ULaval:MED-1217/Quiz
- Projection
- Acting out
- Formation réactionnelle
- Déplacement
b
GABA
Clivage du soi
Glutamate
- 1) Choc ou déni
- 2) Colère
- 3) Marchandage
- 4) Tristesse
- 5) Acceptation
Faux
Les patients ne vivent pas toutes ces phases dans le même ordre et il est possible de revivre certaines phases.
Les proches et le personnel soignant peuvent aussi passer par ces phases, elles ne sont pas exclusives au patient.Faux
- Deuil chronique
- Deuil retardé
- Deuil masqué
- Sentiment de vide et de perte
- Humeur dépressive qui diminue en intensité, mais qui peut augmenter lorsque le patient pense à la personne décédée
- Capacité à ressentir des humeurs positives
- Estime de soi préservée
- Sentiment de culpabilité par rapport à la mort de la personne
- Envie de rejoindre la personne décédée
Deuil normal
- Enfants
- Adolescents
- Sous-type «avec perturbation des conduites»
Psychothérapie
- Symptômes surviennent dans un délai de 3 mois suivant l'exposition au stresseur
- Symptômes ne persistent pas plus de 6 mois lorsque le stresseur et/ou ses conséquences sont terminés
- Mécanismes de défense matures
- Tendance à l'optimisme
- Sentiment d'auto-efficacité
- Résistance psychologique
- Signification subjective ou symbolique du stresseur
- Locus (de contrôle interne ou de contrôle externe)
- Coping (centré sur le problème, centré sur l'émotion ou centré sur l'évaluation cognitive)
Coping centré sur l'émotion
Coping centré sur le problème
Faux
Trouble de l'adaptation avec humeur dépressive
- Problèmes professionnels
- Difficultés financières
- Déménagement
- Problème conjugaux
Vrai
Acronyme CINE :
- manque de contrôle
- imprévisibilité
- nouveauté
- menace de l'Ego
Vrai
- Adolescents
- Femmes
- Femmes célibataires
- 1) Réaction d'alarme
- 2) Phase de résistance
- 3) Phase d'épuisement
Vrai
Faux
La suppression (ou répression) / Niveau adaptatif élevé
Vrai
- Maturité
- Capacité d'adaptation à l'environnement
Stade autonomie ou honte/doute
Vrai
Vrai
Vrai
Faux
Faux
Phase phallique ou oedipienne
Stade anal
- Lois et règles qui déterminent le comportement et les agissement du Moi
- Issu de l'autorité parentale intériorisée lors de la phase oedipienne
Le Surmoi
- agit dans les divers champs de la conscience
- instance médiatrice
- agit à l'aide des mécanismes de défense
- guidée par le principe de réalité
Le Moi
- instance de l'inconscient
- recherche la satisfaction immédiate des pulsions
- régit par le principe de plaisir
- fonctionne selon le processus primaire
Le Ça
Le Ça
Faux
- Inconscient
- Préconscient
- Conscient
a
- Principe de plaisir
- Principe de réalité
b
- Principe de plaisir
- Principe de réalité
a
Vrai
- Instinct de vie (Éros)
- Instinct de mort (Thanatos)
Vrai
Faux
Vrai
- Pressions socioéconomiques
- Personnels (mauvaise santé physique, mode de vie malsain, faible niveau de scolarité)
- Sociaux (changement social rapide, conditions de travail difficiles, pauvreté, exclusion sociale, risque de violence, discrimination à l'égard des femmes, violation des droits de la personne)
- Oral
- Anal
- Phallique ou oedipien
- Latence
- Génital
d
Vrai
Femme
Vrai
TP obsessionnelle-compulsive
TP narcissique
- Vrai
- Faux
a
Femme
Vrai
Femme
TPL
Vrai
Vrai
- Faible proximité physique ou psychologique avec la mère ou le père
- Punitions trop sévères
- Contrôle parental par la culpabilité
- Être né d'une grossesse non désirée
Phase anale
Phase génitale
Phase orale
TP antisociale
Vrai
TPL
Faux
L'attachement désorganisé est associé à une mentalisation dysfonctionnelle.
