Lésion traumatique cutanée (approche clinique)
La peau est le plus grand organe du corps humain[1]. Bien que cela dépende des dimensions individuelles, il est possible d'estimer qu'en moyenne, qu'elle pèse près de 2 à 4 kg[2][3] et couvre une superficie d'environ 2 m2 [4]. L'épaisseur de la peau varie selon la localisation sur le corps : elle serait plus épaisse au niveau du dos ainsi que sur les surfaces palmoplantaires [5], alors qu'elle serait la plus fine au niveau des paupières[6].
La peau est l’une des composantes du système tégumentaire avec les cheveux, les poils ainsi que les ongles[7]. En plus d'agir comme interface entre le milieu interne de notre organisme et l'environnement, la peau a un grand rôle de défense des agressions microbiologiques, chimiques et physiques[8]. Elle permet également de prévenir des pertes importantes en eau et en électrolytes[9] en agissant comme barrière semi-perméables aux divers composés hydrophiles et lipophiles[10], sans oublier son rôle important dans la thermorégulation[11] ainsi que la synthèse de vitamine D, essentielle à l'équilibre phospho-calcique.[12] Bref, son rôle pour le maintien de l'homéostasie est primoridal, d'où l'importance de la reconnaissance ainsi que du traitement des différentes lésions cutanées.
Lésions cutanées (109-12)
Définition
Une lésion cutanée est une altération de l’intégrité de la peau, provoquant ainsi un dysfonctionnement à la réalisation de ses fonctions. Les lésions peuvent se produire par de multiples mécanismes, à l’exemple d’une réaction allergique, d'une maladie génétique, d’une maladie systémique ou encore d’une processus traumatique. Ce sont d’ailleurs les lésions cutanées traumatiques (ex : lacérations, plaies par perforation, blessures par écrasement) qui seront majoritairement traitées au sein de cet article, en vertu de l'objectif du CMC ci-contre.
Étiologies
- Idiopathique
- Génétique (ex : tache café au lait dans la neurofibromatose[13])
- Allergique (ex : dermite de contact[14])
- Infection (ex : éruption de papules érythémateuses puis de vésicules lié à la réactivation de Varicella Zoster (zona)[15], chancre lié à la primo-infection par Treponema pallidum[16])
- Traumatique (ex : plaies par perforation liées aux morsures animales, lacérations)
- Maladie systémique (ex : papules de Gottron dans la dermatomyosite[17], acanthosis nigricans dans le diabète[18])
- Etc.
Physiopathologie et lexique
Couches de la peau
La peau est constituée de trois couches distinctes: l'épiderme, le derme et l'hypoderme.[19] Les deux principaux Les types de peau humaine sont la peau glabre − c'est-à-dire une peau dépourvue de poils, à l'exemple des surfaces palmoplantaires − et la peau avec poils[20], caractérisée par la présence d'unités pilo-sébacées composées de follicules pileux, de glandes sébacées et de muscles arrecteurs des poils.[21]
Épiderme
L'épiderme représente la couche cutanée la plus superficielle.[22] Sa fonction principale est d'agir comme barrière contre les agressions externes.
