ULaval:MED-1202/Flashcards de l'examen 1
4e espace intercostal
11 côte, en paravertébral
2-3 cm au-dessus de la clavicule sur une ligne verticale tracée au tier médial de la clavicule
- Réseau superficiel sous-pleural
- Réseau profond (bronchique)
- Le hile correspond aux racines des poumons qui relient les poumons au coeur et aux bronches souches
- Le tronc inférieur du lobe supérieur gauche correspond à la Lingula
- Les artères bronchiques proviennent de l'aorte thoracique
- Les 2 artères pulmonaires contiennent du sang oxygéné
d
RES-042, RES-052, RES-053
Ce sont les 4 veines pulmonaires qui contiennent le sang oxygénéDroit
- Vrai
- Faux
a
À droite
Segment supéro-dorsal (apical) du lobe inférieur droit
- Vrai
- Faux
b
Le tronc commun est pour les lobes supérieur et moyen à droite
- Grande scissure (scissure oblique)
- Petite scissure (scissure horizontale)
Veine jugulaire interne gauche (crosse du canal thoracique)
T4-T5
Entre l'aorte et la veine azygos
- Deux troncs lombaires (L1,L2)
- Citerne de Pecquet (dans l'abdomen)
- Bronche souche droite
- Artère pulmonaire droite
T4
- La bronche souche droite est de plus gros calibre que la bronche souche gauche
- La fenêtre aorto-pulmonaire correspond à la surface sous la crosse aortique dans le thorax gauche
- Le ligament artériel se trouve dans le thorax droit
- La grande veine azygos passe dans l'orifice aortique du diaphragme (D12) et se trouve dans le thorax droit
c
RES-041
La fenêtre aorto-pulmonaire, correspond à l'espace sous la crosse aortique= thoracique gauche. Dans cet espace se trouve le nerf récurrent laryngé gauche et le ligament artériel.Nerf récurrent laryngé gauche
La droite est:
- Plus rectiligne et verticale (gauche = horizontale)
- Plus courte (2cm vs 5cm pour gauche)
- De plus gros calibre
- Croisée par la veine azygos (vs l'arc aortique à gauche)
- Les nerfs récurrents laryngés droit et gauche se retrouvent dans le sillon entre la trachée et l'oesophage et vont innerver leur corde vocale respective
- le tronc brachiocéphalique artériel se nomme l'artère innominée
- Les nerfs récurrents laryngés sont des branches du nerf thoracique
- Les veines thyroïdiennes inférieures et la thyroïde font partie de la portion de la trachée cervicale
- Le thymus, la veine innominée, l'artère innominée (brachiocéphalique), la crosse aortique, les nerfs récurrents laryngés et l'oesophage font partie de la trachée thoracique
c
RES-031
récurrents laryngés sont des branches du nerf vague- Vrai
- Faux
b
Il chemine sous l'artère sous-clavière droite
On trouve le nerf récurrent laryngé gauche. Le ligament artériel (un vestige) peut être trouvé dans la même région.
- Tronc brachiocéphalique veineux droit
- Tronc brachiocéphalique veineux gauche
Veine innominée ou Big Blue
Dans le tronc brachiocéphalique veineux gauche
2e, 3e et 4e anneaux
- Vrai
- Faux
a
Lame transverse
16 à 20 anneaux de C6 à D5
T5
- Vrai
- Faux
b
Faux
C'est un pyothorax (ou empyème)
- Artère mammaire interne
- Artères intercostales
- Artères médiastinales
- Artères diaphragmatiques
Le plexus pulmonaire (système nerveux autonome)
- Le sommet de la plèvre pariétale cervicale atteint 2-3 cm au-dessus de la clavicule
- La vascularisation lymphatique de la plèvre pariétale est assurée par les ganglions diaphragmatiques, mammaires internes, intercostaux et médiastinaux
- Les artères bronchiques assurent la vascularisation de la plèvre viscérale (2 à gauche, 1 à droite)
- Une accumulation de liquide dans la cavité pleurale peut se nomme un épanchement pleural (ou hydrothorax)
b
RES-021- RES-022 vascularisation artérielle, veineuse et lymphatique de la plèvre pariétale comprend les 3 mêmes noms : Mammaires internes, diaphragmatiques et intercostaux
Par contre, il y a des artères et des veines médiastinaux, mais pas des ganglions médiastinauxIl s'agit de la membrane suprapleurale a/n de la plèvre pariétale cervicale, soit un épaississement du fascia endothoracique
- Vrai
- Faux
a
Plèvre pariétale diaphragmatique
Ligament pulmonaire inférieur du poumon
- Les deux feuillets s'unissent au hile pulmonaire
- Les deux feuillets déterminent une cavité virtuelle, soit la cavité pleurale
- Le feuillet viscéral est insensible et indissociable du parenchyme
- Les cavités pleurales droite et gauche communiquent ensemble
d
Celui correspondant à C3, C4 et C5, soit l'épaule
La portion centrale (tendineuse) est innervée par les nerfs phréniques et la portion périphérique (musculaire) est innervée par les nerfs intercostaux (T5-T11) et les nerfs subcostaux (T12).
Le nerf phrénique (C3-C4-C5)
La bronche droite a une seule artère bronchique alors que la bronche gauche en a deux (sup et inf).
- Vrai
- Faux
b
Le canal thoracique et la veine azygos passent par le hiatus de l'aorte
- Vrai
- Faux
a
Ligament arqué médian
Le diaphragme est en forme de parachute. Il comporte un dôme droit qui arrive à la hauteur du 4e espace intercostal (environ T8) à cause du foie qui occupe un espace considérable et un dôme gauche qui arrive à la hauteur du 5e cartilage costal (environ T9).
Il y en a 3 : l’hiatus aortique (D12) l’hiatus œsophagien (D10) et le foramen de la veine cave inférieure (D8)
- Les piliers du diaphragme correspondent à la partie interne de l'insertion lombaire de la portion musculaire du diaphragme
- Le pilier droit et gauche sont unis par le ligament arqué médian, et celui-ci contourne l'orifice aortique
- Une paralysie de l'hémidiaphragme provoque une inspiration paradoxale du côté atteint (la coupole diaphragmatique va monter au lieu de descendre lors de l'inspiration)
- Une irritation diaphragmatique centrale peut provoquer une irritation cutané au rebord costal inférieur et de la paroi abdominale
d
RES-011, RES-012 Irritation diaphragmatique centrale = (C5 à C6) irritation cutanée a/n épaule
Irritation diaphragmatique périphérique = (T5 à T12): rebord costal inférieur et paroi abdominale- Sternale (xiphoïde)
- Costale (face interne des 6 derniers arcs costochondraux)
- Lombaire (vertébrale)
- Antérieur
- Droit
- Gauche
- Vrai
- Faux
b
Ça correspond à l'espace entre la 4e et la 5e côte
- Nerfs intercostaux 1-2: membre supérieur et thorax supérieur
- Nerfs intercostaux 3-6: paroi thoracique
- Nerfs intercostaux 7-12: thorax inférieur et abdomen
Veine, Artère et Nerf (en ordre: VAN)
Intercostal moyen
- Vrai
- Faux
a
- Ils proviennent des artères et veines sous-clavières
- Ils cheminent à environ 1-2 cm latéralement au sternum
- Ils deviennent les vaisseaux épigastriques supérieurs
- L'artère mammaire interne droite est celle utilisée pour la revascularisation coronarienne
d
Abaisser les cartilages costaux
- Bord supérieur du grand dorsal
- Bord inférieur et latéral du trapèze
- Bord spinal de l'omoplate
- Il correspond à la ligne axillaire antérieure
- Il s'insère sur la gouttière bicipitale de l'humérus
- Il est innervé par le nerf thoraco-dorsal (C6-C7-C8)
- Il fait de l'adduction du bras
a
Le muscle grand dorsal
- Le trapèze origine de C7 ainsi que des apophyses épineuses des 10 premières vertèbres dorsales
- Le trapèze et le SCM sont les seuls muscles innervés par le muscle accessoire (XIe nerf crânien)
- L'origine des rhomboïdes correspond à C7 ainsi que des 10 premières vertèbres dorsales
- Le grand dentelé et les rhomboïdes s'insèrent a/n (au niveau) du bord spinal (interne) de l'omoplate
c
RES-005
Origine des rhomboïdes = C7 et les 4 premières apophyses épineuses dorsales
- À noter qu'il peut avoir des variations anatomiques concernant l'origine du trapèze; chez certaines personnes le trapèze va débuter jusqu'à D12
C5, C6
Rhomboïdes
Affaissement des épaules
Le 11e nerf crânien (nerf spinal accessoire)
Nerf de Charles Bell
Muscle grand dentelé
- Il s'agit du muscle de l'escalade
- Il prend origine des 10 premières côtes
- Il s'insère sur le rebord spinal de l'omoplate
- Il est innervé par le nerf thoracique long (C5-C6-C7)
a
Grand et petit pectoraux
- Il prend origine des 3e, 4e et 5e côtes
- Il s'insère sur la gouttière bicipitale de l'humérus
- Il est innervé par le nerf pectoral médial
- Il est un muscle inspirateur accessoire
b
- Il correspond à la ligne axillaire antérieure
- Il s'insère sur l'humérus, au niveau de la gouttière bicipitale
- Il est innervé par le nerf pectoral latéral
- Il fait de l'abduction et de la rotation externe du bras
d
- Vrai
- Faux
a
1,2 et 12
2e côte
- Vrai
- Faux
b
Muscle scalène antérieur
Gouttière costale
- Les muscles intercostaux interne et externe originent du rebord inférieur de la côte supérieure et s'insèrent au rebord supérieur de la côte inférieure
- Le paquet VAN se trouve en dessous de la côte supérieure (dans la gouttière)
- Lorsqu'on doit insérer des tubes ou des aiguilles a/n thoracique, il faut s'assurer de l'insérer en dessous de la côte supérieure
- Le numéro de l'espace intercostal correspond à la côte sus-jacente
c
RES-004, RES-006
Jamais en dessous de la côte supérieure puisque cela correspond à l'endroit du paquet VAN. On va donc préférer l'insérer au-dessus de la côte inférieure (sauf si on veut anesthésier le patient, alors on veut trouver le nerf intercostal)- Externe
- Interne
- Supérieure
- Inférieure
L'apophyse transverse
- Vrai
- Faux
a
Les côtes flottantes (11 et 12) n'ont aucune articulation cartilagineuse avec le sternum. Les vraies côtes (les 7 premières) s'articulent au sternum via leur propre cartilage et les fausses côtes (8 à 10) s'articulent au sternum via le 7e cartilage costal.
