Cholécystite aiguë

De Wikimedica
Révision datée du 15 octobre 2020 à 13:28 par Juliette Labonté (discussion | contributions) (Conversion des sources)
!
Cette page a besoin de vous !

Cholécystite aiguë
Maladie
Caractéristiques
Signes Signe de Murphy, Ballonnement, Défense volontaire, Empâtement au quadrant supérieur droit, Température corporelle élevée
Symptômes
Ballonnement, Nausée, Intolérance alimentaire, Augmentation des gaz intestinaux, Douleur abdominale , Vomissement , Douleur à l'épaule , Dorsalgie , Antécédents d'épisodes semblables, Température corporelle élevée
Diagnostic différentiel
Syndrome du côlon irritable, Appendicite, Gastrite, Abcès sous-phrénique, Syndrome coronarien aigu, Pneumonie de la base droite, Coliques biliaires, Ulcère peptique gastroduodénal, Syndrome de Mirizzi, Néoplasie de vésicule biliaire, ... [+]
Informations
Terme anglais Cholécystite aiguë

Page non révisée
La section facultative Introduction ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description:
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 

La cholécystite aiguë fait référence à une inflammation de la vésicule biliaire. Le mécanisme physiopathologique de la cholécystite aiguë est le blocage du canal cystique. La cholécystite est une condition mieux traitée par chirurgie; cependant, il peut être traité de manière conservatrice si nécessaire. Cette condition peut être associée ou non à la présence de calculs biliaires et peut également être classée comme aiguë ou chronique. On le trouve aussi bien chez les hommes que chez les femmes mais peut avoir une propension pour certaines populations. Il peut également présenter certains signes et symptômes classiques. La cholécystite aiguë peut également être confondue avec d'autres maladies telles que l'ulcère gastroduodénal, la maladie du côlon irritable et la maladie cardiaque. La pancréatite chronique et aiguë peut également imiter une maladie de la vésicule biliaire. [1][2][3][4]

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

La maladie de la vésicule biliaire survient chez les hommes et les femmes, certaines populations y étant plus sujettes. Le risque de maladie de la vésicule biliaire augmente chez les femmes, les patients obèses, les femmes enceintes et les patients dans la quarantaine. Une perte de poids drastique ou des maladies aiguës peuvent également augmenter le risque. La formation de calculs biliaires et cette condition peuvent fonctionner dans les familles. D'autres conditions qui provoquent la dégradation des cellules sanguines, par exemple, la drépanocytose, augmentent également l'incidence des calculs biliaires.[4]

Étiologies

La section facultative Étiologies ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

L'étiologie de la cholécystite aiguë est, par définition, le blocage du canal cystique, qui provoque une inflammation. Normalement, la bile est produite dans le foie et se déplace dans le canal biliaire et est stockée dans la vésicule biliaire. Après avoir mangé certains aliments, en particulier les aliments épicés ou gras, la vésicule biliaire est stimulée pour vider la bile de la vésicule biliaire, à travers le canal cystique, le long du canal biliaire dans le duodénum. Ce processus facilite la digestion des aliments.[4]

La vésicule biliaire stocke non seulement la bile, mais elle peut également la concentrer. La bile concentrée est sensible aux précipitations formant des calculs lorsque l'homéostasie est perturbée, ce qui peut survenir en raison de la stase biliaire, de la sursaturation du foie en cholestérol et en lipides, de la perturbation du processus de concentration et de la nucléation des cristaux de cholestérol. [4]

Lorsque le blocage du canal cystique est causé par une pierre, on parle de cholécystite aiguë calculeuse. Il est important de savoir, on peut avoir des douleurs dues à une obstruction temporaire par des calculs biliaires, et cela s'appelle la colique biliaire. Le diagnostic de colique biliaire passe à une cholécystite aiguë calculeuse si la douleur ne disparaît pas en six heures. Si aucune pierre n'est identifiée, on parle de cholécystite aiguë acalculeuse. [5][6][4]

