Sujet sur Discussion:Trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité

Bonjour Antoine, voici les modifications demandées  :

La psychoéducation vise à aborder les impacts du TDAH sur la vie quotidienne, à explorer les traitements disponibles et à élaborer des stratégies pour améliorer le fonctionnement, visant à responsabiliser les patients et leurs familles en leur fournissant des informations sur le trouble. Elle renforce les connaissances, favorise l'adhésion au traitement et modifie les attitudes envers le TDAH[1].

Les éléments typiques de la psychoéducation incluent[1]:

  • l'explication des symptômes
  • l'importance des interventions environnementales
  • la discussion des traitements disponibles
  • l'évolution naturelle du trouble et un message d'espoir quant à son amélioration avec le temps.

Les interventions manuelles comprennent diverses interventions comportementales standardisées ou structurées, telles que[2] :

  • Les programmes de formation en gestion parentale, comme la thérapie d'interaction parent-enfant (PCIT), et la formation aux compétences sociales (SST), qui apprennent aux enfants à interpréter les signaux sociaux subtils et à résoudre les problèmes dans les interactions sociales.
  • La thérapie comportementale cognitive (TCC) pour le TDAH, qui se concentre sur la gestion du temps et les compétences organisationnelles, et qui est reconnue comme un traitement psychologique efficace chez les adultes atteints de TDAH[3].
  • La formation à la pleine conscience peut atténuer les symptômes du TDAH, comme l'hyperactivité/impulsivité et les problèmes d'attention, tout en renforçant l'autonomie et l'autorégulation. Ces améliorations peuvent se maintenir dans le temps par rapport aux stimulants.
  • D'autres interventions comprennent la formation comportementale des parents, la gestion comportementale de la classe, l'intervention comportementale par les pairs et les interventions combinées de gestion du comportement, ainsi que la formation organisationnelle[4].

La source lignes directrices canadiennes de la CADDRA est protégée par des droits d'auteur, je ne suis pas certaine si nous avons le droit de l'utiliser. J'ai essayé de trouver d'autres sources d'accès libre.

Bonne soirée !

  1. 1 2 Steven W. Evans, Julie Sarno Owens et Nora Bunford, « [1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11] », Journal of Clinical Child and Adolescent Psychology: The Official Journal for the Society of Clinical Child and Adolescent Psychology, American Psychological Association, Division 53, vol. 43, no 4, , p. 527–551 (ISSN 1537-4424, PMID 24245813, Central PMCID 4025987, DOI 10.1080/15374416.2013.850700, lire en ligne)
  2. CADDRA - Canadian ADHD Resource Alliance, « [12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20] », sur caddra.ca, Toronto, (consulté le 25 mars 2025)
  3. Kevin M. Antshel et Amy K. Olszewski, « [4, 7, 8, 21, 22, 23, 24] », Child and Adolescent Psychiatric Clinics of North America, vol. 23, no 4, , p. 825–842 (ISSN 1558-0490, PMID 25220089, DOI 10.1016/j.chc.2014.05.001, lire en ligne)
  4. (en) « [24, 25, 26, 27] », sur PsychDB, (consulté le 25 mars 2024)