« ULaval:MED-1233/Quiz de l'examen 2 » : différence entre les versions
(Question sur la meilleure imagerie pour aorte abdominale) |
(Baisse de moins de 50% ---) baisse à moins de 50% (réponse à la question plus claire et plus juste)) |
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{{Question|question=Quelle est la principale cause d’insuffisance cardiaque droite?|réponse=Insuffisance cardiaque gauche|explication=|image_question=|uuid=73e8bf6f-5112-4efa-bb65-2b5eaacb99eb}}{{Question|question=Quels sont les principaux signes et symptômes de l’insuffisance cardiaque gauche?|réponse=Fatigue á l’effort, dyspnée importante, orthopnée, DPN, hypoTA/hyperTA, Cheynes-Stokes, œdème pulmonaire (crépitants, épanchement pleural, B3)|explication=|image_question=|uuid=165a8cb5-d54a-41bf-9738-7ddc3b320a0a}}{{Question|question=Quels sont les principaux signes et symptômes de l’insuffisance cardiaque droite?|réponse=Dyspnée, oedème périphérique, hépatalgies, distension jugulaires, RHJ+, poumons clairs|explication=|image_question=|uuid=ff75ab73-df1e-4e51-b997-3613e1d74c88}}{{Question à choix multiple|question=Dans quelle classe se retrouve une personne qui est fatiguée, qui a des palpitations ou qui est essoufflée après de l’activité physique ordinaire et qui est confortable au repos selon la classification fonctionnelle de l’insuffisance cardiaque de la NYHA|a=1|b=2|c=3|d=4|e=|f=|g=|explication=|réponse=b|image_question=|uuid=f9bedcda-7bc1-4de3-9b9b-122c49d3657c}}{{Question vrai ou faux|question=L’insuffisance cardiaque droite provient souvent d’une cause pulmonaire.|réponse=1|explication=|uuid=29957b0c-f9de-4462-8a3b-7ab17c07a57c}} | {{Question|question=Quelle est la principale cause d’insuffisance cardiaque droite?|réponse=Insuffisance cardiaque gauche|explication=|image_question=|uuid=73e8bf6f-5112-4efa-bb65-2b5eaacb99eb}}{{Question|question=Quels sont les principaux signes et symptômes de l’insuffisance cardiaque gauche?|réponse=Fatigue á l’effort, dyspnée importante, orthopnée, DPN, hypoTA/hyperTA, Cheynes-Stokes, œdème pulmonaire (crépitants, épanchement pleural, B3)|explication=|image_question=|uuid=165a8cb5-d54a-41bf-9738-7ddc3b320a0a}}{{Question|question=Quels sont les principaux signes et symptômes de l’insuffisance cardiaque droite?|réponse=Dyspnée, oedème périphérique, hépatalgies, distension jugulaires, RHJ+, poumons clairs|explication=|image_question=|uuid=ff75ab73-df1e-4e51-b997-3613e1d74c88}}{{Question à choix multiple|question=Dans quelle classe se retrouve une personne qui est fatiguée, qui a des palpitations ou qui est essoufflée après de l’activité physique ordinaire et qui est confortable au repos selon la classification fonctionnelle de l’insuffisance cardiaque de la NYHA|a=1|b=2|c=3|d=4|e=|f=|g=|explication=|réponse=b|image_question=|uuid=f9bedcda-7bc1-4de3-9b9b-122c49d3657c}}{{Question vrai ou faux|question=L’insuffisance cardiaque droite provient souvent d’une cause pulmonaire.|réponse=1|explication=|uuid=29957b0c-f9de-4462-8a3b-7ab17c07a57c}} |
Version du 1 juin 2022 à 15:02
Peau, voies respiratoires supérieures et inférieures, système cardiovasculaire et tube digestif
15 minutes
- Peut se produire 4 à 8 heures après l'exposition ou plus tard - La symptomatologie est généralement moins sévère qu'elle ne l'était initialement - Peut être grave ou mortelle
- Vrai
- Faux
a
Convulsion, perte de conscience et décès
- Vrai
- Faux
b
Il peut survenir isolément.
Il s'agit du traitement du choc anaphylactique. Adrénaline, Bronchodilatateur, Corticostéroïde, Diphenhydramine.
