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| question = Chez qui faut-il faire des bilans hépatiques mensuels en cas d’utilisation d’isoniazide (INH)? | | question = Chez qui faut-il faire des bilans hépatiques mensuels en cas d’utilisation d’isoniazide (INH)? | ||
| réponse = Chez : les personnes ayant des maladies hépatiques préexistantes, les personnes ayant des médications hépatotoxiques, les personnes ayant des antécédents d’abus d’alcool, les patients âgés de plus de 34 ans, les femmes enceintes ou ayant accouché il y a moins de 3 mois | | réponse = Chez : les personnes ayant des maladies hépatiques préexistantes, les personnes ayant des médications hépatotoxiques, les personnes ayant des antécédents d’abus d’alcool, les patients âgés de plus de 34 ans, les femmes enceintes ou ayant accouché il y a moins de 3 mois | ||
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Version du 19 août 2018 à 23:49
Chez : les personnes ayant des maladies hépatiques préexistantes, les personnes ayant des médications hépatotoxiques, les personnes ayant des antécédents d’abus d’alcool, les patients âgés de plus de 34 ans, les femmes enceintes ou ayant accouché il y a moins de 3 mois
Le régime de 6 mois est composé des antibiotiques INH + RMP + PZA pour une durée de 2 mois suivi des antibiotiques INH + RMP pour une durée de 4 mois. Le régime de 9 mois est composé des antibiotiques INH + RMP pour toute la durée du traitement.
Une antibiothérapie prolongée; notamment avec l’isoniazide (INH), la rifampicine (RMP), la pyrazinamide (PZA) et l’éthambutol (EMB).
Vrai
une mauvaise technique d’injection ou de lecture, une immunodépression, une malnutrition, une maladie grave (y compris une tuberculose active), une maladie virale active à l’exception du rhume ou un très jeune âge (moins de 6 mois)
Les populations chez qui il y a : infection à VIH, contact étroit avec un cas contagieux actif, enfant soupçonné de souffrir d’une tuberculose active, radiographie anormale montrant des anomalies fibronodulaires, autres déficiences immunes (chimiothérapie, corticostéroïdes, inhibiteurs du TNFalpha).
Un PPD positif n’est jamais suffisant pour porter un diagnostic de tuberculose-maladie, il n’est qu’un marqueur d’une primo-infection passée.
Le diagnostic définitif repose sur la mise en évidence par coloration, culture et/ou analyse génétique de bacilles tuberculeux dans les spécimens soumis.
La symptomatologie clinique comprend une douleur pleurétique et de la dyspnée.
Vrai
Il s'agit d'un syndrome aigu constitué de fièvre, dyspnée, tachypnée, cyanose et atteinte importante de l'état général.(De plus, cette forme disséminée s'associe souvent à une méningite, à une hépatomégalie, une splénomégalie et une lymphadénopathie.)
Une zone de nécrose caséeuse
L’atteinte osseuse due à la tuberculose
Il peut y avoir une cicatrice parenchymateuse calcifiée (foyer de Ghön) quelquefois associée à une adénopathie hilaire aussi calcifiée (complexe de Ranke).
Sous forme de pneumonie (ex : pneumonie bactérienne typique). D'ailleurs les poumons sont les premiers touchés dans la majorité des cas d'infections tuberculeuses.
Vrai.
Faux
fatigue, anorexie, amaigrissement, fièvre légère intermittente, sudation nocturne, toux, sécrétions mucoïdes ou franchement purulentes et hémoptysies
Dans les zones bien ventilées du parenchyme : lobe inférieur, lobe moyen, lingula
Par inhalation de microgouttelettes dont le diamètre est 1 à 5 µ.
la coloration de Ziehl-Neelsen et la coloration fluorescente à l’auramine O
Faux