« Contusion pulmonaire » : différence entre les versions
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* L'effet inertiel, lorsque l'onde de pression rencontre des tissus de densité différente, conduit à un taux d'accélération et de décélération différent, ce qui entraîne des alvéoles plus légères qui se détachent des tissus bronchiques plus denses. | * L'effet inertiel, lorsque l'onde de pression rencontre des tissus de densité différente, conduit à un taux d'accélération et de décélération différent, ce qui entraîne des alvéoles plus légères qui se détachent des tissus bronchiques plus denses. | ||
* Effet d'implosion, lorsque l'onde de pression rencontre des tissus avec des bulles d'air, elle comprime le gaz dans les tissus, un rebond entraîne un étirement et une déchirure des tissus en raison d'une surexpansion.<ref name=":0" /> | * Effet d'implosion, lorsque l'onde de pression rencontre des tissus avec des bulles d'air, elle comprime le gaz dans les tissus, un rebond entraîne un étirement et une déchirure des tissus en raison d'une surexpansion.<ref name=":0" /> | ||
== Présentation clinique == | == Présentation clinique == | ||
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Un scanner thoracique est une technique d'imagerie plus sensible pour diagnostiquer une contusion pulmonaire et est considéré comme l'[[Examen de référence|examen de référence]]. Une résolution plus élevée des tomodensitogrammes peut détecter une contusion immédiatement après un traumatisme.<ref name=":17">{{Citation d'un article|prénom1=H. H.|nom1=Schild|prénom2=H.|nom2=Strunk|prénom3=W.|nom3=Weber|prénom4=S.|nom4=Stoerkel|titre=Pulmonary contusion: CT vs plain radiograms|périodique=Journal of Computer Assisted Tomography|volume=13|numéro=3|date=1989-05|issn=0363-8715|pmid=2723172|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/2723172/|consulté le=2020-12-27|pages=417–420}}</ref> Le volume de contusion sur une reconstruction tridimensionnelle à partir d'un scanner thoracique peut aider à identifier les patients à risque plus élevé de développer un SDRA. <ref name=":18">{{Citation d'un article|prénom1=P. R.|nom1=Miller|prénom2=M. A.|nom2=Croce|prénom3=T. K.|nom3=Bee|prénom4=W. G.|nom4=Qaisi|titre=ARDS after pulmonary contusion: accurate measurement of contusion volume identifies high-risk patients|périodique=The Journal of Trauma|volume=51|numéro=2|date=2001-08|issn=0022-5282|pmid=11493778|doi=10.1097/00005373-200108000-00003|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/11493778/|consulté le=2020-12-27|pages=223–228; discussion 229–230}}</ref><ref name=":0" /> | Un scanner thoracique est une technique d'imagerie plus sensible pour diagnostiquer une contusion pulmonaire et est considéré comme l'[[Examen de référence|examen de référence]]. Une résolution plus élevée des tomodensitogrammes peut détecter une contusion immédiatement après un traumatisme.<ref name=":17">{{Citation d'un article|prénom1=H. H.|nom1=Schild|prénom2=H.|nom2=Strunk|prénom3=W.|nom3=Weber|prénom4=S.|nom4=Stoerkel|titre=Pulmonary contusion: CT vs plain radiograms|périodique=Journal of Computer Assisted Tomography|volume=13|numéro=3|date=1989-05|issn=0363-8715|pmid=2723172|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/2723172/|consulté le=2020-12-27|pages=417–420}}</ref> Le volume de contusion sur une reconstruction tridimensionnelle à partir d'un scanner thoracique peut aider à identifier les patients à risque plus élevé de développer un SDRA. <ref name=":18">{{Citation d'un article|prénom1=P. R.|nom1=Miller|prénom2=M. A.|nom2=Croce|prénom3=T. K.|nom3=Bee|prénom4=W. G.|nom4=Qaisi|titre=ARDS after pulmonary contusion: accurate measurement of contusion volume identifies high-risk patients|périodique=The Journal of Trauma|volume=51|numéro=2|date=2001-08|issn=0022-5282|pmid=11493778|doi=10.1097/00005373-200108000-00003|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/11493778/|consulté le=2020-12-27|pages=223–228; discussion 229–230}}</ref><ref name=":0" /> | ||
À la | À la tomodensitométrie, il sera possible d'observer : | ||
* | * Lésion infiltrative n-anatomique et n-dépendant. | ||
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- % de poumon atteint = besoin IET (18-30%) | - % de poumon atteint = besoin IET (18-30%) | ||
