ULaval:MED-1203/Principes pharmacothérapeutiques/Flashcards
- Vrai
- Faux
b
Les beta-bloqueurs sélectifs ont plus d'affinité avec les récepteurs beta 1. C'est pourquoi on dit qu'ils sont cardiosélectifs.
- Arythmies
- Prévention secondaire de l'ischémie (Post-infarctus)
- Insuffisance cardiaque instable ou mal contrôlée
- Angine
- Hypertension artérielle
c
L'utilisation de beta-bloqueur est contre-indiquée en insuffisance cardiaque instable, mais sont essentiels au traitement de l'insuffisance cardiaque stable.
L'autre contre-indication principale est l'asthme.- Récepteurs beta 1
- Récepteurs beta 2
b
- Vrai
- Faux
a
À faible dose, ils réduisent le risque de bronchoconstriction et de vasodilatation et sont donc plus sécuritaires pour ce type de patient.
Au repos, ils ont tendance à stimuler partiellement les récepteurs beta au lieu de les inhiber. La fréquence cardiaque au repos se retrouve alors à être diminuée moindrement qu'avec les beta-bloqueurs ordinaires. Ce phénomène disparaît à l'effort et ils sont donc aussi efficaces que les autres beta-bloqueurs.
- Vrai
- Faux
b
Leur efficacité est maximale lorsque l'activité sympathique est élevée. C'est le cas lors d'un effort intense.
- Effet inotrope négatif (diminution de la contractilité)
- Effet chronotrope négatif (diminution de la fréquence cardiaque)
- Effet dromotrope négatif (diminution de la conduction au niveau des oreillettes et allongement de la période réfractaire au noeud auriculoventriculaire)
- Certains beta-bloqueurs favorisent la vasodilatation périphérique.
- Leur effet chronotrope et inotrope négatifs entraînent une diminution du débit cardiaque.
- Certains beta-bloqueurs ont un effet de vasodilatation périphérique, ce qui diminue la résistance vasculaire périphérique.
Ces deux phénomènes aident à diminuer la tension artérielle.
- Effet dromotrope négatif : ralentissement de la conduction dans l'oreillette
- Rallonge la période réfractaire du noeud AV
Leurs multiples effets sur le coeur causent une diminution des besoins myocardiques en oxygène et autres nutriments. Le coeur est ainsi moins à risque d'ischémie.
Ils agissent sur les cellules musculaires lisses au niveau des parois vasculaires et provoquent une vasodilatation. Ils diminuent donc la résistance vasculaire périphérique, et ainsi la tension artérielle.
- Prévention secondaire post-infarctus
- Arythmie
- Hypertension artérielle
- Angine
- Insuffisance cardiaque instable
c
- Grossesse
- Bloc auriculoventriculaire
- Insuffisance cardiaque instable
- Maladie pulmonaire obstructive sévère (MPOC ou Asthme)
- Maladie vasculaire périphérique
- Aucune de ces réponses
f
- Vrai
- Faux
a
- Ils stimulent les récepteurs pré-synaptiques alpha 2, causant une diminution de libération de noradrénaline.
- Ils provoquent une baisse de la résistance périphérique totale, et donc de la tension artérielle.
- Ils ont aussi un effet chronotrope négatif, ce qui réduit la fréquence et le débit cardiaque.
- AT1
- AT2
a
- Vrai
- Faux
b
Les IECA peuvent causer de la toux par accumulation de bradykinines. Par contre, les ARA ne provoquent pas de toux.
- Hypertension artérielle
- Prévention du remodelage ventriculaire
- Néphropathie diabétique
- Angioedème
- Insuffisance cardiaque
- Post-infarctus
- Prévention d'événements cardiaques
d
Un antécédent d'angioedème est une contre-indication à l'utilisation d'IECA, puisque c'est un des effets secondaires de celui-ci.
(L'angioedème est un oedème sous-cutané qui touche surtout le visage et les voies respiratoires. Cette situation peut donc être fatale.)- Vrai
- Faux
b
La grossesse est une contre-indication absolue.
- Diurétique osmotique
- Inhibiteur de l'anhydrase carbonique
- Diurétique de l'anse de Henle
- Diurétique thiazidique
- Diurétique épargneur de potassium
a
Les diurétiques osmotiques ont une activité faible et ne sont pas utilisés.
Les inhibiteurs de l'anhydrase carbonique sont également faibles, et sont donc rarement utilisés.