une bonne hygiène anale
- une augmentation de l'apport en fibres alimentaires (25 g / jour pour les femmes et 38 g / jour pour les hommes)
- un apport hydrique suffisant (minimum 8 verres d'eau / jour)
- les bains de siège[Notes 1]
- éviter l'essuyage excessif
- limiter le temps passé aux toilettes à 3 à 5 minutes.
Il existe différentes procédures non excisionnelles. La base du mode de traitement repose entièrement sur une combinaison de l’expérience du chirurgien, des préférences du patient, de la disponibilité de l’équipement et de l’état médical du patient.[16][2]
- la ligature élastique
- Le patient est positionné en position de jackknife couché ou en position de décubitus latéral gauche. Un examen anoscopique formel est effectué après quoi l'instrument de préhension est utilisé pour amener la muqueuse redondante à l'aspect proximal de l'hémorroïde interne le canon de l'instrument de cerclage. La bande est ensuite appliquée (environ 2 cm en amont de la ligne dentée), ce qui permet la réduction et la fixation de l'hémorroïde. L'anneau provoque une ischémie du tissu qui se détache en 5 à 7 jours. Un ulcère se forme qui, une fois guéri, provoque une fibrose et des cicatrices conduisant à la fixation de la muqueuse rectale interne au sphincter sous-jacent. Cette thérapie est efficace pour les hémorroïdes de premier, deuxième et troisième degrés. Plusieurs traitements peuvent être nécessaires pour les hémorroïdes volumineuses et volumineuses.
- la diathermie bipolaire photocoagulation
- La livraison d'énergie se fait aux tissus au sommet de l'hémorroïde interne - cela coagule les protéines et provoque une inflammation, et la cicatrisation ultérieure provoque la fixation.
- la sclérothérapie par injection
- La sclérothérapie est une autre technique de fixation des hémorroïdes dans laquelle un agent chimique crée une fibrose et une fixation des hémorroïdes. Les agents couramment utilisés comprennent 5% de phénol dans une base d'huile, une solution saline hypertonique, 5% de quinine et de l'urée. L'agent sclérosant est injecté 1 à 2 cm en amont de la ligne dentée à la base de l'hémorroïde interne. La sclérothérapie peut être utilisée en toute sécurité chez les patients sous anticoagulation car elle ne provoque que la fibrose et n'entraîne aucune mue.
- la dilatation
- la cryothérapie
- est une autre méthode de fixation qui utilise la congélation pour provoquer la destruction locale des tissus. Une sonde refroidie avec de l'azote liquide est appliquée à l'apex de l'hémorroïde interne. L'emploi de cette technique est rare.
- la coagulation infrarouge.
L'hémorroïdectomie opératoire est une option en cas d'échec de la prise en charge non opératoire ou pour le traitement des hémorroïdes plus volumineuses, car cela fournit un résultat plus durable. La prise en charge chirurgicale comprend une hémorroïdectomie par excision, une hémorroïdectomie agrafée, une dévascularisation trans-anale guidée par doppler.
Dans l'hémorroïdectomie fermée (Ferguson), le patient est positionné en position couchée sur le ventre et les fesses sont écartées pour une exposition maximale. Une incision elliptique est faite englobant la colonne hémorroïdaire. Le chirurgien doit veiller à ne pas exciser trop de tissu et à conserver suffisamment d'anoderme pour éviter une sténose anale. La fermeture de l'incision suit, avec une suture résorbable de manière courante.
L'hémorroïdectomie ouverte (Milligan-Morgan) est réalisée de manière similaire mais diffère en ce que le site d'excision est laissé ouvert.
Dans l'hémorroïdopexie agrafée, une agrafeuse trans-anale circulaire excise circonférentiellement la muqueuse et la sous-muqueuse à proximité de la ligne dentée, soulevant et fixant la muqueuse redondante et les hémorroïdes internes dans la position anatomique normale. Cette procédure cause moins de douleur par rapport aux techniques de Ferguson ou Milligan-Morgan.
