Atopie

De Wikimedica
Révision datée du 18 février 2023 à 16:14 par Cassandra Bertrand (discussion | contributions) (changements apportés dans les sections suivantes: définition, classification, étiologie, épidémiologie, pathophysiologie)
Atopie
Classe de maladie
Caractéristiques
Signes
Symptômes
Informations
Terme anglais Atopy
Wikidata ID Q757678
Spécialité Allergologie

Page non révisée
__NOVEDELETE__
Objectif du CMC
Réactions allergiques et atopie (4)
La section obligatoire Définition ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

L'atopie est une prédisposition personnelle et/ou familiale à répondre immunologiquement à divers allergènes environnementaux, entraînant une différenciation CD4+ Th2 et une surproduction d'immunoglobulines E (IgE).[1] La conséquence clinique en est la propension à développer des réactions d'hypersensibilité aux allergènes. L'asthme bronchique allergique, la rhinite allergique et la dermatite atopique forment ce qu'on appelle la "triade atopique". Plusieurs de ces conditions peuvent coexister chez un même individu au même moment ou à différents moments de sa vie.[2]

Classification

La section facultative Classification ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section sert à détailler les maladies qui sont membres de cette classe.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Maladie
Commentaires:
 
  • Il est important de bien faire la différence entre les diagnostics différentiels, les étiologies et la classification. Par exemple, la pneumonie virale est une classe de maladie qui est membre de la classe Pneumonie, mais la bronchite fait plutôt partie du diagnostic différentiel.
Exemple:
 
Le syndrome coronarien aigu se divise en trois maladies distinctes :
  • l'angine instable [Maladie]
  • le STEMI [Maladie]
  • le NSTEMI [Maladie].

En plus de la triade atopique mentionnée ci-haut, qui comprend la rhinite allergique, l'asthme et la dermatite atopique, plusieurs maladies font partie de l'atopie, notamment :

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

L'atopie affecte une partie importante de la population générale, celle-ci ayant une prévalence estimée de 10 à 30 % dans les pays développés. Environ 80 % des personnes atopiques ont des antécédents familiaux d'allergie et d'atopie. Chez les jumeaux monozygotes, il n'y a que 50% de concordance. La susceptibilité aux maladies atopiques est génétique, mais la littérature suggère qu'il existe de nombreux gènes ayant des effets modérés impliqués. La répartition géographique des allergènes courants expliquent en partie la prévalence et la morbidité associées à l'atopie. Les deux sexes sont également touchés. [2] La progression de la dermite atopique dans la jeune enfance vers d'autres conditions atopiques comme l'asthme et la rhinite allergique dans l'enfance et à l'âge adulte est appelée la "marche atopique". [1]

Étiologies

La section facultative Étiologies ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologie.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

L'étiologie exacte de l'atopie est inconnue, mais nous savons qu'une interaction entre les facteurs génétiques et environnementaux joue un rôle crucial dans la vulnérabilité atopique. Certaines études suggèrent que le lien entre les différentes conditions atopiques pourrait être associé aux changements dans le microbiome cutané, celui-ci interagissant avec une dysfonction de la barrière muqueuse ou cutanée. Par exemple, la colonisation de la muqueuse nasale par du staphylocoque augmente les chances qu'une sinusite chronique soit associée à l'asthme. Également, les populations où la diète contient une flore bactérienne différente de la flore bactérienne des diètes modernes ont moins d'atopie.[7]

Les facteurs génétiques joueraient un rôle primordial dans la vulnérabilité atopique, régulant la synthèse totale d'IgE. L'hérédité atopique serait multigénique et influencerait ainsi la tendance à surproduire des IgE.[8][2] Une théorie qui explique la genèse de l'atopie concerne une régulation anormale des cellules T auxiliaires et des lymphocytes T suppresseurs qui devraient normalement aider à la production d'IgE. Également, un ou plusieurs loci dans la région du chromosome 12q contribueraient à l'expression du phénotype clinique de l'asthme et les preuves les plus solides de liaison se trouvent dans une région proche du gène codant pour l'IFN-gamma.[9]

