ULaval:MED-1221/Quiz
rétinaculum des fléchisseurs
ligament tibio-calcanéen
ligament tibio-talaire antérieur
ligament acromio-claviculaire
m. tenseur du fascia lata
- olécrane
- foramen styloïde
- processus styloïde de l'ulna
- processus styloïde du radius
- tête du radius
d
- nerf ulnaire
- nerf musculocutané
- nerf radial
- faisceau médial du plexus brachial
- nerf médian
- processus conoïde
- acromion
- olécrane
- processus coronoïde
- incisure trochléaire
d
- Système squelettique
- Système musculaire
- Système nerveux
- Système vasculaire
- Vrai
- Faux
b
Squelette appendiculaire
Sutures
- Vrai
- Faux
a
Synchondrose
Faux
Synarthroses: Les os sont unis par un tissu conjonctif solide et spécialisé qui peut être fibreux ou cartilagineux.
Diarthroses: Les extrémités osseuses sont recouvertes d’un cartilage; elles sont unies par une enveloppe de collagène(capsule articulaire) qui délimite une cavité contenant du liquide synovial d'où l'appellation d'articulations synoviales.Vrai
- Vrai
- Faux
b
Les nerfs crâniens, de même que les nerfs spinaux, sont compris dans le système nerveux périphérique.
- Vrai
- Faux
b
La racine ventrale est motrice
- CERVICAUX (C)
- THORACIQUES (T)
- LOMBAIRES (L)
- SACRÉS (S)
- COCCYGIENS
- 8 CERVICAUX (C)
- 12 THORACIQUES (T)
- 5 LOMBAIRES (L)
- 5 SACRÉS (S)
- 1 COCCYGIENS
- Vrai
- Faux
a
Rameaux ventraux
Scapula
Processus coracoïde
- Vrai
- Faux
b
Le col anatomique est proximal alors que le col chirurgical est distal
- Scaphoïde
- Lunatum
- Triquetrum
- Pisiforme
- Trapèze
- Trapézoïde
- Capitatum
- Hamatum
Le tiers proximal
- Vrai
- Faux
a
Protraction
- Ligament acromio-claviculaire
- Ligament conoïde
- Ligament trapèzoïde
- Vrai
- Faux
b
La postérieure est rare
Huméro-ulnaire
Radio-ulnaire proximale
Membrane interosseuse
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
a
Articulation trapèzo-métacarpienne
2
Veine céphalique
- Supra-épineux
- Infra-épineux
- Subscapulaire
- Petit rond
Subscapulaire
Subscapulaire
Dentelé antérieur
- Long chef
- Court chef
Chef long
Épicondyle médial
Épicondyle médial
Épicondyle latéral
- long abducteur et court extenseur du pouce d’un côté
- long extenseur du pouce de l’autre côté
- Long abducteur du pouce
- Court extenseur du pouce
C5-T1
- entre la clavicule et la 1ère côte
- passage sous le processus coracoïde et le muscle petit pectoral
- nerf musculo-cutané (C5-C7)
- nerf médian (C5-T1)
- nerf ulnaire (C8-T1)
- nerf axillaire (C5-C6)
- nerf radial (C5-T1)
Musculo-cutané
Rétinaculum des fléchisseurs
- Passage dans la gouttière du nerf ulnaire au coude
- Passage près du pisiforme
Nerf ulnaire
Nerf axillaire
Nerf axillaire
Nerf radial
- Vrai
- Faux
a
- Convexité postérieure
- Concavité postérieure
a
- Anneau fibreux (anulus fibrosus)
- Noyau (nucleus pulposus)
- Plaque cartilagineuse (vertebral endplate)
- symphyse et synchondrose
- syndesmose et suture
- syndesmose et synchondrose
- synarthrose et diarthrose
- trochléenne et sphéroïde
a
- Synoviale plane
- Synoviale condylienne
- Synchondrose
- Symdesmose
a
Artère vertébrale
- C1
- C2
- C3
- C4
b
- Occipito-atloïdiennes (C0-C1)
- Atlanto-axoïdiennes (C1-C2)
a
- Articulations occipito-atloïdiennes (C0-C1)
- Articulations atlanto-axoïdiennes (C1-C2)
b
Ligaments occipito-odontoïdiens latéraux (alar)
Ligament cruciforme (partie transverse)
- 1
- 2
- 3
- 7
d
- Articulation de la côte avec le corps vertébral
- Articulation costotransversaire
- Articulation costo-chondrale
- Articulation chondro-sternale
c
- Nerf d'Harrold
- Nerf d'Arnold
- Nerf de Paul
- Nerf d'Interpol
b
- Artère fessière
- Artère saphène
- Artère fémorale profonde
- Artère circonflexe médiale fémorale
d
- Plane
- Condylienne
- Synchondrose
- En selle
d
Un os sésamoïde est un os formé par la calcification d'un autre tissu et qui se trouve dans une articulation ou dans un tendon, ce qui est le cas de la patella.
- Ligament croisé antérieur
- Ménisque médial
- Ligament collatéral tibial
- Talo-fibulaire postérieur
- Talo-fibulaire antérieur
- Calcanéo-fibulaire
- Sartorius
- Gracile
- Semi-tendineux
- Vrai
- Faux
a
- Cutané latéral de la cuisse
- Fémoral
- Obturateur
- Nerf sciatique
- Cutané latéral de la cuisse (L2-L3)
- Fémoral (L2-L4)
- Obturateur (L2-L4)
- Nerf sciatique (L4-S3)
- Fibulaire commun
- Tibial
b
- Fibulaire superficiel
- Fibulaire profond
- Tibial
b
- Artère tibiale postérieure
- Artère tibiale antérieure
a
Dentelé antérieur
Faux
Dislocation de la tête radiale qui sort du ligament annulaire, ce dernier se coinçant entre le radius et l'humérus. Typique lorsqu'on soulève un petit enfant (moins de 5 ans) par le bras.
Scaphoïde
- Scaphoïde
- Lunatum
- Triquetrum
- Pisiforme
- Hamatum
- Capitatum
- Trapèzoïde
- Trapèze
Mnémotechnique: face palmaire vers vous, débutez par la rangée du bas et partez du pouce en traçant un cercle (oval) en sens horaire qui revient jusqu'au pouce: So Long The Pinky, Here Comes The Thumb
- N. Musculo-cutané
- N. Médian
- N.Ulnaire
- N. Axillaire
- N. Radial
- N. Musculo-cutané C5-C7
- N. Médian C5-T1
- N. Ulnaire C8-T1
- N. Axillaire C5-C6
- N .Radial C5-T1
« Golfer’s elbow » = Épicondylite médiale (Épitrochléite) « Tennis elbow » = Épicondylite latérale
Nerf médian
Nerf axillaire
- Scaphoïde
- Lunatum
- Triquetrum
- Pisiforme
- Supra-scapulaire
- Sous-scapulaire
- Axillaire
- Circonflexe de la scapula
c
- Théorie intrinsèque
- Théorie extrinsèque
b
Âge et compromis vasculaire
L'arc douloureux est un signe d’abutement sous-acromial. C'est l’abduction active entre 70° et 120° qui provoque de la douleur.
- Supra-épineux
- Infra-épineux
- Subscapulaire
- Trapèze supérieur
c
- Non visibilité du labrum
- Forme recourbée de l'acromion
- Sclérose de l'acromion
- Sclérose de la grosse tubérosité
a
- Vrai
- Faux
b
La physiothérapie est fortement recommandée pour renforcir la musculature de l'épaule.
La ________ portion s’insère sur la coracoïde et elle est plus rarement impliquée dans un processus pathologique.
La ________ portion remonte dans la gouttière bicipitale de l’humérus pour ensuite tourner et se diriger vers le rebord supérieur de la glénoïde.Le biceps, dans sa partie proximale, est composé de 2 tendons. La courte portion s’insère sur la coracoïde et elle est plus rarement impliquée dans un processus pathologique. La longue portion remonte dans la gouttière bicipitale de l’humérus pour ensuite tourner et se diriger vers le rebord supérieur de la glénoïde.
Douleur au niveau du sillon bicipital lorsque le patient tente de faire l’élévation antérieure de l’épaule contre résistance avec le coude en extension et l’avant-bras en supination.
Douleur au niveau de sillon bicipital lorsque le patient tente de faire de la supination active contre résistance de l’avant-bras avec le coude fléchi à 90°.
Déchirure de la coiffe des rotateurs
Phase résorbtive
En phase résorptive, la douleur peut être si intense que les amplitudes articulaires actives et passives peuvent être nettement diminuées, laissant ainsi suspecter une arthrite septique ou une capsulite.
3 stades de Uhthoff:
1) Stade pré-calcification
2) Stade de calcification
a) Phase de formation
b) Phase de repos
c) Phase de résorption
3) Stade post-calcificationDiabète
Phase 1 = phase douloureuse: douleur d’apparition progressive, présente au repos, de façon prédominante la nuit. Les amplitudes articulaires demeurent normales. Durée : 2-9 mois.
Phase 2 = phase adhésive : amplitudes articulaires diminuées de façon importante dans tous les plans, douleur moindre qu'à la phase 1. Durée 3-9 mois.
Phase 3 = phase de résolution : douleur et mouvements s’améliorent sur 12 à 24 mois, limitation permanente du mouvement sera souvent conservée.
Rotation externe
- Vrai
- Faux
a
Court extenseur radial du carpe
- Long palmaire et long fléchisseur du pouce
- Fléchisseur radial du carpe et rond pronateur
- Anconé et supinateur
- Carré pronateur et fléchisseur ulnaire du carpe
b
- Épicondylite interne
- Épicondylite externe
a
- Grade 1: étirement des fibres (Absence d’instabilité)
- Grade 2: déchirure partielle
- Grade 3: déchirure complète (Instabilité importante)
- Vrai
- Faux
a
Bursite sous-acromiale < Tendinite de la coiffe < Tendinose de la coiffe < Déchirure de la coiffe.
- Type 1 : Plat
- Type 2 : Courbé
- Type 3 : En crochet
Type 3
Les signes radiologiques d’une déchirure de la coiffe des rotateurs sont une réduction de l’espace acromio-humérale inférieure à 1cm et une migration supérieure de la tête humérale
Grade 3
À l’inverse, quelqu’un peut s’infliger une entorse de grade 3 sans qu’une luxation soit présente lors de l’évaluation clinique ou radiologique.
- acromio-claviculaire
- sterno-claviculaire
- gléno- humérale
- scapulo-thoracique
- Ligament conoïde
- Ligament trapézoïde
Entorse acromio-claviculaire de haut grade
- Stade 1 : Entorse de grade 1 ou 2 des ligaments acromio-claviculaires (AC), ligaments coraco- claviculaires (CC) normaux, articulation stable et RX normaux.
- Stade 2 : Entorse de grade 3 des ligaments AC, entorse de grade 1 ou 2 des ligaments CC, instabilité horizontale (antéro-postérieure) de l’articulation, RX normaux ou légère subluxation.
- Stade 3 : Entorse de grade 3 des ligaments AC et CC, subluxation ou luxation supérieure de l’articulation (jusqu’à 100% de déplacement).
- Stade 4 : Entorse de grade 3 des ligaments AC et CC, luxation postérieure de l’articulation.
- Stade 5 : Entorse de grade 3 des ligaments AC et CC, luxation supérieure de l’articulation de plus de 100%.
- Stade 6 : Entorse de grade 3 des ligaments AC et CC, luxation inférieure de l’articulation
- 1 et 2: conservateur
- 3: controversé
- 4,5 et 6: chirurgie
- Sterno-claviculaires
- Costo-claviculaires
a
- Luxation antérieure
- Luxation postérieure
b
- Vrai
- Faux
b
Ce sont des stabilisateurs passifs, alors que la longue portion du biceps et les muscles de la coiffe des rotateurs sont des stabilisateurs dynamiques.
