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{{Section ontologique | classe = Situation clinique | nom = Physiopathologie}}
{{Section ontologique | classe = Situation clinique | nom = Physiopathologie}}
Le contrôle respiratoire dans des situations physiologiques normales implique des messages entrants provenant de divers récepteurs périphériques: propriocepteurs et mécanorécepteurs dans la musculature et les articulations de la paroi thoracique; récepteurs d'étirement pulmonaire; récepteurs dans les voies respiratoires; et les récepteurs cutanés du trijumeau. Ces signaux se combinent avec les signaux des chimiorécepteurs dans les corps aortique et carotidien et sont ensuite transmis de manière centrale à la protubérance et à la moelle allongée via les nerfs vague, glossopharyngien, rachidien et phrénique.
Le contrôle respiratoire dans des situations physiologiques normales implique des messages entrants provenant de divers récepteurs périphériques: propriocepteurs et mécanorécepteurs dans la musculature et les articulations de la paroi thoracique, récepteurs d'étirement pulmonaire, récepteurs dans les voies respiratoires, et récepteurs cutanés du trijumeau. Ces signaux se combinent avec ceux des chémorécepteurs dans les corps aortique et carotidien et sont ensuite transmis de manière centrale à la protubérance et à la moelle allongée via les nerfs vague, glossopharyngien, rachidien et phrénique.


L'apport volontaire du cortex moteur via le système limbique contribue aux influences protectrices et émotionnelles au contrôle moteur de la respiration. Les messages sortants reviennent aux unités motrices via le nerf vague et d'autres nerfs et entraînent des ajustements de la profondeur et du rythme de la respiration.<ref name=":0" />
L'apport volontaire du cortex moteur via le système limbique exerce des influences protectrices et émotionnelles au contrôle moteur de la respiration. Les messages efférents se transmettent aux unités motrices via le nerf vague et d'autres nerfs et entraînent des ajustements de la profondeur et du rythme de la respiration.<ref name=":0" />


D'une manière générale, la sensation de dyspnée résulte de la prise de conscience d'une inadéquation entre l'offre et la demande respiratoires. Une telle discordance peut résulter de la perception d'une demande accrue, d'une diminution de la capacité ou d'une combinaison des deux.<ref name=":3">{{Citation d'un article|prénom1=David C.|nom1=Currow|prénom2=Amy P.|nom2=Abernethy|prénom3=Peter|nom3=Allcroft|prénom4=Robert B.|nom4=Banzett|titre=The need to research refractory breathlessness|périodique=The European Respiratory Journal|volume=47|numéro=1|date=2016-01|issn=1399-3003|pmid=26721965|doi=10.1183/13993003.00653-2015|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/26721965/|consulté le=2020-11-11|pages=342–343}}</ref><ref name=":4">{{Citation d'un article|prénom1=Giorgio|nom1=Scano|prénom2=Giulia|nom2=Innocenti-Bruni|prénom3=Loredana|nom3=Stendardi|titre=Do obstructive and restrictive lung diseases share common underlying mechanisms of breathlessness?|périodique=Respiratory Medicine|volume=104|numéro=7|date=2010-07|issn=1532-3064|pmid=20303724|doi=10.1016/j.rmed.2010.02.019|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20303724/|consulté le=2020-11-11|pages=925–933}}</ref><ref name=":0" />
En générale, la sensation de dyspnée résulte de la prise de conscience d'une inadéquation entre l'offre et la demande respiratoires. Une telle discordance peut résulter de la perception d'une demande accrue, d'une diminution de la capacité ou d'une combinaison des deux.<ref name=":3">{{Citation d'un article|prénom1=David C.|nom1=Currow|prénom2=Amy P.|nom2=Abernethy|prénom3=Peter|nom3=Allcroft|prénom4=Robert B.|nom4=Banzett|titre=The need to research refractory breathlessness|périodique=The European Respiratory Journal|volume=47|numéro=1|date=2016-01|issn=1399-3003|pmid=26721965|doi=10.1183/13993003.00653-2015|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/26721965/|consulté le=2020-11-11|pages=342–343}}</ref><ref name=":4">{{Citation d'un article|prénom1=Giorgio|nom1=Scano|prénom2=Giulia|nom2=Innocenti-Bruni|prénom3=Loredana|nom3=Stendardi|titre=Do obstructive and restrictive lung diseases share common underlying mechanisms of breathlessness?|périodique=Respiratory Medicine|volume=104|numéro=7|date=2010-07|issn=1532-3064|pmid=20303724|doi=10.1016/j.rmed.2010.02.019|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20303724/|consulté le=2020-11-11|pages=925–933}}</ref><ref name=":0" />