Les mutations de la filagrine, une protéine clé dans la différenciation épidermique, semblent susceptibles de jouer un rôle dans la chronicité de la maladie et la sensibilisation aux IgE chez les patients atteints de la dermite atopique. Les mutations de la filagrine qui prédisposent à l'asthme, à la rhinite allergique et à la sensibilisation allergique uniquement en présence de la dermite atopique soutiennent fortement le rôle de la filagrine dans la pathogenèse de la dermite atopique et dans la progression ultérieure de la marche atopique. Les défauts de la filagrine peuvent se développer comme un défaut acquis et/ou génétique.[1]

Les déclencheurs et facteurs de risque environnementaux de l'atopie seront abordés plus en détails dans la section "facteurs de risque".

Physiopathologie

La section facultative Physiopathologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section Physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

La physiopathologie de l'atopie se manifeste par l'activation des mastocytes. La liaison de l'antigène aux IgE réticule les protéines Fc epsilon RI sur les mastocytes. Il active les protéines tyrosine kinases (Lyn et Syk) qui provoquent l'activation d'une cascade de MAP kinases et d'une phospholipase C spécifique du phosphatidylinositol, qui catalyse la libération de molécules, lesquelles libèrent le calcium intracellulaire à partir du réticulum endoplasmique et phosphorylent des substrats. Les MAP kinases et le calcium réagissent pour activer l'enzyme cytosolique phospholipase A2, qui stimule la synthèse de médiateurs lipidiques, notamment PGD2, LTC4, LTD4 et LTE4. Les kinases Ras/MAP en présence de calcium et de PKC provoquent l'expression de gènes de cytokines, qui libèrent du TNF et d'autres cytokines (IL-4, IL-5, IL-6, IL-13 entre autres). Les médiateurs lipidiques, les cytokines et l'histamine provoquent une réponse inflammatoire.[10][11][12] [2] Les basophiles et les médiateurs mastocytaires comprennent des amines biogènes et des enzymes stockées préformées dans des granules, des cytokines et des médiateurs lipidiques, qui sont principalement nouvellement synthétisés lors de l'activation cellulaire. L'histamine et d'autres amines biogènes, ainsi que les médiateurs lipidiques, induisent des fuites vasculaires et une hypermotilité intestinale, qui sont toutes des composantes des réponses allergiques immédiates. [2]

Facteurs de risque

La section facultative Facteurs de risque ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Les facteurs de risque de l'atopie sont :

  • une histoire familiale d'atopie
    • L'hérédité de plusieurs gènes influence la tendance à la surproduction d'IgE, et cela se retrouve dans les familles, comme le montre clairement la transmission autosomique de l'allergie, mais on pense que le modèle d'hérédité complet est multigénique.[2]
  • l'immigration
    • Dans les pays développés et industrialisés, on observe une prévalence plus élevée de l'atopie et de l'asthme par rapport aux pays non développés, la migration impliquant une exposition à un nouvel ensemble de polluants et d'allergènes.[13]
  • les changements dans le microbiome cutané
    • Le lien entre les troubles atopiques comorbides pourrait être lié à des changements dans le microbiome, interagissant potentiellement avec le dysfonctionnement de la barrière cutanée et muqueuse.[7]
  • les déclencheurs spécifiques et non spécifiques de l'asthme[2]
    • les infections respiratoires virales
    • les médicaments (aspirine et anti-inflammatoires non stéroïdiens)
    • les facteurs climatiques (ozone, air froid et SO2)
    • les facteurs physiologiques (exercice, hyperventilation, facteurs psychologiques)
    • les aéroallergènes (les pollens d'herbe, de mauvaises herbes, d'arbustes et d'arbres, les moisissures, la poussière domestique et les acariens, les insectes et les phanères d'animaux domestiques, de rongeurs et d'animaux de ferme, etc.)[14]

Questionnaire

La section obligatoire Questionnaire ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Symptôme et Élément d'histoire lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [symptôme]
  • des sueurs [symptôme]
  • de la dyspnée [symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [symptôme]
  • la fièvre [symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [symptôme]
  • l'absence de toux [symptôme].

