« Acné vulgaire » : différence entre les versions

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Les principaux agents oraux utilisés dans le traitement de l'acné vulgaire
Les principaux agents oraux utilisés dans le traitement de l'acné vulgaire <ref name=":1" /><ref name=":9" />
!Médicaments à action générale
!Médicaments à action générale
!Forme
!Méthode d'utilisation
!Méthode d'utilisation
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|Tétracycline/érythromycine
| [[Contraceptifs oraux combinés|Contraceptif hormonaux combinés]] <ref group="note">Le recours à l'anneau vaginal pourrait entrainer moins d'acné que les contraceptifs oraux combinés</ref>
|Comprimé
|1 comprimé DIE <ref>{{Citation d'un lien web|titre=UpToDate|url=https://www.uptodate.com/contents/acne-vulgaris-management-of-moderate-to-severe-acne-in-adolescents-and-adults?search=spironolactone-&source=search_result&selectedTitle=1~145&usage_type=default&display_rank=1|site=www.uptodate.com|consulté le=2022-08-11}}</ref> en utilisation usuelle de façon cyclique ou continue selon la préférence.
|500mg BID durant 3-4 mois
 
* Favoriser un contraceptif oral combiné contenant un progestatif avec une faible activité androgénique tels que la drospirénone, le désogestrel ou la norgestimate.
* Augmenter la dose d'oestrogènes
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|Antibiotiques
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* minocycline : 50-100 mg PO BID x 3-6 mois
* doxycycline : 100 mg PO DIE à BID x 3-6 mois
* tétracycline : 250-500 mg PO BID x 3-6 mois
* Autres options <ref name=":1" />
** À privilégier en grossesse ou en allaitement : ampicilline, amoxicilline, azithromycine, céphalexine
** Autre alternative : triméthoprime-sulfaméthoxazole
 
 
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|Spironolactone<ref>{{Citation d'un lien web|langue=|titre=Spironolactone|url=https://rx.vigilance.ca/module/mono/fr/315.htm|site=Rxvigilance|date=|consulté le=1 février 2023}}</ref>
<ref group="Effets secondaires">Effets secondaires de la spironolactone : étourdissements, gynécomastie, hyperkaliémie, insuffisance rénale, irrégularités menstruelles</ref>
 
<ref group="Contre-indication">Contre-indication spironolactone : hyperkaliémie, maladie d'Addison, insuffisance surrénalienne</ref>
|25-100mg/jour divisé en DIE à BID
 
* Usage limité aux femmes en raison du risque de gynécomastie, notamment en présence de signes d'hyperandrogénisme ou [[syndrome des ovaires polykystiques]]
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|Isotrétinoides<ref>{{Citation d'un lien web|langue=Francais|titre=Comment prescrire l’isotrétinoïne
|Isotrétinoides<ref>{{Citation d'un lien web|langue=Francais|titre=Comment prescrire l’isotrétinoïne
sans en faire des boutons|url=https://lemedecinduquebec.org/Media/112161/071-074info-comprim%C3%A9e0911.pdf|site=Lemedecinduquebec.org|date=9 septembre 2021|consulté le=11 aout 2022}}</ref>
sans en faire des boutons|url=https://lemedecinduquebec.org/Media/112161/071-074info-comprim%C3%A9e0911.pdf|site=Lemedecinduquebec.org|date=9 septembre 2021|consulté le=11 aout 2022}}</ref><ref>{{Citation d'un lien web|langue=|titre=isotrétinoïne|url=https://rx.vigilance.ca/module/mono/fr/179.htm|site=Rxvigilance|date=|consulté le=1 février 2023}}</ref>
|Comprimé
<ref group="Effets secondaires">Effets secondaires de l'isotrétinoïne : enflure des lèvres (96%), dermatite (55%), sécheresse nasale (51%), desquamation (50%), prurit (30%), xérose cutanée sévère (22%), conjonctivite (19%), arthralgie (13%), alopécie (13%), xérostomie (>10%), photosensibilité (5-10%), éruption cutanée (0-10%), céphalée (5%), changement de l'humeur, acné fulminans, hypertriglycéridémie, augmentation des taux de cholestérol, enzymite hépatique, augmentation de la glycémie.</ref>
 
<ref group="Contre-indication">Les contre-indications de l'isotrétinoïne : grossesse actuelle ou planifiée, allaitement, prise concomitante de tétracycline, maladie inflammatoire intestinale, hypersensibilité à l'isotrétinoïne, allergie aux arachides (Accutane), insuffisance hépatique, insuffisance rénale (contre-indication relative), dyslipidémie non contrôlée, hypervitaminose A.</ref>
|Initiation :
|Initiation :


