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Ces trajectoires de service devraient favoriser l'accès pour toutes les personnes ayant un diangostic de TSA, notamment, les personnes ayant des codiagnostics, les femmes, les personnes avec des difficultés d'apprentissages, les personnes âgées, les groupes minoritaires racisés, les personnes trans, les personnes sans domicile fixe, les immigrants, les personne ayant un casier judiciaires et les parents ayant un diagnostic de TSA<ref name=":15" />.





Version du 27 avril 2023 à 16:29

Trouble du spectre de l'autisme
Maladie
Caractéristiques
Signes Agitation, Altération de l'état de conscience , Anomalies congénitales, traits dysmorphiques (approche clinique), Désinhibition, Catatonie, Écholalie , Mutisme, Attitude, ... [+]
Symptômes
Détresse psychologique, Sélectivité alimentaire, Retard de langage , Phonophobie, Osmophobie, Hyperréactivité, Anomalies du développement fœtal, Bébés difficiles, Bébés anormalement faciles, Langage précoce, ... [+]
Diagnostic différentiel
Trouble obsessionnel-compulsif, Troubles neurodéveloppementaux, Troubles anxieux, Déficience intellectuelle, Retard global de développement, Trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité, Syndrome de Rett, Trouble de stress post-traumatique, Troubles de communication, Troubles de langage, ... [+]

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L'autisme est une condition neurologique et développementale caractérisée par une atypie dans les interactions avec les autres, dans la communication et dans le comportement.[1]

La section obligatoire Définition ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

Épidémiologie

Prévalence

Selon l'Organisation Mondiale de la Santé, le trouble du spectre de l'autisme serait présent chez 1 personne sur 160. [2]

Selon l'âge, le sexe, les syndrômes génétiques, le fonctionnement intellectuel

Au Canada, la prévalence du TSA est de 1 sur 50 chez les jeunes âgés entre 1 et 17 ans[3], de 1 sur 66 chez les jeunes âgés entre 5 et 17 ans[4] et est estimée à 1 sur 94 en incluant les adultes et les jeunes[5]. Chez les garçons, la prévalence s'élève à 1 sur 42 et chez les filles à 1 sur 165[6].

Disparités locales

Au Québec, la plus grande prévalence de l'autisme est dans la région de Montréal[7].

Évolution de la prévalence

Plusieurs études estiment que la prévalence de l'autisme augmente au fil du temps[8][7]. Cette variation pourrait être expliquée par les critères diagnostiques employés, l'âge des enfants choisis dans le panel, et la situation géographique[9].

Santé des personnes autistes

État de santé

Selon une étude faite au Québec, les personnes autistes ont deux fois plus de contacts médicaux que la population générale. Toutefois, cette tendance diminuerait avec l'âge adulte. Selon la même étude, ceci pourrait être expliqué par le bris de continuité des services médicaux offerts à l'âge adulte auprès des personnes ayant un diagnostic de TSA. Les auteurs émettent également une hypothèse alternative, à savoir une amélioration des symptômes principaux de l'autisme suffisamment élevée pour ne plus nécessité l'aide de spécialistes[7].

Mortalité, santé physique et psychologique
Épilepsie

Selon une méta-analyse de 2018, la cooccurrence de l'épilepsie et de l'autisme est plus élevée que dans la population générale. De plus, chez les femmes ayant un diagnostic de TSA, la prévalence d'épilepsie est plus élevée que chez les hommes ayant un diagnostic de TSA[10].

Automutilation

Le risque d'automutilation chez les personnes ayant un diagnostic de TSA est sensiblement plus élevée que dans la population générale, spécifiquement chez les adultes[11].

Dépression

Chez les adultes, le taux de dépression chez les personnes ayant un diagnostic de TSA se situe autour de 50%[12]. Selon une méta-analyse, la prévalence au long de la vie de la dépression chez les personnes autistes est estimé à 37% [13].

Trouble Obsessif-Compulsif

La cooccurrence des TOC est plus élevée dans la population de personnes ayant un diagnostic de TSA que dans la population générale. Elle pourrait être expliquée par des mécanismes de causalité similaires [12].

Situation sociale des personnes autistes et des familles

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

Étiologies

La cause première de l'autisme est encore inconnue. Les études suggèrent que l'interaction entre des gènes et des aspects de l'environnement peut affecter le développement et mener à l'autisme[14][8].

Facteurs de risque

Génétiques

  • Être parent avec une personne ayant un diagnostic de TSA
  • Avoir des parents plus âgés
  • Une condition génétique spécifique (Le Down Syndrome ou le Syndrôme du X fragile)[14]

Environnementaux

Prénatal, périnatal
  • Un petit poids à la naissance[14]

Controverses [outils pour communiquer efficacement sur ces sujets]

Les vaccins
Le rôle des parents
Pesticides
Alimentation [Gluten, lactose...]
La section facultative Étiologies ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

Les étiologies sont :

Physiopathologie

Bien que l'autisme est une condition hétérogène, il y a des mécanismes physiopathologiques communs entre les personnes ayant un diagnostic de TSA. Un des mécanismes les plus consistant à travers la littérature concerne le volume du cerveau[15]. La croissance du cerveau à la petite enfance serait anormalement rapide et sa vitesse diminuerait progressivement. À l'adolescence, le volume du cerveau serait similaire à celui des sujets contrôle[15][16].

Neurobiologique

In summary, the findings regarding neuronal numbers, densities and volumes are not consistent and it remains unclear whether such differences as there may be point to general or regional disruptions of brain development in ASD, or whether this reflects the varying presentations of the disorder[16].

Pruning, migration, formation synaptique

In summary, there is little evidence to support the hypothesis of dysregulated layer formation in ASD[16].

In summary, thin axons with abberant myelination in ASD are consistent across three studies, albeit with a total number of only 38 cases.

In summary, most studies consistently implicate abberant synaptic, metabolic, proliferation, apoptosis and immune pathways in the ASD brain. Table 2 summarises the representative transcripts/proteins dysregulated. Very few studies have investigated specific aspects of gene expression and regulation. One study reported a bias for RNA-hypoediting in pathways involved in synaptic development, two showed no evidence for sex-dependent expression and another two highlighted the presence of ASE abnormalities in ASD. There is insufficient evidence to confidently conclude whether these mechanisms contribute to ASD pathology. However, their convergence on particular pathways, such as synaptic development or metabolism, provides hypotheses for further investigation[16].