- Vrai
- Faux
a
Antérieure = 98% vs Postérieure = 2%
Abduction et rotation externe
- Vraie AP
- Vraie latérale
- Vue axillaire
- Fracture de la grosse tubérosité
- Lésion de Hill-sachs
- Fracture de la glénoide antéro-inférieure
- Fracture du col chirurgical ou anatomique
d
Rotation externe
- Vrai
- Faux
b
La luxation postérieure du coude est de loin la plus fréquente. Elle survient par un mécanisme d’hyperextension, le plus souvent chez un adolescent ou un adulte. Elle est beaucoup plus rare chez l’enfant où le même mécanisme conduit généralement à une fracture sus-condylienne de l’humérus distal.
- Vrai
- Faux
b
La force de flexion du coude diminuera d’environ 30%, alors que sa force de supination de l’avant- bras diminuera de 50%.
- Vrai
- Faux
a
Étant donné que la tête radiale n'est pas ossifiée chez les jeunes enfants, la subluxation n'est pas visible sur la radiographie.
- 1-Scapho-lunaire
- 2-Capito-lunaire
- 3-Luno-triquetral
- 4-Radio-lunaire
Nerf médian
Lorsque vous questionnez la HMA elle vous raconte qu'au départ son épaule faisait très mal, surtout la nuit, sans qu'elle ne sache pourquoi. Avec le temps et des advils, cette douleur a diminué mais elle avait plus de difficulté à bouger son épaule D. Cela commence à l'incommoder dans ses AVQ/ AVD (placer la vaisselle dans les armoires, attacher son soutien gorge, laver ses cheveux, etc.). Elle s'inquiète car elle aime beaucoup faire du yoga, mais ne pratique plus depuis 2 semaines. À l'examen physique, vous notez une diminution des amplitudes articulaires actives et passives au MSD dans tous les mouvements, surtout en rotation externe (20° RE au MSD vs 75° RE au MSG)
À quel diagnostic pensez-vous ?- Syndrome d'accrochage MSD
- Tennis elbow MSD
- Luxation gléno-humérale antérieure D
- Capsulite adhésive phase 3 MSD
- Capsulite adhésive phase 2 MSD
e
La capsulite adhésive est plus fréquente chez la femme entre 40 et 60 ans. L'hyerT4 est une condition qui augmente les chances de développer cette condition, tout comme l'hyperTG, le db (type 1 aug les chances de 40%!), immobilisation prolongée et chx coeur/ poumon/ sein. [importance de faire des prise de sang surtout si pt a ses symptômes <40 ans]
La phase 1 se caractérise surtout par de la douleur présente au repos et pire la nuit. elle dure 2-9 mois.
La phase 2 est la phase de perte d'amplitude articulaire. La fonction du patient diminue. La douleur a diminué mais peut être encore présente. Durée; 3-9 mois
La phase 3 est la résolution; amélioration douleur et AA entre 12 et 24 mois.
Une caractéristique de la capsulite est qu'on trouvers une perte de l'AA (amplitude articulaire) PASSIVE en RE surtout ++ (vs atteinte coiffe des rotateurs où on trouve une perte AA active mais les AA passives sont normales)Il vous mentionne que sa douleur se situe en antérieur de l'épaule (il vous pointe sous l'acromion). Elle est présente au repos mais pire lorsqu'il travaille. Elle l'empêche même de dormir. À l'examen physique, vous observez un arc douloureux entre 30 et 70° d'abduction MSG. Le patient n'arrive pas à monter le MSG à plus de 155° d'Abduction (MSD se rend à AA complète). Lorsque vous effectuez l'abduction passive, vous arrivez à 170° d'abduction.
Parmi les énoncés suivants, lequel représente la cause la moins probable pour expliquer la condition de monsieur?- Avec le travail de monsieur, on peut comprendre qu'il y a eu abutement répété, créant une abrasion progressive des fibres de la coiffe.
- Son acromion est de type 3
- Une électrocution qui aurait causé une contraction musculaire importante.
- Avec l'âge, il y a eu un compromis vasculaire créant une hypovascularisation 1cm sous l'insertion des tendons sur la grosse tubérosité humérale.
c
Les énoncés A et B expliquent la théorie extrinsèque du syndrome d'accrochage. L'énoncé D serait plutôt un élément de la théorie intrinsèque.
L'énoncé C expliquerait un mécanisme de luxation postérieure de l'épaule. C'est effectivement possible dans son cas, mais on noterait à l'examen physique une diminution surtout de la rotation externe. On peut garder cette hypothèse en tête (se rappeler que 50% ne sont pas diagnostiqués), mais l'arc douloureux avec une diminution d'abduction active, mais non passive font pour l'instant, plus penser à un syndrome d'accrochage. (Il aurait surement mentionné également d'avoir été électrocuté)Lorsque vous le questionnez il vous mentionne qu'il était sur un toit alors qu'il pleuvait, il a glissé et a tenté de se retenir avec son MSG. Il a de la difficulté à l'expliquer, mais son collègue qui l'accompagne montre un mouvement d'abduction et RE de l'épaule pour mimer l'évènement.
Parmi les énoncés suivant, lequel N'EST PAS un bon choix de conduite à tenir ?- Procéder à une réduction fermée de type traction contre-traction immédiatement.
- Prescrire un radiographie en vraie AP Neer, Latérale de Neer et une vue axillaire.
- Référer en physiothérapie pour un programme de récupération et d'exercice de renforcement de la coiffe des rotateurs.
- Installer une attelle thoraco-brachiale qu'il conservera pour 3 semaines.
a
Elle fait de la natation depuis l'âge de 12 ans. Autre que son hypothyroïdie, elle est en bonne santé.
À l'histoire, elle vous mentionne qu'il n'y a eu aucun trauma. La douleur a commencé plutôt intermittente, surtout lors de la natation ou lorsqu'elle levait son MSD en hauteur (pour placer les assiettes dans l'armoire de cuisine). Ensuite, après quelques jours, elle a arrêté. Quelques semaines par après, elle est revenue, beaucoup plus intense. Depuis, la douleur est présente tant au repos qu'à l'activité. Elle la décrit comme une douleur exquise, la pire douleur qu'elle a ressenti.
À l'examen physique, vous notez une diminution des amplitudes articulaires actives et passives au MSD, toutes limitées par la douleur.
Vous décidez d'effectuer une radiographie simple en AP Neer, Latérale Neer et axillaire.
Parmi les énoncés suivants, lequel représente les trouvailles à la radiographie qui confirmeraient votre hypothèse clinique?- Réduction de l'espace acromio-humérale à 0,5cm avec une migration supérieure de la tête humérale
- Un calcification hétérogène et flou du tendon sus-épineux.
- Radiographie normale
- Une calcification homogène bien délimitée.
b
On pense à une tendinite calcifiante de la coiffe de rotateurs en phase de résorption. La HMA nous permet de comprendre que la patiente aurait eu une phase de formation qui ressemble à un syndrome d'accrochage, suivi d'une phase de repos et qu'elle se trouve présentement en phase de résorption (douleur exquise)
L'énoncé D serait la radiographie que l'on aurait pu trouver lors de la phase de résorption, si elle avait consulté à ce moment.
L'énoncé A représenterait une radiographie pour une rupture de la coiffe des rotateurs
Si on retrouvait l'énoncé B, on aurait pu penser à une capsulite adhésive. Par contre la HMA montre plus une évolution classique du stade de calcification (formation --> repos--> résorption) de la tendinite calcifiante. Une histoire classique de capsulite se présente plutôt par une phase de douleur sans limitation de mouvement, ensuite une diminution de douleur avec limitation de mouvement, puis une phase d'amélioration d'amplitude.- Capsulite adhésive
- Tendinite calcifiante en phase de résorption
- Arthrite septique
- Désordre de coiffe des rotateurs (syndrome d'accrochage)
d
- Épicondylite externe
- Luxation postérieure du coude
- Rupture du biceps distal
- Épicondylite interne
d
- Capsulite adhésive
- Tendinite calcifiante
- Luxation antérieure de l'humérus
- Luxation postérieure de l'humérus
- déchirure du m.infra-épineux
a,b,d
vous observez une déformation au coude assez évidente suggérant une luxation postérieure.
Quel est le nerf le plus à risque d'être atteint par cette luxation ?- N. Médian
- N. Ulnaire
- N. Radial
- N. musculo-cutané
b
Vous ne voyez pas de déformation évidente, mais elle vous dit qu'elle ressent une douleur surtout au poignet. Vous suspectez une luxation du lunatum.
Quel est le nerf le plus à risque d'être atteint par cette luxation ?- N. Médian
- N. Ulnaire
- N. Radial
- N. Cutané Latéral de l'avant-bras
a
Vous observez une déformation en note de piano à l'épaule D. Vous suspectez alors une luxation acromio-claviculaire.
Quelle vue de RX vous permettra de confirmer votre hypothèse ?- Vue AP de Neer
- Vue Latérale de Neer
- Vue de Zanca
- Vue de Serendipity
- Vue axillaire
c
C= Zanca; vue AP avec angulation de 10° céphalique sans charge (ça sert a rien cliniquement de stresser l'articulation)
D= Vue AP avec angulation de 45° céphalique (plus pour luxation sterno-claviculaire)- Rx: Corticothérapie
- Substance: Alcool
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
Avant de procéder à une chirurgie pour stabiliser une rotule qui luxe, nous devrons attendre au moins trois épisodes.
- Limite supérieure :
- Limite latérale :
- Limite médiale :
- Limite supérieure : ligament inguinal
- Limite latérale : muscle sartorius
- Limite médiale : muscle long adducteur
- Vrai
- Faux
b
Traite de façon fonctionnelle, sans chirurgie avec un traitement plus agressif que les entorses de grade 1 et 2
- Ligament collatéral interne
- CPL
b
- Vrai
- Faux
b
La rupture du ligament croisé antérieur est plus fréquente que celle du ligament croisé postérieur dans un rapport d'environ 6 pour 1.
- faisceau péronéo-astragalien antérieur / Ligament talo-fibulaire antérieur: douleur à la palpation antérieure
- faisceau péronéo-astragalien postérieur / Ligament talo-fibulaire postérieur : très rarement atteint et sa palpation est habituellement indolore
- faisceau péronéo-calcanéen / Ligament calcanéo-fibulaire : douleur à la palpation sous la malléole externe
Les ligaments péronéo-astragalien antérieur (ou ligament talo-fibulaire antérieur) et péronéo-calcanéen (ligament calcanéo-fibulaire) qui sont deux des trois faisceaux du ligament collatéral externe de la cheville.
Ligament croisé postérieur: Impact direct à la face antérieure du genou avec celui-ci fléchi à 90 degrés.
- Vrai
- Faux
a
Distension de la bourse entre le tendon du chef médial du gastrocnémien et le corps musculaire du semi-membraneux.
Conflit entre la face profonde du tractus ilio-tibial et le condyle fémoral latéral, susceptible d’induire un processus inflammatoire local.
- Vrai
- Faux
a
Le ménisque interne est moins mobile et est plus à risque de lésions dégénératives que traumatiques.
- Vrai
- Faux
a
- Protect
- Rest
- Ice
- Compression
- Elevation
- Touche surtout les femmes
- Les personnes aux extrêmes de l'âge sont particulièrement atteintes
- Une irradiation à la cuisse est possible
- La douleur est pire lors de la marche et du changement de position assis à debout
- Une investigation par IRM est essentielle
a,c,d
- Vrai
- Faux
a
Elle est pire en position assise et lors de la course
- Vrai
- Faux
b
La hanche à ressaut n'est habituellement pas associée à de la douleur.
- Bandelette ilio-tibiale
- Tendon de l'ilio-psoas
- Lésions labrales
- Fragments ostéo-cartilagineux intraarticulaires (Ostéochondrite disséquante)
- Diabète
- Maladie de Gaucher
- Corticothérapie
- Alcool
a
- Uniarticulaire
- Biarticulaire
b
- Augmentation de l'intensité de l’entraînement, changement de chaussure ou de terrain d'entraînement.
- ATCD de choc direct sur la rotule
- Troubles d’alignement du genou
- Problèmes musculaires
- Troubles de l’arche plantaire
- Hyperlaxité
Entre le corps musculaire du semi-membraneux et le tendon du chef médial du gastrocnémien
10 degrés
Elle se plaint présentement de douleur à l'interligne articulaire G, plus en médial, ainsi que d'un blocage et d'instabilité.
