Thoracostomie

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Thoracostomie
Procédure
Procédure
Informations
Terme anglais Tube thoracique

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Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
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Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

Un tube thoracique, également connu sous le nom de tube de thoracostomie, est un tube flexible qui peut être inséré à travers la paroi thoracique entre les côtes dans l'espace pleural.[1]

Les tubes de thoracostomie sont généralement fabriqués à partir de PVC ou de silicone. Ils vont de 6 français à 40 français. La majorité sont fenêtrés le long des côtés de l'extrémité d'insertion, et les tubes ont une bande radio-opaque. Après la mise en place, l'extrémité distale du tube est reliée à un système plèvre-évac. Il y a trois chambres d'une plèvre-évac: la chambre d'aspiration, la chambre du joint d'eau et la chambre de collecte. La chambre du joint d'eau agit comme une valve unidirectionnelle permettant à l'air de s'échapper de la gravité, mais pas de rentrer dans la cavité thoracique. [2][3][4][1]

Indications

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Exemple:
 

Les médecins utilisent un drain thoracique pour créer une pression négative dans la cavité thoracique et permettre la ré-expansion du poumon. Il aide à éliminer l'air (pneumothorax), le sang (hémothorax), les liquides (épanchement pleural ou hydrothorax), le chyle (chylothorax) ou la purulence (empyème) de l'espace intrathoracique. Il existe d'autres utilisations d'une sonde de thoracostomie qui ne sont pas aussi courantes et rarement indiquées. En règle générale, pour un pneumothorax sous tension, la décompression de l'aiguille a lieu en premier et le placement du tube thoracique suit rapidement après que le patient se stabilise après la décompression.[1]

Donc, les indications courantes d'un drain thoracique sont:

  • un pneumothorax (si large, ventilation mécanique, fistule bronchopleurale ou pneumothorax sous tension)
  • un hémothorax ou hémopneumothorax
  • une effusion pleurale
  • un chylothorax
  • un pyothorax
  • un empyème
  • une effusion pleurale récurrente et symptomatique
  • un trauma thoracique pénétrant
  • après une chirurgie thoracique ou cardiaque.[5][6][7]

Contre-indications

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Description: Section dans laquelle est énumérée l'ensemble des contre-indications à effectuer la traitement. Les éléments de cette section sont définis avec des propriétés de type Contre-indication.
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Exemple:
 

Malgré l'absence de contre-indications absolues à la pose d'un drain thoracique, certains situations doivent être approchées avec davantage de précaution. Les contre-indications relatives de la thoracostomie sont:

  • les coagulopathies et les déficiences plaquettaires
  • les adhésions pulmonaires
  • les bullae pulmonaires
  • une cellulite ou infection Herpes Zoster au niveau du site d'insertion
  • une pleurodèse antérieure
  • une transplantation pulmonaire antérieure
  • une allergie aux médicaments utilisées
  • un hémothorax massif sans résuscitation adéquate.[5][8][9][10][11][12]

Évaluation

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Description: Section dans laquelle est décrite l'évaluation qui doit être faite préalablement au début de la procédure.
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Exemple:
 

Avant la pose du tube thoracique, le médecin doit procéder à une évaluation préalable du patient. Tout d'abord, les signes vitaux, une histoire complète, un examen physique ainsi qu'une consultation des antécédents médicaux et chirugicaux est faite. Par la suite, les indications et les contre-indications de la thoracostomie douvent être revues. Lorsque la décision de poser le drain est pris, les cliniciens révisent les imageries antérieurs (radiographie, échographie, CT) du patient, si disponibles, afin de mieux visualiser l'endroit optimal pour l'installation du drain thoracique. Ensuite, le thorax est inspecté et s'il y a présence de signes d'infection (cellulite, Herpes Zoster, etc.), un site ultérieur est choisi pour la pose drain. Finalement, avant de débuter la procédure, l'identité du patient est vérifié et le consentement du patient est obtenu (sauf en situation d'urgence). [9][11][12]

Anatomie

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Description: Section dans laquelle est décrite l'anatomie pertinente à l'exécution de la procédure.
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Anatomie du thorax

Préparation

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Description: Section dans laquelle est décrite la préparation de la procédure à effectuer (il peut s'agir du matériel, d'information par rapport au positionnement du patient, etc.).
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Exemple:
 

Le patient est placé en position couchée avec la main sur le crâne afin de bien visualiser les espaces intercostaux. Ensuite, une solution de chlorhexidine est appliqué de la marge costale jusqu'à l'aisselle et du milieu du thorax jusqu'à la ligne axillaire inférieure dans le but de desinfecter la peau avant la procédure. Finalement, un champ est crée avec la mise en place de draps chirugicaux. [12]

Technique

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Exemple:
 

durai

venuta

bourgeois

L'échographie, la radiographie pulmonaire et le CT thoracique peuvent guider la pose du drain thoracique.