===== Radiographie du thorax ===== | ===== Radiographie du thorax ===== | ||
La radiographie pulmonaire est la technique d'imagerie la plus couramment utilisée pour le diagnostic. Son interprétation peut être difficile car les limites anatomiques pulmonaires ne limitent pas les contusions pulmonaires.<ref name=":5" /><ref name=":15">{{Citation d'un article|prénom1=G. S.|nom1=Allen|prénom2=N. E.|nom2=Coates|titre=Pulmonary contusion: a collective review|périodique=The American Surgeon|volume=62|numéro=11|date=1996-11|issn=0003-1348|pmid=8895709|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/8895709/|consulté le=2020-12-27|pages=895–900}}</ref><ref name=":5" /> D'autres contusions peuvent être masquées par la présence d'un pneumothorax ou d'un hémothorax. En cas de suspicion de contusion pulmonaire, la radiographie pulmonaire doit être répétée après 12 heures de lésion car les résultats radiographiques sont en retard par rapport à la présentation clinique et peuvent être manqués sur les images initiales réalisées en période post-traumatique immédiate <ref name=":6" /> Une contusion légère se manifeste par un trouble du verre dépoli sur une radiographie pulmonaire, et une maladie grave peut se présenter sous la forme d'une consolidation généralisée déguisée en pneumonie.<ref name=":16">{{Citation d'un article|prénom1=Lisa A.|nom1=Miller|titre=Chest wall, lung, and pleural space trauma|périodique=Radiologic Clinics of North America|volume=44|numéro=2|date=2006-03|issn=0033-8389|pmid=16500204|doi=10.1016/j.rcl.2005.10.006|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16500204/|consulté le=2020-12-27|pages=213–224, viii}}</ref> Ils sont limités à une zone géographique sur la radiographie pulmonaire. et peut traverser des fissures contrairement à des consolidations.<ref name=":0" /> | La radiographie pulmonaire est la technique d'imagerie la plus couramment utilisée pour le diagnostic. Son interprétation peut être difficile car les limites anatomiques pulmonaires ne limitent pas les contusions pulmonaires.<ref name=":5" /><ref name=":15">{{Citation d'un article|prénom1=G. S.|nom1=Allen|prénom2=N. E.|nom2=Coates|titre=Pulmonary contusion: a collective review|périodique=The American Surgeon|volume=62|numéro=11|date=1996-11|issn=0003-1348|pmid=8895709|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/8895709/|consulté le=2020-12-27|pages=895–900}}</ref><ref name=":5" /> D'autres contusions peuvent être masquées par la présence d'un pneumothorax ou d'un hémothorax. En cas de suspicion de contusion pulmonaire, la radiographie pulmonaire doit être répétée après 12 heures de lésion car les résultats radiographiques sont en retard par rapport à la présentation clinique et peuvent être manqués sur les images initiales réalisées en période post-traumatique immédiate <ref name=":6" />. | ||
À la radiographie du thorax, il serait possible d'observer : | |||
* un trouble du verre dépoli (contusion légère) | |||
* une consolidation généralisée à apparence d'une pneumonie (contusion sévère). <ref group="note">Les contusions peuvent traverser des fissures contrairement à des consolidations.</ref> | |||
Une contusion légère se manifeste par un trouble du verre dépoli sur une radiographie pulmonaire, et une maladie grave peut se présenter sous la forme d'une consolidation généralisée déguisée en pneumonie.<ref name=":16">{{Citation d'un article|prénom1=Lisa A.|nom1=Miller|titre=Chest wall, lung, and pleural space trauma|périodique=Radiologic Clinics of North America|volume=44|numéro=2|date=2006-03|issn=0033-8389|pmid=16500204|doi=10.1016/j.rcl.2005.10.006|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16500204/|consulté le=2020-12-27|pages=213–224, viii}}</ref> Ils sont limités à une zone géographique sur la radiographie pulmonaire. et peut traverser des fissures contrairement à des consolidations.<ref name=":0" /> | |||
APP: RXP : | APP: RXP : | ||
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== Diagnostic différentiel == | == Diagnostic différentiel == | ||
{{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Diagnostic différentiel}} | {{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Diagnostic différentiel}} | ||
* {{Diagnostic différentiel | nom = | * {{Diagnostic différentiel | nom = Diagnostic différentiel 1}} | ||