Connectivité

Cognition

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Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

Présentation clinique

Caractéristiques générales

Le DSM-5 définit deux critères pour émettre le diagnostic soit le critère A: socialisation, interaction et communication et le critères B: fonctionnement sensoriel et intérêts. Le critère A exige l'ensemble des éléments (3/3) et le critère B exige 2 éléments sur 4[17].

Socialisation, interaction et communication : “Autisme”

Le critère A se définit comme un déficit persistant dans la communication et les interactions sociales[17]. Les 4 éléments qui le composent sont (APA, 2013):

  • Déficit dans la réciprocité sociale-émotionnelle
  • Déficit dans la communication non-verbale
  • Déficit dans le développement, le maintien et la compréhension des relations sociales

Fonctionnement sensoriel, intérêts

Le critère B se définit comme des schémas répétitifs et restreint de comportements d'intérêts ou d'activités[17]. Les 4 éléments qui le composent sont[17]:

  • Mouvements moteurs stéréotypés ou répétitifs
  • Résistance aux changements, adhérence inflexible aux routine ou des comportements répétitifs verbaux ou non-verbaux
  • Intérêts hautement restreints et circonscrit dans le temps et qui sont anormaux en intensité ou en orientation
  • Hypo- ou hyper réactivités sensorielles ou intérêt inhabituel pour des aspects sensoriels de l'environnement.

Spécifications

Les symptômes doivent être présent précocement dans le développement, même si ceux-ci peuvent être visible seulement lorsque les limites de capacités sont atteintes ou peuvent être cachés par des stratégies plus tard dans la vie (critère C)[17].

Les symptômes doivent occasionner une altération cliniquement significative du fonctionnement dans les domaines sociaux, scolaires ou professionnels ou dans d'autres domaines importants. (critère D)[17].

Les symptômes ne doivent pas être mieux expliqués par la déficience intellectuelle ou un retard de développement global. Comme la déficience intellectuelle et l'autisme sont fréquemment associés, pour émettre les deux diagnostics, la communication sociale doit être inférieurs au niveau attendu pour le développement globale de la personne (critère E)[17].

En plus, le diagnostic de TSA doit spécifier la présence ou non d'un diagnostic de déficience intellectuelle ou d'une atteinte ou niveau du langage, les comorbidités neurodéveloppementales, mentale, de comportements, de maladies physiques, de maladies génétiques ou ainsi que la catatonie ou l'existence d'une facteur environnemental (critère E) [17].

Niveau de soutien requis

En plus des spécifications le diagnostic de TSA demande l'évaluation du niveau de sévérité. Celui-ci doit être spécifié pour les deux éléments soit la socialisation, l'interaction et la communication (critère A) et le fonctionnement sensoriel et les intérêts (critère B). Il existe trois niveaux différents de gradation soit le 1, 2 et 3. Le niveau définit les besoins de la personne, par rapport au TSA, et non, un niveau de sévérité de l'autisme[17].

Le niveau 1 se définit comme un besoin de support. Pour le critère A, cela signifie que sans les outils ou adaptations, la communication et les relations sociales provoquent des difficultés perceptibles, autant dans les interactions qu'au niveau de la communication. Les réponses sociales sont infructueuses ou atypiques et présence de difficultés à initier des relations sociales. Pour le critère B, des difficultés à changer d’activités, des interférences observables dans une ou plusieurs sphères de fonctionnement à cause de l'inflexibilité et des difficultés d'organisation[17].

Le niveau 2 se définit comme un besoin substantiel de support. Pour le critère A, cela signifie que les difficultés communicationnelles ou relationnelles sont identifiables, malgré la présence d'outil ou d'adaptation. Les réponses sociales sont anormales ou réduites et présence de limite à initier des relations sociales. Pour le critère B, présence de comportements inflexibles, difficulté à gérer les changements, les inflexibilités ou les comportements répétitifs sont assez fréquent pour être perçu par un observateur occasionnel et ceux-ci interfèrent avec le fonctionnement dans plusieurs contextes et une détresse ou difficulté à changer le focus ou l'action[17].

Le niveau 3 se définit comme un besoin très substantiel de support. Pour le critère A, cela signifie que les difficultés communicationnelles ou relationnelles sont très impactantes au niveau du fonctionnement. Les réponses sociales minimales et présence d'importantes limites à initier des relations sociales. Pour le critère B, importantes difficultés avec le changement, inflexibilité des comportements, des interférences marquées dans toutes les sphères de fonctionnement en lien avec l’inflexibilité ou les intérêts et une importante détresse ou difficulté à changer le focus ou l'action[17].

Niveau de langage

Le niveau de langage chez l'enfant est très variable. Une faible proportion d'enfant ont un développement typique alors que de 10-50% des parents dont les enfants ont eu un diagnostic tardif, rapportent un retard dans le développement du langage[18].

Niveau intellectuel

Environ 1 enfant sur 3 a un diagnostic de déficience intellectuelle en comorbidité à l'autisme[19][20]. Cependant, cette proportion est influencée par différents facteurs dont le sexe[20] ou l'origine ethnique[19] ou le niveau socio-économique[19]. Les femmes, les personnes noires ou ayant un faible niveau économique sont plus à risque d'avoir un diagnostic de déficience intellectuelle relié à l'autisme[19][20].

Les tests utilisés peuvent aussi biaisés négativement le score d'intelligence, selon l'outil utilisé et le groupe de personne étudiée. Les tests utilisant des consignes verbales, comme le Wechsler, cause un biais négatif comparativement à des tests exigeant peu de réponse ou de communication verbale tel que les tâches visuelles ou les matrice de Raven[21][22].

Autres considérations

“haut niveau”/”bas niveau”

Les termes "haut/bas" niveau font références aux niveau du diagnostic d'autisme soit au niveau de besoin. Par contre, contrairement au niveau de besoin, ceux-ci ne reflète pas les besoins, mais le niveau de capacité de la personne. Autrement dit, une personne qualifiée de "haut niveau" a un grand niveau d'autonomie et un faible besoin de soutien soit niveau 1. À l'inverse, une personne de "bas niveau" a un faible niveau d’autonomie et un grand besoin de soutien soit un autiste de niveau 3.