Les symptômes de cette maladie sont :

Examen clinique

La section facultative Examen c linique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description:
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 

L'examen clinique permet d'objectiver les signes suivants :

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [Examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [Signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [Examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [Signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [Examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques [Examen paraclinique] : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [Signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [Examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [Signe paraclinique] et l'hypercalcémie [Signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [Examen paraclinique]: l'hyperglycémie [Signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [Examen paraclinique]/ gaz veineux [Examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Les examens paracliniques pertinents sont :

  • l'examen paraclinique 1 :
  • l'examen paraclinique 2 :
  • ... L'évaluation de l'hypersensibilité immédiate comprend l'obtention d'une formule sanguine complète, l'évaluation des immunoglobulines IgE et cutanées test de piqûre.[15] [2] Qua Immunoglobulines sériques quantitatives [2]
  • IgM, IgG et IgA [2] Numération totale et différentielle des leucocytes [2]
  • Hb (diminution dans l'anémie hémolytique auto-immune)
  • Éosinophilie )[2] Test allergique [2]
  • Tests cutanés utilisant divers allergènes d'animaux, de plantes, d'aliments, d'agents pathogènes et de polluants environnementaux myélome)
  • Examen des selles (pour le parasitisme intestinal)
  • Régime d'exclusion approprié et provocation en aveugle (pour la clarification du diagnostic d'allergie alimentaire)
  • Radiographie pulmonaire (dans l'asthme bronchique)[2]

Histopathologie

L'atopie se présente avec une papule histopathologiquement caractéristique et réaction de poussée dans la peau, qui est en réponse à une libération stimulée par les allergènes de médiateurs des mastocytes, des vaisseaux sanguins locaux qui se dilatent et deviennent perméables aux protéines et aux fluides, ce qui produit un gonflement et une rougeur locaux. de nombreuses cellules inflammatoires sous-muqueuses, y compris les lymphocytes et les éosinophiles, la membrane basale épaissie et l'hypertrophie des muscles lisses.[2]

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
  • Si vous désirez décrire des caractéristiques essentielles pour différencier la maladie dont vous êtes en train de traiter d'autres maladies, ceci a plutôt sa place dans la section d'Approche clinique. Par exemple, si vous voulez décrire les signes et les symptômes clés pour différentier l'infarctus du myocarde du pneumothorax sur la page du pneumothorax, ceci a sa place soit 1) sur la page d'approche clinique Douleur thoracique 2) dans la section Approche clinique du pneumothorax/infarctus.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [Diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [Diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [Diagnostic différentiel]
  • la cystite [Diagnostic différentiel].

Le diagnostic différentiel de l'atopie comprend notamment les maladies associées à une élévation des IgE sériques totales : [2]

  • Aspergillose broncho-pulmonaire allergique
  • Maladies parasitaires
  • Immunodéficience avec ataxie-télangiectasie
  • Syndrome d'hyper-IgE
  • Syndrome de Wiskott-Aldrich
  • IgE myélome
  • Alymphoplasie thymique
  • Réaction du greffon contre l'hôte
  • Rhinite chronique non allergique (vasomotrice)
  • Rhinite médicamenteuse
  • Rhinite infectieuse
  • Kératoconjonctivite vernale
  • Emphysème pulmonaire
  • Bronchiolite aiguë
  • Mucoviscidose
  • Aspiration d'un corps étranger
  • Obstruction des voies respiratoires causée par une anomalie vasculaire congénitale
  • Asthme cardiaque causé par une insuffisance ventriculaire gauche
  • Tumeurs carcinoïdes
  • Névrodermite localisée (lichen simplex chronique)
  • Allergique ou dermite de contact irritante
  • Séborrhée et dermatophytoses
  • Pompholyx (dyshidrose)

