Utilisateur:Vincent Forget/Brouillons/Méningite

De Wikimedica
Méningite
Classe de maladie
Caractéristiques
Signes Signe clinique, Signe clinique 1, Signe clinique 2
Symptômes
Symptôme, Élément d'histoire 1
Étiologies
Étiologie
Informations
Wikidata ID Q48143

Page non révisée
La section obligatoire Définition ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

Les signes et symptômes de l'inflammation méningée ont été enregistrés dans d'innombrables textes anciens à travers l'histoire ; Cependant, le terme « méningite » est entré dans l'usage général après que le chirurgien John Abercrombie l'ait défini en 1828. La méningite est une maladie potentiellement mortelle qui est le plus souvent causée par des bactéries ou des virus. Avant l'ère des antibiotiques, la maladie était universellement mortelle. Néanmoins, même avec de grandes innovations dans les soins de santé, la condition porte toujours un taux de mortalité de près de 25%.[1]

Classification

La section facultative Classification ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section sert à détailler les maladies qui sont membres de cette classe.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Maladie
Commentaires:
 
  • Il est important de bien faire la différence entre les diagnostics différentiels, les étiologies et la classification. Par exemple, la pneumonie virale est une classe de maladie qui est membre de la classe Pneumonie, mais la bronchite fait plutôt partie du diagnostic différentiel.
Exemple:
 
Le syndrome coronarien aigu se divise en trois maladies distinctes :
  • l'angine instable [Maladie]
  • le STEMI [Maladie]
  • le NSTEMI [Maladie].

Plusieurs maladies sont membres de cette classe :

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

Aux États-Unis, l'incidence annuelle de la méningite bactérienne est d'environ 1,38 cas/100 000 habitants avec un taux de létalité de 14,3 %. [2][1] The highest incidence of meningitis worldwide is in an area of sub-Saharan Africa dubbed “the meningitis belt” stretching from Ethiopia to Senegal.[3][4][5][1] Most common bacterial causes of meningitis in the United States are: [6][1]

  • Streptococcus pneumoniae (incidence in 2010: 0,3/100 000)
  • Streptococcus du groupe B
  • Neisseria meningitidis (incidence en 2010 : 0,123/100 000)
  • Haemophilus influenzae (incidence en 2010 : 0,058/100 000)
  • Listeria monocytogenes [1] Envisager des bactéries moins courantes telles que Staphylococcus aureus chez les patients récemment opérés, lignes centrales et traumatismes. Mycobacterium tuberculosis doit être envisagé chez les hôtes immunodéprimés. Borrelia burgdorferi chez les patients ayant voyagé dans des zones endémiques de Lyme. Treponema pallidum dans le VIH/SIDA et chez les personnes ayant de multiples partenaires sexuels. Escherichia coli est un agent pathogène important de la période néonatale.[1] Les agents viraux les plus courants de la méningite sont les entérovirus non poliomyélitiques (coxsackievirus et échovirus du groupe b). Autres causes virales : oreillons, paréchovirus, virus de l'herpès (y compris virus d'Epstein Barr, virus de l'herpès simplex et virus varicelle-zona), rougeole, grippe et arbovirus (Nil occidental, La Crosse, Powassan, Jamestown Canyon)[1] Une méningite fongique est généralement associée avec un hôte immunodéprimé (VIH/SIDA, corticothérapie chronique et patients atteints de cancer). extension directe de l'infection des sinus)[1]

Étiologies

La section facultative Étiologies ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologie.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

Les étiologies sont :

Physiopathologie

La section facultative Physiopathologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section Physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

La méningite survient généralement par deux voies d'inoculation :[1] Ensemencement hématogène[1]

  • Les bactéries colonisent le nasopharynx et pénètrent dans la circulation sanguine après envahissement des muqueuses. En se dirigeant vers l'espace sous-arachnoïdien, les bactéries traversent la barrière hémato-encéphalique, provoquant une réaction inflammatoire directe et à médiation immunitaire.[1] Propagation contiguë directe[1]
  • Les organismes peuvent pénétrer dans le liquide céphalorachidien (LCR) via les structures anatomiques voisines (otite moyenne, sinusite), corps étrangers (dispositifs médicaux, traumatismes pénétrants), ou lors d'actes opératoires.[1] Les virus peuvent pénétrer dans le système nerveux central (SNC) par transmission rétrograde le long des voies neuronales ou par ensemencement hématogène.[1]