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* L'ajout d'une crème hydratante, d'un hydratant nasal, de larmes artificielles ou d'un baume à lèvres est recommandé.
* L'ajout d'une crème hydratante, d'un hydratant nasal, de larmes artificielles ou d'un baume à lèvres est recommandé.
* S'assurer de l'utilisation d'une double contraception efficace à débuter 1 mois avant le traitement jusqu'à 1 mois après la cessation de l'isotrétinoïne.
* S'assurer de l'utilisation d'une double contraception efficace à débuter 1 mois avant le traitement jusqu'à 1 mois après la cessation de l'isotrétinoïne.
* L'utilisation n'est pas recommandée chez les moins de 12 ans.
Titration :
Titration :
* Augmenter de 0,25 mg/kg/jour par intervalle de 2 à 4 semaines selon la tolérance jusqu'à une dose de 0,5 à 1mg/kg/jour fractionnée en une prise BID
* Augmenter de 0,25 mg/kg/jour par intervalle de 2 à 4 semaines selon la tolérance jusqu'à une dose de 0,5 à 1mg/kg/jour fractionnée en une prise BID
* Bilan en cours de traitement : bilan hépatique, bilan lipidique chaque 3 mois.
* Bilan en cours de traitement : bilan hépatique, bilan lipidique chaque 3 mois.
** Le suivi du B-hCG est au besoin selon la clinique
** Le suivi du B-hCG est au besoin selon la clinique
** Selon les valeurs initiales de HbA1c et les facteurs de risque de diabète, un suivi période de glycémie peut être envisagé.  
** Selon les valeurs initiales de HbA1c et les facteurs de risque de diabète, un suivi période de glycémie peut être envisagé.
* Surveiller l'apparition des symptômes dépressifs, psychotiques et des idées suicidaires.  
* Surveiller l'apparition des symptômes dépressifs, psychotiques et des idées suicidaires.
Cessation :
Cessation :
* Cesser la molécule après une dose cumulative cible de 120 à 150 mg/kg, ce qui représente une durée approximative de 20 à 24 semaines dans la majorité des cas.
* Cesser la molécule après une dose cumulative cible de 120 à 150 mg/kg, ce qui représente une durée approximative de 20 à 24 semaines dans la majorité des cas.
** Un sevrage graduel n'est pas nécessaire
** Un sevrage graduel n'est pas nécessaire
* Envisager la reprise d'un traitement topique en cas de persistance d'acné légère à modéré après la cessation de l'isotrétinoïne.  
* Envisager la reprise d'un traitement topique en cas de persistance d'acné légère à modéré après la cessation de l'isotrétinoïne.
* Si un deuxième cycle de traitement est requis, il faut attendre 8 semaines après la complétion du premier cycle avant de le débuter.  
* Si un deuxième cycle de traitement est requis, il faut attendre 8 semaines après la complétion du premier cycle avant de le débuter.
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| Agents hormonaux
|Comprimé<ref group="note">Le recours à l'anneau vaginal pourrait entrainer moins d'acné que les contraceptifs oraux combinés</ref>
|1 comprimé DIE <ref>{{Citation d'un lien web|titre=UpToDate|url=https://www.uptodate.com/contents/acne-vulgaris-management-of-moderate-to-severe-acne-in-adolescents-and-adults?search=spironolactone-&source=search_result&selectedTitle=1~145&usage_type=default&display_rank=1|site=www.uptodate.com|consulté le=2022-08-11}}</ref> en utilisation usuelle de façon cyclique ou continue selon la préférence.
 
* Favoriser un contraceptif oral combiné contenant un progestatif avec une faible activité androgénique tels que la drospirénone, le désogestrel ou la norgestimate.
* Augmenter la dose d'oestrogènes
 
|-
|Spironolactone
| Comprimé
|50-100mg/jour DIE ou 2 doses<ref>{{Citation d'un lien web|titre=UpToDate|url=https://www.uptodate.com/contents/acne-vulgaris-management-of-moderate-to-severe-acne-in-adolescents-and-adults?search=spironolactone-&source=search_result&selectedTitle=1~145&usage_type=default&display_rank=1|site=www.uptodate.com|consulté le=2022-08-11}}</ref>
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|}
*Traitements alternatifs<ref>{{Citation d'un lien web|langue=en|titre=Acne clinical guideline|url=https://www.aad.org/member/clinical-quality/guidelines/acne|site=www.aad.org|consulté le=2022-08-12}}</ref>
*Traitements alternatifs<ref>{{Citation d'un lien web|langue=en|titre=Acne clinical guideline|url=https://www.aad.org/member/clinical-quality/guidelines/acne|site=www.aad.org|consulté le=2022-08-12}}</ref>

