Choriorétinopathie séreuse centrale

De Wikimedica
Choriorétinopathie séreuse centrale
Maladie

Choriorétinopathie séreuse centrale avec augmentation de l'épaisseur choroïdienne visible à l'OCT
Caractéristiques
Signes
Symptômes
Diagnostic différentiel
Sclérite, Décollement de la rétine, Dégénérescence maculaire liée à l'âge, Membrane néovasculaire myopique choroidale, Tumeur de la choroïde, Choriérétinopathie hypertensive, Infiltration leucémique de la choroïde, Choriorétinopathie secondaire au myélome multiple, Occlusion veineuse de la rétine, Fossette colobomateuse de la papille
Informations
Terme anglais Central serous chorioretinopathy
Spécialité Ophtalmologie

Page non révisée

La choriorétinopathie séreuse centrale est une maladie dans laquelle un décollement séreux de la rétine neurosensorielle se produit sur une zone de fuite de la choriocapillaire à travers l'épithélium pigmentaire rétinien (EPR). Il s'agit d'une maladie maculaire auto-limitée caractérisée par une distorsion, une vision floue et une métamorphopsie. D'autres causes de fuites de l'épithélium pigmentaire rétinien, telles que la néovascularisation choroïdienne, l'inflammation ou les tumeurs, doivent être exclues pour poser le diagnostic. La néovascularisation choroïdienne est également une complication rare de la choriorétinopathie séreuse centrale.[1]

Épidémiologie

  • La plupart des patients qui présentent une choriorétinopathie séreuse central ont entre 28 et 68 ans, avec un âge moyen de 43 ans.[2] Ceux qui ont plus de 50 ans sont plus susceptibles d'avoir une maladie bilatérale (50%) avec perte d'EPR et néovascularisation choroïdienne que ceux de moins de 50 ans.[3]
  • La choriorétinopathie séreuse centrale a tendance à affecter les hommes (9,9 / 100 000) environ six fois plus que les femmes (1,7 / 100 000).
  • Une prévalence similaire a été notée dans les populations caucasiennes, afro-américaines et asiatiques.[4][5][6]

Étiologies

Bien que les mécanismes exacts derrière la choriorétinopathie séreuse centrale n'aient pas été élucidés, de nombreuses associations ont été trouvées :

Physiopathologie

Aucune cause physiopathologique du CSCR n'a été identifiée.[6]

Présentation clinique

Facteurs de risque

  • Grossesse
  • Utilisation d'antibiotiques
  • Consommation d'alcool
  • Hypertension non traitée
  • Apnée obstructive du sommeil[8]
  • Troubles psychiatriques tels que la dépression sont plus susceptibles d'avoir une récidive[9]
  • D'autres associations incluent :
    • Syndrome de Cushing
    • Lupus érythémateux disséminé (LED)
    • Transplantation d'organes
    • Insuffisance rénale terminale[6]

Questionnaire

  • Perte de vision centrale
  • Distorsion avec un possible scotome central
  • Micropsie (les objets sont perçus plus petits qu'ils ne le sont en réalité)
  • Décalage hypermétropique ou myopique
  • Sensibilité au contraste et la saturation des couleurs réduites

Les patients sont généralement en bonne santé, mais l'hypercortisolisme doit être exclu, en particulier dans les cas chroniques. La personnalité de type A, les douleurs abdominales dues à H. pylori et la grossesse, l'utilisation de MDMA et l'utilisation de sildénafil peuvent être associées comme décrit ci-dessus.[6]

Examen clinique

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

Le diagnostic de la choriorétinopathie séreuse centrale est vaste:[6]

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Complications

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

Prévention

La section facultative Prévention ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Fait partie de la présentation clinique de ...

Aucune maladie ne correspond à la requête.

Est une complication de ...

Aucune maladie ne correspond à la requête.

