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==Complications==
==Complications==
{{Section ontologique|classe=Maladie| nom=Complications}} Les complications de cette maladie sont :
{{Section ontologique|classe=Maladie| nom=Complications}} La principale complication de cette maladie est la récidive tumorale. Si le patient présente des douleurs abdominales, un ictère obstructif et une perte de poids significative, une récidie réginale avec atteinte intra-abdominale doit être suspectée .<ref name=":0" />
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Les complications de la maladie comprennent la récidive tumorale, pouvant causer des douleurs viscérales résultant d'une atteinte intra-abdominale. La récidive régionale peut provoquer un ictère obstructif. Les cliniciens doivent suspecter une maladie récurrente chez les patients présentant une perte de poids inexplicable, un ictère obstructif ou des douleurs intra-abdominales de plus en plus intenses.<ref name=":0" />
==Évolution==
==Évolution==
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Évolution}} Le pronostic du cancer de la vésicule biliaire est généralement pauvre. Les facteurs affectant le pronostic sont le stade de découverte, l'emplacement spécifique de la tumeur, l'opérabilité/réponse à la chimiothérapie, et si et où elle s'est propagée. <ref name=":0" /> Gallbladder cancer has a high recurrence rate and a poor 5-year survival rate.  
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Évolution}} Le pronostic du cancer de la vésicule biliaire est généralement pauvre. Les facteurs affectant le pronostic sont le stade de découverte, l'emplacement spécifique de la tumeur, l'opérabilité/réponse à la chimiothérapie, et si et où elle s'est propagée. <ref name=":0" /> Gallbladder cancer has a high recurrence rate and a poor 5-year survival rate.  

Version du 10 février 2023 à 11:33

Cancer de la vésicule biliaire
Maladie
Caractéristiques
Signes Ascite, Hépatomégalie, Masse abdominale, Obstruction de l'intestin grêle, Lymphadénopathie (approche clinique), Nodule ombilicale, Nodule de soeur-marie-joseph, Carcinomatose
Symptômes
Anorexie , Nausées, Contact infectieux, Sueurs nocturnes, Fatigue , Douleur abdominale, Asymptomatique , Prurit cutané , Vomissement , Perte de poids , ... [+]
Diagnostic différentiel
Colique biliaire, Hémangiome, Fibrome, Lipome, Cholécystite aiguë, Hépatome, Sténose des voies biliaires, Cholédocholithiase, Cholangite aiguë, Cholécystite alithiasique, ... [+]
Informations
Wikidata ID Q977787

Page non révisée

Le cancer de la vésicule biliaire est un cancer rare et généralement malin qui représente la majorité des cancer des voies biliaires. [1]

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

L'incidence du cancer de la vésicule biliaire dépend essentiellement de la localisation géographique. Il est plus élevé dans les populations asiatiques et d'Amérique latine (ex. le Chili, l'Inde, le Pakistan, la Corée, le Japon et Israel) en raison de la forte prévalence de calculs biliaires et d'infections chroniques de la vésicule biliaire dans ces régions. L'American Cancer Society estime 11 740 nouveaux cas de cancer de la vésicule biliaire et 3 830 décès aux États-Unis avec une prépondérance féminine en 2017. L'incidence globale du cancer de la vésicule biliaire a diminué chez les patients de plus de 50 ans mais a augmenté dans la population plus jeune. Le cancer de la vésicule biliaire est plus fréquent chez les Caucasiens, les Autochtones du Sud-Ouest et les Américains hispaniques et moins fréquent chez les Afro-Américains. L'incidence des femmes qui développent cette néoplasie est 3 à 6 fois plus grande que celle des hommes. [2][3]

Étiologies

La section facultative Étiologies ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

Les étiologies de cette maladie ne sont pas bien définies encore, rares sont les articles qui proposent des causes soutenues par des preuves solides. Parmi celles proposées, certains suggèrent l'implication des facteurs menstruels et reproductifs ou des hormones féminines étant donné la forte incidence chez les femmes, mais d'autres études sont nécessaires. [3]