Attachement désorganisé
- Grandiose
- Hypervigilant
50%
Faux
Vrai
Névrotisme
Acronyme OCEAN :
- Ouverture à l'expérience
- Caractère consciencieux
- Extraversion
- Amabilité
- Névrotisme
- Caractère
- Tempérament
b
- Caractère
- Tempérament
a
Vrai
- Trouble obsessionnel compulsif
- Personnalité obsessionnelle-compulsive
b
- Vrai
- Faux
a
Quand le patient entre en relation avec des soignants, le système de l’attachement est stimulé, soit par la relation thérapeutique elle-même, soit sous l’effet d’un stress qui a précipité la consultation (dispute avec un proche par exemple). Le stress chez ces patients entraîne des comportements impulsifs, des attitudes hostiles et des demandes inappropriées ou excessives de prise en charges, qui sont elles-mêmes à risque de susciter des réactions extrêmes de la part des soignants.
Groupe C
1) Amines biogènes : noradrénaline, dopamine, sérotonine, acétylcholine, histamine
2) Acides aminés : GABA, glutamate, glycine
3) Peptidiques : neurotensine, CCK, TRH
1. Synthèse dans le neurone pré-synaptique 2. Stockage dans une vésicule pré-synaptique 3. Libération dans l'espace synaptique en réponse à un potentiel d'action 4. Liaison a/n de récepteurs en post-synaptique 5. Mécanismes de régulation via: dégradation (enzymes), recapture (pompes) et modulation
à partir d’un acide aminé essentiel, le tryptophan
Faux, la sérotonine est synthétisée exclusivement dans le SNC car elle ne passe pas la barrière hémato-encéphalique (BHE)
Puisque la sérotonine ne passe pas la BHE, il peut donc y avoir compétition entre le tryptophan et les autres acides aminés pour rentrer la BHE. S’il y a prise de repas sucré, l’insuline augmente et l’absorption des acides aminés en périphérie est augmentée, donc le tryptophan passe mieux la BHE. Au contraire, s’il y a prise de repas protéiné, il y a plus de compétition pour la BHE
Tryptophan → 5-hydroxytryoptophan → sérotonine.
Entre le tryptophan et le 5-hydroxytryptophan, il y a la tryptophan hydroxylase, une enzyme limitante
Les corps cellulaires viennent des noyaux du raphé et forment des projections multiples (thalamus, moelle épinière, cervelet, cortex)
5HT1A : dépression, anxiété
5HT2A : schizophrénie
5HT2C : prise de poids
5HT3 : gestion des nausées
5HT7 : protection neurocognitive
Il s'agit d'un tryoptophan exogène, ce qui augmente la sérotonine.
absorption et emmagasinage a/n des vésicules → diminue sérotonine
inhibition des pompes de recapture → augmente sérotonine
inhibition MAO (inhibe la dégradation) → augmente sérotonine
Un manque de sérotonine, noradrénaline et dopamine
On veut augmenter la sérotonine pour diminuer les symptômes.
Blocage des récepteurs 5HT2A = diminution des symptômes négatifs
- Citalopram
- Fluoxétine
- Phénelzine
c
Antidépresseur tricyclique
Agoniste du récepteur 5HT1A
- 5HT1A
- 5HT2C
- 5HT3
- 5HT7
b
À partir de la tyrosine, venant de l’alimentation ou transformée via la phénylalanine
En augmentant la dopamine au niveau du SNC (voie nigro-striée), on peut diminuer les symptômes. Par exemple: apport exogène, agoniste an récepteur D2, inhibition de l'enzyme COM-T
