Utilisateur:Rose Nadeau/Brouillons/Faiblesse (approche clinique)

De Wikimedica
Faiblesse
Approche clinique
Caractéristiques
Symptômes discriminants Symptôme discriminant 1, Symptôme discriminant 2, Symptôme discriminant 3, Symptôme discriminant 4
Signes cliniques discriminants
Signe clinique discriminant 1, Signe clinique discriminant 2, Signe clinique discriminant 3, Signe clinique discriminant 4
Examens paracliniques
Examen paraclinique 1, Examen paraclinique 2
Drapeaux rouges
Drapeau rouge

Page non révisée
La section obligatoire Définition ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

Une faiblesse musculaire véritable est caractérisée par diminution anormale de la force d'un muscle, d'un groupe de muscles, d'un membre ou d'un partie diffuse du corps. Il s'agit d'une raison de consultation les plus courantes en médecine familiale. Les causes étiologiques sont vastes et une faiblesse peut se présenter en aigu, en subaigu ou sous forme chronique. La fatigue peut être causée par une atteinte centrale du motoneurone supérieur, une atteinte du motoneurone inférieur, une atteinte de la jonction neuromusculaire ou une atteinte directe du muscle. Il est important de répertorier l'étendue de l'atteinte et de rechercher son origine. Une fatigue généralisée est différente d'une faiblesse musculaire avec déficit moteur. [1][2]

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Objectif du CMC
Faiblesse non attribuable à un accident vasculaire cérébral (117)

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur le sujet de la page (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion homme:femme, régions où la prévalence est la plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque.
  • Le pronostic est présenté dans cette section, le cas échéant (contrairement aux pages de maladie).
Exemple:
 
Les saignements digestifs bas représentent 20% à 30% de tous les patients présentant des saignements GI majeurs. L'HDB est moins fréquente que les hémorragies digestives hautes (HDH) avec une prévalence de 20 à 27 cas par 100 000 vs 50 à 150 cas par 100 000.

La prévalence de la faiblesse non attribuable à un accident vasculaire cérébral est actuellement mal répertorié dans la littérature vu le vaste diagnostic différentiel. La faiblesse musculaire chez les adultes de 60 ans et plus affecte 5% de la population aux États-Unis en 2011-2012.[3]

Étiologies

La section obligatoire Étiologies ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description:
  • Cette section décrit les étiologies de l'approche clinique, c'est-à-dire ce qui cause la situation couverte dans la page d'approche clinique (ex. polype intestinal pour l'hémorragie digestive basse).
  • Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Ne pas ajouter de section Diagnostic différentiel à la page de type Approche clinique. La présente section couvre déjà les maladies qui provoquent l'approche clinique dont il est question sur cette page. Par définition, une page d'approche clinique ne contient pas de diagnostic différentiel, mais bien des étiologies.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau, selon ce qui vous apparait le plus efficace. S'il y a une ou deux étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les format plus simple (l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce).
  • Si la liste à puce est utilisée, elle est toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
Exemple:
 
Les étiologies de l'hémorragie digestive basse sont :
  • la diverticulose [Étiologie]
  • la colite ischémique [Étiologie]
  • le cancer colorectal [Étiologie]
  • le polype intestinal [Étiologie].

La faiblesse est le plus souvent d'origine neurologique ou musculaire, mais peut aussi être orthopédique, vasculaire ou psychiatrique.

Selon l'étiologie, l'atteinte peut être localisé, limitée à un groupe musculaire, proximale, distale ou diffuse.

Diagnostic différentiel de la faiblesse (liste non exhaustive)[2][1][4]
Localisation de l'atteinte Étiologies
Motoneurone supérieur

(Cerveau et moelle épinière)

