« Muguet chez le nourrisson » : différence entre les versions

De Wikimedica
(examen clinique)
mAucun résumé des modifications
Ligne 27 : Ligne 27 :
lésions blanches et érythémateuses. Les lésions blanches comprennent la candidose pseudomembraneuse aiguë et la candidose hyperplasique chronique ; les lésions rouges comprennent la candidose érythémateuse aiguë et chronique, la chéilite angulaire, la glossite rhomboïde médiane et l'érythème gingival linéaire. le champ d'application de cet article.<ref name=":0" /> Le diagnostic de candidose buccale est souvent clinique, basé sur l'examen clinique, la prise d'antécédents médicaux et l'évaluation des facteurs de risque. Une biopsie est recommandée pour certains types en plus du traitement empirique.<ref name=":4" /> Des cultures sont généralement effectuées si le traitement antifongique est inefficace.<ref name=":4" /> Un traitement antifongique topique et des mesures d'hygiène buccale sont généralement suffisants pour résoudre une candidose buccale légère,<ref name=":4" /> et un traitement antifongique systémique sont généralement réservés aux les patients réfractaires ou intolérants aux traitements topiques et ceux à risque accru de développer des infections systémiques.<ref name=":4" /><ref name=":0" />
lésions blanches et érythémateuses. Les lésions blanches comprennent la candidose pseudomembraneuse aiguë et la candidose hyperplasique chronique ; les lésions rouges comprennent la candidose érythémateuse aiguë et chronique, la chéilite angulaire, la glossite rhomboïde médiane et l'érythème gingival linéaire. le champ d'application de cet article.<ref name=":0" /> Le diagnostic de candidose buccale est souvent clinique, basé sur l'examen clinique, la prise d'antécédents médicaux et l'évaluation des facteurs de risque. Une biopsie est recommandée pour certains types en plus du traitement empirique.<ref name=":4" /> Des cultures sont généralement effectuées si le traitement antifongique est inefficace.<ref name=":4" /> Un traitement antifongique topique et des mesures d'hygiène buccale sont généralement suffisants pour résoudre une candidose buccale légère,<ref name=":4" /> et un traitement antifongique systémique sont généralement réservés aux les patients réfractaires ou intolérants aux traitements topiques et ceux à risque accru de développer des infections systémiques.<ref name=":4" /><ref name=":0" />
===Facteurs de risque===
===Facteurs de risque===
Les facteurs de risque sont<ref name=":1" /><ref name=":3" /><ref name=":2" /> :
Les facteurs de risque sont<ref name=":1" /><ref name=":3" /><ref name=":2" /> :
* un condition menant à une {{Facteur de risque|nom=immunosuppression}}:
* un condition menant à une {{Facteur de risque|nom=immunosuppression}}:
** une {{Facteur de risque|nom=infection concomitante}} (par exemple, le VIH)
** une {{Facteur de risque|nom=infection concomitante}} (par exemple, le VIH)
Ligne 42 : Ligne 42 :
* une {{Facteur de risque|nom=hypofonction des glandes salivaires}}.
* une {{Facteur de risque|nom=hypofonction des glandes salivaires}}.
===Questionnaire===
===Questionnaire===
Le muguet est généralement {{Symptôme|nom=Asymptomatique}}.<ref name=":3" />  
Le muguet est généralement {{Symptôme|nom=Asymptomatique}}.<ref name=":3" /><ref name=":2" />  


Si des symptômes sont présents, ils peuvent être constitués de<ref name=":3" />:
Si des symptômes sont présents, ils peuvent être constitués de<ref name=":3" />:
Ligne 49 : Ligne 49 :
* une {{Symptôme|nom=modification du goût}}.
* une {{Symptôme|nom=modification du goût}}.
===Examen clinique===
===Examen clinique===
 