Voies: 1-Nigro-striée 2-mésolimbique et mésocorticale 3-tubéro-infudibulaire
Caractéristique: A- intervient au niveau du contrôle de la prolactine B-influence le système moteur
C- rôle dans la physiopathologie de la schizophrénie1-B, 2-C, 3-A
Voie nigro-striée : influence le système moteur
Voies mésolimbiques et mésocorticales : rôle dans la physiopathologie de la schizophrénie
Voie tubéro-infudibulaire : intervient au niveau du contrôle de la prolactineIls inhibent la recapture de la dopamine
Ils inhibent la recapture de la dopamine
- Typique
- Atypique
a
- D1
- D2
- D3
- D4
- D5
b
Agoniste de l'auto-récepteur alpha-2 de la noradrénaline
- Venlafaxine
- Amitryptiline
- Bupropion
- Mirtazapine
d
Acétylcholinestérase
- M1
- M2
- M3
- M4
- M5
b
C'est un agoniste partiel du récepteur nicotique de l'acétylcholine
- Clozapine
- Olanzapine
- Carbamazépine
- Chlorpromazine
c
- Loratadine
- Diphenydramine
b
- H1
- H2
- H3
- H4
a
- Vrai
- Faux
a
- CCK
- GABA
- Glutamate
- Glycine
a
- excitateur
- inhibiteur
a
- Métabotrope
- Ionotrope
b
- excitateur
- inhibiteur
b
- Vrai
- Faux
b
Alors que le GABA B est métabotrope, le GABA A est ionotrope. Truc: il y a un b dans métabotrope et non dans ionotrope
- Vrai
- Faux
a
- Acide valproïque
- Tiagabine
- Vigabatrin
b
- Lorazépam
- Flurazépam
- Oxazépam
- Clonazépam
a
- Augmentent la libération de dopamine
- Inhibent la recapturent de la sérotonine
- Favorisent une entrée de chlore dans la cellule
- Inhibent la pompe SERT
c
4e semaine
- Vrai
- Faux
a
Vrai
- Anxiolytique
- Sédatif
- Hypnotique
- Anticonvulsivant
- Sédation pré-opératoire
rein
Vrai
Influencée = oxydation Pas influencée = conjugaison
Les BZD les plus liposolubles entrent plus vite au cerveau et agissent plus rapidement. Aussi, elles se distribuent davantage et durent plus longtemps.
Ils ne se lient pas au même endroit sur le récepteur, donc lorsqu'ils se lient en même temps sur le récepteur, ils augmentent l'inhibition sur le SNC.
Faux
L'effet hypnotique des BZD diminue les stades 3-4 du sommeil (stades de sommeil profond) et augmente le stade 2 (stade de sommeil léger). Ceci a pour effet d'augmenter le temps total de sommeil, mais réduit la qualité du sommeil.
- Cervelet
- Hippocampe
- Cortex cérébral
- Formation réticulée
b
GABA A
- Vrai
- Faux
b
Le neurotransmetteur GABA doit être présent de façon concomitante avec la molécule de BZD pour que cette dernière puisse favoriser l'entrée de chlore. C'est une exemple de modulation allostérique.
Hypersensibilité, glaucome à angle fermé, apnée du sommeil, insuffisance respiratoire sévère et myasthénie grave
- Oxazépam
- Lorazépam
- Témazépam
- Vrai
- Faux
a
Les effets secondaires sont surtout liés à la dépression du SNC
L'utilisation à long terme des BZD diminue la quantité de récepteurs GABA, ce qui expliquerait leur perte d'efficacité.
- Vrai
- Faux
b
- Inhibiteurs des cytochromes
- Inducteurs des cytochromes
b
- Vrai
- Faux
a
Faux
Vrai
Faux
Vrai
Vrai
Femme
Dissociation
Vrai
Vrai
Viol
Cerveau archaïque reptilien
- Victimes de viol
- Militaires exposés au combat
- Victimes d'accidents de la route
- Intervenants de première ligne (policier, pompier, etc.)
