ULaval:MED-1221/Questions de l'examen 1
- Système squelettique
- Système musculaire
- Système nerveux
- Système vasculaire
- Vrai
- Faux
b
Squelette appendiculaire
Sutures
- Vrai
- Faux
a
Synchondrose
Faux
Synarthroses: Les os sont unis par un tissu conjonctif solide et spécialisé qui peut être fibreux ou cartilagineux.
Diarthroses: Les extrémités osseuses sont recouvertes d’un cartilage; elles sont unies par une enveloppe de collagène(capsule articulaire) qui délimite une cavité contenant du liquide synovial d'où l'appellation d'articulations synoviales.Vrai
- Vrai
- Faux
b
Les nerfs crâniens, de même que les nerfs spinaux, sont compris dans le système nerveux périphérique.
- Vrai
- Faux
b
La racine ventrale est motrice
- CERVICAUX (C)
- THORACIQUES (T)
- LOMBAIRES (L)
- SACRÉS (S)
- COCCYGIENS
- 8 CERVICAUX (C)
- 12 THORACIQUES (T)
- 5 LOMBAIRES (L)
- 5 SACRÉS (S)
- 1 COCCYGIENS
- Vrai
- Faux
a
Rameaux ventraux
Scapula
Processus coracoïde
- Vrai
- Faux
b
Le col anatomique est proximal alors que le col chirurgical est distal
- Scaphoïde
- Lunatum
- Triquetrum
- Pisiforme
- Trapèze
- Trapézoïde
- Capitatum
- Hamatum
Le tiers proximal
- Vrai
- Faux
a
Protraction
- Ligament acromio-claviculaire
- Ligament conoïde
- Ligament trapèzoïde
- Vrai
- Faux
b
La postérieure est rare
Huméro-ulnaire
Radio-ulnaire proximale
Membrane interosseuse
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
a
Articulation trapèzo-métacarpienne
2
Veine céphalique
- Supra-épineux
- Infra-épineux
- Subscapulaire
- Petit rond
Subscapulaire
Subscapulaire
Dentelé antérieur
- Long chef
- Court chef
Chef long
Épicondyle médial
Épicondyle médial
Épicondyle latéral
- long abducteur et court extenseur du pouce d’un côté
- long extenseur du pouce de l’autre côté
- Long abducteur du pouce
- Court extenseur du pouce
C5-T1
- entre la clavicule et la 1ère côte
- passage sous le processus coracoïde et le muscle petit pectoral
- nerf musculo-cutané (C5-C7)
- nerf médian (C5-T1)
- nerf ulnaire (C8-T1)
- nerf axillaire (C5-C6)
- nerf radial (C5-T1)
Musculo-cutané
Rétinaculum des fléchisseurs
- Passage dans la gouttière du nerf ulnaire au coude
- Passage près du pisiforme
Nerf ulnaire
Nerf axillaire
Nerf axillaire
Nerf radial
- Vrai
- Faux
a
- Convexité postérieure
- Concavité postérieure
a
- Anneau fibreux (anulus fibrosus)
- Noyau (nucleus pulposus)
- Plaque cartilagineuse (vertebral endplate)
- symphyse et synchondrose
- syndesmose et suture
- syndesmose et synchondrose
- synarthrose et diarthrose
- trochléenne et sphéroïde
a
- Synoviale plane
- Synoviale condylienne
- Synchondrose
- Symdesmose
a
Artère vertébrale
- C1
- C2
- C3
- C4
b
- Occipito-atloïdiennes (C0-C1)
- Atlanto-axoïdiennes (C1-C2)
a
- Articulations occipito-atloïdiennes (C0-C1)
- Articulations atlanto-axoïdiennes (C1-C2)
b
Ligaments occipito-odontoïdiens latéraux (alar)
Ligament cruciforme (partie transverse)
- 1
- 2
- 3
- 7
d
- Articulation de la côte avec le corps vertébral
- Articulation costotransversaire
- Articulation costo-chondrale
- Articulation chondro-sternale
c
- Nerf d'Harrold
- Nerf d'Arnold
- Nerf de Paul
- Nerf d'Interpol
b
- Artère fessière
- Artère saphène
- Artère fémorale profonde
- Artère circonflexe médiale fémorale
d
- Plane
- Condylienne
- Synchondrose
- En selle
d
Un os sésamoïde est un os formé par la calcification d'un autre tissu et qui se trouve dans une articulation ou dans un tendon, ce qui est le cas de la patella.
- Ligament croisé antérieur
- Ménisque médial
- Ligament collatéral tibial
- Talo-fibulaire postérieur
- Talo-fibulaire antérieur
- Calcanéo-fibulaire
- Sartorius
- Gracile
- Semi-tendineux
- Vrai
- Faux
a
- Cutané latéral de la cuisse
- Fémoral
- Obturateur
- Nerf sciatique
- Cutané latéral de la cuisse (L2-L3)
- Fémoral (L2-L4)
- Obturateur (L2-L4)
- Nerf sciatique (L4-S3)
- Fibulaire commun
- Tibial
b
- Fibulaire superficiel
- Fibulaire profond
- Tibial
b
- Artère tibiale postérieure
- Artère tibiale antérieure
a
Dentelé antérieur
Faux
Dislocation de la tête radiale qui sort du ligament annulaire, ce dernier se coinçant entre le radius et l'humérus. Typique lorsqu'on soulève un petit enfant (moins de 5 ans) par le bras.