Voici les résultats des manoeuvres spécifiques:
- Test fonctionnel en position accroupie; aucune douleur
- Tiroir postérieur: négatif
- LCI : négatif
- LCE: négatif
- Apley: Dlr lors de la compression + RE à l'interligne articulaire en médial au genou G
À la lumière de ces données, quelle est la prochaine étape ?- IRM dans 4 semaines
- IRM immédiatement
- On effectue le test de McMurray
- AINS + référence en physiothérapie pour renforcement du quadriceps (vaste interne++)
d
Comme le test d'Apley est +, mais que le test en position accroupie ne reproduit pas les symptômes, on se trouve probablement face à une lésion méniscale qui pourrait évoluer vers une guérison naturelle. On recommande donc un tx conservateur. Si au bout de 2 ou 3 mois les symptômes persistent, alors on fera une IRM
A= L'IRM sera recommandée si le test d'Apley est + avec une position accroupie qui reproduit les mêmes symptômes. Ceci permettra de préparer l'intervention chirurgicale puisqu'on se trouve surement devant une lésion méniscale qui a peu de chance de guérison naturelle
B= Comme il vient d'avoir un traumatisme, l'IRM risque de ne pas être concluant à cause de l'inflammation
C= Ce test n'est fiable qu'à 30%. De plus, avec les informations que nous avons, ce test ne va pas ajouter d'information ou changer notre hypothèse.À l'examen physique, vous observez un oedème au genou D.
-Dial test: RE augmentée au genou D
- Lachman: négatif
- Test récurvatum en RE: genou D en récurvatum et RE exagérée
- Tiroir postérieur: mouvement anormal de recul du tibia sur le fémur
- Apley: non concluant
À quel diagnostic pensez-vous ?- Atteinte du LCP isolé
- Triade malheureuse
- Atteinte du CPL + LCP
- Atteinte du LCE isolé
c
Lorsque vous questionnez les impacts de cette douleur, elle vous mentionne qu'elle dort très mal, car elle doit dormir sur le dos, alors qu'elle était habituée de dormir sur le côté (surtout droit). Elle explique aussi qu'elle a mal lorsqu'elle marche pour aller au bureau. Puisqu'elle passe la journée assise, elle ressent moins ses symptômes au travail, mais ceux-ci recommencent dès qu'elle se lève.
À l'examen physique, quel énoncé correspond moins à une trouvaille probable ?- Une douleur à la palpation de la région trochantérienne droite.
- Une reproduction de symptômes lorsqu'on positionne passivement la hanche droite en flexion- adduction.
- L'appui unipodal gauche montre une descente de l'EIPS droite (épine iliaque postéro-supérieure) (épreuve Tredelenbourg)
- Une reproduction des symptômes lors de la dérotation résistée de la hanche droite.
c
En fait, dans le cas d'une tendino-bursopathie trochantérienne (le cas en est une présentation typique), on s'attend à une faiblesse du moyen fessier à droite. Lors de l'appui unipodal gauche, c'est le moyen fessier GAUCHE qui doit contracter afin de maintenir le bassin en position neutre. Une faiblesse de ce muscle va provoquer une adduction de la hanche GAUCHE et ceci s'observera par une descente de l'EIPS droite. Dans la situation de Mme Marché, on s'attendrait plutôt à une faiblesse du moyen fessier DROIT (donc un Trendelenbourg positif en appui unipodal DROITE représenté par une descente de l'EIPS GAUCHE)
Ceci étant dit, il n'est pas impossible de retrouver une faiblesse bilatérale des moyens fessiers.
L'épreuve de dérotation résistée implique que l'évaluateur amène la hanche en flexion/ rotation externe et on demande au patient de faire une rotation interne contre résistance pour ramener à la position neutre. Les muscles petits et moyens fessiers étant entre autres des rotateurs internes, ceci permet de mettre en évidence une faiblesse de ces groupes musculaires.À l'examen physique, vous observez la rotule droite qui se trouve plus haute que la rotule gauche. Le patient est incapable d'effectuer un SLR (straight leg raise) activement
À quel diagnostic pensez-vous ?- Rupture du tendon quadricipital
- Rupture du ligament patellaire
- Rupture du LCA
- Rupture du LCP
b
À l'inspection vous observez un oedème et une ecchymose sévères à la face latérale de la cheville gauche.
Vous lui demandez si elle est capable de marcher sur sa cheville. Lorsqu'elle essaie, elle indique qu'elle peut le faire mais la douleur augmente à 10/10.
Quel ligament est plus à risque d'être atteint ?- Ligament talo-fibulaire postérieur
- Ligament talo-fibulaire antérieur
- Ligament calcanéo-fibulaire
- Ligament talo-naviculaire
- Ligament tibio-naviculaire
b
À l'inspection vous observez un oedème et une ecchymose sévères à la face latérale de la cheville gauche.
Vous lui demandez si elle est capable de marcher sur sa cheville. Lorsqu'elle essaie, elle indique que la douleur augmente à 10/10.
Quelle est votre conduite ?- Botte de marche avec MEC (mise en charge) progressive sur 10 jours. Référence en physiothérapie
- Port de bandage élastique (taping) pour 2 semaines et retour au sport en 2à 4 semaines
- Immobilisation complète pour 3 semaines
- Glace + bandage de support + béquilles avec MEC protégée pour 2 jours
- Chirurgie de stabilisation
a
On pense à une entorse grade III (oedème et ecchymose sévères avec douleur intense lors de la MEC)
Le taping (énoncé B) est possible pour un grade III, mais est réservé aux athlètes de haut niveau qui sont prêts à aller au physio aux 2 jours pour un bain contraste et faire changer leur taping.
C= immobilisation complète prolongée n'est pas recommandée (risque d'ankylose/ retour fonctionnel beaucoup plus lent)
D= traitement pour entorse grade I
E= La chx n'est pas indiquée à ce stade-ci. Si la patiente présente des entorses à répétition et que la physiothérapie ne change rien, on pourra référer en orthopédie pour juger la pertinence d'une chirurgie de stabilisation.Samuel est en bonne santé, mais il a récemment dû prendre des fluoroquinolones pour une diarrhée infectieuse.
Il a commencé à s'entraîner au crossfit la fin de semaine pour commencer à se remettre en forme. Ils font beaucoup de course, de corde à sauter et des sauts.
Il y était justement hier. C'est en sautant sur une boîte qu'il a senti un violent pop derrière la cheville. Il était certain que son ami lui faisait une mauvaise blague en le frappant derrière le talon.
Depuis, il a très mal et est incapable de marcher.
Vous vous attendez à retrouver toutes ces résultats à l'examen physique sauf un. Lequel ?- Test de Matles positif à D
- Test de Thomson positif à D
- Un Lachman positif
- Gap palpable au dessus du calcanéus droit.
- Oedème et ecchymose en postérieur de la cheville droite.
c
On pense à une rupture du tendon d'Achille. Ceci permettra de trouver un test de Matles (pt en DV genoux fléchis. FD excessive de la cheville atteinte p/r cheville saine), un test de Thomson positif (ø flexion plantaire de la chveille lorsqu'on comprime le ventre musculaire du triceps sural) et un gap palpable dans la région achilléenne.
Le test de Lachman est positif lors d'une rupture du LCA (au genou).Samuel est en bonne santé, mais il a récemment dû prendre des fluoroquinolones pour une diarrhée infectieuse.
Il a commencé à s'entraîner au crossfit la fin de semaine pour commencer à se remettre en forme. Ils font beaucoup de course, de corde à sauter et des sauts.
Il y était justement hier. C'est en sautant sur une boîte qu'il a senti un violent pop derrière la cheville. Il était certain que son ami lui faisait une mauvaise blague en le frappant derrière le talon.
Depuis, il a très mal et est incapable de marcher.
Dans cette situation, quels sont les facteurs de risque de Samuel de développer cette condition ?- Âge entre 30 et 40 ans
- Prise de fluoroquinolones
- Pratique épisodique de sports
ULaval:MED-1221/La main/QuestionsL'inclusion depuis ULaval:MED-1221/La main/Questions est brisée car la page cible n'existe pas.
- Traumatisme direct
- Traumatisme indirect
- Traumatisme par arrachement
a
Fracture pathologique
- Poumon
- Prostate
- Rein
- Sein
- Thyroïde
[[Fichier:|400px]]
Type III
- Vrai
- Faux
b
- I
- II
- III
- IV
- V
e
- Type I
- Type II
- Type III
b
- Directe (primaire)
- Indirecte (secondaire)
b
- Fracture et phase inflammatoire
- Formation du tissu de granulation
- Formation du cal osseux
- Déposition de l’os lamellaire
- Remodelage
- Vrai
- Faux
a
- Fracture ouverte
- Non-union
- Atteinte vasculaire et/ou neurologique
- Fracture avec déplacement intra-articulaire
- Fracture Salter type III, IV, V
- Polytraumatisé
- Vrai
- Faux
b
Cette pathologie survient 2-3x plus souvent chez les femmes.
- Col fémoral
- Intertrochantérique
- Sous-trochantérienne
- Neurapraxie
- Axonotmèse
- Neurotmèse
a
- Confusion
- Pétéchies
- Hypoxie
- Poumon
- Prostate
- Rein
- Sein
- Thyroïde
- Vrai
- Faux
b
Ce sont plutôt les radiographies qui sont utiles
- Vrai
- Faux
b
Par exemple, la maladie de Paget et la dysplasie fibreuse sont des lésions bénignes qui sont multiples.
- Radiographie simple
- TDM
- IRM
c
Poumon
[[Fichier:|400px]]
Fibrome non ossifiant
Kyste osseux simple
Lésion expansive qui affecte la métaphyse des os longs, de façon excentrique
- B. burgdorferi
- C. trachomatis
- S. aureus
- S. pyogenes
c
- Vrai
- Faux
a
- Ollier
- Maffuci
b
Chondrosarcome
- Vrai
- Faux
b
Le traitement est chirurgical, par résection élargie. Le chondrosarcome est par ailleurs radiorésistant et chimiorésistant.
Ostéome ostéoide
Genou
- Vrai
- Faux
b
Bien que cette tumeur soit aggressive, elle est bénigne.
- 0 à 25 ans
- entre 25 et 50 ans
- en haut de 50 ans
a
- Vrai
- Faux
a
- Le métacarpe du pouce s'articule avec l'os trapézoïde
- Le 3e métacarpe s'articule avec l'os hamatum (crochu)
- Il n'y a que 4 articulations IPD alors qu'il y a 5 IPP.
- Les IPD sont des articulations synoviales planes
- La stabilité ligamentaire ds IPD et IPP est comparable en flexion et en extension
a,b,d
A= le matacarpe du pouce s'articule avec l'os trapèze. C'est le 2e méta s'articule avec l'os trapézoïde
B= Le 3e méta s'articule avec le capitatum. C'est le 4e et 5e métas qui s'articulent avec l'os crochu.
D= IPD (et IPP) sont des articulations synoviales de type charnière- Les tendons fléchisseurs peuvent être divisés en 5 zones tandis que les tendons extenseurs sont divisés en 9 zones
- Les tendons des fléchisseurs superficiels des doigts passent au dessus du ligament transverse du carpe, alors que les tendons des fléchisseurs profonds passent sous le ligament transverse du carpe.
- Les tendons des muscles fléchisseurs profonds s'insère sur la phalange moyenne (à sa base)
- Le tendon du muscle fléchisseur superficiel des doigts se sépare a/n de la phalange proximale.
- Le tendon long abducteur du pouce et court extenseur du pouce se trouvent dans le 1er compartiment
- Le tendon du muscle long extenseur du pouce se trouve dans le 2e compartiment
- Le 4e compartiment comporte l'extenseur des doigts et de l'index. La 5e zone contient l'extenseur du 5e doigt. Finalement, le 6e compartiment contient l'extenseur ulnaire du carpe.
b,c,f
B= tant les tendons superficiels que profonds passent sous le ligament transverse du carpe.