Notes

La section facultative Notes ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Dans la section notes se trouve toutes les notes de bas de page (références du groupe "note" [ou autres]).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Pour ajouter des notes, passez par la fonction d'ajout de notes. Il est aussi possible d'ajouter des notes d'autres groupes, comme "pharmaco", "pédiatrie", "indications", etc. Classez ces autres groupes de notes dans des sous-sections. N'ajoutez pas de notes manuellement.
Exemple:
 
TRAITEMENTS

Les traitements:

  • médicament 1, 100-200 mg PO DIE[pédiatrie]
  • traitement 2 BID x 1 sem[gériatrie]

NOTES


Gériatrie

  1. Poursuivre le traitement 2 semaines de plus.

Pédiatrie

  1. 10mg/kg die


Références

  1. (en) Kean Theng Oh, « Central Serous Chorioretinopathy », Medscape,‎ (lire en ligne)
  2. H. C. Gäckle, G. E. Lang, K. A. Freissler et G. K. Lang, « [Central serous chorioretinopathy. Clinical, fluorescein angiography and demographic aspects] », Der Ophthalmologe: Zeitschrift Der Deutschen Ophthalmologischen Gesellschaft, vol. 95, no 8,‎ , p. 529–533 (ISSN 0941-293X, PMID 9782727, DOI 10.1007/s003470050310, lire en ligne)
  3. R. F. Spaide, L. Campeas, A. Haas et L. A. Yannuzzi, « Central serous chorioretinopathy in younger and older adults », Ophthalmology, vol. 103, no 12,‎ , p. 2070–2079; discussion 2079–2080 (ISSN 0161-6420, PMID 9003341, DOI 10.1016/s0161-6420(96)30386-2, lire en ligne)
  4. Uday R. Desai, Amir A. Alhalel, Thomas J. Campen et Rhett M. Schiffman, « Central serous chorioretinopathy in African Americans », Journal of the National Medical Association, vol. 95, no 7,‎ , p. 553–559 (ISSN 0027-9684, PMID 12911253, Central PMCID 2594640, lire en ligne)
  5. Alicia C. S. W. How et Adrian H. C. Koh, « Angiographic characteristics of acute central serous chorioretinopathy in an Asian population », Annals of the Academy of Medicine, Singapore, vol. 35, no 2,‎ , p. 77–79 (ISSN 0304-4602, PMID 16565758, lire en ligne)
  6. 6,0 6,1 6,2 6,3 6,4 et 6,5 (en) « Central Serous Chorioretinopathy - EyeWiki », sur eyewiki.aao.org (consulté le 20 avril 2020)
  7. Güliz F. Yavaş, Tuncay Küsbeci, Murat Kaşikci et Ersin Günay, « Obstructive sleep apnea in patients with central serous chorioretinopathy », Current Eye Research, vol. 39, no 1,‎ , p. 88–92 (ISSN 1460-2202, PMID 24047212, DOI 10.3109/02713683.2013.824986, lire en ligne)
  8. Robert Haimovici, Sean Koh, David R. Gagnon et Todd Lehrfeld, « Risk factors for central serous chorioretinopathy: a case-control study », Ophthalmology, vol. 111, no 2,‎ , p. 244–249 (ISSN 0161-6420, PMID 15019370, DOI 10.1016/j.ophtha.2003.09.024, lire en ligne)
  9. Andrew C. T. Fok, Poemen P. M. Chan, Dennis S. C. Lam et Timothy Y. Y. Lai, « Risk factors for recurrence of serous macular detachment in untreated patients with central serous chorioretinopathy », Ophthalmic Research, vol. 46, no 3,‎ , p. 160–163 (ISSN 1423-0259, PMID 21389741, DOI 10.1159/000324599, lire en ligne)
Les sections suivantes sont remplies automatiquement et se peupleront d'éléments à mesure que des pages sont crées sur la plateforme. Pour participer à l'effort, allez sur la page Gestion:Contribuer. Pour comprendre comment fonctionne cette section, voir Aide:Fonctions sémantiques.

Fait partie de la présentation clinique de ...

Aucune maladie ne correspond à la requête.

Est une complication de ...

Aucune maladie ne correspond à la requête.