Historiquement, l'expression Haut/bas" niveau fut aussi utilisée pour désigner la présence ou l'absence de déficience intellectuelle. Aujourd'hui, cette utilisation est désuet et la littérature utilise les expression avec ou sans déficience intellectuelle.

Au féminin

Il existe une disparité au niveau de la prévalence de l'autisme chez la femme, comparativement à l'homme[23]. Cette disparité augmente en fonction du niveau intellectuel des personnes[20]. Le facteur étiologique du sexe est l'un des facteurs les plus documentés duquel découle le notion de "facteur de protection chez la femme." En effet, les femmes exigeraient une plus grande change étiologique que les homme, pour avoir le même niveau d'impact[20]. De cette disparité de prévalence et de cette notion de facteur de protection chez la femme a émergé la notion d'autisme au féminin soit l'expression d'un biais de diagnostic chez la femme.

Or, selon 20 cliniciens experts[24] (minimum de 250 évaluations, les 5 dernières années en pratique clinique et, au moins, 100 évaluations pour des femme) il existe des défis cliniques, en lien avec l'évaluation de la femme et du TSA. Or, ces défis dépassent les enjeux de l'évaluation clinique et relève aussi d'enjeux sociaux tel que la stigmatisation ou le sentiment d'appartenance. Cependant, il existe effectivement des différences cliniques entre la femme et l'homme, comme cela existe pour plusieurs autres diagnostics[25], et que les critères de diagnostics et les outils d'évaluations étaient inadéquats pour cerner ces différences de sexe. Ainsi, l'usage unique des critères du diagnostic et des outils d'évaluation pouvait créer un biais. L'expertise du clinicien a donc un rôle prépondérant dans l'évaluation.

Autisme franc, spectre

L'autisme franc se définit comme la reconnaissance de l'autisme, chez une personne, avant même de l'avoir évalué[26]. Cela se produit pour environ 40% des personnes qui sont évaluées, et qui finalement, auront le diagnostic de TSA[26]. Cette reconnaissance se fait indépendamment du niveau de fonctionnement ou de langage[26]. Cette notion de reconnaissance rapide serait lier aux nombre d’évaluation et à l'expertise et non à la profession ou spécialisation[26].

Ce qui est particulier avec l'autisme "franc" c'est que celui-ci est reconnu à partir de critères légèrement différents du DSM-5. Dans les deux cas, les notions relationnelles et communicationnelles sont présentent. Dans le DSM-5, celles-ci sont très importantes alors que pour la détection de l'autisme "franc", ce sont les mouvements répétitifs qui sont primordiales[26]. En plus, l'autisme "franc" implique quelques critères qui ne se retrouvent pas dans le DSM-5, tel que le son de la voix ou une démarche ou une posture atypique[26].

Finalement, l'autisme "franc" se diagnostiquerait dans un processus de reconnaissance plutôt qu'une analyse différentielle[26].

Autisme syndromique

L'autisme syndromique est un sous-groupe de personne ayant un diagnostic de TSA, qui représente environ 25% des personnes ayant un diagnostic de TSA[27].

L'autisme syndromique se définit comme un trouble avec un schéma d'anomalie somatique connu et un phénotype neurocomportementale[27]. Le diagnostic d'autisme est associé à un diagnostic génétique connu[27]:

  • Chromosome: syndrome de Down, isodicentrique 15 q
  • 1 seul gène: NF1, TSC
  • Syndrome causé par des copies de variants: microdélétion, 22q11.2
  • tératogène: embryopathie à l'acide valproique
  • risque génétique relié directement au TSA: ADNP, ARID1B, ANK2, SCN2A
  • Copie de variant associés directement au TSA: 16p11.2 délation/duplication, délation exonique NRXN1
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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
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Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

Facteurs de risque et déterminants de la santé des personnes autistes (comorbidités)

Santé physique

Maladies métaboliques, surpoids et obésité
4.3.1.2.

Les problématiques gastro-intestinales sont surreprésentées chez les personnes ayant un diagnostic d'autisme comparé à la population générale. Elles ont aussi fréquemment de la diarrhée, de la constipation, des reflux gastriques et un taux plus élevé de maladie inflammatoire de l'intestin[28].

Une étude des États-Unis (National Survey of Children Health, n=33 865) démontre que les adolescents ayant un diagnostic de TSA font moins d'activités physiques et sont plus à risque d'obésité. Ce risque est lié positivement à l'intensité des symptômes autistiques[29].

Déterminants sociaux

Vulnérabilité psychosociale (intersectionalité Exclusion, absence de soutien social, événements de vie adverses (EVA)

L'intersectionnalité en autisme, notamment avec la communauté LGBTQ+ (70% ne s'identifient pas comme hétérosexuelle[30], 3-6 fois plus de probabilité de ne pas être cisgenre[31] et 8% de personne trans[32]) ou une situation de pauvreté (au Québec, 80% des personnes ayant un diagnostic de TSA vivrait sous le seuil de pauvreté[33]) amplifient les vulnérabilités des personnes ayant un diagnostic de TSA.

Au niveau social, selon une étude, pour les adultes ayant un diagnostic de TSA, 11.9% des adultes autistes ont du support en mentorat alors que 62.3% aimeraient avoir ce service. Pour le support au travail, le pourcentage est de 6.9%, pour la maison 10.7%, les finances 6.9% et l'éducation 11.3% alors que les besoins sont respectivement de 45.1%, 28.4%, 37% et 35.8%[34].

Au Québec, une étude confirment des résultats similaires soit qu'entre 35% et 50% des adultes ayant un diagnostic de TSA n'avaient personne sur qui compter pour un support matériel, une participation sociale, un conseil ou une rétroaction[35].

Pour les EVA, ceux-ci se définissent comme des événements traumatisants, qui inclut les mauvais traitements et les facteurs de stress familiaux, et qui en l'absence de facteur de protection peuvent perturber le fonctionnement ou le développement cérébrale avec des conséquences sur la santé et le fonctionnement[36].

Le lien entre les EVA et la santé mentale est bien établi [37][38][39] et l'association entre les EVA et les personnes ayant un diagnostic de TSA est bidirectionnelle soit que l'augmentation du nombre de psychopathologie augmente aussi le risque d'EVA et vice-versa[40]. Les effets des EVA sur la santé, pour les personnes ayant un diagnostic de TSA, sont les mêmes que pour la population générale soit un effet négatif[41]. La sévérité des symptômes autistiques sont relié au risque d'EVA: augmentation du risque avec l'augmentation des symptômes[36].

