ULaval:MED-1234/Questions de l'examen 2
- Suspenseur
- Utéro-ovarien
- Tubo-ovarien
- Mésovarium (ligament large)
Follicules
- Sécrétion d’hormones sexuelles pour induire la puberté
- Production d'ovocytes
Par l’antrum
- Dépendante
- Indépendante
b
- La croissance des follicules vers la phase pré-antrale
- La production d’estrogènes par les cellules granulaires
- La production de récepteur à FSH/LH au niveau de la cellule folliculaire
Sa capacité à se créer un microenvironnement riche/dominant en oestrogènes.
- Cellules granulaires du follicule dominant sont plus sensibles à la FSH
- Rétroaction négative sur la sécrétion de FSH au niveau de l’hypophyse
Elle accentue la rétroaction négative de la FSH sur l’hypophyse. D'ailleurs, il y a élévation d'inhibine B juste avant l'ovulation.
Augmentent. Oestrogènes: Pic ~ 24-36h avant ovulation. LH: Élévation 36h avant, pic 10-12h avant ovulation.
- fixe
- 14
- Progestérone
- Androgènes
- Estrogènes
a
- Atrésie du corps jaune
- Baisse de la production de progestérone et d’estrogènes
- Sécrétion de GnRH et donc de FSH
- Menstruations
Il y a seulement une couche de cellules folliculaires granuleuses aplaties.
Les cellules folliculaires granuleuses passent d’une forme aplatie à une forme cuboïdale.
- Apparition de la zone pellucide (protection de l'ovocyte)
- Couche de cellules folliculaires granuleuses devient pluristratifiée.
- Apparition de la thèque du follicule.
- Il y a apparition d’une thèque interne et d’une thèque externe.
- Il y a apparition de l’antrum.
- Il y a apparition du cumulus oophorus.
Follicule de Graaf
Le HCG continue la sécrétion de progestérone.
- Vrai
- Faux
b
- Vrai
- Faux
a
La progestérone
- Migration au bon endroit des neurones sécréteurs de GnRH lors de l’embryogenèse
- Une sécrétion pulsatile de GnRH
La FSH
La LH
- La maturation des follicules
- La production d’estrogènes dans la cellule granuleuse
- L’ovulation
- La production d’androgènes par la cellule thécale
- La production de progestérones par le corps jaune
- Des estrogènes
- Des androgènes
b
- Des estrogènes
- Des androgènes
a
- Albumine
- SHBG
- Développement des caractères sexuels secondaires féminins
- Diminution de la résorption osseuse
- Fermeture épiphyses des os longs
- Augmentation des HDL
- Diminution des LDL
- Augmentation des triglycérides
- Augmentation des protéines de transport
- Augmentation de la coagulation
Le manque d’estrogènes
- Développement glandulaire
- Résistance à l’insuline
- Augmentation de la température corporelle
- Augmentation de la ventilation
- Désir sexuel
- Anabolisme protéique
- Pilosité corporelle
- Neurotransmetteurs cérébraux
- Être régulière
- Symptômes prémenstruels, douleur et sécrétions cervicales plus abondantes
- Courbe de température
- Dosage de progestérone au jour 25 sur un cycle de 32 jours
- Biopsie ou échographie endométriale
- Ferning et augmentation spinnbarkeit du mucus cervical
- Pic de LH urinaire
- Vrai
- Faux
b
Faux
Ceci est la définition de l'aménorrhée secondaire. L'aménorrhée primaire est définie comme:
1- L'absence de règles à 13-14 ans en l'absence de caractères sexuels secondaires.
2- L'absence de règles à 15-16 ans en présence de caractères sexuels secondaires.- Moins de 24 jours
- Moins de 28 jours
- Plus de 28 jours
- Plus de 35 jours
d
- Oui
- Non
a
- Aménorrhée primaire
- Aménorrhée secondaire
- Aménorrhée tertiaire
b
L’origine est hypothalamique ou hypophysaire (hypogonadisme central hypo- ou eugonadotropique)
- Déficience congénitale en GnRH
- Maladies infiltratives (sarcoïdose, hémochromatose, lymphome et hystiocytose)
- Tumeurs
- Compression/section de la tige hypophysaire
- Irradiation crânienne
- Trauma
- Hémorragie
- Hydrocéphalie
- Aménorrhée hypothalamique fonctionnelle
- Vrai
- Faux
a
L’aménorrhée hypothalamique fonctionnelle est habituellement réversible par un gain de poids, une réduction de l’intensité de l’exercice et/ou la résolution d’une maladie ou stress émotif.
- Congénitale (mutation récepteur GnRH)
- Adénomes sécrétants ou non
- Hyperprolactinémie
- Tumeurs dans la région de l’hypophyse
- Infarctus, apoplexie hypophysaire et syndrome de Sheehan
- Maladies infiltratives
- Hypophysites auto-immunes
L’origine est ovarienne
- Insuffisance ovarienne précoce
- Syndrome de Turner
- Chimiothérapie ou radiothérapie dans la zone ovarienne
- Syndrome d’insensibilité aux androgènes
- En bas de 30 ans
- En bas de 35 ans
- En bas de 40 ans
- En bas de 45 ans
- En bas de 50 ans
c
Caryotype: 45X0 ou 45X0/46XX (mosaïque)
Phénotype: Féminin
Caryotype: 46XY
Phénotype: Féminin
La présence du chromosome Y explique d'ailleurs la formation de testicule et la sécrétion d'AMH.
Syndrome d’insensibilité aux androgènes
- Vrai
- Faux
b
En présence de l’hormone AMH, il y a absence des structures müllériennes (trompes, utérus, 2/3 sup du vagin). Ainsi, chez ces patientes, il n’est possible que de présenter une aménorrhée de type primaire.
L’origine est utérovaginale
- Agénésie müllérienne
- Obstruction congénitale (hymen imperforé)
- Syndrome d’Asherman
- Endométrites récurrentes
- Syndrome d’Asherman
- Endométrites récurrentes
Éliminer une grossesse!
- ßHCG (Éliminer une grossesse)
- La TSH (Éliminer dysthyroïdie, plus spécifiquement hypoT4)
- La prolactine (Éliminer hyperprolactinémie)
- La FSH (Différencier anomalie ovarienne d'une anomalie hypothalamique/hypophysaire)
Confirmer la présence ou non d’estrogènes endogènes
Il y a présence d'oestrogènes endogènes et le tractus génito-urinaire est N.
