Discussion:Accident de décompression

À propos de ce flux de discussion

Non modifiable

Résumé par Michaël St-Gelais

Terminée.

Silvia Rizeanu (discussioncontributions)

Bonjour @Michaël St-Gelais et @Filipa Esteves,

La révision de mon premier article est terminée. Quand vous aurez un moment, tout commentaire sera le bienvenu. Merci!

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

C'est très bien. Merci beaucoup ! J'ai ajouté la mention dans l'infobox pour la révision. Beau travail ! :)

Résumé par Michaël St-Gelais

La discussion s'est poursuivi à Gestion:Politiques/Conventions.

Silvia Rizeanu (discussioncontributions)

Bonjour, j'ai une question les références de la section 1 Épidémiologie SVP.

En lisant la section 9.4 de l'Autoformation, je comprends que la référence (ou l'appel de note) suit le point final s'il concerne tout l'extrait.

D'autres ressources, comme le Ramat ou l'Oqlf semblent dire que l'appel de note précède toujours tout signe de ponctation.

Or, dans la section Épidémilogie, on retrouve les deux cas pour l'appel de note 1 et 2. J'ai tendance à penser que les deux références s'appliquent à toute la phrase qui les précède et donc que l'appel de note devrait se placer après le point final dans les deux cas.

J'ai l'impression qu'une nuance de la définition m'échappe. Est-ce que quelqu'un pourrait m'éclairer? Merci d'avance!

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

Bonjour @Silvia Rizeanu ! C'est un plaisir de te retrouver ici ! Petit conseil, tague-moi ou une autre personne si tu veux augmenter les chances que ton commentaire soit lu. :)

Mmmm... C'est une excellente question.

En fait, dans l'extrait en question, la référence 1 est l'article de StatPearls à partir duquel nous avons construit l'ensemble de l'article avec l'outil d'importation semi-automatique. Conséquemment, la référence 1 est ajoutée automatiquement à la fin de chaque paragraphe par l'outil d'importation, car c'est notre manière d'être plus catholique que le pape : on copie-colle-traduit-adapte un article provenant d'une source qui était en CC-BY (maintenant en CC-BY-NC-ND), alors on met la mention que ça provient d'eux en-bas dans la section « Références » ET on ajoute une référence à la fin de chaque paragraphe.

Si je comprends bien, tu suggères que :

  • si la référence concerne tout le paragraphe, on place la référence à la fin du paragraphe à l'extérieur du point
  • si la référence concerne la phrase, on place la référence avant le point.

Ai-je bien compris ?

Par ailleurs, j'en profite pour te donner quelques pistes par rapport aux conventions qu'on a par rapport aux listes à puce. Je sais, ce qu'on fait n'est pas standard, mais ça l'a été mûrement réfléchi et discuté avec un professeur en design rédactionnel à l'UL (Éric Kavanagh). C'est aussi pour alléger le plus possible le dispositif graphique dans le contexte d'une utilisation sur téléphone intelligent.

Par exemple, on évite généralement les point-virgules et tout autre dispositif graphique autre que la puce dans une liste à puce, puis on termine avec le point.

Ceci est une phrase :

  • l'élément 1
  • l'élément 2
  • l'élément 3.

Lorsque les éléments sont trop longs et constituent des phrases, on fait souvent comme ceci.

  • Ceci est une phrase bidon.
  • Ceci est encore une phrase bidon.

(Donc pas de deux-points avant les puces)

Silvia Rizeanu (discussioncontributions)

Bonjour @Michaël St-Gelais! Merci pour ta réponse détaillée! @Filipa Esteves m'avait expliqué pour le tag mais je n'y ai pas pensé.


Je voulais juste m'assurer de bien comprendre dans quels cas on insère la référence avant et dans quels cas on l'ajoute après le point final, pour ne pas faire de fausses corrections.


Donc si la référence est ajoutée après le point final il faut la laisser telle, je comprends bien?


Aussi, un autre détail stp : est-ce qu'on applique la règle "pas d'espace avant la référence" pour toutes les références? Ou bien il y a des exceptions quand la référence suit le point final, ou quand il y a plusieurs références consécutives?