Cartilages costaux 3 à 7
2e arc costocartilagineux
- Échancrure médiane: fourchette sternale
- Deux échancrures latérales pour les articulations avec les clavicules
3 sections
Les côtes 1, 2, 11 et 12 sont atypiques.
- Son squelette est composé de : sternum, 12 côtes et leur cartilage, 12 vertèbres
- L'orifice supérieur est composé de D1, fourchette sternale et la première côte
- L'orifice inférieur est composé de D12, L'apophyse xyphoïde et la 10e côte en postérieur
- La 2e côte s'insère a/n de l'angle de Louis
c
RES-001
C'est la 12e côte, et non la 10e en postérieur.- Le tubercule s'articule avec l'apophyse transverse de la vertèbre correspondante
- La crête (a/n de la tête) s'articule avec le disque intervertébral
- La paquet VAN se trouve dans la face inférieure du corps costal dans la gouttière costale
- La facette articulaire inférieure de la tête s'articule avec la vertèbre inférieure alors que la facette articulaire supérieure s'articule avec la vertèbre correspondante
d
RES-002, RES-004 Facette supérieure = avec vertèbre sup
Facette inf = vertèbre correspondante- Elle ne comporte qu'une seule facette articulaire qui s'articule avec D1
- Le corps contient le tubercule de Lisfranc. Cette éminence correspond au lieu d'insertion du muscle sous-clavier
- Le corps contient 2 gouttières. La gouttière antérieure est l'endroit où passe la veine sous-clavière
- Le corps contient 2 gouttières. La gouttière postérieure est l'endroit où passe l'artère sous-clavière
b
RES-002
Lisfranc = insertion du muscle scalène antérieur- Une des complications d'un trauma a/n des côtes en le volet thoracique, qui provoque un manque de stabilité au thorax. Ainsi, un patient en inspiration verra son volet thoracique atteint entrer à l'intérieur alors que le reste gonfle vers l'extérieur (le contraire se produit à l'expiration)
- Les muscles intercostaux s'insèrent à la face inférieure du corps des côtes
- Les 11e et 12e côtes n'ont pas de tubérosité
- Le paquet VAN passe au-dessus de la côte
d
RES-002, RES-003, RES-004
Paquet VAN passe en dessous de la côte (dans la gouttière costale qui se trouve sur la face inférieure de la côte)- La viabilité extra utérine est possible à environ 20 semaines
- Les poumons ont un rôle respiratoire pendant la vie intra-utérine
- La fin du développement du système respiratoire correspond à la naissance
- lors du stade embryonnaire, les divisions dischotimiques se produisent jusqu'aux bronchioles terminales
- la formation des bronchioles respiratoires et des canaux alvéolaires se produit lors du stade canaliculaire
e
RES-080
- a= viabilité à environ 24 semaines (production de surfactant et vascularisation fonctionnelle)
- b= pendant la vie intra-utérine, les poumons produisent du liquide amniotique
- c= la fin du développement respiratoire correspond à environ 8 ans post-partum
- d= le stade embryonnaire correspond aux divisions dischotimiques jusqu'aux bronches segmentaires, alors que le stade pseudoglandulaire correspond aux divisions dischotimiques jusqu'aux bronches terminales
Stade alvéolaire
- Sacs alvéolaires
- Canaux alvéolaires
- Vrai
- Faux
a
- Glycérophospholipides
- Protéines
- Graisses
- Cholestérol
Stade canaliculaire
Tissu mésenchymateux primitif
Sillon laryngotrachéal (stade embryonnaire)
- Embryonnaire
- Pseudoglandulaire
- Canaliculaire
- Sacculaire
- Alvéolaire
- Elle recouvre la surface des deux poumons et l'intérieur de la cavité thoracique
- Elle est constituée d'une couche de tissu fibroélastique et tapissée de cellules mésothéliales
- Le tissu fibroélastique est composé de quelques glandes séreuses qui ont la propriété de sécréter du liquide pleural qui permet un glissement entre les deux surfaces
- Des petits vaisseaux circulent dans le tissu fibroélastique
c
RES-079
ce sont les cellules mésothéliales qui sécrètent le liquide- L'ultrastructure des pneumocytes de type I comprend des corps lamellaires et des microvillosités
- Chaque lobule est centré d'une artériole et d'une bronchiole. Les vaisseaux lymphatiques drainent les septa lobulaires, les paquets bronchovasculaires et la plèvre viscérale
- La périphérie des lobules est délimitée par des septa lobulaires et de la plèvre viscérale.
- Les cellules de Clara remplacent les cellules ciliées et les cellules à mucus
a
RES-078
ce sont les pneumocytes de type II- Les pneumocytes de type I réalisent des échanges gazeux
- Les pneumocytes de type I occupent la majorité de la surface d'échange
- Les pneumocytes de type II sont de forme cuboïde
- Les pneumocytes de type II dérivent des pneumocytes de type I
d
Les pneumocytes de type II
Le lobule
- Non-ciliées
- Portion apicale élargie
- Rôle de sécrétion
- Progéniteur de l'épithélium bronchiolaire
- Elle comprend une bronchiole terminale ainsi que les alvéoles
- Elle comprend les bronchioles non-respiratoires, les sacs alvéolaires, les canaux alvéolaires et les alvéoles
- Elle comprend les bronchioles respiratoires, les canaux alvéolaires, les sacs alvéolaires et les alvéoles
- C'est l'unité fonctionnelle située proximalement aux bronchioles terminales
c
- Vrai
- Faux
b
C'est distalement
- les bronchioles respiratoires sont recouvertes complètement d'un revêtement épithélial cylindrique cilié
- Les bronchioles non-respiratoires sont composées d'un cartilage, alors que les bronchioles respiratoires en sont dépourvues
- Les canaux de Lambert relient les bronchioles entre elles
- La bronchiectasie correspond à une bronche anormalement plus grosse que l'artère qui l'accompagne
d
Épithélium cuboïde non-cilié
Bronchioles respiratoires
- Canaux de Martin (relient les bronchioles entre elles)
- Canaux de Lambert (relient bronchiole non respiratoire à une alvéole)
- Pores de Kohn (relient les alvéoles adjacentes)
Diamètre inférieur à 1mm
- Les cellules oncocytaires sont les cellules les plus touchées dans la fibrose kystique
- Le cartilage permet de conserver la lumière bronchique ouverte
- Les cellules musculaires lisses ont pour rôle de réguler le flux d'air dans les bronches
- Les cellules neuro-endocrines sont plus fréquentes que les cellules à mucus dans l'épithélium respiratoire
d
- Vrai
- Faux
b
Les nerfs sympathiques ne comportent que des cellules des gaines nerveuses (Schwann)
- Toux
- Étirement (mécanorécepteurs des muscles bronchiques)
- Pression (barorécepteurs des a.pulmonaires)
- Concentration des gaz dans le sang (chémorécepteurs de v.pulmonaires)
- Vrai
- Faux
b
Sécrétion d'ions
Chondrocytes
Mucine
Les cellules basales
- Cellules cylindriques ciliées
- Cellules basales
- Cellules à mucus
- Cellules neuro-endocrines
- Bronchodilatation
- Vasoconstriction
- Sécrétions muqueuses diminuées
- Bronchoconstriction
- Vasodilatation
- Sécrétions des glandes bronchiques augmentées
- Ils sont impliqués dans l'ouïe
- L'épiglotte agit comme un clapet qui permet aux aliments de passer du pharynx vers le larynx
- Le revêtement épithélial du pharynx et du larynx est de type respiratoire (pseudostratifié cylindrique cilié)
- Il sont impliqués dans l'odorat
a
Sous les cordes vocales du larynx
cellules pavimenteuses stratifiées
L'épiglotte
- Respiration
- Ouïe
- Déglutition
- Phonation
- Les cils sont composés de microtubules, et ceux-ci sont composés de tubuline
- L'axonème est composé de triplets périphériques et contient un doublet central alors que le centriole comporte 9 doublets périphériques, mais aucun doublet central
- La protéine rayonnante permet la stabilisation de l'axonème
- La dynéine permet le glissement entre les doublets périphériques au moyen de l'ATP.