L'épiderme est composé de quatre couches distinctes : les couches cornée (stratum corneum - soit la couche la plus externe), granuleuse (stratum granulosum), épineuse (stratum spinosum) et basale (stratum basale - soit la couche la plus interne).[23] Les principales cellules qui se retrouvent au sein de l'épiderme sont les kératinocytes (qui produisent la kératine, essentielle pour la structure et la protection de notre peau), les mélanocytes (qui produisent la mélanine, responsable de la pigmentation de notre peau) ainsi que des cellules de Langerhans (impliquées dans l'immunité innée) et de Merkel (impliquées dans la fonction des mécanorécepteurs).[24] [25] Les kératinocytes se différencient de la base vers la surface de la peau.[26] D'ailleurs, la couche épidermique ne contient pas de vaisseaux sanguins : l'apport en nutriment ainsi que l'élimination des déchets se produisent donc par diffusion entre les cellules de la couche basale de l'épiderme et celles des couches supérieures du derme. [27] L'épiderme est toutefois innervé par des terminaisons nerveuses libres qui sont capables de capter les stimuli thermoalgiques ainsi que par les organes de Merkel qui sont spécialisés dans la perception du toucher délicat.[28]
Derme
Le derme se retrouve entre l'épiderme et l'hypoderme.[29] Son rôle en est un de soutien pour l'épiderme, mais également de protection pour les tissus sous-jacents.[30] Il a également un rôle dans la thermorégulation via les plexus artério-veineux qu'il supporte et dans la perception des stimuli de l'environnement.[31]
Le derme comprend deux sections, soit le derme papillaire et le derme réticulaire.[32] Alors que le derme papillaire s'intercale avec l'épiderme et constitue un tissu conjonctif lâche richement vascularisé, le derme réticulaire est plus profond et correspond davantage à un tissu conjonctif dense.[33] On y retrouve également les glandes sudoripares (eccrines et apocrines[34]) et sébacrées ainsi que les follicules pileux.[35]
Le collagène (surtout le type I et III) est le principal composant du derme, avec l'élastine, la réticuline, les fibroblastes ainsi que d'autres composantes de la matrice extra-cellulaire.[36] Des adipocytes, des histiocytes et des mastocytes sont également présents et sont particulièrement importants dans les processus de cicatrisation de la peau. [37][38] Le derme contient deux réseaux vasculaires, soit un plexus superficiel et un plexus profond, étant reliés par le biais de communications verticales[39][40]. Ces vaisseaux sont très importants, entre autres pour la nutrition des cellules épidermales, pour la thermorégulation, pour l'inflammation ainsi que pour les processus de cicatrisation de la peau.[41][42] L'innervation y est également importante, avec des mécanorécepteurs localisés tout particulièrement autour des unités pilosébacées ainsi que par les corpuscules de Meissner (véhiculant les sensations de toucher léger et de certains types de vibrations)[43] et les corpuscules de Pacini (détectant les pressions profondes et les vibrations).[44]
Hypoderme
L'hypoderme est la couche la plus profonde de la peau : elle constitue donc l'interface entre le derme et le fascia ainsi que les muscles sous-jacents. [45] Le rôle de l'hypoderme en est un de conservation de réserves énergétiques et d'isolement thermique (via les nombreux adipocytes), en plus d'assurer une protection au tissus sous-jacents via l'absorption des chocs.[45]
Le principal composant cellulaire de ce tissu est l'adipocyte.[45] On y retrouve toutefois également des faisceaux lâches de collagène et du tissu élastique, des nerfs ainsi que des vaisseaux sanguins.[46]
Lexique dermatologique
Bien que cela ne soit pas couramment utilisé dans le cas de lésions cutanées traumatiques (à l'exemple des lacérations), il est important de savoir caractériser les lésions de la peau.[47][48][49][50][51][52][53][54][55][56][57][58]
Lésions primaires
Les lésions primaires représentent les altérations originelles qui se produisent sur la peau suite à un processus pathologique quelconque.
- Macule: changement de la couleur de la peau, non palpable (sans dépression, ni élévation) et mesurant < 10 mm
- Ex : éphélides (« tâches de rousseur »), Tinea versicolor, etc.
- Tache : changement de la couleur de la peau, non palpable et mesurant ≥ 10 mm
- Ex : vitiligo, taches café au lait, etc.
- Papule: élévation circonscrite et solide (sans liquide visible) de la peau, palpable (relief présent) et mesurant < 10 mm
- Ex : nevus, verrue vulgaire, molluscum contagiosum, syphilis secondaire, etc.
- Plaque: élévation circonscrite et solide (sans liquide visible) de la peau, palpable et mesurant ≥ 10 mm
- Ex : dermite de contact, cellulite, psoriasis, etc.
- Nodule: morphologiquement similaire à une papule, de nature solide ou cystique et mesurant en général entre 1 et 2 cm, mais situé plus profond dans le derme
- Ex : érythème noueux, xanthogranulome, etc.
- Tumeur : morphologiquement similaire à un nodule, mais plus gros (généralement > 2 cm)
- Ex : neurofibrome, lipome, etc.
- Pustule : élévation circonscrite avec matériel purulent visible (pouvant tout de même être stérile), palpable et mesurant généralement < 10 mm
- Ex : acné vulgaire, folliculite, psoriasis pustuleux, etc.
- Kyste : élévation circonscrite avec soit du pus, soit de la kératine (donc souvent présence de matériel semi-solide)
- Ex : acné kystique, kyste épidermoïde cutané, etc.