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

Les traitements proposés sont les suivants :

Rhinite allergique

  • Le traitement de la rhinite allergique consiste en des mesures environnementales pour prévenir l'exposition aux allergènes, des médicaments et une désensibilisation. En tant que maladie allergique, le traitement prophylactique par évitement des allergènes est le moyen de traitement le plus puissant. Cependant, l'évitement n'est pas toujours possible car des médicaments sont nécessaires pour contrôler les symptômes ou l'utilisation de la désensibilisation. Le contrôle environnemental couvre l'élimination des animaux domestiques, le nettoyage de la poussière domestique par un nettoyage fréquent, l'évitement des jouets et autres objets. L'utilisation d'appareils de purification de l'air peut être utile. La prévention de la croissance du pollen et des moisissures extérieures est nécessaire.[2] Les antihistaminiques sont les médicaments les plus régulièrement utilisés dans la rhinite allergique et doivent être administrés avec précaution pour éviter les effets secondaires, bien que de nouveaux antihistaminiques non sédatifs soient disponibles pour limiter les effets secondaires les plus courants. Les décongestionnants nasaux administrés par voie orale peuvent être utiles en association avec des antihistaminiques. Pour traiter les yeux antihistaminiques de la conjonctivite allergique, les gouttes sont essentielles. Le traitement au cromolyne par pulvérisation nasale quatre fois par jour est bénéfique et sans toxicité immédiate ou à long terme. Les corticostéroïdes systémiques sont remarquablement efficaces pour réduire les symptômes de la rhinite allergique, mais comme il s'agit d'une affection chronique et bénigne, ils doivent être utilisés avec beaucoup de prudence. Une désensibilisation (thérapie par injection d'allergènes) doit être administrée aux patients dont les symptômes ne sont pas contrôlés malgré les mesures thérapeutiques appropriées préalables.[2]

Asthme allergique

C'est une manifestation de l'atopie localisée dans les bronches. Il y a une libération de médiateurs critiques, notamment l'histamine, les leucotriènes et les cytokines, notamment l'IL-4, l'IL-5, l'IL-13, le TNF et le facteur chimiotactique des éosinophiles. Le but de l'asthme symptomatique est de contrôler la muqueuse bronchique hyperirritable à l'aide de mesures environnementales, de médicaments et d'autres thérapies.[2]

Le traitement médicamenteux de l'asthme bronchique comprend le contrôle environnemental tel qu'il est évoqué dans la rhinite atopique. Le traitement médicamenteux comprend l'utilisation de médicaments bronchodilatateurs bêta-adrénergiques sympathomimétiques, qui sont utiles et utilisés dans les crises aiguës ou pour la gestion à long terme. L'épinéphrine peut être administrée avec succès à une dose de 0,2 à 0,5 ml par voie sous-cutanée. L'albutérol, le métaprotérénol, le pirbutérol et l'isoétharine sont des bronchodilatateurs bêta-adrénergiques sélectifs dosés par inhalation dans l'aérosol. La théophylline est un bronchodilatateur puissant lorsqu'elle est utilisée en association avec des médicaments sympathomimétiques. La théophylline intraveineuse peut être utilisée à une dose de 250 à 500 mg et administrée rapidement lors d'une crise d'asthme aiguë. Les glucocorticoïdes sont remarquablement efficaces dans le traitement de l'asthme allergique. Bien que leur efficacité ne doive être utilisée dans l'asthme que lorsque les autres options thérapeutiques ont échoué. Une dose de 30 à 60 mg de prednisone par jour est généralement suffisante.[16][2]