- La nexine freine le glissement causé par les bras de dynéine
b
RES-073 Axonème = 9 doublets périphériques + 1 doublet central
Centriole = 9 triplets périphériques + ø doublet central- La protéine rayonnante
- Les bras de dynéine
- La nexine.
- Vrai
- Faux
b
Le doublet central se trouve seulement dans l'axonème
La portion extracellulaire du cil est nommée l’axonème et la portion intracellulaire est nommée le centriole. Tous deux sont composés de microtubules comportant une protéine, la tubuline. L'organisation des microtubules est différente au sein de l'axonème et du centriole.
- Permet la propulsion du mucus de la cavité nasale vers l'extérieur sous forme d'expectoration
- La couche profonde de mucus est visqueuse alors que la couche superficielle est liquide
- Les cils battent dans la couche profonde du mucus qui entraîne avec elle la couche superficielle contenant les débris
- Le fibrose kystique et le syndrome de Kartagener sont caractérisés par des infections récurrentes avec constriction secondaire des voies respiratoires
c
- Fibrose kystique (mucus trop visqueux)
- Syndrome de Kartagener (Cils immobiles)
- Vrai
- Faux
a
- Le revêtement épithélial des cornets est de type pseudostratifié cylindrique cilié. Les cellules cylindriques permettent la propulsion du tapis de mucus
- L'os des cornets est recouvert de lamina propria. Celle-ci est constituée de tissu conjonctif lâche avec beaucoup de vaisseaux sanguins
- La turgescence des cornets se produit lors d'un effort intense
- La média des vaisseaux qui se trouvent dans la lamina propria est composée de cellules musculaires lisses.
- Entre l'épithélium cylindrique cilié et le tissu conjonctif se trouvent des glandes de type mucineux ou séreux.
c
RES-071
La turgescence des cornets se produit lorsque l'air inhalé est froid et sec (pour humidifier et réchauffer l'air) alors que la décongestion se produit lors d'un effort intense pour laisser passer plus d'air- Lysozyme
- Lactoferrine
- Peroxydase
- Vrai
- Faux
a
- Frontaux
- Ethmoïdes
- Sphénoïdes
- Maxillaires
Réduction du poids de la tête et phonation
Filtration de la poussière
- Vrai
- Faux
b
Cornets supérieurs
Cornets inférieurs
Les cornets permettent d'orienter le flux de l’air, de réchauffer l’air, d'humidifier l’air et de nettoyer l’air.
- La MPOC est un syndrome obstructif non-réversible
- L'asthme est un syndrome restrictif réversible
- La fibrose est un syndrome restrictif parenchymateux
- La maladie neuromusculaire est un syndrome restrictif extra- parenchymateux
- La chirurgie est un syndrome restrictif extra-parenchymateux
b
- Un VEMS <80% confirme que c'est un syndrome restrictif
- Si on est dans un syndrome restrictif et que la DLCO est >80%, on considère un diagnostique extraparenchymateux (comme la SLA)
- La fibrose kystique est un syndrome restrictif avec une DLCO inférieure à 80%
- Une pneumonectomie est un syndrome restrictif extraparenchymateux, mais sa DLCO peut être <80%
a
il suggère un syndrome restrictif, mais une CPT <80% confirme le syndrome restrictif
- D= on va observer la DLCO/VA (KCO) pour voir la proportion. Parce que si une personne n'a que 75% de son poumon, il est normal qu'il va diffuser à 75%.
- Si le VEMS est entre 50 et 80%, on considère que c'est une syndrome obstructif modéré
- Si c'est un cas d'asthme, il n'y aura pas de changement dans la DLCO ou les volumes pulmonaires (CPT et VR)
- Si c'est un cas d'emphysème, il y aura une diminution de DLCO et une augmentation des volumes pulmonaires
- On va considérer que c'est un syndrome obstructif, même si le VEMS est >100%
d
- Vrai
- Faux
b
Faux
Après la prise de bronchodilatateurs.
250 mmHg. On verra une PiO2 de 50 mmHg (vs normalement = 760 mmHg et PiO2 = 150 mmHg) = hypoxémie
- Augmentation de la pression barométrique
- Diminution de la FIO2
- Augmentation de CO2 (hypercapnie)
- Hypoventilation
- anomalies ventilation/ perfusion
- Shunt
a
- pH
- Réflexes du nerf vague
- Récepteurs à l'étirement
- Récepteurs J (endobronchiques)
- Les chémorécepteurs centraux à la base du cerveau sont responsables de la réponse à l'O2
- Les chémorécepteurs périphériques répondent aux changement de CO2
- Les mécanismes de compensation d'un déséquilibre acido-basique ne sont jamais complets
- Les centres médullaires commandent l'inspiration
- Centre apneustique freine l'inspiration
c
- A= répondent au CO2
- B= répondent aux changements d'O2
- D= médullaire = rythmicité
- E= Apneustique = commande l'inspiration, c'est le pneumotaxique qui freine l'inspiration
pH = 7.15 PaCO2 = 60
[HCO3-] = 20- Acidose respiratoire non compensée
- Acidose mixte non compensée
- Acidose respiratoire partiellement compensée par alcalose métabolique
- Acidose métabolique non compensée
b
pH= 7.40 PaCO2= 55
[HCO3-] = 34- Acidose respiratoire compensée complètement par alcalose métabolique
- Alcalose métabolique compensée complètement par acidose respiratoire
- Situation normale
- Alcalose métabolique et acidose respiratoire
d
pH = 7.48 PaCO2 = 47
[HCO3-] = 34- Alcalose métabolique compensée par acidose respiratoire
- Alcalose respiratoire compensée par acidose métabolique
- Alcalose métabolique non compensée
- Acidose respiratoire compensée par alcalose métabolique
a
- Vrai
- Faux
b
Faux
* Alcalose métabolique = baisse de 10 HCO3- = baisse de 7 CO2
- Acidose métabolique = hausse de 10 HCO3- = hausse de 10 CO2
- Lors d'une acidose respiratoire aigu, une augmentation de 10 CO2 mène à une augmentation de 1 HCO3
- Lors d'une acidose respiratoire chronique, une augmentation de 10 CO2 mène à une augmentation de 3 HCO3
- Lors d'une alcalose respiratoire aigu, une diminution de 10CO2 mène à une diminution de 1 HCO3
- Lors d'une alcalose respiratoire aigu, une diminution de 10CO2 mène à une diminution de 3 HCO3
d
pH= 7.5 PaCO2= 48
[HCO3-] = 36- Acidose respiratoire partiellement compensée par alcalose métabolique
- Alcalose métabolique partiellement compensée par acidose respiratoire
- Alcalose respiratoire non compensée
- Alcalose métabolique complètement compensée par acidose respiratoire
b
pH = 7.20 PaCO2 = 62
[HCO3-] = 24- Acidose respiratoire compensée par alcalose métabolique
- Alcalose respiratoire compensée par acidose métabolique
- Acidose respiratoire non compensée
- Acidose métabolique non compensée
c
- Une diminution du pH = acidose. Augmentation du pH = alcalose
- Si la modification est due à un changement de la PaCO2, on va la classifier de "respiratoire".