- Vésicule : élévation circonscrite avec matériel translucide (souvent de nature séreuse ou hémorragique), palpable et mesurant généralement < 10 mm
- Ex : infection à Herpes simplex 1 ou 2 (herpès labial ou génital), infection à Varicella zoster (varicelle et zona), etc.
- Bulle : élévation circonscrite avec matériel translucide (souvent de nature séreuse et/ou hémorragique), palpable et mesurant généralement ≥ 10 mm
- Ex : pemphigoïde bulleuse, dermite de contact (à l'herbe à puce par exemple), etc.
- Ortie (« wheal ») : lésion typique de l'urticaire, dont la forme et la localisation sont changeantes dans le temps mais toujours bien délimités, souvent érythémateuses et prurigineuses.
- Télangiectasie : dilatation d'un vaisseau sanguin superficiel.
- Ex : sclérodermie, rosacée, etc.
- Purpura : lésion soit non-palpable (formant entre autres les pétéchies et les ecchymoses), soit palpable (retrouvé dans les vasculites des petits vaisseaux) de couleur rouge et dont la couleur ne blanchit pas sous l'effet de la pression (puisque le purpura correspond à l'extravasion des érythrocytes dans le tissu cutané).
- Ex : purpura solaire ou sénile, vasculite à IgA (Henoch-Schonlein), etc.
- Une autre forme de purpura est à craindre : le purpura rétiforme non-inflammatoire, souvent associé avec le sepsis et la coagulation intravasculaire disséminée (CIVD).
- Sillon : lésion caractéristique de la gale (infection par Sarcoptes scabiei ou hominis) avec présence d'une mince ligne (souvent squameuse) mesurant de quelques milimètres à un centimètre de long avec souvent une papule érythémateuse au bout.
- Comédon : ouvert (« point noir ») ou fermé (« point blanc »), caractéristique de l'acné.
- Lésion en cible : lésion érythémateuse, produisant un effet de trois cercles concentriques via ses bordures plus claires.
- Caractéristiques de l'érythème multiforme (secondaire à une infection, réaction médicamenteuse, collagénose, etc.) ou encore de l'érythème migran typique d'une infection à Borrelia burgdorferi (maladie de Lyme).
- Etc.
Lésions secondaires
Les lésions secondaires correspondent aux changements qui se produisent au niveau des lésions dans le temps, souvent par un processus externe (à l'exemple d'un grattage).
- Excoriation : lésion superficielle secondaire au grattage ou tout autre processus de friction d'une lésion.
- Lichénification : épaississement palpable de la peau avec accentuation des plis cutanés, secondaire à une inflammation continue causée par l'exposition à un irritant ou encore à un grattage chronique.
- Croûte : résultat de la rupture d'une pustule, d'une vésicule ou d'une bulle, laissant ainsi un exsudat purulent, séreux et/ou hémorragique séché.
- Squames : détachement de cellules kératinisées de la couche cornée de l'épiderme, visibles à l'oeil nu.
- Érosion : perte d'une partie de l'épiderme, causant ainsi une discontinuité dans la peau.
- Ulcère : discontinuité cutanée à l'exemple d'une érosion, mais plus profonde que cette dernière (affectant ainsi le derme et parfois l'hypoderme et les tissus sous-jacents).
- Fissure : érosion ou ulcération linéaire, causant un « craquement » de la peau.
- Atrophie : perte de tissu, présente soit au sein de l'épiderme, du derme ou de l'hypoderme.
- Cicatrice : processus de guérison de la peau caractérisé par le remplacement des tissus lésés par du tissu conjonctif, qui peut être atrophique ou hypertrophique.
- Etc.
Configuration des lésions
- Linéaires
- Serpigineuses
- Groupées
- Annulaires
- Nummulaires
- Polycycliques
- Coalescentes/confluentes
- Géographiques
- Réticulées
- Herpétiformes
- Zostériformes
- Etc.
Lésions traumatiques
Les lésions traumatiques ont un lexique qui leur est propre. Elles sont souvent dénommées par leur type.[59][60]
- Lacération : plaie ouverte secondaire à une perforation de la barrière cutanée ou par un trauma contondant.