Quelle que soit la cause du blocage, l'œdème de la paroi de la vésicule biliaire finira par provoquer une ischémie de la paroi et deviendra gangréneux. La vésicule biliaire gangréneuse peut être infectée par des organismes gazeux, provoquant une cholécystite emphysémateuse aiguë; toutes ces conditions peuvent rapidement mettre la vie en danger et la rupture a un taux de mortalité élevé. [4]

Environ 95% des personnes atteintes de cholécystite aiguë ont des calculs biliaires. [7] Cependant, cela ne signifie pas que les découvertes fortuites de calculs biliaires doivent être traitées, car on estime que seulement 20% des patients présentant des calculs asymptomatiques développeront des symptômes dans les 20 ans [8], et parce qu'environ 1% des patients présentant des calculs l'apparition des symptômes, la cholécystectomie prophylactique n'est pas justifiée chez les patients asymptomatiques. [4]

Physiopathologie

La section facultative Physiopathologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

L'occlusion du canal cystique ou un dysfonctionnement de la mécanique de la vidange de la vésicule biliaire est la physiopathologie de cette maladie. Les cas de cholécystite aiguë non traitée peuvent entraîner une perforation de la vésicule biliaire, une septicémie et la mort. Les calculs biliaires se forment à partir de divers matériaux tels que le bilirubinate ou le cholestérol. Ces matériaux augmentent la probabilité de cholécystite et de cholélithiase dans des conditions telles que la drépanocytose où les globules rouges sont décomposés formant un excès de bilirubine et formant des calculs pigmentés. Les patients présentant un calcium excessif, comme dans l'hyperparathyroïdie, peuvent former des calculs calciques. Les patients ayant un taux de cholestérol excessif peuvent former des calculs de cholestérol. L'occlusion de la voie biliaire commune telle que dans les néoplasmes ou les sténoses peut également conduire à une stase du flux biliaire provoquant la formation de calculs biliaires.[9][10][4]

PHYSIOPATHOLOGIE

  • Cholécystite aigue
    • Processus inflammatoire  40-50% cultures + (KEEP)
    • 90-95% lithiasique
    • 5-10% acalculeuse :
      • Pathophysio : Dim perfusion paroi VB : stase biliaire, surinfection, low flow
      • FR : USI, brûlés, sepsis, immunosupprimés, DB, HAIV, postpartum, stéroïdes
  • Cholécystite chronique :
    • crises répétées  fibrose et VB non fonctionnelle

Présentation clinique

La section obligatoire Présentation clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

Les cas de cholécystite chronique se présentent avec des douleurs abdominales progressives dans le quadrant supérieur droit avec ballonnements, intolérances alimentaires (en particulier aliments gras et épicés), augmentation des gaz, nausées et vomissements. Des douleurs au milieu du dos ou à l'épaule peuvent également survenir. Cette douleur pourrait être présente pendant des années jusqu'au diagnostic. Les cas de cholécystite aiguë présentent des symptômes similaires mais plus graves. Les symptômes sont souvent confondus avec des problèmes cardiaques. La constatation d'une douleur abdominale supérieure droite avec palpation profonde, signe de Murphy, est généralement classique pour cette maladie. Souvent, il y a un événement alimentaire spécifique menant à la crise aiguë, par exemple, "J'ai mangé des côtelettes de porc et de la sauce la nuit dernière." [4]

PRÉSENTATION

  • Dlr persistante >24h
  • Dx  si 1+2 +/- 3 (ou 3 seul) – Critères de Tokyo 2007 :
    • Sx classiques (Murphy/Dlr HCD)
    • Sx systémiques (GB, température, élévation PCR)
    •   Test radiologique confirmation
  • 5-18% ischémie et nécrose
  • Classification Tokyo 2007 :            
    • Légère/Modérée (>72h, GB>18)
    • Sévère : organ failure
  • Cholécystite acalculeuse :              
    • Manifestations insidieuses (Sx et labo non-spécifique) donc Dx plus souvent tardif et augmentation complications
    •   Mortalité ad 30%
    •   Nécrotique 50%
    • Perforation 10%
  • Complications
    • Emphysémateuse :
      • Homme, cinquantaine et DB
      • Clostridia spp (autres possibles)
      • Évolue vers gangrène
    • Gangrène
      • Complication la + fréquente de la cholécystite
      • Manif : sepsis (peut parfois être aSx)
    • Perforation 10% :
      • Évolution après gangrène
      • localisée avec abcès ou libre (péritonite chimique) (<1%)
    • Empyème