Scaphoïde
- Scaphoïde
- Lunatum
- Triquetrum
- Pisiforme
- Hamatum
- Capitatum
- Trapèzoïde
- Trapèze
Mnémotechnique: face palmaire vers vous, débutez par la rangée du bas et partez du pouce en traçant un cercle (oval) en sens horaire qui revient jusqu'au pouce: So Long The Pinky, Here Comes The Thumb
- N. Musculo-cutané
- N. Médian
- N.Ulnaire
- N. Axillaire
- N. Radial
- N. Musculo-cutané C5-C7
- N. Médian C5-T1
- N. Ulnaire C8-T1
- N. Axillaire C5-C6
- N .Radial C5-T1
« Golfer’s elbow » = Épicondylite médiale (Épitrochléite) « Tennis elbow » = Épicondylite latérale
Nerf médian
Nerf axillaire
- Scaphoïde
- Lunatum
- Triquetrum
- Pisiforme
- Supra-scapulaire
- Sous-scapulaire
- Axillaire
- Circonflexe de la scapula
c
- Théorie intrinsèque
- Théorie extrinsèque
b
Âge et compromis vasculaire
L'arc douloureux est un signe d’abutement sous-acromial. C'est l’abduction active entre 70° et 120° qui provoque de la douleur.
- Supra-épineux
- Infra-épineux
- Subscapulaire
- Trapèze supérieur
c
- Non visibilité du labrum
- Forme recourbée de l'acromion
- Sclérose de l'acromion
- Sclérose de la grosse tubérosité
a
- Vrai
- Faux
b
La physiothérapie est fortement recommandée pour renforcir la musculature de l'épaule.
La ________ portion s’insère sur la coracoïde et elle est plus rarement impliquée dans un processus pathologique.
La ________ portion remonte dans la gouttière bicipitale de l’humérus pour ensuite tourner et se diriger vers le rebord supérieur de la glénoïde.Le biceps, dans sa partie proximale, est composé de 2 tendons. La courte portion s’insère sur la coracoïde et elle est plus rarement impliquée dans un processus pathologique. La longue portion remonte dans la gouttière bicipitale de l’humérus pour ensuite tourner et se diriger vers le rebord supérieur de la glénoïde.
Douleur au niveau du sillon bicipital lorsque le patient tente de faire l’élévation antérieure de l’épaule contre résistance avec le coude en extension et l’avant-bras en supination.
Douleur au niveau de sillon bicipital lorsque le patient tente de faire de la supination active contre résistance de l’avant-bras avec le coude fléchi à 90°.
Déchirure de la coiffe des rotateurs
Phase résorbtive
En phase résorptive, la douleur peut être si intense que les amplitudes articulaires actives et passives peuvent être nettement diminuées, laissant ainsi suspecter une arthrite septique ou une capsulite.
3 stades de Uhthoff:
1) Stade pré-calcification
2) Stade de calcification
a) Phase de formation
b) Phase de repos
c) Phase de résorption
3) Stade post-calcificationDiabète
Phase 1 = phase douloureuse: douleur d’apparition progressive, présente au repos, de façon prédominante la nuit. Les amplitudes articulaires demeurent normales. Durée : 2-9 mois.
Phase 2 = phase adhésive : amplitudes articulaires diminuées de façon importante dans tous les plans, douleur moindre qu'à la phase 1. Durée 3-9 mois.
Phase 3 = phase de résolution : douleur et mouvements s’améliorent sur 12 à 24 mois, limitation permanente du mouvement sera souvent conservée.
Rotation externe
- Vrai
- Faux
a
Court extenseur radial du carpe
- Long palmaire et long fléchisseur du pouce
- Fléchisseur radial du carpe et rond pronateur
- Anconé et supinateur
- Carré pronateur et fléchisseur ulnaire du carpe
b
- Épicondylite interne
- Épicondylite externe
a
- Grade 1: étirement des fibres (Absence d’instabilité)
- Grade 2: déchirure partielle
- Grade 3: déchirure complète (Instabilité importante)
- Vrai
- Faux
a
Bursite sous-acromiale < Tendinite de la coiffe < Tendinose de la coiffe < Déchirure de la coiffe.
- Type 1 : Plat
- Type 2 : Courbé
- Type 3 : En crochet
Type 3
Les signes radiologiques d’une déchirure de la coiffe des rotateurs sont une réduction de l’espace acromio-humérale inférieure à 1cm et une migration supérieure de la tête humérale
Grade 3
À l’inverse, quelqu’un peut s’infliger une entorse de grade 3 sans qu’une luxation soit présente lors de l’évaluation clinique ou radiologique.
- acromio-claviculaire
- sterno-claviculaire
- gléno- humérale
- scapulo-thoracique
- Ligament conoïde
- Ligament trapézoïde
Entorse acromio-claviculaire de haut grade
- Stade 1 : Entorse de grade 1 ou 2 des ligaments acromio-claviculaires (AC), ligaments coraco- claviculaires (CC) normaux, articulation stable et RX normaux.
- Stade 2 : Entorse de grade 3 des ligaments AC, entorse de grade 1 ou 2 des ligaments CC, instabilité horizontale (antéro-postérieure) de l’articulation, RX normaux ou légère subluxation.
- Stade 3 : Entorse de grade 3 des ligaments AC et CC, subluxation ou luxation supérieure de l’articulation (jusqu’à 100% de déplacement).
- Stade 4 : Entorse de grade 3 des ligaments AC et CC, luxation postérieure de l’articulation.
- Stade 5 : Entorse de grade 3 des ligaments AC et CC, luxation supérieure de l’articulation de plus de 100%.
- Stade 6 : Entorse de grade 3 des ligaments AC et CC, luxation inférieure de l’articulation
- 1 et 2: conservateur
- 3: controversé
- 4,5 et 6: chirurgie
- Sterno-claviculaires
- Costo-claviculaires
a
- Luxation antérieure
- Luxation postérieure
b
- Vrai
- Faux
b
Ce sont des stabilisateurs passifs, alors que la longue portion du biceps et les muscles de la coiffe des rotateurs sont des stabilisateurs dynamiques.