Présentation clinique

La section obligatoire Présentation clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique
    • (Aucun texte)
    • Facteurs de risque
      • (Texte)
    • Questionnaire
      • (Texte)
    • Examen clinique
      • (Texte)

La méningite peut avoir une présentation clinique variée selon l'âge et le statut immunitaire de l'hôte. Les symptômes comprennent généralement de la fièvre, des douleurs/raideurs au cou et une photophobie. Des symptômes plus non spécifiques comprennent des maux de tête, des étourdissements, de la confusion, du délire, de l'irritabilité et des nausées/vomissements. Les signes d'augmentation de la pression intracrânienne (altération de l'état mental, déficits neurologiques et convulsions) laissent présager un mauvais pronostic.[1] Les facteurs de risque suivants devraient augmenter la suspicion clinique :[1]

  • Expositions par contact étroit (casernes militaires, dortoirs universitaires)
  • Vaccinations incomplètes
  • Immunosuppression
  • Enfants moins de 5 ans et adultes de plus de 65 ans La plupart des cas viraux ont tendance à survenir pendant les mois les plus chauds.[1] Chez l'adulte, l'examen physique est centré sur le repérage des déficits neurologiques focaux, des irritations méningées (signes de Brudzinski et de Kernig), et particulièrement dans les méningites à méningocoques, des lésions cutanées caractéristiques (pétéchies et purpura). Des anomalies des nerfs crâniens sont observées chez 10 à 20 % des patients. [1] Les signes et les symptômes sont moins évidents chez les nouveau-nés et les nourrissons. Ils peuvent se présenter avec et sans fièvre ou hypothermie, diminution de l'apport oral, état mental altéré, irritabilité, fontanelle bombée. Il est important d'obtenir une anamnèse périnatale complète et des dossiers de vaccination. Certaines causes de méningite sont évitables par la vaccination, comme le pneumocoque, l'Haemophilus influenzae de type B, le méningocoque, la rougeole et le virus de la varicelle.[1]

Facteurs de risque

La section facultative Facteurs de risque ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Les facteurs de risque sont :

Questionnaire

La section obligatoire Questionnaire ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Symptôme et Élément d'histoire lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [symptôme]
  • des sueurs [symptôme]
  • de la dyspnée [symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [symptôme]
  • la fièvre [symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [symptôme]
  • l'absence de toux [symptôme].

Les symptômes de cette maladie sont :

Les symptômes de cette maladie sont :

Examen clinique

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [Examen clinique] :
    • de la fièvre [Signe clinique]
    • des signes de choc septique [Signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [Examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [Signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [Signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [Signe clinique]
    • un ressaut positif [Signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [Signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [Signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [Signe clinique].

L'examen clinique permet d'objectiver les signes suivants :

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [Examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [Signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [Examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [Signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [Examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques [Examen paraclinique] : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [Signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [Examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [Signe paraclinique] et l'hypercalcémie [Signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [Examen paraclinique]: l'hyperglycémie [Signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [Examen paraclinique]/ gaz veineux [Examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

La méningite est diagnostiquée par l'analyse du liquide céphalo-rachidien (LCR), qui comprend le nombre de globules blancs, le glucose, les protéines, la culture , et dans certains cas, la réaction en chaîne par polymérase (PCR). Le LCR est obtenu via une ponction lombaire (LP) et la pression d'ouverture peut être mesurée. [37][38][39][1] Des tests supplémentaires doivent être effectués en fonction de l'étiologie suspectée : [1]