- Anomalie utérovaginale
- Insuffisance ovarienne
- Insuffisance hypothalamo-hypophysaire
Les anomalies utérovaginales
Présence d'hypoestrogénisme, absence de stimulation de l'endomètre ou anomalie du tractus génital inférieur.
- Syndrome de Kallmann
- Trauma
- Aménorrhée hypothalamique fonctionnelle
- Syndrome de Turner
c
- Craniopharyngiome
- Syndrome de Turner
- Syndrome d'insensibilité aux androgènes
b
- Petite taille
- Aménorrhée primaire
- Pas de caractères sexuels secondaires
- Cou palmé
- Oreilles basses
- Mamelons écartés
- Ligne de cheveux en W
- Cubitus valgus
- 4e métacarpe court
- Anomalies cardiaques et rénales
- Ostéoporose
- Aménorrhée primaire
- Petite taille
- Anosmie
- Absence de caractères sexuels secondaires
c
- Radiographie du crâne
- TDM de l'hypophyse
- IRM de la région hypothalamo-hypophysaire
c
- Score supérieur ou égal à 6
- Score supérieur ou égal à 8
- Score supérieur ou égal à 9
- Score supérieur ou égal à 10
b
- Hirsutisme idiopathique
- Syndrome des ovaires polykystiques
- Vrai
- Faux
b
- Certains médicaments
- Hyperplasie congénitale des surrénales forme non classique
- Tumeurs surrénaliennes
- Syndrome de Cushing
- Tumeurs ovariennes
- Hyperprolactinémie
- Dysthyroïdie
- Acromégalie
- Taux circulants d’androgènes
- Sensibilité du follicule pileux aux androgènes
- La testostérone
- L'androstènedione
- La DHEA
a
- 25%
- 40%
- 50%
- 75%
c
- 25%
- 40%
- 50%
- 75%
a
- 25%
- 40%
- 50%
- 75%
a
- La dihydrotestostérone
- La testostérone
a
- Début brusque
- Virilisation (Hirsutisme, clitoromégalie, voix grave, alopécie androgyne, changements corporels tels diminution du volume des seins et augmentation de la masse musculaire)
Vers un diagnostic de tumeur ovarienne ou surrénalienne
- Hyperandrogénisme clinique ou biochimique
- Oligo-aménorrhée/infertilité
- Ovaires polykystiques à l’échographie
- Ovaires polykystiques à l’échographie (20% des femmes N en auront, d'où le fait que le Dx ne se fait pas qu'avec cette technique d'imagerie)
- SM/Obésité (50% des femmes avec SOPK) +/- résistance à l'insuline
- Acanthosis nigricans
L’échographie
- Hyperinsulinémie
- Diminution de la production de SHBG au foie
- Augmentation de la concentration sérique d’androgènes
- Hyperplasie endométriale
- Une plus grande concentration sérique de LH que de FSH
- Hypertriglycéridémie
- Baisse des HDL
- Hypertension artérielle
- Syndrome métabolique
- Stéatose hépatique
- Télarche (70%)
- Pubarche (30%)
- 1 mois
- 3 mois
- 6 mois
c
- 10,8 ans
- 12 ans
- 12,8 ans
- 14 ans
c
- 1 à 1,5 ans
- 2 à 2,5 ans
- 3 à 3,5 ans
b
- P1 : absence de pilosité
- P2 : quelques poils longs sur le pubis
- P3 : pilosité pubienne au-dessus de la symphyse
- P4 : pilosité pubienne fournie
- P5 : la pilosité s’étend à la racine de la cuisse et s’allonge vers l’ombilic chez le garçon
- S1 : absence de développement mammaire
- S2 : petit bourgeon mammaire avec élargissement de l’aréole
- S3 : La glande mammaire dépasse la surface de l’aréole
- S4 : développement maximum du sein -> saillie de l’aréole et du mamelon sur la glande
- S5 : Aspect adulte
- 3 à 6 mois
- 6 à 12 mois
- 12 à 18 mois
b
- 50%
- 60%
- 75%
a
- La FSH
- La LH
a
- Vrai
- Faux
b
- Syndrome de Cushing
- Hyperplasie congénitale des surrénales forme non-classique
- Contraceptifs oraux
- Testostérone
- Antiandrogènes
- Spironolactone
- Épilation
b
- Vrai
- Faux
a
- 3 mois
- 6 mois
- 9 mois
b
- Diminution de la libido et de la force musculaire
- Diminution graduelle de la concentration totale de testostérone après l’âge de 50 ans
- Diminution de la réponse des cellules de Leydig à l’hCG
- Gynécomastie et diminution du volume testiculaire
- La testostérone est indiquée dans cette condition
e
- Crâniopharyngiome
- La prise de stéroïdes gonadiques
- Radiotx hypophysaire
- Syndrome de Kallman
- Un traumatisme testiculaire ancien
e
- Il s’agit d’un hygogonadisme hypogonadotrope
- L’olfaction est souvent affectée
- Les personnes atteintes peuvent présenter des anomalies morphologiques
- La transmission peut être liée à l’X
- Le volume testiculaire augmente sous l’injection de testostérone
e
- S’accompagne d’un hypogonadisme
- Ne s’accompagne pas de galactorrhée
- 25% des adolescents vont présenter une gynécomastie
- La gynécomastie pubertaire est spontanément résolutive au stade Tanner 2
- Elle est liée à une augmentation relative des taux de testostérone comparée aux estrogènes.
b
- Environ 16 ml
- Environ 18,6 ml
- Environ 21,3 ml
b
- Vaginale
- Albuginée
- Vasculaire
- 12e semaine
- 20e semaine
- 28e semaine
a
Début de la descente: 12e sem (abdomen --> anneau inguinal). Ensuite, mi-gestation: 20e sem (anneau --> canal inguinal).
Puis, vers les 12 dernières sem (canal inguinal --> scrotum).Un phénomène qui désigne l’absence de la descente d’un ou des deux testicules dans le scrotum.
