Utilisateur:Lisa hannane/Brouillons/Otite moyenne avec épanchement

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Otite moyenne avec épanchement
Maladie
Caractéristiques
Signes
Symptômes

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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

L'otite moyenne avec épanchement (OME) correspond à une accumulation de liquide derrière un tympan intact sans évidence de signe ou symptôme aigu. Il est important de la distinguer de l'otite moyenne aigue (OMA), qui elle, se définit par une infection cliniquement identifiable avec un début soudain et de courte durée. L'OMA survient souvent après l'OME.

Dans l'OME , le liquide exerce une pression importante sur le tympan. La mobilité tympano-ossiculaire est ainsi diminuée ce qui peut mener à une surdité de conduction légère à modérée. On parle de forme chronique d'OME lorsque celle-ci dure 3 mois ou plus. L'OME porte plusieurs noms, tels que otite moyenne séreuse, muqueuse, ou encore, sécrétoire ou non suppurative.

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

L'OME est l'une des maladies infectieuses les plus fréquentes chez l'enfant et la cause de surdité acquise la plus fréquente chez l'enfant. [1] La maladie affecte généralement les enfants âgés de 1 à 6 ans. Il y a une prévalence plus élevée à l'âge de 2 ans, qui diminue après l'âge de 5 ans. L'OME est plus fréquente pendant les mois d'hiver, ce qui correspond à des taux plus élevés de patients atteints d'atteintes respiratoires supérieures. infections. [2]

L'OME touche principalement les enfants et il s'agit de la cause la plus fréquente de surdité chez les enfants.

Étiologies

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Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

Les étiologies les plus courantes sont :

  • Orientation horizontale de la trompe d'Eustache chez les enfants (explique également la plus grand fréquente d'OME chez les enfants par rapport aux adultes qui ont une trompe d'Eustache plus allongée et inclinée caudalement)
  • Anomalies du développement du palais
  • Variations anatomiques : fente palatine, Syndrome de Down
  • Patients trisomiques ayant des troubles de la fonction mucociliaire

Physiopathologie

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Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.
Otite séreuse Otite muqueuse
L'obstruction de la trompe d'Eustache entraîne une diminution de la pression intratympanique et une transsudation des vaisseaux sous- épithéliaux. Le liquide est clair et séreux. Il s'agit d'une otite séreuse. Si l'obstruction persiste, il y a hyperplasie de la muqueuse, formation de nouvelles structures glandulaires, augmentation et vasodilatation des vaisseaux de l'espace sous-épithélial. Le liquide est maintenant plus épais. Il s'agit d'une otite muqueuse.

Si l'obstruction n'est pas levée, il peut y avoir augmentation de la réaction inflammatoire avec des petites hémorragies capillaires. Il y a dépôt de cristaux de cholestérol et des pigments sanguins sont libérés. Une réaction inflammatoire à corps étranger se fait autour de ces cristaux de cholestérol et de ces pigments sanguins. Il y a formation de tissu de granulation. Il s'agit d'un granulome de cholestérol.

Obstruction secondaire aux végatations adénoïdes hypertrophiées :

  • les végétations adénoïdes peuvent obstruer la trompe d'Eustache, entraînant une mauvaise ventilation de l'oreille moyenne. Ce type de blocage peut entraîner un OME. Parce que les végétations adénoïdes sont une structure lymphatique, il est possible qu'elles puissent transmettre des bactéries dans la trompe d'Eustache et permettre la croissance de biofilms. Une telle croissance bactérienne peut provoquer une inflammation qui faciliterait également le blocage et l'accumulation de liquide dans l'oreille moyenne.

Présentation clinique

La section obligatoire Présentation clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

Facteurs de risque

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Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Les facteurs de risque sont [3] :

  • Âge (surtout chez les jeunes)
  • Alimentation au biberon
  • Enfant allant à la garderie (surtout si <1 an)
  • Antécédents d'otite moyenne aigue
  • Infections respiratoires (pathogènes principaux associés : Streptocoque peneumoniae, Hemophilius influenzae, Moraxella catarrhalis )
  • Tabagisme passif (fumée secondaire)
  • Reflux gastro-oesophagien (RGO)
  • Allergie respiratoire
  • Dysmorphie craniofaciale
  • Hypertrophie des végétations adénoïdes

Questionnaire

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Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

Les symptômes de cette maladie sont[4] :

  • Surdité
  • Sensation de plénitude auditive ou impression d'avoir l'oreille qui saute
  • Otalgie occasionnelle
  • Vertige (rare)
  • Acouphène

Autres éléments à surveiller chez l'enfant (<12 ans) pouvant être associées à l'OME :

  • troubles de la communication
  • troubles du comportement
  • troubles de l'équilibre

D'autres éléments à rechercher au questionnaire sont :

  • Histoire
  • Environnement (pollution, qualité de l'air)

Examen clinique

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

Examen ORL (lien pour être redirigé vers la section examen ORL pour toutes les étapes de l'examen physique complet).