Il existe 2 théories pour expliquer comment les déséquilibres offre-demande génèrent la sensation de dyspnée. La «dissociation efférente-réfférente» se produit lorsque le centre respiratoire envoie une commande motrice en réponse aux messages périphériques reçus. Dans certains états, les muscles respiratoires sont incapables de répondre aux exigences motrices. En conséquence, une rétroaction supplémentaire de la périphérie communique au centre respiratoire cet écart entre la commande de sortie qui a été envoyée et la réponse inadéquate ultérieure qu'elle a générée. On pense que la sévérité de l'expérience de la dyspnée est corrélée au degré de cet écart.<ref name=":0" />
Il existe 2 théories pour expliquer comment les déséquilibres offre-demande génèrent la sensation de dyspnée. La «dissociation efférente-réafférente» se produit lorsque le centre respiratoire envoie une commande motrice en réponse aux messages périphériques reçus. Dans certains états, les muscles respiratoires sont incapables de répondre aux exigences motrices. En conséquence, une rétroaction supplémentaire de la périphérie communique au centre respiratoire cet écart entre la commande de sortie qui a été envoyée et la réponse inadéquate ultérieure qu'elle a générée. On pense que la sévérité de l'expérience de la dyspnée est corrélée au degré de cet écart.<ref name=":0" />


La seconde théorie concerne les décharges corollaires centrales. Des copies des commandes motrices descendantes envoyées des centres moteurs respiratoires centraux vers la périphérie sont simultanément envoyées aux zones sensorielles / perceptives du cerveau. On pense que ces décharges corollaires, qui servent à informer les zones sensorielles des commandes motrices et à communiquer une conscience consciente de l'effort respiratoire, contribuent également à la sensation de dyspnée.<ref name=":0" />
La seconde théorie concerne les décharges corollaires centrales. Des copies des commandes motrices descendantes envoyées des centres moteurs respiratoires centraux vers la périphérie sont simultanément envoyées aux zones sensorielles / perceptives du cerveau. On pense que ces décharges corollaires, qui servent à informer les zones sensorielles des commandes motrices et à permettre une certaine conscience de l'effort respiratoire, contribuent également à la sensation de dyspnée.<ref name=":0" />


Les apports du système cortical et limbique, tout comme d'autres stimuli homéostatiques tels que la faim, la soif et la douleur, contribuent à l'intensité subjective et au désagrément de l'expérience globale.<ref name=":0" />
Les apports du système cortical et limbique, tout comme d'autres stimuli homéostatiques tels que la faim, la soif et la douleur, contribuent à l'intensité subjective et au désagrément de l'expérience globale.<ref name=":0" />

Version du 22 novembre 2020 à 21:34

Dyspnée en soins palliatifs
Approche clinique
Caractéristiques
Examens paracliniques Radiographie thoracique, Saturométrie au doigt, Tomodensitométrie thoracique, Gaz sanguins, Hémoglobinémie, FSC
Drapeaux rouges
Dyspnée au repos, Altération de l'état de conscience (signe clinique), Utilisation des muscles accessoires, Hémoptysies (signe clinique), Palpitations (symptôme), Dyspnée subite et sévère, Douleur thoracique aigue, Anxiété sévère, Agitation psycho-motrice
Informations
Terme anglais Dyspnée en soins palliatifs

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Objectif du CMC
Nom de l'objectif du CMC (Numéro)
La section obligatoire Définition ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

La dyspnée est un symptôme courant dans de nombreuses maladies avancées et est fréquemment ressentie en fin de vie. L'American Thoracic Society décrit la dyspnée comme un inconfort respiratoire subjectif et des sensations d'intensité variable qu'un patient peut qualifier distinctement. De plus, la dyspnée provient de multiples circonstances physiologiques, psychologiques, sociales et environnementales, provoquant des réponses physiologiques et comportementales secondaires. [1][2]

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur le sujet de la page (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion homme:femme, régions où la prévalence est la plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque.
  • Le pronostic est présenté dans cette section, le cas échéant (contrairement aux pages de maladie).
Exemple:
 
Les saignements digestifs bas représentent 20% à 30% de tous les patients présentant des saignements GI majeurs. L'HDB est moins fréquente que les hémorragies digestives hautes (HDH) avec une prévalence de 20 à 27 cas par 100 000 vs 50 à 150 cas par 100 000.