- Les cellules germinales
- Les cellules de Sertoli
- Les cellules de Leydig
- Vrai
- Faux
b
Les spermatozoïdes ne sont pas des hormones.
- La testostérone
- La DHT
- L’estradiol
- La déhydroépiandrostérone
- L’androstènedione
- La testostérone
- La DHT
- L’estradiol
- La déhydroépiandrostérone
- L’androstènedione
a
- La testostérone
- La DHT
- L'estradiol
- La HAM
- L’androgen binding protein
- L’inhibine
Dans les tubules séminifères.
La DHEA-S.
- Des testicules
- De la périphérie
- Des glandes surrénales
a
- Des testicules
- De la périphérie
- Des glandes surrénales
b
- Des testicules
- De la périphérie
- Des glandes surrénales
c
- 2%
- 16%
- 44%
- 50%
- 54%
a
- La SHBG
- L'albumine
- Vrai
- Faux
b
La testostérone se lie majoritairement à la SHBG (60%) pour le transport à travers l'organisme (versus 38% pour l'albumine).
La 5α-réductase.
- Des récepteurs différents
- Les mêmes récepteurs
b
- La DHT
- La testostérone
b
- La DHT
- La testostérone
b
- La DHT
- La testostérone
b
- La DHT
- La testostérone
a
- Direct
- Indirect
a
- Direct
- Indirect
b
- La DHT
- La testostérone
b
Lors de la fécondation.
Le « SRY ».
L'hormone anti-müllerienne (AMH)
- 9e semaine
- 8e-10e semaine
- 10e semaine
b
- 9e semaine
- 8e-10e semaine
- 10e semaine
a
- 9e semaine
- 8e-10e semaine
- 10e semaine
c
- Pénis
- Corps du pénis + urètre
- Scrotum
a
- Pénis
- Corps du pénis + urètre
- Scrotum
c
- Pénis
- Corps du pénis + urètre
- Scrotum
b
La hCG placentaire.
Les hormones de l’axe gonadotrope (FSH, LH).
- La DHT
- La testostérone
a
- Oui
- Non
b
Au niveau de la prostate, du sinus urogénital et des organes génitaux externes.
- Hyperplasie congénitale des surrénales
- Anomalies de synthèse ou d’action de la testostérone
- Insensibilité aux androgènes
- Déficit en 5α-réductase
- Anomalies de la synthèse du cholestérol
- La LH
- La FSH
a
Augmentation du volume testiculaire.
- Rare
- Fréquente
b
- Au stade 1
- Au stade 2
- Au stade 3
- Au stade 4
d
- 10-11 ans
- 11,5-12 ans
- 12-13 ans
- 12,5-14 ans
b
Le tissu glandulaire mammaire.
Les estrogènes et les androgènes.
- 2-3 semaines
- 1-2 mois
- 2-6 mois
a
- Oui
- Non
a
- 12 ans
- 13 ans
- 14 ans
c
Elle peut être unilatérale ou bilatérale.
Une gynécomastie sévère (>4cm) qui persiste, souvent associée à une endocrinopathie.
- Marijuana
- Héroïne
- Vrai
- Faux
b
La gynécomastie liée à l'âge est plutôt secondaire à une production déficiente en testostérone.
La diminution d’une des deux principales fonctions du testicule (spermatogenèse, production de testostérone).
- Infertilité
- Ostéoporose
- Gynécomastie
- Répercussions psychologiques
- Absence ou stagnation pubertaire
- Gynécomastie, anosmie
- Diminution de la vélocité de croissance (Sauf Klinefelter)
- Diminution de la DMO
- Infertilité, diminution libido et érection
- Petits testicules
- Gynécomastie
- Ostéoporose
- Diminution masse musculaire
- Hyperprolactinémie
- Hypothyroïdie
- Syndrome de Cushing
- Syndrome de Klinefelter
- Anorexie ou obésité sévère
d
- Hypogonadisme hypogonadotrope
- Hypogonadisme hypergonadotrope
a
- Hypogonadisme hypogonadotrope
- Hypogonadisme hypergonadotrope
b
- Syndrome de Kallmann
- Syndrome de Klinefelter
a
- Syndrome de Kallmann
- Syndrome de Klinefelter
b
- Syndrome de Kallmann
- Syndrome de Klinefelter
a
- Radiographie du crâne
- IRM hypothalamo-hypophysaire
- Échographie testiculaire
b
- KAL1
- KAL2
47-XXY.
- Vrai
- Faux
a
D'ailleurs, les symptômes sont très souvent peu présents ou révélateurs durant l'enfance.
- Petits testicules
- Gynécomastie
- Grande taille et anomalies des segments corporels
- Anosmie
- Faible pilosité faciale et thoracique
d
- Vrai
- Faux
a
- Cryptorchidie
- Dysgénésie
- Traumatisme
- Les tumeurs des cellules germinales
- Les tumeurs des cellules de Leydig
- Séminome
- Tumeur des C embryonnaires
- Tératome
- Choriocarcinome
a
- Vrai
- Faux
b
- Bêta-HCG
- α-foeto-protéine
- Augmentation indolore du volume testiculaire
- Histoire de traumatisme testiculaire
- Puberté précoce
- Masse testiculaire tendre
- Douleur ou sensibilité testiculaire
c
- Bénigne
- Maligne
a
- Foie
- Poumons
- Os
- Testostérone
- Estrogène
- 40 ans
- 50 ans
- 60 ans
- 70 ans
b
- Élevée
- Basse
a
- Cholestase intra-hépatique
- Carcinome hépato-cellulaire
- Fermeture prématurée des épiphyses
- Rétention hydrosodée
- Érythrocytose
- Gynécomastie
- Priapisme
- Acné
- Agressivité
- Atrophie testiculaire
- Oligospermie
- Oui
- Non
b
- Insulinothérapie intensive (4 injections/jour)
- Débuter Glucophage et une injection d’insuline au coucher
- Débuter médication de Glucophage et Sulfonylurée
- Encourager le patient à adopter de bonnes habitudes de vie dans la but de perdre du poids
- B et D
- C et D
f
- 1x/jour
- 2-3x / sem
- Quand je pense à le faire
- Le nombre de mesures dépend du traitement
d
L’insuline
- Vrai
- Faux
a
Le glucagon
La somatostatine
- Vrai
- Faux
b
- Elle diminue la glycémie en inhibant la sécrétion de glucagon
- Elle augmente la glycémie en inhibant la sécrétion d’insuline
La somatostatine
- Synthèse de la pro-insuline dans le réticulum endoplasmique
- Transport de la pro-insuline vers l’appareil de Golgi
- Transformation de la pro-insuline en insuline par le clivage du peptide-C dans l’appareil de Golgi
- Formation de granules de sécrétion
- Transport des granules de sécrétion vers la membrane cellulaire
- Libération de l’insuline par exocytose
- Érosion de la vésicule
- Fusion de la vésicule avec la membrane plasmique
- Vrai
- Faux
b
- Augmentation du ratio ATP/ADP en présence de glucose
- Fermeture des canaux K+/ATP dépendant (dépolarisation cellulaire)
- Ouverture des canaux Ca 2+ potentiel dépendant (influx de Ca 2+ intracellulaire)
- Synthèse du préproglucagon
- Transformation du préproglucagon en glucagon, en GLP-1 ou en GLP-2
La formation des différentes hormones (GLP-1, GLP-2 et glucagon) dépend des enzymes qui sont présentes dans l’environnement. Les différentes enzymes ne clivent pas le préproglucagon aux mêmes endroits.