La désarterialisation hémorroïdaire trans-anale implique une ligature par suture guidée par doppler de l'afflux artériel vers les hémorroïdes (artères hémorroïdales supérieures). De quatre à six artères sont généralement identifiées et ligaturées, ce qui réduit la taille des hémorroïdes.[11][2]
Technique | Indication | Déroulement de la procédure | Commentaires | |
---|---|---|---|---|
Non-excisionnel | Ligature élastique (de Barron) | Principalement pour grades II et III
(SANS composante externe importante) |
|
|
Photocoagulation | Grades I, II ou III | |||
Cautérisation ou laser | Principalement pour les grades I et II (III et IV) |
|
| |
Sclérothérapie | si contre-indication à la ligature de Barron (ex: prise d'anticoagulant) |
|
Sécuritaire chez les patients anticoagulés
Complications: ulcération ou nécrose de la muqueuse, bactérémie (8%) et sepsis.[17] | |
Ligature par sutures | suture intra-anale du pédicule hémorroïdaire | |||
Excisionnel
Hémorroïdectomie |
Milligan-Morgan
(ouverte) |
|
|
|
Ferguson (fermée) |
|
|||
Whitehead | résection circonférentielle et relocalisation de la ligne dentelée
o Cause sténose anal, ectropion |
|||
Stapled (agraffée) | une agrafeuse trans-anale circulaire excise circonférentiellement la muqueuse et la sous-muqueuse à proximité de la ligne dentée, soulevant et fixant la muqueuse redondante et les hémorroïdes internes dans la position anatomique normale.
bourse 4 cm au-dessus de ligne dentelée et CEA |
|
Non-excisionnel
Indications : Grades I, II ou III |
Excisionnel – Hémorroïdectomie |
Sclérothérapie:
- crée cicatrice muqueuse qui fixe le complexe - 2 à 5cc ethanolamine oleate - ø injection circonférentielle (sténose) - Indic : C-I à banding (anticoag) Photocoagulation: - application au-dessus chaque paquet, 3-4 applications pour chq - même efficacité que sclérothérapie Cautérisation ou laser - dissection du paquet hémorroïdaire du SI - moins extensif que hémorroïdectomie Ligature de Baron: méthode de choix (la + efficace) - Principalement pour grade II et III (SANS composante externe importante) – 1 site à la fois - C-I rel : anticoag/antiplaq, immunosuppression - Placer la ligature au-dessus de la ligne dentelée (pour dlr) - 80% soulagement Sx avec une session (2e session après 4 sem) - 70% soulagement Sx à long terme - 2,1% ont besoin de chirurgie Ligature par sutures - suture intra-anale du pédicule hémorroïdaire |
Indications : Échec autres modalités / Gr III-IV / Stranglée / Composante externe importantes / Hygiène difficile / Complications (fistule, ulcération)
Pré-op : Lavement / pas d’ATB Techniques : · Milligan-Morgan: résection complexe hémorroïdaire et ligature du plexus artériel o Fermeture de la muqueuse rectale o Plaies ouvertes (anoderme ss ligne dentelée et peau péri-anale) pour drainage o Ligasure : aug dlr, guérison, convalescence · Ferguson: o Résection = idem à Milligan-Morgan o Fermeture primaire des plaies · Whitehead: o résection circonférentielle et relocalisation de la ligne dentelée o Cause sténose anal, ectropion · Stapled: o bourse 4 cm au-dessus de ligne dentelée et CEA o serait associé à diminution de dlr post-op, mais augmentation de la récidive à long terme et prolapus |
Tx conditions associées avant hémorroïdes
- sphinctérotomie anale pour fissure
- dilatation anale pour dlr et sgm associés à haute pression canal anal (risque incontinence)
Hémorroïde strangulée:
· Hémorroïdectomie en urgence: ø technique fermée, plaies ouvertes vu risque élevé de sepsis péri-anal et dommage sphincter (pyémie portale possible via syst porte)
Complications
Il peut y avoir plusieurs complications après les différentes procédures utilisées pour traiter les hémorroïdes: [18][19]
- un saignement précoce (<24h) ( chez 1% des patients): dû au saignement de la plaie
- un saignement retardé (5-10j) (chez 0,5-4% des patients après ligature élastique): dû à la séparation précoce du paquet ligaturé avant la thrombose adéquate du pédicule artériel
- une douleur intense
- traitée avec anti-inflammatoires non stéroïdiens et narcotiques oraux
- une ulcération
- un sepsis périnéal
- chez les patients immunodéprimés
- accompagnée de fièvre, d'œdème périnéal et des douleurs et de rétention urinaire
- nécessite un traitement antibiotique à large spectre et un drainage chirurgical
- la rétention urinaire (chez 15% des patients)
- nécessite de limiter l'apport liquidien per-opératoire à 250 mL
- la sténose anale (complication rare de l'hémorroïdectomie)
- prise en charge par une dilatation anale et une modification du régime alimentaire.
- peut être prévenue en laissant 1cm de muqueuse normale entre les résections
- un trauma au sphincter et l'incontinence
Suivi
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section traite du suivi de la maladie. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
|
Exemple: | |
Complications
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section traite des complications possibles de la maladie. |
Formats: | Liste à puces, Texte |
Balises sémantiques: | Complication |
Commentaires: |
|
Exemple: | Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
|
Les principales complications de l'hémorroïde interne sont les suivantes: [2][20][21]
- la thrombose
- la nécrose de la peau
- l'infection ou la formation d'abcès
- l'anémie en cas de saignement chronique.