* {{Diagnostic différentiel | nom = | * {{Diagnostic différentiel | nom = Diagnostic différentiel 2}} | ||
* {{Diagnostic différentiel | nom = | * {{Diagnostic différentiel | nom = Diagnostic différentiel 3}} | ||
Les patients traumatisés recevant des produits sanguins peuvent développer une hypoxie et un œdème pulmonaire en raison d'une lésion pulmonaire associée à la transfusion (TRALI) et de contusions mimiques. | * ... | ||
De nombreuses affections, comme la pneumonie, l'hémothorax, l'œdème pulmonaire, peuvent avoir une présentation similaire cliniquement et à l'imagerie en tant qu'état pulmonaire. Les patients traumatisés recevant des produits sanguins peuvent développer une hypoxie et un œdème pulmonaire en raison d'une lésion pulmonaire associée à la transfusion (TRALI) et de contusions mimiques. | |||
== Traitement == | == Traitement == | ||
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Une stabilisation chirurgicale peut être nécessaire en cas de fractures multiples des côtes / de la poitrine du fléau pour corriger la mécanique pulmonaire. Les cas réfractaires à toutes les thérapies conventionnelles ont été gérés avec succès par échange de gaz extracorporel (ECMO) .<ref name=":0" /> | Une stabilisation chirurgicale peut être nécessaire en cas de fractures multiples des côtes / de la poitrine du fléau pour corriger la mécanique pulmonaire. Les cas réfractaires à toutes les thérapies conventionnelles ont été gérés avec succès par échange de gaz extracorporel (ECMO) .<ref name=":0" /> | ||
== Suivi == | == Suivi == | ||
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== Complications == | == Complications == | ||
{{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Complications}} | {{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Complications}} | ||
* {{Complication | nom = | * {{Complication | nom = Complication 1}} | ||
* {{Complication | nom = | * {{Complication | nom = Complication 2}} | ||
* {{Complication | nom = | * {{Complication | nom = Complication 3}} | ||
* ... | |||
Les contusions pulmonaires peuvent entraîner une insuffisance respiratoire, une évolution vers le SDRA et une pneumonie.<ref name=":5" /> | |||
Les patients polytraumatisés sont plus susceptibles (78%) de développer un SDRA que ceux présentant uniquement des contusions pulmonaires (17%). <ref name=":3" /><ref name=":0" /> | |||
== Évolution == | == Évolution == | ||
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Les patients à haut risque de contusion pulmonaire sont ceux qui ont des accidents de la route avec une décélération soudaine ou un véhicule en mouvement rapide heurtant un objet stationnaire. Les soldats exposés à des explosions courent également un risque élevé de développer une contusion pulmonaire qui peut entraîner des troubles respiratoires importants. Ces patients doivent être identifiés rapidement et une imagerie appropriée doit être réalisée, quantifier la gravité de la lésion du parenchyme pulmonaire. Cela aiderait au pronostic et à l'identification des patients à risque de décompensation clinique significative.<ref name=":0" /> | Les patients à haut risque de contusion pulmonaire sont ceux qui ont des accidents de la route avec une décélération soudaine ou un véhicule en mouvement rapide heurtant un objet stationnaire. Les soldats exposés à des explosions courent également un risque élevé de développer une contusion pulmonaire qui peut entraîner des troubles respiratoires importants. Ces patients doivent être identifiés rapidement et une imagerie appropriée doit être réalisée, quantifier la gravité de la lésion du parenchyme pulmonaire. Cela aiderait au pronostic et à l'identification des patients à risque de décompensation clinique significative.<ref name=":0" /> | ||
=== Notes === | |||
== Références == | == Références == |
Version du 6 janvier 2021 à 15:27
Maladie | |
Caractéristiques | |
---|---|
Signes | Crépitants, Tachypnée , Diminution des murmures vésiculaires, Hypoxémie (signe paraclinique) |
Symptômes |
Dyspnée , Douleur thoracique , Toux , Asymptomatique , Hémoptysies |
Diagnostic différentiel |
Pneumothorax, Oedème pulmonaire, Fracture costale, Lésion pulmonaire aiguë associée à la transfusion, Volet thoracique, Hémothorax, Pneumonie |
Informations | |
Terme anglais | Contusion pulmonaire |