- Abrasion : blessure superficielle, causant une discontinuité de l'épiderme et parfois du derme, le plus souvent secondaire à un mécanisme de friction (ex : traumas de la route).
- Avulsion : « arrachement » de la peau jusqu'aux tissus des couches plus profondes.
- Plaie perforante : pénétration de la peau par un objet pénétrant ou contondant.
- Morsure : plaie perforante secondaire à l'empreinte laissée par les dents d'un individu (soi-même ou autrui) ou d'un animal.
- Etc.
Approche clinique d'une lésion cutanée
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: |
|
Formats: | Liste à puces, Tableau, Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
|
Exemple: | |
Cliniquement, le diagnostic d'une affection cutanée particulière est posé via la collecte des informations pertinentes concernant la ou les lésions cutanées qui se présentent, y compris l'emplacement (ex : visage, tronc, membres), les symptômes associés (ex : prurit, douleur, fièvre), la durée (ex : aiguë, chronique), la disposition (ex : solitaire, généralisée, annulaire, linéaire), la morphologie (ex: macules, papules, vésicules) et la couleur (ex : rouge, marron).[47] Il ne faut d'ailleurs pas oublier une anamnèse bien complète ainsi qu'un examen physique, puisque plusieurs maladies systémiques peuvent se présenter via les phanères. Le diagnostic de nombreuses affections nécessite souvent des examens complémentaires, à l'exemple d'une observation sous la lampe de Wood (permettant de mieux déceler les différences de pigmentation ou encore d'observer certains microorganismes émettant une fluorescence)[61], d'une analyse par dermatoscopie (permettant de visualiser certaines lésions invisibles à l'oeil nu)[62] ou encore d'une biopsie cutanée (fournissant des informations histologiques)[63][64] qui peuvent être corrélées avec la présentation clinique et les données de laboratoire éventuelles.[65]
L'examen physique de la peau et de ses appendices, ainsi que des muqueuses, constitue la pierre angulaire d'un diagnostic précis des affections cutanées. [49] La plupart de ces affections présentent des modifications de la surface cutanée appelées «lésions», qui ont des caractéristiques plus ou moins distinctes. .[48] Souvent, un examen approprié amènera le médecin à obtenir des informations historiques appropriées et / ou des tests de laboratoire capables de confirmer le diagnostic.[49] Lors de l'examen, les observations cliniques importantes sont la (1) morphologie, (2) la configuration et (3) ) distribution de la (des) lésion (s) .[49] En ce qui concerne la morphologie, la lésion initiale qui caractérise une affection est connue sous le nom de «lésion primaire», et l'identification d'une telle lésion est l'aspect le plus important de l'examen cutané.[48] Au fil du temps , ces lésions primaires peuvent continuer à se développer ou être modifiées par régression ou traumatisme, produisant "se Cependant, cela étant dit, le manque de normalisation de la terminologie dermatologique de base a été l'un des principaux obstacles à une communication réussie entre les médecins dans la description des résultats cutanés.[39] Néanmoins, il existe des termes couramment acceptés pour décrire le la morphologie macroscopique, la configuration et la distribution des lésions cutanées, qui sont énumérées ci-dessous.[48]
Questionnaire
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: |
|
Formats: | Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Questionnaire, Symptôme discriminant, Élément d'histoire discriminant |
Commentaires: |
|
Exemple: | Chez les patients atteints de dyspnée aiguë, les symptômes à rechercher sont :
|
Examen clinique
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: |
|
Formats: | Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Examen clinique, Signe clinique discriminant |
Commentaires: |
|
Exemple: | Chez les patients atteints d'une dyspnée aiguë, les éléments suivants sont à rechercher à l'examen clinique :
|
Autres termes connexes
Drapeaux rouges
Toute contribution serait appréciée.
Description: |
|
Formats: | Liste à puces |
Balises sémantiques: | Drapeau rouge |
Commentaires: |
|
Exemple: | Les drapeaux rouges des patients qui se présentent en céphalée aiguë sont :
|
Investigation
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | |
Exemple: | |
Prise en charge
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | |
Exemple: | |
Suivi
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section traite du suivi de l'approche clinique |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
|
Exemple: | |
Complications
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section traite des complications possibles de l'approche clinique classées en ordre de probabilité (si possible). |
Formats: | Liste à puces, Texte |
Balises sémantiques: | Complication |
Commentaires: |
|
Exemple: | |
Références
- Cette page a été modifiée ou créée le 2021/01/03 à partir de Skin condition (997950720), écrite par les contributeurs de Wikipedia (en) et partagée sous la licence CC-BY-SA 4.0 international. Le contenu original est disponible à https://en.wikipedia.org/wiki/Skin_condition.