Version du 1 février 2023 à 18:32

Acné vulgaire
Maladie
Caractéristiques
Signes Cicatrices, Kystes, Hyperpigmentation, Hyperandrogénisme, Lésion traumatique cutanée (approche clinique), Papule, Nodules, Comédons, Pustule, Hypercorticisme
Symptômes
Acné vulgaire, Production excessive de sébum
Diagnostic différentiel
Dermatite péri-orale, Folliculite, Dermatite séborrhéique, Rosacée, Acnés induites par les produits cosmétiques, Acné induite par les médicaments, Pseudo-folliculite de la barbe, Miliaire

Page non révisée
La section obligatoire Définition ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

L'acné vulgaire, ou Acne vulgaris, consiste en la formation de comédons, pustules, papules, nodules ou kystes au niveau du visage et du tronc. Elle est dû a l'obstruction et l'inflammation des unités pilo-sébacées.[1]

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

L'acné vulgaire est une affection de la peau qui est très commune chez les adolescents et les jeunes adultes. Son incidence chez les adolescents varie selon les études et les nationalités, mais est est estimée entre 40 et 90 %.[2] Elle perdurera dans la vingtaine chez près de 64 % des individus et dans la trentaine chez 43% d'entre eux.[3][4] Les garçons en sont le plus touchés durant l'adolescence, mais a l'âge adulte il se développe une prédominance féminine.[5] Finalement, il existe une forte influence génétique d'être atteint d'acné avec une héritabilité à 80% chez les proches du premier degré. Elle tend également à être plus sévère en contexte d'hérédité.[4]

Une large étude de cohorte canadienne menée auprès de 295 469 patients atteints d'acné a démontrée que les personnes issues de milieux socio-économiques défavorisés ou de régions sont moins susceptibles d'être référés à des dermatologistes comparativement aux populations mieux nanties ou aux personnes vivant en milieux urbains.[6]

Les impacts socio-économiques de l'acnée sont important et liés à son traitement et au traitement de ses complication, à l'absentéïsme et à la diminution de la productivité à l'école et au travail.[4]

Étiologies

La section facultative Étiologies ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

Les étiologies de l'acné incluent :[7]

Physiopathologie

La section facultative Physiopathologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

Quatre principaux éléments physiopathologiques sont en cause dans l’acné : (1) L’influence hormonale liée à l'activité androgénique et IGF-1 qui entraîne l'hyperplasie des glandes sébacées et la production accrue de sébum. (2) La prolifération bactérienne de Cutibacterium acnes (C. acnes), ou anciennement Propionibacterium acnes (P. acnes), à l’intérieur du follicule pilosébacé. (3) Un problème de kératinisation et de développement des unités pilosébacées menant à l’occlusion de celles-ci (formation de bouchons cornés). (4) Une cascade inflammatoire résultant de la prolifération de C. acnes, ainsi que de la production des facteurs chimiotactiques et inflammatoires qui endommagent les follicules.[10][11][12]

Les autres germes pouvant être impliqués dans la pathogénèse des lésions comédoniennes et inflammatoires sont notamment Staphylococcus epidermidis et Malassezia. Ces organismes, comme C. acnes, promouvoient la formation de biofilms, l'inflammation et le développement de résistance aux antibiotiques.[10]

Présentation clinique

La section obligatoire Présentation clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

Facteurs de risque

La section facultative Facteurs de risque ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

La littérature s'est penchée sur de multiples facteurs de risque de l'acné vulgaire. Les résultats des études et des méta-analyses sont souvent divergents avec des évidences de faible qualité. Parmi les facteurs de risque mieux démontrés, dénotons :[2]

Ces trois derniers facteurs ayant longtemps été considérés comme des mythes, mais des évidences croissantes mettent en lumière leur contribution au développement de lésions acnéïformes ou à l'aggravation de celles-ci.

Questionnaire

La section obligatoire Questionnaire ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

L'anamnèse du patient représente une partie importante de l'évaluation afin de rechercher des facteurs déclencheurs ou de cibler les patients nécessitant une évaluation plus approfondie. Ainsi, les éléments à rechercher sont : [8]

Par ailleurs, les principaux symptômes à rechercher concernent les impacts psychologiques et sociaux de l'acné :

En cas d'acné sévère, on voudra éliminer la présence de douleur articulaire ou de symptômes systémiques en cas de suspicion d'acné fulminante.[1]

Examen clinique

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].
Comédons ouverts chez un adolescent avec acné légère

L'examen de la peau permet de reconnaître les lésions caractéristiques. L'acné se développe dans des zones du corps avec haute concentration de glandes sébacées affectées par les changements hormonaux, notamment : le visage, le cou, le dos, le torse, le haut des bras.[5][17]

Les adolescents ont tendance à avoir une atteinte prédominante de la zone ''T'' alors que les femmes adultes ont plus souvent une atteinte à la partie inférieure du visage lors des poussées en période menstruelle.