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Un examen physique avec une histoire complète est primordial pour poser le diagnostic de cholécystite. Une formule sanguine complète (CBC) et un panel métabolique complet sont également importants. En cas de cholécystite chronique, ces résultats peuvent être normaux. Dans les cas de cholécystite aiguë ou de maladie grave, le nombre de globules blancs (GB) peut être élevé. Les enzymes hépatiques peuvent également être élevées. S'il y a un taux de bilirubine élevé au-dessus de 2, envisagez un possible calcul des voies biliaires communes. Notez que même en présence d'une maladie grave de la vésicule biliaire, les valeurs de laboratoire peuvent être normales. L'amylase et la lipase doivent également être vérifiées pour exclure une pancréatite. Une tomodensitométrie est souvent commandée au service des urgences comme premier test du bilan. Des résultats de cholécystite et de calculs biliaires peuvent souvent être vus dans cette imagerie. Une échographie de la vésicule biliaire est le meilleur test pour évaluer initialement la maladie de la vésicule biliaire. Une paroi de la vésicule biliaire épaissie et des calculs biliaires sont des résultats courants avec cette condition. En cas de cholécystite aiguë, un scanner hépatobiliaire (HIDA) est recommandé. Cette analyse diagnostiquera la fonction de la vésicule biliaire ou l'obstruction du canal cystique. L'ajout de cholécystokinine (CCK) en cas d'absence de calculs biliaires peut également diagnostiquer une cholécystite acalculeuse. Ceci est indiqué par une fracture d'éjection inférieure à 35% .[11][12][4]

INVESTIGATION

  • FSC, bilan hépatique, pancréatique, INR, ions, U/C
    • PAS de cholestase
    • GB peuvent être normaux
  • RX abdo :                
    • 15% cholélithiases radio-opaques
    • Signes indirects
  • Écho :    
    • Sx de cholécystite
      • Parois >4mm
      • Liquide libre pourtour
      • infiltration graisse
      • calcul enclavé
      • VB distendue (>8cm, >4cm largeur)
      • Murphy radiologique
    • VBIH (<4mm) et VBEH (<10mm) : précision 80%
  • Scinti HIDA :
    • Normalité : Captation foie, VB, CBD et duodénum en <1h
    • cholécystite aiguë
      • SN97%/SP 87%
      • Indication : Doute Dx à l’écho ou Histoire
      • Dx = Exclusion VB à 4h :
  • 40% faux positifs après 5 jours de jeûne.
    • Autres trouvailles
      • Captation lente foie : mx intrinsèque
      • Pas passage duodénal : obstruction CBD
      • Motilité VB :            
  • Fraction éjection avec stimulation à CCK
  • Dysmotilité : FE <35% à 20 min
  • TDM :      
    • beaucoup moins sensible pour cholélithiases
    • 50% lithiases calcifiées visualisées
    • Utilité :
      • Suspicion de complication de la cholécystite (perforation, fistule)
      • Dx incertain et éliminer autre pathologie
  • MRCP :  
    • évaluation VBIH/EH, non-invasif
    • PAS utile pour Dx de cholécystite (réservé si doute de CDL associée)

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Le diagnostic différentiel de la cholécystite aiguë est[4]:

  • Appendicite
  • Coliques biliaires
  • Cholangite
  • Ischémie mésentérique
  • Gastrite
  • Ulcère peptique