La dyspnée est répandue et généralement sévère dans les états pathologiques avancés. Il est le plus souvent observé dans le cancer avancé, l'insuffisance cardiaque et la maladie pulmonaire chronique. Chez les patients cancéreux, la prévalence de la dyspnée est de 50% à 70%, pouvant aller jusqu'à 90% chez les patients atteints d'un cancer du poumon. Une dyspnée importante est présente chez 90% des des patients atteints d'une maladie pulmonaire sévère et 50% des patients souffrant d'insuffisance cardiaque. C'est aussi un symptômes courant chez les patients atteints d'insuffisance rénale terminale, de démence, d'âge avancé et du VIH.[2]

De plus, l'intensité et la prévalence des symptômes augmentent au cours des six derniers mois de la vie. En effet, au cours des 3 derniers jours de la vie, une dyspnée est présente à un moment donné chez 90% des patients.[2]

Étiologies

La section obligatoire Étiologies ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description:
  • Cette section décrit les étiologies de l'approche clinique, c'est-à-dire ce qui cause la situation couverte dans la page d'approche clinique (ex. polype intestinal pour l'hémorragie digestive basse).
  • Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Ne pas ajouter de section Diagnostic différentiel à la page de type Approche clinique. La présente section couvre déjà les maladies qui provoquent l'approche clinique dont il est question sur cette page. Par définition, une page d'approche clinique ne contient pas de diagnostic différentiel, mais bien des étiologies.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau, selon ce qui vous apparait le plus efficace. S'il y a une ou deux étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les format plus simple (l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce).
  • Si la liste à puce est utilisée, elle est toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
Exemple:
 
Les étiologies de l'hémorragie digestive basse sont :
  • la diverticulose [Étiologie]
  • la colite ischémique [Étiologie]
  • le cancer colorectal [Étiologie]
  • le polype intestinal [Étiologie].

La dyspnée résulte d'une interaction complexe de plusieurs facteurs. D'une manière générale, la sensation de dyspnée est ressentie lorsqu'il y a un déséquilibre entre l'offre et la demande respiratoires. La dyspnée survient principalement dans les trois situations anormales suivantes[1]:

Le modèle biopsychosocial de la «dyspnée totale», calqué sur le concept de «douleur totale», reconnaît que de nombreux aspects de la situation du patient affectent l’expérience de sa dyspnée[1][2]:

  • Aspect physique (cancer, épanchement, toxicité médicamenteuse, etc.)
  • Aspect psychologique (anxiété, niveau d'adaptation, etc.)
  • Aspect spirituel (degré d'acceptation, sens de la maladie, souffrance, etc.)
  • Aspect social (relations interpersonnelles, famille, situation financière, etc.)

Physiopathologie

La section facultative Physiopathologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition de l'approche clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Attention de ne pas traiter de la physiopathologie de l'ensemble des étiologies couvertes dans la section Étiologies, mais de seulement discuter de la physiopathologie générale de la sémiologie couverte par le sujet de la page.
Exemple:
 
Différentes voies physiologiques peuvent entraîner une dyspnée, notamment via les chimiorécepteurs ASIC, les mécanorécepteurs et les récepteurs pulmonaires. On pense que trois composantes principales contribuent à la dyspnée : les signaux afférents, les signaux efférents et le traitement central de l'information. [...]

Le contrôle respiratoire dans des situations physiologiques normales implique des messages entrants provenant de divers récepteurs périphériques: propriocepteurs et mécanorécepteurs dans la musculature et les articulations de la paroi thoracique, récepteurs d'étirement pulmonaire, récepteurs dans les voies respiratoires, et récepteurs cutanés du trijumeau. Ces signaux se combinent avec ceux des chémorécepteurs dans les corps aortique et carotidien et sont ensuite transmis de manière centrale à la protubérance et à la moelle allongée via les nerfs vague, glossopharyngien, rachidien et phrénique.

L'apport volontaire du cortex moteur via le système limbique exerce des influences protectrices et émotionnelles au contrôle moteur de la respiration. Les messages efférents se transmettent aux unités motrices via le nerf vague et d'autres nerfs et entraînent des ajustements de la profondeur et du rythme de la respiration.[2]

En générale, la sensation de dyspnée résulte de la prise de conscience d'une inadéquation entre l'offre et la demande respiratoires. Une telle discordance peut résulter de la perception d'une demande accrue, d'une diminution de la capacité ou d'une combinaison des deux.[3][4][2]

Il existe 2 théories pour expliquer comment les déséquilibres offre-demande génèrent la sensation de dyspnée. La «dissociation efférente-réafférente» se produit lorsque le centre respiratoire envoie une commande motrice en réponse aux messages périphériques reçus. Dans certains états, les muscles respiratoires sont incapables de répondre aux exigences motrices. En conséquence, une rétroaction supplémentaire de la périphérie communique au centre respiratoire cet écart entre la commande de sortie qui a été envoyée et la réponse inadéquate ultérieure qu'elle a générée. On pense que la sévérité de l'expérience de la dyspnée est corrélée au degré de cet écart.[2]

La seconde théorie concerne les décharges corollaires centrales. Des copies des commandes motrices descendantes envoyées des centres moteurs respiratoires centraux vers la périphérie sont simultanément envoyées aux zones sensorielles / perceptives du cerveau. On pense que ces décharges corollaires, qui servent à informer les zones sensorielles des commandes motrices et à permettre une certaine conscience de l'effort respiratoire, contribuent également à la sensation de dyspnée.[2]