À l'examen des téguments, il est possible d'objectiver les signes suivants: [18][19]

  • les comédons
    • Ils peuvent être ouverts ou fermés, sont de taille inférieure à 5mm et non-inflammatoire. Lorsqu'ils sont ouverts, leur pigmentation foncée découle de l'oxydation des débris accumulés.
    • Ils résultent de l'obstruction des unités pilo-sébacés et de l'accumulation de sébum, de kératine et de bactéries.
      Acné papulo-pustuleuse de sévérité modérée au visage d'un adolescent
  • les papules ou les pustules érythémateuses
    • Elles consistent en l'atteinte inflammatoire classique.
  • les nodules ou les kystes
    • Qui consistent en une atteinte inflammatoire, profonde et sensible au toucher.
      Acné papulo-pustuleuse avec quelques lésions kystiques modérément sévère atteignant le tronc.
  • la présence de cicatrices
    Fichier:Acné conglobata.jpg
    Acné conglobata sévère avec nodules, kystes et cicatrices chez une personne adulte à la peau foncée.
  • l'hyperpigmentation post-inflammatoire.

L'examen devrait finalement inclure la recherche de signes d'hyperandrogénisme, tels que : l'hirsutisme, l'alopécie androgénique, la voix plus grave, la modification des seins et la clitoromégalie.

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

L'acné est un diagnostique clinique et les tests paracliniques n'est sont pas généralement pas recommandés. Toutefois, selon le tableau clinique, certains examens peuvent être requis pour identifier une étiologie sous-jacente.[20] De tels examens pourraient être requis, par exemple, pour des patients montrant des signes de la virilisation ou des stigmates d'un syndrome de Cushing. Le bilan pourrait inclure :[21]

Pour les patients présentent avec une acné fulminante, ou encore lorsqu'on envisage débuter un traitement par isotrétinoïne, les bilans suivants devraient être demandés :[23][24]

En cas de suspicion d'atteinte osseuse ou articulaire, une radiographie simple de la région concernée peut être demandée.[24]

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Le diagnostic étant d'abord clinique, le professionnel de la santé devra classifier l'acné selon (1) les lésions identifiées (comédons, papules et pustules inflammatoires, nodules et kystes ou nodulo-kystique) et (2) la sévérité :[10][25]

  1. Légère : comédons ouverts ou fermés avec rares papules et pustules inflammatoires.
  2. Modérée : papules et pustules inflammatoires principalement au niveau du visage.
  3. Modérément sévère : papules et pustules avec occasionnellement des nodules inflammatoires. Atteinte associée de la poitrine et du dos.
  4. Sévère : nombreux nodules et pustules inflammatoires douloureux, souvent en présence de cicatrices d'anciennes lésions.

Dans certains cas, il est également pertinent de spécifier l'âge de la personne atteinte :[10]

  • l'acné néonatale, qui est désormais appelée la pustulose céphalique néonatale transitoire.
    • Elle se distingue des autres formes d'acné par l'implication fréquente de la bactérie Malassezia spp., notamment Malassezia furfur.
  • les acnées infantiles (6 semaines à < 1 an), de l'enfance (1 an à < 7 ans), de la pré-adolescence (7 ans à < 12 ans), de l'adolescence (12 ans à < 18 ans) et de l'âge adulte (18 ans et plus), qui partagent quant à elles la même pathophysiologie.

Finalement, il existe des formes plus sévère d'acné telle l'acné conglobata et l'acné fulminante, ainsi que diverses acnés induites (par des médicaments, par des stress mécaniques, etc.). Celles-ci ne sont pas traitées spécifiquement dans la présente page, mais leur traitement consiste globalement au même traitement que l'acné vulgaire selon la sévérité de l'atteinte et à éviter des déclencheurs.[25]

Diagnostic différentiel (TABLEAU À SUPPRIMER ?)

