ULaval:MED-1202/Asthme/Flashcards
Administrer du β-2 agoniste en inhalation avec ou sans ipratropium. Des corticostéroïdes systémiques sont administrés s’il n’y a pas de réponse rapide.
Faux, elle peut être normale ou augmentée
Cyanose, Thorax silencieux, Hypoxémie, Hypercapnie, Tachycardie (> 120/min), Anomalie E.C.G., Troubles de l’état de conscience et fatigue extrême, Hyperinflation sévère à la radiographie pulmonaire, Pneumomédiastin, Pneumothorax et Pouls paradoxal (chute de la TA de plus de 10 mmHg en inspiration).
L’inhalateur de poudre
La dysphonie et la candidose buccale
β-2 agonistes à courte action
< 4 doses/semaine
L’aspirine, les anti-inflammatoires non-stéroïdiens, la tartrazine et certains médicaments tels que les bêta-bloquants.
Faux, il faut l’encourager. Si cela déclenche un bronchospasme, l’utilisation d’un agoniste β2 permettra d’y remédier.
Il faut établir le diagnostic (dépistage) à l’aide de l’histoire et des examens.
Apnée du sommeil, Infections respiratoires, Maladie Pulmonaire Obstructive Chronique, Obésité, Psychopathologies, Reflux gastro-œsophagien, Rhinite allergique ou non-allergique et Sinusite chronique
- Allergènes (poussière et acariens, squames d’animaux, pollen, plumes, moisissures…)
- Substances industrielles
- Infections virales des voies respiratoires
Typiquement, ils pourront s’améliorer de 12% ou plus.
Selon le degré d’obstruction, il peut y avoir :
- abaissement du VEMS et du rapport VEMS/CVF
- augmentation de la fluctuation circadienne des débits expiratoires
- augmentation de la résistance des voies aériennes,
- parfois une réduction de la capacité vitale, mais capacité pulmonaire totale normale ou augmenté
- augmentation du VR et de la CRF
- diffusion normale
- lors de crises aiguës, une hypoxémie peut être notée.
Chute de T.A de plus de 10 mm Hg à l'inspiration
L’action accrue des leucotriènes influence le tonus bronchomoteur.
Il peut y avoir formation de dépôt de collagène au niveau sous-épithélial bronchique ou une hypertrophie du muscle lisse.
3 à 8 heures après
Le phénomène est provoqué par l’activation et la dégranulation de mastocytes porteurs d’anticorps de type IgE. La libération de médiateurs tels que l’histamine et certaines leucotriènes et prostaglandines provoque la contraction du muscle lisse. L’activation des mastocytes induit aussi la production de cytokines impliquées à leur tour dans le recrutement et l’activation de diverses cellules inflammatoires.
IgE
On y retrouve la triade :
- Intolérance à l’aspirine et aux anti-inflammatoires non-stéroïdiens
- Rhinite polypoïde
- Asthme
Asthme léger, surtout symptomatique lors de l’effort physique, principalement dû à un assèchement des voies respiratoire et au froid.
- Était autrefois appelé asthme intrinsèque
- Touche surtout les adultes
- Manifestations allergiques importantes
- Sévère, à dyspnée continue
c
- Patients âgés
- Présence d'IgE spécifiques
- Éosinophiles dans les expectorations
- Pronostic favorable
a
- L’asthme allergique
- L’asthme non-allergique
- L’asthme professionnel
- L’asthme à l’exercice
- L’asthme chez la personne obèse
- L'asthme à l’aspirine
- Inflammation à éosinophile
- Inflammation à neutrophile
- Inflammation peu granulocytaire
- Sévérité
- Nombre d'exacerbations
- Atteinte fonctionnelle
- Résistance au traitement
- Âge de début
- Toux périodique
- Oppression thoracique
- Sillements (wheezing)
- Dyspnée
- Expectorations
10%
- Vrai
- Faux
a
- Allergènes extérieurs
- Allergènes intérieurs
- Exposition occupationnelle
- Exposition à la fumée de tabac
- Pollution de l’air
- Infections respiratoires
- Facteurs socioéconomiques
- Taille des familles
- Médicaments/aliments
- Prédisposition génétique
- Atopie
- Hyperréactivité bronchique
- Sexe
- Race
- Âge
- Obésité
Obstruction réversible des voies aériennes