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
a
C’est la concentration d’insuline entre les repas qui permet de maintenir les niveaux insuliniques nécessaires à une bonne homéostasie du glucose.
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
a
50%
5 à 7 minutes
Il s’agit d’une protéine hydrosoluble qui serait détruite par les protéases au niveau de l'estomac.
- 34
- 48
- 51
- 67
c
Chaîne A et chaîne B
Récepteurs tyrosine-kinase
Les protéines du transport du glucose (GLUT-4) se fixent à la membrane cellulaire.
Il est un marqueur de la production endogène d’insuline.
Le patient souffre d’une hypoglycémie factice.
- Vrai
- Faux
b
- Glucose
- Fructose
- Mannose
Le glucose
- Lysine
- Arginine
- Leucine
- Le potassium
- Glucagon
- Agoniste bêta-adrénergique
- ACTH
- Etc.
- Glucagon
- Incrétines
- Le glucagon
- Les glucocorticoïdes
- L’hormone de croissance
- Vrai
- Faux
a
Les cellules L de l’iléon et du côlon
Les cellules K du jéjunum
- Sulfonyrulées
- Métiglinides
- Incrétines
Les récepteurs alpha-2 adrénergiques inhibent la sécrétion d’insuline, mais les récepteurs bêta-2 adrénergiques stimulent la sécrétion d’insuline. Toutefois, l’effet alpha l’emporte sur l’effet bêta.
- L’épinéphrine
- La somatostatine
- Les anti-cholinergiques (atropine)
- Diazoxide
- Hypoglycémie
- Jeûne prolongé
- Exercice important
- Arginine
- Baisse des acides gras libres
- Catécholamines
- Hypoinsulinémie expérimentale
- Hyperglycémie
- Insuline
- Incrétines
- Élévation des acides gras libres
- Somatostatine
- Diminution de la gluconéogenèse
- Augmentation de la glycogénèse
- Diminution de la glycogénolyse
- Augmentation de la lipogenèse
- Diminution de la lipolyse
- Diminution de la cétogenèse
Elle inhibe la lipoprotéine lipase
- Augmentation de l’entrée des acides aminés dans la cellule musculaire
- Augmentation de la protéinogenèse
- Augmentation de la captation du potassium
- Diminution de la phosphorémie
- Vrai
- Faux
a
- Augmentation de la glycogénolyse
- Augmentation de la gluconéogenèse
- Diminution de la glycogénogenèse
- Augmentation de la lipolyse
- Augmentation de la cétogenèse
Augmentation de la protéinolyse
- Les muscles
- Le tissu adipeux
Sous forme de triglycérides
- Le glucagon
- Les catécholamines (récepteurs bêta-2 adrénergiques)
- La GH
- Le cortisol
- Réduisent les capacités d’insulinosécrétion
- Diminuent l’action cellulaire de l’insuline sur le métabolisme du glucose
- Diminution de la captation du glucose
- Diminution de l’utilisation du glucose
- Diminution de l’extraction de l’insuline
- Augmentation de la néoglucogenèse
La glycosurie
7 ans
- Polydipsie
- Polyurie
- Polyphagie
- Perte de poids
- Vision brouillée
- Nausée et vomissement
- Énurésie
- Candidase génitale
- Infections cutanées
- Rétinopathie
- Néphropathie
- Neuropathie
- Glycémie à jeûn > ou égal 7.0 (pas d’apport calorique x au moins 8h)
- Glycémie aléatoire > ou égal 11.1
- Glycémie 2h post-75g glucose > ou égal 11.1
- Hb1Ac > ou égal 6.5%
- GAJ: 6.1 à 6.9
- Glycémie 2h post-75g glucose: 7.8 à 11.0
- Hb1Ac: 6.0 à 6.4%
Durant l’enfance et l’adolescence (< 25 ans)
Durant la vie adulte (> 25 ans)
Type 2
Type 1
Type 2
Type 1
Type 2
Type 1
- Origine immunitaire
- Origine idiopathique
- Anticorps anti-glutamate décarboxylase (GAD65)
- Anticorps des îlots de Langerhans (ICA)
- Anticorps contre l’insuline (IAA)
Anticorps anti-glutamate décarboxylase (GAD65)
- Anticorps des îlots de Langerhans (ICA)
- Anticorps contre l’insuline (IAA)
- Prédisposition génétique
- Insulinite
- Destruction des cellules bêta
- Pré-diabète
- Diabète
À l’étape de l’insulinite où les cellules bêta sont graduellement détruites
- Diminution de la captation du glucose
- Diminution de l’utilisation du glucose
- Diminution de la captation du glucose
- Lipolyse
- Augmentation de la production de glucose
- Augmentation de la synthèse des VLDL
Type 2
- Foie
- Pancréas
- Muscles
- Compartiments cardiaques
2 fois
Augmente
- Amérindiens Pima
- Nauruans
- Mexicains-Américains
- Indiens
- Obésité
- Sédentarité
- Pancréatite
- Pancréatectomie
- Néoplasie
- Fibrose kystique
- Hémochromatose
- Glucocorticoïdes (cortisol)
- Hormones thyroïdiennes
- Agoniste bêta-adrénergique (catécholamines)
- Diurétiques thiazidiques
- Diazoxide
- Syndrome de Cushing
- Phéochromocytome
- Hyperthyroïdie
- Acromégalie
- Aldostéronome
- Syndrome des ovaires polykystiques
- Somatostatinome
- Glucagonome
- Syndrome de Down
- Syndrome de Klinefelter
- Syndrome de Turner
- Syndrome de Wolfman
- Chorée de Huntington
- Dystrophie myotonique
- Porphyrie
- Augmentation de risque de maladies cardiovasculaires
- Augmentation du risque de progression vers le diabète de type 2
- Modifications du mode de vie
- Perte de poids d’au moins 5%
- Faire de l’activité physique
Elle est le reflet dynamique de concentration de glucose sérique des 2-3 derniers mois.