Les enfants ayant un diagnostic de TSA vivent plus et plus fréquemment des EVA [36][40]. Ils sont aussi plus à risque de vivre n’importe forme d'agression, et particulièrement, le vol, l'agression physique, l'intimidation ou les mauvais traitements[42] ainsi qu'avoir une famille à faible revenu, la mort d'un parent, un parent en prison, un parent dépendant à une substance, un parent avec un diagnostic de santé mentale et d'être témoin de violence conjugale, de crime dans le voisinage et d'intimidation ou de harcèlement à l'égard des pairs[43].

Autodétermination PASSS (Littératie, accès aux soins et services)
4.3.2.3. ,

Spécifiquement pour l'accès au soin est limité pour les personnes autistes. En effet, pour les adultes, une étude démontrent que ceux-ci ont des besoins en santé mentale de 61,1% et de 28.8% en santé physique. Par contre, la proportion recevant des soin est de 22% et 8.8% respectivement[44]. Au niveau de l'enfant (1-24 ans), l'Institut National de Santé Publique du Québec (INSPQ) affirme que les consultations en santé mentale sont 10 fois plus élevé que la population générale et se ratio est de 1.5 pour les consultation en santé physique[45]. Une étude, avec des adulte québécois, a aussi démontré que la fréquence des soins est un enjeu[46].

Deux études ont analysées les barrières aux soins. Pour les adultes ayant un diagnostic d'autisme, les croyances que personne ne peut comprendre, la peur d'être accueilli négativement et de ne pas être respecté, le découragement des expériences passées, l'appréhension de ne pas être compris par les professionnels de santé ou de ne pas savoir communiquer son besoin et les contraintes économiques sont les facteurs évoqués[46]. Au niveau des professionnels de santé, la difficulté à développer une relation avec le patient, la perception de manque de connaissance et d'outil et le manque de soutien pour les cas complexes sont les enjeux soulevés[44].

La section facultative Facteurs de risque ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Les facteurs de risque sont :

Anamnèse

Contexte de l’entrevue

L'entrevue d'évaluation du diagnostic de TSA est très variable selon le besoin clinique, l’âge et le niveau développemental. Il est fréquent que al demande initiale ne soit pas pour une évaluation du diagnostic de TSA, mais pour une problématique connexe. Au même titre, selon le besoin initial évoqué, l'évaluation peut être faite avec des usages de tout âges et ayant des niveaux de développement très différents.

L'historique médicale et de l’apparition des premières manifestations est un élément clé pour le diagnostic de TSA. Ainsi, ce volet de l'évaluation est primordial, même si celui-ci n'est pas toujours disponible. Celle-ci est souvent plus évocateur des difficultés et manifestations cliniques étant donné le développement des acquis. Cela étant dit, pour les plus jeunes enfants ou quand l'historique médicale est indisponible, l'analyse actuelle des difficultés et des manifestations restent une source d'information adéquate.

Un des enjeux dans l'évaluation du diagnostic de TSA est la distinction entre le fonctionnement de base de l'usagé et des manifestations du TSA. En effet, délimité la frontière entre des difficultés sociales et communicationnelles reliés à des limites de fonctionnement personnel par rapport aux difficultés engendrées par le TSA ou une autre situation de santé peut-être un défi complexe. Au même titre, que de distinguer des rituels ou rigidité du TSA comparativement au routine et rituel de la population générale ou de distinguer les intérêts restreints des passions n'est pas toujours une tâche simple.

Caractéristiques autistiques

Perspectives sur les caractéristiques autistiques (médical vs neurodiversité) Trouble ou variante ?

Bien que le diagnostic repose sur les critères du DSM-5, la compréhension de ceux-ci et des manifestations du TSA peuvent se faire dans une perspective du modèle de neurodiversité. Cette perspective évoque les différences neurologiques dans une perspective sociologique plutôt que médical. Celui-ci implique de comprendre les manifestations du TSA comme des variantes de fonctionnement plutôt qu'un déficit ou un trouble.

En parallèle de la perspective de neurodiversité, il existe tout un enjeu terminologique pour le TSA. En effet, les personnes ayant un diagnostic de TSA rejettent majoritairement le langage à la première personne (verbe avoir- a) et utilise le langage identitaire (verbe être- est). Au même titre que plusieurs autres termes médicaux sont rejetés par la communauté des personnes ayant un diagnostic de TSA. Ainsi, plusieurs alternatives sont évoqués dans la littératies sur le sujet[47][48][49][50].

Socialisation
Interaction, communication, socialisation

Le DSM-5 implique des problématiques et des limites aux personnes ayant un diagnostic de TSA, limite en lien avec la neurologie et dont celle-ci sont les seules responsables. Le DSM-5 cite les exemples suivant: une approche sociale anormale, l'absence de conversation en réciprocité, l'incapacité à initier des interactions sociales, des conversations limités aux partages émotionnels ou des intérêts, une mauvaises intégrations des comportements non-verbaux dont des anomalies dans le contact visuel ou des comportements corporelles inadéquats et une incompréhension de la communication non-verbale d'autrui, une difficulté à partager un monde imaginaire, à se faire des amis et à ajuster son comportement selon les situations[17].

À l'inverse, la perspective de la neurodiversité affirme que la différence neurologique engendre des procédés relationnels et communicationnels différents et cette différences de procédé est la cause des difficulté de relation et de communication des personnes autistes. Pour évoquer cet enjeu bidirectionnel de communication et de relation, Milton a énoncé la théorie de la double empathie: un dysfonctionnement dans la réciprocité sociale entre deux personnes à cause des distinctions entre celles-ci[51].

Ce dysfonctionnement dans la réciprocité sociale n'est donc pas limité à une seule personne et est autant vécu par des les personnes en relations, indistinctement de du diagnostic, même si les personnes sans diagnostic de TSA sont plus susceptible de vivre cet état de dysfonctionnement étant donné la rareté de celui-ci, comparativement aux personnes ayant un diagnostic de TSA, qui le vivent constamment[51].