- Vrai
- Faux
a
Antérieure = 98% vs Postérieure = 2%
Abduction et rotation externe
- Vraie AP
- Vraie latérale
- Vue axillaire
- Fracture de la grosse tubérosité
- Lésion de Hill-sachs
- Fracture de la glénoide antéro-inférieure
- Fracture du col chirurgical ou anatomique
d
Rotation externe
- Vrai
- Faux
b
La luxation postérieure du coude est de loin la plus fréquente. Elle survient par un mécanisme d’hyperextension, le plus souvent chez un adolescent ou un adulte. Elle est beaucoup plus rare chez l’enfant où le même mécanisme conduit généralement à une fracture sus-condylienne de l’humérus distal.
- Vrai
- Faux
b
La force de flexion du coude diminuera d’environ 30%, alors que sa force de supination de l’avant- bras diminuera de 50%.
- Vrai
- Faux
a
Étant donné que la tête radiale n'est pas ossifiée chez les jeunes enfants, la subluxation n'est pas visible sur la radiographie.
- 1-Scapho-lunaire
- 2-Capito-lunaire
- 3-Luno-triquetral
- 4-Radio-lunaire
Nerf médian
Lorsque vous questionnez la HMA elle vous raconte qu'au départ son épaule faisait très mal, surtout la nuit, sans qu'elle ne sache pourquoi. Avec le temps et des advils, cette douleur a diminué mais elle avait plus de difficulté à bouger son épaule D. Cela commence à l'incommoder dans ses AVQ/ AVD (placer la vaisselle dans les armoires, attacher son soutien gorge, laver ses cheveux, etc.). Elle s'inquiète car elle aime beaucoup faire du yoga, mais ne pratique plus depuis 2 semaines. À l'examen physique, vous notez une diminution des amplitudes articulaires actives et passives au MSD dans tous les mouvements, surtout en rotation externe (20° RE au MSD vs 75° RE au MSG)
À quel diagnostic pensez-vous ?- Syndrome d'accrochage MSD
- Tennis elbow MSD
- Luxation gléno-humérale antérieure D
- Capsulite adhésive phase 3 MSD
- Capsulite adhésive phase 2 MSD
e
La capsulite adhésive est plus fréquente chez la femme entre 40 et 60 ans. L'hyerT4 est une condition qui augmente les chances de développer cette condition, tout comme l'hyperTG, le db (type 1 aug les chances de 40%!), immobilisation prolongée et chx coeur/ poumon/ sein. [importance de faire des prise de sang surtout si pt a ses symptômes <40 ans]
La phase 1 se caractérise surtout par de la douleur présente au repos et pire la nuit. elle dure 2-9 mois.
La phase 2 est la phase de perte d'amplitude articulaire. La fonction du patient diminue. La douleur a diminué mais peut être encore présente. Durée; 3-9 mois
La phase 3 est la résolution; amélioration douleur et AA entre 12 et 24 mois.
Une caractéristique de la capsulite est qu'on trouvers une perte de l'AA (amplitude articulaire) PASSIVE en RE surtout ++ (vs atteinte coiffe des rotateurs où on trouve une perte AA active mais les AA passives sont normales)Il vous mentionne que sa douleur se situe en antérieur de l'épaule (il vous pointe sous l'acromion). Elle est présente au repos mais pire lorsqu'il travaille. Elle l'empêche même de dormir. À l'examen physique, vous observez un arc douloureux entre 30 et 70° d'abduction MSG. Le patient n'arrive pas à monter le MSG à plus de 155° d'Abduction (MSD se rend à AA complète). Lorsque vous effectuez l'abduction passive, vous arrivez à 170° d'abduction.
Parmi les énoncés suivants, lequel représente la cause la moins probable pour expliquer la condition de monsieur?- Avec le travail de monsieur, on peut comprendre qu'il y a eu abutement répété, créant une abrasion progressive des fibres de la coiffe.
- Son acromion est de type 3
- Une électrocution qui aurait causé une contraction musculaire importante.
- Avec l'âge, il y a eu un compromis vasculaire créant une hypovascularisation 1cm sous l'insertion des tendons sur la grosse tubérosité humérale.
c
Les énoncés A et B expliquent la théorie extrinsèque du syndrome d'accrochage. L'énoncé D serait plutôt un élément de la théorie intrinsèque.
L'énoncé C expliquerait un mécanisme de luxation postérieure de l'épaule. C'est effectivement possible dans son cas, mais on noterait à l'examen physique une diminution surtout de la rotation externe. On peut garder cette hypothèse en tête (se rappeler que 50% ne sont pas diagnostiqués), mais l'arc douloureux avec une diminution d'abduction active, mais non passive font pour l'instant, plus penser à un syndrome d'accrochage. (Il aurait surement mentionné également d'avoir été électrocuté)Lorsque vous le questionnez il vous mentionne qu'il était sur un toit alors qu'il pleuvait, il a glissé et a tenté de se retenir avec son MSG. Il a de la difficulté à l'expliquer, mais son collègue qui l'accompagne montre un mouvement d'abduction et RE de l'épaule pour mimer l'évènement.
Parmi les énoncés suivant, lequel N'EST PAS un bon choix de conduite à tenir ?- Procéder à une réduction fermée de type traction contre-traction immédiatement.
- Prescrire un radiographie en vraie AP Neer, Latérale de Neer et une vue axillaire.
- Référer en physiothérapie pour un programme de récupération et d'exercice de renforcement de la coiffe des rotateurs.