Lorsque la survie des globules rouges est altérée.
Le diabète de type 1
Le diabète de type 2
- Polyurie/Nycturie
- Polydipsie et vision embrouillée
- Perte de poids et polyphagie
- Étourdissement/Déshydratation
- Faiblesse et fatigue
- Paresthésie des extrémités
- No/vo, altération état de conscience
- Polyurie/Nycturie
- Polydipsie et vision embrouillée
- Étourdissement/Déshydratation
- Infection fongique/urinaires
- Infection cutanées chroniques
- Acanthosis nigricans
L’hyperglycémie due au diabète de type 2 s’installe progressivement est reste asymptomatique durant plusieurs années ce qui permet le développement des complications.
Tous les 3 ans
Lorsque le risque est très élevé dû à la présence de plusieurs facteurs de risque
La glycémie à jeun ou le taux d’HbA1c
Diabète de type 1
Diabète de type 2
- Nausées et vomissements
- Douleur abdominale
- Déshydratation
- Hyperventilation
- Haleine fruitée
- Respiration de Kussmaul
- Léthargie
- Hypotension
- Tachycardie
- Polyurie
- Polydipsie
- Nycturie
- Déshydratation
- Léthargie
- Convulsion
- Coma
- Hypotension
- Tachycardie
- Déficit neurologique focal
L’état hyperosmolaire
L’acidocétose diabétique
L’état hyperosmolaire
- L’état hyperosmolaire
- L’acidocétose diabétique
- L’état hyperosmolaire
- L’état hyperosmolaire
- Acidocétose diabétique
- Diabète de novo
- Absence de compliance au traitement
- Traitement inadéquat
- Maladies aiguës (infection, AVC, IDM, pancréatite aiguë, etc.)
- Effets secondaires de certains médicaments
- Diabète de novo
- Mauvaise compliance au traitement
- Traitement inadéquat
- Maladies aiguës (infection, AVC, IDM, pancréatite aiguë, embolie pulmonaire, etc.)
- Maladies endocriniennes (ex : Cushing)
- Effets secondaires de certains médicaments
- Hydratation IV
- Réplétion en potassium
- Insuline IV
- Traitement du facteur précipitant s’il y a lieu
- Surveillance des signes vitaux
- Faire un bilan ionique sérique
Glycémie < 3,9 mmol/L
- Variations de la glycémie plus importante qu’une glycémie contrôlée
- Disparition des symptômes adrénergiques si hypoglycémies fréquentes et/ou sévères
- Pas de reconnaissance de l’hypoglycémie
- Risque d’hypoglycémies sévères
- Tremblements
- Palpitations
- Transpiration
- Anxiété
- Faim
- Nausées
- Difficultés de concentration
- Confusion
- Faiblesse
- Somnolence
- Altération de la vision
- Difficulté d’élocution
- Étourdissements
- Doses excessives d’insuline ou d’hypoglycémiants oraux
- Manque d’apports
- Perte de poids
- Activité physique
- Insuffisance rénale (diminution de la clairance des médicaments)
- Consommation d’alcool
- Insuffisance surrénalienne
- Malabsorption
- Insuffisance hépatique
- 15 à 20g de glucides aux 10 à 15 minutes jusqu’à ce que la glycémie soit supérieure à 4,0 mmol/L si la personne est capable de s’alimenter
- Glucagon 1 mg intramusculaire si la personne est inconsciente
- La rétinopathie diabétique
- Non proliférative (légère à très sévère)
- Proliférative
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
- Un diabète de longue durée
- Hyperglycémie mal contrôlée
- Hypertension artérielle
- Néphropathie diabétique
- Dyslipidémie
- Grossesse (Surtout pour diabète type 1)
- Microanévrysmes
- Hémorragies intra-rétiniennes
- Zones d’infarctus rétinien
Néovascularisation
- Hémorragies du vitrée
- Détachement de la rétine (perte de la vision)
- Photocoagulation panrétinienne ou focale au laser pour éliminer les nouveaux vaisseaux
- Injection intra-vitréenne d’un inhibiteur du facteur de croissance
Suivi par ophtalmologie/optométriste annuellement:
- Db de type 2: Dès le Dx;
- Db type 1: 5 ans après Dx et âge de > 15 ans
+ Contrôle optimal de la glycémie et de la TA.
- Polyneuropathie distale symétrique
- Neuropathie autonome
- Mononeuropathie des membres inférieurs et supérieurs
- Mononeuropathie multiplex
- Plexopathie
- Polyneuropathie diffuse
- Mononeuropathie des nerfs crâniens
- Hyperglycémie
- Obésité
- Hypertriglycéridémie
- Tabagisme
- Hypertension artérielle
Les mains et les pieds (plus souvent).