- Le poumon est responsable de la modification du HCO3-
- Si la modification est due à un changement de HCO3-, on va la classifier de "métabolique"
c
- Vrai
- Faux
b
- Le poumon excrète les acides volatiles (élimination sous forme de gaz)
- Le rein excrète les acides fixes (sous forme liquide)
- Le rein s'occupe surtout de l'élimination du HCO3- alors que le poumon élimine le CO2
- Le poumon peut compenser complètement le déséquilibre sans l'aide du rein
d
- Rein (80mEq/24h)
- Poumon (13 000 mEq/24 h)
- Une base absorbe les ions H+ alors que l'acide les libère
- Quand le pH = pK, le système est aussi efficace à tamponner un acide qu'une base
- Le système bicarbonate est un système ouvert
- le pK du système bicarbonate est de 7.4
- Le système bicarbonate est un système de tampon qui communique avec l'extérieur via le CO2 dans le poumon
d
À un pH de 6.1, la concentration H2CO3 = HCO3- (donc pK est de 6.1)
À 7.4, 95% du système bicarbonate est sous forme dissociée = plus apte à tamponner des acides que des basesCorrespond au pH auquel 50% de l'acide est dissocié et 50% ne l'est pas
- Quantité de tampons disponibles
- pK du système tampon
- Mode de fonctionnement du tampon (ouvert ou fermé)
- Vrai
- Faux
a
Vrai
50% de l'activité tampon de l'organisme est assuré par le système bicarbonate
- Acide faible
- Sel de sa base conjuguée
H2CO3 ---- NaHCO3
HCl + (H2CO3/NaHCO3) ----- NaCl + H2CO3
- Vrai
- Faux
a
Car ne dissocie pas complètement tout ses ions H+ (Donne du HCO3- et H+ )
Entre un pH de 7.28 et 7.45, un changement de pH de 0.01 = changement de [H+] de 1nMol/L
pH de 7.28 = [H+] 52nMol/L pH 7.45 = [H+] 35 nMol/L
(diminution de 0.17 du pH = Augmentation de 17 nMol/L)
- L'écart de pH compatible avec la vie est de 7.35 à 7.45
- L'écart de [H+] compatible avec la vie est entre 20 et 80 nMol/L
- L'organisme tolère mieux un organisme acide qu'un organisme trop basique
- Un pH de 6.8 équivaut à une [H+] de 80 nMol/L
c
- A= 6.9 à 7.7
- B= entr 20 et 130 nMol/L
- C= car les bicarbonates sont très disponibles pour tamponner l'excès d'ions H+ et ainsi rétablir un équilibre
- D= 160 nMol/L
- La concentration d'ions H+ dans l'organisme est d'environ 400 nanomoles/L
- Plus il y a d'ions H+ libres dans la sang, moins le pH sera élevé
- Le pH normal est de 7.40
- Si on double la [H+], on diminue le pH de 0.3 (gros changements [H+]= petits changements pH)
a
- L'effet Haldane correspond à la diminution d'affinité de l'hémoglobine pour l'oxygène lorsqu'il transporte le CO2
- L'effet Bohr explique pourquoi une hémoglobine désaturée transporte plus de CO2 pour une pression partielle donnée (affinité augmentée de l'Hb pour le CO2)
- Le volume de CO2 transporté par le sang artériel est beaucoup plus élevé que le volume d'oxygène
- L'ion bicarbonate est le moyen de transport le moins utilisé par le CO2
c
- A= Effet Bohr
- B= effet Haldane
- C= CaCO2= 48mL/100mL vs CaO2 20mL/100mL
- D= C'est le moyen de transport privilégié (80% du CO2 est transporté sous cette forme)
- Une petite quantité est lié à des groupements amino = carbamino
- 10% du CO2 est transporté sous forme de groupement carbamino
- Le CO2 peut aussi se lier à l'hémoglobine
- L'affinité de l'hémoglobine pour le CO2 est inversement proportionnelle à la quantité d'O2 présent
b
2% sous forme de groupement carbamino
10% sous forme de groupement carbamino- hémoglobine- CO2+ H2O => H2CO3 => HCO3- + H+
- L'anhydrase carbonique et le transfert des chlorures permettent de garder une quantité de HCO3- élevée
- Le HCO3- compte pour 25% du transport du CO2 dans l'organisme
- L'anhydrase carbonique active la réaction par un facteur de 13000 fois et travaille dans le globule rouge
- La concentration normale de HCO3- dans le plasma est de 24 mEq/L
c
80% du transport d'oxygène sous forme de HCO3-
On s'attendrait à ce qu'il y en ait peu puisqu'il y a peu de CO2 dissout mais l'anhydrase carbonique et le transfert de chlorures permettent de favoriser l'équation vers la droite- Le CO2 dissout peut se combiner avec l'eau pour former de l'acide carbonique (H2CO3)
- Il y a 0.6mL de H2CO3/100mL de plasma
- Il y a 340x plus de CO2 dissout que de H2CO3
- Le H2CO3 est un intermédiaire important de la réaction qui mène au HCO3- (plaque tournante de la réaction)
b
- La quantité de CO2 dissout dans le sang est proportionnelle à la PaCO2 et son quotient de solubilité
- La quantité de CO2 dissout équivaut à environ 4mL/100mL de sang
- 8% du CO2 est transporté sous forme dissoute
- La quantité dissoute peut être rapportée en mEq/L/mmHg. Le coefficient est de 003 mEq/L/mmHg. Donc pour 40 mmHg x 0.03 mEq/L/mmHg = 1.2 mEq/L
b
PaCO2 = 40 mmHg Quotient de solubilité = 0.072mL/mm Hg/ 100mL
40 X 0.072 = 2.9 mL/100mL sang- Dissout - Acide carbonique - Ion carbonate - Composés carbamino
- La ventilation alvéolaire équivaut à la ventilation totale
- La ventilation totale (ou ventilation minute) se calcule par le volume courant (Vt) X Fréquence respiratoire (FR)
- La VE (ventilation minute ou totale) permet de bien évaluer la ventilation alvéolaire
- Chez une personne normale qui respire à environ 500 cc, environ 50cc ne participe pas aux échanges gazeux.
b
A= La ventilation totale comprend la ventilation alvéolaire et la ventilation qui ne participe pas aux échanges (espace mort)
C= c'est plutôt la PaCO2 qui permet de bien évaluer si la ventilation alvéolaire est appropriée car inversement proportionnelle à la ventilation alvéolaire
D= 150cc correspond au volume d'espace-mort (1/3 de la ventilation est perdue et le 2/3 ventile les alvéoles)- S'il y a une augmentation de la VCO2, il y aura une augmentation de la ventilation.
- La ventilation alvéolaire (VA) et directement proportionnelle à la production de CO2 (VCO2)
- La PaCO2 peut varier sans qu'il n'y ait d'impact sur l'organisme.
- Quand on augmente la ventilation alvéolaire (VA), on diminue la PaCO2 dans l'alvéole = augmentation du gradient de pression de CO2 entre le sang veineux et l'alvéole = débit de CO2 à travers la membrane augmente.
c
- Au repos, un individu normal consomme 250 mLO2/min et produit 250mLCO2/min
- Lors de l'exercice, la consommation d'O2 et la production de CO2 peuvent augmenter de 15 à 20x (donc de 3000 à 4000 mL/min)
- Il existe un équilibre entre la quantité de CO2 produit par les tissus en périphérie, la quantité de CO2 transportée dans le sang (PaO2) et la quantité de CO2 qui est excrétée par le poumon
- La ventilation permet de maintenir la PaCO2 constante lorsque la VCO2 augmente
a
Produit 200 mLCO2/ min
Donc le ratio VCO2/VO2 est de 0.8Hypoxie = O2 en quantité insuffisante pour les besoins métaboliques du tissu. Survient si la PaO2 dans la mitochondrie <7 mmHg (souffrance tissulaire due à un manque d'O2)
Hypoxémie = diminution du contenu d'oxygène dans le sang
- Le sang artériel a une [O2] qui est homogène partout dans l'organisme
- La consommation d'oxygène varie d'un tissu à l'autre
- Les organes qui consomment peu d'oxygène ne vont pas utiliser le sang.
- L'O2 tissulaire est beaucoup utilisé pour l'oxydation de l'acide pyruvique dans le cycle de krebs
c
- Vrai
- Faux
b
le sang veineux contient beaucoup d'oxygène ! environ 75% du contenu de sang artériel. L'Hémoglobine ne peut pas libérer complètement l'oxygène vers les tissus en périphérie
- Vrai
- Faux
b
C'est la PaO2 qui détermine la perfusion tissulaire.