Pour ce qui est des listes à puces, donc si la phrase qui précède la liste est courte, on laisse le ":" et si les éléments de la liste sont courts, il y a juste un point final à la toute fin de la liste.

Par contre, si la phrase qui précède la liste est longue, elle ne doit pas se terminer par un ":".

Donc si on prend comme exemple la section "Complications" de cet article, il faut remplacer "comme :" par un point final. C'est exact?

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)
  • Pour les références, j'ai modifié la politique pour la clarifier. Est-ce que c'est mieux ? J'espère que ça clarifie tous les points sus-mentionnés. Gestion:Politiques/Conventions#R.C3.A9f.C3.A9rences et notes
    • Ça me fait plaisir de faire les changements que tu proposes :).
    • « Donc si la référence est ajoutée après le point final il faut la laisser telle, je comprends bien? » OUI, seulement si cette référence est en fin de paragraphe. Sinon, ça veut dire que la référence a été placé après le point, mais que ça l'aurait dû être mis avant le point. Ça mène à une autre question : est-ce complètement hérétique comme manière de fonctionner ou ça te semble quand même conforme ?
    • « Aussi, un autre détail stp : est-ce qu'on applique la règle "pas d'espace avant la référence" pour toutes les références? Ou bien il y a des exceptions quand la référence suit le point final, ou quand il y a plusieurs références consécutives? » Pas certain de comprendre.
  • Pour la liste à puces
    • « Pour ce qui est des listes à puces, donc si la phrase qui précède la liste est courte, on laisse le ":" et si les éléments de la liste sont courts, il y a juste un point final à la toute fin de la liste. Par contre, si la phrase qui précède la liste est longue, elle ne doit pas se terminer par un ":". »
    • Oui et non. En fait, si tu as l'impression que ce sont des paragraphes plutôt qu'une liste (par exemple Physiologie de la plongée), on peut mettre les courts paragraphes en forme de liste à puces, mais la liste à puces n'est pas introduit par un deux-point, mais elle est tout de même introduite par une courte phrase. Le choix de faire une liste à puces dans ce cas-là revenait au rédacteur pour assurer une efficacité dans la lecture. C'est somme toute rare. Il y avait une notion d'étape.
    • Dans le cas de Physiologie de la plongée, les références sont insérées après le point final (10,11,2), car ces références concernent l'ensemble de la liste à puces qui suit.

En fait, je crois que je vais te taguer à un autre endroit du wiki pour que tu puisses suggérer des modifications à la politique, car de toute évidence, la politique n'est pas claire. XD

Silvia Rizeanu (discussioncontributions)

@Michaël St-Gelais merci encore!

Pour les listes à puces, c'est parfaitement clair.

Pour l'appel de notes, ça prendrait l'avis de quelqu'un qui a plus d'expérience que moi dans la révision scientifique pour dire à quel point c'est conforme. @Filipa Esteves, qu'en penses-tu? :)

Voici ce qui est écrit sur le site de l'Oqlf (ça inclut aussi la précision sur l'espacement): "L’appel de note se place immédiatement après le mot ou le groupe de mots auquel il se rapporte, dont il n’est séparé par aucun espacement. Il précède donc toujours le signe de ponctuation, sauf le point abréviatif. En fin de phrase, il est suivi du point ou autre signe de ponctuation final, même s’il suit un point abréviatif.

  • C’est ce qu’on appelle un « toponyme administratif1 ».
  • Ce document mentionne les noms d’États, de provinces, de territoires2, etc.3."
Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

Ça me convient comme manière de fonctionner. Il s'agit seulement de mettre à jour les conventions pour que ça représente nos discussions. On continue à discuter de tout ceci sur Gestion:Politiques/Conventions.

Silvia Rizeanu (discussioncontributions)
Résumé par Michaël St-Gelais

Terminée.

Catherine Lefebvre (discussioncontributions)

@Myriam T-Harvey Bonjour! Voici une première version de la page sur la maladie de décompression. Merci.

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

@Catherine Lefebvre@Myriam T-HarveyVoici mes corrections du point de vue d'un non spécialiste en médecine hyperbare !

