« Bronchiolite » : différence entre les versions

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Des rapports de causalité entre la bronchiolite causée par le VRS et la maladie asthmatique sont encore très discutés. Certaines études ont démontré la présence d'un lien entre l'atteinte des voies respiratoires inférieures lors d'infection pas le VRS dans la petite enfance et le risque de développer des symptômes d'[[asthme]] chez les enfants d'âge scolaire. Environ la moitié des enfants hospitalisés pour une bronchiolite sud du Canada, développent de l'asthme.<ref name=":12" /><ref name=":13" /> Tandis que d'autres études n'ont pas conclu à la présence d'un lien entre les infections à VRS et l'asthme.<ref>{{Citation d'un article|prénom1=Mark L.|nom1=Everard|titre=The relationship between respiratory syncytial virus infections and the development of wheezing and asthma in children|périodique=Current Opinion in Allergy and Clinical Immunology|volume=6|numéro=1|date=2006-02|issn=1528-4050|pmid=16505613|doi=10.1097/01.all.0000200506.62048.06|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16505613/|consulté le=2020-12-04|pages=56–61}}</ref> Mais de plus amples études devront déterminer le rôle potentiel des infections dues au VRS et les différents types d'asthme.<ref name=":12">{{Citation d'un article|prénom1=Tom|nom1=Kovesi|prénom2=Brenda Louise|nom2=Giles|prénom3=Hans|nom3=Pasterkamp|titre=La prise en charge à long terme de l’asthme chez les enfants inuits et des Premières nations : un outil de transfert du savoir fondé sur les lignes directrices canadiennes pour l’asthme pédiatrique, conçu pour être utilisé par les professionnels de la santé de première ligne qui travaillent dans des communautés isolées|périodique=Paediatrics & Child Health|volume=17|numéro=7|date=2012|issn=1205-7088|pmcid=3448549|lire en ligne=https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3448549/|consulté le=2020-12-04|pages=e65
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== Évolution ==
== Évolution ==


{{Section ontologique | classe = Classe de maladie | nom = Évolution}}
{{Section ontologique | classe = Classe de maladie | nom = Évolution}}
Bien que certaines études montrent des preuves d'un risque accru d'asthme après un épisode de bronchiolite, seul un petit pourcentage d'enfants atteints de bronchiolite développent de l'asthme. On pense que des antécédents de respiration sifflante récurrente et des antécédents familiaux d'asthme, d'allergies et / ou de dermatite atopique augmentent le risque de développer un asthme chez les patients atteints dans le futur <ref name=":7">https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29105099</ref>.<ref name=":0" />
Des rapports de causalité entre la bronchiolite causée par le VRS et la maladie asthmatique sont encore très discutés. Certaines études ont démontré la présence d'un lien entre l'atteinte des voies respiratoires inférieures lors d'infection pas le VRS dans la petite enfance et le risque de développer des symptômes d'[[asthme]] chez les enfants d'âge scolaire. Environ la moitié des enfants hospitalisés pour une bronchiolite sud du Canada, développent de l'asthme.<ref name=":12">{{Citation d'un article|prénom1=Tom|nom1=Kovesi|prénom2=Brenda Louise|nom2=Giles|prénom3=Hans|nom3=Pasterkamp|titre=La prise en charge à long terme de l’asthme chez les enfants inuits et des Premières nations : un outil de transfert du savoir fondé sur les lignes directrices canadiennes pour l’asthme pédiatrique, conçu pour être utilisé par les professionnels de la santé de première ligne qui travaillent dans des communautés isolées|périodique=Paediatrics & Child Health|volume=17|numéro=7|date=2012|issn=1205-7088|pmcid=3448549|lire en ligne=https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3448549/|consulté le=2020-12-04|pages=e65
e85}}</ref><ref name=":13">{{Citation d'un article|prénom1=Fernando D.|nom1=Martinez|titre=Respiratory syncytial virus bronchiolitis and the pathogenesis of childhood asthma|périodique=The Pediatric Infectious Disease Journal|volume=22|numéro=2 Suppl|date=2003-02|issn=0891-3668|pmid=12671456|doi=10.1097/01.inf.0000053889.39392.a7|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12671456/|consulté le=2020-12-04|pages=S76–82}}</ref> Tandis que d'autres études n'ont pas conclu à la présence d'un lien entre les infections à VRS et l'asthme.<ref>{{Citation d'un article|prénom1=Mark L.|nom1=Everard|titre=The relationship between respiratory syncytial virus infections and the development of wheezing and asthma in children|périodique=Current Opinion in Allergy and Clinical Immunology|volume=6|numéro=1|date=2006-02|issn=1528-4050|pmid=16505613|doi=10.1097/01.all.0000200506.62048.06|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16505613/|consulté le=2020-12-04|pages=56–61}}</ref> Mais de plus amples études devront déterminer le rôle potentiel des infections dues au VRS et les différents types d'asthme.<ref name=":12" /><ref name=":13" />
 