  • Virus : PCR multiplex et spécifiques
  • Mycobactériens : culture fongique du LCR, coloration à l'encre de Chine pour Cryptococcus
  • Mycobactériens : maladie du LCR : Anticorps CSF burgdorferi[1] Les résultats attendus du LCR dans les méningites bactériennes, virales et fongiques sont répertoriés dans le tableau : Résultats attendus du LCR dans la méningite bactérienne versus virale versus fongique.[1] Idéalement, l'échantillon de LCR doit être obtenu avant d'initier les antimicrobiens. Cependant, lorsque le diagnostic de méningite bactérienne est sérieusement envisagé et que le patient est gravement malade, des antibiotiques doivent être initiés avant d'effectuer le LP.[1] Tomodensitométrie (TDM) de la tête avant ponction lombaire [1] Il existe une controverse concernant l'adage selon lequel le la ponction est l'événement provoquant une hernie cérébrale et la mort dans le cadre d'une augmentation de la pression intracrânienne causée par une méningite bactérienne aiguë. hernie cérébrale.[1] Les signes et symptômes d'une hernie imminente comprennent :[1]
  • Échelle de coma de Glasgow (GCS) inférieure à 11
  • Léthargie
  • Altération de l'état mental
  • Crises d'apparition récente
  • Déficit neurologique focal[1] Il est important de noter qu'un scanner crânien normal ne empêcher dans augmentation de la pression intracrânienne ou hernie cérébrale imminente. Si les symptômes cliniques sont compatibles avec une hernie imminente, que la tête CT soit normale ou non, éviter le LP et commencer le traitement. pas rare, glucose sérique, fonction rénale et hépatique et dépistage du VIH.[1]

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
  • Si vous désirez décrire des caractéristiques essentielles pour différencier la maladie dont vous êtes en train de traiter d'autres maladies, ceci a plutôt sa place dans la section d'Approche clinique. Par exemple, si vous voulez décrire les signes et les symptômes clés pour différentier l'infarctus du myocarde du pneumothorax sur la page du pneumothorax, ceci a sa place soit 1) sur la page d'approche clinique Douleur thoracique 2) dans la section Approche clinique du pneumothorax/infarctus.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [Diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [Diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [Diagnostic différentiel]
  • la cystite [Diagnostic différentiel].

Le différentiel diagnostic de la classe de maladie est :

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

Les traitements présumés sont les suivants :

Les antibiotiques et les soins de support sont essentiels dans tous les cas de méningite bactérienne.[40][41][42][1] les voies respiratoires, maintenir l'oxygénation, administrer suffisamment de liquides intraveineux tout en contrôlant la fièvre font partie des fondements de la prise en charge de la méningite.[1] Le type d'antibiotique est basé sur l'organisme présumé responsable de l'infection. Le clinicien doit tenir compte des données démographiques et des antécédents médicaux du patient afin de fournir la meilleure couverture antimicrobienne.[1] Current Empiric Therapy [1] Nouveau-nés - Jusqu'à 1 mois[1]

  • Ampicilline par voie intraveineuse (IV) et
  • Céfotaxime (ou équivalent, généralement ceftazidime ou céfépime ) IV or gentamicin IV and
  • Acyclovir IV[1] More than 1 month old[1]
  • Ampicillin IV and
  • Ceftriaxone IV[1] Adults (18 to 49 years old)[1]
  • Ceftriaxone IV and
  • Vancomycin IV[1] Adults older than 50 years old and the immunocompromised[1]
  • Ceftriaxone IV and
  • Vancomycine IV et
  • Ampicilline IV[1] Méningite associée à un corps étranger (post-intervention, traumatisme pénétrant)[1]
  • Céfépime IV ou ceftazidime IV ou méropénème IV et
  • Vancomycine IV[1] Méningite avec allergie sévère à la pénicilline[1]
  • Moxifloxacin IV and
  • Vancomycin IV[1] Fungal (Cryptococcal) meningitis[1]
  • Amphotericin B IV and
  • Flucytosine by mouth[1] Antibiotics [1] Ceftriaxone[1]
  • Third-generation cephalosporin
  • Gram-negative coverage
  • Very effective against Streptococcus pneumoniae and Neisseria meningitidis
  • Better CNS penetration than piperacillin- tazobactam (typically used in gram-negative sepsis coverage)[1] Vancomycin[1]
  • Gram-positive coverage (MRSA)
  • Also used for resistant pneumococcus[1] Ampicillin[1]
  • Listeria coverage (gram-positive bacilli)[1] Cefepime[1]
  • Fourth-generation cephalosporin
  • Increased activity against pseudomonas[1] Cefotaxime[1]
  • Céphalosporine de troisième génération
  • Équivalent à la ceftriaxone
  • Sans danger pour les nouveau-nés[1] Steroid Therapy [1] Th Les preuves sont insuffisantes pour étayer l'utilisation généralisée des stéroïdes dans la méningite bactérienne. Certaines études rapportent une réduction de la mortalité pour la méningite à Streptococcus pneumoniae, mais pas pour la méningite à Haemophilus influenzae ou à Neisseria meningitidis. Chez les enfants, les stéroïdes ont été associés à une réduction de la déficience auditive sévère uniquement dans les cas de méningite à Haemophilus influenzae. [43][1] Augmentation de la pression intracrânienne [1] Si le patient développe des signes cliniques d'augmentation de la pression intracrânienne (état mental altéré, déficits neurologiques, pupilles non réactives, bradycardie), les interventions visant à maintenir la perfusion cérébrale comprennent :[1] Induisant une légère hyperventilation chez le patient intubé
  • Diurétiques osmotiques tels que le mannitol à 25 % ou le sérum physiologique à 3 %[1] Chimioprophylaxie [1] La chimioprophylaxie est indiquée pour les contacts étroits d'un patient diagnostiqué avec une méningite à N. meningitidis et H. influenzae de type B.[1] d'autres, ceux qui ont partagé des ustensiles et les prestataires de soins de santé à proximité des sécrétions (réanimation bouche à bouche, intubation sans masque facial).[1] La chimioprophylaxie antibiotique pour N. ftriaxone, et pour H. influenzae type B : rifampin.[1]