Diagnostic différentiel[26][27]
Diagnostic Description Image
Rosacée Télangiectasies avec l'érythème. SANS comédons
Dermatite périoral Les lésions papulo-pustulaires sont localisé dans les plis naso-labiaux et menton.
Fichier:Dermatite péri-orale.jpg
Pseudo folliculites barbe La présence des lésions est localisé dans les endroits rasées
Demodex folliculitis [28] Les papuples pustules inflammatoires faciaux d'éthiologie d'infection acarienne.
Folliculitis Lésions uniformes d'apparaissance abrupt avec la distribution variable. Progressent en quantité avec irritation des téguments. SANS comédons
Milia Des papules, les pustules et/ou vésicules qui sont souvent associées avec l'exposition à la chaleur ou l'exertion physique
Erreur de référence : La balise ouvrante <ref> est mal formée ou a un mauvais nom.
Acné cosmética Souvent lié à l'utilisation régulière des produits des soins de cheveux ou de peau à base des ouilles. Les éruption ont une tendance a améliorer ou disparaitre avec l'arrêt d'utilisation de produit.
Acné induit par les médicaments L'anamnèse de pris de médicament pouvant provoquer des éruptions (Lithium, corticostéroïdes, COC, Phénytoïne). Les lésion sont plus que toujours monomorphiques.
Fichier:Acné secondaire aux corticostéroïdes.jpg
Dermatite séborrhéique Éruptions maculo papulaires avec desquamations grises
La section facultative Le diagnostic différentiel de la maladie est : ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description:
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 

Le diagnostic différentiel de l'acné vulgaire inclut les acnés induites par les produits cosmétiques et par les médicaments, la dermatite séborrhéïque, la dermatite péri-orale, la pseudo-folliculite de la barbe et les autres formes de folliculite, le miliaire et la rosacée. Certaines lésions peuvent parfois co-exister.[29][26]

Traitement (À FAIRE)

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

Les traitements de l'acné sont variés et s'inscrivent sur un continuum chronologique et en relation à la sévérité des lésions, à l'étendue de celles-ci et à l'atteinte fonctionnelle et psycho-sociale chez la personne atteinte. Le choix du traitement dépendra des éléments recueillis au questionnaire et à l'examen physique. Il variera ainsi selon la sévérité de l'atteinte, l'impact sur la qualité de vie et l'estime du patient et finalement ses attentes.

Selon la sévérité de l'atteinte, on choisira d’abord :[30] [31]

  1. Les rétinoïdes topiques (Traitement de l’acné légère comédonienne), les antimicrobiens topiques (Traitement de l’acné légère comédonienne) ou l’acide azélaïque (Traitement de l’acné légère comédonienne) pour la maladie légère comédonienne.
  2. La combinaison de rétinoïdes topiques (Traitement de l’acné modérée) et d'antibiotiques topiques (Traitement de l’acné modérée) ou d’antimicrobiens topiques (Traitement de l’acné modérée) pour les atteintes modérées pustulaire, papulaire et/ou nodulaire.
  3. La combinaison de rétinoïdes topiques (Traitement de l’acné sévère) et d’antibiotiques oraux (Traitement de l’acné sévère) ou les isotrétinoïdes (Traitement de l’acné sévère) seuls pour les atteintes sévère.

Parmi les autres modalités de traitement, on retrouve également les contraceptifs oraux combinés (Traitement de l’acné modérée à sévère) et la spironolactone (Traitement de l’acné modérée à sévère).

Les traitements topiques

Les agents topiques fréquemment utilisés dans le traitement de l'acné vulgaire
Rétinoides Véhicule et concentration Effets secondaires attendus Méthode d'utilisation
Rétinoïdes topiques
Trétinoine Crème :
  • 0,01%
  • 0,025%
  • 0,05%
  • 0,1%

Gel :

  • 0,01%
  • 0,025%
  • 0,05%

Forme microsphérique en gel :

  • 0,04%
  • 0,1%
Au total > 30% des patients auront des effets secondaires liés à l’irritation de la peau :[32]
  • Rougeurs locales (> 10%)
  • Desquamation (> 10%)
  • Sécheresse (> 10%)
  • Prurit (> 10%)
  • Sensation de brûlure ou de picotement (1-10%)
  • Oedème (1-10%)
  • Photosensibilité (1-10%)
  • Hyper ou hypopigmentation (1-10%)
Nettoyer la région affectée, bien rincer et assécher. Appliquer une fine couche au niveau de la zone atteinte au coucher, sans se limiter uniquement aux lésions d’acné (taille d’un pois pour le visage).[33]


Stratégies en cas d’irritation, de rougeurs ou de desquamation :[10][32]

  • Débuter avec faible concentration de l’agent
  • Débuter avec une application aux deux soirs
  • Appliquer sur une peau sèche
  • Utilisation d’un émollient BID
  • Utilisation d’une formulation en crème plutôt qu’en gel
  • Choix d’une formulation en microsphères
  • Temps d’application limité, soit le retrait 30 à 60 minutes après l’application avec un nettoyant doux pour le visage.