- Installer une attelle thoraco-brachiale qu'il conservera pour 3 semaines.
a
Elle fait de la natation depuis l'âge de 12 ans. Autre que son hypothyroïdie, elle est en bonne santé.
À l'histoire, elle vous mentionne qu'il n'y a eu aucun trauma. La douleur a commencé plutôt intermittente, surtout lors de la natation ou lorsqu'elle levait son MSD en hauteur (pour placer les assiettes dans l'armoire de cuisine). Ensuite, après quelques jours, elle a arrêté. Quelques semaines par après, elle est revenue, beaucoup plus intense. Depuis, la douleur est présente tant au repos qu'à l'activité. Elle la décrit comme une douleur exquise, la pire douleur qu'elle a ressenti.
À l'examen physique, vous notez une diminution des amplitudes articulaires actives et passives au MSD, toutes limitées par la douleur.
Vous décidez d'effectuer une radiographie simple en AP Neer, Latérale Neer et axillaire.
Parmi les énoncés suivants, lequel représente les trouvailles à la radiographie qui confirmeraient votre hypothèse clinique?- Réduction de l'espace acromio-humérale à 0,5cm avec une migration supérieure de la tête humérale
- Un calcification hétérogène et flou du tendon sus-épineux.
- Radiographie normale
- Une calcification homogène bien délimitée.
b
On pense à une tendinite calcifiante de la coiffe de rotateurs en phase de résorption. La HMA nous permet de comprendre que la patiente aurait eu une phase de formation qui ressemble à un syndrome d'accrochage, suivi d'une phase de repos et qu'elle se trouve présentement en phase de résorption (douleur exquise)
L'énoncé D serait la radiographie que l'on aurait pu trouver lors de la phase de résorption, si elle avait consulté à ce moment.
L'énoncé A représenterait une radiographie pour une rupture de la coiffe des rotateurs
Si on retrouvait l'énoncé B, on aurait pu penser à une capsulite adhésive. Par contre la HMA montre plus une évolution classique du stade de calcification (formation --> repos--> résorption) de la tendinite calcifiante. Une histoire classique de capsulite se présente plutôt par une phase de douleur sans limitation de mouvement, ensuite une diminution de douleur avec limitation de mouvement, puis une phase d'amélioration d'amplitude.- Capsulite adhésive
- Tendinite calcifiante en phase de résorption
- Arthrite septique
- Désordre de coiffe des rotateurs (syndrome d'accrochage)
d
- Épicondylite externe
- Luxation postérieure du coude
- Rupture du biceps distal
- Épicondylite interne
d
- Capsulite adhésive
- Tendinite calcifiante
- Luxation antérieure de l'humérus
- Luxation postérieure de l'humérus
- déchirure du m.infra-épineux
a,b,d
vous observez une déformation au coude assez évidente suggérant une luxation postérieure.
Quel est le nerf le plus à risque d'être atteint par cette luxation ?- N. Médian
- N. Ulnaire
- N. Radial
- N. musculo-cutané
b
Vous ne voyez pas de déformation évidente, mais elle vous dit qu'elle ressent une douleur surtout au poignet. Vous suspectez une luxation du lunatum.
Quel est le nerf le plus à risque d'être atteint par cette luxation ?- N. Médian
- N. Ulnaire
- N. Radial
- N. Cutané Latéral de l'avant-bras
a
Vous observez une déformation en note de piano à l'épaule D. Vous suspectez alors une luxation acromio-claviculaire.
Quelle vue de RX vous permettra de confirmer votre hypothèse ?- Vue AP de Neer
- Vue Latérale de Neer
- Vue de Zanca
- Vue de Serendipity
- Vue axillaire
c
C= Zanca; vue AP avec angulation de 10° céphalique sans charge (ça sert a rien cliniquement de stresser l'articulation)
D= Vue AP avec angulation de 45° céphalique (plus pour luxation sterno-claviculaire)- Rx: Corticothérapie
- Substance: Alcool
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
Avant de procéder à une chirurgie pour stabiliser une rotule qui luxe, nous devrons attendre au moins trois épisodes.
- Limite supérieure :
- Limite latérale :
- Limite médiale :
- Limite supérieure : ligament inguinal
- Limite latérale : muscle sartorius
- Limite médiale : muscle long adducteur
- Vrai
- Faux
b
Traite de façon fonctionnelle, sans chirurgie avec un traitement plus agressif que les entorses de grade 1 et 2
- Ligament collatéral interne
- CPL
b
- Vrai
- Faux
b
La rupture du ligament croisé antérieur est plus fréquente que celle du ligament croisé postérieur dans un rapport d'environ 6 pour 1.
- faisceau péronéo-astragalien antérieur / Ligament talo-fibulaire antérieur: douleur à la palpation antérieure
- faisceau péronéo-astragalien postérieur / Ligament talo-fibulaire postérieur : très rarement atteint et sa palpation est habituellement indolore
- faisceau péronéo-calcanéen / Ligament calcanéo-fibulaire : douleur à la palpation sous la malléole externe
Les ligaments péronéo-astragalien antérieur (ou ligament talo-fibulaire antérieur) et péronéo-calcanéen (ligament calcanéo-fibulaire) qui sont deux des trois faisceaux du ligament collatéral externe de la cheville.
Ligament croisé postérieur: Impact direct à la face antérieure du genou avec celui-ci fléchi à 90 degrés.
- Vrai
- Faux
a
Distension de la bourse entre le tendon du chef médial du gastrocnémien et le corps musculaire du semi-membraneux.
Conflit entre la face profonde du tractus ilio-tibial et le condyle fémoral latéral, susceptible d’induire un processus inflammatoire local.
