ULaval:MED-1217/Flashcards de l'examen 2
Faux
Oui,
- Thérapie de soutien
- Thérapie de crise
- Alliance thérapeutique
- Image de crédibilité et de compétence
- Environnement confirmant l’expertise, prestige ou pouvoir du thérapeute
- Cadre stable et sécuritaire
- Cadre conceptuel théorique
- Ensemble de procédures et rites prescrits
- Apprentissage cognitif et affectif
- Médecin
- Psychologue
À un processus par lequel le symptôme disparait après récupération et verbalisation de l’émotion refoulée associée au symptôme
C'est une psychanalyse longue (3-6 ans) avec 3-4 rencontres de 50 minutes par semaine.
Interprétation des rêves
- Très large, non basées sur le diagnostique
- Motivation à comprendre
- Souffrance significative
- Capacité d’introspection et d’abstraction
- Bon contrôle pulsionnel et tolérance à la frustration
- Bon testing de la réalité
- Relations significatives
Thérapie comportementale
Vision négative de soi, des autres et du futur
- Généralisation
- Filtre
- Obligations fictives
- Personnalisation
- Rejet du positif
- …
- Structurée
- Brève (12-20 rencontres hebdomadaires)
- Thérapeute actif
- Empirisme collaboratif
- Questionnement socratique
- Comprend des devoirs
- Brève et structurée
- Choix d’un focus
- Thérapeute actif
- Actuel (et non sur les problèmes passés)
- Interpersonnel (et non intrapsychique, travail possible sur les pensées dans le but d’améliorer les relations et non de changer les distorsions)
- Deuil
- Transition de rôle
- Conflits interpersonnels
- Déficit interpersonnel
Dépression majeure
Faux
- Risque suicidaire médical: Relié à la létalité du moyen (par exemple utilisé une arme à feu vs des contraceptifs oraux).
- Risque suicidaire psychologique: Réfère au potentiel de létalité que le patient attribue au plan suicidaire, sans qu'il y ait vraiment de corrélation avec le risque médical réel (par exemple un patient qui croit que prendre 3 comprimés de Tylénol va le tuer et le fait).
Certains traits de tempérament et de caractère (par exemple l'impulsivité ou l'agressivité) sont davantage associés aux comportements suicidaires.
Faux
- Schizophrénies
- TP paranoïde
- Dépression majeure
- Alcoolisme
- Toxicomanies
Vrai
La présence d'une maladie psychiatrique.
Vrai
Faux
Hommes
Vrai
Hommes
Vrai
Triade qui décrit les 3 tendances qui prédisposent un individu à la dépression: vision négative de soi-même (worthlessness), vision négative des événements (helplessness) et proche pessimiste de l'avenir (hopelessness).
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
Par définition, les patients en hypomanie n'ont pas d'atteinte marquée du fonctionnement et ne nécessitent pas d'hospitalisation. Ils se sentent bien et ne vont donc pas souvent consulter.
- Caractéristiques psychotiques congruentes à l'humeur.
- Caractéristiques psychotiques non congruentes à l'humeur.
a
- Les deux se traitent de la même façon.
- La médication est la même, c'est la psychothérapie qui diffère.
- La psychothérapie est la même, c'est la médication qui diffère.
- Le traitement en entier est différent selon si la dépression est unipolaire ou bipolaire.
c
Extrait de millepertuis, acides gras de type oméga-3, traitement hormonal de remplacement de la testostérone, exercice physique.
Périodes de symptômes pendant au moins 2 ans, périodes présentes pendant au moins la moitié du temps et jamais de période de plus de 2 mois consécutifs sans les symptômes.
- Vrai
- Faux
a
- On peut considérer les approches psychothérapeutiques seules pour la dépression légère ou modérément grave.
- Il est préférable de combiner une approche thérapeutique à une pharmacothérapie pour la dépression modérément grave.
- Il faut considérer l'hospitalisation pour la dépression grave.