- ↑ Hani Yousef, Mandy Alhajj et Sandeep Sharma, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 29262154, lire en ligne)
- ↑ Encyclopædia Universalis, « PEAU », sur Encyclopædia Universalis (consulté le 9 janvier 2021)
- ↑ (en) James G. Marks et Jeffrey J. Miller, Lookingbill and Marks' Principles of Dermatology E-Book, Elsevier Health Sciences, (ISBN 978-1-4557-5013-9, lire en ligne)
- ↑ Richard L. Gallo, « Human Skin Is the Largest Epithelial Surface for Interaction with Microbes », The Journal of investigative dermatology, vol. 137, no 6, , p. 1213–1214 (ISSN 0022-202X, PMID 28395897, Central PMCID 5814118, DOI 10.1016/j.jid.2016.11.045, lire en ligne)
- ↑ Hani Yousef, Mandy Alhajj et Sandeep Sharma, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 29262154, lire en ligne)
- ↑ (en) Bryan E. Anderson MD, The Netter Collection of Medical Illustrations - Integumentary System: Volume 4, Elsevier Health Sciences, (ISBN 978-1-4377-5654-8, lire en ligne)
- ↑ (en) Bryan E. Anderson MD, The Netter Collection of Medical Illustrations - Integumentary System: Volume 4, Elsevier Health Sciences, (ISBN 978-1-4377-5654-8, lire en ligne)
- ↑ (en) Ehrhardt Proksch, Johanna M. Brandner et Jens-Michael Jensen, « The skin: an indispensable barrier », Experimental Dermatology, vol. 17, no 12, , p. 1063–1072 (ISSN 1600-0625, DOI 10.1111/j.1600-0625.2008.00786.x, lire en ligne)
- ↑ (en) Ehrhardt Proksch, Johanna M. Brandner et Jens-Michael Jensen, « The skin: an indispensable barrier », Experimental Dermatology, vol. 17, no 12, , p. 1063–1072 (ISSN 1600-0625, DOI 10.1111/j.1600-0625.2008.00786.x, lire en ligne)
- ↑ (en) Bryan E. Anderson MD, The Netter Collection of Medical Illustrations - Integumentary System: Volume 4, Elsevier Health Sciences, (ISBN 978-1-4377-5654-8, lire en ligne)
- ↑ A. A. Romanovsky, « Skin temperature: its role in thermoregulation », Acta Physiologica (Oxford, England), vol. 210, no 3, , p. 498–507 (ISSN 1748-1708, PMID 24716231, Central PMCID 4159593, DOI 10.1111/apha.12231, lire en ligne)
- ↑ (en) Michael F. Holick, Ellen Smith et Stephanie Pincus, « Skin as the Site of Vitamin D Synthesis and Target Tissue for 1,25-Dihydroxyvitamin D3: Use of Calcitriol (1,25-Dihydroxyvitamin D3) for Treatment of Psoriasis », Archives of Dermatology, vol. 123, no 12, , p. 1677–1683a (ISSN 0003-987X, DOI 10.1001/archderm.1987.01660360108022, lire en ligne)
- ↑ Cuong Le et Paul M. Bedocs, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 29083784, lire en ligne)
- ↑ Graham Litchman, Pragya A. Nair, Amber R. Atwater et Beenish S. Bhutta, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 29083649, lire en ligne)
- ↑ « UpToDate », sur www.uptodate.com (consulté le 9 janvier 2021)
- ↑ « Syphilis », sur www.quebec.ca (consulté le 9 janvier 2021)
- ↑ Federica Ricceri et Francesca Prignano, « Gottron papules: a pathognomonic sign of dermatomyositis », CMAJ : Canadian Medical Association Journal, vol. 185, no 2, , p. 148 (ISSN 0820-3946, PMID 22825999, Central PMCID 3563888, DOI 10.1503/cmaj.111791, lire en ligne)
- ↑ Mark F. Brady et Prashanth Rawla, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 28613711, lire en ligne)
- ↑ Jeffrey H. Miller et James G. Marks, Lookingbill and Marks' Principles of Dermatology, Saunders, (ISBN 1-4160-3185-5)
- ↑ Burns, Tony; et al. (2006) Rook's Textbook of Dermatology CD-ROM. Wiley-Blackwell. (ISBN 1-4051-3130-6).