Le site d'insertion est situé au niveau de la ligne axillaire médiane au niveau du quatrième ou cinquième espace intercostal. Le tube devrait être glissé dans l'espace intercostal au-dessus de la côte inférieur afin d'éviter des dommages au faisceau intercostal. Par la suite, une exploration avec le doigt est encouragé afin d'éviter de traumatiser le parenchyme pulmoanire avec le tube. Par contre, dépendamment de l'indication du tube thoracique, le positionnement du drain sera différent. Afin de drainer de l'air (pneumothorax), le tube sera dirigé vers la ca antérieur de la cavité thoracique. Afin de drainer du sang (hémothorax), le tube devrait être dirigé vers la face pootérieure de la cavité thoracique. Afin de drainer un éppanchement pleural, le tube devrait être dirigé vers la face inférieure de la cavité thoracique.

Après la mise en place du drain, le clinicien sécurise le tube au thorax avec la mise en place de points de suture, préférablement des points matelassés ou des "stay in closure" sutures.

Une radiographie pulmonaire confirme le placement adéquat de la thoracostomie.


Une suction peut être effectué après que le drain soit mise en place mais ceci est encore controversée.

emyema = large bore

pneumothorax = small bored

L'anesthésie est un aspect important de la pose d'un tube thoracique puisquee la procédure peut être extrêmenent douloureux pour le patient. . Généralement, les patients recoivent uniquement une anesthésie locale, soit une injection sous-cutanée de lidocaine 1% (avec ou sans épinephrine) au niveau de l'espace intercostal inférieur à l'espace intercostal du drain. Le site précis d'insertation de lidocaine s'appellle le "safe triangle", qui est formé par la bordure antérieur du latissimus dorsi, de la bordure laétrale du pectoralis major et la base de l'aisselle (supérieur au niveau du mamelon). Un bloc nerveux intercostal peut être fait pour des patients ayant subi un trauma (ex. fracture côte). Par contre, une anesthésie général constituera la méthode d'analgésie si le drain a été posé lors d'une chirurgie thoracique ouverte et pourrait aussi être utilisé chez des enfants. Les agents les plus communs sont la morphine ou le fentanyl en combinaison avec le midazolam ou la kétamine.

En résumé, les principales étapes chirurgicaux de la thoracostomie sont:

  • le positionnement, la desinfection et l'anesthésie
  • une incision d'environ 5 cm au niveau de l'espace intercostal
  • une dissection du muscle intercostal jusqu'à l'espace pleural avec l'aide d'un hémostat
  • une insertion de l'index dans l'espace pleural afin de vérifier pour des adhésions
  • l'insertion du tube thoracique au nvieau de l'espace pleural, en suivant la surface supérieure de la côte inférieure
  • une redirection du tube vers l'antérieure, le postérieure ou l'inférieure de la cavité thoracique (selon l'indication du drain)
  • une sécurisation du tube avec des points de suture
  • un drainage de l'espace pleural avec l'aide du système de collection ainsi qu'un monitorage rapproché
  • une radiographie pulmonaire.


Le clinien placera le tube en postérieur et vers l'apex si seulement un drain est utilisé, Par contre, si deux drains sont placés, un sera situé en postéro-inférieur de la cage thoracique (draine sang) et l'autre sera placé en antéro-supérieur vers l'apex (draine air).

Lorsqu'il est temps d'enelver le drain thoracique, une radiographie des poumons est effectué. Par la suite, le pateint est de-extubé pendant qu'il prend une grande inspiration (et retient son souffle). the site is then covered and taped. Suction should be applied during removal. If 2 chest tubes are in place, the first to be removed is the posteriorlower one. This system allows the upper-anterior tube to drain air if it enters during the removal maneuver.


Placement: Un tube de thoracostomie est généralement placé entre la ligne axillaire médiane à antérieure dans le quatrième ou cinquième espace intercostal au-dessus de la côte afin de ne pas blesser le faisceau intercostal (artère, veine, nerf). Le quatrième espace intercostal est normalement au niveau du mamelon chez les mâles ou au niveau du pli inframammaire chez les femelles. Le suivi vers le haut et au-dessus d'un espace de côte est préféré, de sorte qu'un "volet" de tissu mou est présent lors du retrait du tube de thoracostomie pour empêcher l'air extérieur de revenir dans la cavité thoracique après le retrait provoquant un pneumothorax persistant ou récurrent. L'échographie ou la tomodensitométrie peuvent être utilisées pour guider la mise en place d'un drain thoracique. Ces méthodes d'imagerie sont plus utiles chez les patients plus compliqués qui ont des antécédents d'infection ou de chirurgie. Cela les expose à un risque plus élevé de cicatrices. Des antibiotiques prophylactiques doivent être administrés avant d'être placés dans le cadre d'opération élective ou de traumatologie. L'imagerie de suivi (radiographie thoracique) est personnalisée après la mise en place pour confirmer le positionnement correct de la sonde de thoracostomie. Habituellement, pour le pneumothorax, un tube droit est placé vers l'apex. Pour l'hémothorax ou un épanchement pleural, généralement un tube droit est placé en arrière et vers l'apex et / ou un tube à angle droit peut être placé à la base du poumon et du diaphragme.[1]