Intérêts et comportements
Comportements répétitifs et stéréotypés

Le DSM-5 cite les exemples suivants: des stéréotypies moteurs simples, des phrases idiosyncrasiques, de l'écholalie ou des comportements atypiques avec les objets tel que l'alignement ou les retourner[17].

Dans une perspective de neurodiversité, ces différents comportements ne sont pas des limites ou des difficultés, mais l'expression d'un choix ou d'un fonctionnement. Ainsi, les stéréotypies peuvent être des moyens de communication émotionnelles (comme sauter de joie). les comportements atypiques avec les objets sont la représentation de l'analyse et de la découverte d'une environnement ou d'un objet, etc. Autrement dit, selon ce modèle, les manifestations ont une explication et ne sont pas seulement des troubles ou des déficits.

Intérêts

Le DSM-5 cite les exemples suivants: détresse importante par rapport à des changements mineurs, difficulté dans les transitions, pensée rigide, différents rituels ou rigidité notamment sur l'alimentation ou les chemins empruntés[17].

Le modèle de la neurodiversité explique ces comportements par des besoins relié à la neurologie différents des personnes ayant un diagnostic de TSA. Ainsi, ce qui semble être un changement mineurs pour un parent peut-être un changement majeur pour une personne ayant un diagnostic de TSA.

Ritualisation

Le DSM-5 cite les exemples suivants: forte attachement pour des objets inhabituels ou intérêts très limités et durables[17].

La perspective de la neurodiversité explique que l’intensité des intérêts ou de l'attachement à un objet relève d'un besoin de la personne et se besoin est légitime, même si il est incompris.

Fonctionnement sensoriel

Le DSM-5 cite les exemples suivants: réactions exagérés à des stimuli sensorielles tel que le sons, les odeurs, la lumière, réactions limités ou absentes par rapport à la chaleur ou à la douleur, fascination pour des objets en mouvements ou de la lumière[17].

La perspective de la neurodiversité décrit cela comme le résultat de l'interprétation sensorielle par le cerveau des personnes ayant un diagnostic de TSA. Une filtrage sensorielle différent, mais pas dysfonctionnel.

Autres caractéristiques développementales (forces et faiblesses) : langage, motricité, raisonnement, autorégulation, autonomie et fonctionneme nt adaptatif (…) [baser sur NICE]

Place des évaluations complémentaires (psycho, ergo, ortho, etc.)

L'évaluation des comportements problématiques devraient être inclus dans l'évaluation globale pour le TSA. Lors de la présence de comportements problématiques, une analyse fonctionnelle doit être faite pour l'identification des causes et des facteurs susceptibles de maintenir les comportements problématiques. En ce sens, les évaluations complémentaire peuvent être utile pour cette analyse, notamment pour les situations[52]:

  • troubles physiques
  • enjeux avec l'environnement social
  • enjeux avec l'environnement physiques, notamment l'hyper/hypo réactivité sensorielle
  • troubles de santé mentale coexistants
  • enjeux de communication
  • changement de routine
  • autre enjeux personnels

Santé mentale

Bien-être
Symptômes affectifs (anxiété, dépression)
Symptômes externalisés
Comportement alimentaire

Santé physique

Maladies chroniques – enjeux de surpoids et obésité

Caractéristiques du milieu (forces et vulnérabilités, EVA)

Questionnaire

Pour les personne sans handicap intellectuelle, les questionnaires suivants sont recommandés[52]:

  • Adult Asperger Assessment (AAA; incluant Autism-Spectrum Quotient [AQ] et Empathy Quotient [EQ])
  • Autism Diagnostic Interview – révisé(ADI-R)
  • Autism Diagnostic Observation Schedule – Generic (ADOS-G)
  • Asperger Syndrome Diagnostic Interview (ASDI)
  • Ritvo Autism Asperger Diagnostic Scale – Revised (RAADS-R)


Dans le cas de personne autiste avec un handicap intellectuel, les questionnaires suivants sont recommandés[52]:

  • Autism Diagnostic Interview – révisé(ADI-R)
  • Autism Diagnostic Observation Schedule – Generic (ADOS-G)
La section obligatoire Questionnaire ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

Les symptômes de cette maladie sont :

Examen clinique

Examen physique

Examen mental

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

L'examen clinique permet d'objectiver les signes suivants :

Examens paracliniques

Lors du diagnostic de TSA [distinguer chez l’adulte et enfant]

CGH, recherche de X-Fragile

Comme les délations ou les duplications génétique sont relativement communes pour le TSA, notamment syndormique, le CGH est un test a demandé pour les personnes avec un diagnostic de TSA. La recherche spécifique du X-Fragile est considérée puisque cela est la mutation génétique la plus commune associée au TSA.

Tests métaboliques

Imagerie

Selon les situations cliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Les examens paracliniques pertinents sont :

Approche clinique

Finalités des soins en autisme : approche médicale “soigner l’autisme” vs neurodiversité et inclusion

L'objectif des soins pour une personne ayant un TSA ne devrait pas être la guérison ou l'élimination du TSA. En effet, les mouvements militantismes des personnes ayant un diagnostic de TSA ainsi que celui de la neurodiversité démontrent que les personnes ayant une diagnostic de TSA ne veulent pas être guéries de cette état neurologique.

Par contre, le diagnostic de TSA inclut un critère de souffrance ou de difficulté et c'est à ce niveau que le médecin peut offrir du soutien et des services.

Approche en partenariat avec le patient et la famille. [rappel des principes]

Le partenariat dans les soins englobe plusieurs approches, telles que les soins centrés sur le patient, l’autonomisation du patient, et la prise de décision partagée. Toutefois, elle va au-delà de ces approches en reconnaissant : (1) les connaissances expérientielles acquises en vivant avec une maladie et en faisant l’expérience des services de soins de santé ; (2) les patients et leurs proches en tant que membres à part entière de l’équipe de soins, comme les professionnels de la santé ; et (3) les patients et leurs proches en tant que personnes capables de prendre les décisions les plus appropriées pour eux-mêmes[53].​

Nosologie

Historique (évolution du diagnostic selon le DSM) Diagnostics associés et différentiels Notion de traits, de dimensionalité, de seuil diagnostique

Historiquement, la découverte de l'autisme est attribué à Hans Asperger et Léo Kanner, dans les années 1940 et suivantes. De ces descriptions, adapté majoritairement par Lorna Wing, émergent les critères de diagnostic du DSM-IV.