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

La prise en charge la plus appropriée de la cholécystite est la cholécystectomie laparoscopique. Les taux de morbidité et de mortalité sont faibles avec un rétablissement rapide. Cela peut également être fait avec une technique ouverte dans les cas où le patient n'est pas un bon candidat laparoscopique. Dans les situations où le patient est gravement malade et considéré comme un mauvais candidat chirurgical, il peut être traité avec un drainage percutané temporisant de la vésicule biliaire. Les cas plus légers de cholécystite chronique chez les patients considérés comme de mauvais candidats à la chirurgie pourraient être traités avec des régimes faibles en gras et en épices. Les résultats de ce traitement varient. Le traitement médical des calculs biliaires avec de l'ursodiol a également été signalé comme ayant eu un succès occasionnel.

TRAITEMENT

  • Prise en charge (Tokyo 2007)

IMAGE

  • MÉDICAL:
    • Indications :
      • > 72h de symptômes
      • Risque chirurgical trop élevé
    • Tx de support liquidien + NPO
    • Antibiotiques
      • Donnés la majorité du temps, malgré que ce soit un processus inflammatoire (40-50% de surinfection)
      • Clairement indiqué si Sx de sepsis (cholécystite modérée à sévère), ischémie, gangrène, pt âgé, diabétique, immunosupprimé
        • +/- clair pour cholécystite légère sans FR ci-haut
      • Choix (recommandation INESS 2012)
        • Couverture des entérobactéries recommandée
        • Couverture de l’entérocoque non nécessaire
        • Couverture des anaérobies recommandée en présence d’anastomose entre les voies biliaires et le tube digestif
        • Exemples :
          • Simple : Ancef, Mefoxin, Ertapenem ou Céphalo+Flagy ou Cipro + Flagyl
          • Sévère : Tazo, Méro ou Imipenem
        • Durée : 4-7 jours (selon INESS)
          • Arrêt si pas T, GB N, HD stable x 48h
          • Pas nécessaire relais PO, mais peut être fait
    • Cholécystostomie
      • Indications
        • Echec au tx médical (atb seul)
        • Maladie sévère (complications, organ failure donne risque chx prohibitif)
        • Cholécystite acalculeuse (modalité de choix, car risque chx souvent prohibitif)
          • Tx atb seul souvent insuffisant pour prévenir complications
        • Temporiser lorsque risque chx très élevé
      • Voie d’approche
        • Percutanée = de choix
        • Endoscopique
          • Décrite si C-I à percutané (position, coagulopathie, etc)
      • Management
        • Cholangio à 3 semaines
          • Retrait si : flot duodénal, ø lithiase
          • Sinon :
            • Laisser en place et refaire cholangio à 3 semaines
        • Lithiasique = chx élective
          • (surtout si le pt ne peut subir le stress physiologique d’une autre crise)
        • Acalculeuse = ø chirurgie
  • CHIRURGICAL
    • Indications :
      • Légère à modérée
      • Complications suspectées (emphysèeme, gangrène, perforation) * mais sans instabilité HD ou C-I chx (ex. risque chx élevé)
      • Échec au tx médical
      • Cholécystite acalculeuse (rare, car risque chx est souvent prohibitif chez ces patients)
    • Tx antibiotique pré-op (cesser après chirurgie)
    • Timing
      • <72h de Sx, sinon = tx médical
        • Diminue les complications, conversion et difficultés techniques
      • Précoce (<72h) vs retardée (6-12sem)  équivalent
        • Aug conversion avec chx précoce ont été suggérées
        • M/A (n=375) et 2RS : ø changement M&M, aug durée séjour avec chx retardée, ø diff conversion significative
      • Donc, si risque chx ok et présentation précoce, cholécystectomie LSC = tx de choix
    • Technique (cf. Cholélithiase) faire hyperlien

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Une fois la vésicule biliaire retirée, la plupart des patients peuvent recevoir leur congé le même jour.[4]

La douleur est minime et peut être gérée par des analgésiques en vente libre. Le patient peut se plaindre d'une douleur à l'épaule sévère due à la rétention de CO2 résultant d'une insufflation laparoscopique et doit être expliqué que cette douleur se dissipera à mesure que le patient bouge et que le gaz est lentement absorbé, ce qui peut prendre jusqu'à trois jours.