Faux
Faux
- Visage/tête
- Nez
- Peau
- Lavage et nettoyage
- Vérification
- Rangement d'objets
- Répétition
- Formules magiques, prières particulières ou opérations mentales bizarres
- Contamination
- Doute
- Ordre, rangement ou symétrie selon des règles particulières
- À caractère sexuel, agressif ou blasphématoire
Faux
Antipsychotiques
Faux
Syndrome de Gilles de la Tourette
Vrai
Vrai
Trouble anxieux généralisé
Vrai
Type sang-injection-accident
- Animaux
- Environnement naturel
- Sang-injection-accident
- Situationnel
- Autres
- Animaux
- Insectes
- Hauteurs
- Agoraphobie
- Phobie spécifique
b
- Agoraphobie
- Phobie spécifique
a
Faux
Traitement combiné : pharmacothérapie (ISRS +/- BZD) et psychothérapie (ex : TCC)
Trouble panique
Vrai
Faux
- Attaque de panique inattendue ou spontanée
- Attaque de panique attendue ou situationnelle
b
- Attaque de panique attendue ou situationnelle
- Attaque de panique inattendue ou spontanée
b
- Approche psychodynamique
- Approche comportementale
- Approche existentielle
Théorie comportementale
- Sérotonine
- Noradrénaline
- Dopamine
- Cortex limbique (pré-frontal et cingulaire)
- Hippocampe
- Amygdale
- Hypothalamus
- Partie antérieure du thalamus
Vrai
Faux
- objective
- subjective
b
- Intensité et durée de l'anxiété disproportionnée par rapport aux circonstances
- Anxiété entraîne une incapacité ou est invalidante pour le fonctionnement
- Anxiété perturbe le fonctionnement par des comportements d'évitements visant à réduire l'anxiété associée à des situations ou des objets
- Anxiété associée à des symptômes physiques significatifs
Vrai
- Angoisse
- Peur
- Anxiété
- Phobie
c
- Angoisse
- Peur
- Anxiété
- Phobie
d
- Angoisse
- Peur
- Anxiété
- Phobie
b
- Angoisse
- Peur
- Anxiété
- Phobie
a
Faux
Il est 10X plus élevé.
AP typiques sédatifs
Sédation
- Effets autosomiques
- Dystonie
- Parkinsonisme secondaire
- Syndrome métabolique
- Amnésie
- Syndrome neuroleptique malin
e
- Les antipsychotiques atypiques ont un plus grand effet sur le gain de poids que les typiques.
- Les antipsychotiques atypiques ont moins de réactions extra-pyramidales que les typiques.
- Les antipsychotiques (typiques et atypiques) ont un effet négatif sur la cognition.
- Les antipsychotiques atypiques n'ont pas d'effet sur les symptômes négatifs.
c
Hyperthermie, réactions extra-pyramidales sévères et dysfonctionnement autonomique
- Vrai
- Faux
b
Aucun antipsychotique n'a prouvé son efficacité sur les symptômes négatifs de la psychose. Par contre, les atypiques sont préférés, car contrairement aux typiques ils n'augmentent pas les symptômes négatifs.
Hypersensibilité et syndrome du QT long.
Cela diminue les conséquences des doses manquées (ex : rechute, progression de la maladie, etc.)
Il faut diminuer la dose.
Diminution de la psychose
Non, car le nombre l'effet du blocage D2 est nettement plus important.
Réactions extra-pyramidales
Le blocage 5HT2 a un effet beaucoup plus important que le blocage D2, ce qui inverse l'effet bloquant sur la dopamine au niveau de la voie nigro-striée.
Hausse de prolactine
Le blocage 5HT2 prédomine sur le blocage D2, car il y a beaucoup moins de neurones dopaminergiques dans la voie méso-corticale.
Hausse des symptômes négatifs
80%
60%
Vrai
Halopéridol
chlorpromazine
Abus d'alcool
Troubles psychotiques
Faux
Vrai
Faux
Vrai
Délire érotomane
Délire de jalousie
Délire de persécution
- Délire de persécution
- Délire somatique
- Délire érotomane
- Délire mégalomane
- Délire de jalousie
- Délire mixte
- Délire non spécifié
Vrai
Faux
Faux
- Type bipolaire
- Type dépressif
Faux
Agranulocytose
Clozapine
2 à 3 semaines
Non-observance au traitement
Vrai
Faux
Vrai
Vrai
Faux
À cause de l'altération de leur jugement.
Troubles cognitifs
Vrai
- Troubles d'attention et de concentration
- Troubles de la mémoire
- Troubles des fonctions exécutives
Faux
- Affect inapproprié, aplati ou émoussé
- Alogie
- Apathie ou aboulie
- Anhédonie et asocialité
- Déficit d'attention
Faux
Faux
Voie mésolimbique
- Nigro-striée
- Tubéro-infundibulaire
- Mésocorticale
- Mésolimbique
Vrai
- Dopamine
- Sérotonine
- Glutamate
Vrai
Vrai
Vrai
Faux
Faux
Faux
- Affect inadéquat ou aplati
- Association d'idées incohérentes
- Ambivalence
- Autisme
Vrai
Faux
Comportement désorganisé
Faux
- Hallucinations
- Délires
- Associations incohérentes d'idées
- Comportement désorganisé
- Type restrictif
- Type accès hyperphagique/purgatif
7 à 9 ans
Vrai
Pharmacothérapie et psychothérapie en association d'emblée
Vrai
Ils peuvent induire une augmentation des pensées et des gestes suicidaires en début de traitement.