La polyneuropathie distale symétrique
- Douleur
- Perte de sensibilité à la chaleur et à la vibration
- Diminution de la proprioception
- Diminution ou perte du réflexe achilléen
- Callosité
- Ulcération des zones de pression
- Cellulite
- Arthrite septique
- Ostéomyélite
- Arthropathie de Charcot
- Amputation
- Douleur invalidante
- Monofilament 10 g de Semmes-Weinstein
- Test de pallesthésie avec le diapason de 128 Hz
- Génito-urinaire
- Gastro-intestinal
- Cardiovasculaire
- Glandes sudoripares
- Dysfonction érectile
- Dysfonction vésicale
- Gastroparésie
- Constipation
- Diarrhée
- Incontinence
- Hypotension orthostatique
- Tachycardie au repos
Anhidrose distale avec hyperhidrose centrale
- Nerfs crâniens III, IV et VI
- Nerfs périphériques (ulnaire, médian et fibulaire)
- Multiplex (atteintes de plusieurs nerfs)
- Diabète de longue date
- Hyperglycémie chronique
- Hypertension artérielle
- Sexe masculin
- Obésité
- Tabagisme
- Ratio albumine/créatinine urinaire sur miction
- Créatinine sérique pour évaluer le DFG
- Db type 1: Annuellement, 5 ans après le Dx
- Db type 2: Annuellement, dès le Dx
- Activité physique majeure
- Infection urinaire
- Maladie fébrile
- Insuffisance cardiaque décompensée
- Menstruations
- Augmentation de la glycémie
- Augmentation de la tension artérielle
- Albuminurie persistante
- Sédiment urinaire inactif
- Évolution lente
- Faible DFGe associé à une protéinurie
- Présence des autres complications du diabète
- Patient souffrant de diabète depuis plus de 5 ans
- Contrôle des facteurs de risque
- IECA/ARA
- Maladie coronarienne athérosclérotique (augmente le risque de souffrir d’un IDM)
- Maladie vasculaire périphérique (augmente le risque de souffrir d’un AVC et/ou d’insuffisance artérielle)
4 à 7 mmol/L.
5 à 10 mmol/L.
5 à 8 mmol/L.
Inférieure ou égale à 7%.
Inférieure ou égale à 6,5%.
Entre 7,1 et 8,5%.
Le traitement intensif (au moins 3 injections d’insuline/jour ou pompe à insuline).
2 à 3 fois plus d’hypoglycémies graves.
De 1 à 2%.
45-60%.
15-20%.
20-35%.
7%.
Les glucides à faible index glycémique.
Les gras trans.
150 minutes par semaine.
Les sécrétagogues, surtout les sulfonylurées (glyburide).
Pas vraiment.
Diminution de l’absorption intestinale de glucose.
À la classe des biguanides.
Oui, ils inhibent la néoglucogenèse hépatique.
Les biguanides.
Les biguanides, plus précisément la metformine.
Insuffisance rénale, insuffisance hépatique, insuffisance cardiaque.
Les sulfonylurées et les méglitinides.
Elles augmentent la sécrétion endogène d’insuline en stimulant les récepteurs des cellules bêta des îlots de Langerhans.
Elles entraînent des hypoglycémies secondaires (surtout le glyburide).
Inhibiteurs de la DPP-4 et agonistes des récepteurs GLP-1.
Non, ce sont les agonistes GLP-1 qui ont cet effet.
Non.
Oui, si elle est avancée.
Ils inhibent le co-transporteur de sodium et glucose au niveau du tuble proximal et augmentent donc l’excrétion rénale de glucose.
Les inhibteurs du SGLT-2.
Positif, ils diminuent la mortalité cardiovasculaire.
Ils diminuent la résistance à l’insuline périphérique via le récepteur PPAR-gamma.
Non.
Non, un gain de poids.
Les thiazolidinédiones.
Les insulines prandiales (bolus).
Des injections quotidiennes multiples d’insuline ou la perfusion sous-cutanée continue d’insuline.
De l’insuline à action rapide.
Inférieur ou égal à 2,0 mmol/L.
Inférieur à 130/80 mmHg.
IECA/ARA, statine, aspirine.
Un ECG au repos.
Non, seulement s’il y a des symptômes cardiaques, des maladies cardiovasculaires associées ou des anomalies de l’ECG au repos.
Aux 3 à 6 mois.
Un indice permettant d’estimer le pourcentage de tissus graisseux corporel.
Dx: Obésité abdominale + 2 critères
- Obésité abdominale: TT > 102cm (H)/88cm (F)
ET
- TG > 1.7mmol/L
- HDL < ou = 1.03 (H)/1.3 (F)
- HTA: TAS > ou = 130, TAD > ou = 85mmHg ou Tx HTA
- GAJ > 5.6 mmol/L
Une intolérance au glucose qui se manifeste ou qui est dépistée pour la première fois pendant la grossesse.
Le 3e.
4000 grammes.
Hypoglycémie postnatale.
Augmentation des risques de césarienne, d’accouchement difficile et d’avortement spontané, polyhydramnios.
Vers la 24e-28e semaine.
- GAJ: 3.8 à 5.2
- Glycémie 1h postprandial: 5.5 à 7.7
- Glycémie 2h postprandial 5.0 à 6.6
- HB1Ac < 6.0%
Hyperglycémie orale provoquée avec 50g de glucose.
Bourgeons endodermiques dorsaux des 3e et 4 e fentes branchiales.
- Vrai
- Faux
a
La thyroïde.
- Cellules principales (en plus grand nombre, sécrètent PTH)
- Cellules oxyphiles (sécrètent PTH)
- Vrai
- Faux
a
Protéine G.
Elle est la portion biologiquement active de la PTH.
- ↑ résorption de calcium et phosphore de l’os.
- ↑ réabsorption de calcium au tubule rénal distal.
- ↑ phosphaturie
- ↑ conversion VitD en sa forme active (stimule 1alphaHydroxylase).
- La PTH agit en augmentant la réabsorption du calcium a/n du tubule distal.
- La PTH augmente indirectement l'absorption intestinale de Ca.
- Par son action sur le tubule proximal, la PTH diminue la phosphaturie.
- La PTH augmente la résorption osseuse
c
Elle augmente l’activité ostéoclastique et stimule la transformation des ostéoblastes en ostéoclastes.
Il lie les RANK-L pour prévenir l’activation excessive des ostéoclastes et est ainsi un facteur de protection contre la résorption osseuse.
Le tubule distal.
- Translocation des canaux calciques
- Stimulation de la pompe Ca2+/ATPase basolatérale
- Augmentation de la PTH
- Augmentation de la vitamine D active
- ↑ réabsorption de calcium au niveau rénal
- ↓ réabsorption de phosphore au niveau rénal
- Stimulation de l’activation de la vitamine D en sa forme active
- ↑ résorption du calcium et du phosphore de l’os
Augmentation de l’absorption intestinale de calcium et de phosphore.