  • Maligne
  • Infectieuse
    1. encéphalite
    2. ADEM (Acute disseminated encephalomyelitis
  • Auto-immune ou inflammatoire
    1. Myélite transverse
    2. Encéphalomyélite aiguë disséminée
  • Traumatique
  • Compression de structures
    1. Masse
Mixte motoneurone supérieur et inférieur
  • Auto-immune ou inflammatoire
    1. Sclérose en plaques
  • Infectieux
    1. Virus du Nil occidental
    2. Poliovirus
Motoneurone inférieur
  • Racine nerveuse
    1. Compressif
      1. Hernie discale
      2. Arthrose
    2. Post-infectieux
      1. Guillain-Barré (Polyradirulonévrite)
      2. Polyradiculonévrite inflammatoire démyélinisante chronique (CIDP)
  • Plexus
    1. Traumatique
    2. Néoplasique
      1. Syndrome de Pancoast
    3. Inflammatoire
      1. Syndrome Parsonage-Turner
    4. Post-infectieux
  • Nerfs périphériques
    1. Mononévrite : le plus souvent mécanique
      1. Compression
        1. Syndrome du tunnel carpien
    2. Mononévrite multiplex : diabète, vascularites
    3. Polyneuropathie
      1. Métabolique : Diabète, insuffisance hépatique ou rénale, hypothyroïdie
      2. Toxique : Alcool, métaux lourds
      3. Infectieux : Lyme, Lèpre, Diphtérie, VIH
      4. Inflammatoire : Vascularite, paranéoplasique, collagénose
      5. Héréditaire : Charcot-Marie-Tooth
Jonction neuromusculaire
  • Myasthénie grave
  • Syndrome de Lambert-Eaton
  • Botulisme
  • Intoxication aux organophosphates
Musculaire
  • Congénitale
    1. Dystrophie musculaire de Duchenne
    2. Dystrophie musculaire de Becker
    3. Dystrophie musculaire de Steinert
    4. Dystrophie musculaire occulopharyngée
    5. Etc.
  • Acquise
    • Toxique
      1. Médicamenteux : statines, corticostéroïdes, antirétroviraux
      2. ROH
      3. Myopathie des soins intensifs
    • Endocrinien
      1. Dysthyroïdie (Hypothyroïdie, hyperthyroïdie)
      2. Cushing
      3. Insuffisance surrénalienne
    • Inflammatoire
      1. Polymyosite
      2. Dermatomyosite
      3. Myosite à inclusion
  • Héréditaire
    1. McArdle
Psychiatrie Il peut ne pas y avoir d'objectivation de faiblesse musculaire à l'examen physique.
  • Trouble de conversion
  • Dépression
  • Fibromyalgie
  • Syndrome de fatigue chronique

Physiopathologie

La section facultative Physiopathologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition de l'approche clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Attention de ne pas traiter de la physiopathologie de l'ensemble des étiologies couvertes dans la section Étiologies, mais de seulement discuter de la physiopathologie générale de la sémiologie couverte par le sujet de la page.
Exemple:
 
Différentes voies physiologiques peuvent entraîner une dyspnée, notamment via les chimiorécepteurs ASIC, les mécanorécepteurs et les récepteurs pulmonaires. On pense que trois composantes principales contribuent à la dyspnée : les signaux afférents, les signaux efférents et le traitement central de l'information. [...]

Les étiologies de la faiblesse non attribuable à un accident vasculaire cérébral peuvent affecter différents niveaux du système nerveux somatique.

Anatomie du système nerveux somatique - La production d'un mouvement volontaire

Expliquer une atteinte à un des niveau causes des altérations de la fonction motrice qui peut aller jusqu'à la parésie ou même paralysie du muscle ou du membre.

Structures impliquées dans la production d'un mouvement volontaire[5][6][7][8]
Niveaux anatomiques
  1. Encéphale
2. Moelle épinière 3. Nerf périphérique 4. Jonction neuromusculaire 5. Muscle
Contenu
  • Cerveau
    • Télencéphale (deux hémisphères cérébraux)
      1. Le cortex prémoteur et moteur dans le lobe frontal pour la planification du mouvement
      2. Cortex visuel du lobe occipital pour diriger le membre dans l'espace
      3. Noyaux gris centraux pour la coordination du mouvement et son initiation
    • Diencéphale (thalamus, hypothalamus et épithalamus)
      1. Noyaux gris centraux pour la coordination du mouvement et son initiation
    • Tronc cérébral (bulbe rachidien, pont, mésencéphale)
    • Cervelet
      1. Initier et coordonner la contraction musculaire
  • Voies descendantes
    • Incluant les motoneurones supérieurs et inférieurs de la voie corticospinale entre autres
  • Neurotransmetteurs (acéthylcholine)
  • Récepteurs nicotiniques
  • Myocytes avec fibres musculaires striées squelettiques

Évaluation clinique

La section obligatoire Évaluation clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique. Elle détaille les différents items qu'un clinicien doit rechercher lorsqu'il évalue le patient.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen clinique en un ou des paragraphes dans la section Évaluation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Évaluation clinique
    • (Aucun texte)
    • Facteurs de risque
      • (Texte)
    • Questionnaire
      • (Texte)
    • Examen clinique
      • (Texte)