Dans le DSM-IV, le TSA se retrouve dans l’appellation trouble envahissant du développement (TED), qui inclut 5 diagnostics distincts : le trouble autistique (qui représente la description de Kanner), le syndrome Asperger (qui représente la description de Asperger), le TED non spécifique, le syndrome de Rett et le trouble désintégratif de l'enfance. Ainsi, une personne avec une personne ne pouvait pas avoir un diagnostic général de TED, mais devait avoir un diagnostic spécifique en fonction de critères exclusifs à chacun, tel que le retard dans la communication verbale ou la présence de déficience intellectuelle[54]. Le diagnostic est donc spécifique et exclusif des autres diagnostics du TED.

Avec le DSM-5, le diagnostic de TSA devient catégoriel et n'est plus spécifique. Ainsi, les diagnostic de trouble autistique, de syndrome Asperger et de TED non spécifique se retrouve dans le diagnostic de TSA. Le syndrome de Rett devient un diagnostic en soi et le trouble désintégratif de l'enfance n'existe plus. Ainsi, le diagnostic devient dimensionnel afin de complémenter les spécificités au niveau de la communication verbale de la déficience intellectuelle ou des besoins de la personnes en ajoutant ces informations complémentaires au diagnostic et la notion de niveau. Cette notion engendre aussi la notion de seuil diagnostic. En effet, comme le diagnostic est devenu catégoriel plutôt que spécifique, selon des critères spécifiques, il faut donc définir une limite, en lien avec l'intensité des manifestations,soit les traits, pour émettre ou rejeter le diagnostic de TSA.

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

Diagnostic de TSA (ici devraient apparaître les critères exacts du DSM)

Le diagnostic positif est clinique. Il repose sur l’identification des critères cardinaux, mais aussi sur la compréhension d’un profil général par un clinicien entraîné.

Communiquer le diagnostic : développer le pouvoir d’agir des familles et l’autodétermination des personnes.

Le diagnostic positif est clinique. Il repose sur l’identification des critères cardinaux, mais aussi sur la compréhension d’un profil général par un clinicien entraîné. Ce diagnostic devrait permettre de facilité le développement du pourvoir d'agir des familles et des personnes ayant un diagnostic de TSA ainsi que l’autodétermination.

Ajouté valeur des questionnaires vs expérience du professionnel

Diagnostics associés chez les personnes autistes

Santé physique

Les principaux diagnostics associés au TSA sont les enjeux sensoriels, les douleurs chroniques et les migraines ou maux de tête.

Santé mentale

Les principaux diagnostics associés au TSA en santé mentale ou neurodéveloppement sont l'anxiété, les troubles de l'humeur, les troubles d'apprentissage, le TDAH, les troubles de personnalités, les troubles du sommeils et les trouble alimentaires.

Vulnérabilité

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

Troubles neurodéveloppementaux

Troubles de communication

Retard et trouble de langage expressif et/ou réceptif
Trouble de communication sociale

Retard global de développement, déficience intellectuelle

TDAH

Troubles du mouvement

Trouble du développement de la coordination
Trouble mouvements stéréotypés

Troubles mentaux

Troubles anxieux
Troubles de l’humeur
Trauma et troubles liés au stress
Troubles disruptifs, du contrôle des impulsions et des conduites
TOC
Psychoses et prodromes psychotiques
Troubles de personnalité

Autres

Syndrome de Rett
La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Le diagnostic différentiel de la maladie est :

Traitement

Principes généraux de soin [contenu cf NICE CG170 et NICE CG142]

Accès aux services

Selon l'Institut Nationale de Santé Publique du Québec (INSPQ), le taux de consultation pour les enfants ayant un diagnostic de TSA (1-24 ans) est de 10 fois supérieur à la population générale pour la santé mentale et de 1,5 fois supérieur pour la santé physique[55]. Selon une étude québécoise, pour les adultes, 92% disent avoir consulté des services de santé et 44% disent l'avoir fait pour des service psychosociaux, dans les 6 derniers mois[56].

L'accès au service de santé est un défi pour les personnes autistes. Selon une étude en Grande-Bretagne, pour les adultes autistes, 61,% déclarent avoir des besoins pour des services en santé mentale et 28.8% pour des services en santé physiques. Or, seulement 22% et 8,8% respectivement reçoivent ces services[57].

Dans les adultes ayant reçu des services, 22% se disent insatisfaits des services de santé physique et 15% des services psychosociaux[56].

Les principales barrières aux services de santé et psychosociaux, selon les adultes, sont[56]

santé (%) psychosociaux (%)
Coût et contraintes économique 38 41
Difficulté à trouver des services et l'information nécessaire 33 33
Complexité des procédures administratives 47 31
Déplacements trop longs ou trop contraignants 25 12
Surcharge sensorielle, hypersensibilité, anxiété ou stress 31 14
Peur d'être mal reçu 35 21
Peur de ne pas être respecté, cru ou pris au sérieux 40 23
Découragement dû à des expériences négatives antérieures 46 37
Crainte de ne pas être bien compris par les professionnels 52 34
Crainte de ne pas être capable de communiquer ses besoins 33 29

Organisation et offre des services

  • Les évaluations, la gestion et la coordination des soins devraient être assurés par des équipes de spécialistes multidisciplinaires comprenant des spécialistes de la santé, de la santé mentale, de l'éducation, des trouble d'apprentissage et des services sociaux[52].
  • Les équipes multidisciplinaires doivent s'assurer que chaque enfant ayant un diagnostic de TSA a un intervenant pivot pour gérer let coordonner les traitements, les interventions, le support et la transition vers les services pour adulte[52].
  • Les services devraient être priorisé pour les enfants dans les situations suivantes: ceux pris en charge par les services sociaux, les immigrants, ceux dont les compétences ont régressées, ceux qui présentent des comorbidité tel que la cécité ou la surdité, d'autres enjeux médicaux tel que l'épilepsie, les troubles du sommeil ou difficulté digestives, des enjeux moteurs incluant la paralysie cérébrale, un handicap intellectuel, des difficultés de communication sévère ou des problèmes de santé mentale[52].
  • Les équipes multidisciplinaires devraient avoir un rôle majeur dans la prestation et la coordination[52]:
    • Des soins et interventions spécialisés, y compris pour les personnes vivant dans des hébergements spécialisés
    • Conseiller, former et supporter les autres services de santé et sociaux, y compris, les professionnels
    • Conseiller et promouvoir les intervention pour les compétences adaptatives
    • Évaluer et gérer les comportements problématiques
    • Évaluer et gérer les conditions coexistantes
    • Réévaluer les besoins tout au long de la vie de l'usagé, particulièrement à l'adolescence et à la transition vers l'âge adulte
    • Favoriser l'accès aux loisirs agréables
    • Favoriser l'accès aux services d'éducations, d'hébergement ou d'emploi
    • Fournir du support pour les familles
    • Produire des protocoles pour le partage d'information, la communication et le travail collaboratif avec les services de santé, psychosociaux, l'école ou l'emploi
    • Produire des protocoles pour le partage de soin entre les services primaires et secondaires et maintenir le lien entre les deux.