Évolution
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | |
Exemple: | La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an. |
Le pronostic des hémorroïdes internes est bon. La plupart des hémorroïdes internes se résolvent avec une gestion médicale conservatrice. Le taux de récidive avec une prise en charge médicale conservatrice est de 10 à 50% sur 5 ans. Les taux de récidive après une hémorroïdectomie chirurgicale sont inférieurs à 5% .[22][2]
Prévention
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent). |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | |
Exemple: | La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
|
Concepts clés
Lorsque les hémorroïdes internes prolifèrent, elles peuvent être incarcérées et étranglées. Les patients présentent une douleur aiguë et peuvent présenter une rétention urinaire. Le traitement urgent par hémorroïdectomie par excision est le traitement de choix. [2]
Des varices rectales peuvent être observées chez les patients souffrant d'hypertension portale, mais notez qu'il s'agit d'une entité distincte des hémorroïdes. [2]
Il est préférable de gérer médicalement les hémorroïdes pendant la grossesse et de n'effectuer un traitement opératoire que dans les cas graves tels qu'une hémorroïde interne étranglée. [2]
Il faut faire preuve de prudence lors de la prise en charge chirurgicale des hémorroïdes chez les patients atteints de la maladie de Crohn en raison de la cicatrisation et de l'ulcération prolongées des plaies. [2]
Les complications de l'hémorroïdectomie comprennent des saignements (des saignements sévères surviennent dans moins de 5% des cas), une rétention urinaire (0,2 à 36%), une infection (0,2 à 6%), une incontinence fécale (2 à 12%), une impaction fécale (0,4%) et sténose anale (0 à 6%). [2]
Notes
- ↑ Les bains de siège peuvent aider à l'hygiène et peuvent soulager les démangeaisons, la douleur et les brûlures. Ils doivent être chauds (environ 40 degrés celsius) et le temps de trempage doit être limité à 15 minutes. Les patients doivent être avertis d'éviter d'ajouter des sels, des lotions ou des huiles à l'eau car ils peuvent provoquer une inflammation.
Références
- Cet article a été créé en partie ou en totalité le 2021/03/04 à partir de Chirurgie (application), créée par Dre Hélène Milot, Dr Olivier Mailloux et collaborateurs et partagé sous la licence CC-BY-SA 4.0 international
- Cette page a été modifiée ou créée le 2021/01/26 à partir de Internal Hemorrhoid (StatPearls / Internal Hemorrhoid (2020/08/08)), écrite par les contributeurs de StatPearls et partagée sous la licence CC-BY 4.0 international (jusqu'au 2022-12-08). Le contenu original est disponible à https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30725867 (livre).
- ↑ https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/6605842
- ↑ 2,00 2,01 2,02 2,03 2,04 2,05 2,06 2,07 2,08 2,09 2,10 2,11 2,12 2,13 2,14 2,15 et 2,16 Rodrigue F. Fontem et Daniel Eyvazzadeh, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 30725867, lire en ligne)
- ↑ https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/2295392
- ↑ https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18506529
- ↑ Rodrigue F. Fontem et Daniel Eyvazzadeh, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 30725867, lire en ligne)
- ↑ A Le Quellec, P. Bories, J. C. Rochon et J. M. Garrigues, « [Portal hypertension and hemorrhoids. Cause effect relationship?] », Gastroenterol. Clin. Biol., vol. 12, no 8–9, , p. 646–8 (lire en ligne)
- ↑ (en) « Chirurgie », sur App Store (consulté le 4 mars 2021)
- ↑ Rodrigue F. Fontem et Daniel Eyvazzadeh, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 30725867, lire en ligne)
- ↑ (en) « Chirurgie », sur App Store (consulté le 4 mars 2021)
- ↑ https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30276625
- ↑ 11,0 et 11,1 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29431977
- ↑ Aaron Lawrence et Emily R. McLaren, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 29763185, lire en ligne)
- ↑ Timothy Mott, Kelly Latimer et Chad Edwards, « Hemorrhoids: Diagnosis and Treatment Options », American Family Physician, vol. 97, no 3, , p. 172–179 (ISSN 0002-838X et 1532-0650, lire en ligne)
- ↑ C. P. Gibbons, J. J. Bannister et N. W. Read, « Role of constipation and anal hypertonia in the pathogenesis of haemorrhoids », The British Journal of Surgery, vol. 75, no 7, , p. 656–660 (ISSN 0007-1323, PMID 3416121, DOI 10.1002/bjs.1800750712, lire en ligne)
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