Les apports du système cortical et limbique, tout comme d'autres stimuli homéostatiques tels que la faim, la soif et la douleur, contribuent à l'intensité subjective et au désagrément de l'expérience globale.[2]

Les récepteurs du parenchyme pulmonaire, lorsqu'ils subissent une stimulation anormale, produisent des sensations d'oppression thoracique. Cette perception de l'oppression thoracique qui se produit lors de la bronchoconstriction est stimulée par les afférences pulmonaires plutôt que par les exigences de travail accrues.[2]

Une sensation de manque d'air due à l'exercice, à l'hypoxie ou à l'hypercapnie peut résulter de la signalisation des chimiorécepteurs lorsqu'ils ne correspondent pas à l'entraînement moteur. Cependant, la signalisation des récepteurs de l'étirement vagal pulmonaire et de la paroi thoracique peut inhiber (et par conséquent réduire) cette sensation de manque d'air.[2]

Des changements pathologiques spécifiques et liés à l'âge contribuent au dysfonctionnement pulmonaire et à l'expérience de la dyspnée. Les muscles respiratoires s'affaiblissent, l'élasticité pulmonaire diminue, le tissu pulmonaire se rétrécit et la paroi thoracique se raidit, ce qui peut entraîner une altération des échanges gazeux efficaces.

L'anxiété causée par l'expérience de la dyspnée peut entraîner une augmentation de la fréquence respiratoire et cardiaque, aggravant la dyspnée.[2]

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description:
  • Alors que les sections Évaluation et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie. C'est la section par excellence pour l'enseignement.
  • En lisant cette section, le lecteur doit être en mesure de comprendre la stratégie à adopter au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques pour naviguer les étiologies de l'approche clinique.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du diagramme est encouragée (voir Aide:Diagramme).
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
  • La section Approche clinique permet d'expliquer les caractéristiques distinctives et discriminantes pour les différents diagnostics au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques. C'est une section où les trucs du métier, les stratégies pour le diagnostic et le raisonnement clinique sont expliqués : c'est la section idéale pour l'enseignement.
Exemple:
 

L'histoire et l'examen physique commencent par une exploration des maladies sous-jacentes.

Questionnaire

La section facultative Questionnaire ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description:
  • Cette section liste des symptômes discriminants au questionnaire.
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Questionnaire, Symptôme discriminant et Élément d'histoire discriminant.
  • Ces éléments servent à discriminer une étiologie par rapport à une autre ou une complication potentielle.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Questionnaire, Symptôme discriminant, Élément d'histoire discriminant
Commentaires:
 
  • Alors que la section Approche clinique sert à intégrer les facteurs de risque, les signes, les symptômes et les examens paracliniques, cette section sert uniquement à lister les symptômes discriminants et leur associer des étiologies potentielles.
  • Attention d'utiliser le bon modèle sémantique. Le modèle Symptôme discriminant est le bon modèle dans les pages de type Approche clinique. Le modèle Symptôme est utilisé exclusivement sur les pages de Maladie et de Classe de maladie.
  • Les éléments d'histoire discriminants se distinguent des symptômes. Par exemple, la chute dans une page d'approche clinique de la céphalée aiguë est un élément d'histoire discriminant (modèle Élément d'histoire discriminant), et non un symptôme.
  • Le modèle Élément d'histoire discriminants est utilisé exclusivement sur les pages de type Approche clinique. Le modèle Élément d'histoire est utilisé sur les pages de type Maladie et Classe de maladie.
  • Cette section ne détaille pas l'histoire d'une étiologie particulière : ceci est laissé aux pages de maladies. La section Approche clinique permet d'expliquer les caractéristiques distinctives et discriminantes pour les différents diagnostics au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
Exemple:
 
Chez les patients atteints de dyspnée aiguë, les symptômes à rechercher sont :
  • au questionnaire cardiaque [Questionnaire] :
    • l'oedème des membres inférieurs [Symptôme discriminant], qui évoque une insuffisance cardiaque décompensée
    • une douleur thoracique [Symptôme discriminant] qui évoque un syndrome coronarien aigu, une insuffisance cardiaque décompensée ou une embolie pulmonaire
    • la lipothymie [Symptôme discriminant] et la la syncope [Symptôme discriminant], qui pourront être présents lors du syndrome coronarien aigu, de l'arrythmie et de l'embolie pulmonaire
    • etc.
  • au questionnaire pulmonaire [Questionnaire]
    • la toux [Symptôme discriminant], présente dans la pneumonie et l'EAMPOC et parfois dans l'embolie pulmonaire et l'insuffisance cardiaque
    • les crachats [Symptôme discriminant], présents dans la pneumonie et l'EAMPOC
    • les hémoptysies [Symptôme discriminant] sont un symptôme grave qui indique une potentielle embolie pulmonaire
    • un traumatisme récent [Élément d'histoire discriminant] évoque une fracture de côte ou une costo-chondrite
  • etc.

