Prolapsus rectal

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Révision datée du 8 mars 2021 à 08:33 par Sophie Lépine (discussion | contributions) (Approche périnéale)

Définition

Prolapsus rectal
Maladie
Caractéristiques
Signes
Symptômes
Incontinence, Indolore, Voussure rectale, Sensation de défécation incomplète, Perte d'étanchéité, Pertes mucoïdes, Difficulté mictionnelle, Diarrhée , Constipation , Rectorragies
Diagnostic différentiel
Entérocèle, Polype rectal, Hémorroïde externe, Invagination colorectale, Tumeur rétrorectale
Informations
Wikidata ID Q2062483
Spécialité Chirurgie générale

Page non révisée
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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

Le prolapsus rectal fait référence au prolapsus d'une partie ou de la totalité de la muqueuse rectale à travers le sphincter anal externe.[1][2]

Épidémiologie

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Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

Le prolapsus rectal est peu fréquent dans la population adulte avec une prévalence inférieure à 0,5%. [3] Il survient d'avantage chez les femmes avec un ratio de 6 femmes pour 1 homme. L'âge d'apparition est > 60 ans chez les femmes tandis qu'il survient plus précocement chez les hommes, soit entre 20-30 ans. [4][5]

Dans la populations pédiatrique, l'incidence la plus élevée se situe entre 1 et 3 ans de façon égale pour les deux sexes. [4][5]

Étiologies

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Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

Plusieurs étiologies peuvent être en cause lors de l'apparition d'un prolapsus rectal. La première fait référence à l'intégrité des structures anatomiques. Pour contrôler la défécation, la coordination des muscles du périné sont essentiels, qui eux sont innervés par le nerf honteux. Une anomalie à ce niveau peut causer l'apparition d'un prolapsus rectal.[6]

La deuxième est un augmentation de la motilité intestinale qui peut survenir, par exemple, dans un contexte de colite ulcéreuse, d'abus de laxatif ou de diarrhée infectieuse à Amibiase, Giardiase, Trichuriasis, Salmonella, Shigella et Escherichia coli 0157: H7.

La troisième cause est une augmentation de la pression abdominale qui peut être secondaire à une constipation chronique, une toux prolongée, des vomissements excessifs ou des efforts à la miction en raison d'une obstruction.

Finalement, différentes conditions congénitales peuvent favoriser l'apparition d'un prolapsus telles que la fibrose kystique, la myéloméningocèle, la maladie de Hirschsprung, le spina bifida et l'hypothyroïdie congénitale.

D'autres causes plus rares ont été identifiées tel que des polypes ou des tumeurs de la muqueuse ainsi que suite à une chirurgie pour anus imperforé. [4][5]

Dans la population pédiatrique, les différentes causes énumérées précédemment s'appliquent, mais plusieurs différences anatomiques peuvent favoriser la prolapsus. Comparé aux populations adultes, le rectum suit une trajectoire verticale le long du sacrum et du coccyx, il est dans une position relativement plus basse que les autres organes pelviens et la muqueuse rectale est attachée à la musculature sous-jacente de manière lâche. De plus, le côlon sigmoïde a plus de mobilité et le muscle élévateur de l'anus offre relativement peu de soutien. Enfin, les valves Houston, qui assurent l'intégrité structurelle du rectum, ne se sont pas encore complètement développées chez la majorité des nourrissons de moins d'un an.[4][5]

Physiopathologie

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Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

La physiopathologie du prolapsus rectal est une intussusception distale du rectum et elle peut être classée en 3 catégories selon la gravité, soit occulte, partiel et complet. Le prolapsus occulte, considéré comme un faux prolapsus, est une intussusception interne de la muqueuse rectale et ne fait pas saillie à travers la verge anale. Il n'évoluera pas nécessairement vers un vrai prolapsus malgré qu'il puisse causer la même symptomatologie. Le prolapsus partiel implique seulement une partie la muqueuse rectale où des plis radiaux seront visibles au niveau anal dépassant que de 2 à 5 cm. Le prolapsus complet implique une extrusion circonférentielle de l'épaisseur totale de la paroi rectal. Il dépasse de plus de 5 cm du bord anal sous forme de plis concentriques et inclut la jonction muco-cutanée. Il peut survenir de façon intermittente ou permanente. [7]

Présentation clinique

La section obligatoire Présentation clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

Chez les adolescents atteints de prolapsus rectal, les symptômes comprennent le ténesme, la douleur anorectale et le passage de sang et de mucus. Chez les enfants, le prolapsus rectal est généralement porté à l'attention médicale après avoir été détecté par les parents du patient. Une masse rouge foncé avec ou sans mucus et sang qui dépasse du rectum pendant l'effort est décrite, mais cela est généralement résolu spontanément au moment où le patient se présente. Le prolapsus est généralement indolore ou associé à un léger inconfort. Au moment du prolapsus, un ton rectal diminué ou absent peut être présent sur un examen rectal numérique, mais le ton est généralement normal après quelques heures.[4][5]