C= c'est le tendon du muscle fléchisseur superficiel des doigts qui s'insère à la base de la phalange moyenne, alors que le tendon du muscle fléchisseur profond s'insère à la phalange distale
F= le tendon du m.long extenseur du pouce se trouve dans le 3e compartiment. Le 2e compartiment contient le long et le court extenseurs radiaux du carpe- La loge de l'adducteur contient uniquement le m.adducteur du pouce
- Les interosseux dorsaux sont responsables de l'adduction des doigts.
- Les m.lombricaux fléchissent les articulations métacarpo-phalangiennes , mais étendent les articulations phalangiennes.
- La loge thénarienne comporte le m.long abducteur du pouce, le m.court fléchisseur du pouce et l'opposant du pouce.
a,c
B= Les muscles interosseux dorsaux font l'ABDuction des doigts, alors que les m.interosseux PALMAIRES font l'ADDuction des doigts.
D= La loge thénarienne contient le m.COURT abducteur du pouce- Le n.médian innerve les muscles de la loge thénarienne et hypothénarienne de la main.
- Le n. ulnaire innerve entre autres tous les muscles interosseux (palmaires et dorsaux) et le m. adducteur du pouce
- Le N.médian est la structure la plus superficielle des éléments du canal carpien
- Le n.radial innerve les m.interosseux dorsaux, alors que le n. ulnaire innerve les m.interosseux palmaires
a,d
A= Le n. médian innerve les muscles de la loge thénarienne ainsi que les 2 premiers lombricaux. Le N. ulnaire innerve la loge hypothénarienne
D= Le n.radial n'innerve aucun muscle de la main. Le N.ulnaire innerve les muscle interosseux palmaires ET dorsaux.- Souvent c'est la poulie A1 qui est problématique
- Il faut une radiographie pour diagnostiquer cette patho
- Le patient se présente avec un blocage à l'extension du doigt suivi d'un ressaut.
- Les AINS sont très efficace dans le traitement de cette pahto
b,d
B= ddx clinique
D= AINS et la physio n'ont pas montré d'efficacité. L'injection de stéroïdes semble avoir un meilleur résultat clinique.- La TF infectieuse est souvent causé par le Staph. aureus
- La TF inflammatoire présente souvent une histoire de trauma pénétrant
- La TF infectieuse et inflammatoire peuvent avoir des présentations cliniques qui se ressemblent (4 signes de Kanaval; doigt en flexion, gonflement, sensibilité le long de la gaine, douleur sévère à l'extension passive)
- La culture et l'analyse de la bourse est seulement utile pour la TF infectieuse
a,c
B= c'est la TF infectieuse (permet entre autres une contamination par le staph. aureus )
C= Vrai, mais la TF inflammatoire va montrer des signes beaucoup plus frustres.
D= faux, elle est aussi utile pour la TF inflammatoire (recherche de cristaux)- Implique généralement des mouvements répétitifs impliquant le pouce et le poignet (microtraumas)
- Le test de Finkelstein permet de mettre en évidence les symptômes en demandant au patient de fermer le poing (pouce à l'intérieur) et d'effectuer une déviation radiale
- La radiographie est rarement nécessaire au diagnostic, celui-ci étant généralement clinique.
- L'injection de stéroïde se fait dans le tendon du muscle long abducteur du pouce ou court extenseur du pouce
b,d
A= vrai, souvent ce sont les femmes ayant des enfants 6-12 ans impliquant un soulèvement répétitif de ses enfants
B= C'est la déviation ULNAIRE demandée au test de Finkelstein qui permet de mettre en tension les tendons du premier compartiment
C= vrai, la RX va seulement servir à éliminer d'autre diagnostics.
D= L'injection se fait dans la GAINE tendineuse- La localisation du kyste est spécifique au poignet et à la main
- Souvent on retrouve le kyste palmaire au poignet entre le tendon du m. fléchisseur radial du carpe ou le tendon du m. long abducteur du pouce (à l'articulation scapho-trapezoïde
- Le kyste est généralement le produit d'une dégénérescence du tissu conjonctif, formant ainsi un espace kystique remplie d'un liquide clair et gélatineux
- Il est nécessaire de faire une échographie de surface
b,c
- Une compression du nerf dans la 3e zone du canal de Guyon donne une atteinte généralement mixte
- Les patients vont généralement se plaindre de perte de fonction (tourner une poignée de porte ou fatigue à exécuter des mouvements répétés de la main)
- L'atteinte motrice est généralement plus précoce que l'atteinte sensitive
- Le signe de Froment permet de mettre en évidence une faiblesse de l'adducteur du pouce, mettant ainsi en évidence une atteinte du n.ulnaire
- Le signe de Tinel est un test qu'on fait seulement lorsqu'on veut mettre en évidence un syndrome du tunnel carpien
- Si on observe une atrophie musculaire et une déformation en griffe , on pense à une atteinte plutôt chronique du N.ulnaire
a,c,e
A= Dans la zone 1 (proximale, où le n. bifurque), l'atteinte est combinée. Zone 2 = atteinte plutôt motrice. Zone 3 = sensitif++
C= C'est l'atteinte sensitive qui est généralement plus précoce
E= Signe de Tinel implique simplement de tapoter le nerf et ainsi provoquer les symptômes du patient. Il peut être fait à sur n'importe quel trajet d'un nerf à son niveau superficiel. Il peut donc être effectué pour mettre en évidence une neuropathie du n.ulnaire (on frappe a/n du coude puis on descend le long du trajet du nerf. On cherche une paresthésie)- Maladie plus fréquente chez la femme
- C'est une maladie fibro-proliférative transmise génétiquement selon un modèle autosomal dominant
- La RX est nécessaire au dx
- La majorité des patients auront une histoire familiale positive
a,c,d
- Il est possible qu'un syndrome du tunnel carpien accompagne une ténosynovite des fléchisseur
- La PAR peut mener à une rupture d'un tendon soit par friction chronique sur une proéminence osseuse, soit par prolifération synoviale invasive du tendon
- La lésion de Vaughn-Jackson implique la rupture du tendon au tubercule de Lister
- Le tendon fléchisseur le plus souvent rupturé est le tendon long fléchisseur du pouce
- Le côté radial du poignet est plus souvent touché par la PAR que le côté ulnaire
c,e
- le TC contient 10 structures
- La pression normale dans le TC est entre 20 et 30mm Hg
- Le patient va généralement se plaindre de douleur et engourdissements nocturnes.
- Pour poser le diagnostic, on fait les études dx électrophysiologiques (conduction nerveuse ou EMG) pour poser le dx indépendamment de la présentation clinique
- Le diabète et l'hypothyroïdie sont des pathologies fréquemment associées au STC
b,d
B= La pression normale est de 2,5 mmHg. Entre 20 et 30mmHg, il y a une diminution de la circulation sanguine épineurale et un oedème.
D= le diagnostic du STC est en fait clinique. Les études électro-physiologiques sont interprétées à la lumière du tableau clinique.À l'examen physique, vous observez des nodules et des bandes fibreuses palmaires qui adhèrent à la peau.
Il ne présente aucun engourdissement, n'a eu aucun trauma et il ne connait personne dans sa famille ayant les mêmes symptômes.
Quel est votre hypothèse clinique ?- Neuropathie ulnaire bilatérale, plus prononcée au MS D.
- Maladie Dupuytren
- Kystes arthrosynovials
- Ténnosynovite des fléchisseurs inflammatoire
b
Les nodules, bandes fibreuses, les contractures et l'atteinte bilatérale font plutôt penser à une maladie de Dupuytren. Bien qu'elle ait une composante génétique, seulement 10% auront une présentation familiale positive. Elle est souvent associée à d'autres conditions médicales telles le diabète, ROH chronique, épilepsies et MPOC. Le patient typique est un homme >50 ans caucasien.
La neuropathie ulnaire amènera une faiblesse des 4e et 5e doigts, mais pas une contracture. Elle sera généralement unilatérale.- Palpation à la recherche de nodule à l'articulation MCP de l'annulaire gauche
- Examen physique du poignet et des doigts
- Radiographie
- Injection de stéroïdes à l'intérieur de la gaine tendineuse, puis référence en physiothérapie
c
Ici on pense à un doigt à ressaut. C'est un diagnostic clinique, on va donc procéder à l'examen physique (observation du ressaut à l'extension, palpation d'un nodule légèrement distal à l'articulation MCP, palpation d'un déclic à la poulie A1 à l'extension du doigt). La radiographie est rarement nécessaire dans ce cas-ci.
Un examen complet des autres doigts et du poignet peut bien compléter l'examen physique, d'autant plus qu'un doigt gachette peut être causé par une PAR (qui affectera d'autres articulations).
L'injection de stéroïde dans la gaine a montré une efficacité de 80 à 90%. C'est un traitement de choix. La physiothérapie sera utile pour récupérer la force et l'amplitude de mouvement à la suite de l'injection, mais n'est pas efficace seule. La chirurgie sera indiquée seulement si échec du tx conservateur, si le doigt à ressaut est fixe ou pour un pouce à ressaut chez l'enfant- Vrai
- Faux
b
La douleur arthritique est causée par l'exposition de l'os sous-chondral.
- Douleur nocturne
- Une douleur inguinale
- Douleur au mollet
- Ankylose articulaire
- gonflement articulaire / déformations articulaires
- Diminution de la distance de marche
b,d,e,f
A= Bien que ce soit possible, la douleur nocturne n'est habituellement pas typique de l'arthrose
B= La douleur inguinale est une présentation classique d'arthrose de hanche
C= Une douleur à la cuisse/ mollet n'est pas typique d'arthrose du genou- Vrai
- Faux
b
Flexion + rotation interne de la hanche
- Vrai
- Faux
b
Faux
Bien qu'il fasse partie d'un des 4 signes radiologiques de l'arthrose, le kyste sous-chondral est rarement retrouvé.
- Médial
- Latéral
a
- Ipsilatéral à l'articulation affectée
- Controlatéral à l'articulation affectée
a
- Valgus
- Varus
b
Flexion (90 degrés) et rotation interne de la hanche
- Vrai
- Faux
b
Faux
Dans la majorité des cas, la radiographie simple avec mise en charge est suffisante
De plus, le rôle de l'IRM dans l'investigation d'un patient >60 ans avec arthrose est très limité. En effet, même si on soupçonne une déchirure méniscale associée, elle ne serait pas traitable par arthroscopie à cause de l'arthrose sous-jacente.
Donc en gros, l' IRM n'aide ni au traitement, ni au diagnostic d'arthrose du genou chez les >60 ans.- Vrai
- Faux
b
Faux
Cette trouvaille nous pointerait d'avantage vers une atteinte inflammatoire (PAR par exemple).
- Pincement articulaire
- Sclérose sous-chondrale
- Ostéophytes
- Kystes sous-chondraux
- Vrai
- Faux
b
- Vrai
- Faux
b
Faux
C'est au contraire, très encouragé. Surtout si le patient présente un surplus de poids.
- Vrai
- Faux
b
Par contre, ne pas sous-estimer l'effet placebo!
- Cortisone
- Acide hyaluronique
a
- Vrai
- Faux
b
Faux
Bien qu'elle agisse plus longtemps, elle est efficace pour l'arthrose de bas grade (donc léger-modéré= donc grade I ou II = quand il y a encore du cartilage à la radiographie)
- Vrai
- Faux
a
Vrai
En effet, l'arthrose sera toujours présente. Ainsi, le patient aura toujours besoin de soulagement. Il est important de trouver d'autres moyens que les narcotiques afin d'éviter les effets secondaires et la narcodépendance.