Lors de l'exploration du symptôme de la dyspnée, les dimensions pertinentes du symptôme comprennent l'occurrence, la détresse, l'intensité, la fréquence, la durée, qu'elle soit constante ou épisodique, et sa signification.[2]

En outre, les facteurs psychologiques, sociaux et spirituels peuvent contribuer au fardeau global de la dyspnée et peuvent être explorés comme indiqué. [2]

Examen clinique

La section facultative Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description:
  • Cette section traite des signes à rechercher à l'examen clinique qui permettent de différencier les étiologies entre elles.
  • Cette section doit faire l'usage du modèle Examen clinique et du modèle Signe clinique discriminant.
  • Ces éléments servent à discriminer une étiologie par rapport à une autre ou une complication potentielle.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique discriminant
Commentaires:
 
  • Alors que la section Approche clinique sert à intégrer les facteurs de risque, les signes, les symptômes et les examens paracliniques, cette section sert uniquement à lister les examens cliniques et les signes cliniques discriminants et leur associer des étiologies potentielles.
  • Attention d'utiliser le bon modèle sémantique. Le modèle Signe clinique discriminant est le bon modèle dans les pages de type Approche clinique. Le modèle Signe clinique est utilisé exclusivement sur les pages de maladie et de classe de maladie.
  • Cette section ne détaille pas l'examen clinique et les signes cliniques d'une étiologie particulière : ceci est laissé aux pages de maladies. La section Approche clinique permet d'expliquer les caractéristiques distinctives et discriminantes pour les différents diagnostics au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
Exemple:
 
Chez les patients atteints d'une dyspnée aiguë, les éléments suivants sont à rechercher à l'examen clinique :
  • à l'examen cardiaque [Examen clinique] :
    • un souffle systolique [Signe clinique discriminant] indique une sténose aortique critique
    • de l'oedème des membres inférieurs [Signe clinique discriminant] indique une insuffisance cardiaque décompensée
    • la TVC augmentée [Signe clinique discriminant] évoque une insuffisance cardiaque décompensée ou sera présent dans 13% des embolies pulmonaires
  • à l'examen pulmonaire [Examen clinique] :
    • des crépitants [Signe clinique discriminant] en présence d'une pneumonie ou d'une surcharge secondaire à une insuffisance cardiaque décompensée.
    • des sibilances [Signe clinique discriminant] en cas d'asthme, d'EAMPOC et parfois d'insuffisance cardiaque.

Les résultats de l'examen physique peuvent varier en fonction de la situation et de la maladie sous-jacente. Les résultats peuvent être corrélés à la maladie sous-jacente, révéler de nouvelles anomalies responsables de la dyspnée aiguë ou changeante, ou même être normaux chez les patients qui sont néanmoins dyspnéiques.[2]

Une grande partie de l'examen se concentre sur le système respiratoire. Lors de l'inspection du patient, toute anomalie de la fréquence respiratoire doit être notée. Il peut y avoir des indications visibles d'augmentation de l'effort respiratoire, telles que des rétractions, l'utilisation de muscles accessoires ou une respiration abdominale paradoxale.[2]

L'auscultation peut révéler une variété de résultats. La présence de grognements, de stridor ou de changements de voix doit être notée. Les champs pulmonaires doivent être auscultés, en écoutant la phase expiratoire prolongée, une respiration sifflante, des rhonchi ou des crépitements. Il convient de noter le degré global de l'excursion aérienne. [2]

Les résultats de l'examen physique en dehors du système respiratoire contribueront également à identifier les causes sous-jacentes de la dyspnée. Par exemple, la présence d'un œdème périphérique, le pouls veineux jugulaire, la fréquence et le rythme cardiaques, la distance des bruits cardiaques, le positionnement trachéal, le reflux hépatojugulaire, la distension abdominale ou la pâleur contribuent tous à l'examen physique de la dyspnée.

Drapeaux rouges

La section obligatoire Drapeaux rouges ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description:
  • Les drapeaux rouges sont des signes, des symptômes, des facteurs de risque ou des signes paracliniques qui, lorsqu'ils sont présents, peuvent orienter vers un diagnostic grave ou demandant une prise en charge immédiate.
  • Chaque drapeau rouge devrait être défini à l'aide d'une propriété sémantique de type Drapeau rouge.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Drapeau rouge
Commentaires:
 
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Cette section doit rester simple et courte.
Exemple:
 
Les drapeaux rouges des patients qui se présentent en céphalée aiguë sont :
  • une altération de l'état de conscience [Drapeau rouge] indique une possible méningite, encéphalite, un AVC hémorragie ou une HIP
  • une faiblesse [Drapeau rouge] évoque un AVC
  • de la diplopie [Drapeau rouge] évoque également un AVC du tronc ou une lésion occupant de l'espace
  • une immunosuppression [Drapeau rouge] pourrait évoquer une méningite, encéphalite ou un abcès cérébral ou spinal
  • etc.