Bouffées de chaleur, prurit, urticaire, éternuement, rhinorrhée, nausées, crampes abdominales, diarrhée, dyspnée, palpitation et vertige
- 1 cm
- 2 cm
- 3 cm
- 4 cm
- 5 cm
b
- Vrai
- Faux
b
Il y a un anévrisme de l'aorte abdominale à partir d'un diamètre de 3 cm.
TDM thoracique + abdominale
- 2 ans
- 1 an
- 6 mois
- 3 mois
b
- 2 ans
- 1 an
- 6 mois
- 3 mois
c
Tabagisme, âge, sexe masculin, antécédents familiaux, race blanche, hypertension artérielle, hypercholestérolémie et maladie athérosclérotique
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
Il est souvent asymptomatique.
La douleur abdomino-lombaire
- Vrai
- Faux
a
- TDM thoracique et abdominale
- Radiographie
- IRM
- Échographie trans-oesophagien
a
> 5,5cm de diamètre, douloureux ou symptomatique, grossit à une vitesse > 3-5mm/année
Rupture, dissection, accident emboliques périphériques, inflammation des éléments anatomiques voisins
Nitroglycérine, b-bloqueur ou bloqueur des canaux calciques, morphine ou dérivé
Douleur épigastrique ou périombilicale se déplaçant vers la fosse iliaque droite après quelques heures, nausée/vomissement, douleur augmentant avec la toux et le mouvement
Sensibilité à la fosse iliaque droite à la palpation et la décompression (point de McBurney), signe de Rovsing, signe du Psoas, signe de l'obturateur, subfébrile
- Vrai
- Faux
b
Le diagnostic est clinique en présence d'une symptomatologie classique.
- Vrai
- Faux
a
TDM avec injection et échographie avec compression appendiculaire
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
Une numération normale des globules blancs ne permet pas l'exclusion de l'appendicite.
À ciel ouvert ou laparoscopique
- Vrai
- Faux
b
Une maladie inflammatoire intestinale affectant le caecum
- Vrai
- Faux
a
- Oui
- Non
b
- Vrai
- Faux
b
Ils sont non curatifs, mais ils améliorent nettement la survie.
Rupture appendiculaire, abcès, péritonite, décès (> 50% sans chirurgie ou sans antibiotiques)
Air froid, exercice, émotions et odeurs fortes
- Infection
- Effort
- Émotions
- Aspirine
- Toutes ces réponses
e
- Sx diurnes: <4 par semaine
- Sx noctures: <1 par semaine
- Activité physique: normale
- Exacerbations: légères
- Absentéisme: aucun
- B-agoniste: <4 par semaine
- VEMS: ≥90% du meilleur résultat personnel
- DEP: ≥90% du meilleur résultat personnel
- Variabilité du DEP: <10-15% de la variation diurne
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
Ils peuvent être présent lors des deux phases ou seulement à l'expiration.
- Vrai
- Faux
b
MPOC: > 40 ans, ATCD de tabagisme, expectorations fréquentes, maladie évolutive avec exacerbations, spirométrie ne se normalise jamais, symptômes cliniques persistants et chroniques
Asthme: < 40 ans, allergies fréquentes, évolution de la maladie stable avec exacerbations, spirométrie souvent normale, symptômes cliniques intermittents et variables
Les épreuves fonctionnelles respiratoires
Syndrome obstructif réversible
- Vrai
- Faux
a
Procurer une vie normale avec certaine précaution et un minimum de médicaments.
- Vrai
- Faux
b
Il doit éviter tous les facteurs déclenchants sauf l'exercice physique.
- Aspirine
- AINS
- Bêta-bloquants
- Tabagisme
- Agoniste β2
- Allergène
e
- Vrai
- Faux
b
Il est envisagé si l'asthme est mal maitrisé malgré de fortes doses de CSI et une thérapie d'appoint appropriée. Il est très coûteux et il est seulement utilisé dans les cas très sévères.
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
Une crise asthmatique prolongée ou sévère qui résiste au traitement
C'est une réaction d'hypersensibilité à l'Aspergillus qui arrive souvent chez le sujet asthmatique.