- Ostéotomie
- Arthrodèse
- Arthroplastie
Thrombophlébite
PTG : 14 jours
PTH: 35 jours
- Un patient avec arthrose modérée diagnostiquée la semaine passée
- Patient avec atteinte sévère qui l'empêche de dormir
- Patiente avec atteinte sévère soulagée par infiltration de cortisone, mais qui n'aime pas l'idée de se faire injecter 4 fois par année
- Patient avec arthrose sévère qui ne peut plus travailler malgré le traitement conservateur
b,d
L'arthrose doit être sévère et associée àa une des conditions suivants:
- Traitement conservateur épuisé
- Atteinte de la qualité de vie
- Distance de marche limitée
- Sommeil perturbé par la douleur
- Présence d'une chirurgie appropriée au problème
- Risque chirurgical acceptable
Score T ≤ -2,5
- Vrai
- Faux
b
Faux
La définition ostéotomodensitométrique de l'ostéoporose de l'OMS ne s'applique qu'aux femmes caucasiennes ménopausées . Par contre, on va interpréter le score T d'un homme >50 ans de la même façon (pour le moment on manque de donnés).
- Vrai
- Faux
b
Faux
Bien que la densité minérale osseuse soit un facteur déterminent majeur d'ostéoporose, il n'est pas le seul. On considère en effet la microarchitecture oesseuse et la géométrie des os également.
- Vrai
- Faux
b
Ça prend des corticostéroïdes oraux (> 7,5 mg/j) > 3 mois au cours de l’année écoulée
- Les ostéocytes représentent environ 10% des cellules osseuses, alors que les ostéoblastes et ostéoclastes représentent 90%.
- L'ostéocalcine reflète l'action des ostéoblastes
- La phosphatase alcaline reflète la résorption osseuse
- Le C-télopeptide est le reflet de l'action des ostéoclastes
b,d
A= c'est plutôt le contraire
C= L'ostéocalcine et les phosphatases alcalines reflètent la formation osseuse (donc l'action des ostéoblastes)C-télopeptide
- Une diminution de la taille de 2cm par rapport à la mesure précédente
- Une augmentation de poids de 10% p/r à l'âge à 25 ans
- Une diminution de la distance costo-iliaque
- Une diminution de la distance occipute-mur
a,c
A= on soupçonne une fx de la colonne. Si la dernière mesure date depuis relativement longtemps, on va alors considéré une diminution de 6cm
B= C'est une perte de poids de >10% inexpliquée p/r au poids à 25 ans qui est significative.
C= Ceci représente un signe indirecte de fx vertébrale
D= Une augmentation de la distance occipute mur sera recherchée puisqu'elle est en lien avec la progression de cyphoseÀ partir de 65 ans et plus
- Âge
- Sexe
- Score T au col fémoral
- Vrai
- Faux
a
Ainsi, ce ne sont pas des scores permettant de faire un suivi
- Une RX standard est suffisante pour voir une fracture vertébrale
- Une perte de hauteur de 45% est nécessaire pour considérer qu'il s'agit d'une fracture vertébrale significative en terme d'ostéoporose
- 1 fracture vertébrale ostéoporotique sur 2 sera totalement asymptomatique
- Une ostéoporose densitométrique est nécessaire pour une ostéoporose fracturaire
- Les énoncés 1 et 3 sont vrais
- Les énoncés 2 et 4 sont vrais
- Les énoncés 1, 2 et 3 sont vrais
- Tous les énoncés sont vrais
- Seul l'énoncé 4 est vrai
a
2; une perte de 20 à 25% est nécessaire pour considérer qu'il s'agit d'une fracture vertébrale significative en termes d'ostéoporose.
4; La plupart des fractures ostéoporotiques surviennent chez les personnes n'ayant pas atteint le score T inférieur à -2.5.- La portée des lignes directrices concerne toute femme en âge de procréer
- Repose sur le risque de fracture à 5 ans
- Pour un résultat au score CAROC <10%, on peut considérer traiter avec seulement la pharmacothérapie
- Un traitement plus poussé doit être considéré pour les patients avec un risque élevé >20% au score CAROC ou FRAX
- 1 et 3 sont vrais
- 2 et 4 sont vrais
- 1,2 et 3 sont vrais
- Tous les énoncés sont vrais
- Seul l'énoncé 4 est vrai
e
1; Hommes et femmes >50 ans
2; risque de fracture à 10 ans
3; Si le risque est jugé faible (<10%) aucun traitement n'est recommandé. On considère la pharmacothérapie pour le risque modéré (10-20%).- Elle ne peut pas faire l'objet d'un traitement efficace contre l'ostéoporose fracturaire à elle seule.
- La 25 OH vitamine D doit être dosée 3 à 4 mois après le début de la supplémentation en vitamine D
- Cette supplémentation permet d'optimiser l'efficacité des médicaments antirésorptifs ou ostéoformateurs
- Il faut limiter la dose quotidienne de calcium à 80 mg par jour
- 1 et 3 sont vrais
- 2 et 4 sont vrais
- 1,2 et 3 sont vrais
- Tous les énoncés sont vrais
- Seul l'énoncé 4 est vrai
c
4; c'est la supplémentation en vitamine D qu'on limite à 80 nmol/L die. La dose de calcium recommandée par jour est de 1200 mg
Important de doser le calcium en fonction de l'alimentation. Un excès de calcium est associé à des complications cardio-vasculaires- Le raloxifène prévient les fractures vertébrales seulement
- Les bisphosphonates sont peu absorbés.
- Le dénosumab s'administres sous-cutané aux 6 mois.
- Il est conseillé d'utiliser ces médicaments pour 3 à 5 ans
- 1 et 3 sont vrais
- 2 et 4 sont vrais
- 1,2 et 3 sont vrais
- Tous les énoncés sont vrais
- Seul l'énoncé 4 est vrai
d
- Tériparatide
- Denosumab
- Bisphosphonate
- Raloxifène
- Romosozumab
A. Anticorps monoclonal inhibant la sclérotine, ce qui stimule la formation osseuse et la minéralisation.
B. Anticorps dirigé contre le RANK ligand, inhibant ainsi cette cytokine qui participe notamment à la survie des ostéoclastes.
C. Analogue de la parathormone, permettant de stimuler les ostéoblastes si administrés une fois par jour.
D. Augmentent l'apoptose des ostéoclastes, inhibant ainsi leur activité.
E. Modulateur sélectif du récepteur des oestrogènes.- 1C ; 2D ; 3B ; 4E ; 5A
- 1B ; 2A ; 3C ; 4D ; 5E
- 1C ; 2B ; 3D ; 4E ; 5A
- 1C ; 2B ; 3D ; 4A ; 5E
- 1C ; 2E ; 3D ; 4E ; 5B
c
- Maladie de Pgaet
- Hypocalcémie
- Hyperparathyroïdie
- Élévation inexpliquée des phosphatases alcalines
- ATCD de radiothérapie
- Grossesse
- Individu en croissance
b
- Vrai
- Faux
a
Vrai
Le tériparatide conduit au développement d'ostéosarcose chez les animaux de laboratoire en croissance et traités avec de fortes doses
Bisphosphonates
Modulateur sélectif du récepteur des oestrogènes
Anticorps monoclonal contre le RANK-L
Analogue 1-34 de la parathormone
Anticorps monoclonal contre la sclérostine
- Vrai
- Faux
a
Les fractures atypiques sous-trochantériennes et diaphysaires sont aussi des effets secondaires possibles.
- Le risque de fracture est proportionnel à la dose et à la durée de prise de glucocorticoïdes
- La tériparatide est contre-indiquée dans cette situation
- Un traitement préventif doit être considéré chez toute personne prenant au moins 7,5 mg par jour de glucocorticoïdes
- C'est une forme rare d'ostéoporose
- 1 et 3 sont vrais
- 2 et 4 sont vrais
- 1, 2 et 3 sont vrais
- Tous les énoncés sont vrais
- Seul l'énoncé 4 est vrai
a
2; Bien que le traitement de première intention soit les bisphosphonates ou le dénosumab, la tériparatide serait en fait le traitement le plus approprié, considérant que l'ostéoporose cortisonique est avant tout caractérisée par une réduction de la formation osseuse. Ainsi, un ostéoformateur serait une bonne option (par contre celui-ci est théoriquement associé au développement d'ostéosarcome).
4; L'ostéoporose cortisonique est en fait la cause iatrogène la plus fréquente d'ostéoporose.- Les hommes sont plus souvent atteints de causes primaires d'ostéoporose que les femmes.
- Le dosage de la testostérone doit être fait systématiquement chez tous les hommes avec ostéoporose
- Un supplément de testostérone est le traitement de première intention
- La déprivation androgénique utilisée dans le traitement du cancer de la prostate est une cause majeure d'ostéoporose secondaire chez l'homme.
- 1 et 3 sont vrais
- 2 et 4 sont vrais
- 1, 2 et 3 sont vrais
- Tous les énoncés sont vrais
- Seul l'énoncé 4 est vrai
e
1; causes secondaires
2; Le dosage de testostérone est réservé aux hommes présentant des symptômes d'hypogonadisme
3; La testostérone est offerte en cas d'hypogonadisme et ne constitue pas un traitement de l'ostéoporose. Il faut aussi prescrire un anti-résorptif en première intention.- Plégique
- Parésique
a
- Vrai
- Faux
b
La neuroplasticité est associée à la formation de nouveaux circuits.
- Synaptique
- Anatomique
a
- Vrai
- Faux
b
Se concentre sur le traitement de la cause et des effets secondaires de la maladie. Importance sur les conséquences de la maladie pour permettre un retour fonctionnel permettant une qualité de vie (indépendance et autonomie)
- Vrai
- Faux
a
- Activité
- Participation
- Limitation d'activité
- Restriction de participation
- Facteurs environnementaux
- Fonctions organiques
- Déficience
g
- Des exercices dans l'eau pour une patiente avec SEP qui était nageuse et qui a perdu une certaine fonction de son MSD
- Des exercices répétés de flexion-extension en position assise contre résistance pour un patient avec atrophie du quadriceps 2° luxation traumatique de la hanche
- Incorporer des exercices aérobiques dans un programme de réadaptation
- Programme à chaque jour pour limiter les pertes occasionnées par un repos malgré la fatigue du patient (no pain no gain)
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement l'énoncé 4
a
- Intégrer le plus possible un programme agréable qui touche les intérêts (significatifs pour eux) des patients permet de rendre le programme beaucoup plus efficace (cerveau l'associe à quelque chose de fun).
- Les exercices fonctionnels sont à privilégier le plus possible aux exercices répétés sans buts. Pour un patient qui comprend bien le mouvement, il serait peut-être plus pertinent de faire des exercices assis-debout ou de monter les escaliers avec aide pour renforcer le quadriceps et progresser vers des squats pour adapter la difficulté
- Les pauses sont très pertinentes pour permettre de consolider les apprentissages moteurs. Attention avec le "no pain no gain", c'est faux en réadaptation. Il est donc important de respecter une fréquence/ durée/ quantité adéquates aux fonctions du patient en respectant un nombre de pause adéquat.
- Orthèse
- Prothèse
b
- Ipsilatéral à l'articulation atteinte
- Controlatéral à l'articulation atteinte
b
- Vrai
- Faux
b
- Vrai
- Faux
b
C'est généralement l'augmentation de consommation d'O2 nécessaire à l'utilisation de la prothèse, surtout lorsqu'associé à une atteinte cardio-pulmonaire
- Vrai
- Faux
a
20-40% pour tibiale bilat vs 60-70% pour une fémorale unilatérale
- Tétraplégique ≥ C6
- Impotence des 2 MS + 1 MI
- Insuffisance sévère cardiovasculaire ou cardiorespiratoire en plus de la déficience physique
L1
- Sympathique
- Parasympathique
b
- Vrai
- Faux
a
A. spinale antérieure située dans le sillon médian antérieur de la moelle
- Vrai
- Faux
b
Segment le plus caudal
- Vrai
- Faux
a
Choc neurogénique : A
HTO: B
Capacité ventilatoires ok mais difficulté avec la toux: C
Atteinte ventilatoire: DA= D6
B= D6
C= D12
D= C4
Sacrum
- Vrai
- Faux
b
Le meilleur traitement est la prévention!