  • Est-ce qu'on dit Maladie de décompression ou Accident de décompression ? Si j'avais à faire un choix, je dirais que l'accident de décompression est un terme qui englobe tous les problèmes en lien avec la décompression, alors que la maladie de décompression est une pathologie spécifique. Je crois que c'est le fruit de Google Translate. À valider svp pour utiliser la bonne terminologie.
  • Il manque des modèles sémantiques dans la section étiologie.
  • Dans la section « Étiologies », est-ce que c'est l'ascension en plongée sous-marine ou plutôt l'ascension rapide en plongée sous-marine ? C'est différent. De la même manière, le fait de travailler dans des caissons à air comprimé n'est pas une étiologie, mais bien le fait de travailler dans des caissons à air comprimé ET de retourner à une pression ambiante trop rapidement. De manière générale, je crois qu'il y a une seule étiologie qui se résumerait à « décompression rapide ». J'ai l'impression que plongée sous marine, vol d'avion, vaisseau spatial, travail dans un caisson à air comprimé, ce sont des facteurs de risque. Qu'en penses-tu Myriam ?
  • Dans la section Questionnaire, je me demande l'utilité de ce passage si on va de toute manière le détailler dans le tableau.
  • Dans la section Questionnaire dans le tableau, quelle est l'utilité de ce qui figure dans le tableau en anglais ? Ex. Limb bends, skin bends, chokes, etc
  • Dans les tableaux, ce n'est pas nécessaire de mettre des déterminants avant chaque expression. C'est pour quand on fait une liste à puce en dehors d'un tableau qu'on le fait. Bravo pour le respect des conventions ! Il faudrait que je le spécifie dans les conventions par contre, mais c'est une autre histoire.
  • Dans les examens et le questionnaire, ce serait bien je crois de classer les systèmes par importance dans le tableau clinique. Si par exemple les manifestations neurologiques sont au premier plan, à mettre en premier dans le tableau. On peut changer l'ordre des lignes dans le tableau assez facilement.
  • Il te manquerait les modèles sémantiques dans la section examen paraclinique, ainsi que les signes paracliniques.
  1. « [1] », sur www.uptodate.com (consulté le 20 février 2021)
  2. (en) Richard D Vann, Frank K Butler, Simon J Mitchell et Richard E Moon, « [1, 2] », The Lancet, vol. 377, no 9760, , p. 153–164 (DOI 10.1016/S0140-6736(10)61085-9, lire en ligne)
Catherine Lefebvre (discussioncontributions)