La détection du muguet se fait principalement à l'{{Examen clinique|nom=Examen ORL}} de l'enfant:
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Examen clinique}} La détection du muguet se fait principalement à l'{{Examen clinique|nom=Examen ORL}} de l'enfant:
* à l'inspection de la cavité buccale, on peut noter:
* à l'inspection de la cavité buccale, on peut noter:
** des {{Signe clinique|nom=plaques blanchâtres vastes}} au niveau de l'intérieur des joues, des lèvres, du palais et de la langue.
** des {{Signe clinique|nom=plaques blanchâtres vastes}} au niveau de l'intérieur des joues, des lèvres, du palais et de la langue.<ref name=":1" /><ref name=":3" />
==Examens paracliniques==
==Examens paracliniques==
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Examens paracliniques}} Les examens paracliniques pertinents sont :
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Examens paracliniques}} Les examens paracliniques pertinents sont :

Version du 17 juin 2023 à 14:01

Muguet chez le nourrisson
Maladie
Caractéristiques
Signes Plaque
Symptômes
Anorexie , Asymptomatique , Dysgueusie , Sensation de brulûre dans la bouche, Saignements buccaux
Diagnostic différentiel
Stomatite aphteuse, Érythroplasie, Rougeole, Mucosite buccale, Brûlures thermiques, Leucoplasie orale chevelue, Candidose hyperplasique, Glossite rhomboïde médiane
Informations
Terme anglais Candidose buccale

Page non révisée
La section obligatoire Définition ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

Le muguet, aussi nommé candidose oropharyngée, est une infection de la cavité buccale causée par une levure de type Candida, le plus fréquemment par Candida albicans.[1]

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

Le muguet est plus prévalent chez les nouveaux-nés et les nourrissons[2][3]. Selon la population étudiée, l'incidence du muguet se situe entre 5% à 10% chez les nourrissons[4][5]. Cette infection est plus rare dans la première semaine de vie[3]. Elle est plus fréquente chez les nourrissons âgés de 1 mois à 6 mois[2]. Le muguet touche autant les hommes que les femmes[2].

Étiologies

La section facultative Étiologies ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

La candidose oropharyngée est causée par une infection par une espèce de Candida. Environ 30 à 60 % des adultes et 45 à 65 % des nourrissons sont porteurs d'espèces de Candida dans leur cavité buccale. La plupart de ces espèces vivent dans la cavité buccale en tant que population commensale plutôt qu'en population pathologique.[2]

Les espèces de Candida responsables du muget sont[2][6]:

Physiopathologie

L'infection fongique menant au muguet se produit souvent lorsque l'immunité de l'hôte est perturbée[1]. Chez les patients sains, le système immunitaire du patient et la flore bactérienne normale inhibent la croissance du champignon. Un traitement par antibiotiques peut donc mener au muguet par l'ablation de la flore bactérienne saine au niveau de la bouche.[2] Les conditions immunosuppressives sont aussi responsables de la prolifération de la levure dans la bouche des patients touchés. Les espèces de Candida prospèrent dans les environnements humides. De ce fait, les femmes peuvent développer une candidose vaginale.[2] Les infections vaginales peuvent coloniser les nouveau-nés lors de leur passage dans le canal de naissance. Alternativement, les nouveau-nés et les nourrissons peuvent contracter la maladie par les seins colonisés de la mère lors de l'allaitement.[3]

Présentation clinique

La section obligatoire Présentation clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

La candidose, également connue sous le nom de muguet buccal, est la présentation classique et la plus courante de la candidose buccale, mais plusieurs autres types existent. La candidose peut apparaître dans la cavité buccale sous forme de lésions blanches ou érythémateuses.[2] Les lésions blanches se développent sous forme de lésions pseudomembraneuses ou hyperplasiques ; les lésions érythémateuses comprennent les lésions atrophiques dans les formes aiguës et chroniques, la chéilite angulaire, la glossite rhomboïdale médiane et l'érythème gingival linéaire.

