ULaval:MED-1221/Membre supérieur/Questions
Dentelé antérieur
Faux
Dislocation de la tête radiale qui sort du ligament annulaire, ce dernier se coinçant entre le radius et l'humérus. Typique lorsqu'on soulève un petit enfant (moins de 5 ans) par le bras.
Scaphoïde
- Scaphoïde
- Lunatum
- Triquetrum
- Pisiforme
- Hamatum
- Capitatum
- Trapèzoïde
- Trapèze
Mnémotechnique: face palmaire vers vous, débutez par la rangée du bas et partez du pouce en traçant un cercle (oval) en sens horaire qui revient jusqu'au pouce: So Long The Pinky, Here Comes The Thumb
- N. Musculo-cutané
- N. Médian
- N.Ulnaire
- N. Axillaire
- N. Radial
- N. Musculo-cutané C5-C7
- N. Médian C5-T1
- N. Ulnaire C8-T1
- N. Axillaire C5-C6
- N .Radial C5-T1
« Golfer’s elbow » = Épicondylite médiale (Épitrochléite) « Tennis elbow » = Épicondylite latérale
Nerf médian
Nerf axillaire
- Scaphoïde
- Lunatum
- Triquetrum
- Pisiforme
- Supra-scapulaire
- Sous-scapulaire
- Axillaire
- Circonflexe de la scapula
c
- Théorie intrinsèque
- Théorie extrinsèque
b
Âge et compromis vasculaire
L'arc douloureux est un signe d’abutement sous-acromial. C'est l’abduction active entre 70° et 120° qui provoque de la douleur.
- Supra-épineux
- Infra-épineux
- Subscapulaire
- Trapèze supérieur
c
- Non visibilité du labrum
- Forme recourbée de l'acromion
- Sclérose de l'acromion
- Sclérose de la grosse tubérosité
a
- Vrai
- Faux
b
La physiothérapie est fortement recommandée pour renforcir la musculature de l'épaule.
La ________ portion s’insère sur la coracoïde et elle est plus rarement impliquée dans un processus pathologique.
La ________ portion remonte dans la gouttière bicipitale de l’humérus pour ensuite tourner et se diriger vers le rebord supérieur de la glénoïde.Le biceps, dans sa partie proximale, est composé de 2 tendons. La courte portion s’insère sur la coracoïde et elle est plus rarement impliquée dans un processus pathologique. La longue portion remonte dans la gouttière bicipitale de l’humérus pour ensuite tourner et se diriger vers le rebord supérieur de la glénoïde.
Douleur au niveau du sillon bicipital lorsque le patient tente de faire l’élévation antérieure de l’épaule contre résistance avec le coude en extension et l’avant-bras en supination.
Douleur au niveau de sillon bicipital lorsque le patient tente de faire de la supination active contre résistance de l’avant-bras avec le coude fléchi à 90°.
Déchirure de la coiffe des rotateurs
Phase résorbtive
En phase résorptive, la douleur peut être si intense que les amplitudes articulaires actives et passives peuvent être nettement diminuées, laissant ainsi suspecter une arthrite septique ou une capsulite.
3 stades de Uhthoff:
1) Stade pré-calcification
2) Stade de calcification
a) Phase de formation
b) Phase de repos
c) Phase de résorption
3) Stade post-calcificationDiabète
Phase 1 = phase douloureuse: douleur d’apparition progressive, présente au repos, de façon prédominante la nuit. Les amplitudes articulaires demeurent normales. Durée : 2-9 mois.
Phase 2 = phase adhésive : amplitudes articulaires diminuées de façon importante dans tous les plans, douleur moindre qu'à la phase 1. Durée 3-9 mois.
Phase 3 = phase de résolution : douleur et mouvements s’améliorent sur 12 à 24 mois, limitation permanente du mouvement sera souvent conservée.