Physiopathologie

La section facultative Physiopathologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

L'hypothèse actuelle concernant la physiopathologie du cancer est celle de l'inflammation qui fait que des mutations s'accumulent et conduisent à la transformation maligne. Les mutations les plus fréquemment décrites sont les oncogènes K-ras et les suppresseurs de tumeurs bêta-caténine (CTNNB1). La recherche n'a révélé aucun risque familial héréditaire. [4]

Présentation clinique

La section obligatoire Présentation clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

Facteurs de risque

La section facultative Facteurs de risque ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Les facteurs de risque de cette maladie sont [2][3][5][6] :

Questionnaire

La section obligatoire Questionnaire ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

Les patients atteints d'un cancer de la vésicule biliaire sont souvent asymptomatiques ou décrivent des symptômes vagues. Les symptômes de cette maladie sont [2][7]:

Examen clinique

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

L'examen clinique permet d 'objectiver les signes suivants [16] :

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Laboratoires

Les analyses sanguines suivantes sont utiles pour le diagnostic de cette maladie [6][21][22] :

  • une FSC
  • un bilan chimique de base
  • un bilan hépatique :
    • un test de la fonction hépatique
    • une évaluation d'inflammation hépatobiliaire ou d'une lésion sous-jacente (ex. virus de l'hépatite B ou C, maladies auto-immunes, etc.)

Imagerie

Les imageries suivantes peuvent être demandées lorsqu'on suspecte un cancer de la vésicule biliaire [2][6][21][22] :

  • l'échographie endoscopique transabdominale
    • elle permet une description précise du stade du cancer, de la profondeur de l'invasion et de la lymphadénopathie locale
  • la tomodensitométrie thoraco-abdomino-pelvienne
    • elle est utile pour détecter les extensions de la pahtologie au foie, aux ganglions lymphatiques ou la présence de métastases. Avec une précision jusqu'à 93%, on peut déterminer si la vésicule biliaire est résécable avant toute opération
  • la résonance magnétique dynamique (RM) et la cholangiopancréatographie par RM (MRCP)
    • elles permettent d'évaluer l'étendue de la maladie et d'identifier les candidats non résécables présentant une invasion du ligament hépatoduodénal, un enrobage vasculaire et/ou une atteinte des ganglions lymphatiques (sensibilité et spécificité proche de 100%)
  • tomographie par émission de positons/tomodensitométrie (PET/CT)
    • elle peut distinguer le caractère malin ou bénin de la tumeur et identifier une maladie occulte à un stade avancé afin d'éviter une intervention chirurgicale inutile.

Histopathologie

L'adénocarcinome consiste la grande majorité des modifications histopathologiques du cancer de la vésicule biliaire (90 %). Cette affection évolue de la dysplasie pré-néoplasique au carcinome in situ et, finalement, au cancer invasif, après environ 15 ans d'inflammation. Le carcinome épidermoïde est rare dans la vésicule biliaire. Le développement d'une masse est un autre type de lésion qui peut expliquer l'histopathologie de ce cancer, mais il n'est qu'occasionnel et peu fréquent. [2][16]

La biopsie peut être effectué lors de l'échographie grâce à l'aspiration à aiguille fine.