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Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire. |
Exemple: | L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice. |
Une contusion pulmonaire est une lésion du parenchyme pulmonaire en l'absence de lacération du tissu pulmonaire ou de toute structure vasculaire.
Il résulte généralement d'un traumatisme thoracique contondant, d'ondes de choc associées à une blessure pénétrante à la poitrine ou à une explosion. Ces blessures peuvent entraîner une insuffisance pulmonaire et la mort. La physiopathologie des contusions pulmonaires reste mal connue. [1][2][3]
Épidémiologie
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution. |
Exemple: | La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an. |
Une contusion pulmonaire est la lésion pulmonaire la plus fréquemment identifiée (30% à 75%) dans les traumatismes thoraciques contondants avec un taux de mortalité de 10 à 25% .[4][4] Les enfants ont des os thoraciques plus flexibles, ce qui entraîne des forces importantes transmises au tissu pulmonaire et contusions plus sévères sans blessures externes évidentes après un traumatisme thoracique contondant.[3][5][6]
Étiologies
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies. |
Formats: | Texte, Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Étiologie |
Commentaires: |
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Exemple: | Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
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Tout traumatisme thoracique, contondant, pénétrant ou une combinaison des deux peut conduire à une contusion pulmonaire. Les explosions, les chutes de grandes hauteurs et les blessures sportives sont d'autres causes identifiées.[7][3]
Il résulte généralement d'un traumatisme thoracique contondant, d'ondes de choc associées à une blessure pénétrante à la poitrine ou à une explosion. Ces blessures peuvent entraîner une insuffisance pulmonaire et la mort. La physiopathologie des contusions pulmonaires reste mal connue. [1][2][3]
Physiopathologie
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie. |
Exemple: | Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique. |
Une contusion pulmonaire provoque une lésion du parenchyme pulmonaire, entraînant une perturbation des alvéoles et des capillaires, entraînant une fuite de sang et d'autres liquides interstitiels (eau et sérum) à travers la membrane alvéolaire-capillaire dans le tissu pulmonaire et l'espace alvéolaire. Le liquide dans l'espace alvéolaire conduit à un œdème alvéolaire et à une diminution de la quantité de surfactant, conduisant à un collapsus alvéolaire et à une atélectasie. Une diminution de la compliance pulmonaire, une discordance ventilation-perfusion et un shunt intra-pulmonaire résultent de la contusion.[8] La ventilation de la partie pulmonaire affectée est altérée car l'air oxygéné ne peut pas pénétrer dans les alvéoles remplies de liquide pendant l'inspiration, entraînant une vasoconstriction réflexe et une diminution perfusion, entraînant une hypoxémie et une hypercapnie. [9][10][3]
Une lésion pulmonaire due à une contusion pulmonaire entraîne une activation du système immunitaire, entraînant une activation des macrophages tissulaires, une accumulation de leucocytes sanguins et une production accrue de cytokines, de chimiokines, de métabolites d'acide arachidonique, de radicaux oxygénés, de complément et de cascades de coagulation. la réponse inflammatoire entraîne une altération de l'apoptose neutrophile et une augmentation de l'apoptose épithéliale alvéolaire. Une inflammation sévère peut causer un syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) .[11] La poitrine intacte controlatérale peut être impliquée, entraînant un œdème et une inflammation. [4][3]
L'aspiration concomitante d'acide gastrique peut compliquer une contusion pulmonaire en aggravant la perméabilité de la lésion pulmonaire et en augmentant la réponse inflammatoire et en évoluant vers le SDRA et la pneumonie.[12][3]
Trois mécanismes possibles sont suggérés entraînant une contusion pulmonaire.[6][3]
- Effet d'écaillage, qui conduit à une augmentation de la perméabilité de la membrane cellulaire en raison de l'interruption de la couche lipidique lorsque l'onde de pression rencontre une interface liquide-gaz, telle que la paroi alvéolaire.