Pseudomembraneuse aiguë Candidose [7] La candidose pseudomembraneuse est la candidose buccale la plus fréquemment rencontrée, représentant un tiers des cas.[2] Il présente généralement de vastes plaques blanches qui peuvent être facilement éliminées avec de la gaze, laissant une surface de muqueuse érythémateuse.[2] La pseudomembrane est formée de cellules épithéliales desquamées, de fibrine et d'hyphes fongiques. [8] Les lésions sont généralement asymptomatiques et apparaissent sur la langue, les muqueuses labiale et buccale, les tissus gingivaux, le palais dur et mou et l'oropharynx.[8] Si symptomatiques, les patients signalent une sensation de brûlure dans la bouche, des saignements buccaux et des modifications de la perception du goût. [2][7]

lésions blanches et érythémateuses. Les lésions blanches comprennent la candidose pseudomembraneuse aiguë et la candidose hyperplasique chronique ; les lésions rouges comprennent la candidose érythémateuse aiguë et chronique, la chéilite angulaire, la glossite rhomboïde médiane et l'érythème gingival linéaire. le champ d'application de cet article.[7] Le diagnostic de candidose buccale est souvent clinique, basé sur l'examen clinique, la prise d'antécédents médicaux et l'évaluation des facteurs de risque. Une biopsie est recommandée pour certains types en plus du traitement empirique.[8] Des cultures sont généralement effectuées si le traitement antifongique est inefficace.[8] Un traitement antifongique topique et des mesures d'hygiène buccale sont généralement suffisants pour résoudre une candidose buccale légère,[8] et un traitement antifongique systémique sont généralement réservés aux les patients réfractaires ou intolérants aux traitements topiques et ceux à risque accru de développer des infections systémiques.[8][7]

Facteurs de risque

Les facteurs de risque sont[1][2][6] :

Questionnaire

Le muguet est généralement asymptomatique.[2][6]

Si des symptômes sont présents, ils peuvent être constitués de[2]:

Examen clinique

La détection du muguet se fait principalement à l'examen ORL de l'enfant:
  • à l'inspection de la cavité buccale, on peut noter:

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Les examens paracliniques pertinents sont :

  • l'examen paraclinique 1[Se: 15 %[9]][Sp: 100 %[10]][VPP: 100 %[11]][VPN: 88 %[12]] :
  • l'examen paraclinique 2 :
  • ... Le diagnostic de candidose buccale est souvent clinique, basé sur l'examen clinique, l'anamnèse et l'évaluation des facteurs de risque. Le diagnostic est posé après avoir trouvé les caractéristiques de la lésion typique, à l'exclusion d'autres conditions, et après avoir évalué la réponse de la lésion au traitement antifongique.[8] La candidose atrophique aiguë et la candidose hyperplasique chronique ressemblent à des lésions précancéreuses ou malignes ; par conséquent, une biopsie est recommandée en plus du traitement empirique.[8][7] Des cultures et des tests de sensibilité peuvent être effectués si le traitement antifongique est inefficace.[8] Plusieurs méthodes ont été développées pour obtenir un échantillon de la cavité buccale afin d'identifier les espèces de Candida. Le choix de la méthode dépend principalement des résultats cliniques. Si des lésions visibles peuvent être identifiées, il est recommandé de prélever un écouvillon avec un écouvillon microbien simple ou une empreinte avec un tampon en mousse stérile. ou la technique de rinçage buccal est conseillée.[3] Si une stomatite prothétique est suspectée, un échantillon doit être prélevé à la fois sur la surface interne de la prothèse et sur la muqueuse palatine, car un prélèvement de la muqueuse buccale seule peut être négatif.[3][7] En plus de confirmer la candidose, des tests pour diagnostiquer une condition immunodéprimée sous-jacente doivent être envisagés. Les patients peuvent être testés pour des maladies telles que le VIH, l'insuffisance surrénalienne, la malnutrition, l'utilisation de stéroïdes et le diabète sucré.[7]