Arrêt: Lors du retrait, essayez d'éviter d'arrêter le tube lors de l'inspiration, car cela développe un gradient de pression à l'intérieur de la poitrine qui peut avoir une piste d'air intrathoracique et provoquer un pneumothorax persistant / récurrent après l'arrêt du traitement. Il existe plusieurs astuces pour éviter que cela ne se produise. La première consiste à chronométrer l'arrêt et à se synchroniser avec la respiration du patient. Une autre astuce consiste à demander au patient de retenir sa respiration ou de faire un sceau et de souffler sur son pouce comme s'il faisait exploser un ballon. Il est préférable d'utiliser un pansement occlusif avec de la vaseline ou de la gaze xéroforme ou placer un point en U autour du site d'incision et le resserrer lorsque le tube est arrêté est une autre option.[13][14][1]

Complications

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Section dans laquelle on décrit l'ensemble des complications pouvant survenir après le traitement et la prise en charge sommaire de cette complication. Si la description des complications ou de leur traitement est trop longue, il est préférable de faire une page de situation clinique ou de maladie distincte et d'insérer un hyperlien sur la page de traitement. Les éléments de cette section sont définis avec des propriétés de type Complication.
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Exemple:
 

Les complications les plus fréquentes reliés à la pose d'un drain thoracique sont:

  • une douleur locale au site d'insertion
  • un délogement du tube et/ou une fuite de liquides autour du drain
  • un colamatage du tube, ce qui augmente le risque d'un pneumothorax
  • une infection locale au niveau du site d'insertion
  • un empyème
  • un emphysème sous-cutanée
  • des saignements (secondaire à une lacération des artères intercostaux ou du parenchyme pulmonaire)
  • des lésions nerveuses (syndrome de Horner ou lésion nerf phrenique)
  • une perforation esophagienne
  • une lésion du diaphragme
  • une lésion aux organes intra-abdominaux (foie ou rate) ou aux organes intra-thoraciques (poumons, coeur ou aorte thoracique)
  • un pneumothorax résiduel (après l'extubation)
  • un oedème pulmonaire de ré-expansion. [1][5][6][7][12]

Suivi

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Description: Section qui décrit le suivi à effectuer après le traitement (suivi radiologique, biochimique, clinique, etc.). Précisez la fréquence du suivi.
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Exemple:
 

Signification clinique

Un drain thoracique permet une évacuation vitale de l'air, du sang et des fluides infectieux.[1]

Prise en charge de la sonde thoracique [1]

La gestion standard des drains thoraciques n'a pas encore été scientifiquement déterminée ou approuvée par les experts. Il est souvent spécifique au médecin en fonction de sa formation et de son expérience anecdotique; ce n'est pas une science exacte. En fonction de l'indication de la mise en place de la sonde de thoracostomie, le concept global de prise en charge repose sur l'opposition favorable de la plèvre viscérale et pariétale. Les trois options de gestion d'un drain thoracique sont l'aspiration, l'étanchéité à l'eau et le clampage.[1]

Lorsqu'une nouvelle fuite d'air est constatée, le tube thoracique, la tubulure de connexion, l'évacuation de la plèvre et la plaie d'un patient doivent être examinés pour déceler toute connexion desserrée ou délogement du tube. Les trous fenêtrés ne doivent pas être à l'extérieur du corps. Les facteurs qui rendent un patient à haut risque de fuite d'air persistante comprennent l'utilisation de stéroïdes, les poumons emphysémateux, la réintervention avec un tissu cicatriciel étendu ou un traumatisme important aux poumons. [1]

Pour la plupart des indications, à l'exclusion des chirurgies thoraciques spécialisées, l'aspiration est généralement la prise en charge initiale d'un drain thoracique. Le tube peut ensuite être placé pour sceller l'eau si aucune fuite d'air n'est présente et qu'aucun pneumothorax n'est évident sur une radiographie pulmonaire. Les tubes thoraciques placés pour la pleurodèse et la décortication doivent généralement être aspirés plus longtemps pour aider à contrer la plèvre avant d'arrêter le tube. Le drain thoracique peut être interrompu une fois qu'aucune fuite d'air n'est visualisée, le débit est sérosanguin sans signe de saignement, le débit est inférieur à 150 cc à 400 cc sur une période de 24 heures (cette plage est large car elle est discutable parmi les chercheurs), pneumothorax léger inexistant ou stable à la radiographie pulmonaire, et le patient est minimisé par la pression positive du ventilateur. Si un patient présente une fuite persistante après la prise en charge précédente mentionnée ci-dessus, un spécialiste de la chirurgie thoracique devra être consulté.[1]