Facteurs de risque

La section facultative Facteurs de risque ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les principaux facteurs de risque discriminants à l'histoire. Ces facteurs de risques servent à discriminer une étiologie par rapport à une autre ou une complication potentielle.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque discriminant
Commentaires:
 
  • Alors que la section Approche clinique sert à intégrer les facteurs de risque, les signes, les symptômes et les examens paracliniques, cette section sert uniquement à lister les facteurs de risque discriminants et leur associer des étiologies potentielles.
  • Attention d'utiliser le bon modèle sémantique. Le modèle Facteur de risque discriminant est le bon modèle dans les pages de type Approche clinique. Le modèle Facteur de risque est utilisé exclusivement sur les pages de maladie et de classe de maladie.
  • Les antécédents personnels, familiaux, les habitudes de vie et les médicaments sont détaillés dans cette section (et non dans la section Questionnaire).
  • Cette section ne détaille pas les facteurs de risque d'une étiologie particulière : ceci est laissé aux pages de maladies.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
Exemple:
 
Les facteurs de risque à rechercher chez les patients qui se présentent avec céphalée sont :
  • des antécédents personnels de migraine [Facteur de risque discriminant] qui pourront indiquer cette pathologie
  • des antécédents personnels de cancer [Facteur de risque discriminant], un drapeau rouge qui évoque des métastases cérébrales
  • l'utilisation chronique de médicaments pour les céphalées [Facteur de risque discriminant] qui pourrait entraîner une céphalée de surconsommation médicamenteuse
  • le tabagisme [Facteur de risque discriminant], pouvant indiquer des métastases cérébrales.

Les facteurs de risque à rechercher sont[9]:

  • le antécédent familial de dystrophie musculaire évoque la présence de l'étiologie 1 ou l'étiologie 2
  • le utilisation de drogues illicites (cocaïne, héroïne) est un drapeau rouge et indique un patient qui est probablement atteint de l'étiologie 1 ou l'étiologie 3, pa
  • le facteur de risque discriminant 3 (Copiez ce modèle pour définir d'autres facteurs de risque discriminant.) élimine la présence de l'étiologie 4, mais il faut penser à l'étiologie 5
  • causes inflammatoires : polymyosite, dermetomyosite, myosite à corps d'inclusion, dermatomyosite juvénile
  • causes endocriniennes : hypothyroidie, syndrome de cushing
  • problèmes d'électrolytes : hypokaliémie, hypophosphatémie, hypocalcémie, hypo/hypernatrémie
  • Immobilisation prolongée
  • Myopathie métaboliques: désordres glycémiques, dyslipidémie, problèmes de métabolisation des purines
  • drogues et toxines: consommation de drogues illicites (cocaïne, héroïne), glucocorticoides, colchicine, agents antimalariens, statines, pénicillamine, zidovudine
  • Rhabdomyolyse : Histoire de Trauma par compression, convulsions, abus alcool incluant délirium tremens, coup de chaleur, chirurgie vasculaire, hyperthermie dans le syndrome malin des neuroleptiques
  • Antécédent d'infection virale ou infection active (influenza, parainfluenza, coxsackie, vih, cmv, echovirus, adénovirus, EBV)
  • Antécédents d'infection bactérienne ou infection active (pyomyosite, myosite de Lyme)
  • Antécédent ou infection fongique active
  • Antécédent ou infection parasitaire active (trichinose, toxoplasmose)
  • Antécédents familiaux de dystrophie musculaire ou de déficience en acide maltase

Questionnaire

La section facultative Questionnaire ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description:
  • Cette section liste des symptômes discriminants au questionnaire.
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Questionnaire, Symptôme discriminant et Élément d'histoire discriminant.
  • Ces éléments servent à discriminer une étiologie par rapport à une autre ou une complication potentielle.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Questionnaire, Symptôme discriminant, Élément d'histoire discriminant
Commentaires:
 