L'examen clinique est répété à des intervalles de 3 mois. Dans le cas d'exacerbation des symptômes un suivi plus rapproché sera effectué.

Les examens cliniques pertinents sont :

  • Inspection
    • Signes IVRS (rhinorrhée, toux)
    • Signes d'allergie (rougeur conjonctivale, larmoiement, faciès adénoïdien)
  • Otoscope
    • Opacité tympanique
    • Diminution de la mobilité tympanique (à l'otoscopie pneumatique)
    • Niveau hydro-aérique ou bulles peuvent être aperçus si le tympan est translucide
    • gonflement de la membrane tympanique atypique (plutôt attribuable à l'OMA)
    • OME chronique : tympanosclérose, cholestéatome, atrophie tympanique
  • Examen auditif (effectué avant et après traitement) : test de Webber et test de Rinne
    • Surdité de conduction
  • État du développement de l'enfant
    • retard de langage
    • problème d'apprentissage

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Les examens paracliniques pertinents sont :

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Le diagnostic est clinique (se référer à la section examen clinique).[5]

On parle d'OME chronique lorsque les mêmes signes sont visibles lors de l'otoscopie au suivi après 3 mois.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Le diagnostic différentiel de la maladie est :

  • OMA
  • carcinome du nasopharynx infiltrant de la trompe d'Eustache (chez adulte)

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 
Traitement médical Traitement chirurgical
  • Corticostéroides (à court-terme) : réduire l'inflammation locale, réduire la viscosité de l'effusion, améliorer la sécrétion de surfactant




  • Myringotomie avec insertion d'un tube de tympanostomie : Si OME persistante ou rétraction de la membrane tympanique
  • Adénoïdectomie : OME avec végétations adénoïdes hypertrophiées



L'OME est souvent auto-résolutive. L'observation est donc souvent la meilleure option. Par contre, s'il y a persistance des signes et symptômes, un traitement médical ou chirurgical sera envisagé.

Le traitement pharmacologique ne permet que d'atténuer temporairement les symptômes alors que l'utilisation à long terme de médication n'a aucun bénéfice. Le traitement antibiotique (10 jours à 6 mois) s'avère ne pas être efficace, car il n'a que peu ou pas d'effet sur l'audition ou la fréquence d'installation d'un tube de ventilation. L'usage d'antihistaminiques ou de décongestionnants n'améliore pas le pronostic d'OME

L'insertion d'un tube de ventilation a été démontré comme étant le seul traitement permettant de réduire le risque de récidives tout en permettant d'améliorer l'audition et de protéger against progression to cholesteatoma of the middle ear. Il est possible de combiner l'adénoïdectomie au tube de ventilation chez un enfant de > 4 ans ayant eu une endoscopie nasale (adénoïdes hypertrophiées) ou chez un enfant de < 4 ans avec des antécédents d'infections du nasopharynx récidivantes.

Autre option

  • Prothèses auditives : non-invasive dans les contextes de perte auditive avec atteinte langagière

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

En plus du traitement médical et chirurgical (dans certains cas), il peut être pertinent d'effectuer des exercices de renforcement des muscles tenseur veli palatini et releveur veli palatini dans un objectif de rééducation des trompes d'Eustache. Des exercices de respiration ainsi qu'une bonne hygiène nasale peuvent également s'avérer utiles.

Complications

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Les complications de cette maladie sont :

  • Rétraction tympanique, atélectasie, otite adhésive
  • Tympan atrophique
  • Érosion ossiculaire (longue apophyse de l'enclume est atteinte et surdité de conduction importante)
  • Tympanosclérose
  • Granulome cholestérol
  • Otite moyenne chronique, cholestéatome
  • Perte auditive permanente

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

L'OME est auto-résolutive dans beaucoup de cas. Pour un jeune enfant, l'aspect social est le plus souvent affecté en raison d'une diminution de l'audition. La sphère du langage peut également être touchée. Il existe certaines complications inhabituelles tels que les étourdissements, les troubles du comportement et la maladresse[3].

Prévention

La section facultative Prévention ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.
  • Ajuster la position de la tête de l'enfant dans les activités tels que l'allaitement pour assurer un bon drainage et éducation aux parents concernant l'anatomie de l'oreille moyenne de leur enfant.
  • Usage d'appareils auditifs (éviter les complications associées au tube de ventilation).
  • Surveillance étroite des signes et symptômes lorsque la prise en charge consiste en de l'observation. Ainsi, il sera possible de prévenir des complications telles que la rupture du tympan qui est associée à un mauvais pronostic.