- Vrai
- Faux
a
Le ménisque interne est moins mobile et est plus à risque de lésions dégénératives que traumatiques.
- Vrai
- Faux
a
- Protect
- Rest
- Ice
- Compression
- Elevation
- Touche surtout les femmes
- Les personnes aux extrêmes de l'âge sont particulièrement atteintes
- Une irradiation à la cuisse est possible
- La douleur est pire lors de la marche et du changement de position assis à debout
- Une investigation par IRM est essentielle
a,c,d
- Vrai
- Faux
a
Elle est pire en position assise et lors de la course
- Vrai
- Faux
b
La hanche à ressaut n'est habituellement pas associée à de la douleur.
- Bandelette ilio-tibiale
- Tendon de l'ilio-psoas
- Lésions labrales
- Fragments ostéo-cartilagineux intraarticulaires (Ostéochondrite disséquante)
- Diabète
- Maladie de Gaucher
- Corticothérapie
- Alcool
a
- Uniarticulaire
- Biarticulaire
b
- Augmentation de l'intensité de l’entraînement, changement de chaussure ou de terrain d'entraînement.
- ATCD de choc direct sur la rotule
- Troubles d’alignement du genou
- Problèmes musculaires
- Troubles de l’arche plantaire
- Hyperlaxité
Entre le corps musculaire du semi-membraneux et le tendon du chef médial du gastrocnémien
10 degrés
Elle se plaint présentement de douleur à l'interligne articulaire G, plus en médial, ainsi que d'un blocage et d'instabilité.
Voici les résultats des manoeuvres spécifiques:
- Test fonctionnel en position accroupie; aucune douleur
- Tiroir postérieur: négatif
- LCI : négatif
- LCE: négatif
- Apley: Dlr lors de la compression + RE à l'interligne articulaire en médial au genou G
À la lumière de ces données, quelle est la prochaine étape ?- IRM dans 4 semaines
- IRM immédiatement
- On effectue le test de McMurray
- AINS + référence en physiothérapie pour renforcement du quadriceps (vaste interne++)
d
Comme le test d'Apley est +, mais que le test en position accroupie ne reproduit pas les symptômes, on se trouve probablement face à une lésion méniscale qui pourrait évoluer vers une guérison naturelle. On recommande donc un tx conservateur. Si au bout de 2 ou 3 mois les symptômes persistent, alors on fera une IRM
A= L'IRM sera recommandée si le test d'Apley est + avec une position accroupie qui reproduit les mêmes symptômes. Ceci permettra de préparer l'intervention chirurgicale puisqu'on se trouve surement devant une lésion méniscale qui a peu de chance de guérison naturelle
B= Comme il vient d'avoir un traumatisme, l'IRM risque de ne pas être concluant à cause de l'inflammation
C= Ce test n'est fiable qu'à 30%. De plus, avec les informations que nous avons, ce test ne va pas ajouter d'information ou changer notre hypothèse.À l'examen physique, vous observez un oedème au genou D.
-Dial test: RE augmentée au genou D
- Lachman: négatif
- Test récurvatum en RE: genou D en récurvatum et RE exagérée
- Tiroir postérieur: mouvement anormal de recul du tibia sur le fémur
- Apley: non concluant
À quel diagnostic pensez-vous ?- Atteinte du LCP isolé
- Triade malheureuse
- Atteinte du CPL + LCP
- Atteinte du LCE isolé
c
Lorsque vous questionnez les impacts de cette douleur, elle vous mentionne qu'elle dort très mal, car elle doit dormir sur le dos, alors qu'elle était habituée de dormir sur le côté (surtout droit). Elle explique aussi qu'elle a mal lorsqu'elle marche pour aller au bureau. Puisqu'elle passe la journée assise, elle ressent moins ses symptômes au travail, mais ceux-ci recommencent dès qu'elle se lève.
À l'examen physique, quel énoncé correspond moins à une trouvaille probable ?- Une douleur à la palpation de la région trochantérienne droite.
- Une reproduction de symptômes lorsqu'on positionne passivement la hanche droite en flexion- adduction.
- L'appui unipodal gauche montre une descente de l'EIPS droite (épine iliaque postéro-supérieure) (épreuve Tredelenbourg)
- Une reproduction des symptômes lors de la dérotation résistée de la hanche droite.
c
En fait, dans le cas d'une tendino-bursopathie trochantérienne (le cas en est une présentation typique), on s'attend à une faiblesse du moyen fessier à droite. Lors de l'appui unipodal gauche, c'est le moyen fessier GAUCHE qui doit contracter afin de maintenir le bassin en position neutre. Une faiblesse de ce muscle va provoquer une adduction de la hanche GAUCHE et ceci s'observera par une descente de l'EIPS droite. Dans la situation de Mme Marché, on s'attendrait plutôt à une faiblesse du moyen fessier DROIT (donc un Trendelenbourg positif en appui unipodal DROITE représenté par une descente de l'EIPS GAUCHE)
Ceci étant dit, il n'est pas impossible de retrouver une faiblesse bilatérale des moyens fessiers.
L'épreuve de dérotation résistée implique que l'évaluateur amène la hanche en flexion/ rotation externe et on demande au patient de faire une rotation interne contre résistance pour ramener à la position neutre. Les muscles petits et moyens fessiers étant entre autres des rotateurs internes, ceci permet de mettre en évidence une faiblesse de ces groupes musculaires.À l'examen physique, vous observez la rotule droite qui se trouve plus haute que la rotule gauche. Le patient est incapable d'effectuer un SLR (straight leg raise) activement
À quel diagnostic pensez-vous ?- Rupture du tendon quadricipital
- Rupture du ligament patellaire
- Rupture du LCA
- Rupture du LCP
b
À l'inspection vous observez un oedème et une ecchymose sévères à la face latérale de la cheville gauche.