Classification TNM du cancer de la vésicule biliaire[22]
Tumeur primaire (T)
TX Impossible d'évaluer la tumeur
T0 Aucune évidence de tumeur primaire
Tis Carcinome in situ
T1 T1a Envahissement de la lamina propria
T1b Envahissement de la couche musculaire
T2 T2a Envahissement du tissu conjonctif périmusculaire du côté péritonéal sans extension à la séreuse
T2b Envahissement du tissu conjonctif périmusculaire du côté hépatique sans extension au foie
T3 Perforation de la séreuse (péritoine viscéral) et/ou envahissement direct du foie et/ou d'un autre organe ou d'une structure adjacent (ex. l'estomac, le duodénum, le côlon, le pancréas, l'épiploon, les voies biliaires extrahépatiques)
T4 Envahissement de la veine porte principale, ou de l'artère hépatique, ou de deux organes, ou ≥ 2 structures extrahépatiques
Ganglions régionaux
NX Impossible d'évaluer les ganglions
N0 Aucune métastase lymphatique
N1 1-3 ganglions atteints par métastases
N2 ≥ 4 ganglions atteints par métastases
Métastases à distance
M0 Aucune métastase à distance
M1 Présence de métastases à distance
Stades
Stade 0 Tis + N0 + M0
Stade IA T1a + N0 + M0
Stade IB T1b + N0 + M0
Stade IIA T2a + N0 + M0
Stade IIB T2b + N0 + M0
Stade IIIA T3 + N0 + M0
Stade IIIB T1/T2/T3 + N1 + M0
Stade IVA T4 + N0/N1 + M0
Stade IVB N'importe quel T + N2 + M0
N'importe quel T + N'importe quel N + M1


Les marqueurs tumoraux, tels que l'antigène carcinoembryonnaire et l'antigène glucidique19-9, sont fréquemment élevés mais considérés comme non diagnostiques en raison du manque de spécificité (CA 19-9 92,7 % contre 79,2 % CEA) et de sensibilité (CA 19-9 50 % contre 79,4 % ACE). Les tests de référence CEA et CA 19-9 sont utiles pour surveiller la réponse au traitement. Le système de stadification préféré est le TNM de l'American Joint Committee on Cancer 2010 divisé GC du stade 0 au stade IV fortement corrélé avec une survie globale à 5 ans de 81 %, 50 %, 29 %, 7-8 % et 2-3 %, respectivement.[2][35][36]

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Le différentiel diagnostic de la maladie est [2] :

  • le diagnostic différentiel 1
  • le diagnostic différentiel 2
  • le diagnostic différentiel 3
  • une cholécystite alithiasique
  • une cholécystopathie alithiasique
  • un carcinome de l'ampoule de Vater
  • une sténoses des voies biliaires
  • une tumeur des voies biliaires
  • une colique biliaireBiliary colic
  • une pathologie biliaireBiliary disease
  • une obstruction des voies biliaires
  • une cholangite
  • une cholécystite
  • une adénomyomatose
  • des polypes.

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

Le traitement de la maladie localement avancée et métastatique repose sur la chimiothérapie palliative. À l'inverse, le stade précoce est potentiellement curatif avec une résection chirurgicale suivie d'un traitement adjuvant.[2]

Pages complémentaires

Les traitements proposés sont les suivants :

  • le programme d'exercice 1
    • Exemple de recommandation. [B, 2]
  • le traitement non-pharmacologique 2
  • Médicament 80 mg PO TID x 7j
  • Le traitement néoadjuvant n'est souvent pas une option en raison du stade avancé de la maladie au moment du diagnostic et n'est pas considéré comme une norme de soins dans les cas résécables. L'orientation vers des essais cliniques précoces mérite d'être envisagée.[37][2]

    La chirurgie est le seul traitement curatif pour les patients de stade II ou moins et sans contre-indications (voir évaluation). La résection chirurgicale du cancer de la vésicule biliaire comprendra une cholécystectomie avec une hépatectomie marginale avec une lymphadénectomie régionale ou une résection du canal cholédoque (les organes étendus peuvent nécessiter une ablation). Pour le cancer de la vésicule biliaire découvert accidentellement sur un échantillon pathologique de cholécystectomie de stade T2 ou supérieur, il est recommandé de revenir pour une exploration plus approfondie et une nouvelle résection.[38]


    Un chimiothérapie post-opératoire devrait être offerte dans les 8 à 12 semaines e il faudra des laboratoires et une imagerie de re-staging avec le début du tratement. Un traitement adjuvant doit être proposé aux patients présentant un rapport d'échantillon pathologique réséqué de T2 ou supérieur, avec atteinte ganglionnaire et marge positive, de préférence pendant six mois de chimiothérapie adjuvante (ACT) ou alternative de quatre mois avec chimioradiothérapie adjuvante concomitante (ACRT ).[39][2]