Investigation

La section facultative Investigation ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description:
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 

Dans l'évaluation de la dyspnée, une anamnèse approfondie et un examen physique sont justifiés avec une attention particulière aux causes sous-jacentes et éventuellement réversibles. Une évaluation de laboratoire et radiologique supplémentaire peut être utile pour le diagnostic et pour guider le traitement. L'oxymétrie de pouls peut fournir des informations sur la saturation en oxygène. Les gaz du sang artériel peuvent révéler la présence de troubles acido-basiques, d'hypoxie ou de pressions partielles anormales de dioxyde de carbone. Le taux d'hémoglobine peut identifier une anémie. Une numération leucocytaire anormalement élevée ou faible ou un différentiel leucocytaire anormal peut être le signe d'une infection.[2]

L'imagerie radiographique, avec des modalités telles que la radiographie et la tomodensitométrie, peut fournir de nombreuses informations concernant le parenchyme pulmonaire, l'espace pleural, la vascularisation pulmonaire et les structures des voies respiratoires plus grandes, ainsi que les éléments osseux du thorax. Combinées, les informations de laboratoire et radiographiques peuvent aider à identifier une étiologie sous-jacente de la dyspnée et, à ce titre, peuvent aider à orienter le traitement de fond et symptomatique. Cependant, comme la dyspnée est un symptôme subjectif et multifactoriel, elle peut survenir en l'absence de toute anomalie de laboratoire ou radiographique identifiable.[2]

Prise en charge

La section facultative Prise en charge ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description:
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 

La prise en charge de la dyspnée passe par un ou plusieurs de plusieurs grands mécanismes. La diminution de l'impédance respiratoire et la réduction de l'hypoxémie sont des traitements destinés à toute pathophysiologie pulmonaire sous-jacente. D'autres interventions peuvent viser la réduction de la pulsion respiratoire et la réduction de la charge résistive sur les muscles respiratoires. Modifier la perception centrale de la dyspnée au niveau du cortex sensoriel ou du tronc cérébral peut diminuer l'intensité et l'inconfort. S'attaquer à toutes les composantes affectives de la dyspnée, telles que l'anxiété, est une composante importante du traitement.[2]

Il existe des traitements pharmacologiques et non pharmacologiques. Les interventions pharmacologiques peuvent être considérées comme modificatrices de la maladie lorsqu'elles traitent la maladie sous-jacente qui a déclenché la dyspnée. Une approche basée sur les symptômes vise à réduire la prise de conscience de l'intensité et de l'inconfort de la dyspnée.[5][6][2]

- Médicaments modifiant la maladie [2]

Les diurétiques traitent la surcharge hydrique en cas d'insuffisance cardiaque congestive, d'insuffisance rénale et d'insuffisance hépatique.[2]

Les agonistes bêta-adrénergiques et les antagonistes muscariniques peuvent réduire les symptômes aux stades avancés de la bronchopneumopathie chronique obstructive.[7][2]

L'administration d'oxygène peut améliorer la dyspnée, mais uniquement chez les patients souffrant d'hypoxémie.[2]

- Médicaments fondés sur les symptômes [2]

Les opioïdes sont considérés comme un pilier du traitement de la dyspnée. Les preuves sont les plus solides concernant l'utilisation de la morphine à libération immédiate. Les opioïdes, via les récepteurs opioïdes mu, réduisent l'inconfort de la faim d'air mais moins l'inconfort de l'effort accru pour respirer. Il est théorisé que la morphine diminue la pulsion respiratoire spontanée et la sensibilité du centre respiratoire central. Les opioïdes peuvent également affecter le traitement cortical de la dyspnée, comme ils le font dans le contexte de la douleur.[8][9][2]

L'utilisation de benzodiazépines réduit l'anxiété souvent associée à la dyspnée, mais pas la sensation de dyspnée.[10][2]

Le furosémide nébulisé a des preuves d'efficacité chez les patients atteints de maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC). On pense qu'il active les mécanorécepteurs pulmonaires. Dans les modèles animaux, le furosémide inhalé augmente l'activité des récepteurs d'étirement vagaux pulmonaires. [11][2]

La lidocaïne ou la morphine nébulisée ne présente aucune preuve de bienfait.[2]

La dexaméthasone peut être utile pour améliorer la dyspnée chez les patients atteints d'un cancer du poumon ou ceux atteints de MPOC.[12][2]

Il a été démontré que la mirtazapine a un certain effet bénéfique chez les patients souffrant de dyspnée chronique.[13][2]

- Thérapies non pharmacologiques [2]

La ventilation non invasive peut apporter une amélioration symptomatique chez les personnes ayant un travail respiratoire accru, mais moins utile dans les situations de discordance VQ ou d'anomalies de diffusion alvéolaire-artérielle.[2]