Vous lui demandez si elle est capable de marcher sur sa cheville. Lorsqu'elle essaie, elle indique qu'elle peut le faire mais la douleur augmente à 10/10.
Quel ligament est plus à risque d'être atteint ?- Ligament talo-fibulaire postérieur
- Ligament talo-fibulaire antérieur
- Ligament calcanéo-fibulaire
- Ligament talo-naviculaire
- Ligament tibio-naviculaire
b
À l'inspection vous observez un oedème et une ecchymose sévères à la face latérale de la cheville gauche.
Vous lui demandez si elle est capable de marcher sur sa cheville. Lorsqu'elle essaie, elle indique que la douleur augmente à 10/10.
Quelle est votre conduite ?- Botte de marche avec MEC (mise en charge) progressive sur 10 jours. Référence en physiothérapie
- Port de bandage élastique (taping) pour 2 semaines et retour au sport en 2à 4 semaines
- Immobilisation complète pour 3 semaines
- Glace + bandage de support + béquilles avec MEC protégée pour 2 jours
- Chirurgie de stabilisation
a
On pense à une entorse grade III (oedème et ecchymose sévères avec douleur intense lors de la MEC)
Le taping (énoncé B) est possible pour un grade III, mais est réservé aux athlètes de haut niveau qui sont prêts à aller au physio aux 2 jours pour un bain contraste et faire changer leur taping.
C= immobilisation complète prolongée n'est pas recommandée (risque d'ankylose/ retour fonctionnel beaucoup plus lent)
D= traitement pour entorse grade I
E= La chx n'est pas indiquée à ce stade-ci. Si la patiente présente des entorses à répétition et que la physiothérapie ne change rien, on pourra référer en orthopédie pour juger la pertinence d'une chirurgie de stabilisation.Samuel est en bonne santé, mais il a récemment dû prendre des fluoroquinolones pour une diarrhée infectieuse.
Il a commencé à s'entraîner au crossfit la fin de semaine pour commencer à se remettre en forme. Ils font beaucoup de course, de corde à sauter et des sauts.
Il y était justement hier. C'est en sautant sur une boîte qu'il a senti un violent pop derrière la cheville. Il était certain que son ami lui faisait une mauvaise blague en le frappant derrière le talon.
Depuis, il a très mal et est incapable de marcher.
Vous vous attendez à retrouver toutes ces résultats à l'examen physique sauf un. Lequel ?- Test de Matles positif à D
- Test de Thomson positif à D
- Un Lachman positif
- Gap palpable au dessus du calcanéus droit.
- Oedème et ecchymose en postérieur de la cheville droite.
c
On pense à une rupture du tendon d'Achille. Ceci permettra de trouver un test de Matles (pt en DV genoux fléchis. FD excessive de la cheville atteinte p/r cheville saine), un test de Thomson positif (ø flexion plantaire de la chveille lorsqu'on comprime le ventre musculaire du triceps sural) et un gap palpable dans la région achilléenne.
Le test de Lachman est positif lors d'une rupture du LCA (au genou).Samuel est en bonne santé, mais il a récemment dû prendre des fluoroquinolones pour une diarrhée infectieuse.
Il a commencé à s'entraîner au crossfit la fin de semaine pour commencer à se remettre en forme. Ils font beaucoup de course, de corde à sauter et des sauts.
Il y était justement hier. C'est en sautant sur une boîte qu'il a senti un violent pop derrière la cheville. Il était certain que son ami lui faisait une mauvaise blague en le frappant derrière le talon.
Depuis, il a très mal et est incapable de marcher.
Dans cette situation, quels sont les facteurs de risque de Samuel de développer cette condition ?- Âge entre 30 et 40 ans
- Prise de fluoroquinolones
- Pratique épisodique de sports
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- Traumatisme direct
- Traumatisme indirect
- Traumatisme par arrachement
a
Fracture pathologique
- Poumon
- Prostate
- Rein
- Sein
- Thyroïde
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Type III
- Vrai
- Faux
b
- I
- II
- III
- IV
- V
e
- Type I
- Type II
- Type III
b
- Directe (primaire)
- Indirecte (secondaire)
b
- Fracture et phase inflammatoire
- Formation du tissu de granulation
- Formation du cal osseux
- Déposition de l’os lamellaire
- Remodelage
- Vrai
- Faux
a
- Fracture ouverte
- Non-union
- Atteinte vasculaire et/ou neurologique
- Fracture avec déplacement intra-articulaire
- Fracture Salter type III, IV, V
- Polytraumatisé
- Vrai
- Faux
b
Cette pathologie survient 2-3x plus souvent chez les femmes.
- Col fémoral
- Intertrochantérique
- Sous-trochantérienne
- Neurapraxie
- Axonotmèse
- Neurotmèse
a
- Confusion
- Pétéchies
- Hypoxie
- Poumon
- Prostate
- Rein
- Sein
- Thyroïde
- Vrai
- Faux
b
Ce sont plutôt les radiographies qui sont utiles
- Vrai
- Faux
b
Par exemple, la maladie de Paget et la dysplasie fibreuse sont des lésions bénignes qui sont multiples.
- Radiographie simple
- TDM
- IRM
c
Poumon
[[Fichier:|400px]]
Fibrome non ossifiant
Kyste osseux simple
Lésion expansive qui affecte la métaphyse des os longs, de façon excentrique
- B. burgdorferi
- C. trachomatis
- S. aureus
- S. pyogenes
c
- Vrai
- Faux
a
- Ollier
- Maffuci
b
Chondrosarcome
- Vrai
- Faux
b
Le traitement est chirurgical, par résection élargie. Le chondrosarcome est par ailleurs radiorésistant et chimiorésistant.