Histopathologie

La candidose buccale est un diagnostic clinique. Une évaluation plus approfondie est nécessaire lorsqu'un diagnostic différentiel est requis et pour les cas résistants au traitement antifongique.[21] Cependant, une biopsie est indiquée pour la candidose hyperplasique chronique en raison de son risque de transformation maligne.[21] Les méthodes couramment mises en œuvre pour identifier Candida sont l'hydroxyde de potassium à 10 %. coloration et culture avec sabouraud dextrose agar.[21] La différenciation d'espèces spécifiques est possible avec des milieux de culture spéciaux comme Chromagar Candida.[22] Les tests ELISA et PCR sont utilisés dans les cas de candidose invasive et pour différencier Candida dubliniensis de Candida albicans.[21][7]

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Le diagnostic différentiel de la maladie est :

Le diagnostic différentiel des formes érythémateuses de candidose buccale comprend la mucosite buccale, l'érythroplasie, les brûlures thermiques, l'érythème migrant et l'anémie. CCSO) .[8][7]

Les autres affections incluses dans le diagnostic différentiel de la candidose buccale sont la leucoplasie buccale chevelue (une affection déclenchée par le virus d'Ebstein-Barr), l'œdème de Quincke, la stomatite aphteuse, l'herpès gingivostomatite, l'herpès labial, la rougeole (taches de Koplik), la dermatite périorale, le syndrome de Steven-Johnsons , histiocytose, blastomycose, lymphohistiocytose, diphtérie, œsophagite, syphilis et pharyngite streptococcique.[7]

Candidose hyperplasique

la chéilite angulaire, la glossite rhomboïdale médiane et l'érythème gingival linéaire.

Candidose atrophique aiguë

Candidose atrophique chronique

Glossite rhomboïdale médiane

Chéilite angulaire

Érythème gingival linéaire

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 
Pages complémentaires

Les traitements proposés sont les suivants :

  • le programme d'exercice 1
    • Exemple de recommandation. [B, 2]
  • le traitement non pharmacologique 2
  • Médicament 80 mg
  • l'absence d'intervention dans les circonstances suivantes ...
  • ...
  • Le traitement se concentre sur les espèces de Candida. Elle doit être ciblée en fonction de l'implication du patient et du degré d'immunosuppression. Le traitement antifongique topique est le traitement de première ligne pour les cas simples de candidose buccale et doit être poursuivi simultanément lorsqu'un traitement systémique est indiqué.[8] Le traitement antifongique systémique est généralement réservé aux patients réfractaires au traitement topique, à ceux qui sont intolérants au traitement topique et les personnes à risque accru de développer des infections systémiques.[8][7]

    Un traitement antifongique topique et des mesures d'hygiène bucco-dentaire sont généralement suffisants pour résoudre une candidose buccale légère. Les médicaments antifongiques topiques disponibles comprennent la nystatine, le miconazole, le clotrimazole et le kétoconazole.[8] L'utilisation du miconazole dans la bouche est limitée car il provoque des vomissements et de la diarrhée.[8] Cependant, il est prescrit pour gérer la chéilite angulaire et la stomatite prothétique.[3] La nystatine est un a utilisé un antifongique topique pour traiter la candidose buccale, disponible sous forme de pastille, de rince-bouche et de suspension buvable.[8] Il est indiqué aux patients de se rincer la bouche avec de la nystatine topique quatre fois par jour pendant deux semaines. Ses effets indésirables comprennent le plus souvent des nausées, des vomissements et de la diarrhée.[8][7]

    La nystatine (rince-bouche) et le clotrimazole (troches) sont riches en saccharose. Ainsi, les triazoles - fluconazole ou itraconazole - prescrits une fois par jour peuvent être une alternative [23] dans les candidoses buccales associées au diabète sucré ou en cas de risque élevé de caries dentaires.[8][7]

    Le traitement topique est recommandé pour les patients présentant une présentation bénigne ou une première présentation de la maladie. Une option est les pastilles de clotrimazole 10 mg par voie orale cinq fois par jour (dissous en 20 minutes). Un autre est la suspension buvable de nystatine (100 000 unités/mL) 5 mL par voie orale quatre fois par jour (agitée pendant plusieurs minutes puis avalée).