Faux
Vrai
Faux
Vrai
présence du chromosome Y
Vrai
Vrai
Vrai
Guanfacine
Agoniste sélectif des récepteurs NA alpha-2
Inhibition du recaptage de la NA
Inhibition de la recapture de la DA
- Inhibition du recaptage de la DA et de la NA
- Facilite la libération de DA et de NA dans la fente synaptique
- Utilisation de non-stimulants
- Utilisation de molécules ayant besoin d'une activation biologique pour être actives
- Utilisation de molécules difficilement écrasables
Longue action
Croissance staturo-pondérale
Faux
- Maladies cardiovasculaires
- Glaucome
- Tics
Faux
50%
Hyperactivité motrice
Hyperactivité et impulsivité
Inattention
TDA/H
- Absence de DI
- Apparition de phrases communicatives avant l'âge de 6 ans
Aires fronto-temporales
Vrai
Faux
- Communication
- Interactions sociales
X fragile
Trisomie 21
- Troubles mentaux graves (ex : autisme)
- Carence dans le relation mère-enfant
- Manque de stimulation sociale et linguistique
- Prématurité
- Complications à l'accouchement
- Anoxie
- Malformations congénitales
- Changements chromosomiques
- Exposition à des toxines
Vrai
- Prénatal
- Périnatal
- Postnatal
Vrai
Vrai
- Déficit des fonctions intellectuelles
- Déficit des fonctions adaptatives
- Début des déficits durant le développement
Vrai
Vrai
Faux
Vrai
- bonding
- attachement
b
- bonding
- attachement
a
Faux
Vrai
Faux
Vrai
The strange situation d'Ainsworth
6-9 mois
Durant sa première année de vie
Vrai
Stade 4 : stade opératoire formel
Stade 3 : stade opératoire concret
Stade 2 : pré-opératoire
Stade 1 : sensorimoteur
- 1) Stade sensorimoteur
- 2) Stade pré-opératoire
- 3) Stade opératoire concret
- 4) Stade opératoire formel
Faux
Oui,
- Thérapie de soutien
- Thérapie de crise
- Alliance thérapeutique
- Image de crédibilité et de compétence
- Environnement confirmant l’expertise, prestige ou pouvoir du thérapeute
- Cadre stable et sécuritaire
- Cadre conceptuel théorique
- Ensemble de procédures et rites prescrits
- Apprentissage cognitif et affectif
- Médecin
- Psychologue
À un processus par lequel le symptôme disparait après récupération et verbalisation de l’émotion refoulée associée au symptôme
C'est une psychanalyse longue (3-6 ans) avec 3-4 rencontres de 50 minutes par semaine.
Interprétation des rêves
- Très large, non basées sur le diagnostique
- Motivation à comprendre
- Souffrance significative
- Capacité d’introspection et d’abstraction
- Bon contrôle pulsionnel et tolérance à la frustration
- Bon testing de la réalité
- Relations significatives
Thérapie comportementale
Vision négative de soi, des autres et du futur
- Généralisation
- Filtre
- Obligations fictives
- Personnalisation
- Rejet du positif
- …
- Structurée
- Brève (12-20 rencontres hebdomadaires)
- Thérapeute actif
- Empirisme collaboratif
- Questionnement socratique
- Comprend des devoirs
- Brève et structurée
- Choix d’un focus
- Thérapeute actif
- Actuel (et non sur les problèmes passés)
- Interpersonnel (et non intrapsychique, travail possible sur les pensées dans le but d’améliorer les relations et non de changer les distorsions)
- Deuil
- Transition de rôle
- Conflits interpersonnels
- Déficit interpersonnel
Dépression majeure
Faux
- Risque suicidaire médical: Relié à la létalité du moyen (par exemple utilisé une arme à feu vs des contraceptifs oraux).