Ostéome ostéoide
Genou
- Vrai
- Faux
b
Bien que cette tumeur soit aggressive, elle est bénigne.
- 0 à 25 ans
- entre 25 et 50 ans
- en haut de 50 ans
a
- Vrai
- Faux
a
- Le métacarpe du pouce s'articule avec l'os trapézoïde
- Le 3e métacarpe s'articule avec l'os hamatum (crochu)
- Il n'y a que 4 articulations IPD alors qu'il y a 5 IPP.
- Les IPD sont des articulations synoviales planes
- La stabilité ligamentaire ds IPD et IPP est comparable en flexion et en extension
a,b,d
A= le matacarpe du pouce s'articule avec l'os trapèze. C'est le 2e méta s'articule avec l'os trapézoïde
B= Le 3e méta s'articule avec le capitatum. C'est le 4e et 5e métas qui s'articulent avec l'os crochu.
D= IPD (et IPP) sont des articulations synoviales de type charnière- Les tendons fléchisseurs peuvent être divisés en 5 zones tandis que les tendons extenseurs sont divisés en 9 zones
- Les tendons des fléchisseurs superficiels des doigts passent au dessus du ligament transverse du carpe, alors que les tendons des fléchisseurs profonds passent sous le ligament transverse du carpe.
- Les tendons des muscles fléchisseurs profonds s'insère sur la phalange moyenne (à sa base)
- Le tendon du muscle fléchisseur superficiel des doigts se sépare a/n de la phalange proximale.
- Le tendon long abducteur du pouce et court extenseur du pouce se trouvent dans le 1er compartiment
- Le tendon du muscle long extenseur du pouce se trouve dans le 2e compartiment
- Le 4e compartiment comporte l'extenseur des doigts et de l'index. La 5e zone contient l'extenseur du 5e doigt. Finalement, le 6e compartiment contient l'extenseur ulnaire du carpe.
b,c,f
B= tant les tendons superficiels que profonds passent sous le ligament transverse du carpe.
C= c'est le tendon du muscle fléchisseur superficiel des doigts qui s'insère à la base de la phalange moyenne, alors que le tendon du muscle fléchisseur profond s'insère à la phalange distale
F= le tendon du m.long extenseur du pouce se trouve dans le 3e compartiment. Le 2e compartiment contient le long et le court extenseurs radiaux du carpe- La loge de l'adducteur contient uniquement le m.adducteur du pouce
- Les interosseux dorsaux sont responsables de l'adduction des doigts.
- Les m.lombricaux fléchissent les articulations métacarpo-phalangiennes , mais étendent les articulations phalangiennes.
- La loge thénarienne comporte le m.long abducteur du pouce, le m.court fléchisseur du pouce et l'opposant du pouce.
a,c
B= Les muscles interosseux dorsaux font l'ABDuction des doigts, alors que les m.interosseux PALMAIRES font l'ADDuction des doigts.
D= La loge thénarienne contient le m.COURT abducteur du pouce- Le n.médian innerve les muscles de la loge thénarienne et hypothénarienne de la main.
- Le n. ulnaire innerve entre autres tous les muscles interosseux (palmaires et dorsaux) et le m. adducteur du pouce
- Le N.médian est la structure la plus superficielle des éléments du canal carpien
- Le n.radial innerve les m.interosseux dorsaux, alors que le n. ulnaire innerve les m.interosseux palmaires
a,d
A= Le n. médian innerve les muscles de la loge thénarienne ainsi que les 2 premiers lombricaux. Le N. ulnaire innerve la loge hypothénarienne
D= Le n.radial n'innerve aucun muscle de la main. Le N.ulnaire innerve les muscle interosseux palmaires ET dorsaux.- Souvent c'est la poulie A1 qui est problématique
- Il faut une radiographie pour diagnostiquer cette patho
- Le patient se présente avec un blocage à l'extension du doigt suivi d'un ressaut.
- Les AINS sont très efficace dans le traitement de cette pahto
b,d
B= ddx clinique
D= AINS et la physio n'ont pas montré d'efficacité. L'injection de stéroïdes semble avoir un meilleur résultat clinique.- La TF infectieuse est souvent causé par le Staph. aureus
- La TF inflammatoire présente souvent une histoire de trauma pénétrant
- La TF infectieuse et inflammatoire peuvent avoir des présentations cliniques qui se ressemblent (4 signes de Kanaval; doigt en flexion, gonflement, sensibilité le long de la gaine, douleur sévère à l'extension passive)
- La culture et l'analyse de la bourse est seulement utile pour la TF infectieuse
a,c
B= c'est la TF infectieuse (permet entre autres une contamination par le staph. aureus )
C= Vrai, mais la TF inflammatoire va montrer des signes beaucoup plus frustres.
D= faux, elle est aussi utile pour la TF inflammatoire (recherche de cristaux)- Implique généralement des mouvements répétitifs impliquant le pouce et le poignet (microtraumas)
- Le test de Finkelstein permet de mettre en évidence les symptômes en demandant au patient de fermer le poing (pouce à l'intérieur) et d'effectuer une déviation radiale
- La radiographie est rarement nécessaire au diagnostic, celui-ci étant généralement clinique.
- L'injection de stéroïde se fait dans le tendon du muscle long abducteur du pouce ou court extenseur du pouce
b,d
A= vrai, souvent ce sont les femmes ayant des enfants 6-12 ans impliquant un soulèvement répétitif de ses enfants
B= C'est la déviation ULNAIRE demandée au test de Finkelstein qui permet de mettre en tension les tendons du premier compartiment
C= vrai, la RX va seulement servir à éliminer d'autre diagnostics.