  • Alors que la section Approche clinique sert à intégrer les facteurs de risque, les signes, les symptômes et les examens paracliniques, cette section sert uniquement à lister les symptômes discriminants et leur associer des étiologies potentielles.
  • Attention d'utiliser le bon modèle sémantique. Le modèle Symptôme discriminant est le bon modèle dans les pages de type Approche clinique. Le modèle Symptôme est utilisé exclusivement sur les pages de Maladie et de Classe de maladie.
  • Les éléments d'histoire discriminants se distinguent des symptômes. Par exemple, la chute dans une page d'approche clinique de la céphalée aiguë est un élément d'histoire discriminant (modèle Élément d'histoire discriminant), et non un symptôme.
  • Le modèle Élément d'histoire discriminants est utilisé exclusivement sur les pages de type Approche clinique. Le modèle Élément d'histoire est utilisé sur les pages de type Maladie et Classe de maladie.
  • Cette section ne détaille pas l'histoire d'une étiologie particulière : ceci est laissé aux pages de maladies. La section Approche clinique permet d'expliquer les caractéristiques distinctives et discriminantes pour les différents diagnostics au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
Exemple:
 
Chez les patients atteints de dyspnée aiguë, les symptômes à rechercher sont :
  • au questionnaire cardiaque [Questionnaire] :
    • l'oedème des membres inférieurs [Symptôme discriminant], qui évoque une insuffisance cardiaque décompensée
    • une douleur thoracique [Symptôme discriminant] qui évoque un syndrome coronarien aigu, une insuffisance cardiaque décompensée ou une embolie pulmonaire
    • la lipothymie [Symptôme discriminant] et la la syncope [Symptôme discriminant], qui pourront être présents lors du syndrome coronarien aigu, de l'arrythmie et de l'embolie pulmonaire
    • etc.
  • au questionnaire pulmonaire [Questionnaire]
    • la toux [Symptôme discriminant], présente dans la pneumonie et l'EAMPOC et parfois dans l'embolie pulmonaire et l'insuffisance cardiaque
    • les crachats [Symptôme discriminant], présents dans la pneumonie et l'EAMPOC
    • les hémoptysies [Symptôme discriminant] sont un symptôme grave qui indique une potentielle embolie pulmonaire
    • un traumatisme récent [Élément d'histoire discriminant] évoque une fracture de côte ou une costo-chondrite
  • etc.

Chez les patients atteints par cette problématique, les symptômes à rechercher au questionnaire sont[10] :

  • la chronologie d'installation de la faiblesse
    • une présentation aiguë (quelques heures à jours) évoque une cause:
      • Vasculaire
      • Infectieuse,
      • Inflammatoire,
      • Métabolique ou
      • Reliée à des toxines.
    • une présentation subaigüe(quelques jours à semaines) oriente vers des désordres
      • Électrolytiques,
      • Inflammatoires ou
      • Rhumatologiques.
    • une présentation progressive chronique suggère des étiologies
      • Neurologiques,
      • Génétiques,
      • Métaboliques ou
      • Une myosite à corps d'inclusion.
  • la localisation de la faiblesse
    • Faiblesse proximale plus fréquente dans les myopathies.
    • Faiblesse distale oriente davantage vers des toxines, une neuropathie héréditaire motrice ou un début de myosite à corps d'inclusion.
    • Faiblesse simultanée proximale et distale suggère une myosite à corps d'inclusion ou un syndrome de Guillain-Barré.
    • Localisation limitée à un nerf, un groupe musculaire ou atteinte diffuse/systémique.
  • une atteinte symétrique ou asymétrique
    • Asymétrique suggère typiquement une atteinte neurologie qui peut provenir du SNS ou d'une compression ou inflammation du nerf périphérique.
  • au questionnaire pour toute faiblesse, le médecin doit rechercher :
    • Diplopie,
    • Symptômes oropharyngés (dysphagie, dysarthrie) et
    • Perte de vision qui suggèrent une myopathie inflammatoire, la sclérose en plaques ou une myasthénie grave.
  • au questionnaire recherche des pertes sensitives associées
  • au questionnaire, ces symptômes suggèrent une atteinte inflammatoire :
    • Fièvre
    • Arthralgies
    • Rash
    • Phénomène de Raynaud
  • au questionnaire recherche une fluctuation de la faiblesse dans la journée suggestive de myasthénie grave.
  • au questionnaire, recherche des douleurs et raideurs musculaires suggestives de myopathie inflammatoire.
  • au Questionnaire neurologique :
    • l'hyperréflexie indique un patient atteint des étiologies 1 ou 3
    • toujours questionner le symptôme discriminant 2, qui si présent évoque l'étiologie 4 et demande une prise en charge immédiate
  • au questionnaire B :
  • etc.