- Risque suicidaire psychologique: Réfère au potentiel de létalité que le patient attribue au plan suicidaire, sans qu'il y ait vraiment de corrélation avec le risque médical réel (par exemple un patient qui croit que prendre 3 comprimés de Tylénol va le tuer et le fait).
Certains traits de tempérament et de caractère (par exemple l'impulsivité ou l'agressivité) sont davantage associés aux comportements suicidaires.
Faux
- Schizophrénies
- TP paranoïde
- Dépression majeure
- Alcoolisme
- Toxicomanies
Vrai
La présence d'une maladie psychiatrique.
Vrai
Faux
Hommes
Vrai
Hommes
Vrai
Triade qui décrit les 3 tendances qui prédisposent un individu à la dépression: vision négative de soi-même (worthlessness), vision négative des événements (helplessness) et proche pessimiste de l'avenir (hopelessness).
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
Par définition, les patients en hypomanie n'ont pas d'atteinte marquée du fonctionnement et ne nécessitent pas d'hospitalisation. Ils se sentent bien et ne vont donc pas souvent consulter.
- Caractéristiques psychotiques congruentes à l'humeur.
- Caractéristiques psychotiques non congruentes à l'humeur.
a
- Les deux se traitent de la même façon.
- La médication est la même, c'est la psychothérapie qui diffère.
- La psychothérapie est la même, c'est la médication qui diffère.
- Le traitement en entier est différent selon si la dépression est unipolaire ou bipolaire.
c
Extrait de millepertuis, acides gras de type oméga-3, traitement hormonal de remplacement de la testostérone, exercice physique.
Périodes de symptômes pendant au moins 2 ans, périodes présentes pendant au moins la moitié du temps et jamais de période de plus de 2 mois consécutifs sans les symptômes.
- Vrai
- Faux
a
- On peut considérer les approches psychothérapeutiques seules pour la dépression légère ou modérément grave.
- Il est préférable de combiner une approche thérapeutique à une pharmacothérapie pour la dépression modérément grave.
- Il faut considérer l'hospitalisation pour la dépression grave.
- Si un antidépresseur est amorcé, il faut commencer avec une dose au bas de la fourchette thérapeutique et augmenter au besoin.
a
- Optimisation: augmentation de la dose du même antidépresseur jusqu'à la dose maximale et selon la tolérance.
- Potentialisation de l'antidépresseur par une molécule d'une autre classe.
- Combinaison: ajout d'une deuxième antidépresseur qui agit différemment sur les neurotransmetteurs.
- Substitution: Remplacement de l'antidépresseur par un autre antidépresseur.
- MAB 1
- MAB 2
- Trouble dépressif caractérisé
- Épisode maniaque
- Impossible à déterminer
a
- MAB 1
- MAB 2
- Trouble dépressif caractérisé
- Épisode hypomaniaque
- Impossible à déterminer
b
- MAB 1
- MAB 2
- Trouble dépressif caractérisé
- Trouble cyclothymique
- Impossible à déterminer
a
- MAB 1
- MAB 2
- Trouble dépressif caractérisé avec caractéristiques psychotiques
- Trouble cyclothymique
- Trouble dépressif persistant
c
- Vrai
- Faux
b
Les spécificateurs aident à mieux décrire l'épisode, tandis que le diagnostic dépend seulement du type d'épisode (maniaque, hypomaniaque ou dépressif).
- Vrai
- Faux
a
Le trouble schizoaffectif est évoqué chez les patients présentant des épisodes clairement thymiques, mais chez qui persistent des symptômes psychotiques malgré une amélioration des symptômes thymiques.
Ces deux troubles sont sur un continuum clinique. Cependant, ce qui distingue le trouble dépressif persistant est la présence d'une humeur dépressive pendant minimum deux ans chez l'adulte et 1 an chez l'enfant et l'adolescent, et ce quasiment toute la journée, au moins un jour sur deux.
Noradrénaline, sérotonine, dopamine
L'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien.
Vrai
- Vrai
- Faux
a
Les électrochocs peuvent même parfois être utilisées en première intention.
Vrai
Lithium
MAB type II
Faux
Vrai
Femmes
- Premier épisode est dépressif
- Cycles rapides
- États mixtes
- Comorbidités
Faux
Vrai
Vrai
Faux
Faux
Vrai
Les personnes âgées
Faux
Vrai
La répétition d'échecs ou d'expériences négatives peut amener une personne à la passivité et à la conviction qu'il ne sert à rien de tenter d'améliorer son sort.