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Complications

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Les complications de cette classe de maladie sont :

  • la complication 1
  • la complication 2
  • la complication 3
  • ... Lorsqu'il n'y a pas de complications, l'indiquer avec aucune complication. Une méta-analyse publiée en 2010 à partir d'une cohorte de patients pédiatriques a rapporté que le risque médian de séquelles après la sortie était de 19,9 %. Dans cette étude, l'organisme le plus couramment isolé était H. influenzae, suivi de S. pneumoniae. Les séquelles les plus fréquentes étaient la perte auditive (6 %), suivie des troubles comportementaux (2,6 %) et cognitifs (2,2 %), du déficit moteur (2,3 %), des troubles épileptiques (1,6 %) et de la déficience visuelle (0,9 %). [44][1] Autres complications : [1]
  • Augmentation de la pression intracrânienne due à un œdème cérébral causée par une augmentation du liquide intracellulaire dans le cerveau. Plusieurs facteurs sont impliqués dans le développement de l'œdème cérébral : augmentation de la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique, cytotoxicité des cytokines, des cellules immunitaires et des bactéries.
  • Hydrocéphalie
  • Complications cérébrovasculaires
  • Déficits neurologiques focaux[1]

==Évolution==

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

Les résultats dépendent des caractéristiques du patient telles que l'âge et le statut immunitaire, mais varient également en fonction de l'organisme étiologique . Aux États-Unis, pour l'ensemble de la méningite bactérienne, le taux annuel de létalité en 2010 était de 14,3 %.[1]

Mortalité spécifique à l'agent pathogène :[2][1]


  • Méningite à Streptococcus pneumoniae : taux de létalité, 17,9 %
  • Méningite à Neisseria meningitidis : taux de létalité, 10,1 %
  • Méningite à streptocoque du groupe B : taux de létalité, 11,1 %
  • Méningite à H. influenzae : taux de létalité, 7 %
  • Méningite à Listeria monocytogenes : taux de létalité, 18,1 %[1]

Prévention

La section facultative Prévention ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Concepts clés

La différenciation entre méningite bactérienne, virale et fongique peut être difficile. L'analyse du LCR peut ne pas être concluante et les cultures ne donnent pas immédiatement de réponse. Des panels PCR multiplex et spécifiques sont disponibles et renseignent en quelques heures. Compte tenu de la morbidité et de la mortalité, il est prudent d'initier une antibiothérapie empirique et d'admettre à l'hôpital toutes les personnes suspectées de méningite avec des précautions contre les gouttelettes, jusqu'à ce que l'agent pathogène soit identifié et que les antibiotiques appropriés aient été administrés pendant 24 heures.[1]

Conseils

  • Spécialiste des maladies infectieuses en cas d'agent pathogène non identifié ou rare
  • Neurologie pour aider à la gestion des crises
  • Neurochirurgie en cas de suspicion d'évolution vers un abcès cérébral
  • Rhumatologie et hème/oncologie en cas de cause non infectieuse[1]

Références

__NOVEDELETE__