- L'effet inertiel, lorsque l'onde de pression rencontre des tissus de densité différente, conduit à un taux d'accélération et de décélération différent, ce qui entraîne des alvéoles plus légères qui se détachent des tissus bronchiques plus denses.
- Effet d'implosion, lorsque l'onde de pression rencontre des tissus avec des bulles d'air, elle comprime le gaz dans les tissus, un rebond entraîne un étirement et une déchirure des tissus en raison d'une surexpansion.[3]
Présentation clinique
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
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Exemple: |
(Aucun texte)
(Texte)
(Texte)
(Texte) |
Facteurs de risque
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc. |
Formats: | Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Facteur de risque |
Commentaires: |
|
Exemple: | Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
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Questionnaire
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients. |
Formats: | Liste à puces |
Balises sémantiques: | Symptôme, Élément d'histoire |
Commentaires: |
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Exemple: | Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :
Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :
|
En fonction de la gravité de la contusion pulmonaire et d'autres blessures concomitantes, la présentation clinique peut varier. Les cas bénins peuvent être symptomatiques. [13][3] En cas de contusion sévère, les symptômes apparaissent en quelques heures, tandis que dans les blessures légères, les symptômes peuvent se développer progressivement sur 24 à 48 heures [10][3]. Les symptômes atteignent leur apogée 72h après le trauma.
La symptomatologie comprend:
- toux
- hémoptysies (cas graves)
Examen clinique
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique. |
Formats: | Liste à puces |
Balises sémantiques: | Examen clinique, Signe clinique |
Commentaires: |
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Exemple: | L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
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La zone touchée de la poitrine peut être sensible. Les bruits respiratoires peuvent être diminués lors de l'auscultation.
Les signes vitaux (signes vitaux) peuvent inclure :
- une tachypnée.
À l'examen pulmonaire il est possible de noter :
- une douleur à la palpation du thorax
- une diminution des murmures vésiculaires à l'auscultation pulmonaire.
Examens paracliniques
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie. |
Formats: | Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Examen paraclinique, Signe paraclinique |
Commentaires: |
|
Exemple: | Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
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- Investigation 1: signe paraclinique 1, signe paraclinique 2, ...
- Investigation 2: signe paraclinique 3, signe paraclinique 4, ...
- ...
Un historique détaillé de la blessure, un examen physique approfondi et une imagerie peuvent aider au diagnostic de la contusion pulmonaire.[3]
Gaz (artériel, capillaire, veineux?)
Ce test est inutile lorsque fait initialement car il est normal. Plus tard on peut noter une diminution du ratio PO2/FiO2.
Imageries
Tomodensitométrie (TDM)
Un scanner thoracique est une technique d'imagerie plus sensible pour diagnostiquer une contusion pulmonaire et est considéré comme l'examen de référence. Une résolution plus élevée des tomodensitogrammes peut détecter une contusion immédiatement après un traumatisme.[14] Le volume de contusion sur une reconstruction tridimensionnelle à partir d'un scanner thoracique peut aider à identifier les patients à risque plus élevé de développer un SDRA. [15][3]
À la tomodensitométrie, il sera possible d'observer :
- Lésion infiltrative n-anatomique et n-dépendant.