- TCC
- Thérapie interpersonnelle
- Thérapie basée sur la pleine conscience
- 15%
- 32%
- 63%
- 70%
c
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
a
Cela suggère un continuum du spectre de la psychose.
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
35%
- Vrai
- Faux
a
Dépression majeure = 15%
MAB = 1%- Trouble bipolaire 1: épisode maniaque (nécessaire), épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
- Trouble bipolaire 2: épisode hypomaniaque (nécessaire), épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
- Trouble bipolaire 1: épisode maniaque (nécessaire), épisode hypomaniaque, épisode dépressif caractérisé
- Trouble dépressif caractérisé: épisode dépressif caractérisé (nécessaire)
a
- Durée des symptômes (au moins 1 semaine pour l'épisode maniaque, alors que c'est au moins 4 jours pour l'épisode hypomaniaque)
- Intensité de l'altération du fonctionnement (le recours à une hospitalisation conduit automatiquement au diagnostic d'un épisode maniaque)
- Présence de symptômes psychotiques (conduisent automatiquement au diagnostic d'un épisode maniaque)
Faux
IMAO
Bupropion
Bupropion
- Vrai
- Faux
b
- Syndrome sérotoninergique
- Syndrome de retrait
- Vrai
- Faux
a
Effets secondaires GI
Citalopram
ISRS
- Vrai
- Faux
b
Arythmies
- Vrai
- Faux
a
- Inhibition de la recapture
- Inhibition de la monoamine oxydase
- Antagonistes alpha 2
- Antagonistes 5HT2A
- Tricycliques
- ISRS
- IRNS
- IRDN
- Syndrome de Steven-Johnson
- Nécrolyse épidermique toxique
- Vrai
- Faux
a
- Lamotrigine
- Topiromate
- Gabapentin
- Acide valproïque
- Carbamazépine
- Oxcarbazépine
Les effets secondaires au niveau de la mémoire (perte) et le ralentissement cognitif.
- Cycles rapides
- Épisodes mixtes
- Séquence : dépression --> manie --> euthymie
- Abus de substances
- 3 épisodes ou plus avant l'essai du lithium
- Manie psychotique
- Épisodes de manie pure/classique
- Séquence : manie --> dépression --> euthymie
- Bonne réponse antérieure au lithium
- Histoire familiale de bonne réponse au lithium
Faux
L'après-midi
- L'hypothalamus est l'interrupteur qui permet l'alternance entre l'éveil et le sommeil.
- Les neurones cholinergiques permettent l'inhibition du sommeil paradoxal.
- La neurotransmission GABA permet la protection des stimulations du monde extérieur.
- Le tronc cérébral est l'interrupteur qui permet l'alternance entre le sommeil lent et le sommeil paradoxal.
b
- L'EEG avec des ondes alpha est présent dans le stade éveil yeux fermés du sommeil NREM.
- L'EEG avec des ondes thêta est présent dans le stade 2 - N2 du sommeil NREM.
- L'EEG avec des complexes K est présent dans le stade 2 - N2 du sommeil NREM.
- L'EEG avec des ondes delta est présent dans les stades 3-4 - N3 du sommeil NREM.
b
- Vrai
- Faux
a
Oui, mais elle est plus sensible aux stimuli en REM.
- Stade 1
- Stade 2
- Stade 3
- Stade 4
- REM
e
Vrai: 80% des rêves sont des rêves d'infortunes.
Sommeil paradoxal
Sommeil lent profond
Sommeil lent
- Mémoire
- Concentration
Faux
Faux
Vrai
Vrai
Fuseaux de sommeil et complexes K (stade 2).
Vrai
Vrai
- Diminution de la température corporelle
- Absence de lumière
- Augmentation de la sécrétion de la mélatonine
C'est le mécanisme qui facilite le sommeil proportionnellement au temps d'éveil avant le coucher (pression homéostatique).
- Horloge biologique circadienne
- Pression homéostatique
- 1 mois
- 2 mois
- 3 mois
- 6 mois
- 2 ans
d
Diminuer l'importance, voire être indifférent face à un symptôme important.