Facteurs de risque

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Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Questionnaire

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Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

La douleur n'est habituellement pas présente et devrait orienter le diagnostic vers une autre pathologie. [8]

Examen clinique

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Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].
  • examen de la région anale:
    • Observation si protrusion et différencier la muqueuse rectale d'un hémorroïde
      • la position de squat permet une meilleure évaluation [8]
    • Évaluation du tonus anal
    • Anus béant
  • toucher rectal [8]
    • Peut détecter un prolapsus occulte
  • examen gynécologique (chez la femme): Rechercher un défaut du plancher pelvien tel rectocèle, cystocèle, entérocèle, prolapsus vaginal

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Même si le diagnostic est clinique et ne repose pas sur des examens paracliniques, les examen suivant peuvent être utiles pour éliminer des pathologies concomitantes ou orienter le diagnostic [4][5][9]. La colposcopie longue est effectuée chez tous les patients alors que les autres examens sont utilisés dans certains contextes.

  • Coloscopie longue
    • Permet d'éliminer une cause sous jacente telle qu'une néoplasie
    • Révèle souvent une granularité érythémateuse du rectum distal, à ne pas confondre avec une maladie inflammatoire [10] [6]
  • Cinédéfécographie
    • Permet de détecter les prolapsus occulte
    • Examen réalisé en radiologie où un vidéo du transit au niveau du rectum est obtenu
    • Permet de visualiser quelle quantité de selle le rectum peut recueillir et d'apprécier sa capacité et garder et à relâcher les selles [11]

Approche clinique

***S’informer si ATCD de chirurgie colique antérieure = influence options chirurgicales selon la vascularisation***

Avec histoire d’incontinence: établir fonction de base

·      manométrie anale

·      écho

·      latence du nerf honteux (?)

Avec constipation: temps transit colique (patient bénéficie davantage d’une résection/pexie abdominale)

RX abdo: R/O spini bifida occulte

Cinédéfécographie: détecter les prolapsus “cachés” (rectum ne s’exteriorise pas)

Colonoscopie: R/O néo (pour TOUS)

Avec cystocèle/utérocèle: pyélographie IV (descente des uretères)

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

Le diagnostic du prolapsus rectal est un diagnostic clinique. Le prolapsus n'est pas toujours apparent lors de l'examen physique, alors le clinicien doit se fier au questionnaire pour poser le diagnostic. Certains examen paracliniques peuvent être utilisés pour mettre en évidence des causes sous-jacentes

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Le diagnostic différentiel du prolapsus rectal comprend:

Traitement

Médical

À l'occasion, un traitement médical est envisagé.:

  • Émollients
  • Exercices de Kegel
    • Seulement s'il y a une faiblesse du plancher pelvien
  • Aigu
    • Réduction précoce
    • Joindre les deux fesses à l'aide d'un ruban adhésif si le prolapsus récidive
  • Chronique
    • Rectum viable : sédation, trendelenburg, sel ou sucr, ijct hyaluronidase
    • Rectum nécrotique: traitement chirurgical

Chirurgical

Le traitement chirurgicale est envisagée chez la majorité des patients ayant un prolapsus qui peuvent supporter la chirurgie, particulièrement s'ils sont symptomatiques

Deux types d'approches chirurgicales peuvent être envisagées, soit l'approche abdominale et l'approche périnéale.

Périnéale

La voie périnéale est favorisée chez les patients qui présentent un risque opératoire élevé, qui ont reçu de la radiation au niveau du périnée ou qui ont déjà subi une chirurgie abdominale majeure. Un des avantages est le type d'anesthésie, qui est de type loco-régionale, ce qui permet une hospitalisation de plus courte durée avec un retour aux activités précoce. Le niveau de douleur est également moindre et le risque de traumatisme au plexus nerveux pelvien est diminué. Par contre, le risque de récidive est plus élevé par rapport à la voie abdominale

Altemeier (proctosigmoidectomie):

Cette technique est indiquée chez les patients avec de longs segments redondants chez qui le prolapsus est de 3 cm et plus. Elle pourrait également est offerte, par exemple, à un jeune homme qui craint une dysfonctionnelle sexuelle avec l'approche abdominale. Une chirurgie vient à reconstruire le plancher pelvien peut être combinée à cette procédure.