    Pour la maladie modérée à sévère, le fluconazole 200 mg par voie orale une fois, puis 100 mg par voie orale une fois par jour pendant 7 à 14 jours, est recommandé. Les données concernant la sécurité du fluconazole pendant l'allaitement sont rassurantes.[24][7]

    Pour la maladie réfractaire, les options sont la solution orale d'itraconazole 200 mg une fois par jour sans nourriture pendant 28 jours, la suspension de posaconazole 400 mg par voie orale deux fois par jour pendant trois jours, puis 400 mg par voie orale par jour pendant un total de 28 jours et le voriconazole 200 mg par voie orale deux fois par jour pendant 28 jours.[7]

    De plus, le fluconazole oral à dose unique de 150 mg s'est avéré efficace chez les patients atteints d'un cancer avancé, contribuant ainsi à réduire le nombre de pilules.[25][7]

    Les azoles oraux sont tératogènes et ne doivent pas être utilisés pour traiter la candidose muqueuse au cours du premier trimestre. Les pastilles de clotrimazole, les thérapies topiques à base de nystatine et de déglutition et les comprimés buccaux de miconazole sont également des options de traitement.[7]

    La posologie de ces schémas thérapeutiques doit être ajustée en fonction du poids des patients pédiatriques.[7]

    En plus du traitement, les patients doivent recevoir des conseils sur la diminution des affections immunosuppressives telles que le diabète sucré non contrôlé, le tabagisme et la malnutrition.[7]


    Gestion des prothèses dentaires UNIQréf00000091-QINU`"'?

    L'hygiène des prothèses dentaires est particulièrement importante dans le traitement de la stomatite des prothèses dentaires; cependant, il doit être indiqué dans la prise en charge de toutes les formes de candidose buccale pour éradiquer la colonisation par Candida des prothèses dentaires, qui agit comme un réservoir.[3][7]

    • Les patients doivent nettoyer et désinfecter leurs prothèses quotidiennement et les retirer pendant au moins six heures chaque nuit.[8]
    • Les prothèses dentaires doivent être trempées dans de la chlorhexidine et laissées sécher, car l'air tue également le Candida collé aux prothèses.[8] L'hypochlorite peut être utilisé à la place de la chlorhexidine dans les prothèses sans composants métalliques.[3]
    • Les prothèses dentaires doivent être retirées à chaque utilisation d'un bain de bouche antifongique et, dans les cas avérés de candidose atrophique chronique, trempées dans de la chlorhexidine avant de les remettre en bouche.[8]
    • Dans les cas de stomatite prothétique, il doit être recommandé aux patients d'appliquer du miconazole topique sur la surface interne de la prothèse et de la replacer dans la bouche.[3]
    • Le mélange d'un agent antifongique avec un revêtement pour prothèses dentaires est recommandé pour les porteurs de prothèses dentaires qui ne peuvent pas retenir le rinçage antifongique dans leur bouche assez longtemps.[8]
    • La combinaison de nystatine et de digluconate de chlorhexidine inactive les deux ; par conséquent, il est contre-indiqué.[8][7]


    Considérations spécifiques UNIQréf0000009C-QINU`"'?


    Candidose pseudomembraneuse aiguë chez les nourrissons UNIQréf0000009D-QINU`"'?

    La prise en charge de la candidose pseudomembraneuse aiguë chez les nourrissons allaités comprend des antifongiques topiques pour le nourrisson et les mamelons de la mère, même si la mère ne montre aucun signe d'atteinte. Un antifongique systémique, généralement du fluconazole, est prescrit à la mère en plus du traitement topique si les mamelons présentent des symptômes de muguet.[26] La suspension buvable de nystatine est appliquée sur la lésion buccale du nourrisson [27] et une crème de miconazole à 2 % sur les mamelons de la mère. Il est à noter que la crème de miconazole 2% est une indication hors AMM pour traiter la candidose buccale chez la femme qui allaite.[7]


    Candidose érythémateuse aiguë UNIQréf000000A1-QINU`"'?