Connaissance et compétences des professionnels de soins et services

Les principales barrières aux service de soin selon les professionnels sont la difficulté à développer un rapport avec l'usagé, la perception de manque de compétence, de connaissance et d'outil et le manque de support pour les cas plus complexes[57].

Ajustements à l’environnement social et physique et au processus de soins

Information et implication dans la prise de décision

[Notion de ‘traitement de l’autisme’ [modèle médical vs neurodiversité]]

Il existe plusieurs perspectives sur a notion de "traitement" de l'autisme. Dans ce continuum, le modèle médical, avec une vision de guérison, d'élimination des troubles et l'implication de la responsabilité à la personne avec le diagnostic de TSA est à un bout. À l'autre bout se retrouve la perspective de la neurodiversité qui reconnaît le TSA comme une notion sociale, tel que l’identité, l'orientation sexuelle ou l'ethnie, et qui prône une soutien pour les difficultés et les défis des personne avec un diagnostic de TSA et en reconnaissant le TSA comme une partie de l'identité de la personne sans que cela soit un trouble à guérir ou éliminer.

Familles et aidants [cf NICE CG142 -1.7]

Renforcement du pouvoir d’agir des parents et des personnes autistes

Littéracie
Psychoéducation
Accès aux ressources
Soutien social

Formation des professionnels (RSSS, scolaire, services de garde, communauté,)

Interventions spécifiques pour les caractéristiques centrales de l’autisme

Enfant

Interventions psychosociales
Reprendre NICE CG170 1.3.1 (inclure la notion d’interventions basées sur des forces)
Débat sur les interventions comportementales intensives

Finalités (mesures d’efficacité)

Preuves d’efficacité (court terme, long terme)

Effets secondaires (peu étudiés, rapportés)

Interventions pharmacologiques et régimes
reprendre NICE CG170 1.3.2

Ado, adultes

Interventions psychosociales
Interventions psychosociales focalisées sur les habiletés de vie
Interventions biomédicales

9.3.3.

Interventions pour les comportements problématiques

Enfants

Définir ce qui est considéré comme problématique (Perspective de qui ? Préjudice pour qui ?)

Lors de la description des comportements problématiques, celles-ci représente la perception d'une personne et l'impact pour celle-ci. Ainsi, la définition du comportement problématique est une description relativement subjective. Donc, il est possible qu'une situation soit considéré comme problématique pour le parent, mais pas l'enfant ayant un diagnostic de TSA ou vice-versa. Ainsi, pour décider du choix de l'intervention, ou si celle-ci est adéquate, les bénéfices et les inconvénients pour chacun doivent être considéré.

Anticiper et prévenir

Avant de débuter une intervention pour des comportements problématiques, il faut répondre à différents enjeux qui peuvent déclencher ou maintenir les comportements problématiques[52]:

  • Fournir les soins appropriés pour des enjeux de santé physique (ex: les problèmes gastro-intestinaux)
  • Traiter les enjeux de santé mentale
  • les interventions visant à modifier l'environnement physique ou social quand des problématiques, en lien avec cela, sont identifiées.
Évaluation et intervention initiale

Fournir une intervention psychosociale pour le comportement problématique si aucun des enjeux précédant (santé physique, santé mentale et environnement) n'a pas été identifiés[52].

Pour identifier l'intervention psychosociale adéquate pour le comportement problématique, il convient de faire une analyse fonctionnelle afin de faciliter le ciblage pour intervenir par rapport aux fonctions du comportement problématique. Celle-ci doit se faire[52]

  • sur un éventail d'environnement
  • fournir des informations
    • sur les facteurs qui semblent déclencher le comportement problématique et
    • sur les conséquences (renforçateurs) au comportement
  • Identifier
    • les tendances dans l’apparition du comportement
    • les facteurs susceptibles d'évoquer le comportements et
    • le besoin que la personne cherche à combler par le comportement

En complément de l'analyse fonctionnelle, le choix de l'intervention devrait considérer[52]:

  • La nature et la sévérité du comportement
  • les besoins physiques et les capacités de la personne
  • l'environnement physique et social
  • la capacité des professionnels de santé, des parents ou du tuteur
  • la préférence de la personne avec un diagnostic de TSA, ou si nécessaire, celle du parent ou du tuteur
  • l'historique médicale
Intervention psychosociale

Les interventions psychosociales devrait se baser sur une analyse fonctionnelle et inclure[52]:

  • Une identification claire et précise du comportement problématique
  • les impacts du comportement problématique sur la qualité de vie
  • évaluation et modification des facteurs environnementaux qui peuvent influer le comportement problématique
  • Une stratégie d'intervention clairement identifiée
  • Un programme de renforcement incluant la capacité à inclure une renforcement rapidement lors de la démonstration du comportement désiré
  • Un échéancier pour l'atteinte des objectifs
  • Une mesure systématique, avant et après les interventions pour vérifier l’atteinte des résultats
Intervention pharmacologique

Les interventions pharmacologiques seule devraient seulement être considérée quand l'intensité des comportements problématiques empêche l'utilisation d'intervention psychosociale ou d'autres formes d'interventions. Une approche combinée devrait être considéré quand les approches psychosociales ou autres ont peu d'effet.