APP: ·
TDM :
- % de poumon atteint = besoin IET (18-30%)
Radiographie du thorax
La radiographie pulmonaire est la technique d'imagerie la plus couramment utilisée pour le diagnostic. Son interprétation peut être difficile car les limites anatomiques pulmonaires ne limitent pas les contusions pulmonaires.[4][16][4] D'autres contusions peuvent être masquées par la présence d'un pneumothorax ou d'un hémothorax. En cas de suspicion de contusion pulmonaire, la radiographie pulmonaire doit être répétée après 12 heures de lésion car les résultats radiographiques sont en retard par rapport à la présentation clinique et peuvent être manqués sur les images initiales réalisées en période post-traumatique immédiate [6].
À la radiographie du thorax, il serait possible d'observer :
- un trouble du verre dépoli (contusion légère)
- une consolidation généralisée à apparence d'une pneumonie (contusion sévère). [note 1]
Une contusion légère se manifeste par un trouble du verre dépoli sur une radiographie pulmonaire, et une maladie grave peut se présenter sous la forme d'une consolidation généralisée déguisée en pneumonie.[17] Ils sont limités à une zone géographique sur la radiographie pulmonaire. et peut traverser des fissures contrairement à des consolidations.[3]
APP: RXP :
- Opacification non lobulaire irrégulière
- peu sensible (33% non visible à RXP initiale vers ad 24h décalage radiologique – 92% +)
- Si présent à RXP initial = augmentatin risque insuff respi
Échographie
Une échographie est un outil d'imagerie de chevet important, facilement disponible pour l'évaluation des patients traumatisés en décubitus dorsal dans le service des urgences pour le diagnostic de contusion pulmonaire et de pneumothorax.[3]
Approche clinique
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement. |
Formats: | Texte, Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
|
Exemple: | |
Diagnostic
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent). |
Formats: | Texte, Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
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Exemple: | L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.
Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :
|
Diagnostic différentiel
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic. |
Formats: | Liste à puces |
Balises sémantiques: | Diagnostic différentiel |
Commentaires: |
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Exemple: | Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
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De nombreuses affections, comme la pneumonie, l'hémothorax, l'œdème pulmonaire, peuvent avoir une présentation similaire cliniquement et à l'imagerie en tant qu'état pulmonaire. Les patients traumatisés recevant des produits sanguins peuvent développer une hypoxie et un œdème pulmonaire en raison d'une lésion pulmonaire associée à la transfusion (TRALI) et de contusions mimiques.
Traitement
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section décrit le traitement de la maladie. |
Formats: | Liste à puces, Tableau, Texte |
Balises sémantiques: | Traitement, Traitement pharmacologique |
Commentaires: |
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Exemple: | |
La plupart des contusions pulmonaires nécessitent un traitement de soutien jusqu'à ce que la contusion guérisse. Étant donné que les contusions peuvent évoluer progressivement au cours des 24 à 48 premières heures suivant le traumatisme, une surveillance étroite est nécessaire. Le but de la thérapie est de prévenir l'insuffisance respiratoire, l'échec et les complications.[5] Il doit y avoir un contrôle de la douleur approprié pour éviter la formation d'une attelle des muscles thoraciques suite à une blessure et pour permettre l'expansion des poumons. [3]
Des soins de soutien comme le drainage postural, l'aspiration, la physiothérapie thoracique, la spirométrie incitative, la toux encourageante et la respiration profonde peuvent être essayés pour prévenir l'atélectasie. Une ventilation à pression positive utilisant CPAP et BiPAP peut être utilisée. réduit la pression sur le diaphragme et le positionnement du poumon contusionné dans une position non dépendante aide à recruter les alvéoles. La ventilation non invasive peut provoquer une distension gastrique et une aspiration, en particulier si le niveau de conscience est altéré. Si la ventilation à pression positive échoue, une ventilation invasive est nécessaire. Un volume courant élevé peut avoir des effets indésirables; par conséquent, l'utilisation d'un faible volume courant est suggérée. Les patients souffrant d'hypoxie sévère et ayant une mauvaise réponse aux autres traitements peuvent bénéficier de l'oxyde nitrique. Les diurétiques peuvent être utilisés dans une contusion pour réduire la résistance veineuse pulmonaire et la pression hydrostatique capillaire pulmonaire. [4] Si une thérapie liquidienne est nécessaire pour maintenir l'euvolémie, il est recommandé de mesurer la pression artérielle pulmonaire pour éviter l'œdème pulmonaire.[3]
