Bronchiolite
Classe de maladie | |
Caractéristiques | |
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Signes | Apnée, Crépitants, Tachycardie , Tirage , Tachypnée , Battement des ailes du nez, Sibilance, Allongement du temps expiratoire, Râles, Altération de l'état de conscience , ... [+] |
Symptômes |
Anorexie , Congestion nasale, Rhinorrhée, Apnée, Oligurie, Anurie, Dyspnée , Détresse respiratoire, Tirage , Altération de l'état de conscience , ... [+] |
Étiologies |
Adénovirus, Virus respiratoire syncytial, Métapneumovirus humain, Coronavirus, Rhinovirus, Virus para-influenza, Virus influenza |
Informations | |
Terme anglais | Bronchiolite pédiatrique |
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Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire. |
Exemple: | L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice. |
La bronchiolite est l'inflammation des voies respiratoires inférieures la plus fréquentes chez les enfants de moins de 24 mois.
Il s'agit d'une inflammation aux niveau des bronchioles, le plus souvent de cause virale. Il en résulte une détresse respiratoire associée à une diminution de la prise orale, ce qui en fait l'un des motifs de consultation les plus fréquents en hiver chez la population des enfants âgés de moins de 24 mois avec un pic entre l'âge de 2 à 6 mois.[1]
Épidémiologie
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Description: | Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution. |
Exemple: | La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an. |
Le virus respiratoire syncitial (VRS) a été incriminé dans 80% des cas de bronchiolite suite à l'utilisation de tests moléculaire.[2][1] La majorité des cas de bronchiolite se produisant entre l'hiver et le début du printemps avec un pic au mois de janvier.
La population à risque est représentée essentiellement par les enfants avant l'âge de 2 ans, plus spécifiquement les nourrissons de moins de 3 mois, les prématurés, ainsi que ceux atteints de maladies pulmonaires chroniques, de cardiopathie congénitale compliquées, d'immunodéficience et de maladies chroniques.
Il existe également des facteurs de risques liés à la mère. [3].
(Se référer à la section Facteurs de risques.)
Étiologies
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Description: | Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologie. |
Formats: | Texte, Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Étiologie |
Commentaires: |
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Exemple: | Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
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- Virus Respiratoire Syncytial (VRS) dans la majorité des cas.
- Adénovirus.
- Métapneumovirus humain.
- Virus influenza A et B
- Virus para-influenza type 3, et moins fréquemment le virus para-influenza type 1 et 2.
- Rhinovirus.
Maladies
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Description: | |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | |
Exemple: | |
Physiopathologie
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Description: | La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section Physiopathologie. |
Exemple: | Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique. |
Le virus circule à travers les voies respiratoires supérieures puis les bronches de petit et moyen calibre et les bronchioles causant une réponse inflammatoire.
Cette inflammation au niveau de la muqueuse respiratoire entraîne nécrose des cellules épithéliales et la production de mucus obstruant ainsi les voies respiratoires. L'obstruction étant de type expiratoire, une partie de l'air inspiré se retrouve piégé à l'intérieur des alvéoles et peut provoquer des complications telles que l'atélectasie. [1][5]
Présentation clinique
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique. |
Formats: | Texte |
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Commentaires: |
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Exemple: |
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Créer une box: Une infection des voies respiratoire supérieures suivie de symptômes de détresse respiratoire et d'un sifflement doit faire évoquer le diagnostique d'une bronchiolite et être investigué en conséquence.
Facteurs de risque
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Description: | Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc. |
Formats: | Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Facteur de risque |
Commentaires: |
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Exemple: | Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
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Les facteurs de risque sont: [1][3][6][7][8][9]
- Prématurité.
- Âge inférieur à 3 mois.
- Immunodéficience.
- Maladie pulmonaire chronique.
- Cardiopathies congénitales.
- Autres maladies chroniques sous-jacente.
- Exposition à la fumée.
- Allergènes tels que les blattes, les acariens et les squames de chats et de chiens.
Questionnaire
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Description: | Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients. |
Formats: | Liste à puces |
Balises sémantiques: | Symptôme, Élément d'histoire |
Commentaires: |
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Exemple: | Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :
Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :
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On retrouve à l'histoire la symptomatologie initiale d'une infection des voies respiratoires supérieures d'une durée de 3 jours environs: [1][5][7][8][9][10]
- Rhinorrhée.
- Congestion nasale.
- Toux
- Refus de l'alimentation.
- Fièvre.