- Vrai
- Faux
b
Des fois la spasticité peut même être bénéfique pour conserver une certaine fonction (un MI spastique peut permettre un certain support lors des déplacement, alors que s'il est complètement flasque, le transfert sera plus compliqué)
- Vrai
- Faux
b
Le patient la ressent réellement et c'est très très douloureux. Il est important de la traiter sérieusement et agressivement pour éviter un processus de centralisation
- Hémiplégie
- Diplégie
- Triplégie
- Quadraplégie
b
- I
- II
- III
- IV
- V
c
I: marche sans restriction
II: Marche sans restriction maide aide technique à l'extérieur
III: Marche avec aide technique
IV: Mobilité limitée (FR), marche thérapeutique
V: Dépendant, ne tient pas sa tête- Renforcer les membres supérieurs d'un BM atteint a/n D11 afin de faciliter les transferts
- Utiliser une prothèse pour amputés
- Installer une rampe au bain pour assurer son utilisation sécuritaire
- Utilisation d'un fauteuil roulant pour un amputé du MID pour éviter de perdre du temps dans l'apprentissage de la marche avec prothèse et béquilles.
- Exercices de mobilisations passives d'un membre parétique pour éviter les contractures.
d
A= Augmente les systèmes non affectés par la condition pathologique
B= Utilisation d'équipement adapté pour promouvoir la fonction
C= Modifier environnement social et de travail
D= Les équipements utilisés doivent respecter le maximum de fonction du patient pour permettre un retour maximal aux activités. Le fauteuil roulant, dans cette situation, risque d'amener le patient vers un déconditionnement plus rapide.
E= Permet de prévenir ou corriger les incapacités additionnelles- Prévenir et corriger les incapacités additionnelles
- Augmenter les systèmes non-affectés par la condition
- Augmenter les capacités fonctionnelles des systèmes affectés
- Utilisation d'équipements adaptés pour promouvoir la fonction
- Modifier l'environnement social et de travail
- Utilisation de techniques psychologiques afin d'augmenter la performance et l'éducation du patient
- Support
- Protection
- Rigidité
- Flexibilité
- 1 et 3
- 1,2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement l'énoncé 4
d
- Vrai
- Faux
b
- Articulations costo-vertébrales
- Foramen transverse
- Uncus
- Canal spinal
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement 4
e
- L'articulation costo-vertébrale est propre aux vertèbres thoraciques
- Foramen transverse est exclusif aux vertèbres cervicales
- Uncus est une structure retrouvée seulement dans le rachis cervical
- Le Canal spinal, foramen intervertébral, corps vertébral et l'arc postérieur (celui-ci composé de: pédicules + apophyse transverse + lames + facettes articulaires supérieure et inférieure) sont communs à toutes les vertèbres
J'ai une apophyse épineuse dite bifide. Mes apophyses transverses sont trouées, permettant l'artère vertébrale de voyager. J'ai des petits crochets de chaque côté de mon corps qui m'ont mérité une articulation particulière nommée "Luschka".
- Atlas
- C7
- Axis
- C4
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Toutes les vertèbres
- Seulement 4
e
- Stabilité intrinsèque dynamique
- Stabilité intrinsèque statique
- Stabilité extrinsèque dynamique
- Stabilité extrinsèque statique
d
- Disque intervertébral
- Ligaments
- Facettes articulaires
- Muscles dorsaux
d
Intrinsèques
- Le nucléus pulposus est une structure lamellaire
- Le mécanisme de nutrition du disque est assuré par l'a.spinale antérieure et 2 artères spinales postérieures
- Le nucléus pulposus est légèrement innervé
- Il est relié aux corps vertébraux par les plateaux vertébraux et les fibres de Sharpey
- 1 et 3
- 1,2 et 3
- 2 et 4
- Tous
- Seulement 4
e
- Substance gélatineuse au centre du disque. L'annulus fibrosus est une structure lamellaire complexe et élastique qui entour le nucléus pulposus
- La nutrition est assurée par un mécanisme de diffusion nécessitant les mouvements du rachis assurant des échanges métaboliques. Les artères spinales antérieures et postérieures forment le réseau artérielle de la moelle épinière
- Seulement le pourtour de l'annulus est légèrement innervé. Le noyau n'est pas du tout innervé.
- Discogénique
- Facettaire
b
- Assise
- Debout
- décubitus dorsal
- Décubitus latéral
a
- Discogénique
- Facettaire
a
- Vrai
- Faux
b
- Vrai
- Faux
b
Signifie seulement que les signes sont plus associés aux émotions, pensées et aux agissements du malade (comportement face à la maladie) qu'au problème physique sous-jacent
- Douleur la nuit ou au repos depuis plus d'un mois
- Usage de drogue inhalée
- Patient <20 ans
- Anesthésie en selle
- Infiltration articulaire de cortisone à 2 reprises
a,c,d
A= dlr constante et progressive aussi
B= drogue intraveineuse
C= et >55 ans
D= et dysfonction sphinctérienne
E= Corticothérapie systémique à répétition ou de longue durée.
Autres éléments:
- Hx infection chronique ou récente
- ATCD néoplasie
- Fièvre + perte de poids
- Immunosuppression
- Perte de l'amplitude articulaire
- Douleur quadricipitale lors de la manoeuvre d'Ely
- Douleur à la percussion du rachis
- Douleur à la position assise
- Lasègue +
c,e
- Vrai
- Faux
b
Faux
La hernie n'explique pas les symptômes dans cette situation. D'autres possibilités sont à considérer (dysfonction S-I droite peut-être).
- La douleur se présente surtout à l'activité
- La mobilité est nécessairement diminuée
- La palpations musculaire sera douloureuse
- On mettra en évidence un déficit neurologique sensitivo-moteur important
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement 4
a
La mobilité ne sera diminuée que s'il y a un spasme important
L'examen neurologique sera plutôt normalIl mentionne aussi qu'il a beaucoup moins mal en montant une côte qu'en la descendant.
Finalement, il mentionne que pour faire ses courses, le fait de pousser son chariot lui permet un certain soulagement et lui permet de compléter son épicerie.
À quelle diagnostic pensez-vous ?- Hernie L5-S1
- Claudication intermittente
- Sténose spinale lombaire
- Syndrome facettaire L5-S1
c
Le patient exprime une claudication neurogène (intolérance à la marche avec symptômes bilatéraux qui ne cessent pas simplement en arrêtant de marcher)
Le fait que la douleur diminue en étant assis ou en montant une côte s'explique par la position de flexion du dos. Cette flexion permet l'ouverture du canal spinal. Un syndrome d'origine discogénique comme la hernie vont généralement augmenter en flexion du tronc.
Le fait de sentir un soulagement avec le chariot (signe du chariot ou signe de Caddie) s'explique aussi par la courbure du dos en appuie sur le chariot qui ouvre le canal
Un syndrome facettaire n'est pas impossible, mais va généralement avoir une présentation plutôt unilatérale.
Ceci est une caricature de la présentation clinique. On n'exclue pas nécessairement les autres diagnostics. Importance d'un questionnaire et d'un examen physique complets- Vrai
- Faux
b
La spondylolyse est seulement la fracture de l'isthme. Le glissement correspond à la spondylolisthésis
La tolérance à la marche.
- Peurs + perceptions erronées + fausses croyances & sentiment injustice
- Catastrophisme
- Kinésiophobie
- Comportement d'évitement
- Vrai
- Faux
b
Faux
les auto-anticorps (auto-immunité sérologique) peuvent être présents chez la population saine et ne causer aucun symptôme ou signe clinique. C'est lorsqu'il y a activation incontrôlée de ces auto-anti-corps qu'on verra la manifestation de symptômes et signes cliniques (auto-immunité clinique)
- Extrêmes d'âge
- Infection récente
- Pris de médicaments
- Sexe masculin
- Hx familiale positive
b,c,e
- Vrai
- Faux
b
Faux
C'est une entité en soi.
MCTD= synovite + Myosite + Raynaud + Sclérodactylie avec l' Anti-RNP
Syndrome de chevauchement = différentes manifestations ne permettant pas de poser un diagnostic.Anti-RNP
Bloqueurs des canaux calciques DHP ou nitroglycérine topique
Si ces traitements ne fonctionnent pas, on procède à des blocs nerveux sympathiques
- FSC
- Bilan rénal et hépatique avec SMU
- Dosage facteur rhumatoïde et complément
- Facteur antinucléaire
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Aucun énoncé ne fait partie de l'investigation
- Seulement 4
d
Si à l'histoire et l'examen physique on ne suspecte pas de cause secondaire, aucune investigation n'est requise.
Par contre, si on pense à un Raynaud secondaire, il faudra faire :
- FSC
- Évaluation fct rénale (créatinine)
- Évaluation fct hépatique (AST/ALT)
- Dosage facteur Rhumatoïde
- Dosage Complément
- Dosage facteur antinucléaire (ANA)
- Surtout chez les jeunes femmes
- Présentation symétrique
- Associé à des migraines ou des colites
- Épargne le pouce
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement 4
d
Raynaud primaire = ø associé à une maladie ou autre cause malgré 2 ans d'évolution
Le secondaire se présentera de manière moins homogène avec un début plus tardif et des épisodes intenses amenant même de l'ischémie/ ulcérations/ nécroses. Associé a des connectivites des ACVONs (anomalies capillaires visibles à l'oeil nu).- Angine Prinzmetal
- Capillaroscopie suggestive de dommages microvasculaires
- Présence de livedo réticularis
- Présence d'auto anti-corps
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement 4
c
HLA-DR2 et DR3
- Vrai
- Faux
b
- Rash discoïde
- Rash/ acné au pli nasogéniens
- Photosensibilité
- Alopécie
- Sérosite
- Arthrite érosive
- Anémie inflammatoire
b,d,f,g
B: rash malaire qui ne touche pas le plie nasogénien (permet de faire la différence avec l'acnée
D: Bien que fréquent, ne fait pas partie des critères
F: L'arthrite, même si elle peut causer des déformations, ne sera pas érosive.