Rotation externe
- Vrai
- Faux
a
Court extenseur radial du carpe
- Long palmaire et long fléchisseur du pouce
- Fléchisseur radial du carpe et rond pronateur
- Anconé et supinateur
- Carré pronateur et fléchisseur ulnaire du carpe
b
- Épicondylite interne
- Épicondylite externe
a
- Grade 1: étirement des fibres (Absence d’instabilité)
- Grade 2: déchirure partielle
- Grade 3: déchirure complète (Instabilité importante)
- Vrai
- Faux
a
Bursite sous-acromiale < Tendinite de la coiffe < Tendinose de la coiffe < Déchirure de la coiffe.
- Type 1 : Plat
- Type 2 : Courbé
- Type 3 : En crochet
Type 3
Les signes radiologiques d’une déchirure de la coiffe des rotateurs sont une réduction de l’espace acromio-humérale inférieure à 1cm et une migration supérieure de la tête humérale
Grade 3
À l’inverse, quelqu’un peut s’infliger une entorse de grade 3 sans qu’une luxation soit présente lors de l’évaluation clinique ou radiologique.
- acromio-claviculaire
- sterno-claviculaire
- gléno- humérale
- scapulo-thoracique
- Ligament conoïde
- Ligament trapézoïde
Entorse acromio-claviculaire de haut grade
- Stade 1 : Entorse de grade 1 ou 2 des ligaments acromio-claviculaires (AC), ligaments coraco- claviculaires (CC) normaux, articulation stable et RX normaux.
- Stade 2 : Entorse de grade 3 des ligaments AC, entorse de grade 1 ou 2 des ligaments CC, instabilité horizontale (antéro-postérieure) de l’articulation, RX normaux ou légère subluxation.
- Stade 3 : Entorse de grade 3 des ligaments AC et CC, subluxation ou luxation supérieure de l’articulation (jusqu’à 100% de déplacement).
- Stade 4 : Entorse de grade 3 des ligaments AC et CC, luxation postérieure de l’articulation.
- Stade 5 : Entorse de grade 3 des ligaments AC et CC, luxation supérieure de l’articulation de plus de 100%.
- Stade 6 : Entorse de grade 3 des ligaments AC et CC, luxation inférieure de l’articulation
- 1 et 2: conservateur
- 3: controversé
- 4,5 et 6: chirurgie
- Sterno-claviculaires
- Costo-claviculaires
a
- Luxation antérieure
- Luxation postérieure
b
- Vrai
- Faux
b
Ce sont des stabilisateurs passifs, alors que la longue portion du biceps et les muscles de la coiffe des rotateurs sont des stabilisateurs dynamiques.
- Vrai
- Faux
a
Antérieure = 98% vs Postérieure = 2%
Abduction et rotation externe
- Vraie AP
- Vraie latérale
- Vue axillaire
- Fracture de la grosse tubérosité
- Lésion de Hill-sachs
- Fracture de la glénoide antéro-inférieure
- Fracture du col chirurgical ou anatomique
d
Rotation externe
- Vrai
- Faux
b
La luxation postérieure du coude est de loin la plus fréquente. Elle survient par un mécanisme d’hyperextension, le plus souvent chez un adolescent ou un adulte. Elle est beaucoup plus rare chez l’enfant où le même mécanisme conduit généralement à une fracture sus-condylienne de l’humérus distal.
- Vrai
- Faux
b
La force de flexion du coude diminuera d’environ 30%, alors que sa force de supination de l’avant- bras diminuera de 50%.
- Vrai
- Faux
a
Étant donné que la tête radiale n'est pas ossifiée chez les jeunes enfants, la subluxation n'est pas visible sur la radiographie.