D= L'injection se fait dans la GAINE tendineuse- La localisation du kyste est spécifique au poignet et à la main
- Souvent on retrouve le kyste palmaire au poignet entre le tendon du m. fléchisseur radial du carpe ou le tendon du m. long abducteur du pouce (à l'articulation scapho-trapezoïde
- Le kyste est généralement le produit d'une dégénérescence du tissu conjonctif, formant ainsi un espace kystique remplie d'un liquide clair et gélatineux
- Il est nécessaire de faire une échographie de surface
b,c
- Une compression du nerf dans la 3e zone du canal de Guyon donne une atteinte généralement mixte
- Les patients vont généralement se plaindre de perte de fonction (tourner une poignée de porte ou fatigue à exécuter des mouvements répétés de la main)
- L'atteinte motrice est généralement plus précoce que l'atteinte sensitive
- Le signe de Froment permet de mettre en évidence une faiblesse de l'adducteur du pouce, mettant ainsi en évidence une atteinte du n.ulnaire
- Le signe de Tinel est un test qu'on fait seulement lorsqu'on veut mettre en évidence un syndrome du tunnel carpien
- Si on observe une atrophie musculaire et une déformation en griffe , on pense à une atteinte plutôt chronique du N.ulnaire
a,c,e
A= Dans la zone 1 (proximale, où le n. bifurque), l'atteinte est combinée. Zone 2 = atteinte plutôt motrice. Zone 3 = sensitif++
C= C'est l'atteinte sensitive qui est généralement plus précoce
E= Signe de Tinel implique simplement de tapoter le nerf et ainsi provoquer les symptômes du patient. Il peut être fait à sur n'importe quel trajet d'un nerf à son niveau superficiel. Il peut donc être effectué pour mettre en évidence une neuropathie du n.ulnaire (on frappe a/n du coude puis on descend le long du trajet du nerf. On cherche une paresthésie)- Maladie plus fréquente chez la femme
- C'est une maladie fibro-proliférative transmise génétiquement selon un modèle autosomal dominant
- La RX est nécessaire au dx
- La majorité des patients auront une histoire familiale positive
a,c,d
- Il est possible qu'un syndrome du tunnel carpien accompagne une ténosynovite des fléchisseur
- La PAR peut mener à une rupture d'un tendon soit par friction chronique sur une proéminence osseuse, soit par prolifération synoviale invasive du tendon
- La lésion de Vaughn-Jackson implique la rupture du tendon au tubercule de Lister
- Le tendon fléchisseur le plus souvent rupturé est le tendon long fléchisseur du pouce
- Le côté radial du poignet est plus souvent touché par la PAR que le côté ulnaire
c,e
- le TC contient 10 structures
- La pression normale dans le TC est entre 20 et 30mm Hg
- Le patient va généralement se plaindre de douleur et engourdissements nocturnes.
- Pour poser le diagnostic, on fait les études dx électrophysiologiques (conduction nerveuse ou EMG) pour poser le dx indépendamment de la présentation clinique
- Le diabète et l'hypothyroïdie sont des pathologies fréquemment associées au STC
b,d
B= La pression normale est de 2,5 mmHg. Entre 20 et 30mmHg, il y a une diminution de la circulation sanguine épineurale et un oedème.
D= le diagnostic du STC est en fait clinique. Les études électro-physiologiques sont interprétées à la lumière du tableau clinique.À l'examen physique, vous observez des nodules et des bandes fibreuses palmaires qui adhèrent à la peau.
Il ne présente aucun engourdissement, n'a eu aucun trauma et il ne connait personne dans sa famille ayant les mêmes symptômes.
Quel est votre hypothèse clinique ?- Neuropathie ulnaire bilatérale, plus prononcée au MS D.
- Maladie Dupuytren
- Kystes arthrosynovials
- Ténnosynovite des fléchisseurs inflammatoire
b
Les nodules, bandes fibreuses, les contractures et l'atteinte bilatérale font plutôt penser à une maladie de Dupuytren. Bien qu'elle ait une composante génétique, seulement 10% auront une présentation familiale positive. Elle est souvent associée à d'autres conditions médicales telles le diabète, ROH chronique, épilepsies et MPOC. Le patient typique est un homme >50 ans caucasien.
La neuropathie ulnaire amènera une faiblesse des 4e et 5e doigts, mais pas une contracture. Elle sera généralement unilatérale.- Palpation à la recherche de nodule à l'articulation MCP de l'annulaire gauche
- Examen physique du poignet et des doigts
- Radiographie
- Injection de stéroïdes à l'intérieur de la gaine tendineuse, puis référence en physiothérapie
c
Ici on pense à un doigt à ressaut. C'est un diagnostic clinique, on va donc procéder à l'examen physique (observation du ressaut à l'extension, palpation d'un nodule légèrement distal à l'articulation MCP, palpation d'un déclic à la poulie A1 à l'extension du doigt). La radiographie est rarement nécessaire dans ce cas-ci.
Un examen complet des autres doigts et du poignet peut bien compléter l'examen physique, d'autant plus qu'un doigt gachette peut être causé par une PAR (qui affectera d'autres articulations).
L'injection de stéroïde dans la gaine a montré une efficacité de 80 à 90%. C'est un traitement de choix. La physiothérapie sera utile pour récupérer la force et l'amplitude de mouvement à la suite de l'injection, mais n'est pas efficace seule. La chirurgie sera indiquée seulement si échec du tx conservateur, si le doigt à ressaut est fixe ou pour un pouce à ressaut chez l'enfant