Un déficit moteur doit d'abord faire penser à une étiologie neurologique. Il importe toutefois d'exclure les diagnostics différentiels (orthopédique, vasculaire, psychiatrique).

Localisation Signes et symptômes associés
Cortex Signes de MNS:
  1. Faiblesse
  2. Tonus augmenté
  3. ROT augmentés
Moelle Signes de MNS ou MNI selon le niveau

Une atteinte centrale peut épargner

Racines nerveuses
Nerf (plexus et nerf périphérique)
Jonction neuro-musculaire
Muscle
Antécédents
Trouvaille Penser à ... Précision
Personnels
Alcoolisme (présent ou passé) Myopathie Alcoolique ...
Exposition à des toxines Intoxicat Maladie de Lyme
Paralysie dû aux tiques
Diphtérie
Infection parasitaire
Chirurgicaux
Chirurgie de toute sorte Embolie Pulmonaire Immobilisation lors de l'hospitalisation accroit le risque d'embolie pulmonaire sur X semaines suite à l'opération
... ... ...
Médicaux
Psychiatrique
Familiaux
maladies héréditaires connues ou sx similaires Myopathies héréditaires

Canalopathies

Myopathies métaboliques

Neuropathies héréditaires

Habitudes de vie+
Trouvaille Penser à ... Précision
Tabagisme Néoplasie pulmonaire

S d'Eaton-Lambert

...
Alcoolisme Myopathie alcoolique ...
Drogues ... ...
PQRST
Trouvaille Penser à ... Précision
... ... ...
... ... ...
... ... ...
Revue des systèmes
Trouvaille Penser à ... Précision
Neurologique
... ... ...
Respiratoire
Essoufflement Insuffisance cardiaque

Trouble pulmonaire

Anémie

...
Peau et phanères
Éruption Dermatomyosite

Maladie de Lyme

Syphilis

Gastrointestinal
Vomissements ou diarrhée Botulisme
Urinaire
Changement de couleur de l'urine Porphyrie

Troubles hépatiques

Troubles rénaux

Examen clinique

La section facultative Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description:
  • Cette section traite des signes à rechercher à l'examen clinique qui permettent de différencier les étiologies entre elles.
  • Cette section doit faire l'usage du modèle Examen clinique et du modèle Signe clinique discriminant.
  • Ces éléments servent à discriminer une étiologie par rapport à une autre ou une complication potentielle.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique discriminant
Commentaires:
 
  • Alors que la section Approche clinique sert à intégrer les facteurs de risque, les signes, les symptômes et les examens paracliniques, cette section sert uniquement à lister les examens cliniques et les signes cliniques discriminants et leur associer des étiologies potentielles.
  • Attention d'utiliser le bon modèle sémantique. Le modèle Signe clinique discriminant est le bon modèle dans les pages de type Approche clinique. Le modèle Signe clinique est utilisé exclusivement sur les pages de maladie et de classe de maladie.
  • Cette section ne détaille pas l'examen clinique et les signes cliniques d'une étiologie particulière : ceci est laissé aux pages de maladies. La section Approche clinique permet d'expliquer les caractéristiques distinctives et discriminantes pour les différents diagnostics au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
Exemple:
 
Chez les patients atteints d'une dyspnée aiguë, les éléments suivants sont à rechercher à l'examen clinique :
  • à l'examen cardiaque [Examen clinique] :
    • un souffle systolique [Signe clinique discriminant] indique une sténose aortique critique
    • de l'oedème des membres inférieurs [Signe clinique discriminant] indique une insuffisance cardiaque décompensée
    • la TVC augmentée [Signe clinique discriminant] évoque une insuffisance cardiaque décompensée ou sera présent dans 13% des embolies pulmonaires
  • à l'examen pulmonaire [Examen clinique] :
    • des crépitants [Signe clinique discriminant] en présence d'une pneumonie ou d'une surcharge secondaire à une insuffisance cardiaque décompensée.
    • des sibilances [Signe clinique discriminant] en cas d'asthme, d'EAMPOC et parfois d'insuffisance cardiaque.
  • À l'examen physique, il est pertinent de rechercher les éléments suivants:
    • une faiblesse proximale se traduit par une difficulté à se lever de la chaise sans utilisation des bras, une difficulté à monter des escaliers ou à lever les bras en se brossant les cheveux par exemple.
    • une faiblesse distale est notée quand le patient a de la difficulté à ouvrir des pots maçons, des portes, échappe des objets ou a un pied tombant.
  • Procéder à l'examen moteur pour l'évaluation des forces musculaires et l'étendue de l'atteinte.
  • Grader les forces selon l'échelle du « Medical Research Council Manual Muscle Testing Scale for Assessing Muscle Strength».
  • Recherche de signes d'hyperthyroïdie, d'hypercalcémie (signe de Chvostek), atteinte de nerf crânien dans la maladie de Lyme, HSV-1, herpes zoster.
  • Recherche aspect cushingoïde (bosse de bison, stries violacées au niveau des hanches).
  • Recherche de signes de dermatomyosite (papules de Gottron, rash héliotrope, signe du châle.