- 1-Scapho-lunaire
- 2-Capito-lunaire
- 3-Luno-triquetral
- 4-Radio-lunaire
Nerf médian
Lorsque vous questionnez la HMA elle vous raconte qu'au départ son épaule faisait très mal, surtout la nuit, sans qu'elle ne sache pourquoi. Avec le temps et des advils, cette douleur a diminué mais elle avait plus de difficulté à bouger son épaule D. Cela commence à l'incommoder dans ses AVQ/ AVD (placer la vaisselle dans les armoires, attacher son soutien gorge, laver ses cheveux, etc.). Elle s'inquiète car elle aime beaucoup faire du yoga, mais ne pratique plus depuis 2 semaines. À l'examen physique, vous notez une diminution des amplitudes articulaires actives et passives au MSD dans tous les mouvements, surtout en rotation externe (20° RE au MSD vs 75° RE au MSG)
À quel diagnostic pensez-vous ?- Syndrome d'accrochage MSD
- Tennis elbow MSD
- Luxation gléno-humérale antérieure D
- Capsulite adhésive phase 3 MSD
- Capsulite adhésive phase 2 MSD
e
La capsulite adhésive est plus fréquente chez la femme entre 40 et 60 ans. L'hyerT4 est une condition qui augmente les chances de développer cette condition, tout comme l'hyperTG, le db (type 1 aug les chances de 40%!), immobilisation prolongée et chx coeur/ poumon/ sein. [importance de faire des prise de sang surtout si pt a ses symptômes <40 ans]
La phase 1 se caractérise surtout par de la douleur présente au repos et pire la nuit. elle dure 2-9 mois.
La phase 2 est la phase de perte d'amplitude articulaire. La fonction du patient diminue. La douleur a diminué mais peut être encore présente. Durée; 3-9 mois
La phase 3 est la résolution; amélioration douleur et AA entre 12 et 24 mois.
Une caractéristique de la capsulite est qu'on trouvers une perte de l'AA (amplitude articulaire) PASSIVE en RE surtout ++ (vs atteinte coiffe des rotateurs où on trouve une perte AA active mais les AA passives sont normales)Il vous mentionne que sa douleur se situe en antérieur de l'épaule (il vous pointe sous l'acromion). Elle est présente au repos mais pire lorsqu'il travaille. Elle l'empêche même de dormir. À l'examen physique, vous observez un arc douloureux entre 30 et 70° d'abduction MSG. Le patient n'arrive pas à monter le MSG à plus de 155° d'Abduction (MSD se rend à AA complète). Lorsque vous effectuez l'abduction passive, vous arrivez à 170° d'abduction.
Parmi les énoncés suivants, lequel représente la cause la moins probable pour expliquer la condition de monsieur?- Avec le travail de monsieur, on peut comprendre qu'il y a eu abutement répété, créant une abrasion progressive des fibres de la coiffe.
- Son acromion est de type 3
- Une électrocution qui aurait causé une contraction musculaire importante.
- Avec l'âge, il y a eu un compromis vasculaire créant une hypovascularisation 1cm sous l'insertion des tendons sur la grosse tubérosité humérale.
c
Les énoncés A et B expliquent la théorie extrinsèque du syndrome d'accrochage. L'énoncé D serait plutôt un élément de la théorie intrinsèque.
L'énoncé C expliquerait un mécanisme de luxation postérieure de l'épaule. C'est effectivement possible dans son cas, mais on noterait à l'examen physique une diminution surtout de la rotation externe. On peut garder cette hypothèse en tête (se rappeler que 50% ne sont pas diagnostiqués), mais l'arc douloureux avec une diminution d'abduction active, mais non passive font pour l'instant, plus penser à un syndrome d'accrochage. (Il aurait surement mentionné également d'avoir été électrocuté)Lorsque vous le questionnez il vous mentionne qu'il était sur un toit alors qu'il pleuvait, il a glissé et a tenté de se retenir avec son MSG. Il a de la difficulté à l'expliquer, mais son collègue qui l'accompagne montre un mouvement d'abduction et RE de l'épaule pour mimer l'évènement.
Parmi les énoncés suivant, lequel N'EST PAS un bon choix de conduite à tenir ?- Procéder à une réduction fermée de type traction contre-traction immédiatement.
- Prescrire un radiographie en vraie AP Neer, Latérale de Neer et une vue axillaire.