Q= 5L/min Ca-vO2 = 5mLO2/100mL VO2= 250 mL/min
Décrit la relation entre le débit cardiaque Q et la différence du contenu artério-veineux (Ca-vO2) et la consommation en oxygène (VO2)
Qx (Ca-vO2) = VO2
À la consommation en oxygène
20 - 15 = 5 mL/100mL sang
Environ 40 mmHg (donc saturation aux alentours de 75%)
- O2 dissout= 40 X 0.003 = 0.12 mLO2/100mL
- O2 lié = 15 x 1.34 x 0.75 = 15.08 mL/100mL
- O2 total = 0.12 + 15.08 = 15.2 mL/100mL
90%
PaO2 = 100mmHg
Hb= 150g/L- O2 dissout= PaO2 X 0.003 = 100x 0.003 = 0.3mL/100mL
+
- O2 lié= Hb x (1.34ml O2/g Hb) X (%Sat) = 15 X 1.34 X 0.98 = 19.7mL/100mL
O2 total = 0.3 + 19.7 = 20 mL/100mL
L'hémoglobine est en g/DL
Pour trouver le % de saturation on regarde l'équivalent selon la PaO2 donnée dans le tableau. Une PaO2 de 100 mmHg équivaut à une SaO2 de 97-98%O2 dissout = PaO2 (mmHg) x 0.003
O2 lié = Hb X (1.34 mLO2/g Hb) X (%Sat)
C'est le volume d'O2 présent dans le sang artériel.
- Vrai
- Faux
a
C'est la PaO2 à laquelle la SaO2 est de 50%. Valeur normale de 26 mmHg
un déplacement vers la droite se traduirait par une augmentation de la P50 (donc >26mmHg)
Car il y a une compétition avec l'O2 pour se fixer sur l'Hb
- Un déplacement vers la droite signifie que la saturation de l'hémoglobine est plus basse pour une PaO2 donnée. Donc une tendance à augmenter la libération de l'oxygène vers les tissus
- L'anémie, une augmentation de la température, l'altitude cause un déplacement vers la droite de la courbe
- Un déplacement vers la gauche signifie qu'il y a une diminution de libération d'Oxygène aux tissus
- L'exercice et la diminution de pH bouge la courbe vers la gauche
- Une diminution de PaCO2 déplace la courbe vers la gauche
d
La courbe se déplace vers la droite lors d'une diminution de pH (augmentation d'ions H+), de température
La courbe se déplace vers la gauche dans les conditions inverses (diminution T°, augmentation de pH, diminution de PaCO2,...)- Vrai
- Faux
b
Faux
directe mais non linéaire
- Vrai
- Faux
a
Le % de sites de transport de l'O2 qui sont occupés
- Il y a 2 places sur l'hémoglobine pour le fer
- Le fer est contenu dans le groupe globine qui lui est lié aux chaînes de hème (alpha et bêta)
- La concentration normale de l'Hb est de 5g\100mL
- 1 gramme d'hémoglobine a la capacité de transporter 1.34mL d'O2 lorsque la saturation est à 100%
d
- A= 4 places disponibles (1 groupe hème par chaîne de globine et 4 chaînes par hémoglobine)
- B= le fer est sur le groupe hème lié à chacune des 4 chaînes de globine (2 alpha et 2 bêta)
- C= concentration normale de 15g/100mL de sang
- Le volume dissout d'O2 est directement proportionnel à la pression partielle d'O2 (PaO2)
- Quand la PaO2 est de 100mmHg, on calcule 0.3mL/100mL d'O2 sous forme dissoute
- L'hémoglobine permet d'augmenter par un facteur de 10 la capacité de transport d'oxygène dans le sang
- L'hémoglobine a un haut poids moléculaire composée de 4 chaînes d'acides aminés (2 alpha et 2 bêta)
c
Augmente par un facteur de 100 la capacité de transport d'Oxygène par le sang.
B est vrai car solubilité O2 : 0.003 ml/mmHg/100ml sang Donc O2d = 0.003ml x 100 mmHg (PaO2)
= 0.3 /100ml sang- Vrai
- Faux
b
Faux
On parle de 0.003ml d'O2/mmHg/100mL de sang. Ça va surtout être la forme combinée à l'hémoglobine
- Bronchite chronique, SLA, fibrose kystique
- Fibrose kystique, bronchite chronique, emphysème
- Asthme, SLA, fibrose kystique
- Asthme, bronchite chronique, emphysème
d
- Si on a un VEMS à 75% et un indice de Tiffeneau 85%, on parle d'une obstruction bronchique
- Un VEMS à 85% et un VEMS/CVF de 65% est un critère positif d'obstruction bronchique
- S'il y a une augmentation du VEMS de 250cc et une augmentation du VEMS de 5%, alors c'est un critère positif de réversibilité aux bronchodilatateurs
- Si les critères de syndrome restrictif sont rencontrés, alors on va nécessairement penser à la Fibrose Kystique
b
- A= C'est un syndrome restrictif si VEMS<80% et VEMS/CVF >80% et diminution des volumes pulmonaires
- B= un VEMS/CVF <70% de la valeur prédite et un VEMS <100% est un critère d'obstruction bronchique
- C= Augmentation du VEMS de >200cc et augmentation de VEMS de >12% = critère de réversibilité au bronchodilatateurs
- D= Il faut regarder la DLCO ou la KCO pour savoir si le syndrome est parenchymateux (fibrose kystique, la DLCO et KCO seront affectées ) ou extraparenchymateux (SLA (DLCO normale) ou pneumonectomie(DLCO diminuée mais KCO normale))
- La courbe d'expiration forcée doit être prise après le bronchodilatateur seulement
- Pour déterminer s'il y a une obstruction bronchique, on doit mesurer le VEMS et la CVF
- La boucle débit-volume, dérivée de la courbe d'expiration forcée, doit faire partie de ce bilan
- La CPT, la CRF et le VR sont des volumes qu'on doit mesurer lors du bilan fonctionnel respiratoire
a
- L'épaississement de la membrane alvéolo-capillaire peut retarder la diffusion
- L'emphysème diminue la diffusion
- Un exercice intense, qu'il soit associé ou non à une maladie ou à l'altitude, peut diminuer la capacité de diffusion.