Avant de quitter l'hôpital, le patient doit être informé d'une éventuelle intolérance aux aliments gras, qui peut provoquer des ballonnements ou de la diarrhée. Cela peut être temporaire ou, à un certain degré, permanent, en raison de la diminution de la vitesse d'émulsification des graisses par la perte de la bile stockée dans la vésicule biliaire. La plupart des patients auront une régulation à la hausse de la production de bile par le foie et verront une amélioration des symptômes avec le temps. [4]

Le temps de suivi est de 3 à 4 semaines après l'opération. [4]

Complications

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Les complications de la cholécystite aiguë comprennent: [4]


  • Biloma
  • Abcès intra-abdominal
  • Lésion des voies biliaires
  • Lésion hépatique
  • Blessure à l'intestin grêle
  • Infection
  • Calculs retenus dans le canal biliaire
  • Saignement[4]

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

Prévention

La section facultative Prévention ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Concepts clés

La cholécystite peut survenir chez les très jeunes et les très vieux, mais l'incidence la plus élevée se situe dans la quatrième décennie. Le mantra classique de «gras, quarante, fertile et flatulent» s'applique souvent. Les intolérances alimentaires sont généralement le facteur déclenchant des nausées, des vomissements et des ballonnements, mais à mesure que cette affection évolue, des symptômes persistants peuvent apparaître même lorsque le patient n'a pas mangé. Le traitement recommandé préféré est l'ablation de la vésicule biliaire. Dans le passé, cela se faisait par une incision de laparotomie ouverte. La cholécystectomie laparoscopique est maintenant la procédure de choix. Cette procédure a une faible mortalité et morbidité, un temps de récupération rapide (généralement une semaine) et de bons résultats. Parfois, les patients se présentent au praticien de soins primaires avec des symptômes bénins de cholécystite et de calculs biliaires. Cela peut présenter un défi pour le médecin de savoir quel est le traitement approprié. Une prise en charge médicale souvent conservatrice est recommandée. Cela inclurait une modification du régime alimentaire faible en gras et une éventuelle perte de poids. Malheureusement, pour les chirurgiens, ces patients se présentent souvent au service des urgences avec des symptômes de cholécystite aiguë et subissent une intervention chirurgicale urgente. Cette situation augmente également les taux de morbidité opératoire. Par conséquent, les chirurgiens généraux recommandent généralement aux patients de subir une cholécystectomie laparoscopique élective plus tôt que plus tard au cours de la maladie. D'autres considérations seraient le passage de calculs biliaires dans la voie biliaire, provoquant une obstruction biliaire et une possible pancréatite.[4]