    La plupart des cas de candidose érythémateuse aiguë sont secondaires à une antibiothérapie ; l'arrêt du traitement antibiotique résout généralement la candidose sans intervention.[3] Alternativement, si les symptômes sont plus sévères, le fluconazole systémique 50 mg une fois par jour pendant une semaine peut être indiqué.[3][7]


    Chéilite angulaire UNIQréf000000A5-QINU`"'?

    Le traitement de la chéilite angulaire comprend des crèmes antifongiques et stéroïdiennes. La crème de miconazole [8] est recommandée et le traitement doit se poursuivre pendant dix jours supplémentaires après la résolution complète des lésions. La crème de miconazole peut être indiquée seule ou dans sa formulation associée à l'hydrocortisone.[3] Les lésions buccales concomitantes doivent être traitées simultanément.[8] Les carences alimentaires doivent également être résolues.[8] [7]

    Le réservoir de Staphylococci aureus se trouve dans les narines ; [8] par conséquent, l'application de crème de mupirocine sur les narines antérieures aide à éliminer cette niche.[7]


    Candidose hyperplasique chronique UNIQréf000000AD-QINU`"'?

    Le traitement de la candidose hyperplasique chronique comprend du fluconazole 50 mg par jour pendant sept à quatorze jours, selon l'étendue de la lésion, et l'arrêt du tabac.[3] Les patients doivent être conscients du risque de transformation maligne.[3][7]

    Dans les cas suspects de candidose hyperplasique chronique, il a été démontré que la prescription d'un traitement antifongique systémique pendant sept jours avant de faire une biopsie aide à identifier une véritable dysplasie plutôt qu'une dysplasie causée par la présence de Candida.[3][7]


    Érythème gingival linéaire UNIQréf000000B3-QINU`"'?

    Le débridement, le bain de bouche à la chlorhexidine et la garantie que les patients reçoivent un traitement antirétroviral approprié sont inclus dans la prise en charge de l'érythème gingival linéaire en plus du traitement antifongique.[7]

    Suivi

    La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
    Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

    Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
    Formats:Texte
    Balises sémantiques:
    Commentaires:
     
    • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
    • Quels doivent être les consignes données au patient ?
    • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
    • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
    Exemple:
     

    Complications

    La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
    Toute contribution serait appréciée.

    Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
    Formats:Liste à puces, Texte
    Balises sémantiques: Complication
    Commentaires:
     
    • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
    • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
    • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
      • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
      • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
    • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
    • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
    • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
    • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
    Exemple:
     
    Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
    • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
    • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
    • la tachycardie ventriculaire [Complication]
    • le bloc AV de haut grade [Complication].

    Les complications de cette maladie sont :

    Lorsqu'il n'y a pas de complications, l'indiquer avec aucune complication. Bien que peu probable chez un hôte immunocompétent, la candidose buccale peut entraîner une atteinte pharyngée, qui se manifeste par une dysphagie et une détresse respiratoire. La dissémination systémique de la maladie est une préoccupation importante pour les patients immunodéprimés. L'œsophagite candidale est une complication courante de la candidose buccale chez les personnes atteintes du VIH/sida.[7]

    Évolution

    La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
    Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

    Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
    Formats:Texte
    Balises sémantiques:
    Commentaires:
     
    Exemple:
     
    La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

    Le pronostic de la candidose buccale est assez bon lorsqu'il reçoit un traitement approprié et efficace. Lorsque les patients rechutent, cela est généralement dû à une mauvaise observance du traitement par le patient, à l'incapacité de retirer et de nettoyer correctement les prothèses dentaires ou à l'incapacité de résoudre tout facteur sous-jacent ou prédisposant à l'infection.[28][7]

    Prévention

    La section facultative Prévention ne contient pour le moment aucune information.
    Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

    Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
    Formats:Texte
    Balises sémantiques:
    Commentaires:
     
    Exemple:
     
    La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
    • l'arrêt tabagique
    • l'activité physique régulière
    • la perte de poids si obésité
    • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
    • éviter toute consommation de cocaïne.