- Référer en physiothérapie pour un programme de récupération et d'exercice de renforcement de la coiffe des rotateurs.
- Installer une attelle thoraco-brachiale qu'il conservera pour 3 semaines.
a
Elle fait de la natation depuis l'âge de 12 ans. Autre que son hypothyroïdie, elle est en bonne santé.
À l'histoire, elle vous mentionne qu'il n'y a eu aucun trauma. La douleur a commencé plutôt intermittente, surtout lors de la natation ou lorsqu'elle levait son MSD en hauteur (pour placer les assiettes dans l'armoire de cuisine). Ensuite, après quelques jours, elle a arrêté. Quelques semaines par après, elle est revenue, beaucoup plus intense. Depuis, la douleur est présente tant au repos qu'à l'activité. Elle la décrit comme une douleur exquise, la pire douleur qu'elle a ressenti.
À l'examen physique, vous notez une diminution des amplitudes articulaires actives et passives au MSD, toutes limitées par la douleur.
Vous décidez d'effectuer une radiographie simple en AP Neer, Latérale Neer et axillaire.
Parmi les énoncés suivants, lequel représente les trouvailles à la radiographie qui confirmeraient votre hypothèse clinique?- Réduction de l'espace acromio-humérale à 0,5cm avec une migration supérieure de la tête humérale
- Un calcification hétérogène et flou du tendon sus-épineux.
- Radiographie normale
- Une calcification homogène bien délimitée.
b
On pense à une tendinite calcifiante de la coiffe de rotateurs en phase de résorption. La HMA nous permet de comprendre que la patiente aurait eu une phase de formation qui ressemble à un syndrome d'accrochage, suivi d'une phase de repos et qu'elle se trouve présentement en phase de résorption (douleur exquise)
L'énoncé D serait la radiographie que l'on aurait pu trouver lors de la phase de résorption, si elle avait consulté à ce moment.
L'énoncé A représenterait une radiographie pour une rupture de la coiffe des rotateurs
Si on retrouvait l'énoncé B, on aurait pu penser à une capsulite adhésive. Par contre la HMA montre plus une évolution classique du stade de calcification (formation --> repos--> résorption) de la tendinite calcifiante. Une histoire classique de capsulite se présente plutôt par une phase de douleur sans limitation de mouvement, ensuite une diminution de douleur avec limitation de mouvement, puis une phase d'amélioration d'amplitude.- Capsulite adhésive
- Tendinite calcifiante en phase de résorption
- Arthrite septique
- Désordre de coiffe des rotateurs (syndrome d'accrochage)
d
- Épicondylite externe
- Luxation postérieure du coude
- Rupture du biceps distal
- Épicondylite interne
d
- Capsulite adhésive
- Tendinite calcifiante
- Luxation antérieure de l'humérus
- Luxation postérieure de l'humérus
- déchirure du m.infra-épineux
a,b,d
vous observez une déformation au coude assez évidente suggérant une luxation postérieure.
Quel est le nerf le plus à risque d'être atteint par cette luxation ?- N. Médian
- N. Ulnaire
- N. Radial
- N. musculo-cutané
b
Vous ne voyez pas de déformation évidente, mais elle vous dit qu'elle ressent une douleur surtout au poignet. Vous suspectez une luxation du lunatum.
Quel est le nerf le plus à risque d'être atteint par cette luxation ?- N. Médian
- N. Ulnaire
- N. Radial
- N. Cutané Latéral de l'avant-bras
a
Vous observez une déformation en note de piano à l'épaule D. Vous suspectez alors une luxation acromio-claviculaire.
Quelle vue de RX vous permettra de confirmer votre hypothèse ?- Vue AP de Neer
- Vue Latérale de Neer
- Vue de Zanca
- Vue de Serendipity
- Vue axillaire
c
C= Zanca; vue AP avec angulation de 10° céphalique sans charge (ça sert a rien cliniquement de stresser l'articulation)
D= Vue AP avec angulation de 45° céphalique (plus pour luxation sterno-claviculaire)