@Michaël St-Gelais @Myriam T-Harvey

  1. Est-ce qu'on dit Maladie de décompression ou Accident de décompression ? […]
    • En anglais decompression illness regroupe decompression sickness et arterial gas embolism. On utilise le terme decompression illness (DCI) parce que les sx des 2 peuvent être similaires et le traitement est le même.
    • En français, il ne semble pas y avoir la même distinction.
    • Le Centre intégré de santé et de services sociaux de Chaudière-Appalaches parle d’accident de décompression et d’embolie gazeuse sans terme qui les regroupe ensemble. L’embolie gazeuse se produit rarement après 10 minutes de retour à la surface.
    • Dans la Revue Médicale Suisse, on parle d’accident de décompression. L’embolie gazeuse fait partie des effets secondaires du barotraumatisme pulmonaire.
    • Le site du Gouvernement du Canada pour l’agence spatiale canadienne fait référence à la maladie des caissons ou mal de décompression.
    • Dans la version française du Merck, on parle bien de maladie de décompression et d’embolie gazeuse. Il y a même un tableau comparatif entre les 2
    • En résumé, j’ai l’impression que le terme « Maladie de décompression » est probablement une mauvaise traduction qu’on peut retrouver comme dans le Merck. Si on prend des références en français, on s’y réfère comme accident de décompression/mal de décompression/maladie des caissons. Il n’y a pas de terme qui englobe les autres effets secondaires comme les barotraumas. Je voudrais modifier le titre pour Accident de décompression (chose que je n’ai pas encore faite puisque je devrais cliquer sur Finaliser/Renommer et je crains de finaliser la page) et mettre les termes mal de décompression/maladie des caissons comme autres termes utilisés. Est-ce ok?
  2. Il manque des modèles sémantiques dans la section étiologie.
    • Fait.
  3. Dans la section « Étiologies », est-ce que c'est l'ascension en plongée sous-marine ou plutôt l'ascension rapide en plongée sous-marine ? […]
    • Reste à voir avec Dre T-Harvey. Pour l’instant, j’ai indiqué « L'ADD se produit dans des situations causant une diminution trop rapide de la pression ambiante comme : ». Je ne voulais pas mettre de retourner à une pression ambiante trop rapidement puisque ça ne s’appliquerait pas vraiment à la situation avec les vols d’avion, par exemple.
  4. Dans la section Questionnaire, je me demande l'utilité de ce passage si on va de toute manière le détailler dans le tableau [...]
    • Enlevé.
  5. Dans la section Questionnaire dans le tableau, quelle est l'utilité de ce qui figure dans le tableau en anglais ? Ex. Limb bends, skin bends, chokes, etc.
    • Enlevé. C’étaient les noms donnés spécifiquement lorsqu’un ADD touche un système particulier.
  6. Dans les tableaux, ce n'est pas nécessaire de mettre des déterminants avant chaque expression. […]
    • Déterminants enlevés. Est-ce que je dois mettre des majuscules?
  7. Dans les examens et le questionnaire, ce serait bien je crois de classer les systèmes par importance dans le tableau clinique. […]
    • La division présentement met les sx du type 1 en premier (peau et musculo-squelettique) et ensuite, le type 2, qui est plus grave (neurologique, oreille interne, cardiopulmonaire).
    • Je n’ai pas de statistiques pour connaitre quelques sont les systèmes les plus souvent atteints. Cependant, j’ai des statistiques avec les manifestations les plus fréquentes . Si on organise selon un des sx, ça donne : musculo-squelettique (douleur 68%), neurologique (paresthésie 63%), cutanée (changement cutané 10%), cardiopulmonaire (sx pulmonaire 6%), oreille interne (sx auditif 2%). Ça me semble moins représentatif puisque j’utilise seulement 1 sx pour les classer. Qu'en pensez-vous?
  8. Il te manquerait les modèles sémantiques dans la section examen paraclinique, ainsi que les signes paracliniques.
    • Fait. Quand je fais afficher, on dirait maintenant que certains modèles sémantiques n’ont pas été mis mais, quand je fais «modifié», c’est là qu’on les voit.
Michaël St-Gelais (discussioncontributions)
  1. Est-ce qu'on dit Maladie de décompression ou Accident de décompression ? […]