    Les directives consensuelles du National Comprehensive Cancer Network (NCCN) suggèrent les recommandations suivantes[40] :[2]

    1. Chemotherapy alone for six months with gemcitabine [1000 mg/weekly for three of every four weeks] or 5-FU (fluoropyrimidine) [leucovorin 20 mg/m suivi de FU 425 mg/m en bolus intraveineux [IV] jours 1 à 5 tous les 28 jours] publié dans l'essai ESPAC-3 avec une survie globale médiane pour CT de 43,1 mois contre 35,2 mois dans le groupe d'observation sans signification statistique (données extrapolées à partir des tumeurs malignes pancréaticobiliaires).[41]
    2. En plus à ce qui précède, un autre régime comprend quatre cycles de capécitabine (Cap) [1 500 mg/m² par jour les jours 1 à 14] plus la gemcitabine (Gem) [1 000 mg/intraveineuse les jours 1 et 8] tous les 21 jours, suivis d'un CRT [Cap 1330 mg/jour répartis en deux prises quotidiennes et RT 45 Gy aux lymphatiques régionaux ; 54 à 59,4 Gy au lit tumoral] publié dans un essai SWOG-S0809 à un seul bras avec des résultats médicaux attendus (mOS) de 35 mois sans groupe de comparaison.[39]
    3. Lastly, 5-FU [225 mg/m daily]-based ACRT from other gastrointestinal malignancy extrapolation data. Lors de l'ASCO 2017, l'étude BILCAP a été présentée comme le premier traitement adjuvant randomisé de phase 3 pour les patients sans complications post-chirurgicales et le groupe oncologique coopératif oriental de deux ou moins (ECOG < 2), 447 patients ont été randomisés 1:1 Cap N 223[ 1250mg/m D1-14 tous les 21 jours, pendant huit cycles] ou observation (Obs) N224 de 44 sites britanniques entre 2006 et 2014, il comprenait 18 % de GC, et les résultats ont montré une mOS pour Cap 53mo par rapport à l'observation pendant 36 mois (HR 0,75 p0,028). Par conséquent, Cap sera bientôt adopté comme nouvelle norme de soins.[42][2]

    La surveillance selon les recommandations du NCCN comprend l'imagerie tous les six mois pendant deux ans, si cliniquement indiqué, puis annuellement jusqu'à cinq ans. Les oncologues peuvent surveiller étroitement les patients avec des tests de la fonction hépatique et des marqueurs tumoraux (CEA et CA19-9) tous les trois à quatre mois pendant deux ans, puis tous les six mois jusqu'à cinq ans. Toutes les autres investigations peuvent avoir lieu lorsqu'elles sont cliniquement indiquées. [2]

    Les cancers de la vésicule biliaire localement avancés et métastatiques non résécables sont candidats à des fins palliatives/chimiothérapie. Un stade localement avancé peut être géré par radiothérapie externe et implique généralement un radiosensibilisateur, tel que le 5-FU, mais cette modalité permet rarement de contrôler la tumeur. Les patients aptes (ECOG 0-1) à la chimiothérapie pourraient envisager l'option de première ligne de Gem [1 000 mg/m] plus cisplatine (cis) [25 mg/m] les jours 1 et 8 toutes les trois semaines avec une toxicité acceptable comme publié dans l'essai randomisé ABC-02 qui comprenait 148 patients atteints d'un cancer de la vésicule biliaire et avait une MOS de 11,7 mois dans le bras combiné par rapport à 8,3 mois de Gem seul (HR, 0,70 ; p0,002).[43] Autre gem- les combinaisons basées sur le 5-FU ne sont pas une comparaison randomisée, et les études à un seul bras ont rapporté une MOS pour GemCap 12,7 mois, Gem avec Oxaliplatine 14,3 mois à la fois sur une population sélectionnée ou une combinaison alternative à base de 5-FU plus Cis 11,5 mois ou Cap 11,3 mois.[44] Médiocre les patients performants peuvent recevoir un agent oral unique Cap plus tolérable et moins toxique avec une MOS rapportée de 9,9 mois, par rapport aux meilleurs soins de soutien de 4,5 mois. Tous les patients atteints d'une maladie avancée non résécable devraient recevoir des offres de participation à des essais cliniques.[2]