- Il faut au moins 0.75 sec pour atteindre l'équilibration de part et d'autre de la membrane alvéolo-capillaire
d
Que la diffusion est inversement proportionnelle à sa densité
- Épaississement de la membrane alvéolo-capillaire (fibrose)
- Diminution du gradient de pression (altitude)
- Exercice intense
- Diminution de la surface d'échange (pneumonectomie et emphysème)
0,25 secondes
Loi de Graham
- La méthode en apnée (respiration unique) consiste en la mesure du taux de disparition du CO du gaz alvéolaire lors d'une apnée de 10 secondes
- Une personne qui fume aura une DLCO diminuée
- Une personne qui a passé 5 jours en altitude aura une meilleure DLCO
- La diffusion du CO n'est pas limitée par la membrane
d
La fibrose va augmenter la membrane = limiter la diffusion
les autres facteurs qui limitent la diffusion : Diminution du gradient de pression (altitude), exercice intense, diminution de la surface d'échange (pneumonectomie ou emphysème)0,75 secondes au repos et 0,25 secondes à l'effort
0,5 microns
- Méthode en apnée ou à respiration unique
- Méthode en état stable ou en respiration spontanée multiple
unités par mL/min/mmHg de pression alvéolaire
Méthode en état stable ou en respiration spontanée multiple= sujet respire une concentration basse de CO (0.1%). On mesure le taux de disparition du CO du gaz alvéolaire en fonction de la concentration alvéolaireDL = (VCO)/ PACO2
- DL= diffusion
- V= débit du gaz
- P1-P2 = gradient de pression de CO de part et d'autre de la membrane (alvéolo-capillaire). Mais comme la pression partielle de sang dans le capillaire est négligeable, on va seulement considérer la pression partielle alvéolaire du CO
- Vrai
- Faux
a
- La diffusion nécessite un temps d'équilibration suffisant pour atteindre un équilibre
- Le temps de transit du sang le long de la membrane est de 0.25 sec au repos
- La diffusion a besoin d'avoir un nombre suffisant d'unités alvéolo-capillaires
- Si on veut évaluer la diffusion, on est mieux d'utiliser la CO
b
- Perfusion
- Diffusion
20 fois plus rapidement
- La diffusion est proportionnelle à la différence de pression partielle de part et d'autre du tissu
- La diffusion est inversement proportionnelle à l'épaisseur du tissu
- Plus une molécule est grosse, plus la diffusion se fait rapidement
- Le transfert d'un gaz peut être limité par la perfusion et par la diffusion
c
Loi de Fick
V gaz = (A x D x (P1-P2)) / T
- V= débit
- A = surface
- D= capacité de la membrane à diffuser
- P1 et P2 = pressions partielles de part et d'autre
- T= épaisseur
- La pression artérielle de CO2 (PaCO2) est proportionnelle à la production en CO2 (VCO2)
- PaCO2 est indirectement proportionnelle à la ventilation alvéolaire (VA)
- La ventilation alvéolaire (VA) est inversement proportionnelle à la production de CO2 (VCO2)
- Le débit cardiaque du coeur gauche est égal au débit cardiaque du coeur droit
c
La ventilation alvéolaire est proportionnelle à la production de CO2 (VCO2)
PaCO2 = (VCO2 x 0.863) / VA
ou
VA = (VCO2 x 0.863) / PaCO2- Le volume d'O2 qui atteint l'alvéole est directement contrôlé par la ventilation
- La ventilation est médiée par le niveau de O2 artériel
- L'excrétion de CO2 se fait avant l'apport d'O2
- Il y a une relation directe entre la PaCO2 et la ventilation alvéolaire
d
- a= Indirectement
- b= c'est le CO2 qui influence la ventilation
- c= se font simultanément
- Ventilation (quantité d'O2 suffisante pour atteindre l'alvéole)
- Diffusion (L'interface ventilation-perfusion doit durer assez longtemps)
- Respiration externe (O2 air ambiant --> sang dans poumon)
- Transport de l'oxygène ([Hb] et Q)
- Respiration interne (O2 capillaires --> tissus)
- Quand la Ppl < Ptm-crit (ou PTM1) , le débit est indépendant de l'effort généré
- Le débit dépend des propriétés élastico-résistives du poumon
- La résistance à l'écoulement de l'air se situe entre l'alvéole et le point de PTM1
- Le débit diminue avec le volume pulmonaire parce que la pression élastique diminue et la résistance augmente
- Le débit expiratoire maximal dépend de l'interaction entre les pressions, le volume et la résistance bronchique
a
- Recul élastique des poumons
- Pression de fermeture critique des voies aériennes
- Résistance des voies aériennes en amont du segment compressible
L'endroit exact où la compression des bronches survient
Point d'égale pression
- Le diamètre des voies aériennes augmente avec le volume pulmonaire
- Le débit augmente avec l'effort tant qu'on est au-dessus de 75% de la CVF
- La compression dynamique des voies aériennes survient au PEP
- La limitation du débit expiratoire survient lorsque la pression transmurale critique est atteinte.
c
RES-100, RES-101
La compression survient un peu après le PEP (à la pression transmurale critique)- Un sujet normal devrait pouvoir expirer 80% de sa CVF après 1 seconde et 95% après 3 secondes
- Le débit expiratoire est effort-dépendant tout le long de l'expiration
- On atteint un débit maximal au début de l'expiration forcée (précocement)
- La résistance des voies aériennes est inversement proportionnelle au volume pulmonaire
b
RES-101, RES-099
Au départ, il est effort-dépendant, mais plus on expire, plus la pression diminue jusqu'à ce qu'on obtienne le point d'égal pression. Passé ce niveau, les voies aériennes sont comprimées et finissent par se fermer. Ainsi, peu importe l'effort qu'on voudrait y ajouter, ce facteur n'influencera plus le débit.3 secondes
Le rapport VEMS/CVF
VEMS
- L'air sort des poumons tant que la pression pleurale est plus basse (en valeur absolue) que la pression de recul élastique du poumon
- À la fin de l'inspiration, l'alvéole a accumulé de l'énergie élastique. Donc quand les muscle inspiratoires se relâchent, la pression intra-pleurale devient moins négative ce qui mène à une pression positive intra-alvéolaire
- Lors de l'expiration forcée, la pression pleurale devient très positive, alors que dans l'expiration normale, la pression pleurale devient simplement moins négative
- Lors de l'expiration forcée, la pression transpulmonaire est plus élevée que lors d'une expiration normale
d
RES-098
Lors de l'expiration forcée, la pression transpulmonaire demeure la même que lors d'une inspiration normale, mais on a augmenté la pression pleurale, ce qui augmente le gradient entre l'intérieur de l'alvéole et l'atmosphère.- L'air cesse d'entrer dans l'alvéole une fois l'équilibre est atteint entre la pression intra alvéolaire et la pression atmosphérique
- L'air va entrer dans le poumon tant que la pression pleurale est plus élevée en valeur absolue que la pression de recul élastique du poumon
- La pression de recul élastique du poumon s'accumule au fur et à mesure que l'air entre dans l'alvéole et que celle-ci augmente en volume
- En absence de mouvement d'air, la pression de recul élastique du poumon demeure plus négative que la pression pleurale
d
RES-098
Si ø mvt de l'air, la pression de recul élastique du poumon est égale et opposée à la pression pleurale- Vrai
- Faux
b
- Vrai
- Faux
a
La cage thoracique est de moins en moins compliante lorsque le volume des poumons diminue.
Le poumon est de moins en moins compliant lorsque le volume des poumons augmente.
- Recul élastique de la cage thoracique
- Fermeture des voies aériennes
- Force des muscles expiratoires
- Le recul élastique du poumon détermine le VR
- La force des muscles inspiratoires détermine le VR alors que la force des muscles expiratoires détermine la CPT
- Le recul élastique de la cage thoracique détermine le VR
- La fermeture des voies aériennes détermine la CPT
c
le recul élastique du poumon et la force des muscles inspiratoires
La courbe de changement de volume par changement de pression
- À la CPT, la pression maximale dans le système respiratoire est de +40cmH2O
- En-dessous de la CRF la pression dans le système est toujours négative alors qu'elle est toujours positive au-dessus de la CRF
- Au VR la pression minimale du système respiratoire est d'environ -10cmH2O
- La CRF correspond au moment d'équilibre entre la tendance du poumon à se collaber et de la cage thoracique à s'expandre = aucun travail des muscles respiratoires n'est nécessaire
- Si on veut augmenter le volume au-dessus de la CRF, on a besoin des muscles inspiratoires. Si on veut diminuer le volume sous la CRF, on aura besoin des muscles expiratoires
c
RES-096, RES-097
au VR la pression minimale correspond à -25cmH2O- La pression à l'intérieur du poumon est à +30 cmH2O à la CPT pour un poumon isolé
- La pression du poumon augmente avec le volume de façon curvilinéaire
- La pression dans la cage thoracique isolée au VR est de -20cmH2O
- La pression dans la cage thoracique isolée est de 0cmH2O à la CPT
d
RES-096, RES-097
Est de +10cmH2O à CPT- Plus le poumon gonfle, plus il veut se dégonfler, donc plus il faut travailler fort pour continuer à le gonfler.
- La tendance qu'à le poumon à se collaber à la fin d'une expiration normale est contrecarrée par la tendance de la cage thoracique à s'expandre (point d'équilibre lors de la CRF)
- La courbe de compliance correspond au changement de pression (∆V/∆P)
- La cage thoracique sans poumon s'écrase sur elle-même
d
RES-096, RES-097
Le poumon seul va se vider complètement. La cage thoracique seule va s'expandre un litre au-dessus de la CRF- Vrai
- Faux
b
C'est lorsque la pression augmente
- On pourrait la trouver en ouvrant la valve exactement à la fin de l'expiration forcée (V2 correspond au moment où on ouvre la valve donc tout dépend où on est dans la respiration) mais c'est plus difficile et moins reproductible
- On peut simplement soustraire le VRE de la CRF afin d'avoir le VR
- La méthode de dilution à l'hélium (C1V1=C2V2)
- La méthode pléthysmographique.
- Les voies aériennes supérieures servent à filtrer, réchauffer et humidifier l'air ambiant.
- Les muscles intercostaux sont des muscles accessoires à la respiration, mais sont peu actifs au repos
- La spirométrie permet de mesurer la CRF et la CPT
- La CRF correspond à VRE + VR
c
RES-091, RES-092
La spirométrie ne permet pas de mesure le VR, donc impossible de trouver la CRF et la CPT- La plèvre viscérale est innervée alors que la plèvre pariétale ne l'est pas
- Les 3 composantes de la structure fonctionnelle sont : pompe (cage thoracique + muscles) , réseau de distribution (voies aériennes) et la membrane alvéolo-capillaire
- L'espace mort est situé distalement aux bronches terminales alors que la ventilation se fait proximalement aux bronches terminales
- La surface d'échange totale n'occupe que 10 m^2
b
RES-091, RES-092
- a = contraire
- c= espace mort est proximale alors que la ventilation est distale aux bronches terminales
- d= surface d'échange est de 70m^2
C'est le volume d'air maximal qui peut être expiré après une inspiration maximale (VRE + Vt + VRI).