- Si un antidépresseur est amorcé, il faut commencer avec une dose au bas de la fourchette thérapeutique et augmenter au besoin.
a
- Optimisation: augmentation de la dose du même antidépresseur jusqu'à la dose maximale et selon la tolérance.
- Potentialisation de l'antidépresseur par une molécule d'une autre classe.
- Combinaison: ajout d'une deuxième antidépresseur qui agit différemment sur les neurotransmetteurs.
- Substitution: Remplacement de l'antidépresseur par un autre antidépresseur.
- MAB 1
- MAB 2
- Trouble dépressif caractérisé
- Épisode maniaque
- Impossible à déterminer
a
- MAB 1
- MAB 2
- Trouble dépressif caractérisé
- Épisode hypomaniaque
- Impossible à déterminer
b
- MAB 1
- MAB 2
- Trouble dépressif caractérisé
- Trouble cyclothymique
- Impossible à déterminer
a
- MAB 1
- MAB 2
- Trouble dépressif caractérisé avec caractéristiques psychotiques
- Trouble cyclothymique
- Trouble dépressif persistant
c
- Vrai
- Faux
b
Les spécificateurs aident à mieux décrire l'épisode, tandis que le diagnostic dépend seulement du type d'épisode (maniaque, hypomaniaque ou dépressif).
- Vrai
- Faux
a
Le trouble schizoaffectif est évoqué chez les patients présentant des épisodes clairement thymiques, mais chez qui persistent des symptômes psychotiques malgré une amélioration des symptômes thymiques.
Ces deux troubles sont sur un continuum clinique. Cependant, ce qui distingue le trouble dépressif persistant est la présence d'une humeur dépressive pendant minimum deux ans chez l'adulte et 1 an chez l'enfant et l'adolescent, et ce quasiment toute la journée, au moins un jour sur deux.
Noradrénaline, sérotonine, dopamine
L'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien.
Vrai
- Vrai
- Faux
a
Les électrochocs peuvent même parfois être utilisées en première intention.
Vrai
Lithium
MAB type II
Faux
Vrai
Femmes
- Premier épisode est dépressif
- Cycles rapides
- États mixtes
- Comorbidités
Faux
Vrai
Vrai
Faux
Faux
Vrai
Les personnes âgées
Faux
Vrai
La répétition d'échecs ou d'expériences négatives peut amener une personne à la passivité et à la conviction qu'il ne sert à rien de tenter d'améliorer son sort.
- TCC
- Thérapie interpersonnelle
- Thérapie basée sur la pleine conscience
- 15%
- 32%
- 63%
- 70%
c
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
a
Cela suggère un continuum du spectre de la psychose.
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
35%
- Vrai
- Faux
a
Dépression majeure = 15%
MAB = 1%- Trouble bipolaire 1: épisode maniaque (nécessaire), épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
- Trouble bipolaire 2: épisode hypomaniaque (nécessaire), épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
- Trouble bipolaire 1: épisode maniaque (nécessaire), épisode hypomaniaque, épisode dépressif caractérisé
- Trouble dépressif caractérisé: épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
a
- Durée des symptômes (au moins 1 semaine pour l'épisode maniaque, alors que c'est au moins 4 jours pour l'épisode hypomaniaque)
- Intensité de l'altération du fonctionnement (le recours à une hospitalisation conduit automatiquement au diagnostic d'un épisode maniaque)
- Présence de symptômes psychotiques (conduisent automatiquement au diagnostic d'un épisode maniaque)
Faux
IMAO
Bupropion
Bupropion
- Vrai
- Faux
b
- Syndrome sérotoninergique
- Syndrome de retrait
- Vrai
- Faux
a
Effets secondaires GI
Citalopram
ISRS
- Vrai
- Faux
b
Arythmies
- Vrai
- Faux
a
- Inhibition de la recapture
- Inhibition de la monoamine oxydase
- Antagonistes alpha 2
- Antagonistes 5HT2A
- Tricycliques
- ISRS
- IRNS
- IRDN
- Syndrome de Steven-Johnson
- Nécrolyse épidermique toxique
- Vrai
- Faux
a
- Lamotrigine
- Topiromate
- Gabapentin
- Acide valproïque
- Carbamazépine
- Oxcarbazépine
Les effets secondaires au niveau de la mémoire (perte) et le ralentissement cognitif.