G: Bien que souvent présente, ø critère- Rash malaire
- Rash discoïde
- Photosensibilité
- Aphtes
- Arthrite
- Sérosites
- Atteinte rénale
- Atteinte neurologique
- Atteinte hématologique
- Atteinte immunologique
- Anticorps anti-nucléaires
- Vrai
- Faux
b
Protéinurie persistante
- >500mg / 24 heures
- >3+ au bâtonnet
OU
S'il y a présence de cylindres cellulaires
- Anémie hémolytique
- Leucocytose
- Lymphopénie
- Thrombopénie
b
Le lupus entraine une leucopénie
Les anticorps attaquent les cellules. Le lupus va donc se caractérisée par une cytopénie- ANA (ou FAN)
- Anti-DNA
- Antiphospholipides
- Anti-smooth-muscle
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement 4
b
4; Anti-Sm est pour anti-Smith
FAN est le plus sensible. Par contre, l'anti-DNA et l'anti-Smith sont les plus spécifiques- Vrai
- Faux
b
Faux
Présent chez 5% de la population saine. même jusqu'à 40% des >70 ans
- Tracé ECG caractéristique
- Myosite à la biopsie
- Augmentation des enzymes
- Rash typique de dermatomyosite
- Faiblesse musculaire distale symétrique
a,e
A: Tracé EMG
E: faiblesse proximale- Faiblesse musculaire proximale symétrique
- Myosite à la biopsie
- Augmentation des enzymes
- Tracé EMG caractéristique
- Rash typique de dermatomyosite
- Papules de Gottron
- Rash heliotrope
- Shawl sign
- Mechanic’s hands
- Convulsions
e
- Fibrose pulmonaire
- Tumeurs solide (associé avec DM++)
Potentiels polyphasiques de faible amplitude et courte durée
DM (aussi infiltra péri-fasciculaire)
L'infiltrat infra-vasculaire dans la PM
Anti-Jo1
- Vrai
- Faux
b
C'est une forme limitée , ne pas confondre
Chondrocalcinose, Raynaud, Esophageal dismotility, Sclérodactylie et Télangiectasie
- Peut présenter une phase précoce oedémateuse
- L'atteinte cutanée s'étend distalement aux coudes et aux genoux
- Les organes internes souvent atteints sont les poumons et le rein
- La crise rénale sclérodermique est associée à une mortalité élevée
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement 4
a
- oui, avec démangeaisons avant l'induration
- L'atteinte cutanée, pour la forme diffuse, sera surtout proximalement aux coudes et aux genoux, tandis que la forme localisée (CREST) sera quant à elle distale aux coudes et genoux
- En effet, par fibrose pulmonaire et crise rénale sclérodermique
- Autrefois elle l'était, mais le traitement avec IECA a permis d'améliorer ++ le pronostic
- Anti-Scl70
- Anti-centromère
b
Syndrome antiphospholipies
< 5mm à 5 minutes
- Vrai
- Faux
a
- Xérostomie
- Xérophtalmie
- Leucopénie
- Pneumonite
c
- Vrai
- Faux
b
anion gap normal
- Le test de prédilection est la biopsie des glandes sous-maxillaires
- Le colorant rose Bengal permet d'observer les anomalies de la cornée
- Le traitement se fait par des corticostéroïdes lorsque l'atteinte se limite aux glandes
- La xérophtalmie se manifeste par une impression de sable dans les yeux et un larmoiement
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement 4
c
1: Biopsie des glandes salivaires mineures (plus souvent à l'intérieur de la lèvre
3: Plus souvent symptomatique (larmes artificielles et bouteille d'eau) ou pilocarpine. La cortisone ou les immunosuppresseurs sont parfois nécessaires pour les atteintes extra-articulaires comme l'atteinte neurologique de type SEP- Douleur prédominante la nuit ou le matin
- Raideur matinale de plus d'une heure
- Gonflement articulaire sans atteinte du squelette axial
- Douleur augmentant avec l'activité
- 1 et 2 sont vrais
- 2 et 4 sont vrais
- 1, 2 et 3 sont vrais
- Tous les énoncés sont vrais
- Seul l'énoncé 4 est vrai
e
- Vrai
- Faux
a
- Présentation extra-articulaire
- Mode polyarticulaire symétrique
- Présentation palindromique
- Crise de goutte
c
Forme palindromique
- Endocardite
- Péricardite
- Pneumothorax
- Épanchement pleural
- 1 et 3 sont vrais
- 2 et 4 sont vrais
- 1, 2 et 3 sont vrais
- Tous les énoncés sont vrais
- Seul l'énoncé 4 est vrai
b
Le pannus
- Vrai
- Faux
b
C'est un IgM anti IgG
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
Ils servent seulement à soulager les symptômes articulaires
Les antimalariques
4 à 8 semaines
- Per os
- Sous-cutanée
b
1. La présentation polyarticulaire 2. L'arthrite palindromique 3. L'atteinte extra-articulaire
Note : L'atteinte extra-articulaire est rare et se présente généralement par une péricardite ou un épanchement pleural.
- Vrai
- Faux
a
- Poignets
- IPD
- MTP
- Sacro-iliaque
- Rachis cervical
- Rachis lombaire
- Genoux
b,d,f
- Polyarthrite rhumatoïde
- Arthrose
b
1. Les MCP 2. Les IPP 3. Les poignets 4. Les MTP
Note : Les coudes, les épaules, les chevilles, les genoux et les hanches aussi sont touchés mais une moindre mesure.
- Vrai
- Faux
a
Sur les proéminences osseuses et la surface des tendons extenseurs.
Note: Ils peuvent aussi se développer dans plusieurs organes comme les yeux, les poumons, le coeur, les valves cardiaques, le cerveau et la plèvre.
- Vrai
- Faux
b
C'est un critère de classification et non diagnostic.
- Kératoconjonctivite sèche
- Sclérite
- Épisclérite
- Scléromalacie perforante
- . Sclérite antérieure ou nodulaire
Note: Les plus fréquentes sont 1 et 3.
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
Malgré les traitements, aucune diminution de l'incidence de fibrose pulmonaire n'a été répertoriée. Par contre, elle est souvent asymptomatique. Elle peut toutefois amener des complications pulmonaires.
- Épanchement pleural
- Nodules pulmonaires
- Fibrose pulmonaire
- Pneumopathie organisée cryptogénique
- Hypertension pulmonaire
- Pneumoconiose rhumatoïde (Caplan)
La péricardite
- Inflammation chronique
- Prise de corticostéroïdes
Note : Une autre complication très rare dû à l'inflammation est l'amyloïdose secondaire.
- PAR
- Splénomégalie
- Neutropénie
Note: Rare +++
- Vrai
- Faux
a
Importance de traiter la PAR pour contrôler la MCV
- Les connectivites
- La polymyosite/dermatomyosite
- Le lupus érythémateux disséminé
- La sclérodermie
- Infections et certains états inflammatoires chroniques
- Opaque
- Faible viscosité
- Augmentation des globules blancs et encore plus des neutrophiles
- Lymphocytes
- Polymorphonucléaires
b
- Vrai
- Faux
a
Spécificité 97%. Par contre, il ne peut pas exclure le ddx de PAR s'il est négatif
Parce que les 3 articulations les plus précocément atteintes sont:
- Apophyse styloïde cubitus
- 2e et 3e MCP
- 5e MTP
- Âge
- Sillicose
- Streptocoque B-Hémolytique
- Tabac
d
- Gonflement des tissus mous
- Déminéralisation péri-articulaire
- Érosions
- Pincement articulaire
- Subluxations
- Ankylose
Note : Les articulations touchées en premier sont l'apophyse styloïde du cubitus, le 2e et 3e MCP et la 5e MTP.
- La persistance d'inflammation après une année de traitement
- . Les limitations fonctionnelles
- La présence d'un facteur rhumatoïde ou d'un anti-CCP
- Des érosions articulaires précoces
- La présence de manifestations extra-articulaires (incluant les nodules rhumatoïdes)
Présence de facteur rhumatoïde
Classe 1: capable de faire toutes les activités
Classe 2: limité pour les loisirs
Classe 3 : limité au travail et dans les loisirs
Classe 4: limité dans toutes les activités incluant les soins personnels
- Vrai
- Faux
b
Le plus important est l'histoire et l'examen physique. On ne dosera pas l'anti-CCP à tout le monde.
- Dépistage des hépatites B et C chroniques
- Vaccination préventive (hépatite A et B, pneumocoque, influenza)
- Questionner l'exposition à la tuberculose et test cutané (PPD) - En prévision de la possibilité d'utiliser des agents biologiques
- Vrai
- Faux
b
La différence est sur le plan de la sécurité gastro-intestinale avec un coxib.
- Vrai
- Faux
b
- L'antimalarique
- Le methotrexate
- Le leflunomide
- La sulfasalazine
Une insuffisance rénale modérée à sévère (DFG de moins de 60 ml/min)
- Vrai
- Faux
b
C'est un traitement adjuvant, jamais utilisé seul.
- Sous-cutanée
- Orale
- Sublinguale
- Intra-veineuse
a
Acide folique
1. AINS 2. Prednisone en dose décroissante 3. Methotrexate en dose croissante 4. Hydroxychloroquine (antimalarique) 5. Acide folique 6. Biphosphonates 7. Suppléments de vitamine D et calcium
De plus, le patient quittera le bureau avec une prescription de bilans à faire aux 4 semaines.
Urate de sodium
Apparence: Opaque
Viscosité: Basse
Leucocytes: 5000 mm3
%Neutrophiles: 65%
À quelle situation clinique correspondent ces trouvailles ?- Arthrose
- Normal
- Arthrite inflammatoire
- Arthrite septique
c
Apparence: Claire
Viscosité: Élevée
Leucocytes: 100 mm3
%Neutrophiles: 10%
À quelle situation clinique correspondent ces trouvailles ?- Arthrose
- Normal
- Arthrite inflammatoire
- Arthrite septique
b
Apparence: Claire
Viscosité: Élevée
Leucocytes: 350 mm3
%Neutrophiles: 40%
À quelle situation clinique correspondent ces trouvailles ?- Arthrose
- Normal
- Arthrite inflammatoire
- Arthrite septique
a
Apparence: Opaque
Viscosité: Basse
Leucocytes: 75 000 mm3
%Neutrophiles: 85%
À quelle situation clinique correspondent ces trouvailles ?- Arthrose
- Normal
- Arthrite inflammatoire
- Arthrite septique
d
- Elle peut ressembler à la PAR dans sa forme chronique, mais sera plus souvent asymétrique
- L'hyperparathyroïdie est une cause possible de pseudogoutte
- La prévalence est la même chez les hommes que chez les femmes
- Les cristaux apparaissent jaunes lorsque parallèles à la lumière polarisée
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Toutes les situations cliniques
- Seulement 4
b
1; en effet. La pseudogoutte peut aussi toucher les IPD, alors que cette atteinte est impossible lors de la PAR.
4; les cristaux paraîtront bleus. Dans la goutte ils seront jaunes lorsque parallèles à la lumière polarisée- Palindrome
- Goutte
- Infection
- Début PAR
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement 4
d
- Vrai
- Faux
a
- Décompte cellulaire
- Gram et culture
- Recherche de cristaux
- Vrai
- Faux
b
Il faut toujours aller voir l'articulation contralatérale.
- > 2 crises de goutte par année
- Dépôts tophacés
- Néphrolithiase
- Vrai
- Faux
b
Faux
Elle résulte plutôt de la phagocytose par les neutrophiles
Car la majorité des patients avec crise de goutte sont à haut risque cardiovasculaire ou sont insuffisants rénaux, ce qui est contre-indiqué pour les AINS
Pyrophosphate de calcium
- Hémochromatose
- Hyperparathyroïdie
- Hypothyroïdie
- Hypomagnésémie
- Hypophosphatasie
- Vrai
- Faux
a
- La pseudogoutte chronique crée éventuellement des érosions, visibles à la radiographie
- La pseudogoutte chronique peut toucher les IPD
- Le diagnostic certain se fait par radiographie
- On traite la pseudogoutte idéalement par infiltration IA de stéroïdes
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- seulement 4
c
- À la RX, on verra plutôt des changements d'arthrose secondaire lors de la pseudogoutte chronique (kystes et ostéophytes en crochet aux MCP), ce qui permet la distinction avec la PAR (érosions)
- Ceci est une autre façon de faire la distinction avec la PAR
- Tout comme la goutte, le diagnostic certain se fait par analyse du liquide articulaire
- Oui. Si l'infiltration est impossble; AINS. Si AINS impossible; corticos PO. On peut aussi utiliser la colchicine en phase aiguë et en prophylaxie si >3 crises/ année. Pour la forme chronique, on peut utiliser la méthotrexate.
Hydroxyapatite
- Peuvent toucher les IPD
- Tout comme dans la PAR, on retrouvera la présence de nodules rhumatoïdes
- Typiquement la crise de goutte se présente dans la nuit
- Un prodagre est l'atteinte classique de la goutte et implique la bourse olécrânienne
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement l'énoncé 4
a
- Une des seules arthrite inflammatoires à toucher les IPD avec l'arthrite psoriasique
- Bien que la goutte puisse parfois ressembler à la PAR, les principaux indices de goutte sont la présentation initiale en crises séparées de périodes asymptomatiques ,l'atteinte des IPD et la présence de tophi et non de nodules rhumatoïdes
- Oui, et le patient se présente à l'urgence en pantoufle du côté atteint
- Le podagre est en fait l'atteinte de la première MTP classique de la goutte.
- Une crise articulaire impliquant 4 articulations implique un traitement par injection articulaire de stéroïdes
- La colchicine altère la mobilité et l'adhésion des neutrophiles, inhibant ainsi la phagocytose
- On traite l'hyperuricémie, même si celle-ci est asymptomatique
- L'allopurinol doit être débutée 4-8 semaines après la résolution des symptomes
- 1 et 3 sont faux
- 2 et 4 sont faux
- 1, 2 et 3 sont faux
- Tous les énoncés sont faux
- Seul l'énoncé 4 est faux
a
- L'infiltration articulaire est le traitement de choix pour une crise monoarticulaire. Par contre pour le crise oligo ou polyarticulaire, on prescrira plutôt de la prednisone.