    • Je suis d'accord avec ta conclusion, mais j'ai hâte de voir ce que Dre Tardif-Harvey en pense. C'est elle l'experte ! :)
  2. Il manque des modèles sémantiques dans la section étiologie.
    • Super. Tu as bien compris comment les modèles fonctionnent.
  3. Dans la section « Étiologies », est-ce que c'est l'ascension en plongée sous-marine ou plutôt l'ascension rapide en plongée sous-marine ? […]
    • Tu as raison que ça ne s'applique pas aux vols d'avion étant donné la manière dont tu le définis. En fait, l'accident de décomepression, de la manière dont je l'ai appris dans mon cours de plongée sous-marine, c'est quand on passe d'un endroit où la pression est élevée (ou relativement élevée) à un endroit où elle est relativement basse rapidement. C'est pour cette raison qu'on recommande aux plongeurs de ne pas faire de plonger dans les 24h précédent un vol en avion. Même s'ils sont de retour à la pression ambiante depuis un bon moment, ils ont toujours de l'azote dissout dans leur sang. Cet azote prend plusieurs heures avant de passer du sang --> air expiré. Ce faisant, si le plongeur prend un vol en avion, même dans une cabine pressurisée, il s'expose à une maladie de décompression, car la pression dans la cabine pressurisée est inférieure à la pression au niveau de la mer. Passer du niveau de la mer à 35 000 pieds d'altitude dans une cabine pressurisée à une pression inférieure au niveau de la mer, ça fait passer d'un endroit avec une pression relative élevée (le niveau de la mer) vers un endroit où la pression est basse (la cabine). C'est exactement le même principe que lorsqu'on ouvre un canette de liqueur... Du CO2 (sous forme de H2CO3) est dissout dans le liquide. Lorsqu'on ouvre la canette, on fait faire un « accident de décompression » au liquide, c'est-à-dire qu'on diminue drastiquement la pression à l'intérieure de la canette, ce qui permet au gaz carbonique de former des bulles et de s'échapper du liquide. Quand un pilote d'avion non pressurisée qui n'a pas fait de plongée sous-marine passe d'un endroit où la pression est importante (le niveau de la mer) à 20 à 30 000 pieds d'un coup, c'est la même chose qui se produit. Ça doit d'ailleurs être pour cette raison que les pilotes de chasse portent un masque d'oxygène sur le visage.
  4. Ok !
  5. OK.
  6. Idéalement oui. Je vais le faire pour toi. Je vais passer par le wikicode. Par contre, peux-tu supprimer les duplications de symptômes dans le tableau ? Il y a certains symptômes qui apparaissent plusieurs fois. Même chose pour les signes.
  7. Je n’ai pas de statistiques pour connaitre quelques sont les systèmes les plus souvent atteints. Cependant, j’ai des statistiques avec les manifestations les plus fréquentes . Si on organise selon un des sx, ça donne : musculo-squelettique (douleur 68%), neurologique (paresthésie 63%), cutanée (changement cutané 10%), cardiopulmonaire (sx pulmonaire 6%), oreille interne (sx auditif 2%). Ça me semble moins représentatif puisque j’utilise seulement 1 sx pour les classer. Qu'en pensez-vous?
    • Excellent ! En fait, tu peux rajouter la prévalence d'un signe ou d'un symptôme dans les modèles sémantiques. Quand tu cliques sur ajouter plus d'informations, et tu vas trouver le champs prévalence. C'est une information fort pertinente à ajouter pour chaque paramètre que tu as à ta disposition.
    • Effectivement, pas besoin de les classer par fréquence dans ce cas.
  8. Fait. Quand je fais afficher, on dirait maintenant que certains modèles sémantiques n’ont pas été mis mais, quand je fais «modifié», c’est là qu’on les voit.
    • C'est juste parce que tu as mis le texte dans « texte » plutôt que « Affichage ».
  9. Dans les examens paracliniques, on parle de l'IRM et de la TDM cérébrale ? Il faudrait le spécifier. Les bulles sont intra-artérielles j'imagine. Si oui, à spécifier dans le modèle signe paraclinique.
  10. Échographie de quoi ? Cardiaque je présume ? ;)
  11. Je me pose la question à savoir si la division type 1/type 2 est nécessaire. À voir avec Dre Tardif-Harvey. On le mentionne tellement rarement dans l'article...
Myriam T-Harvey (discussioncontributions)