  • Procédure: Lorsque le patient est bien anesthésié, le rectum redondant est prolabé complètement et tenu en place par des pinces Allis, puis une injection d'épinéphrine avec lidocaine ou autre anesthésiant est performée 1-2 cm au-dessus ligne dentelée. Ensuite, une incision circonférentielle est faite dans la paroi rectale à ce niveau.Le colon est fixé au coccyx en postérieur pour recréer l'angulation physiologique, puis le plancher pelvien est fermé avec levartoplastie postérieure. Le sigmoïde redondant est réséqué et le segment proximal colique est anastomosé au segment proximal anal par suture ou agrafe circulaire.
Delorme (mucosectomie anorectale avec plicature musculaire)

  courts segments redondants (max 9 cm)

·       ø résection, ø anastomose

1.      Incision circonférentielle muqueuse rectum à 1 cm de ligne dentelée: résection muqueuse redondante

2.      Sutures plicature de la paroi musculaire (q 1 cm) - 6-8 rangs, non-résorbable

3.      Anastomose muqueuse colo-anale - interrompu, 2-0 non-résorbable

4.      +/- levatorplastie postérieure (améliore la continence)

5.      Modification: point en bourse et stapler circulaire

Tiersch ( encerclement anal)

Cette procédure est favorisée chez les patients alités ou qui présentent des comorbidités multiples tel que de la démence, etc.

  • Procédure: 2 incision péri-anales de 180˚ sont réalisées, puis une prothèse est fixée autour du sphincter externe pour que seul un doigt puisse entrer

Abdominale

L'approche abdominale est envisagée si le patient est en bonne santé tandis que l'approche périnéale permet de résoudre le prolapsus chez les candidats avec un risque opératoire plus élevé ainsi que chez les jeunes hommes puisque cette approche comporte moins de risque d'impuissance.

Rectopexie

L'objectif de cette chirurgie est de recréer l'angle du rectum

  • Procédure: La première étape consiste en une mobilisation circonférentielle du rectum au niveau du coccyx et en latérale en prenant soin de ne pas dépasser les vaisseaux hémorroïdaires moyens pour éviter un traumatisme des nerfs adjacents. Lors de cette étape, il est important de préserver les ligaments latéraux. Ensuite, une prothèse non-résorbable de 5 cm de largeur est fixée en antéro-latéral (Ripstein) du rectum. S'il y a un risque d’obstruction à la défécation, il est possible de mettre la prothèse en postero-latéral (Wells) pour permettre à la face antérieure du rectum de s’expandre pendant le passage de la selle. Ensuite, la prothèse est fixée sous le promontoire sacré avec la séromusculaire ou le mésorectum
  • Variante: Possibilité d'effectuer la mobilisation rectale sans poser de prothèse. Les adhérences créées suite à la chirurgie feront office de fixation du rectum. Cette procédure est contre-indiquée chez les patients présentant de la constipation puisqu'elle risque d'augmenter les symptômes.
Résection antérieure

Procédure favorisée si le patient présente de la constipation

  • Procédure: La chirurgie débute par la mobilisation du rectum au niveau du coccyx pour défaire les adhérences. Selon l'anatomie du patient, il peut être nécessaire de ligaturer l'artère rénale supérieure. Ensuite il y a résection du recto-sigmoïde redondant, puis anastomose au niveau du promontoire. Il est important de ne pas mobiliser l'angle splénique puisque cela augmente le risque de récidive. La résection seule est bannie par Cameron puise cela augmente également le risque de récidive
Rectopexie et résection antérieure

La combinaison des deux approches permettrait d'améliorer les symptômes d'incontinence et de constipation

  • Procédure: Le rectum est mobilisé tel que décrit pour la rectopexie seule. Avant de procéder à la fixation, le rectosigmoïde redondant est réséqué.

Étant donné le risque d'infection de la prothèse, une fixation sans celle-ci est à favoriser

ALGORITHME CHOIX DE CHIRURGIE

La prise en charge conservatrice du prolapsus rectal comprend des assouplissants et / ou des laxatifs pour les selles, la prévention des efforts prolongés et le traitement de toute affection sous-jacente prédisposante. L'observance du régime intestinal est importante car les patients qui ont des cas répétés de prolapsus rectal peuvent être moins réactifs au prolapsus rectal à l'avenir. En général, ces outils conservateurs fonctionnent pour environ 90% des patients qui développent un prolapsus rectal avant l'âge de 3. Pour les enfants atteints de mucoviscidose, qui, comme mentionné ci-dessus, sont prédisposés au prolapsus rectal, l'ajustement des enzymes pancréatiques est important. se plaignent de symptômes de longue date, de douleurs rectales, de saignements rectaux, d'ulcération rectale ou de réduction manuelle difficile du prolapsus rectal.[12] La sclérothérapie par injection est souvent la première intervention, suivie du cerclage de Thiersch, et enfin de la rectopexie.[4][5]

Dans certaines situations, d'autres types d'approches seront utilisées.