Il est plus probable que des antécédents de respiration sifflante récurrente et des antécédents familiaux d'asthme, d'allergies, de dermatite atopique sont plus incriminés dans le risque de développer de asthme chez ces patients là.<ref name=":0" /> <ref name=":7">https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29105099</ref>


== Prévention ==
== Prévention ==

Version du 4 décembre 2020 à 12:48

Bronchiolite
Classe de maladie
Caractéristiques
Signes Apnée, Crépitants, Tachycardie , Tirage , Tachypnée , Battement des ailes du nez, Sibilance, Allongement du temps expiratoire, Râles, Altération de l'état de conscience , ... [+]
Symptômes
Anorexie , Congestion nasale, Rhinorrhée, Apnée, Oligurie, Anurie, Dyspnée , Détresse respiratoire, Tirage , Altération de l'état de conscience , ... [+]
Étiologies
Adénovirus, Virus respiratoire syncytial, Métapneumovirus humain, Coronavirus, Rhinovirus, Virus para-influenza, Virus influenza
Informations
Terme anglais Bronchiolite pédiatrique

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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

La bronchiolite est l'inflammation des voies respiratoires inférieures la plus fréquentes chez les enfants de moins de 24 mois.

Il s'agit d'une inflammation aux niveau des bronchioles, le plus souvent de cause virale. Il en résulte une détresse respiratoire associée à une diminution de la prise orale, ce qui en fait l'un des motifs de consultation les plus fréquents en hiver chez la population des enfants âgés de moins de 24 mois avec un pic entre l'âge de 2 à 6 mois.[1]

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

Le virus respiratoire syncitial (VRS) a été incriminé dans 80% des cas de bronchiolite suite à l'utilisation de tests moléculaire.[2][1] La majorité des cas de bronchiolite se produisant entre l'hiver et le début du printemps avec un pic au mois de janvier.

La population à risque est représentée essentiellement par les enfants avant l'âge de 2 ans, plus spécifiquement les nourrissons de moins de 3 mois, les prématurés, ainsi que ceux atteints de maladies pulmonaires chroniques, de cardiopathie congénitale compliquées, d'immunodéficience et de maladies chroniques.

Il existe également des facteurs de risques liés à la mère. [3].

(Se référer à la section Facteurs de risques.)

L'étude de cohorte prospective Early Life (RBEL) a également trouvé une corrélation entre la respiration sifflante secondaire à la bronchiolite respiratoire syncytial du virus (RSV) et le développement futur de l'asthme précoce chez les enfants [4].[1]

Étiologies

La section facultative Étiologies ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologie.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].
  • Virus Respiratoire Syncytial (VRS) dans la majorité des cas.
  • Adénovirus.
  • Métapneumovirus humain.
  • Virus influenza A et B
  • Virus para-influenza type 3, et moins fréquemment le virus para-influenza type 1 et 2.
  • Rhinovirus.

[1][5][6]

Maladies

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Description:
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 

Physiopathologie

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Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section Physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

Le virus circule à travers les voies respiratoires supérieures puis les bronches de petit et moyen calibre et les bronchioles causant une réponse inflammatoire.