- Cycles rapides
- Épisodes mixtes
- Séquence : dépression --> manie --> euthymie
- Abus de substances
- 3 épisodes ou plus avant l'essai du lithium
- Manie psychotique
- Épisodes de manie pure/classique
- Séquence : manie --> dépression --> euthymie
- Bonne réponse antérieure au lithium
- Histoire familiale de bonne réponse au lithium
Faux
L'après-midi
- L'hypothalamus est l'interrupteur qui permet l'alternance entre l'éveil et le sommeil.
- Les neurones cholinergiques permettent l'inhibition du sommeil paradoxal.
- La neurotransmission GABA permet la protection des stimulations du monde extérieur.
- Le tronc cérébral est l'interrupteur qui permet l'alternance entre le sommeil lent et le sommeil paradoxal.
b
- L'EEG avec des ondes alpha est présent dans le stade éveil yeux fermés du sommeil NREM.
- L'EEG avec des ondes thêta est présent dans le stade 2 - N2 du sommeil NREM.
- L'EEG avec des complexes K est présent dans le stade 2 - N2 du sommeil NREM.
- L'EEG avec des ondes delta est présent dans les stades 3-4 - N3 du sommeil NREM.
b
- Vrai
- Faux
a
Oui, mais elle est plus sensible aux stimuli en REM.
- Stade 1
- Stade 2
- Stade 3
- Stade 4
- REM
e
Vrai: 80% des rêves sont des rêves d'infortunes.
Sommeil paradoxal
Sommeil lent profond
Sommeil lent
- Mémoire
- Concentration
Faux
Faux
Vrai
Vrai
Fuseaux de sommeil et complexes K (stade 2).
Vrai
Vrai
- Diminution de la température corporelle
- Absence de lumière
- Augmentation de la sécrétion de la mélatonine
C'est le mécanisme qui facilite le sommeil proportionnellement au temps d'éveil avant le coucher (pression homéostatique).
- Horloge biologique circadienne
- Pression homéostatique
- 1 mois
- 2 mois
- 3 mois
- 6 mois
- 2 ans
d
Diminuer l'importance, voire être indifférent face à un symptôme important.
- Trouble à symptomatologie somatique
- Simulation
- Conversion
- Troubles factices
- Crainte excessive d'avoir une maladie
b,d
- Des gains primaires
- Des gains secondaires
a
Évitement de certaines activités, mobilise le soutien et la sympathie, maintien du partenaire dans un couple, évitement de punition/blâme, etc.
- Vrai
- Faux
b
Exemples: dysfonctionnement de neurotransmetteurs, traumatismes physiques, stress, style cognitif et percepteur, distorsions, manifestation physiologique de l'émotion, etc.
- Vrai
- Faux
a
- La fibromyalgie peut affecter 12 régions du corps.
- La fibromyalgie est un diagnostic de l'axe 1 (psychiatrique).
- La fibromyalgie touche 2% des Nords-Américains.
- Le diagnostic se base sur un index de douleur diffuse en identifiant les régions corporelles et les symptômes somatiques typiques.
b
TCC
- Augmentation du temps d'endormissement
- Diminution du temps de sommeil profond
- Sommeil fragmenté par des éveils fréquents
Vrai
Vrai
Faux
Douleur neuropathique
Femmes
Faux
- Paresthésies
- Anesthésie
- Étourdissements
- Déficits des sens (vision, olfaction, ouïe, etc.)