- Diminution de la PTH
- Diminution de la vitamine D active
- ↓ réabsorption de calcium au niveau rénal
- ↑ réabsorption de phosphore au niveau rénal
- Pas de stimulation de l’activation de la vitamine D en sa forme active
- ↓ résorption du calcium et du phosphore de l’os
Diminution de l’absorption intestinale de calcium et de phosphore.
- ↑ PTH
- ↓ Phosphaturie
- ↓ Calciurie
- ↑ 1,25(OH)2VitD
b
- ↓ PTH
- ↓ Phosphaturie
- ↑ Calciurie
- ↑ 1,25(OH)2VitD
d
- Vrai
- Faux
a
D'ailleurs, la 1,25(OH)2VitD stimule aussi la 1alphaHydroxylase lorsqu'en faible quantité dans l'organisme alors que la PTH la stimule en lorsqu'en haute quantité.
- Vrai
- Faux
a
Autrement dit, tout ce qui est vitamine D2 ou D3 va être converti par l'enzyme 25-hydroxylase sans besoin d'influence hormonale pour en promouvoir ou en inhiber la réaction.
- Calcium ionisé (plus grande influence)
- Phosphore
- Magnésium
- Vitamine D active
Diminue.
C’est un senseur continu de la concentration sérique de calcium ionisé au niveau des parathyroïdes qui permet de moduler la sécrétion de PTH.
- Parathyroïdes
- Reins
- Vrai
- Faux
b
Le transport est principalement assuré par la VitD binding protein (85%) qui possède une affinité élevée pour le 25(OH)VitD et qui constitue par le fait même un réservoir. Albumine = 15%.
- Vrai
- Faux
b
La 25OHVitD est le reflet des réserves.
- Augmentation de l’absorption intestinale de calcium
- Augmentation de l’absorption intestinale de phosphore
- Augmentation de l’activité ostéoclastique
- Augmentation de la résorption osseuse de calcium et de phosphore
Un peptide de 32 acides aminés sécrété par les cellules parafolliculaires de la glande thyroïde.
Le calcium.
- Inhibition de l’activité ostéoclastique
- Traitement des hypercalcémies sévères
- Ancien traitement de l’ostéoporose
Ergocalciférol ou vitamine D2.
Cholécalciférol ou vitamine D3.
Le foie.
25-hydroxlation.
Les reins.
- Vrai
- Faux
b
- 1,25 (OH)2 vitamine D
- Calcium
- Phosphore
La PTH
Puisque toute la vitamine D provenant de l’alimentation et de la photosynthèse est convertie en 25-OH vitamine D.
Par la Vitamin D binding globulin.
Les os.
- Coagulation sanguine
- Excitation des membranes nerveuses et musculaires
- Maintient du squelette
45%
- Albumine (majoritairement)
- Anions (phosphates et citrates)
Sachant que Calcium total = Calcium lié + Calcium ionisé (actif) et que le calcium lié est majoritairement transporté par l’albumine, nous comprenons alors qu’un état d’hypoalbuminémie (ex: dénutrition, maladie hépatique, syndrome nephrotique, etc.) peut venir fausser la valeur de calcium total. Par exemple, cela peut nous donner l'impression que le patient est en hypocalcémie alors qu'il ne l'est pas en réalité.
- 1 à 3 ans : 700 mg/jour
- 4 à 8 ans : 1000 mg/jour
- 9 à 18 ans : 1300 mg/jour
- 19 à 50 ans : 1000 mg/jour
- 51 ans et plus : 1200 mg/jour
- Naissance à 1 an : 400 U die
- 1 à 18 ans : 600 U die
- 18 à 70 ans : 600 U die
- 71 ans et plus : 800 U die
- Tétanie (bouche, mains et pieds)
- Convulsions
- Signe de Trousseau
- Signe de Chvostek
TA systolique plus grande que 20 mm Hg au brassard durant 3 minutes.
La percussion du nerf facial en antérieur du lobe de l’oreille induit un spasme du visage.
D’ailleurs, il faut savoir que chez environ 10-25% de la population N ont un signe de Chvostek +.
Ainsi, ce signe est surtout utile s’il est négatif en pré-op d’une Chx de la thyroïde en vue d’un suivi (ex: voir s’il développe une hypocalcémie post chirurgie thyroïdienne).Allongement du QTc.
- Dépression
- Psychose
- Léthargie
- Coma
- Faiblesse
- Myopathie proximale
- Hypertonie
- Hypertension artérielle
- Bradycardie
- QTc raccourci
- Lithiases
- Néphrocalcitose
- Diabète insipide néphrogénique
- Déshydratation
- Insuffisance rénale aiguë
- Anorexie
- Nausées et vomissements
- Constipation
- Ulcères peptiques
- Pancréatite
- Vrai
- Faux
b
Ici il s’agit de symptômes « en aiguë » qui peuvent mettre en danger la vie du patient. Ainsi, une réplétion plus rapide des réserves en calcium est indiquée. Le calcium et la vitamine D en supplément sont utiles surtout pour le traitement en ambulatoire/chronique.
- Pseudohypoparathyroïdie
- Déficit en vitamine D
- Anomalies du métabolisme de la vitamine D
- Insuffisance rénale chronique
- Hyperphosphatémie
- Pancréatite aiguë
- Alcalose respiratoire aiguë
- Sepsis ou maladie sévère
- Certains médicaments (agents de chimiothérapie, biphosphonates et agents calcimimétiques)
- Hypoparathyroïdie primaire
- Hypomagnésémie
- Hyperparathyroïdie primaire
- Hypercalcémie hypocalciurie familiale
- Hyperparathyroïdie tertiaire
- Hypercalcémie paranéoplasique
- Intoxication à la vitamine D
- Lymphome
- Maladies granulomateuses
- Hyperthyroïdie
- Maladie de Paget
- Immobilisation
- Pseudohypercalcémie
- Certains médicaments (lithium et diurétiques thiazidiques)
- Déficit en vitamine D
- Anomalies du métabolisme de la vitamine D
- Insuffisance rénale chronique
- Hypoparathyroïdie
- Pseudohypoparathyroïdie
- Hyperparathyroïdie primaire
- Hypercalcémie paranéoplasique
- Maladies granulomateuses
- Intoxication à la vitamine D
Intoxication à la vitamine D.