L'air froid et l'utilisation de ventilateurs soufflant de l'air sur le visage peuvent améliorer considérablement la dyspnée. Les afférences sensorielles peuvent médier cet effet dans la deuxième et la troisième branche du nerf trijumeau. Un supplément d'oxygène ne s'est révélé utile que chez les patients souffrant d'hypoxie.[8][14][2]

La rééducation pulmonaire s'est avérée bénéfique, l'exercice étant le composant le plus bénéfique.[2]

La thérapie cognitivo-comportementale et les techniques de réduction de l'anxiété peuvent aborder les composantes affectives.[15][2]

L'éducation des soignants mettant l'accent sur le positionnement du patient, un plan de crise personnel et l'utilisation d'options pharmacologiques et non pharmacologiques peut aider à réduire l'anxiété et à accroître le sentiment de contrôle. De plus, la participation des soignants à des groupes de soutien dédiés peut aider à faire face. [2]

La dyspnée résulte d'une interaction de plusieurs facteurs chez une variété de patients atteints d'une maladie avancée et en fin de vie. Elle a un impact important sur la qualité de vie des patients et des soignants. L'évaluation se concentre généralement sur le processus pathologique sous-jacent, ainsi que sur les facteurs sociaux, psychologiques et spirituels qui peuvent y contribuer. L'utilisation de traitements non pharmacologiques doit être la première étape du traitement des patients. Ces interventions comprennent le positionnement, la stimulation et l'utilisation d'air frais et de ventilateurs. L'oxygène n'est pas plus utile que l'air chez les patients dont le taux d'oxygène est normal. Le traitement pharmacologique comprend l'optimisation du traitement de la maladie sous-jacente et les opioïdes pour le traitement basé sur les symptômes. Les stratégies pharmacologiques prédominent dans les soins en fin de vie, et la dyspnée est une raison fréquente d'utilisation de la sédation palliative à ce stade.[2]

L'équipe de soins palliatifs, y compris les infirmières, devrait être impliquée dans la formation des soignants et fournir des mesures de réconfort.[2]

Suivi

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Description: Cette section traite du suivi de l'approche clinique
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  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Y a-t-il des examens paracliniques à répéter ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
Exemple:
 

Complications

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Description: Cette section traite des complications possibles de l'approche clinique classées en ordre de probabilité (si possible).
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  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication. Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Attention ! Les complications sont celles de l'approche clinique elle-même et non de son traitement. Par exemple, l'anémie est une complication de l'hémorragie digestive basse, mais la perforation intestinale en raison d'une colonoscopie doit plutôt être décrit sur la page de la procédure Colonoscopie.
Exemple:
 

Particularités

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Description: Cette section traite des particularités concernant la gestion de l'approche clinique pour certaines clientèles.
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Gériatrie

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  • Le format texte est à privilégier.
  • Il est possible que l'approche clinique en gériatrie nécessite une approche clinique complètement différente. Dans ce cas, il est préférable de faire un page d'approche clinique séparée. (ex. Ictère chez le nouveau-né est trop différente de l'Ictère chez la personne âgée).
Exemple:
 

Pédiatrie

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  • Le format texte est à privilégier.
  • Il est possible que l'approche clinique en pédiatrie nécessite une approche clinique complètement différente. Dans ce cas, il est préférable de faire un page d'approche clinique séparée. (ex. Ictère chez le nouveau-né est trop différente de l'Ictère chez la personne âgée)
Exemple:
 