Cette inflammation au niveau de la muqueuse respiratoire entraîne nécrose des cellules épithéliales et la production de mucus obstruant ainsi les voies respiratoires. L'obstruction étant de type expiratoire, une partie de l'air inspiré se retrouve piégé à l'intérieur des alvéoles et peut provoquer des complications telles que l'atélectasie. [1][6]

Présentation clinique

La section obligatoire Présentation clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique
    • (Aucun texte)
    • Facteurs de risque
      • (Texte)
    • Questionnaire
      • (Texte)
    • Examen clinique
      • (Texte)

Une infection des voies respiratoire supérieures suivie de symptômes de détresse respiratoire et d'un sifflement doit faire évoquer le diagnostique d'une bronchiolite et être investigué en conséquence.

Ajouter les références Amboss

Facteurs de risque

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Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Les facteurs de risque sont: [1][3][4][7]

  • Prématurité.
  • Âge inférieur à 3 mois.
  • Immunodéficience.
  • Maladie pulmonaire chronique.
  • Cardiopathies congénitales.
  • Autres maladies chroniques sous-jacente.
  • Exposition à la fumée.
  • Allergènes tels que les blattes, les acariens et les squames de chats et de chiens.

Questionnaire

La section obligatoire Questionnaire ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Symptôme et Élément d'histoire lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [symptôme]
  • des sueurs [symptôme]
  • de la dyspnée [symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [symptôme]
  • la fièvre [symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [symptôme]
  • l'absence de toux [symptôme].

On retrouve à l'histoire la symptomatologie initiale d'une infection des voies respiratoires supérieures d'une durée de 3 jours environs: [1][6][7][8]

  • Rhinorrhée.
  • Congestion nasale.
  • Toux
  • Refus de l'alimentation.
  • Fièvre.

Population particulière: Chez le prématuré ou le nourrisson de moins de 2 mois, le tableau clinique peut se présenter initialement par des épisodes récidivants d'apnée, suivi dans les 24 à 48 heures de l'apparition des symptômes classiques d'une bronchiolite.

Examen clinique

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [Examen clinique] :
    • de la fièvre [Signe clinique]
    • des signes de choc septique [Signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [Examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [Signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [Signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [Signe clinique]
    • un ressaut positif [Signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [Signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [Signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [Signe clinique].

L'examen clinique peut retrouver des signes de détresse respiratoire: [1][6][7][8]

  • Tachypnée.
  • Battement des ailes du nez.
  • Utilisation de muscles respiratoires accessoires.
  • Tirage intercostal et sous-costal.
  • Sibilance.
  • Cyanose.
  • Hypoxémie.
  • Léthargie.

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [Examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [Signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [Examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [Signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [Examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques [Examen paraclinique] : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [Signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [Examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [Signe paraclinique] et l'hypercalcémie [Signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [Examen paraclinique]: l'hyperglycémie [Signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [Examen paraclinique]/ gaz veineux [Examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Le diagnostique de le bronchiolite est clinique, les examens complémentaires ne sont pas indiqués en cas de bronchiolite non compliquée.

La saturation en oxygène doit être évaluée pour déterminer le taux d'oxygénation et de ce fait la gravité de l'affection.

D'autres examens peuvent êtres faits dans certaines situations telles qu'une hypoxémie, la survenue de complications, l'évaluation d'une surinfection, l'élimination de diagnostics différentiels, et ce particulièrement chez les patients présentant des comorbidités telles que des maladies cardiopulmonaires.

  • Tests rapides à la recherche des Ag du virus respiratoire syncytial par lavage ou aspiration nasale.
  • Radiographies thoraciques donnent généralement des résultats non spécifiques (poumons distendus, aplatissement des coupoles diaphragmatiques, infiltrat interstitiel et accentuation de la trame bronchique péri-hilaire, atélectasie). Ces résultats, si mal interprétés, pourraient mener à une surutilisation d'antibiotiques.