- Hyperparathyroïdie primaire
- Prise de calcitriol
- Maladies granulomateuses
- Lymphome
- Calcium total
- Calcium ionisé
- Albumine
- Créatinine
- Magnésium
- Amylase
- Phosphore
- PTH
- 25-OH vitamine D
- 1,25 (OH)2 vitamine D
- Calcium/créatinine urinaire
- Adénome parathyroïdien (80%)
- Hyperplasie primaire des parathyroïdes : MEN 2A et MEN 1 (20%)
- Carcinome des parathyroïdes (1-2%)
Il sera normal ou diminué.
Elle sera augmentée.
Il sera augmenté
- Hyperplasie des parathyroïdes
- Tumeur de l’hypophyse
- Tumeur des cellules îlots pancréatiques
- Carcinome médullaire thyroïdien
- Phéochromocytome
- Hyperparathyroïdie
Une hormone sécrétée par des tumeurs ayant une structure semblable à celle de la PTH qui se lie au même récepteur et qui a des effets similaires à ceux de la PTH.
Elle sera diminuée.
- Osteitis fibrosa cystica
- Ostéoporose
Il y a une mutation au niveau du calcium-sensing receptor ce qui l’empêche de sentir la concentration sérique véritable du calcium.
- Vrai
- Faux
b
- Vrai
- Faux
a
Il y a hypocalciurie puisque les reins perçoivent une calcémie comme N alors qu'elle est élevée (il y a donc réabsorption "comme normal").
Lymphome
- Insuffisance rénale chronique
- Thérapie au lithium à long terme
- Déficience en vitamine D
- Syndromes de malabsorption intestinale
- Malnutrition
- Résistance à la vitamine D
- Hypermagnésémie
- Hypocalcémie
- Hyperphosphatémie
- Carence en vitamine D
- Diminution de la réabsorption de calcium
- Difficulté à transformer la vitamine D en sa forme active, donc diminution de l’absorption intestinale de calcium
- Insuffisance rénale chronique sévère
- Suite à une hyperparathyroïdie secondaire non traitée
- Vrai
- Faux
a
- PTH N/↓
- Ca ↓
- Phosphore ↑
- 1,25(OH)2VitD ↑
d
- Congénital (DiGeorge)
- Post-opératoire (thyroïdectomie)
- Auto-immun (isolé ou associé à l’APS type 1)
- Traitement de radiothérapie au niveau du cou
- Maladies infiltratives
- Fonctionnel (hypomagnésémie)
- Hypoparathyroïdie auto-immune
- Insuffisance surrénalienne
- Candidase mucocutanée
Pseudohypoparathyroïdie.
Pseudohypoparathyroïdie.
- Apports alimentaires insuffisants
- Exposition solaire insuffisante
- Malabsorption intestinale
- ↑ catabolisme hépatique de VitD
- ↓ 25-hydroxylation par le foie (IH)
- ↓ 1-hydroxylation par le rein (rachitisme pseudo-déficient, IR)
- Résistance périphérique à 1,25(OH)2VitD (rachitisme VitD résistant)
- Certains médicaments (anticonvulsivants et rifampin)
- TSH
- Ratio calcium sur créatinine urinaire
- Urée
- Électrolytes
b
- Vrai
- Faux
a
Sachant que dans les hypocalcémies secondaires à des anomalies de la VitD la PTH est augmentée (hyperparathyroïdie secondaire), la réabsorption du phosphore au niveau du tubule proximal est inhibée, donc ↑phosphaturie et ↓ phosphatémie.
Un défaut de minéralisation de la matrice osseuse a/n du cartilage de croissance (donc chez l’enfant) causé par un déficit en calcium ou en phosphore.
- Vrai
- Faux
b
Rachitisme.
Les os longs (Ex: poignets, genoux, jonctions costochondrales).
- Apport nutritionnel déficient en calcium
- Apport nutritionnel insuffisant en vitamine D/Malabsorption
- Anomalie du métabolisme VitD (déficit en 1alphahydroxylase, IRC)
- Anomalie des récepteurs à la vitamineD
- Apport insuffisant
- Diminution réabs tubulaire Pi (rachitisme lié à l’X, hyperphosphaturie induite par une tumeur, tubulopathie)
- Retard de fermeture des fontanelles
- Craniotabes
- Chapelet costal
- Élargissement des épiphyses des os longs
- Incurvation des extrémités
- Retard statural
- Retard développemental
- Retard de l’éruption des dents
- Symptômes d’hypocalcémie si rachitisme hypocalcémique
- Vitamine D si apport nutritionnel insuffisant ou malabsorption
- Calcitriol si anomalie du métabolisme de la vitamine D
- Suppléments de phosphore si hypophosphatémie
- Vrai
- Faux
b
L'ostéommalacie se manifeste lorsque les plaques sont fusionnés (donc lorsque adulte).
Ostéomalacie.
- Vrai
- Faux
b
Il n'y a pas de perte de DMO ni en ostéomalacie, ni en rachitisme.
- Peut être asymptomatique
- Douleurs osseuses diffuses
- Fractures des os longs, des vertèbres et des côtes
- Déformations osseuses progressives
Déficit en calcium ou en phosphore.
Ostéoporose.
Calcium IV si tétanies et/ou convulsions.
- Suppléments de calcium
- Suppléments de vitamine D
- Calcitriol
- Évaluer le niveau d’hydratation
- Réhydratation au besoin
- Furosémide
- Biphosphonates
- Calcitonine synthétique
- Glucocorticoïdes
Inhibition de l’activité ostéoclastique ce qui empêche la résorption osseuse.
Inhibition de l’activité ostéoclastique ce qui empêche la résorption osseuse.
Diminution de l’absorption intestinale de calcium et diminution de la réabsorption rénale de calcium.
- Biphosphonates
- Calcitonine sérique
- Augmentation du calcium total de 0,25 mmol/L ou plus au dessus de la limite normale
- Diminution de la clairance de la créatinine d’au moins 30%
- Densité minérale osseuse diminuée (score T < 2,5)
- Âge de moins de 50 ans
- Suivi difficile