- ↑ Paus R, Cotsarelis G, « The biology of hair follicles », N Engl J Med, vol. 341, no 7, , p. 491–97 (PMID 10441606, DOI 10.1056/NEJM199908123410706)
- ↑ (en) James G. Marks et Jeffrey J. Miller, Lookingbill and Marks' Principles of Dermatology E-Book, Elsevier Health Sciences, (ISBN 978-1-4557-5013-9, lire en ligne)
- ↑ Hani Yousef, Mandy Alhajj et Sandeep Sharma, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 29262154, lire en ligne)
- ↑ « Merkel Cell - an overview | ScienceDirect Topics », sur www.sciencedirect.com (consulté le 10 janvier 2021)
- ↑ (en) Bryan E. Anderson MD, The Netter Collection of Medical Illustrations - Integumentary System: Volume 4, Elsevier Health Sciences, (ISBN 978-1-4377-5654-8, lire en ligne)
- ↑ (en) Tung-Tien Sun et Howard Green, « Differentiation of the epidermal keratinocyte in cell culture: Formation of the cornified envelope », Cell, vol. 9, no 4, , p. 511–521 (ISSN 0092-8674 et 1097-4172, DOI 10.1016/0092-8674(76)90033-7, lire en ligne)
- ↑ Hani Yousef, Mandy Alhajj et Sandeep Sharma, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 29262154, lire en ligne)
- ↑ Hani Yousef, Mandy Alhajj et Sandeep Sharma, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 29262154, lire en ligne)
- ↑ (en) James G. Marks et Jeffrey J. Miller, Lookingbill and Marks' Principles of Dermatology E-Book, Elsevier Health Sciences, (ISBN 978-1-4557-5013-9, lire en ligne)
- ↑ Thomas M. Brown et Karthik Krishnamurthy, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 30570967, lire en ligne)
- ↑ « Dermis - an overview | ScienceDirect Topics », sur www.sciencedirect.com (consulté le 10 janvier 2021)
- ↑ Rapini, Ronald P., Practical dermatopathology, Elsevier Mosby, (ISBN 0-323-01198-5)
- ↑ Wilfredo Lopez-Ojeda, Amarendra Pandey, Mandy Alhajj et Amanda M. Oakley, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 28723009, lire en ligne)
- ↑ (en) Ali Alikhan et Thomas L. H. Hocker, Review of Dermatology E-Book, Elsevier Health Sciences, (ISBN 978-0-323-29673-1, lire en ligne)
- ↑ (en) Thomas P. Habif, Clinical Dermatology E-Book, Elsevier Health Sciences, (ISBN 978-0-323-26607-9, lire en ligne)
- ↑ Thomas M. Brown et Karthik Krishnamurthy, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 30570967, lire en ligne)
- ↑ Traci A. Wilgus et Brian C. Wulff, « The Importance of Mast Cells in Dermal Scarring », Advances in Wound Care, vol. 3, no 4, , p. 356–365 (ISSN 2162-1918, PMID 24757590, Central PMCID 3985512, DOI 10.1089/wound.2013.0457, lire en ligne)
- ↑ Ryan Driskell, Colin A. B. Jahoda, Cheng-Ming Chuong et Fiona Watt, « Defining dermal adipose tissue », Experimental dermatology, vol. 23, no 9, , p. 629–631 (ISSN 0906-6705, PMID 24841073, Central PMCID 4282701, DOI 10.1111/exd.12450, lire en ligne)
- ↑ 39,0 et 39,1 Wolff, Klaus Dieter, Fitzpatrick's Dermatology in General Medicine, McGraw-Hill Medical, (ISBN 978-0-07-146690-5)
- ↑ Grant-Kels, JM, Color Atlas of Dermatopathology (Dermatology: Clinical & Basic Science), Informa Healthcare, (ISBN 978-0-8493-3794-9), p. 163
- ↑ T Ryan, Physiology, biochemistry, and molecular biology of the skin, New York, 2nd, (ISBN 0-19-505612-4), « Cutaneous Circulation », p. 1019