L’exacerbation des lésions acnéïformes à l’initiation (jusqu’à 4-6 semaines) peut résulter de l'accélération de la maturation des comédons en cours de formation. Il ne s’agit pas d’un motif d’arrêt.

Adapalène Crème :
  • 0,1%

Gel :

  • 0,1%
  • 0,3%
Principaux effets secondaires :[34]
  • Sécheresse (51%)
  • Rougeurs (48%)
  • Desquamation (41%)
  • Sensation de brûlure (28%)
  • Prurit 25%
Tazarotène Crème :
  • 0,05%
  • 0,1%

Gel :

  • 0,1%

Lotion :

  • 0,045%
Principaux effets secondaires :[35]
  • Rougeurs (> 5%)
  • Sensation de brûlure (> 5%)
  • Prurit (> 5%)
  • Sécheresse (1-5%)
  • Desquamation (1-5%)
  • Éruption cutanée (1-5%)
  • Photosensibilité (0-1%)
  • Autre : dermatite, exacerbation du psoriasis, cloques, décoloration de la peau
Acide azélaïque
Acide azélaïque Gel 15% Principaux effets secondaires :[36]
  • Sensation de brûlure (20%)
  • Sensation de picotement (20%)
  • Prurit (7%)
  • Sécheresse (6%)
  • Érythème facial (2%)
Nettoyer la région affectée, bien rincer et assécher. Appliquer une fine couche au niveau de la zone atteinte 2 fois par jour le matin et au coucher.[36]
Antimicrobiens topiques
Peroxyde de benzoyle Crème :
  • 4%
  • 5%

Gel :

  • 2,5%
  • 4%
  • 5% (aqueux-ROH)

Lotion :

  • 2,5%
  • 5% (aqueux-ROH)

Nettoyant :[note 5]

  • 2,5%
  • 5% (ROH)
  • 10% (aqueux)

Pâte :

  • 3,5%
  • Desquamation (1-10%)
  • Irritation locale (1-10%)
  • Oedème
  • Photosensibilité
  • Sensation de brûlure
Nettoyer la région affectée, bien rincer et assécher. Appliquer une fine couche au niveau de la zone atteinte au coucher.
  • Schémas posologiques initiaux possibles :
    • Doubler le temps d’application de jour en jour en débutant par 15 minutes et jusqu’à une application sur toute la nuit.
    • Appliquer pour 2h pendant 4 jours, puis 4h pendant 4 jours, puis toute la nuit.

Nettoyer la peau exposée le lendemain matin ou au moment du retrait du produit.


Si bonne tolérance à 3 semaines :

  • Augmenter la concentration, ou
  • Changer le gel aqueux pour un gel à base d’alcool (meilleure biodisponibilité), ou
  • Augmenter l’application à BID.


Ne pas appliquer au même moment que le rétinoïde topique qui n’est pas sous forme microsphérique en raison d’un phénomène d’oxydation. Appliquer le peroxyde de benzoyle le matin et le rétinoïde topique le soir.[37]

Antibiotiques topiques À TERMINER
Érythromycine Erysol 2% en gel ou onguent
  • Desquamation
  • Irritation locale
  • Prurit
  • Réaction hypersensibilité (<1%)
Appliquer une fine couche aux zones atteintes BID après le nettoyage de la peau[38].
  • Afin de réduire le risque de résistance antibiotique, il est recommandé d'utiliser ce produit en combinaison au peroxyde de benzoyl
  • Une application DIE est recommandée en cas de grossesse ou si présence d'irritation cutanée
  • Réponse thérapeutique attendue peut s'échelonner sur six à huit semaines
  • Durée maximale d'application est de trois mois


Réserver aux patients de pouvant utiliser les traitements de première intention.

Clindamycine [39] Dalacin- T (1%)

Clindets (1%)

Clindasol (1%)

  • Sensation de brûlure (>10%)
  • Sécheresse de la peau (>10%)
  • Rougeur et irritation locale (>10%)
  • Prurit (>10%)
  • Céphalée (3%)
  • Diarrhée (<1%)
  • Malaise abdominal (<1%)
  • Appliquer une fine couche BID
  • Afin de réduire le risque de résistance antibiotique, il est recommandé d'utiliser ce produit en combinaison au peroxyde de benzoyl
  • Cet agent est contre-indiqué si présence d'un antécédent de colite ou de maladie de Crohn.
Combinaisons d'agents de 2 classes À TERMINER
Téritoine/érythromycine Stievamycin doux (0,01%-4%)

Stievamycin régulier (0,025%-4%)

Stievamycin fort (0,05%-4%)