    Les patients atteints de candidose buccale doivent recevoir des conseils concernant la propagation future de la maladie. Ils doivent également comprendre l'importance du diagnostic et du traitement de toute condition immunosuppressive.[7]

    • Il faut conseiller aux patients utilisant des inhalateurs de stéroïdes de se rincer la bouche avec de l'eau à chaque fois après l'application.[3]
    • La candidose buccale a été liée à la malnutrition, à une carence en fer et en vitamines ; les patients doivent être conseillés sur une nutrition appropriée.[2]
    • Les patients doivent recevoir des conseils appropriés concernant les prothèses dentaires et l'hygiène dentaire, ce qui peut prévenir le développement de la candidose buccale.
    • Un apport élevé en sucre favorise la multiplication de Candida ; une réduction de la consommation de sucre peut être conseillée.[7]

    Références

    __NOVEDELETE__
    1. 1,0 1,1 1,2 et 1,3 Arya N. R et Naureen B. Rafiq, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 32809459, lire en ligne)
    2. 2,00 2,01 2,02 2,03 2,04 2,05 2,06 2,07 2,08 2,09 2,10 2,11 2,12 2,13 2,14 et 2,15 Michael Taylor, Melina Brizuela et Avais Raja, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 31424866, lire en ligne)
    3. 3,00 3,01 3,02 3,03 3,04 3,05 3,06 3,07 3,08 3,09 3,10 3,11 3,12 3,13 3,14 et 3,15 (en) Canadian Paediatric Society, « Antifungal agents for common outpatient paediatric infections | Canadian Paediatric Society », sur cps.ca (consulté le 17 juin 2023)
    4. (en) Karina M. Butler et Carol J. Baker, « Candida: An Increasingly Important Pathogen in the Nursery », Pediatric Clinics of North America, vol. 35, no 3,‎ , p. 543–563 (DOI 10.1016/S0031-3955(16)36471-9, lire en ligne)
    5. J. E. Baley, R. M. Kliegman, B. Boxerbaum et A. A. Fanaroff, « Fungal colonization in the very low birth weight infant », Pediatrics, vol. 78, no 2,‎ , p. 225–232 (ISSN 0031-4005, PMID 3526268, lire en ligne)
    6. 6,0 6,1 et 6,2 John W. Hellstein et Cindy L. Marek, « Candidiasis: Red and White Manifestations in the Oral Cavity », Head and Neck Pathology, vol. 13, no 1,‎ , p. 25–32 (ISSN 1936-0568, PMID 30693459, Central PMCID 6405794, DOI 10.1007/s12105-019-01004-6, lire en ligne)
    7. 7,00 7,01 7,02 7,03 7,04 7,05 7,06 7,07 7,08 7,09 7,10 7,11 7,12 7,13 7,14 7,15 7,16 7,17 7,18 7,19 7,20 7,21 7,22 7,23 7,24 7,25 7,26 7,27 7,28 7,29 7,30 et 7,31 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/31424866
    8. 8,00 8,01 8,02 8,03 8,04 8,05 8,06 8,07 8,08 8,09 8,10 8,11 8,12 8,13 8,14 8,15 8,16 8,17 8,18 8,19 8,20 8,21 8,22 8,23 8,24 et 8,25 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/12185216
    9. url
    10. url
    11. url
    12. url
    13. url
    14. url
    15. url
    16. url
    17. url
    18. url
    19. url
    20. url
    21. 21,0 21,1 21,2 et 21,3 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24455095
    22. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/7989544
    23. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/2170476
    24. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26759844
    25. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/27188880
    26. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11583049
    27. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18625176
    28. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/33878996
    Les sections suivantes sont remplies automatiquement et se peupleront d'éléments à mesure que des pages sont crées sur la plateforme. Pour participer à l'effort, allez sur la page Gestion:Contribuer. Pour comprendre comment fonctionne cette section, voir Aide:Fonctions sémantiques.

    Fait partie de la présentation clinique de ...

    Aucune maladie ne correspond à la requête.

    Est une complication de ...

    Aucune maladie ne correspond à la requête.