Dans ce cas, la médication devrait seulement être prescrite par une spécialiste et la qualité de vie de la personne ayant un diagnostic de TSA devrait être suivi et mesurée attentivement. Il faut faire un suivi des effets de la médication après 3-4 semaines et arrêter celle-ci si aucun effet positif est constaté après 6 semaines[52].

Ado, adultes

Problèmes associés et ‘life skills [à revoir]

Interventions non recommandées

Chambre hyperbare

L'oxygénothérapie hyperbare n'est pas une intervention recommandée pour le TSA[58]. LA FDA a même produit un avertissement public en ce sens[59]. La Undersea & hyperbaric medical society ne recommande pas n'ont plus l'oxygénothérapie pour le TSA[60].

Diètes alimentaires (sans gluten, sans caséine)

Les diètes alimentaires ne sont pas recommandées comme intervention pour le TSA puisque celles-ci n'ont pas d'effet bénéfique[61][62]. Dans le cas que les parents ou les personnes ayant un diagnostics de TSA souhaitent quand même faire des diètes alimentaires, le professionnel doit rester ouvert et à l'écoute des de ceux-ci afin de les accompagner adéquatement dans ce choix pour éviter les carences alimentaires.

Pharmacothérapie pour les caractéristiques centrales

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

Les traitements suggérés sont les suivants :

Suivi

Organisation du système de soin (intervenant pivot, accès à un médecin (pédiatre, omni), soutien social, accès aux services (subventions, communautaire, etc..)

Les trajectoires de service devraient se basés sur quelques principes clés[52]:

  • adaptable, efficace et compréhensible pour la personne ayant un diagnostic de TSA et de ses parents ou proches-aidant
  • Accessible et accepté par toutes les personnes concernées
  • Une réponse aux besoins de la personne ayant le diagnostic de TSA, des parents ou proche-aidant et des professionnels de santé
  • Intégré pour éliminer les enjeux administratifs
  • Orienté sur les résultats incluant les mesures de qualité, l'expérience de la personne ayant un diangostic de TSA et les effets secondaires ou indésirables.

Un groupe stratégique en autisme devrait développer, gérer et évaluer les différentes trajectoires de service. Ce groupe devrait[52]:

  • Développer des politiques et protocoles claires pour les différentes opérations
  • Assurer une formation en TSA, pour les multiples organisations qui peuvent intervenir et veiller à la connaissance des trajectoires de soins par celles-ci
  • Assurer que tous les professionnels (santé, emploie, social, habitation, école, etc.) impliqués connaissent les trajectoires de soins et comment accéder aux différents services
  • supporter la mise en place de service intégré dans tous les services de soins
  • Supporter la transition à l'âge adulte
  • Évaluer l'efficacité des trajectoires de service

Ces trajectoires de service devraient favoriser l'accès pour toutes les personnes ayant un diangostic de TSA, notamment, les personnes ayant des codiagnostics, les femmes, les personnes avec des difficultés d'apprentissages, les personnes âgées, les groupes minoritaires racisés, les personnes trans, les personnes sans domicile fixe, les immigrants, les personne ayant un casier judiciaires et les parents ayant un diagnostic de TSA[52].


Enfants – CG- 170

Transitions

Adultes Nice CG142

Approche positive (accompagnement du développement)

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Complications

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Il n'existe aucune complication au diagnostic de TSA. Les autres enjeux de santé relèvent des nombreuses comorbidités ou de notion sociales tel que la stigmatisation.

Évolution

Développement du langage

En ce qui concerne le développement du langage, trois sous-groupes peuvent être décrit[18]:

  • Un développement typique
  • Un développement précoce ou typique, jusqu'au premiers mots, avec un plateau de progression de quelques années, suivi d'un développement régulier jusqu'à l’acquisition d'un langage fluide
  • Un développement précoce ou typique, jusqu'au premières phrases, avec un plateau de progression de quelques années, suivi d'un développement régulier jusqu'à l’acquisition d'un langage fluide

La régression du langage est une caractéristique relativement typique de l'autisme et ne se retrouve presque pas dans les autres trouble du langage[18]. Toutefois, cela n'a pas d'impact sur la probabilité d'avoir un langage fluide, à l'âge de 18 ans, et n'a pas d'impact sur le niveau de langage expressif ou réceptif, que cela soit mesurer par le Vinland ou l'ADOS[18]. Autrement dit, un langue fluide et flexible peut-être présumé pour toutes les personnes qui ont une intelligence non-verbal normal puisque l'acquisition du langage est grandement corrélé au niveau d'intelligence non-verbale[18].

Pronostic (éléments pronostiques, valeur et limites)

Trajectoires et “outcomes”

Ages et transitions

Situation des personnes autistes adultes (renvoyer à 1.2 Santé des personnes autistes)

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

Prévention

Identification des vulnérabilités pour organiser du soutien pour éviter des complications de santé mentale ou des parcours défavorables.

Acceptation des personnes autistes pour contrer la stigmatisation

Développement de politiques publiques inclusives

Éviter l’autisme ?

Identification prénatale [discuter aspects éthiques et ]

Diagnostic et intervention précoces [...]

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Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Notes

La section facultative Notes ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Dans la section notes se trouve toutes les notes de bas de page (références du groupe "note" [ou autres]).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Pour ajouter des notes, passez par la fonction d'ajout de notes. Il est aussi possible d'ajouter des notes d'autres groupes, comme "pharmaco", "pédiatrie", "indications", etc. Classez ces autres groupes de notes dans des sous-sections. N'ajoutez pas de notes manuellement.
Exemple:
 
TRAITEMENTS

Les traitements:

  • médicament 1, 100-200 mg PO DIE[pédiatrie]
  • traitement 2 BID x 1 sem[gériatrie]

NOTES


Gériatrie

  1. Poursuivre le traitement 2 semaines de plus.

Pédiatrie

  1. 10mg/kg die


Références

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Toute contribution serait appréciée.

Description: Dans la section références se trouve toutes les références (références sans groupe). Pour ajouter des références, passez par la fonction d'ajout de références. N'ajoutez pas de références manuellement.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
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  4. Agence de la santé publique du Canada, « Trouble du Spectre De L’autisme chez les enfants et les adolescents au Canada 2018 », sur www.canada.ca, (consulté le 2 février 2023)
  5. « L'autisme en chiffres | Fédération québécoise de l'autisme », sur www.autisme.qc.ca (consulté le 2 février 2023)
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