Population particulière: Chez le prématuré ou le nourrisson de moins de 2 mois, le tableau clinique peut se présenter initialement par des épisodes récidivants d'apnée, suivi dans les 24 à 48 heures de l'apparition des symptômes classiques d'une bronchiolite.
Examen clinique
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Description: | Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique. |
Formats: | Liste à puces |
Balises sémantiques: | Examen clinique, Signe clinique |
Commentaires: |
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Exemple: | L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
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L'examen clinique peut retrouver des signes de détresse respiratoire: [1][5][7][8][9][10]
- Tachypnée.
- Battement des ailes du nez.
- Utilisation de muscles respiratoires accessoires.
- Tirage intercostal et sous-costal.
- Sibilance.
- Cyanose.
- Hypoxémie.
- Léthargie.
Examens paracliniques
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie. |
Formats: | Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Examen paraclinique, Signe paraclinique |
Commentaires: |
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Exemple: | Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
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BOX: Le diagnostique de le bronchiolite est clinique, les examens complémentaires ne sont pas indiqués en cas de bronchiolite non compliquée.
La saturation en oxygène doit être évaluée pour déterminer le taux d'oxygénation et de ce fait la gravité de l'affection.
D'autres examens peuvent êtres faits dans certaines situations telles qu'une hypoxémie, la survenue de complications, l'évaluation d'une surinfection, l'élimination de diagnostics différentiels, et ce particulièrement chez les patients présentant des comorbidités telles que des maladies cardiopulmonaires.
- Tests rapides à la recherche des Ag du virus respiratoire syncytial par lavage ou aspiration nasale.
- Radiographies thoraciques donnent généralement des résultats non spécifiques (poumons distendus, aplatissement des coupoles diaphragmatiques, infiltrat interstitiel et opacités péri-hilaire bilatérales, atélectasie). Ces résultats, si mal interprétés, pourraient mener à une utilisation abusive d'antibiotiques.
Approche clinique
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement. |
Formats: | Texte, Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
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Exemple: | |
Diagnostic
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent). |
Formats: | Texte, Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
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Exemple: | L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.
Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :
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Diagnostic différentiel
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic. |
Formats: | Liste à puces |
Balises sémantiques: | Diagnostic différentiel |
Commentaires: |
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Exemple: | Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
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Les diagnostiques différentiels comprennent: [5][12][15]
- Asthme ou exacerbation d'un asthme connu: favorisée par une infection respiratoire virale, le plus souvent sur un terrain asthmatique familial.
- Autres infections pulmonaires telles qu'une pneumonie.
- Réaction allergique.
- Reflux gastro-œsophagien: dans un contexte d'épisodes multiples.
- Fistule trachéo-œsophagienne.
- Aspiration d'un corps étranger: doit être évoquée devant un début brutal et en absence de signes d'infection des voies respiratoires supérieures.
Traitement
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section décrit le traitement de la maladie. |
Formats: | Liste à puces, Tableau, Texte |
Balises sémantiques: | Traitement, Traitement pharmacologique |
Commentaires: |
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Exemple: | |
Dans la plupart des cas, le traitement de la bronchiolite est un traitement de soutien:[12]
- Hydratation.
- Aspiration nasale.
- Nébulisation de sérum hypertonique 3 %.
Ainsi que la surveillance des signes d'insuffisance respiratoire pour évaluer la nécessité d'une intubation et d'une ventilation mécanique.[1]
Indication à l'hospitalisation:[5][12]
- Signes de détresse respiratoire d'évolution rapide (tirage intercostal, respiration bruyante, fréquence respiratoire >70/min)
- Aspect toxique (cyanose, léthargie)
- Antécédents d'apnée.
- Hypoxémie.
- Oxygène d’appoint nécessaire pour maintenir les saturations au dessus de 90 %.
- Prise de liquide insuffisante.
- Présence de facteurs de risques tels qu'une cardiopathie, un déficit immunitaire ou une dysplasie bronchopulmonaire.