Apnée du sommeil, infection respiratoire, MPOC, obésité, RGO, psychopathologie, rhinite allergique et sinusite chronique
Cyanose, thorax silencieux, hypoxémie, hypercapnie, tachycardie > 120, anomalies à l'ECG, troubles de l'altération de l'état de conscience et fatigue extrême, hyperinflation sévère à la Rx pulmonaire, pneumomédiastin, pneumothorax et pouls paradoxal
- Spirométrie
- Variation du DEP
- Test de provocation à la métacholine
a
Hémorragie extériorisée, hémothorax, hémopéritoine, hématome rétropéritonéal, fractures complexes et brûlures sévères
Rupture de grosses ectopique, hémorragie digestive haute ou basse, rupture de l'anévrisme de l'aorte abdominale, pancréatite hémorragique aiguë, hémorragie gynécologique, déshydratation sévère, perte liquidienne dans un troisième espace, iatrogénique (diurétique, antiHTA, etc.)
Baisse aiguë de la masse sanguine circulante (> 40%) -> baisse de l'alimentation des cellules en oxygène -> baisse du débit cardiaque -> hypotension artérielle
La perte de volume sanguin et l'efficacité des systèmes compensateurs
Altération de l'état de conscience, tachycardie, hypotension, extrémités froides et marbrées, temps de refill capillaire augmenté, oligurie et acidose lactique
Chute de pression artérielle lors d’une position déclive à une position assise ou debout
≥ 20 mmHg de TA systolique OU ≥ 10 mmHg de TA diastolique
Monitoring, biochimie générale, gazométrie sanguine, formule sanguine complète, SMU-DCA, radiologie et cathétérisme des artères pulmonaires
Sodium, potassium, chlorures, bicarbonate, créatinine sérique, urée, lactates, bilan hépatique (AST/ALT), amylase/lipase, CK-MB, troponines, INR + temps de céphaline activée et B-HCG
- Vrai
- Faux
a
1. Réplétion du volume intravasculaire par voie IV
2. Prise en charge des voies respiratoires et oxygénation
3. Traitement spécifique du type de choc
Légère tachycardie, TA conservée et anxiété légère
Soluté isotonique et transfusion sanguine possible
Tachycardie importante (>120), tachypnée importante (30-40), baisse de la tension artérielle systolique, baisse de l’état de conscience, baisse du remplissage capillaire et baisse du débit urinaire
Solutés isotoniques et transfusion sanguine d’emblée
Crampes abdominales, ballonnements, flatulences, troubles du transit intestinal, fièvre et symptômes liés à l’obstruction
Douleur abdominale intense à la fosse illiaque gauche, trouble du transit, No/Vo et fièvre
Subfébrile/fébrile, douleur et masse à la palpation de la fosse illiaque gauche et le toucher rectal déclenche la douleur à la fosse illiaque gauche
Entérobactéries (E Coli, Klebsielle, Protéus, Enterobacter)
Pseudomonas, Enterobacter, Protéus, Staph auréus (SARM), Entérococcus, Candida
- Vrai
- Faux
a
La leucocytose et la présence de neutrophiles peuvent orienter le diagnostic.
La gravité de la maladie, l’état du patient et la résistance bactérienne dans la région
- Vrai
- Faux
b
Une diète riche en fibre peut diminuer les récidives.
Pénicilline, céphalosporine, carbapénèmes ou quinolones
Pénicilline ou carbapénèmes
Abcès, obstruction intestinale et perforation intestinale
Drainage
NYHA et British medical council
- Vrai
- Faux
b
Il y en a 5.