Le cromolyn sodique (20 mg) peut être administré dans un aérosol-doseur et pour un traitement prophylactique à long terme. Il ne renverse jamais une attaque aiguë. Les antibiotiques sont une option dans l'asthme allergique en cas de bronchite bactérienne secondaire ou de bronchopneumonie. L'hydratation et les expectorants sont efficaces pour les expectorations épaisses. L'efficacité de la désensibilisation dans l'asthme allergique fonctionne aussi bien que dans la rhinite allergique. Un exemple en est le traitement par injection dans le rhume des foins pollinique. Les antileucotriènes tels que le montélukast et le zafirlukast peuvent être administrés dans l'asthme allergique et la rhinite atopique.[2]

La dermatite atopique

La dermatite atopique se présente comme une maladie cutanée chronique nécessitant des soins de la peau appropriés, un contrôle de l'environnement, des médicaments et l'évitement de l'allergène. La mesure la plus préventive consiste à utiliser des lubrifiants topiques non irritants pour les démangeaisons cutanées. Les stéroïdes topiques sont efficaces lorsque l'atteinte cutanée est moins sévère, mais dans l'eczéma systémique, les corticostéroïdes systémiques sont nécessaires, en commençant souvent par un dosage élevé puis en diminuant jusqu'à l'obtention d'un effet thérapeutique. Les antihistaminiques oraux aident à contrôler les démangeaisons. Les patients ne doivent pas se baigner fréquemment, ni utiliser de tissus irritants et de détergents agressifs. En cas d'infection, un antibiotique approprié est nécessaire.[17][2]

Allergie alimentaire

Le traitement d'une allergie alimentaire consiste en une élimination stricte de l'allergène incriminé. Avoir un plan de soins d'urgence et un plan d'action écrit contre l'anaphylaxie est de la plus haute importance. Une forme d'épinéphrine auto-injectable et un bracelet d'alerte médicale sont essentiels pour signaler aux professionnels de la santé ce qui se passe. Les allergènes alimentaires les plus courants chez les enfants sont le lait de vache, le soja, le blé, l'œuf et l'arachide qui représentent 91 % des réactions. Chez les adultes, les allergènes les plus courants sont le poisson, les crustacés, les arachides, les noix, les œufs, les fruits et les légumes.[18][2]

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Complications

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Les complications de cette classe de maladie sont :

Complications de la rhinite allergique - les cas non traités peuvent entraîner : [2]


  • Sinusite
  • Otite moyenne
  • Polypes nasaux
  • Apnée[2]

Complications de l'asthme bronchique allergique :[2]


  • Pneumothorax
  • Emphysème sous-cutané[2]

Complications de la dermatite atopique :[2]


  • Infections secondaires causées par Staphylococcus
  • Eczéma herpétique
  • Dermatite de contact secondaire (due aux antibiotiques)
  • Dermatite des mains (par contact excessif avec l'eau)
  • Les complications ophtalmiques incluent la kératoconjonctivite atopique, le kératocône et la cataracte atopique[2]

Anaphylaxie[19][20][21]:[2]


  • Cela peut entraîner une insuffisance respiratoire aiguë potentiellement mortelle
  • Il s'agit d'une urgence médicale et d'une médiation IgE avec une libération massive et rapide d'histamines et de leucotriènes par les mastocytes
  • Dans les cas graves, un œdème laryngé aigu, un bronchospasme, une hypotension, une cyanose et un état de choc sont présents.
  • Il existe une liste de médicaments et d'additifs qui provoquent des réactions anaphylactoïdes, y compris les anti-inflammatoires non stéroïdiens, notamment l'aspirine, l'aminopyrine, le fénoprofène, l'acide flufénamique, l'ibuprofène, l'indométhacine et le naproxène ; les narcotiques opiacés, y compris la morphine, la codéine et la mépéridine ; mannitol, produit de contraste radiographique iodé, dextran, curare et d-tubocurarine
  • Les réactions anaphylactoïdes doivent être traitées de la même manière que l'anaphylaxie[2]

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

Les personnes atopiques ont une tendance à vie à développer des réactions allergiques car elles sont incurables. Néanmoins, les manifestations de l'atopie changent souvent avec le temps. La dermatite atopique a un meilleur pronostic et peut être traitée avec un certain succès par immunothérapie. L'asthme allergique a un pronostic qui varie en fonction de la persistance de l'allergène environnemental responsable, des taux d'IgE dans le sang ou les tissus et de la constitution génétique.[2]