[1][6][7][9][10][11][12]

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
  • Si vous désirez décrire des caractéristiques essentielles pour différencier la maladie dont vous êtes en train de traiter d'autres maladies, ceci a plutôt sa place dans la section d'Approche clinique. Par exemple, si vous voulez décrire les signes et les symptômes clés pour différentier l'infarctus du myocarde du pneumothorax sur la page du pneumothorax, ceci a sa place soit 1) sur la page d'approche clinique Douleur thoracique 2) dans la section Approche clinique du pneumothorax/infarctus.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [Diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [Diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [Diagnostic différentiel]
  • la cystite [Diagnostic différentiel].

Les diagnostiques différentiels comprennent: [6][9][12]

  • Asthme ou exacerbation d'un asthme connu: favorisée par une infection respiratoire virale, le plus souvent sur un terrain asthmatique familial.
  • Autres infections pulmonaires telles qu'une pneumonie.
  • Réaction allergique.
  • Reflux gastro-œsophagien: dans un contexte d'épisodes multiples.
  • Fistule trachéo-œsophagienne.
  • Aspiration d'un corps étranger: doit être évoquée devant un début brutal et en absence de signes d'infection des voies respiratoires supérieures.

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

La prise en charge est de soutien et devrait inclure l'hydratation, l'aspiration des voies aériennes supérieures et une surveillance étroite des signes d'insuffisance respiratoire et de la nécessité d'une intubation et d'une ventilation mécanique. Les nébulisations salines hypertoniques ont été utiles. L'oxygène d'appoint n'est pas utilisé en routine à moins que les saturations en oxygène soient systématiquement inférieures à 90%. L'oxymétrie de pouls continue n'est pas non plus recommandée car elle peut augmenter la durée du séjour. Les antipyrétiques sont indiqués en cas de fièvre. Les bronchodilatateurs ne raccourcissent pas les jours de symptômes, les taux d'admission ou la durée du séjour. En conséquence, les essais ne sont plus recommandés. Les stéroïdes systémiques et l'épinéphrine racémique ne sont pas non plus recommandés. Les antibiotiques ne doivent être utilisés que si une infection superposée est présente en plus de la bronchiolite.[1]

Lorsque les patients sont testés positifs pour la grippe A, ils peuvent être traités avec de l'oseltamivir, en particulier s'il est administré dans les 2 jours suivant le début de la maladie. Lorsque ce médicament antiviral est administré aux patients au début de la maladie, il augmente son efficacité et améliore le cours de la maladie.[1]

La prophylaxie au palivizumab a été mise au point dans le but de prévenir la bronchiolite causée par le VRS chez des patients qui ont été identifiés comme étant particulièrement vulnérables. Il existe des critères stricts définis par l'American Academy of Pediatrics (AAP) pour identifier les patients éligibles au palivizumab. Ces patients comprennent les nourrissons nés avant 29 semaines et âgés de moins de 12 mois au début de la saison du VRS, les patients de moins de 32 semaines de gestation qui ont une maladie pulmonaire chronique, une cardiopathie congénitale hémodynamiquement significative et qui ont moins de 12 mois, les enfants de 12 mois ou moins atteints de troubles pulmonaires anatomiques et de troubles neuromusculaires qui inhibent la clairance des voies respiratoires, les patients de 12 mois et moins immunodéprimés et les patients atteints d'autres maladies génétiques comorbides qui ont également les conditions mentionnées doivent également être envisagés pour une prophylaxie [13].[1]

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Complications

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Dans la plupart des cas, l'évolution va vers une guérison spontanée en 3 à 5 jours, et le taux de mortalité est < 0,1% suite à une bonne prise en charge. Néanmoins la toux et la sibilance peuvent persister jusqu'à 2 à 4 semaines.[6]

Des complications peuvent survenir telles que: [7]

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

Des rapports de causalité entre la bronchiolite causée par le VRS et la maladie asthmatique sont encore très discutés. Certaines études ont démontré la présence d'un lien entre l'atteinte des voies respiratoires inférieures lors d'infection pas le VRS dans la petite enfance et le risque de développer des symptômes d'asthme chez les enfants d'âge scolaire. Environ la moitié des enfants hospitalisés pour une bronchiolite sud du Canada, développent de l'asthme.[14][15] Tandis que d'autres études n'ont pas conclu à la présence d'un lien entre les infections à VRS et l'asthme.[16] Mais de plus amples études devront déterminer le rôle potentiel des infections dues au VRS et les différents types d'asthme.[14][15]