- Vrai
- Faux
a
Saignement ou spotting, faible production de B-HCG, aménorrhée et autres symptômes de grossesse, douleur abdominale basse et masse pelvienne
Douleur FID/FIG, anémie, syncope, fièvre, hypotension et pouls diminué
- Vrai
- Faux
b
Dans seulement moins de 30% des cas
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
a
Leucocytose, dosage B-HCG, échographie et laparoscopie
Hématémèse, méléna, rectorragie, signes et symptômes d’anémie ferriprive, signes et symptômes de la condition pathologique sous-jacente (douleur épigastrique, douleur thoracique, etc.) et choc hypovolémique
Fer, bettraves, boudin, bismuth, gâteau au chocolat et réglisse
Une perte de sang supérieure à 1000 mL ou un transit intestinal rapide qui ne permet pas la digestion du sang
Faiblesse, pâleur, dyspnée, DRS et syncope
Orthostatisme
Tachycardie
Choc hypovolémique
Pour compenser la baisse du VCE et la baisse en apport sanguin aux organes
Baisse de la concentration en hémoglobine, augmentation de l’urée sanguine et une augmentation de la créatinine
Ulcère peptique, gastrite érosive, varices oesophagiennes, varices gastriques, varices ectopiques, syndrome de Mallory-Weiss, syndrome de Boerhaave, œsophagite, néoplasie, hernie hiatale, polypes, maladie d’Osler et lésion Dieulafoy
AINS, anti-plaquettaires, ATCD d’ulcère et H. pylori
Ictère, ascite, oedème et stigmates de cirrhose
Endoscopie digestive haute
FSC avec groupe sanguin, INR, bilan rénal (urée, créatinine, ions), bilan hépatique, glycémie, enzymes cardiaques et ECG
Oxygénation, soluté isotonique, transfusion sanguine, IPP, octréotide, endoscopie
Hématochézie, rectorragie, signes et symptômes selon la cause, saignement soudain, soutenu et en grande quantité
- Vrai
- Faux
b
- Vrai
- Faux
a
Diverticule du colon, colite ischémique, angiodysplasies GI, colites inflammatoires, infectieuses et radiques, saignements hémorroïdaires ou ano-rectaux, polypes et néoplasies colorectaux, post-polypectomie et saignements du grêle
- Vrai
- Faux
b
C’est le diverticule du colon.
L’angle splénique, la jonction recto-sigmoïdienne et le colon droit
- Vrai
- Faux
b
- Vrai
- Faux
b
Les colites infectieuses sont plus fréquentes que les colites radiques ou inflammatoires.
- 5-10%
- 10-15%
- 15-25%
- 25-35%
b
- Vrai
- Faux
a
C’est pourquoi il est important de les différencier.
Colonoscopie
La préparation laxative prend du temps et si le saignement est trop important, on ne voit rien.
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
a
Le liquide extracellullaire ne contient que 2% du potassium corporel
Fonction protéique et enzymatique, dépolarisation des cellules nerveuses et musculaires
Redistribution intra/extracellulaire et l’excrétion rénale
- Vrai
- Faux
b
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
Elle entre 2 K et sort 3 Na de la cellule.
- Vrai
- Faux
a
Insuline et catécholamines
Exercice physique, acidose métabolique et hyperosmolalité plasmatique
Excès d’apport, libération cellulaire (hémolyse, rhabdomyolyse, lyse tumorale), redistribution extracellulaire (acidose, bêtabloqueurs, manque d’insuline/catécholamines), excrétion rénale insuffisante (insuffisance rénale, hypoaldostéronisme, diurétique, IECA/ARA, AINS, baisse du flot distal)
Exercice physique, acidose métabolique et hyperosmolalité plasmatique
Pseudohyperkaliémie
Ondes T pointues, QRS élargi, QT court, allongement du PR, disparition de l’onde P
1. Répéter la prise de sang pour éliminer la pseudohyperkaliémie
2. Créatinine/BUN
3. ECG
4. Potassium urinaire
5. Sodium urinaire
6. Osmolalité urinaire
7. Bilan complémentaire
Kayexalate
- Vrai
- Faux
a
En cas de sepsis
- Vrai
- Faux
a
Le stade de préchoc
Le choc compensé ou le choc cryptique
Il s’agit des réponses compensatoires à une baisse de la perfusion tissulaire.
La tachycardie, un changement modeste de la pression artérielle systémique et hyperlactatémie légère ou modérée
Les mécanismes compensatoires deviennent dépassés.
- 1
- 1.5
- 2
- 2.5
- 3
d
Dommage réversible aux organes, défaillance multiorganique et mort
Anurie, IRA, hypotension sévère, hyperlactatémie et acidémie
Une incapacité du coeur à assurer un débit d’éjection adéquat
Il est causé par un dommage cardiaque (infarctus du myocarde, valvulopathies, arythmie, cardiomyopathie).
