Sujet sur Discussion:Accident de décompression

  1. Est-ce qu'on dit Maladie de décompression ou Accident de décompression ? […]
    • Je suis d'accord avec ta conclusion, mais j'ai hâte de voir ce que Dre Tardif-Harvey en pense. C'est elle l'experte ! :)
  2. Il manque des modèles sémantiques dans la section étiologie.
    • Super. Tu as bien compris comment les modèles fonctionnent.
  3. Dans la section « Étiologies », est-ce que c'est l'ascension en plongée sous-marine ou plutôt l'ascension rapide en plongée sous-marine ? […]
    • Tu as raison que ça ne s'applique pas aux vols d'avion étant donné la manière dont tu le définis. En fait, l'accident de décomepression, de la manière dont je l'ai appris dans mon cours de plongée sous-marine, c'est quand on passe d'un endroit où la pression est élevée (ou relativement élevée) à un endroit où elle est relativement basse rapidement. C'est pour cette raison qu'on recommande aux plongeurs de ne pas faire de plonger dans les 24h précédent un vol en avion. Même s'ils sont de retour à la pression ambiante depuis un bon moment, ils ont toujours de l'azote dissout dans leur sang. Cet azote prend plusieurs heures avant de passer du sang --> air expiré. Ce faisant, si le plongeur prend un vol en avion, même dans une cabine pressurisée, il s'expose à une maladie de décompression, car la pression dans la cabine pressurisée est inférieure à la pression au niveau de la mer. Passer du niveau de la mer à 35 000 pieds d'altitude dans une cabine pressurisée à une pression inférieure au niveau de la mer, ça fait passer d'un endroit avec une pression relative élevée (le niveau de la mer) vers un endroit où la pression est basse (la cabine). C'est exactement le même principe que lorsqu'on ouvre un canette de liqueur... Du CO2 (sous forme de H2CO3) est dissout dans le liquide. Lorsqu'on ouvre la canette, on fait faire un « accident de décompression » au liquide, c'est-à-dire qu'on diminue drastiquement la pression à l'intérieure de la canette, ce qui permet au gaz carbonique de former des bulles et de s'échapper du liquide. Quand un pilote d'avion non pressurisée qui n'a pas fait de plongée sous-marine passe d'un endroit où la pression est importante (le niveau de la mer) à 20 à 30 000 pieds d'un coup, c'est la même chose qui se produit. Ça doit d'ailleurs être pour cette raison que les pilotes de chasse portent un masque d'oxygène sur le visage.
  4. Ok !
  5. OK.
  6. Idéalement oui. Je vais le faire pour toi. Je vais passer par le wikicode. Par contre, peux-tu supprimer les duplications de symptômes dans le tableau ? Il y a certains symptômes qui apparaissent plusieurs fois. Même chose pour les signes.
  7. Je n’ai pas de statistiques pour connaitre quelques sont les systèmes les plus souvent atteints. Cependant, j’ai des statistiques avec les manifestations les plus fréquentes . Si on organise selon un des sx, ça donne : musculo-squelettique (douleur 68%), neurologique (paresthésie 63%), cutanée (changement cutané 10%), cardiopulmonaire (sx pulmonaire 6%), oreille interne (sx auditif 2%). Ça me semble moins représentatif puisque j’utilise seulement 1 sx pour les classer. Qu'en pensez-vous?
    • Excellent ! En fait, tu peux rajouter la prévalence d'un signe ou d'un symptôme dans les modèles sémantiques. Quand tu cliques sur ajouter plus d'informations, et tu vas trouver le champs prévalence. C'est une information fort pertinente à ajouter pour chaque paramètre que tu as à ta disposition.
    • Effectivement, pas besoin de les classer par fréquence dans ce cas.
  8. Fait. Quand je fais afficher, on dirait maintenant que certains modèles sémantiques n’ont pas été mis mais, quand je fais «modifié», c’est là qu’on les voit.
    • C'est juste parce que tu as mis le texte dans « texte » plutôt que « Affichage ».
  9. Dans les examens paracliniques, on parle de l'IRM et de la TDM cérébrale ? Il faudrait le spécifier. Les bulles sont intra-artérielles j'imagine. Si oui, à spécifier dans le modèle signe paraclinique.
  10. Échographie de quoi ? Cardiaque je présume ? ;)
  11. Je me pose la question à savoir si la division type 1/type 2 est nécessaire. À voir avec Dre Tardif-Harvey. On le mentionne tellement rarement dans l'article...