Il est plus probable que des antécédents de respiration sifflante récurrente et des antécédents familiaux d'asthme, d'allergies, de dermatite atopique sont plus incriminés dans le risque de développer de asthme chez ces patients là.[1] [17]

Prévention

La section facultative Prévention ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Références

__NOVEDELETE__
  1. 1,00 1,01 1,02 1,03 1,04 1,05 1,06 1,07 1,08 1,09 1,10 1,11 et 1,12 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30137791
  2. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/31676530
  3. 3,0 et 3,1 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15629968
  4. 4,0 et 4,1 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18760461
  5. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19797481
  6. 6,0 6,1 6,2 6,3 6,4 6,5 et 6,6 « Bronchiolite - Pédiatrie », sur Édition professionnelle du Manuel MSD (consulté le 1er décembre 2020)
  7. 7,0 7,1 7,2 7,3 et 7,4 (en-US) « Bronchiolitis – Knowledge for medical students and physicians », sur www.amboss.com (consulté le 1er décembre 2020)
  8. 8,0 et 8,1 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25162692
  9. 9,0 et 9,1 Jeremy N Friedman, Michael J Rieder et Jennifer M Walton, « La bronchiolite : recommandations pour le diagnostic, la surveillance et la prise en charge des enfants de un à 24 mois », Paediatrics & Child Health, vol. 19, no 9,‎ , p. 492–498 (ISSN 1205-7088, Central PMCID 4235451, lire en ligne)
  10. George H Swingler, Gregory D Hussey et Merrick Zwarenstein, « Randomised controlled trial of clinical outcome after chest radiograph in ambulatory acute lower-respiratory infection in children », The Lancet, vol. 351, no 9100,‎ , p. 404–408 (ISSN 0140-6736, DOI 10.1016/s0140-6736(97)07013-x, lire en ligne)
  11. « Diagnosis and Management of Bronchiolitis », PEDIATRICS, vol. 118, no 4,‎ , p. 1774–1793 (ISSN 0031-4005 et 1098-4275, DOI 10.1542/peds.2006-2223, lire en ligne)
  12. 12,0 et 12,1 J. J. Zorc et C. B. Hall, « Bronchiolitis: Recent Evidence on Diagnosis and Management », PEDIATRICS, vol. 125, no 2,‎ , p. 342–349 (ISSN 0031-4005 et 1098-4275, DOI 10.1542/peds.2009-2092, lire en ligne)
  13. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25070315
  14. 14,0 et 14,1 Tom Kovesi, Brenda Louise Giles et Hans Pasterkamp, « La prise en charge à long terme de l’asthme chez les enfants inuits et des Premières nations : un outil de transfert du savoir fondé sur les lignes directrices canadiennes pour l’asthme pédiatrique, conçu pour être utilisé par les professionnels de la santé de première ligne qui travaillent dans des communautés isolées », Paediatrics & Child Health, vol. 17, no 7,‎ , e65 – e85 (ISSN 1205-7088, Central PMCID 3448549, lire en ligne)
  15. 15,0 et 15,1 Fernando D. Martinez, « Respiratory syncytial virus bronchiolitis and the pathogenesis of childhood asthma », The Pediatric Infectious Disease Journal, vol. 22, no 2 Suppl,‎ , S76–82 (ISSN 0891-3668, PMID 12671456, DOI 10.1097/01.inf.0000053889.39392.a7, lire en ligne)
  16. Mark L. Everard, « The relationship between respiratory syncytial virus infections and the development of wheezing and asthma in children », Current Opinion in Allergy and Clinical Immunology, vol. 6, no 1,‎ , p. 56–61 (ISSN 1528-4050, PMID 16505613, DOI 10.1097/01.all.0000200506.62048.06, lire en ligne)
  17. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29105099
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