Si la sonde de thoracostomie est placée pour un hémothorax traumatique, les indications d'une thoracotomie incluent un débit sanguin initial de 1500 cc ou une moyenne de 200 cc / h pendant 4 heures consécutives. [1]

Pour l'hémothorax retenu post-traumatique, la littérature évolue vers la chirurgie thoracique assistée par vidéo (VATS) précoce en cas d'échec de la prise en charge du tube de thoracostomie. Certaines des options de prise en charge comprenaient la mise en place d'un deuxième tube thoracique par rapport à l'administration de tPA à travers le tube si vous pensez que l'hémothorax s'est transformé en caillot. Certains chirurgiens de traumatologie ou de tomodensitométrie emmènent maintenant les patients directement vers le VATS s'il y a un hémothorax retenu après la première sonde de thoracostomie.[15][1]

Considérations [1]

Les petits tubes de thoracostomie (tels que les cathéters Wayne) sont destinés à traiter le pneumothorax sur hémothorax ou un épanchement secondaire au risque de colmatage. Des sondes thoraciques plus grandes, généralement 28 françaises ou plus, sont nécessaires pour le drainage du sang ou du pus chez les adultes.[1]

Références

__NOVEDELETE__
  1. 1,00 1,01 1,02 1,03 1,04 1,05 1,06 1,07 1,08 1,09 1,10 1,11 1,12 1,13 et 1,14 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29083704
  2. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30195359
  3. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30191189
  4. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30198449
  5. 5,0 5,1 et 5,2 Federico Venuta, Daniele Diso, Marco Anile et Erino A. Rendina, « Chest Tubes: Generalities », Thoracic Surgery Clinics, vol. 27, no 1,‎ , p. 1–5 (ISSN 1558-5069, PMID 27865321, DOI 10.1016/j.thorsurg.2016.08.001, lire en ligne)
  6. 6,0 et 6,1 Rajaraman Durai, Happy Hoque et Tony W. Davies, « Managing a chest tube and drainage system », AORN journal, vol. 91, no 2,‎ , p. 275–280; quiz 281–283 (ISSN 0001-2092, PMID 20152201, DOI 10.1016/j.aorn.2009.09.026, lire en ligne)
  7. 7,0 et 7,1 (en) Megan Drupals et Matthaeus Ware, Toronto Notes 2021, , 1466 p., p. 464
  8. (en-US) David C. Mares et Praveen N. Mathur, « Tube Thoracostomy », Journal of Bronchology & Interventional Pulmonology, vol. 4, no 2,‎ , p. 159 (ISSN 1944-6586, lire en ligne)
  9. 9,0 et 9,1 Michael Kwiatt, Abigail Tarbox, Mark J. Seamon et Mamta Swaroop, « Thoracostomy tubes: A comprehensive review of complications and related topics », International Journal of Critical Illness and Injury Science, vol. 4, no 2,‎ , p. 143–155 (ISSN 2229-5151, PMID 25024942, Central PMCID 4093965, DOI 10.4103/2229-5151.134182, lire en ligne)
  10. (en) Jeremy R. Hogg, Michael Caccavale, Benjamin Gillen et Gavin McKenzie, « Tube Thoracostomy: A Review for the Interventional Radiologist », Seminars in Interventional Radiology, vol. 28, no 1,‎ , p. 39–47 (ISSN 0739-9529 et 1098-8963, PMID 22379275, Central PMCID PMC3140253, DOI 10.1055/s-0031-1273939, lire en ligne)
  11. 11,0 et 11,1 Ivan Kuhajda, Konstantinos Zarogoulidis, Ioanna Kougioumtzi et Haidong Huang, « Tube thoracostomy; chest tube implantation and follow up », Journal of Thoracic Disease, vol. 6, no Suppl 4,‎ , S470–S479 (ISSN 2072-1439, PMID 25337405, Central PMCID 4203990, DOI 10.3978/j.issn.2072-1439.2014.09.23, lire en ligne)
  12. 12,0 12,1 12,2 et 12,3 (en) Sidney L. Bourgeois D.D.S, Adjuncts for Care of the Surgical Patient, An Issue of Atlas of the Oral & Maxillofacial Surgery Clinics, Elsevier Health Sciences, (ISBN 978-0-323-39553-3, lire en ligne)
  13. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30185316
  14. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30140461
  15. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29936194
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