ULaval:MED-1291/Les épreuves cérébelleuses, les signes méningés et la démarche/Flashcards
• Dysarthrie • Dysmétrie • Nystagmus • Hypotonie • Dysmétrie • Adiadococinésie • Ataxie
Incoordination unilatérale
Atteinte cérébelleuse médiane (vermis)
Lors d'une atteinte cérébelleuse, la parole perd son rythme et devient irrégulière et scandée. Le patient a de la difficulté à prononcer les mots et le rythme du langage est altéré.
- Vrai
- Faux
b
Oscillation rythmique rapide et involontaire des yeux
Phase lente de déviation oculaire suivie d'une saccade correctrice rapide en direction opposé.
- Vrai
- Faux
a
Par la direction de sa composante rapide
- Atteinte du cervelet
- Phase rapide dirigé vers le côté opposé à la lésion
- Généralement important
- Vertical
b, c
- Atteinte du nerf vestibulaire
- Phase rapide survient vers le côté de la lésion
- Toujours vertical
- Nystagmus persistant
- Associés à symptômes qui pointent vers une atteinte centrale
b,d,e
La dysmétrie, le tremblement d'intention et l'adiadococinésie
Irrégularité ou instabilité dans la vitesse, la force ou la direction d'un mouvement qui devrait être fluide et aisé.
Type de tremblement d'action qui s'accentue au fur et à mesure que le membre s'approche d'une cible.
Incapacité à effectuer des mouvements alternés rapides de manière régulière et coordonnée.
L'atteinte d'un hémisphère cérébelleux
L'adiadocinésie
- Vrai
- Faux
b
Il faut terminer en comparant les 2 côtés
- Vrai
- Faux
a
La pince évalue l'adiadococinésie
Taper du pied
L'ataxie à la marche
Instabilité en position assise alors que le tronc oscille de façon irrégulière.
Spasmes musculaires douloureux quand les structures inflammées (racines nerveuses et méninges) sont mise sous tension.
La raideur de la nuque, le signe de Brudzinski et le signe de Kernig.
La raideur de la nuque se trouve seulement quand le cou est manipulé en flexion alors qu'une raideur cervicale indique une résistance aux mouvements du cou dans toutes les directions (flexion, extension, rotation). La raideur cervicale n'indique pas une atteinte méningée.
- Vrai
- Faux
b
Lors de ce mouvement la traction sur le nerf sciatique et le déplacement de la moelle provoquent beaucoup de douleur et un spasme involontaire.
Le patient fléchit les genoux et les hanches dans une tentative inconsciente de réduire la tension induite par la flexion du cou.
Le patient couché sur le dos on fléchit la jambe et le genou à 90° puis on essaie d'étendre le genoux. En cas d'irritation méningée le patient résiste, se plaint de douleur ou effectue une flexion réflexe du cou.
7 et 45 ans
Déplacement du centre de gravité vers l'avant, démarche à petits pas et augmentation de la base de sustentation pour compenser.
De l'initiation de la marche et des mouvements automatiques (balancement des bras).
La phase d'appui et la phase de balancement
Fluidité des pas, largeur du polygone de sustentation, longueur des pas, balancement des bras (il faut rechercher toute anomalie ou asymétrie des mouvements).
- Vrai
- Faux
a
Lorsque le pied se déplace sur le côté au lieu de monter pendant la phase de balancement.
Faiblesse, spasticité, contrôle moteur et atteinte sensitive
Diminution asymétrique du balancement des bras
Démarche irrégulière avec un polygone élargi et des déviations subites rattrapées par le patient.
Adduction excessive des membres inférieurs
Un pied tombant
Une démarche antalgique
Atteinte du motoneurone supérieur (ex. sclérose en plaques ou AVC ancien)
Paraplésie spastique (ex. paralysie cérébrale, sclérose en plaques, lésion médullaire)
Démarche parkinsonienne
Dysfonction des noyaux gris centraux (maladie de Parkinson, parkinsonisme médicamenteux)
Apraxie à la marche
Un manque d'intégration et d'organisation du mouvement au niveau du cortex
Ataxie sensitive
D'une faiblesse de la ceinture pelvienne
Le patient se relève de la position accroupie en appuyant ses mains sur ses jambes.
- ↑ Ratté, F., Thériault, J. F., & Isabelle, C. (2017). Démarche clinique: raisonnement clinique, examen physique, entrevue médicale. Québec: Les Presses de l'Université Laval.