Crème
Érythromycine/peroxyde de benzoyle Benzamycin (3%- 5%) Gel
Clindamycine/perocyde de benxoyle Clindoxyl (1%- 5%) Gel
Trétinoine/clindamycine Tactuo (0,1%-2,5%) Gel
Téritoine/clindamycine Biacna (0,025%- 1,2%)
  • Irritation locale (>10%)
  • Photosensibilité
  • Prurit (<10%)
  • Réaction cutanée
  • Sécheresse de la peau et desquamation (>10%)
  • Nettoyer la région affectée, bien rincer et assécher puis appliquer en mince couche au coucher.
  • Si la durée du traitement est supérieure à 12 semaines, une réévaluation médicale doit être faite.
  • Éviter l'exposition aux lampes solaires ou au soleil. Si ce n'est pas possible, appliquer un écran solaire d'un FPS de 30 ou plus.
  • Contre-indiquée en présence de colite ulcéreuse, maladie de Crohn, diarrhée ou colite à C. difficile

Les traitements oraux

Les principales indications des isotrétinoïdes sont l'acnée nodulo-kystique modérée à sévère, l'acné conglobate et l'acné récidivant et réfractaire aux autres traitements.[23][40]

Les principaux agents oraux utilisés dans le traitement de l'acné vulgaire [10][23]
Médicaments à action générale Méthode d'utilisation
Contraceptif hormonaux combinés [note 6] 1 comprimé DIE [41] en utilisation usuelle de façon cyclique ou continue selon la préférence.
  • Favoriser un contraceptif oral combiné contenant un progestatif avec une faible activité androgénique tels que la drospirénone, le désogestrel ou la norgestimate.
  • Augmenter la dose d'oestrogènes
Antibiotiques
  • minocycline : 50-100 mg PO BID x 3-6 mois
  • doxycycline : 100 mg PO DIE à BID x 3-6 mois
  • tétracycline : 250-500 mg PO BID x 3-6 mois
  • Autres options [10]
    • À privilégier en grossesse ou en allaitement : ampicilline, amoxicilline, azithromycine, céphalexine
    • Autre alternative : triméthoprime-sulfaméthoxazole


Spironolactone[42]

[Effets secondaires 1]

[Contre-indication 1]

25-100mg/jour divisé en DIE à BID
Isotrétinoides[43][44]

[Effets secondaires 2]

[Contre-indication 2]

Initiation :
  • Bilan initial et à 1 mois après initiation: bilan hépatique (bilirubine, ALT, phosphatase alcaline), bilan lipidique, FSC, HbA1c, B-hCG
  • Cesser les agents topiques et les antibiotiques
  • Débuter avec une posologie de 0,25 à 0,5 mg/kg/jour divisé en BID[note 7][45].
    • En cas d'acné sévère ou conglobata, il est parfois recommandé de débuter à une dose de 0,25 mg/kg/jour afin d'éviter un risque d'exacerbation sévère en début de traitement [note 8][46].
  • L'ajout d'une crème hydratante, d'un hydratant nasal, de larmes artificielles ou d'un baume à lèvres est recommandé.
  • S'assurer de l'utilisation d'une double contraception efficace à débuter 1 mois avant le traitement jusqu'à 1 mois après la cessation de l'isotrétinoïne.
  • L'utilisation n'est pas recommandée chez les moins de 12 ans.

Titration :

  • Augmenter de 0,25 mg/kg/jour par intervalle de 2 à 4 semaines selon la tolérance jusqu'à une dose de 0,5 à 1mg/kg/jour fractionnée en une prise BID
  • Bilan en cours de traitement : bilan hépatique, bilan lipidique chaque 3 mois.
    • Le suivi du B-hCG est au besoin selon la clinique
    • Selon les valeurs initiales de HbA1c et les facteurs de risque de diabète, un suivi période de glycémie peut être envisagé.
  • Surveiller l'apparition des symptômes dépressifs, psychotiques et des idées suicidaires.

Cessation :

  • Cesser la molécule après une dose cumulative cible de 120 à 150 mg/kg, ce qui représente une durée approximative de 20 à 24 semaines dans la majorité des cas.
    • Un sevrage graduel n'est pas nécessaire
  • Envisager la reprise d'un traitement topique en cas de persistance d'acné légère à modéré après la cessation de l'isotrétinoïne.
  • Si un deuxième cycle de traitement est requis, il faut attendre 8 semaines après la complétion du premier cycle avant de le débuter.
  • Traitements alternatifs[47]
    • Huile d'arbre à thé
    • Composés Ayurvediques
    • Extrait orale de Barburry
    • Solution de Gluconolactone
  • le traitement 3