Toxicocinétique

Les virus ou allergies peuvent conduire à une inflammation


L'otite peut également être causée par une inflammation provoquée par des virus ou des allergies. Alors que l'allergie est un facteur de risque important pour l'otite moyenne, les lignes directrices de pratique clinique (2004) ont conclu qu'il y avait peu de preuves pour soutenir des stratégies de gestion spécifiques pour l'OME induite par l'allergie. Cependant, il est logique de conclure qu'un traitement agressif de la rhinite allergique peut aider les patients qui développent une OME en conjonction avec des allergies. [6][2]

Oncologie chirurgicale

5.7% des patients peuvent présenter une OME secondaire à l'obstruction causée par un carcinome du nasopharynx.

Radio-oncologie

Chez les patients atteints d'un carcinome du nasopharynx, l'OME peut être induite par des traitements de radiothérapie. Ce type d'OME peut persister plusieurs mois. [7] Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour déterminer les risques de développer un OME post-radiothérapie et comment les doses d'irradiation peuvent influencer cette complication. [8][2]

La radiothérapie après un carcinome du nasopharynx peut entraîner diverses complications. La complication la plus courante est la xérostomie (c'est-à-dire la bouche sèche causée par un manque de salive). Dans certains cas, un OME persistant peut se développer, facilitant le besoin d'un traitement supplémentaire ou d'une intervention chirurgicale. [9][2]

Études pertinentes et essais en cours

Plusieurs thérapies différentes ont été essayées pour trouver des options de traitement efficaces pour l'OME. L'utilisation de stéroïdes oraux chez les enfants a montré certains avantages. Cependant, on ne sait pas si ces avantages sont cliniquement significatifs. [10] Des gouttes otiques ont également été utilisées pour maintenir la perméabilité du tube de tympanostomie. Ces essais n'ont montré aucune différence statistique dans le taux d'occlusion entre les patients qui ont reçu le traitement médicamenteux et les conditions de contrôle (sans médicament). [11][2]

Planification du traitement

L'OME est le plus souvent causée par des facteurs viraux ou allergiques, et non par une infection bactérienne. Par conséquent, l'utilisation d'antibiotiques n'est pas recommandée. De plus, il n'a pas été prouvé que les corticoïdes pour le traitement des allergies avaient un impact significatif sur les résultats de l'OME chez les patients. Pour ces raisons, les antibiotiques et les corticoïdes ne sont pas recommandés pour traiter l'OME. La meilleure pratique pour les patients OME est une attente vigilante de trois mois en première intention. Dans les cas où l'OME persiste, une référence à un spécialiste peut être faite pour évaluer les options de traitement chirurgical. [12][2]

Gestion de la toxicité et des effets secondaires

Bien que les gouttes ototopiques ne soient pas utilisées dans le traitement[2] de l'OME, celles-ci peuvent s'avérer ototoxiques si elles se rendent à l'oreille interne[9].

Consultations

La prise en charge se fait par différents parofessionnels de la santé, notamment les oto-rhino-laryngologistes ainsi que les audiologistes.


Références

__NOVEDELETE__
  1. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30554684
  2. 2,0 2,1 2,2 2,3 2,4 2,5 et 2,6 Frederick T. Searight, Rahulkumar Singh et Diana C. Peterson, Otitis Media With Effusion, StatPearls Publishing, (PMID 30855877, lire en ligne)
  3. 3,0 et 3,1 Ju Yeon Lee, Se-Hyung Kim, Chan Il Song et Young Ree Kim, « Risk factors for persistent otitis media with effusion in children: a case-control study », Yeungnam University Journal of Medicine, vol. 35, no 1,‎ , p. 70–75 (ISSN 2384-0293, PMID 31620573, Central PMCID 6784671, DOI 10.12701/yujm.2018.35.1.70, lire en ligne)
  4. Rachel Connolly, Aye Paing, Tim Reeves et Devavrata Joshi, « Otitis media with effusion in under 12s: summary of updated NICE guidance », BMJ,‎ , p2314 (ISSN 1756-1833, DOI 10.1136/bmj.p2314, lire en ligne)
  5. F. Simon, M. Haggard, R.M. Rosenfeld et H. Jia, « International consensus (ICON) on management of otitis media with effusion in children », European Annals of Otorhinolaryngology, Head and Neck Diseases, vol. 135, no 1,‎ , S33–S39 (ISSN 1879-7296, DOI 10.1016/j.anorl.2017.11.009, lire en ligne)
  6. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19843400
  7. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28540514
  8. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29698103
  9. 9,0 et 9,1 Cheng-Chang Lee et Ching-Yin Ho, « Post-treatment late complications of nasopharyngeal carcinoma », European archives of oto-rhino-laryngology: official journal of the European Federation of Oto-Rhino-Laryngological Societies (EUFOS): affiliated with the German Society for Oto-Rhino-Laryngology - Head and Neck Surgery, vol. 269, no 11,‎ , p. 2401–2409 (ISSN 1434-4726, PMID 22249834, DOI 10.1007/s00405-011-1922-2, lire en ligne)
  10. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30407151
  11. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29631747
  12. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29033123
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