    Suivi

    La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
    Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

    Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
    Formats:Texte
    Balises sémantiques:
    Commentaires:
     
    • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
    • Quels doivent être les consignes données au patient ?
    • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
    • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
    Exemple:
     

    Complications

    La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
    Toute contribution serait appréciée.

    Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
    Formats:Liste à puces, Texte
    Balises sémantiques: Complication
    Commentaires:
     
    • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
    • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
    • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
      • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
      • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
    • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
    • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
    • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
    • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
    Exemple:
     
    Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
    • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
    • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
    • la tachycardie ventriculaire [Complication]
    • le bloc AV de haut grade [Complication].

    La principale complication de cette maladie est la récidive tumorale. Si le patient présente des douleurs abdominales, un ictère obstructif et une perte de poids significative, une récidie réginale avec atteinte intra-abdominale doit être suspectée .[2]

    Évolution

    La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
    Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

    Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
    Formats:Texte
    Balises sémantiques:
    Commentaires:
     
    Exemple:
     
    La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

    Le pronostic du cancer de la vésicule biliaire est généralement pauvre. Les facteurs affectant le pronostic sont le stade de découverte, l'emplacement spécifique de la tumeur, l'opérabilité/réponse à la chimiothérapie, et si et où elle s'est propagée. [2] Gallbladder cancer has a high recurrence rate and a poor 5-year survival rate.

    Le taux de survie à un an de 17,6 % (2007 à 2013)[45]. Le pronostic du cancer de la vésicule biliaire est médiocre en raison de la biologie tumorale agressive, de la présentation tardive, de la position anatomique compliquée et du stade avancé au moment du diagnostic.

    De plus, le syndrome de Mirizzi (obstruction du canal hépatique commun par une pierre impactée dans le col de la vésicule biliaire due à une compression extrinsèque) a montré une association avec le cancer de la vésicule biliaire. Elle est de mauvais pronostic car non résécable à la présentation. [7]

    Prévention

    La section facultative Prévention ne contient pour le moment aucune information.
    Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

    Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
    Formats:Texte
    Balises sémantiques:
    Commentaires:
     
    Exemple:
     
    La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
    • l'arrêt tabagique
    • l'activité physique régulière
    • la perte de poids si obésité
    • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
    • éviter toute consommation de cocaïne.