Références

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  1. 1,0 1,1 et 1,2 Arif H. Kamal, Jennifer M. Maguire, Jane L. Wheeler et David C. Currow, « Dyspnea review for the palliative care professional: assessment, burdens, and etiologies », Journal of Palliative Medicine, vol. 14, no 10,‎ , p. 1167–1172 (ISSN 1557-7740, PMID 21895451, Central PMCID 3189385, DOI 10.1089/jpm.2011.0109, lire en ligne)
  2. 2,00 2,01 2,02 2,03 2,04 2,05 2,06 2,07 2,08 2,09 2,10 2,11 2,12 2,13 2,14 2,15 2,16 2,17 2,18 2,19 2,20 2,21 2,22 2,23 2,24 2,25 2,26 2,27 2,28 2,29 2,30 2,31 2,32 2,33 2,34 2,35 2,36 2,37 2,38 et 2,39 Janna Baker Rogers, Pranav Modi et Jeffrey F. Minteer, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 30252378, lire en ligne)
  3. David C. Currow, Amy P. Abernethy, Peter Allcroft et Robert B. Banzett, « The need to research refractory breathlessness », The European Respiratory Journal, vol. 47, no 1,‎ , p. 342–343 (ISSN 1399-3003, PMID 26721965, DOI 10.1183/13993003.00653-2015, lire en ligne)
  4. Giorgio Scano, Giulia Innocenti-Bruni et Loredana Stendardi, « Do obstructive and restrictive lung diseases share common underlying mechanisms of breathlessness? », Respiratory Medicine, vol. 104, no 7,‎ , p. 925–933 (ISSN 1532-3064, PMID 20303724, DOI 10.1016/j.rmed.2010.02.019, lire en ligne)
  5. Marjolein Gysels, Charles C. Reilly, Caroline J. Jolley et Caty Pannell, « Dignity Through Integrated Symptom Management: Lessons From the Breathlessness Support Service », Journal of Pain and Symptom Management, vol. 52, no 4,‎ , p. 515–524 (ISSN 1873-6513, PMID 27650009, DOI 10.1016/j.jpainsymman.2016.04.010, lire en ligne)
  6. Charles C. Reilly, Claudia Bausewein, Caty Pannell et John Moxham, « Patients' experiences of a new integrated breathlessness support service for patients with refractory breathlessness: Results of a postal survey », Palliative Medicine, vol. 30, no 3,‎ , p. 313–322 (ISSN 1477-030X, PMID 26311570, Central PMCID 4778380, DOI 10.1177/0269216315600103, lire en ligne)
  7. Evan J. Lilly et Helen Senderovich, « Palliative care in chronic obstructive pulmonary disease », Journal of Critical Care, vol. 35,‎ , p. 150–154 (ISSN 1557-8615, PMID 27481751, DOI 10.1016/j.jcrc.2016.05.019, lire en ligne)
  8. 8,0 et 8,1 Katri Elina Clemens et Eberhard Klaschik, « Dyspnoea associated with anxiety--symptomatic therapy with opioids in combination with lorazepam and its effect on ventilation in palliative care patients », Supportive Care in Cancer: Official Journal of the Multinational Association of Supportive Care in Cancer, vol. 19, no 12,‎ , p. 2027–2033 (ISSN 1433-7339, PMID 21153667, DOI 10.1007/s00520-010-1058-8, lire en ligne)
  9. Jung Hye Kwon, Min Ji Kim, Sebastian Bruera et Minjeong Park, « Off-Label Medication Use in the Inpatient Palliative Care Unit », Journal of Pain and Symptom Management, vol. 54, no 1,‎ , p. 46–54 (ISSN 1873-6513, PMID 28479415, Central PMCID 5841461, DOI 10.1016/j.jpainsymman.2017.03.014, lire en ligne)
  10. Steffen T. Simon, Irene J. Higginson, Sara Booth et Richard Harding, « Benzodiazepines for the relief of breathlessness in advanced malignant and non-malignant diseases in adults », The Cochrane Database of Systematic Reviews, vol. 10,‎ , CD007354 (ISSN 1469-493X, PMID 27764523, Central PMCID 6464146, DOI 10.1002/14651858.CD007354.pub3, lire en ligne)
  11. Carlo Barbetta, David C. Currow et Miriam J. Johnson, « Non-opioid medications for the relief of chronic breathlessness: current evidence », Expert Review of Respiratory Medicine, vol. 11, no 4,‎ , p. 333–341 (ISSN 1747-6356, PMID 28282499, DOI 10.1080/17476348.2017.1305896, lire en ligne)
  12. David Hui, Kelly Kilgore, Susan Frisbee-Hume et Minjeong Park, « Dexamethasone for Dyspnea in Cancer Patients: A Pilot Double-Blind, Randomized, Controlled Trial », Journal of Pain and Symptom Management, vol. 52, no 1,‎ , p. 8–16.e1 (ISSN 1873-6513, PMID 27330023, Central PMCID 4958556, DOI 10.1016/j.jpainsymman.2015.10.023, lire en ligne)
  13. Natasha Lovell, Sabrina Bajwah, Matthew Maddocks et Andrew Wilcock, « Use of mirtazapine in patients with chronic breathlessness: A case series », Palliative Medicine, vol. 32, no 9,‎ , p. 1518–1521 (ISSN 1477-030X, PMID 30028237, DOI 10.1177/0269216318787450, lire en ligne)
  14. Jun Kako, Tatsuya Morita, Takuhiro Yamaguchi et Masamitsu Kobayashi, « Fan Therapy Is Effective in Relieving Dyspnea in Patients With Terminally Ill Cancer: A Parallel-Arm, Randomized Controlled Trial », Journal of Pain and Symptom Management, vol. 56, no 4,‎ , p. 493–500 (ISSN 1873-6513, PMID 30009968, DOI 10.1016/j.jpainsymman.2018.07.001, lire en ligne)
  15. Pia von Blanckenburg et Nico Leppin, « Psychological interventions in palliative care », Current Opinion in Psychiatry, vol. 31, no 5,‎ , p. 389–395 (ISSN 1473-6578, PMID 29985177, DOI 10.1097/YCO.0000000000000441, lire en ligne)
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