Le choc septique, le choc anaphylactique et le choc neurogénique
- Vrai
- Faux
b
Il est caractérisé par la vasodilatation pathologique.
Il s’agit d’une obstruction ou d'une action extra-myocardique qui empêche le coeur d’assurer un débit optimal.
Coma myoedémateux et thyrotoxicose
- Vrai
- Faux
a
Réplétion du volume circulant, contrôle de l’hémorragie, anti-hypotenseur au besoin
Chirurgie pour les valvulopathies ou l’infarctus, restauration du rythme cardiaque pour les arythmies, vasodilatateur, bêta-1-agoniste ou catécholamines au besoin, s’assurer qu’il n’y a pas d’hypertension pulmonaire lors de la réplétion du volume intravasculaire
Réanimation liquidienne agressive avec ou sans perfusion d’amines IV, agent anti-hypotenseur ou agent inotrope, traiter la cause du choc, antibiothérapie si septique, épinéphrine IV si anaphylactique
Il vise à relever l’obstruction au remplissage du coeur. Il varie selon la cause.
- Vrai
- Faux
b
Ils sont généralement évités, car ils peuvent causer une vasodilatation.
- Vrai
- Faux
b
L’hypoperfusion tissulaire rend cette absorption faible, donc tous les médicaments parentéraux sont administrés par voie IV.
La cause, l’affection préexistante ou une complication, le délai pour établir le diagnostic, la rapidité et l’adéquation du traitement
Une décompensation brutale de la fonction cardiaque avec des symptômes sévères
Il s’agit d’un syndrome clinique stable qui progresse à long terme. Il y a une activation des systèmes neurohormonaux et un remodelage ventriculaire.
Activation du système nerveux adrénergique, activation du système rénine-angiotensine-aldostérone, sécrétion du facteur natriurétique auriculaire, sécrétion du peptide cérébral natriurétique, sécrétion de prostaglandines et d’oxyde nitrique
Infarctus du myocarde
Incapacité du coeur à éjecter le sang correctement
Faiblesse, signes d’hypoperfusion systémique, baisse de la tolérance à l’effort
Incapacité du coeur à bien se relaxer en diastole
HTA ou maladie infiltrative
Dyspnée à l’effort
- Vrai
- Faux
b
Insuffisance cardiaque gauche
Fatigue á l’effort, dyspnée importante, orthopnée, DPN, hypoTA/hyperTA, Cheynes-Stokes, œdème pulmonaire (crépitants, épanchement pleural, B3)
Dyspnée, oedème périphérique, hépatalgies, distension jugulaires, RHJ+, poumons clairs
- 1
- 2
- 3
- 4
b
- Vrai
- Faux
a
Il s’agit des facteurs déclencheurs ou aggravants de l’insuffisance cardiaque.
Diabète, HTA, DLP, tabagisme, obésité et sédentarité
Échocardiographie, ECG, Radiographie thoracique et IRM
Augmentation de la taille de la silhouette cardiaque, redistribution vasculaire vers les sommets pulmonaires, lignes Kerley B, épanchement pleural, oedème pulmonaire et hiles flous
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
Ils ne font que soulager les symptômes.
IECA/ARA, bêta-bloqueurs, antagonistes de l’aldostérone
Lasix, morphine, nitro, O2, position assise
Arythmies cardiaques, insuffisance rénale, accidents thromboemboliques, cirrhose cardiaque, mort subite
< 3 mois, détérioration DFG, potentiellement réversible, reins de taille normale, anémie
> 3 mois, persistance d’une baisse de DFG, habituellement irréversible, petits reins, anémie plus marquée, nycturie de longue date, ATCD de maladie rénale
- Vrai
- Faux
a
Formule sanguine complète, échographie rénale, SMU-DCA, gaz capillaire, ECG, d’autres examens peuvent être prescris selon la clinique
- Urée
- Créatinine
a
- Urée
- Créatinine
b
IRA pré-rénale
Surcharge volémique, hypertension, hyperkaliémie, acidose métabolique, changement de la structure osseuse, hypocalcémie, anémie, immunosuppression
- Vrai
- Faux
b
Si le patient présente seulement une MPOC, il faut investiguer pour un cancer du poumon.