    Références

    __NOVEDELETE__
    1. Rebecca L. Siegel, Kimberly D. Miller et Ahmedin Jemal, « Cancer Statistics, 2017 », CA: a cancer journal for clinicians, vol. 67, no 1,‎ , p. 7–30 (ISSN 1542-4863, PMID 28055103, DOI 10.3322/caac.21387, lire en ligne)
    2. 2,00 2,01 2,02 2,03 2,04 2,05 2,06 2,07 2,08 2,09 2,10 2,11 2,12 2,13 2,14 et 2,15 Shiva Kumar R. Mukkamalla, Sarang Kashyap, Alejandro Recio-Boiles et Hani M. Babiker, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 28723031, lire en ligne)
    3. 3,0 3,1 et 3,2 (en) Mikayla A. Schmidt, Lorena Marcano-Bonilla et Lewis R. Roberts, « Gallbladder cancer: epidemiology and genetic risk associations », Chinese Clinical Oncology, vol. 8, no 4,‎ , p. 31–31 (ISSN 2304-3873 et 2304-3865, DOI 10.21037/cco.2019.08.13, lire en ligne)
    4. Amir A. Rahnemai-Azar, Allison Weisbrod, Mary Dillhoff et Carl Schmidt, « Intrahepatic cholangiocarcinoma: Molecular markers for diagnosis and prognosis », Surgical Oncology, vol. 26, no 2,‎ , p. 125–137 (ISSN 1879-3320, PMID 28577718, DOI 10.1016/j.suronc.2016.12.009, lire en ligne)
    5. I. Roa, J. C. Araya, M. Villaseca et X. De Aretxabala, « Preneoplastic lesions and gallbladder cancer: an estimate of the period required for progression », Gastroenterology, vol. 111, no 1,‎ , p. 232–236 (ISSN 0016-5085, PMID 8698204, DOI 10.1053/gast.1996.v111.pm8698204, lire en ligne)
    6. 6,0 6,1 et 6,2 (en) Mislav Rakic, Leonardo Patrlj, Mario Kopljar et Robert Klicek, « Gallbladder cancer », Hepatobiliary Surgery and Nutrition, vol. 3, no 5,‎ , p. 22126–22226 (ISSN 2304-389X et 2304-3881, PMID 25392833, Central PMCID PMC4207839, DOI 10.3978/j.issn.2304-3881.2014.09.03, lire en ligne)
    7. 7,0 et 7,1 Theegala L. V. D. Prasad, Ashok Kumar, Sadiq S. Sikora et Rajan Saxena, « Mirizzi syndrome and gallbladder cancer », Journal of Hepato-Biliary-Pancreatic Surgery, vol. 13, no 4,‎ , p. 323–326 (ISSN 0944-1166, PMID 16858544, DOI 10.1007/s00534-005-1072-2, lire en ligne)
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    16. 16,0 et 16,1 (en) Biliary Tract and Gallbladder Cancer: A Multidisciplinary Approach, Springer Berlin Heidelberg, coll. « Medical Radiology », (ISBN 978-3-642-40557-0 et 978-3-642-40558-7, DOI 10.1007/978-3-642-40558-7, lire en ligne)
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    21. 21,0 et 21,1 Alessandro Furlan, James V. Ferris, Keyanoosh Hosseinzadeh et Amir A. Borhani, « Gallbladder carcinoma update: multimodality imaging evaluation, staging, and treatment options », AJR. American journal of roentgenology, vol. 191, no 5,‎ , p. 1440–1447 (ISSN 1546-3141, PMID 18941083, DOI 10.2214/AJR.07.3599, lire en ligne)
    22. 22,0 22,1 et 22,2 (en) A. Vogel, J. Bridgewater, J. Edeline et R. K. Kelley, « Biliary tract cancer: ESMO Clinical Practice Guideline for diagnosis, treatment and follow-up☆ », Annals of Oncology, vol. 34, no 2,‎ , p. 127–140 (ISSN 0923-7534 et 1569-8041, PMID 36372281, DOI 10.1016/j.annonc.2022.10.506, lire en ligne)
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    35. Hiromichi Ito, Kaori Ito, Michael D'Angelica et Mithat Gonen, « Accurate staging for gallbladder cancer: implications for surgical therapy and pathological assessment », Annals of Surgery, vol. 254, no 2,‎ , p. 320–325 (ISSN 1528-1140, PMID 21617582, DOI 10.1097/SLA.0b013e31822238d8, lire en ligne)
    36. B. L. Strom, G. Maislin, S. L. West et B. Atkinson, « Serum CEA and CA 19-9: potential future diagnostic or screening tests for gallbladder cancer? », International Journal of Cancer, vol. 45, no 5,‎ , p. 821–824 (ISSN 0020-7136, PMID 2335386, DOI 10.1002/ijc.2910450505, lire en ligne)
    37. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/20478489
    38. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28480069
    39. 39,0 et 39,1 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25964250
    40. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28476736
    41. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22782416
    42. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28572460
    43. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/20375404
    44. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28577720
    45. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/17109082
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