- Vrai, ceci inhibe la phagocytose du neutrophile (responsable de la crise de goutte). La colchicine va aussi bloquer la phospholipase A2
- L'hyperuricémie asymptomatique n'a généralement pas besoin d'être traitée, sauf dans certains cas de chimiothérapie pour une masse tumorale importante
- En effet. Si l'allopurinol est débuté en phase aiguë, il y aura dissolution des tophis et libération de cristaux qui vont paradoxaleent précipiter. On va aussi poursuivre la colchicine de manière concomitante à l'inhibiteur de xanthine oxydase pour au moins 6 mois (ou jusqu'à disparition des tophis)
- Vrai
- Faux
b
On veut éviter les fluctuations sériques d'acide urique
- Goutte
- Pseudogoutte
b
- Vrai
- Faux
b
Non. On fait quand même la ponction pour se permettre de l'exclure pour de vrai.
- Généralement, on peut retracer un évènement déclencheur d'un épisode ou des symptômes d'avertissement
- Si une personne présente de l'hypethermie, on exclue l'arthrite palindromique et on pense plutôt à une arthrite septique
- La méthotréxate est contre-indiquée pour le palindrome
- Les doigts, poignets et les genoux sont les plus souvent touchés
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement 4
e
- Aucune évènement déclencheur ou symtôme d'avertissement dans la plupart des cas.
- Bien qu'on doit toujours suspecter une infection, l'hyperthermie peut aussi se présenter lors d'arthrite palindromique
- La MTX peut réduire le risque de progression du palindrome vers la PAR.
- Ce sont effectivement les articulations les plus touchées, et se présenteront par la douleur, l'enflure, la raideur et la rougeur.
- Dans 90% des cas, elle se limite a une seule articulation
- Les mycobactéries et mycoses donnent généralement des présentations subaiguës et indolentes
- Le Staph. aureus est le pathogène le plus fréquemment rencontré
- L'arthrite septique est peu associée à la PAR
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement 4
b
- La culture du liquide articulaire sera positive pour le germe lors d'un syndrome polyarticulaire avec gonococcémie disséminée
- Ces patients auront des ténosynovites et des lésions cutanées caractéristiques
- Elle se présente toujours par une atteinte polyarticulaire
- L'incidence a beaucoup diminuée dans les dernières années
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement l'énoncé 4
c
- Ce seront plutôt les hémocultures qui seront positives.
- Oui, lors de la gonococcémie
- Il y a 2 présentations; monoarthrite à culture positive ou syndrome polyarticulaire avec gonococcémie disséminée
- Âge de début > 45 ans
- Insidieux
- Amélioré par l'exercice
- Amélioré par le repos
- Douleur en fin de nuit
- Déficit neurologique
- Pas de réponse aux AINS
b,c,e,
Arthrite psoriasique
- Douleur au rachis de type inflammatoire
- Association avec péricardite
- Dactylite
- Présence du Facteur Rhumatoïde
- 1 et 3
- 2 et 4
- 1, 2 et 3
- seulement 4
- Tous les énoncés
a
- Vrai
- Faux
b
Il faut faire attention avec le HLA-B27, puisqu'il s'agit d'un gène présent chez 8% de la population caucasienne.
- Arthrite associée aux MII
- Arthrite réactive
- Spondylite ankylosante
- Arthrite psoriasique
- 1 et 3
- 1 , 2 et 3
- 2 et 4
- Toutes les catégories
- Seulement 4
c
L'arthrite associée aux MII et la spondylite ankylosante amènent plus une uvéite antérieure
L'arthrite réactive est aussi associée à l'uvéite à environ 50% selon le tableau. Mais la conjonctivite fait partie de la triade qui n'a plus de nomIl n'a pas eu de trauma et ne peut saisir exactement à quel moment cette douleur à commencé. Il vous indique qu'il dort mal à cause de cette douleur et se sent raide le matin pour plus d'une heure. Il mentionne que la marche l'aide à se soulager. Sa douleur est surtout localisée a/n de la région fessière. Il mentionne trouver cela étrange puisque des fois c'est plus la fesse droite, d'autres fois c'est plus la gauche. Aucune irradiation de la douleur sous le genou. Il ne rapporte pas être limité dans ses mouvements par rapport à avant.
Avec cette présentation clinique, à quel diagnostic pensez-vous en premier ?- Arthrite psoriasique
- Arthrite réactive
- Arthrite liée à MII
- Spondylite ankylosante
d
- Vrai
- Faux
a
- Spondylite ankylosante
- Arthrose
a
- Préservation de l'espace intervertébral
- Prolongement osseux horizontal
- Érosion osseuse et équarrissement de la vertèbre
- Présent dans l'arthrose
- 1 et 3
- 2 et 4
- 1, 2 et 3
- Tous les énoncés
- Seulement 4
a
- Vrai
- Faux
b
La scintigraphie osseuse a peu d'utilité dans l'investigation de cette pathologie. Il est préférable de faire des radiographies des sacro-iliaques.
- AINS
- Biothérapies
- Stéroïdes
- Agents de rémission conventionnels (MTX)
- 1 et 3
- 2 et 4
- 1,2 et 3
- Tous
- Seulement 4
c
Les agents de rémissions conventionnels n'ont démontré aucune efficacité pour traiter une atteinte axiale inflammatoire
Les stéroïdes peuvent être données PO ou IA pour traiter les sacro-iliites
Biothérapies pour échec de AINSAINS
- Vrai
- Faux
b
Faux
Il n'y a aucune corrélation entre l'atteinte articulaire et la sévérité du psoriasis
Arthrite psoriasique
- Atteinte ongle et cuire chevelu
- Atteinte IPD
- Dactylite
- Atteinte des plis cutanés
- ROH
- Tabac
- >10% surface corporelle atteinte
a,d,f,g
- Vrai
- Faux
a
- Arthrite des IPD
- Arthrite mutilante
- Polyarthrite symétrique
- Oligoarthrite asymétrique
- Spondylite
b
- Pitting
- Sillon transverse
- Leuconychie
- Onycholyse
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
L'atteinte articulaire apparaît entre 2-6 semaines après l'épisode infectieux.
- Arthrite
- Urétrite
- Conjonctivite
- Type 1
- Type 2
a
- Type 1
- Type 2
b
L'atteinte périphérique type 1 montre une association avec l'activité de la MII
Dans l'atteinte du rachis et des sacro-iliaques, on ne note aucun lien avec l'activité de la MII
L'atteinte du rachis et des sacro-iliaques
L'atteinte périphérique a la même prévalence du HLA-B27 que la population générale
Au mininum 6 semaines
- Vrai
- Faux
b
- Vrai
- Faux
a
- C'est un diagnostic d'exclusion
- Les uvéites se caractérisent par une douleur de type serrement très incommodante
- Débute généralement après l'âge de 1 an
- On va généralement toujours retrouver le facteur rhumatoïde dans la FSC
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement l'énoncé 4
a
2) Les uvéites sont fréquentes mais généralement asymptomatiques
4) Le FR n'est retrouvé que très rarement- Rash érythémateux évanescent
- Sérosite
- Lymphadénopathie généralisée
- Scroiliite
- Hépato/splénoméaglie
d
- Éruption fugace
- Adénopathies
- Hépato-splénomégalie
- Épanchements séreux
- Leucocytes
- Plaquettes
- Ferritine
- Hémoglobine
- Vitesse de sédimentation
d
5 ou plus
- Forme persistante: touche en tout temps 4 articulations et moins
- Forme étendue: atteint 4 articulations et moins dans les 6 premiers mois et touche par la suite plus de 5 articulations
- Systémique
- Oligoarticulaire
- Polyarticulaire
- Arthrite avec enthésites
b
- Vrai
- Faux
b
Faux
En fait la FSC, sédimentation seront généralement nomraux , ou peu perturbés.
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
Faux
L'enfant ne présentera pas d'atteinte générale ou de symptômes systémiques.
C'est plutôt l'AJI systémique ou polyarticulaire avec fièvre qui présenteront des manifestations systémiques et qu'il faudra éliminer une infection sévère, une néoplasie, une MII, une vasculite, une connectivite (LED) ...
Par contre dans la polyarticulaire, les manifestations articulaires seront prédominantes- Vrai
- Faux
b
Le pronostic pour une AJI oligoarticulaire est excellent sauf si compliqué d'une uvéite ou si évolue vers une forme étendue (polyarticulaire).
- Vrai
- Faux
b
Faux
En fait elle se présente souvent par l'atteinte d'une seule articulation (dans 50% des cas).
- Vrai
- Faux
b
Faux
Il faudra considérer :
- LED
- Sclérodermie
- Connectivite mixte/ syndrome de chevauchement
A: Monoarthrite avec fièvre
B: Monoarthrite sans fièvre
C: Monoarthrite atteignant la hanche
D: Oligoarthrite et enthésiteA: Arthrite septique (ponction lombaire)
B: Trauma , hémophilie
C: Toute autre cause doit être recherchée (exceptionnel dans l'AJI)
D: Autre forme d'arthrite (ERA/spondylarthropathies)
- Vrai
- Faux
a
- Bien qu'associée à des manifestations extra-articulaires systémiques, ce sont les manifestations articulaires qui prédominent le tableau clinique.
- L'arthrite est généralement symétrique et touche surtout les petites articulations
- Peut atteindre la colonne cervicale et l'ATM
- Pour savoir si le facteur rhumatoïde est positif il faut la retrouver en 2 occasions à 3 semaines d'intervalles.
- 1 et 3
- 2 et 4
- 1, 2 et 3
- Tous les énoncés
- Seul l'énoncé 4
b
- En effet. Les atteintes systémiques sont également moins importantes que dans L'AJI systémique
- Elle est effectivement symétrique mais touche tant les grosses que les petites articulations
- oui (ATM = articulation temporo-mandibulaire)
- le facteur rhumatoïde doit être retrouvé à 2 occasions à 3 mois d'intervalle
- Vrai
- Faux
b
Faux
C'est soit une arthrite et enthésite, OU un arthrite et au moins 2 critères:
- Dlr sacro-iliaques
- Rachialgie inflammatoire
- Présence d'HLA-B27
- ATCD familiaux de Psoriasis , uvéite, ou spondylarthropathie
- Uvéite aiguë antérieure
- Dactylite
- ATCD familial de psoriasis
- Piqueté unguéal ou onicholyse
- Uvéite
d
- Atrophie et rétraction musculaire
- Inégalité d'un membre
- Retard de croissance staturo-pondéral
- Instabilité dorso-lombaire
- Fusion C2-C3
- Difformités
- Uvéite chronique
d
A) Flexum
B) Par accélération de la croissance (membre trop long) ou par fusion prématurée (membre trop court)
D) L'instabilité se trouvera plutôt a/n C1-C2
F) Subluxation/ genou valgum, etc.- Oligoarticulaire
- Polyarticulaire
- Systémique
a
- Vrai
- Faux
b
L'uvéite est généralement asymptomatique et peut apparaître / se réactiver sans égard avec l'activité de l'arthrite. Le dépistage est important et doit être fait de manière régulière et systématique.
- Cataracte
- Amaurose fugace
- Kératopathie en bande
- Synéchies
- Dépôt de leucocytes et de protéines dans la chambre antérieure
b
- Vrai
- Faux
a
Méthotrexate (modulateur)
- AINS
- Programme d'exercice
- Chirurgie
- Le port d'orthèses
d
A) Permet de contrôler l'inflammation de la douleur
B) Permet de prévenir l'ankylose et maintenir une bonne AA
C) La chirurgie est rarement utilisée- Arthrite réactionnelle post streptococcique
- Rhumatisme articulaire aigu
b
Nécrose avasculaire de la tête fémorale
Chirurgie
Repos, AINS
- Syndrome fémoropatellaire (chondromalcie)
- Ostéochondrite disséquante
- Maladie d'Osgood Schlatter
- Ostéomyélite du genou
a
Vous observez un gonflement de la tubérosité tibiale.
À quel diagnostic pensez-vous ?- Ostéome ostéoïde
- Ostéomyélite
- Osgood Schlatter
- Ostéochondrite disséquante
- Syndrome fémoropatellaire
c
Osgood Schlatter
Ostéome ostéoïde
- Vrai
- Faux
a