- Pseudoconvulsions (avec/sans perte de conscience, avec/sans mouvements anormaux)
- Troubles cognitifs
- Faiblesse ou paralysie
- Mouvements anormaux
- Problèmes liés à la déglutition
- Problèmes liés au langage
- Vrai
- Faux
b
C'est plutôt dans le trouble factice
- Anxiété
- Dépression
- Psychose
- Manie
a, b, c, d
- Anxiété
- Dépression
- Psychose
- Manie
a, b
Femmes
Vrai
TP histrionique
Faux
- Apparition récente du trouble
- Pas de comorbidités
- Adolescents/début de l'âge adulte
- Milieux ruraux
- Milieux défavorisés
- Pays en développement
Vrai
Faux
Une bonne alliance thérapeutique
- Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade.
- La pharmacothérapie spécifique du TSS est normalement bien tolérée.
- Les dépressions avec somatisation répondent moins bien au traitement antidépresseur.
- L'approche cognitive-comportementale-affective est préférée.
b
- Vrai
- Faux
b
Il faut plutôt viser l'adaptation optimale du malade et de sa condition.
Faux
Il existe une affection médicale réelle (le contenu) pour le contenant psychologique (maladie psychiatrique / symptôme psychologique).
Ne pas être capable de lire ses propres affects et émois.
Médecin-patient, patient-maladie et médecin-maladie.
Vrai
Confusion, ophtalmoplégie et ataxie.
- 1 mois
- 2 mois
- 6 mois
- 12 mois
d
- Une plus grande neurotoxicité liée à l'alcool est démontrée chez les femmes.
- Les hommes accusent des taux d'alcoolisme plus haut que les femmes.
- Les hommes sont plus sensible que les femmes aux impacts bio-psycho-sociaux de l'alcool.
- Les femmes sont plus sensibles à développer des complications liées à l'alcool.
c
- Opioïdes
- Cannabis
- Alcool
- Cocaïne et dérivés
- Hallucinogènes
c
- Métabolisme de l'alcool
- Le niveau de réponse
- La consommation des parents
- Les traits de personnalités
- La présence de comorbidités psychiatriques
c
Un déficit en B1 (thiamine)
Type 1
Type 2
- Vrai
- Faux
b
Le risque commence bien avant la première consommation: un style parental inadéquat, consommation dans l'entourage...
Faux
Vrai
Tonicocloniques et généralisées.
Vrai
- Recherche de sensation et de nouveauté
- Personnalité antisociale
- Impulsivité
Dans les 3 modèles, l'alcool entraine une réduction de l'état de vigilance ou de l'anxiété physiologique et cognitive, ce qui permet un renforcement par la diminution d'un stimulus négatif de la prise d'alcool.
Les 3 modèles sont:
- Théorie de la réduction de la tension
- Théorie de l'amortissement de la réponse au stress
- Hypothèse de l'automédication
Vrai
- Vrai
- Faux
b
La consommation d'alcool à elle seule n'est pas suffisante pour provoquer l'apparition d'un trouble lié à l'alcool. Importance de la génétique, des caractéristiques phénotypiques et des interactions sociales plus ou moins favorables.
Préviennent les crises convulsives et le DT.
- Vrai
- Faux
a
But = aider le patient à trouver sa motivation intrinsèque au changement par l'exploration de l'ambivalence.
Atténue le renforcement fait par l'alcool.
Vrai
Vrai
- La cocaïne bloque la recapture NA-5HT-DA.
- La methamphétamine permet la libération de NA-5HT-DA.
- La MDMA permet la libération de 5-HT.
- Le cannabis a un récepteur de type protéine kinase.
d
- Cannabis
- Cocaïne
- Méthanphétamine
- MDMA
- Crystal-Meth
a
- Cannabis: environ 10 jours si usage à court terme et plus de 3 semaines si usage chronique
- Cocaïne: 3 à 7 jours
- Methamphétamine:1 à 3 jours
- Crystal-meth: 1 à 3 jours
- MDMA: 2 à 4 jours
Hommes