L'utilisation d'une nébulisation d'adrénaline et de la dexaméthasone par voie orale n'est pas recommandée. Pourtant, selon une publication du Groupe de recherche en urgence pédiatrique du Canada, cette bithérapie semblait raccourcir la durée d'hospitalisation, de plus amples recherches devraient être considérées pour évaluer le rôle de cette thérapie. En outre, il est nécessaire d'évaluer les avantages possibles des corticoïdes par rapport aux risques du traitement aux stéroïdes. De ce fait, les corticoïdes ne sont pas systématiquement recommandés pour traiter la bronchiolite.[12][16]
Les antibiotiques ne devraient pas être utilisés, excepté en cas d'infection bactérienne secondaire.[12][17]
Les thérapies antivirales, telles que la ribavirine, ne sont pas recommandées pour le traitement systématique de la bronchiolite chez des enfants ne présentant pas de comorbidités.[12][17]. L'oseltamivir, chez les patients positifs pour la grippe A, prescrit durant les 2 jours suivant le début des symptômes semble influencer le cours de la maladie de façon favorable.[1]
Suivi
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section traite du suivi de la maladie. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
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Exemple: | |
Complications
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section traite des complications possibles de la maladie. |
Formats: | Liste à puces, Texte |
Balises sémantiques: | Complication |
Commentaires: |
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Exemple: | Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
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Dans la plupart des cas, l'évolution va vers une guérison spontanée en 3 à 5 jours, et le taux de mortalité est < 0,1% suite à une bonne prise en charge. Néanmoins la toux et la sibilance peuvent persister jusqu'à 2 à 4 semaines.[5]
Des complications peuvent survenir telles que: [7]
- Une pneumonie.
- Une insuffisance respiratoire.
Évolution
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | |
Exemple: | La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an. |
Des rapports de causalité entre la bronchiolite causée par le VRS et la maladie asthmatique sont encore très discutés. Une étude de cohorte prospective Early Life (RBEL) a retrouvé une corrélation entre la respiration sifflante secondaire à la bronchiolite due au VRS et le développement d'asthme précoce chez les enfants.[1][6] Certaines études indiqueraient qu'environ la moitié des enfants hospitalisés pour une bronchiolite sud du Canada, développent de l'asthme.[18][19] Tandis que d'autres études n'ont pas conclu à la présence d'un lien entre les infections à VRS et l'asthme.[20] Mais de plus amples études devront déterminer le rôle potentiel des infections dues au VRS et les différents types d'asthme.[18][19]
Il est plus probable que des antécédents de respiration sifflante récurrente et des antécédents familiaux d'asthme, d'allergies, de dermatite atopique sont plus incriminés dans le risque de développer de asthme chez ces patients là.[1] [21]
Prévention
- La prophylaxie au palivizumab est utilisée pour la prévention de la bronchiolite causée par le VRS chez une population particulière de patients selon des critères définis par l'American Academy of Pediatrics (AAP)
La population spécifique visée:
- Nourrissons nés avant 29 semaines et âgés de moins de 12 mois au début de la saison du VRS.
- Patients de moins de 32 semaines de gestation qui ont une maladie pulmonaire chronique, une cardiopathie congénitale hémodynamiquement significative et qui ont moins de 12 mois.
- Enfants de 12 mois ou moins atteints de troubles pulmonaires anatomiques et de troubles neuromusculaires qui inhibent la clairance des voies respiratoires.
- Patients de 12 mois et moins immunodéprimés.
- Patients atteints des les conditions mentionnées et qui ont également d'autres comorbidités génétiques.
Les posologies:
Le palivizumab est administré à la dose de 15 mg/kg IM. La 1ère dose juste avant le début habituel de la saison du VRS, correspondant au début novembre en Amérique du Nord. Suivi de doses répétées à 1 mois d'intervalle durant toute la durée de la saison, soit 5 doses.
- Des vaccins maternels, pédiatriques et adultes contre le VRS sont en cours de développement dans des essais cliniques.
Références
- Cette page a été modifiée ou créée le 2020/11/29 à partir de Pediatric Bronchiolitis (StatPearls / Pediatric Bronchiolitis (2020/10/01)), écrite par les contributeurs de StatPearls et partagée sous la licence CC-BY 4.0 international (jusqu'au 2022-12-08). Le contenu original est disponible à https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30137791 (livre).
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- ↑ https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/31676530
- ↑ 3,0 et 3,1 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15629968
- ↑ https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19797481
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- ↑ 6,0 et 6,1 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18760461
- ↑ 7,0 7,1 7,2 7,3 et 7,4 (en-US) « Bronchiolitis – Knowledge for medical students and physicians », sur www.amboss.com (consulté le 1er décembre 2020)
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- ↑ 9,0 9,1 et 9,2 Barr FE, Graham BS. Bronchiolitis in Infants and Children: Clinical Features and Diagnosis. In: Post TW, ed. UpToDate. Waltham, MA: UpToDate. http://www.uptodate.com/contents/bronchiolitis-in-infants-and-children-clinical-features-and-diagnosis. Last updated November 3, 2016. Accessed March 27, 2017.
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