Références

__NOVEDELETE__
  1. Greta Burmeister, Sebastian Hinz et Clemens Schafmayer, « [Acute Cholecystitis] », Zentralblatt Fur Chirurgie, vol. 143, no 4,‎ , p. 392–399 (ISSN 1438-9592, PMID 30134498, DOI 10.1055/a-0631-9463, lire en ligne)
  2. Karl Walsh, Ioannis Goutos et Baljit Dheansa, « Acute Acalculous Cholecystitis in Burns: A Review », Journal of Burn Care & Research: Official Publication of the American Burn Association, vol. 39, no 5,‎ 08 17, 2018, p. 724–728 (ISSN 1559-0488, PMID 29931066, DOI 10.1093/jbcr/irx055, lire en ligne)
  3. Atsushi Kohga, Kenji Suzuki, Takuya Okumura et Kimihiro Yamashita, « Is postponed laparoscopic cholecystectomy justified for acute cholecystitis appearing early after onset? », Asian Journal of Endoscopic Surgery, vol. 12, no 1,‎ , p. 69–73 (ISSN 1758-5910, PMID 29577610, DOI 10.1111/ases.12482, lire en ligne)
  4. 4,00 4,01 4,02 4,03 4,04 4,05 4,06 4,07 4,08 4,09 4,10 4,11 4,12 4,13 4,14 4,15 et 4,16 Mark W. Jones, Rafaella Genova et Maria C. O'Rourke, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 29083809, lire en ligne)
  5. Sung Pil Yun et Hyung-Il Seo, « Clinical aspects of bile culture in patients undergoing laparoscopic cholecystectomy », Medicine, vol. 97, no 26,‎ , e11234 (ISSN 1536-5964, PMID 29952986, Central PMCID 6039604, DOI 10.1097/MD.0000000000011234, lire en ligne)
  6. Thad Wilkins, Edward Agabin, Jason Varghese et Asif Talukder, « Gallbladder Dysfunction: Cholecystitis, Choledocholithiasis, Cholangitis, and Biliary Dyskinesia », Primary Care, vol. 44, no 4,‎ , p. 575–597 (ISSN 1558-299X, PMID 29132521, DOI 10.1016/j.pop.2017.07.002, lire en ligne)
  7. Valerie Halpin, « Acute cholecystitis », BMJ clinical evidence, vol. 2014,‎ (ISSN 1752-8526, PMID 25144428, Central PMCID 4140413, lire en ligne)
  8. Anu Behari et V. K. Kapoor, « Asymptomatic Gallstones (AsGS) - To Treat or Not to? », The Indian Journal of Surgery, vol. 74, no 1,‎ , p. 4–12 (ISSN 0972-2068, PMID 23372301, Central PMCID 3259178, DOI 10.1007/s12262-011-0376-5, lire en ligne)
  9. Erik Xavier Apolo Romero, Patricio Fernando Gálvez Salazar, Jorge Abdón Estrada Chandi et Fabricio González Andrade, « Gallbladder duplication and cholecystitis », Journal of Surgical Case Reports, vol. 2018, no 7,‎ , rjy158 (ISSN 2042-8812, PMID 29992010, Central PMCID 6030904, DOI 10.1093/jscr/rjy158, lire en ligne)
  10. Binit Sureka, Archana Rastogi, Amar Mukund et Shalini Thapar, « Gangrenous cholecystitis: Analysis of imaging findings in histopathologically confirmed cases », The Indian Journal of Radiology & Imaging, vol. 28, no 1,‎ , p. 49–54 (ISSN 0971-3026, PMID 29692527, Central PMCID 5894319, DOI 10.4103/ijri.IJRI_421_16, lire en ligne)
  11. Javad Tootian Tourghabe, Hamid Reza Arabikhan, Ali Alamdaran et Hamid Zamani Moghadam, « Emergency Medicine Resident versus Radiologist in Detecting the Ultrasonographic Signs of Acute Cholecystitis; a Diagnostic Accuracy Study », Emergency (Tehran, Iran), vol. 6, no 1,‎ , e19 (ISSN 2345-4563, PMID 30009221, Central PMCID 6036519, lire en ligne)
  12. Gayatri Joshi, Kevin A. Crawford, Tarek N. Hanna et Keith D. Herr, « US of Right Upper Quadrant Pain in the Emergency Department: Diagnosing beyond Gallbladder and Biliary Disease », Radiographics: A Review Publication of the Radiological Society of North America, Inc, vol. 38, no 3,‎ , p. 766–793 (ISSN 1527-1323, PMID 29757718, DOI 10.1148/rg.2018170149, lire en ligne)
Les sections suivantes sont remplies automatiquement et se peupleront d'éléments à mesure que des pages sont crées sur la plateforme. Pour participer à l'effort, allez sur la page Gestion:Contribuer. Pour comprendre comment fonctionne cette section, voir Aide:Fonctions sémantiques.

Fait partie de la présentation clinique de ...

Aucune maladie ne correspond à la requête.

Est une complication de ...