Entre 30% et 50%
- Légère: ≥80%
- Modérée: entre 50% et 80%
- Sévère: entre 30% et 50%
- Très sévère: inférieur à 30%
- Vrai
- Faux
b
Ils sont utilisés en dernier recours, juste avant l'oxygène.
- 5%
- 15%
- 30%
- 60%
b
Toux productive quotidienne qui survient la plupart des jours pendant au moins 3 mois de l’année pour au moins deux ans consécutifs, en excluant les autres causes de toux comme l’asthme
- Peu de toux
- Infections fréquentes
- Tirage
- Obésité
- Respiration à lèvres pincées
- Cachexie
- Cyanose
a, c, e, f
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
a
Infections virales ou bactériennes
Fumée de cigarette, exposition à des irritants non spécifiques, air froid, polluants
Augmentation de la dyspnée, augmentation des expectorations, augmentation de la purulence des expectorations
Tout patient de plus de 40 ans, fumeur ou ex-fumeur, présentant un des symptômes suivant (toux persistante, expectorations régulières, dyspnée, sibilances à l’effort ou pendant la nuit, épisodes d’infections respiratoires fréquentes et persistantes) devrait être soumis à une spirométrie
Les paquets-années
Ostéoporose, glaucome, cachexie, dysfonction musculaire périphérique, cancer du poumon, dépression
Elle partage un facteur de risque principal (tabagisme).
- Vrai
- Faux
b
Évaluer la sévérité de l’emphysème
Spirométrie, volumes pulmonaires et diffusion au monoxyde de carbone, radiographie pulmonaire, gazométrie artérielle, test à l’exercice, TDM, échographie cardiaque
Diagnostic incertain, MPOC chez un patient <40 ans, dyspnée disproportionnée par rapport au VEMS sous traitement optimal, visites à l’urgence et hospitalisations fréquentes, mauvaise réponse au traitement, évaluation avant programme de réadaptation, indication et suivi de l’O2 à domicile
VEMS/CVF <70%, CVF>5pc, CPT>5pc, ne doit pas être réversible
GOLD 1, GOLD 2, GOLD 3 et GOLD 4
Abandon tabagique, programme d’éducation, vaccination antigrippale/pneumocoque, programme de réadaptation respiratoire et physique
Bronchodilatateur, CSI, antibiothérapie, remplacement de l’alpha-1-antitrypsine, chirurgie
- Vrai
- Faux
b
Ils ne sont qu’utilisés lors des exacerbations.
S’il y a présence d’expectorations purulentes
Race blanche, maladie métabolique, tendance familiale, sexe masculin, 40-60 ans, géographie (montagneux, tropical), saison estivale, apport liquidien faible, régime alimentaire (purines, oxalate, Ca, PO4)
Calculs de calcium, calculs infectieux, calculs d’acide urique et calculs de cystine
Calculs de calcium et calculs infectieux
Calculs de calcium
Calculs d’acide urique et calculs de cystine
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
Elle s’installe brutalement.
No/Vo, abdomen sensible, mais souple à la palpation profonde, arrêt réflexe du transit intestinal possible, symptômes mictionnels
Calice rénal, jonction pyélo-urétérale, croisement de l’urètre avec les vaisseaux iliaques, croisement de l’uretère derrière le canal déférent ou le ligament large, jonction urétro-vésicale
SMU-DCA, dosage urinaire et sérique, analyse du calcul, TDM, urographie IV, échographie, radiographie
TDM
- Vrai
- Faux
b
90%
60%
Patient bien soulagé avec analgésie orale, absence de complications, expulsion spontanée anticipée
Alpha-bloquant (Tamsulosin)
Complications, calcul coralliforme ou de gros volume, échec du traitement conservateur, rein unique
Lithotripsie par onde de choc extracorporelle, urétéroscopie avec fragmentation de la lithiase, néphrolithotomie percutanée
Infection urinaire, IR, hydronéphrose, bactériémie, calcul symptomatique > 6 mm, tout calcul > 8 mm, échec au traitement conservateur, rein unique, calcul coralliforme
Hydratation importante, modification alimentaire, traitement spécifique si anomalie métabolique, antibiotiques pour les lithiases d’infection, tamsulosine
Infection urinaire, douleurs incoercibles, infection urinaire et septicémie, pyélonéphrite, IR, récidives