L'examen clinique doit être orienté autour de ces 6 axes:

  1. Les nerfs crâniens
  2. La fonction motrice
  3. La coordination
  4. La marche
  5. La sensibilité
  6. Les réflexes
Test Trouvaille Penser à... Précisions
Examen Neurologique
Signe de Kernig Flexion des genoux
  • Méningite
  • Hémorragie subarachnoidienne
-
... ... ...
Examen Respiratoire
Examen Locomoteur
Peau et phanères

Évaluations des forces et référer à la pages de wikimedica sur l'échelle de forces et comment l'évaluer

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit les examens paracliniques (ex. laboratoires, imageries, etc.) à effectuer pour cette approche clinique. Les signes paracliniques discriminants orientant vers une étiologie particulière ou une complication sont listés.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique discriminant
Commentaires:
 
  • En lisant cette section, le lecteur devrait être en mesure de comprendre les indications et les signes paracliniques attendus pour chaque examen paraclinique, ce qui lui permettra d'avoir une compréhension approfondie de la manière d'utiliser les examens paracliniques pour naviguer le diagnostic différentiel et diagnostiquer la maladie. La section Approche clinique permet d'expliquer les caractéristiques distinctives et discriminantes pour les différents diagnostics au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Chaque examen paraclinique devrait être défini à l'aide d'une propriété sémantique de type Examen paraclinique. Le modèle Signe paraclinique n'est pas utilisé.
  • La liste à puce ou le tableau sont les formats à utiliser. Lorsque la liste à puce est utilisée, celle-ci est toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
Exemple:
 
Les examens paracliniques suggérés dans le cas d'une céphalée aiguë sont :
  • une tomodensitométrie cérébrale sans contraste [Examen paraclinique] pour éliminer un saignement intracrânien [Signe paraclinique discriminant] (AVC démorragique) et des masses intracrâniennes [Signe paraclinique discriminant] (métastases ou cancer cérébal) grossières
  • une ponction lombaire [Examen paraclinique] si le patient fait de la fièvre ou s'il y a des signes de méningisme à l'examen physique :
    • en cas de méningite, une leucocytose importante dans le LCR [Signe paraclinique discriminant] et une coloration au Gram positive [Signe paraclinique discriminant] est caractéristique
  • une vitesse de sédimentation [Examen paraclinique] chez tous les patients de plus de 50 ans pour éliminer l'artérite temporale ou chez tous les patients qui pourraient avoir des symptômes compatibles
  • etc.

Les examens paracliniques suggérés dans le cas d'un patient qui se présentent avec cette situation clinique sont :

  • Créatine kinase (CK)
  • Myoglobinurie
  • TSH
  • Électrolytes élargis (Na, K, Ca, PO4, Mg)
  • Glycémie
  • Fonction rénale avec créatinine/urée
  • Bilan hépatique (AST, ALT, PAL, GGT?...)
  • VS (indiqué pour myopathie)
  • Sérologie des hépatites B et C

Les imageries suggérées selon les suspicions cliniques sont :

  • EMG
  • Biopsie musculaire
  • IRM musculaire
  • Échographie musculaire
  • CT de la tête et angio-CT critique si suspicion d'AVC ou syndrome de la queue de cheval
  • IRM de la tête

Drapeaux rouges

La section obligatoire Drapeaux rouges ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description:
  • Les drapeaux rouges sont des signes, des symptômes, des facteurs de risque ou des signes paracliniques qui, lorsqu'ils sont présents, peuvent orienter vers un diagnostic grave ou demandant une prise en charge immédiate.
  • Chaque drapeau rouge devrait être défini à l'aide d'une propriété sémantique de type Drapeau rouge.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Drapeau rouge
Commentaires:
 