- ↑ Swerlick, RA et Lawley, TJ, « Role of microvascular endothelial cells in inflammation », J. Invest. Dermatol., vol. 100, no 1, , p. 111S–115S (PMID 8423379, DOI 10.1038/jid.1993.33)
- ↑ Meghan A. Piccinin, Julia H. Miao et Janice Schwartz, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 30085522, lire en ligne)
- ↑ Thomas M. Brown et Karthik Krishnamurthy, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 30570967, lire en ligne)
- ↑ 45,0 45,1 et 45,2 Lynch, Peter J., Dermatology, Williams & Wilkins, (ISBN 0-683-05252-7)
- ↑ (en) Ali Alikhan et Thomas L. H. Hocker, Review of Dermatology E-Book, Elsevier Health Sciences, (ISBN 978-0-323-29673-1, lire en ligne)
- ↑ 47,0 et 47,1 Klaus Wolff, Richard Allen Johnson et Richard Suurmond, Fitzpatrick's Color Atlas and Synopsis of Clinical Dermatology, 5th, (ISBN 0-07-144019-4)
- ↑ 48,0 48,1 48,2 et 48,3 James, William D., Andrews' Diseases of the Skin: Clinical Dermatology, Saunders Elsevier, (ISBN 0-7216-2921-0)
- ↑ 49,0 49,1 49,2 et 49,3 Callen, Jeffrey, Color atlas of dermatology, Philadelphia, W.B. Saunders, (ISBN 0-7216-8256-1)
- ↑ « UpToDate », sur www.uptodate.com (consulté le 10 janvier 2021)
- ↑ (en) Thomas P. Habif, Clinical Dermatology E-Book, Elsevier Health Sciences, (ISBN 978-0-323-26607-9, lire en ligne)
- ↑ (en) Carol A. Soutor et Maria Hordinsky, Clinical Dermatology, McGraw Hill Professional, (ISBN 978-0-07-177296-9, lire en ligne)
- ↑ (en) Thomas P. Habif, Clinical Dermatology E-Book, Elsevier Health Sciences, (ISBN 978-0-323-26607-9, lire en ligne)
- ↑ (en) James G. Marks et Jeffrey J. Miller, Lookingbill and Marks' Principles of Dermatology E-Book, Elsevier Health Sciences, (ISBN 978-1-4557-5013-9, lire en ligne)
- ↑ Rachel L. Gilson et Jonathan S. Crane, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 31335026, lire en ligne)
- ↑ (en) Neelam A. Vashi, The Dermatology Handbook: A Clinician's Guide, Springer Nature, (ISBN 978-3-030-15157-7, lire en ligne)
- ↑ Amita H. Sutaria, Sadia Masood et Joel Schlessinger, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 29083670, lire en ligne)
- ↑ Wissem Hafsi et Talel Badri, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 29261983, lire en ligne)
- ↑ « Guide de pratique clinique du personnel infirmier en soins primaires de la Direction générale de la santé des Premières Nations et des Inuits (DGSPNI) », sur www.canada.ca,
- ↑ Rijen Shrestha, Kewal Krishan et Tanuj Kanchan, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 32119352, lire en ligne)
- ↑ « UpToDate », sur www.uptodate.com (consulté le 9 janvier 2021)
- ↑ « UpToDate », sur www.uptodate.com (consulté le 9 janvier 2021)
- ↑ (pt) Werner B, « [Skin biopsy and its histopathologic analysis: Why? What for? How? Part I] », An Bras Dermatol, vol. 84, no 4, , p. 391–95 (PMID 19851671, DOI 10.1590/s0365-05962009000400010)
- ↑ (pt) Werner B, « [Skin biopsy with histopathologic analysis: why? what for? how? part II] », An Bras Dermatol, vol. 84, no 5, , p. 507–13 (PMID 20098854, DOI 10.1590/S0365-05962009000500010)
- ↑ Xiaowei Xu, Elder, David A., Rosalie Elenitsas, Johnson, Bernett L. et Murphy, George E., Lever's Histopathology of the Skin, Hagerstwon, MD, Lippincott Williams & Wilkins, (ISBN 978-0-7817-7363-8)