Il s’agit du volume d'air supplémentaire qu'on peut encore inspirer après une inspiration normale (volume courant).
- La capacité inspiratoire est le volume maximal d'air qui peut être inhalé à partir de la position de repos (Vt + VRI)
- La capacité résiduelle fonctionnelle est le volume d'air qui demeure dans les poumons après une expiration normale (VR + VRE)
- L'air contenu dans l'espace mort participe aux échanges gazeux
- La capacité vitale est le volume d'air maximal qui peut être expiré après une inspiration maximale (VRE+ Vt + VRI)
c
Les voies aériennes inférieures débutent à la jonction du larynx avec la trachée et englobent la trachée, les bronches, les bronchioles et les alvéoles.
- Voies de conduction --> Jusqu'aux bronchioles terminales (espace mort anatomique)
- Zone respiratoire = distalement aux bronchioles respiratoires. Début d'apparition de bourgeonnement alvéolaire. (lobule primaire = portion de poumon distale à la bronchiole terminale. Début des échanges gazeux)
- Nez
- Sinus paranasaux
- Pharynx
- Larynx
Elle provient des 3e, 4e et 5e nerfs cervicaux (nerf phrénique).
Le diaphragme
- les côtes
- le thorax osseux
- les muscles respiratoires
- le diaphragme
- les muscles intercostaux
- les muscles accessoires.
la pompe ventilatoire, un réseau de distribution de l'air et une surface d'échange pour les gaz
La tomodensitométrie thoracique (TDM)
Radiographie Pulmonaire
- Nodule ou masse pulmonaire
- Masse hilaire
- Masse médiastinale
- Lésion pleurale
- Lésion de la paroi thoracique.
- Paratrachéale droite
- Paratrachéale gauche supérieure à l'arc aortique
- Épanchement pleural d'étiologie inconnue
- Mésothéliome
- Cancer du poumon
- Épanchement tuberculeux
- Atélectasie
- Saignement
- Infection
- Fuite aérienne prolongée
3 à 20%
- pH
- Protéines totales
- LDH
- Glucose
- Décompte cellulaire
- Études microbiologiques
- Cytologie
Dans la région postérieure, à environ 2 à 3 espaces intercostaux sous la pointe de l'omoplate
Sarcoïdose
- Hémoptysie
- Toux inexpliquée
- Atélectasie persistante
- Suspicion de corps étranger
- Radiographie thoracique anormale (masse ou nodule pulmonaire, anomalie hilaire ou médiastinale)
- Infection pulmonaire persistant–immunosuppression
- Pneumopathie interstitielle.
Glucose marqué au fluore radioactif (18 FDG)
Tomographie par émission de positrons (TÉP)
- Vrai
- Faux
b
L'IRM est une technique d'imagerie non-irradiante
- Anomalies pulmonaires locales
- Infiltration pulmonaire interstitielle
- Suspicion d'embolie pulmonaire
- Masse médiastinale ou anomalies hilaires
- Pathologie pleurale
- Vrai
- Faux
a
L'irradiation est de 10 à 100 fois supérieure à celle d’une radiographie standard.
- Vrai
- Faux
b
L'épanchement pleural minime (50 ml) ne peut pas être visualisé sur un cliché standard; il peut l'être sur un cliché effectué en décubitus latéral.
- Diminution du calibre des artères et des veines pulmonaires
- Hypertransparence pulmonaire
- Nodule stable sur une durée de 2 ans
- Calcifications (centrales – « popcorn »)
- Graisse à l’intérieur du nodule
- Contours nets et réguliers
Au-delà de 3 cm
- Déplacement des scissures,
- Augmentation de la densité pulmonaire
- Tassement bronchovasculaire
- Déplacement du hile ou du médiastin vers la zone atélectasiée
- rapprochement des côtes de l’hémithorax homolatéral à l’atélectasie
Atélectasie
Lignes de Kerley B
Opacité en ailes de papillon
T3-T4
- Aorte
- Artère pulmonaire gauche
- Lobe supérieur gauche
- Vrai
- Faux
b
Le hile gauche est plus haut que le hile droit, car l’artère pulmonaire gauche fait une crosse au-dessus de la bronche souche et de la bronche lobaire supérieure gauche.
Environ 70 degrés
À l’inspiration maximale, 6 côtes antérieures ou 10 côtes postérieures doivent être visibles au-dessus du diaphragme. L’apophyse épineuse du corps vertébral thoracique supérieure doit se situer au milieu de l’espace interclaviculaire proximale. La transparence doit être adéquate (cliché hypo ou hyperpénétré).
- Vrai
- Faux
b
C'est la radiographie pulmonaire
- Augmentation de la distance entre les côtes
- Diaphragme abaissé
- Augmentation du diamètre antéro-postérieur
- Augmentation de l'espace rétro-sternal
Il peut y avoir:
- Augmentation de la trame trachéo-bronchique
- Augmentation du volume des artères bronchiques
- Hyperinflation moins marquée que dans l’emphysème.
la tomodensitométrie axiale thoracique
- Test de marche de 6 minutes
- Épreuve d'effort maximal sur ergocycle
- Patients dont le VEMS est très abaissé (inférieur à 40% de la valeur prédite)
- Oxymétrie révèle une réduction de la saturation du sang artériel en oxygène
- Signes cliniques d'hypoxémie sévère ou d'insuffisance cardiaque droite
VEMS < 30% de la prédite et VEMS/CVF < 0.7
- Toussez-vous régulièrement?
- Expectorez-vous régulièrement?
- Êtes-vous essoufflé, même légèrement, lorsque vous accomplissez des tâches simples?
- Votre respiration est-elle sifflante à l'effort ou pendant la nuit?
- Contractez-vous souvent des rhumes qui persistent plus longtemps que chez les gens de votre entourage?
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
- Vrai
- Faux
b
Un cancer du poumon
Le patient est un « blue bloater »; il a une surcharge pondérale, il tousse et expectore de façon régulière et il est souvent cyanosé. Sa maladie évolue au gré des exacerbations. Celles-ci sont accompagnées d’une aggravation de l’essoufflement et d’œdème des membres inférieurs qui témoigne d’une insuffisance cardiaque droite secondaire à une hypertension pulmonaire sévère.
- Ostéoporose
- Glaucome et cataractes
- Cachexie et malnutrition
- Dysfonction musculaire périphérique
- Cancer du poumon
- Dépression
- Vrai
- Faux
b
Ça suggère une insuffisance cardiaque droite
- Vrai
- Faux
a
Indice tabagique = (nombre de cigarettes fumées en moyenne par jour / 20) * nombre d'années de tabagisme
On divise par 20 pour les paquets-années américains. Pour des paquets-années canadiens = division par 25
- Reconfiguration de la cage thoracique
- Adaptation des muscles respiratoires (surtout le diaphragme) pour pouvoir générer les pressions nécessaires malgré ce désavantage mécanique
Dyspnée
La réduction du débit expiratoire
Moins de 1%
Phénotype PiMM
L’inflammation conduit à l’augmentation du volume des espaces aériens distaux secondairement à la destruction des parois alvéolaires et la perte du tissu de soutien.
Le rapport entre l’épaisseur de la zone de glandes sous-muqueuses vs celle de la paroi bronchique
Il peut y avoir:
- Hypertrophie et hyperplasie des glandes muqueuses
- Altération du transport mucociliaire
- Obstruction des petites voies aériennes
- Hypertrophie musculaire lisse bronchique
- Fibrose péri bronchiolaire
- Bouchons muqueux
- Bronchiolite
- Index de Reid augmenté (>0.55)
- Augmentation du nombre et hyperplasie des cellules à gobelets
- Atteinte des petites voies aériennes
- Pollution atmosphérique
- Certaines expositions professionnelles
- Déficit en alpha-1-antitrypsine
- Histoire d’infections respiratoires en bas âge
- Présence d’hyperréactivité bronchique.
15%
- Vrai
- Faux
b
Il s’agit de la 4e cause, après les cancers, les maladies cardiovasculaires et les maladies cérébrovasculaires.
- Vrai
- Faux
b
4,4%
C'est une anomalie morphologique pulmonaire qui se caractérise par une augmentation du volume des espaces aériens distaux secondairement à la destruction des parois alvéolaires.
C'est une maladie caractérisée par une toux productive d’expectorations la plupart des jours pour au moins 3 mois de l’année durant au moins 2 années consécutives.