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Cette section doit rester simple et courte.
Exemple:
 
Les drapeaux rouges des patients qui se présentent en céphalée aiguë sont :
  • une altération de l'état de conscience [Drapeau rouge] indique une possible méningite, encéphalite, un AVC hémorragie ou une HIP
  • une faiblesse [Drapeau rouge] évoque un AVC
  • de la diplopie [Drapeau rouge] évoque également un AVC du tronc ou une lésion occupant de l'espace
  • une immunosuppression [Drapeau rouge] pourrait évoquer une méningite, encéphalite ou un abcès cérébral ou spinal
  • etc.

Les drapeaux rouges à surveiller chez les patients qui présentent cette situation clinique sont :


Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description:
  • Alors que les sections Évaluation et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie. C'est la section par excellence pour l'enseignement.
  • En lisant cette section, le lecteur doit être en mesure de comprendre la stratégie à adopter au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques pour naviguer les étiologies de l'approche clinique.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du diagramme est encouragée (voir Aide:Diagramme).
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
  • La section Approche clinique permet d'expliquer les caractéristiques distinctives et discriminantes pour les différents diagnostics au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques. C'est une section où les trucs du métier, les stratégies pour le diagnostic et le raisonnement clinique sont expliqués : c'est la section idéale pour l'enseignement.
Exemple:
 

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: La section contient la prise en charge générale qui s'applique à l'ensemble des étiologies. Que doit-on faire avant que la cause n'ait été clairement établie ? Des traitements généraux doivent-ils être amorcés avant l'identification de la cause ? Comment traite-t-on la symptomatologie du patient ? Quelles sont les indications d'hospitalisation ? Quand doit-on demander une consultation ? Un résumé de la prise en charge de certaines étiologie clés peut aussi être résumée avec un lien vers la page dédiée à la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique (seulement pour le traitement des symptômes, pas pour les étiologies)
Commentaires:
 
  • Le traitement spécifique associé à chaque étiologie est spécifié sur sa page de maladie (ne pas la décrire sur la page d'approche clinique). Le traitement général en lien avec l'approche clinique est décrit (par exemple, le soulagement du symptôme).
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Le tableau peut être adéquat en fonction du contexte.
  • Des algorithmes de traitement peuvent être présentés avec le modèle Flowchart (voir Aide:Diagramme).
Exemple:
 

Traitement symptomatique

Les traitements suggérés sont les suivants :

Traitement des étiologies

Traitement des étiologies
Étiologie Description
Étiologie 1
Page principale: Étiologie 1#Traitement
  • Décrire le traitement en quelques lignes.
  • Les détails sont donnés sur la page de maladie.
Étiologie 2
Page principale: Étiologie 2#Traitement
  • Décrire le traitement en quelques lignes.
  • Les détails sont donnés sur la page de maladie.
... ...

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de l'approche clinique
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Y a-t-il des examens paracliniques à répéter ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
Exemple:
 

Complications

La section facultative Complications ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des complications possibles de l'approche clinique classées en ordre de probabilité (si possible).
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication. Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Attention ! Les complications sont celles de l'approche clinique elle-même et non de son traitement. Par exemple, l'anémie est une complication de l'hémorragie digestive basse, mais la perforation intestinale en raison d'une colonoscopie doit plutôt être décrit sur la page de la procédure Colonoscopie.
Exemple:
 

Les complications en lien avec cette présentation clinique sont :

Particularités

La section facultative Particularités ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des particularités concernant la gestion de l'approche clinique pour certaines clientèles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 

Gériatrie

La section facultative Gériatrie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section mentionne les particularités concernant la gestion de l'approche clinique chez une clientèle gériatrique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Le format texte est à privilégier.
  • Il est possible que l'approche clinique en gériatrie nécessite une approche clinique complètement différente. Dans ce cas, il est préférable de faire un page d'approche clinique séparée. (ex. Ictère chez le nouveau-né est trop différente de l'Ictère chez la personne âgée).
Exemple:
 

En gériatrie, les personnes âgées peuvent expérimenter de la faiblesse à la marche. Il faut penser à un diagnostic différentiel plus élargi incluant[11] :