Incarcéré/étranglé: résection périnéale +/- stomie dérivation

Prolapsus rompu avec éviscération périnéale: réparation abdo urgente

Par laparoscopie: Préparation intestinale, antibioprophylaxie, position lithotomie modifiée

Suivi

Le suivi post-opératoire comprends une diète liquide immédiate, une sonde urinaire laissée en place pour 24 heures, de l'analgésie (de type non-opioïde) des bains de sièges et des suppléments de fibre.

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Complications

  • Incontinence: Plus le prolapsus progresse, plus le sphincter s'affaiblit et arrive à un point où il n'est plus assez fort [6]
  • Incarcération: Si le tonus du sphincter est bon, la musiques rectale risque de s'incarcérer, ce qui deviendrait une urgence chirurgicale [6]

COMPLICATIONS

·      Récidive

- Trauma neuro ( augmenterait potentiellement la constipation)

o   10-20% après 3 ans

o   erreur technique si récidive < 1 an

§  résection trop limitée

§  angle anorectal non recréé pendant la levatorplastie

§  rectopexie insuffisamment fixée

o   davantage de récidive pour les approches périnéales (10-15% vs 0-5% en abdo)

o   favoriser une approche abdominale si possible

§  Si opération primaire est Altemeir => Refaire Altemeir (vascularisation compromise pour résection abdominale)

o   ne pas faire une seconde anastomose distalement à l’ancienne (risque d’ischémie segmentaire)

o   Réparation abdo antérieure: périnéale, altemeier avec levatorplastie (réséquer ligne ancienne anastomose)

o   ATCD rés sigmoïde/côlon G: Delorme (risque côlon devascularisé avec résection supplémentaire)

·      Infection

o   intra-abdo

o   mèche

o   plaie

·      Impaction fécale

·      Déhiscence anastomose

·      Dysfonction sexuelle ou vésicale avec résections abdominales (impotence 1-2% approche abdo)

·      Aggravation constipation ou incontinence si division des fibres parasympathiques latérales

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

La plupart des complications sont dues à la chirurgie et peuvent inclure: [5]


  • Saignement
  • Dommages au col de la vessie
  • Dommages aux nerfs présacrés
  • Hématome pelvien [5]

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
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Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

Le pronostic du prolapsus rectal est généralement bon, surtout lorsqu'il est diagnostiqué entre l'âge de 9 mois et 3 ans et n'est associé à aucune autre affection sous-jacente. Il s'agit généralement d'un état de l'enfance et ne réapparaît souvent pas après l'âge de 6 ans. Lorsqu'un prolapsus rectal est diagnostiqué après l'âge de 4 ans, les enfants sont plus susceptibles d'avoir des problèmes neurologiques ou musculo-squelettiques sous-jacents nécessitant une prise en charge chirurgicale et des symptômes à l'âge adulte.[4][13][5]

Prévention

La section facultative Prévention ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
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Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Références

__NOVEDELETE__
  1. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15981062
  2. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30335341
  3. Liliana Bordeianou, Caitlin W. Hicks, Andreas M. Kaiser et Karim Alavi, « Rectal Prolapse: An Overview of Clinical Features, Diagnosis, and Patient-Specific Management Strategies », Journal of Gastrointestinal Surgery, vol. 18, no 5,‎ , p. 1059–1069 (ISSN 1091-255X et 1873-4626, DOI 10.1007/s11605-013-2427-7, lire en ligne)
  4. 4,0 4,1 4,2 4,3 4,4 4,5 4,6 et 4,7 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29487493
  5. 5,0 5,1 5,2 5,3 5,4 5,5 5,6 5,7 5,8 et 5,9 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30335341
  6. 6,0 6,1 6,2 et 6,3 (en) Liliana Bordeianou, Caitlin W. Hicks, Andreas M. Kaiser et Karim Alavi, « Rectal Prolapse: An Overview of Clinical Features, Diagnosis, and Patient-Specific Management Strategies », Journal of Gastrointestinal Surgery, vol. 18, no 5,‎ , p. 1059–1069 (ISSN 1091-255X et 1873-4626, DOI 10.1007/s11605-013-2427-7, lire en ligne)
  7. (en) « Types of rectal prolapse », sur /losangeles.networkofcare.org, (consulté le 27 février 2021)
  8. 8,0 8,1 et 8,2 (en) « Overview of rectal procidentia (rectal prolapse) », sur www.uptodate.com, (consulté le 27 février 2020)
  9. 9,0 et 9,1 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24990243
  10. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/7417757
  11. 11,0 et 11,1 (en) « Rectal prolapse », sur my.clevelandclinic.org, (consulté le 28 février 2021)
  12. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/9092117
  13. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées :4
Les sections suivantes sont remplies automatiquement et se peupleront d'éléments à mesure que des pages sont crées sur la plateforme. Pour participer à l'effort, allez sur la page Gestion:Contribuer. Pour comprendre comment fonctionne cette section, voir Aide:Fonctions sémantiques.

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