85 à 100%
- Vrai
- Faux
b
Administrer du β-2 agoniste en inhalation avec ou sans ipratropium. Des corticostéroïdes systémiques sont administrés s’il n’y a pas de réponse rapide.
Stade IV
- Vrai
- Faux
b
Elle peut être normale ou augmentée
- Cyanose
- Thorax silencieux
- Hypoxémie
- Hypercapnie
- Tachycardie (> 120/min)
- Anomalie E.C.G.
- Troubles de l’état de conscience et fatigue extrême
- Hyperinflation sévère à la radiographie pulmonaire
- Pneumomédiastin
- Pneumothorax
- Pouls paradoxal (chute de la TA de plus de 10 mmHg en inspiration)
- Lever l'obstruction bronchique
- Corriger ou prévenir l'hypoxie
- Réduire l'inflammation bronchique
- Éviter les effets secondaires des médicaments
- Prévenir de nouvelles crises
Nébuliseur
L’inhalateur de poudre
L'omalizumab
- Rétention hydro-sodée
- Suppression de l'axe hypothalamo-hypophysaire
- Augmentation de l'appétit et gain de poids
- Ostéoporose
- Cataractes
- Hypertension
- Diabète
- Psychose
- Retard de croissance chez l'enfant
- Vrai
- Faux
a
La dysphonie et la candidose buccale
Les corticostéroïdes
β-2 agonistes à courte action prn ou Symbicort (CSI/formotérol) prn
< ou = 2 doses/semaine
Tableau du cours du Dr Godbout: Paramètre: Prise d’un BAAR (Bronchodilatateur à action rapide)
Maitrise acceptable: ≤ 2 doses/semaine* (* Inclut les doses utilisées pour la prévention des symptômes provoqués par l’effort)- L’aspirine
- Les anti-inflammatoires non-stéroïdiens
- La tartrazine
- Certains médicaments tels que les bêta-bloquants
Faux, il faut l’encourager. Si cela déclenche un bronchospasme, l’utilisation d’un agoniste β2 permettra d’y remédier.
- Établir le diagnostic
- Déterminer la sévérité de l'asthme
- Vérifier s'il y a une autre pathologie associée et identifier les facteurs déclenchants
- Déterminer le besoin en médication
- Référer le patient à un éducateur en asthme
- Réévaluation régulière
Il faut établir le diagnostic (dépistage) à l’aide de l’histoire et des examens.
- Apnée du sommeil
- Infections respiratoires
- Maladie Pulmonaire Obstructive Chronique
- Obésité
- Psychopathologies
- Reflux gastro-œsophagien
- Rhinite allergique ou non-allergique
- Sinusite chronique
- Polluants atmosphériques
- Fumée (cigarette)
- Allergènes (poussière et acariens, squames d’animaux, pollen, plumes, moisissures…)
- Substances industrielles
- Infections virales des voies respiratoires
Typiquement, ils pourront s’améliorer de 12% ou plus.
Selon le degré d’obstruction, il peut y avoir :
- abaissement du VEMS et du rapport VEMS/CVF
- augmentation de la fluctuation circadienne des débits expiratoires
- augmentation de la résistance des voies aériennes,
- parfois une réduction de la capacité vitale, mais capacité pulmonaire totale normale ou augmentée
- augmentation du VR et de la CRF
- diffusion normale
- lors de crises aiguës, une hypoxémie peut être notée.
Chute de T.A de plus de 10 mm Hg à l'inspiration
L’action accrue des leucotriènes influence le tonus bronchomoteur.
Il peut y avoir formation de dépôt de collagène au niveau sous-épithélial bronchique ou une hypertrophie du muscle lisse.
3 à 8 heures après
Le phénomène est provoqué par l’activation et la dégranulation de mastocytes porteurs d’anticorps de type IgE. La libération de médiateurs tels que l’histamine et certaines leucotriènes et prostaglandines provoque la contraction du muscle lisse. L’activation des mastocytes induit aussi la production de cytokines impliquées à leur tour dans le recrutement et l’activation de diverses cellules inflammatoires.
IgE
On y retrouve la triade :
- Intolérance à l’aspirine et aux anti-inflammatoires non-stéroïdiens
- Rhinite polypoïde
- Asthme
Asthme léger, surtout symptomatique lors de l’effort physique, principalement dû à un assèchement des voies respiratoires et au froid.
- Était autrefois appelé asthme intrinsèque
- Touche surtout les adultes
- Manifestations allergiques importantes
- Sévère, à dyspnée continue
c
- Patients âgés
- Présence d'IgE spécifiques
- Éosinophiles dans les expectorations
- Pronostic favorable
a
- L’asthme allergique
- L’asthme non-allergique
- L’asthme professionnel
- L’asthme à l’exercice
- L’asthme chez la personne obèse
- L'asthme à l’aspirine
- Inflammation à éosinophile
- Inflammation à neutrophile
- Inflammation peu granulocytaire
- Sévérité
- Nombre d'exacerbations
- Atteinte fonctionnelle
- Résistance au traitement
- Âge de début
- Toux périodique
- Oppression thoracique
- Sillements (wheezing)
- Dyspnée
- Expectorations
10%
- Vrai
- Faux
a
- Allergènes extérieurs
- Allergènes intérieurs
- Exposition occupationnelle
- Exposition à la fumée de tabac
- Pollution de l’air
- Infections respiratoires
- Facteurs socioéconomiques
- Taille des familles
- Médicaments/aliments
- Prédisposition génétique
- Atopie
- Hyperréactivité bronchique
- Sexe
- Race
- Âge
- Obésité
Obstruction réversible des voies aériennes
l’hypoventilation alvéolaire globale et l’accroissement du volume d’espace mort
la réduction de la FiO2, la réduction de la Patm et l’augmentation de la PaCO2
- Vrai
- Faux
b
L'espace mort est plutôt composé des voies aériennes proximales aux bronchioles respiratoires.
- pneumonie
- embolies pulmonaires
- conditions fibrotiques
a,b,c
10 mmHg
Le shunt physiologique
Le retour veineux des veines bronchiques et des veines coronariennes se fait en partie dans le ventricule gauche et les veines pulmonaires. Il y a donc passage de sang non oxygéné dans le sang oxygéné, ce qu'on appelle un shunt.
- Vrai
- Faux
b
Ils sont rarement suffisants seuls. Toutefois, ils sont une source d'embolisation artérielle potentielle, c'est pourquoi, des interventions correctrices pourront être réalisées.
C'est le déséquilibre entre les alvéoles qui sont mieux perfusées que ventilées.
Les désordres de rythmicité et l'insuffisance de l'appareil ventilatoire effecteur.
la réduction de la PAO2, l’hypoventilation alvéolaire, le shunt et les anomalies ventilation/perfusion
En hyperventilant.
Il s’agit d’un déficit oxygénatif au niveau tissulaire se traduisant par une dysfonction cellulaire et le passage en anaérobie.
Il s’agit d’un abaissement du contenu en oxygène du sang, généralement défini comme une PaO2 inférieure à 60 mmHg.
En administrant de l'oxygène supplémentaire
- survie
- diminution de la dyspnée
- qualité de vie
a
Faux, elle est utile lorsque l’obstruction se situe au-dessus de la membrane crycothyroïdienne.
La manoeuvre de compression sous-diaphragmatique dite de Heimlich
Lors de l’inspiration.
Car la lumière des voies aériennes intra-thoraciques diminue en expiration due aux pressions intra-pleurales qui deviennent nulles.
Elles sont indépendantes du cycle ventilatoire.
Les symptômes incluent généralement la dyspnée d’effort, la respiration bruyante (appelée stridor si inspiratoire) et l’inconfort en position déclive.
L’obstruction doit être haut située, au sein de la sphère ORL après le carrefour naso-buccal (pharynx, larynx, glotte) ou de la trachée (Note : l’obstruction doit être en amont de la carène, puisque si l’obstruction était plus basse, le poumon controlatéral pourrait assurer les fonctions oxygénatives et ventilatoires).
En apnée, la PCO2 s’élève de 3-5 mmHg à la minute.
Il peut y avoir : panique, agitation, efforts respiratoires inefficaces, cyanose, perte de conscience et convulsions.
les centres nerveux de la respiration qui permettent la rythmicité, l’appareil respiratoire effecteur, qui inclut le système nerveux efférent, la cage thoracique, les muscles respiratoires, les voies aériennes, le parenchyme pulmonaire et sa vascularisation qui permettent le flot aérien et la mise en contact de l’atmosphère avec le sang veineux, ainsi que la membrane alvéolaire qui réalise l’échange gazeux