L'anaphylaxie systémique est la survenue d'une réaction médiée par l'immunoglobuline E simultanément dans plusieurs tissus. L'allergène responsable est un venin d'insecte, un aliment ou un médicament. La réaction est potentiellement mortelle et peut être provoquée par une infime quantité d'allergène. Le pronostic de l'anaphylaxie est très sombre et nécessite une prise en charge médicale immédiate.[2]

Prévention

La section facultative Prévention ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

L'éducation des patients est cruciale et chez les enfants implique d'éduquer les parents en particulier pour identifier et éviter les déclencheurs en premier lieu.[2]

Les patients doivent également recevoir des conseils sur la façon de gérer les réactions au départ et quand demander l'aide d'un spécialiste.[2]

Références

__NOVEDELETE__
  1. 1,0 1,1 et 1,2 (en) Tao Zheng, Jinho Yu, Min Hee Oh et Zhou Zhu, « The Atopic March: Progression from Atopic Dermatitis to Allergic Rhinitis and Asthma », Allergy, Asthma & Immunology Research, vol. 3, no 2,‎ , p. 67–73 (ISSN 2092-7355, PMID 21461244, Central PMCID PMC3062798, DOI 10.4168/aair.2011.3.2.67, lire en ligne)
  2. 2,00 2,01 2,02 2,03 2,04 2,05 2,06 2,07 2,08 2,09 2,10 2,11 2,12 2,13 2,14 2,15 2,16 2,17 2,18 2,19 2,20 2,21 2,22 2,23 2,24 2,25 2,26 2,27 2,28 2,29 2,30 2,31 2,32 2,33 2,34 et 2,35 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/31194344
  3. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30745633
  4. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30368004
  5. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29900607
  6. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25653042
  7. 7,0 et 7,1 (en) Natalie M. Diaz-Cabrera, Mario A. Sánchez-Borges et Dennis K. Ledford, « Atopy: A Collection of Comorbid Conditions », The Journal of Allergy and Clinical Immunology: In Practice, vol. 9, no 11,‎ , p. 3862–3866 (DOI 10.1016/j.jaip.2021.09.002, lire en ligne)
  8. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30186379
  9. (en) Kathleen C. Barnes, Linda R. Freidhoff, Renate Nickel et Yen-Feng Chiu, « Dense mapping of chromosome 12q13.12-q23.3 and linkage to asthma and atopy », Journal of Allergy and Clinical Immunology, vol. 104, no 2,‎ , p. 485–491 (DOI 10.1016/S0091-6749(99)70398-2, lire en ligne)
  10. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/20001557
  11. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29063427
  12. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30705676
  13. (en) Menachem Rottem, Martine Szyper-Kravitz et Yehuda Shoenfeld, « Atopy and Asthma in Migrants », International Archives of Allergy and Immunology, vol. 136, no 2,‎ , p. 198–204 (ISSN 1018-2438 et 1423-0097, DOI 10.1159/000083894, lire en ligne)
  14. L. Goronfolah, « Aeroallergens, atopy and allergic rhinitis in the Middle East », European Annals of Allergy and Clinical Immunology, vol. 48, no 1,‎ , p. 5–21 (ISSN 1764-1489, PMID 26808447, lire en ligne)
  15. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30020687
  16. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30772478
  17. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30768375
  18. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30763002
  19. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30734362
  20. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30242426
  21. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30728973
Les sections suivantes sont remplies automatiquement et se peupleront d'éléments à mesure que des pages sont crées sur la plateforme. Pour participer à l'effort, allez sur la page Gestion:Contribuer. Pour comprendre comment fonctionne cette section, voir Aide:Fonctions sémantiques.

Fait partie de la présentation clinique de ...

Aucune maladie ne correspond à la requête.

Est une complication de ...

Aucune maladie ne correspond à la requête.