Particularités en grossesse

L’effet de la grossesse sur l’acnée est variable d’une femme à l’autre, notamment en raison de l’effet hormonal sur les glandes sébacées. Certaines femmes présenteront l’exacerbation d’une acné pré-existante, tandis que d’autres développeront une acné pour la première fois. Pour d’autres, l’augmentation des niveaux sériques d’œstrogène résultera en une amélioration de l’acné, notamment en premier trimestre.[48]

TABLEAU/Algorithme des lignes de Tx (hygiène / peroxide de benzoyl / ATB)

Rétinoïdes

En grossesse, les médicaments de la famille des rétinoïdes, notamment lorsque systémique tel l’isotrétinoïne, sont contre-indiqués en raison d’un risque élevé de tératogénicité. Les principales malformations attendues touchent le système nerveux central, le crâne, le visage, les oreilles, le système cardiovasculaire et le thymus. Pour une croissance menée à terme, le risque d’anomalie est de 25 à 30% avec un risque de déficience intellectuelle oscillant autour de 45%, tandis que le risque d’avortement spontanée est également plus élevé que la normale et touche près de 35% des grossesses exposées. Le risque est proportionnel à la durée d’exposition et à la quantité, mais une seule dose d’aussi peu que 10 mg peut causer une embryopathie rétinoïde. Enfin, en raison de la longue demi-vie de ces agents, il est recommandé d’attendre 5 semaines après la prise avant d’envisager la conception.[48]

Parmi les agents topiques de la famille des rétinoïdes, la trétinoïne semble être l’agent associé au plus grand risque de tératogénicité, probablement en raison de ressemblances moléculaires et pharmacocinétiques avec l’isotrétinoïne orale. L’absorption systémique est de moins de 1 à 2%, entraînant des niveaux sériques très faibles et dont un risque relativement faible. Malgré ce fait, 5 cas compatibles avec des anomalies suggestives d’embryopathie rétinoïde ont été identifiées dans la littérature. Certains auteurs suggèrent ainsi un test de grossesse préalable à la prescription du médicament. À l’opposé, l’adapalène et le tarazotène sont considérés comme contre-indiqués par extrapolation de l’effet de classe sans qu’on ait de données suffisantes concernant leur tératogénicité. Il apparaît raisonnable de rassurer les femmes qui auraient pu être exposées à ces dernières molécules en cours du premier trimestre. En allaitement, notamment en raison de leur faible absorption systémique, les trois agents topiques de la famille des rétinoïdes peuvent être employés si appliqués sur une petite surface corporelle et en respectant l’intervalle posologique usuel.[35][48]

Agents antibiotiques et antimicrobiens

XXX

Isotrétinoïne

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Complications[49][50][51]

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Les principales complications de l'acné vulgaire sont :[4][52]

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
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La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

Prévention

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Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
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La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Notes

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TRAITEMENTS

Les traitements:

  • médicament 1, 100-200 mg PO DIE[pédiatrie]
  • traitement 2 BID x 1 sem[gériatrie]

NOTES


Gériatrie

  1. Poursuivre le traitement 2 semaines de plus.

Pédiatrie

  1. 10mg/kg die
  1. Avec un risque augmenté de près de 80% de souffrir d'acné en cas d'antécédents de 1er degré d'un proche atteint d'acnée. Cette association est également corrélée à une plus grande sévérité de l'acné.
  2. Les données étant contradictoires, mais tendent à démontrer qu'une consommation quotidienne de chocolat pourrait être associée à une augmentation du risque d'acné ; incluant la poudre de cacao 100%. Tandis que des études plus anciennes de 1969 et 1971 démontraient le contraire.
  3. plus spécifiquement le lait en raison da la caséine et du lactosérum qui agiraient sur la voie insulinotropique et de l'IGF-1
  4. Les tests de dépistage du syndrome de Cushing (hypercortisolisme) incluant la mesure du cortisol salivaire au coucher (à 2 reprises), une cortisolurie sur 24h (à 2 reprises) ou un test de suppression à la dexaméthasone.
  5. Les nettoyants étant considérés comme moins efficaces en raison de leur court temps d’application.
  6. Le recours à l'anneau vaginal pourrait entrainer moins d'acné que les contraceptifs oraux combinés
  7. De récentes études démontrent que des doses aussi faibles que 0,24 à 0,4 mg/kg/jour pourraient être aussi efficaces que les doses usuelles tout en diminuant la fréquence et la sévérité des effets secondaires.
  8. Pour les cas sévère donner 0,5 mg à 1 mg/kg/jour de prednisone PO en association avec l'isotrétinoïne avant ou au moment de l'administration pour diminuer le risque d'acné fulminans. La durée de la bithérapie suggérée est de 4 à 6 semaines suivi d'un sevrage progressif de la prednisone.

Références

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Exemple:
 
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