Une stabilisation chirurgicale peut être nécessaire en cas de fractures multiples des côtes / de la poitrine du fléau pour corriger la mécanique pulmonaire. Les cas réfractaires à toutes les thérapies conventionnelles ont été gérés avec succès par échange de gaz extracorporel (ECMO) .[3]
Suivi
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section traite du suivi de la maladie. |
Formats: | Texte |
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Complications
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section traite des complications possibles de la maladie. |
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Exemple: | Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
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Les contusions pulmonaires peuvent entraîner une insuffisance respiratoire, une évolution vers le SDRA et une pneumonie.[4]
Les patients polytraumatisés sont plus susceptibles (78%) de développer un SDRA que ceux présentant uniquement des contusions pulmonaires (17%). [5][3]
Évolution
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps. |
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Exemple: | La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an. |
La plupart des contusions pulmonaires guérissent avec des soins de soutien dans les 5 à 7 jours. Le score de Murray pour les lésions pulmonaires aiguës peut être utilisé pour évaluer la gravité des lésions pulmonaires. Il comprend quatre paramètres: le score d'hypoxémie (PaO2 / FiO2), l'atélectasie, la compliance pulmonaire et le score PEEP. Chaque paramètre est noté de 0 à 4. Le score est calculé, en ajoutant les paramètres examinés et en divisant par le nombre de paramètres examinés: Score de 0: pas de lésion pulmonaire, score de 0,1 à 2,5, lésion pulmonaire légère ou moyenne, score supérieur à 2,5 , Lésion pulmonaire avec ARDS.[18]. Une contusion sévère peut évoluer vers une maladie pulmonaire chronique. Quelques années plus tard, la capacité résiduelle fonctionnelle peut être diminuée et une fibrose pulmonaire peut se développer.[16][3]
Prévention
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent). |
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Exemple: | La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
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L'utilisation de ceintures de sécurité, de coussins gonflables dans les véhicules et de sièges d'auto adaptés à l'âge offre une protection en cas d'accidents de la route (MVA) et minimise le risque de contusions pulmonaires.[4][3]
Concepts clés
Les patients à haut risque de contusion pulmonaire sont ceux qui ont des accidents de la route avec une décélération soudaine ou un véhicule en mouvement rapide heurtant un objet stationnaire. Les soldats exposés à des explosions courent également un risque élevé de développer une contusion pulmonaire qui peut entraîner des troubles respiratoires importants. Ces patients doivent être identifiés rapidement et une imagerie appropriée doit être réalisée, quantifier la gravité de la lésion du parenchyme pulmonaire. Cela aiderait au pronostic et à l'identification des patients à risque de décompensation clinique significative.[3]
Notes
Références
- Cette page a été modifiée ou créée le 2020/11/07 à partir de Pulmonary Contusion (StatPearls / Pulmonary Contusion (2020/10/01)), écrite par les contributeurs de StatPearls et partagée sous la licence CC-BY 4.0 international (jusqu'au 2022-12-08). Le contenu original est disponible à https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/32644340 (livre).
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- ↑ 3,00 3,01 3,02 3,03 3,04 3,05 3,06 3,07 3,08 3,09 3,10 3,11 3,12 3,13 3,14 3,15 3,16 3,17 3,18 3,19 3,20 et 3,21 Saroj Choudhary, Divij Pasrija et Magda D. Mendez, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 32644340, lire en ligne)
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