D'abord, beau travail! Et désolée du délai!

1- Accident de Décompression (ADD) est l'équivalent de decompression ilness (DCI) en anglais et embolie gazeuse artérielle est l'équivalent de Arterial Gas Embolism (AGE) en anglais.

2- C'est Michael le pro

3- Souvent on parle de "remontée" en langage hyperbare lorsqu'on parle de dépressurisation. Dépressurisation ou diminution de pression ambiante est également approprié. L'article de Neal Pollock et Dominique Buteau est d'ailleurs une excellente source pour démêler le tout. Leur définition de l'ADD et de l'AGE sont d'ailleurs intéressante et parle de "profil de remontée" ce qui décrit bien le principe. Le concept de "desaturation des tissus" y est aussi bien expliqué dans mon souvenir. Je suis incapable d'avoir accès à l'article complet pour une raison mystérieuse mais je peux l'obtenir au besoin si tu as besoin qu'on le regarde ensemble je crois qu'il permettrait de bonifier certaine section.

4- 5-6-7-8 Rien à rajouter

9- J'ai enlevé les CK... Aucune utilité en clinique pour départager l'ADD du barotraume pulmonaire et de l'embolie gazeuse, c'est le timing d'apparition et la présentation initiale qui permet de suspecter une embolie artérielle sur une rupture alvéolaire (Sx qui aparaissent en général dès l'arrivée en surface, histoire de remontée non contrôlée, panique, blocage de la respiration lors de la remontée.). L'oedeme pulmonaire d'immersion, qui fait aussi parti du Ddx, lui va se présenter alors que la personne est encore en profondeur. Le moment d'apparition des symptômes, leur évolution, une histoire détaillée et l'obtention du profil de plongée sont la clé pour faire le bon Ddx.

10- Echographie cardiaque et doppler sont utilisés pour déterminer la présence de bulles dans la circulation veineuse surtout et également la présence d'un foramen ovale perméable avec un shunt significatif chez des plongeurs ayant fait un ADD sévère ou plusieurs ADD non justifié (ADD survenu malgré respect des tables de non-décompression et profil de remontée sécuritaire). L'echographie et le doppler sont aussi utilisés dans certaines études ou on va regarder l'impact de facteurs personnel et environnementaux sur la formation de bulles dans la circulation veineuse lors de la remontée chez des plongeurs avec différents profils stadardisés. Bulles dans la circulation veineuse n'égale pas nécessairement ADD, les poumons vont filtrer la plupart de ses bulles non significatives. Ce sont des outils utilisés entre autre par certaines compagnie qui fabriquent des ordinateurs de plongés pour tester leur modèles mathématiques qui déterminent leur limites de non-décompression.

11- La division des ADD en type un et type deux est nécessaire car n'implique pas les mêmes investigation et les mêmes contraintes pour le retour à la plongée ensuite vu leur sévérité différente.



Myriam T-Harvey (discussioncontributions)
Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

@Catherine Lefebvre, je te laisse revoir les correctifs. Au final, c'est relativement mineur. :) On sera prêt à publier sous peu.

Catherine Lefebvre (discussioncontributions)

@Michaël St-Gelais @Myriam T-Harvey

1-Super, il ne reste plus qu’à modifier le titre pour «Accident de décompression»

3- J’ai pris le temps de lire l’article proposé et j’ai aussi lu 2 autres sources. https://www.yumpu.com/en/document/read/34728100/download-diving-medicine-for-scuba-divers (p.137)https://www.navsea.navy.mil/Portals/103/Documents/SUPSALV/Diving/US%20DIVING%20MANUAL_REV7.pdf?ver=2017-01-11-102354-393 (p.204)

J’ai expliqué le mieux possible le concept de la physique derrière la plongée et davantage approfondi le concept de pression partielle.

J’ai enlevé le premier paragraphe abordant la loi d’Henry vu qu’en changeant l’explication, il me semblait moins nécessaire. Puisque la section s’est allongée, j’ai donc ajouté 3 sous-sections. Vous me direz si vous le préférez comme ça.

10- «L'échographie cardiaque peut être utilisé pour le dépistage d'un foramen oval perméable. Sa recherche est indiquée après des ADD (habituellement plus d'un) avec un profil de remontée sécuritaire ou avec des symptômes neurologiques ou cutanés sévère.» J’ai ajouté l’explication avec une source à l’appui dans la section Examen Paraclinique.


Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

L'article est excellent et je l'ai publié. J'ai effectué plusieurs modifications. Voir l'historique pour une rétroaction.

  • Petit détail. Idéalement ne jamais mettre de référence dans les titres et les sous-titres. Cela cause des problèmes d'un point de vue informatique.
  • J'ai modifié les complications en discutant avec Dre Tardif-Harvey au téléphone. Je trouvais qu'il y avait beaucoup de symptômes dans les complications. Habituellement, on trouve surtout des maladies dans les complications. Quoiqu'il en soit, les déficits neurologiques persistants sont des complications de cette maladie. Statu quo.
  • J'ai fait des modifications de mise en page pour augmenter l'efficacité. J'ai enlevé des tableaux et remis en liste à puce pour que ce soit plus compact à lire sur les téléphones intelligents.
  • J'ai ajouté une petite image dans l'infobox.
  • J'ai relocalisé des éléments qui étaient en dehors du tableau traitement dans la section correspondante, encore une fois pour améliorer l'efficacité de l'article.
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