  • Une sarcopénie préexistante ou secondaire à un alitement prolongé.
  • Une myopathie, neuropathie ou une fatigue iatrogène secondaire à la polypharmacie
  • L'hydrocéphalie normotensive
  • Un syndrome parkinsonien
  • Une arthrite douloureuse
  • Une altération des circuits neuronaux lié à l'âge affectant
    • La stabilité posturale (système vestibulaire, voies de proprioception)
    • La coordination (cervelet, noyaux gris centraux)
    • La vision
    • Les praxies (lobe frontal)

Pédiatrie

La section facultative Pédiatrie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section mentionne les particularités concernant la gestion de l'approche clinique chez une clientèle pédiatrique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Le format texte est à privilégier.
  • Il est possible que l'approche clinique en pédiatrie nécessite une approche clinique complètement différente. Dans ce cas, il est préférable de faire un page d'approche clinique séparée. (ex. Ictère chez le nouveau-né est trop différente de l'Ictère chez la personne âgée)
Exemple:
 

Les causes fréquentes de faiblesse en pédiatrie sont[12][13] :

  • Dystrophies musculaires
    • Dermatomyosite juvénile (souvent diagnostiquée avant 16 ans)
  • Paralysie cérébrale
  • Trisomie 21 et 13
  • Syndrome de Willliams
  • Syndrome de Prader-Willi
  • Dystrophie myotonique
  • Syndrome de Marfan
  • Maladie Tay-Sachs
  • Achondroplastie
  • Bébé prématuré avant 37 semaines de gestation
  • Apnée du sommeil
  • Syndrome de Guillain-Barré

Notes

La section facultative Notes ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Dans la section notes se trouve toutes les notes de bas de page (références du groupe "note" [ou autres]).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Pour ajouter des notes, passez par la fonction d'ajout de notes. Il est aussi possible d'ajouter des notes d'autres groupes, comme "pharmaco", "pédiatrie", "indications", etc. Classez ces autres groupes de notes dans des sous-sections. N'ajoutez pas de notes manuellement.
Exemple:
 
TRAITEMENTS

Les traitements:

  • médicament 1, 100-200 mg PO DIE[pédiatrie]
  • traitement 2 BID x 1 sem[gériatrie]

NOTES


Gériatrie

  1. Poursuivre le traitement 2 semaines de plus.

Pédiatrie

  1. 10mg/kg die


Références

La section obligatoire Références ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Dans la section références se trouve toutes les références (références sans groupe). Pour ajouter des références, passez par la fonction d'ajout de références. N'ajoutez pas de références manuellement.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
  1. 1,0 et 1,1 « Faiblesse musculaire - Troubles neurologiques », sur Édition professionnelle du Manuel MSD (consulté le 25 octobre 2023)
  2. 2,0 et 2,1 « 117 Faiblesse non attribuable à un accident vasculaire cérébral | Le Conseil médical du Canada », sur mcc.ca (consulté le 25 octobre 2023)
  3. Anne C. Looker et Chia-Yih Wang, « Prevalence of reduced muscle strength in older U.S. adults: United States, 2011-2012 », NCHS data brief, no 179,‎ , p. 1–8 (ISSN 1941-4927, PMID 25633238, lire en ligne)
  4. « Syndrome de fatigue chronique - Sujets spéciaux », sur Édition professionnelle du Manuel MSD (consulté le 25 octobre 2023)
  5. « L'anatomie de l'encéphale », Wikipédia,‎ (lire en ligne)
  6. « Système nerveux somatique », Wikipédia,‎ (lire en ligne)
  7. « LE CERVEAU À TOUS LES NIVEAUX! », sur lecerveau.mcgill.ca (consulté le 13 décembre 2023)
  8. « Cortex prémoteur », Wikipédia,‎ (lire en ligne)
  9. « ClinicalKey », sur www.clinicalkey.com (consulté le 13 décembre 2023)
  10. Scott T. Larson et Jason Wilbur, « Muscle Weakness in Adults: Evaluation and Differential Diagnosis », American Family Physician, vol. 101, no 2,‎ , p. 95–108 (ISSN 1532-0650, PMID 31939642, lire en ligne)
  11. « Faiblesse musculaire - Troubles neurologiques », sur Édition professionnelle du Manuel MSD (consulté le 13 décembre 2023)
  12. « Muscle Weakness (Hypotonia) | Boston Children's Hospital », sur www.childrenshospital.org (consulté le 13 décembre 2023)
  13. « DynaMed », sur www.dynamed.com (consulté le 13 décembre 2023)