- Trouble à symptomatologie somatique
- Simulation
- Conversion
- Troubles factices
- Crainte excessive d'avoir une maladie
b,d
- Des gains primaires
- Des gains secondaires
a
Évitement de certaines activités, mobilise le soutien et la sympathie, maintien du partenaire dans un couple, évitement de punition/blâme, etc.
- Vrai
- Faux
b
Exemples: dysfonctionnement de neurotransmetteurs, traumatismes physiques, stress, style cognitif et percepteur, distorsions, manifestation physiologique de l'émotion, etc.
- Vrai
- Faux
a
- La fibromyalgie peut affecter 12 régions du corps.
- La fibromyalgie est un diagnostic de l'axe 1 (psychiatrique).
- La fibromyalgie touche 2% des Nords-Américains.
- Le diagnostic se base sur un index de douleur diffuse en identifiant les régions corporelles et les symptômes somatiques typiques.
b
TCC
- Augmentation du temps d'endormissement
- Diminution du temps de sommeil profond
- Sommeil fragmenté par des éveils fréquents
Vrai
Vrai
Faux
Douleur neuropathique
Femmes
Faux
- Paresthésies
- Anesthésie
- Étourdissements
- Déficits des sens (vision, olfaction, ouïe, etc.)
- Pseudoconvulsions (avec/sans perte de conscience, avec/sans mouvements anormaux)
- Troubles cognitifs
- Faiblesse ou paralysie
- Mouvements anormaux
- Problèmes liés à la déglutition
- Problèmes liés au langage
- Vrai
- Faux
b
C'est plutôt dans le trouble factice
- Anxiété
- Dépression
- Psychose
- Manie
a, b, c, d
- Anxiété
- Dépression
- Psychose
- Manie
a, b
Femmes
Vrai
TP histrionique
Faux
- Apparition récente du trouble
- Pas de comorbidités
- Adolescents/début de l'âge adulte
- Milieux ruraux
- Milieux défavorisés
- Pays en développement
Vrai
Faux
Une bonne alliance thérapeutique
- Les TSS sont souvent chroniques et associés à des traits de personnalité qui limitent les capacités de changement du malade.
- La pharmacothérapie spécifique du TSS est normalement bien tolérée.
- Les dépressions avec somatisation répondent moins bien au traitement antidépresseur.
- L'approche cognitive-comportementale-affective est préférée.
b
- Vrai
- Faux
b
Il faut plutôt viser l'adaptation optimale du malade et de sa condition.
Faux
Il existe une affection médicale réelle (le contenu) pour le contenant psychologique (maladie psychiatrique / symptôme psychologique).
Ne pas être capable de lire ses propres affects et émois.
Médecin-patient, patient-maladie et médecin-maladie.
Vrai
Confusion, ophtalmoplégie et ataxie.
- 1 mois
- 2 mois
- 6 mois
- 12 mois
d
- Une plus grande neurotoxicité liée à l'alcool est démontrée chez les femmes.
- Les hommes accusent des taux d'alcoolisme plus haut que les femmes.
- Les hommes sont plus sensible que les femmes aux impacts bio-psycho-sociaux de l'alcool.
- Les femmes sont plus sensibles à développer des complications liées à l'alcool.
c
- Opioïdes
- Cannabis
- Alcool
- Cocaïne et dérivés
- Hallucinogènes
c
- Métabolisme de l'alcool
- Le niveau de réponse
- La consommation des parents
- Les traits de personnalités
- La présence de comorbidités psychiatriques
c
Un déficit en B1 (thiamine)
Type 1
Type 2
- Vrai
- Faux
b
Le risque commence bien avant la première consommation: un style parental inadéquat, consommation dans l'entourage...
Faux
Vrai
Tonicocloniques et généralisées.
Vrai
- Recherche de sensation et de nouveauté
- Personnalité antisociale
- Impulsivité
Dans les 3 modèles, l'alcool entraine une réduction de l'état de vigilance ou de l'anxiété physiologique et cognitive, ce qui permet un renforcement par la diminution d'un stimulus négatif de la prise d'alcool.
Les 3 modèles sont:
- Théorie de la réduction de la tension
- Théorie de l'amortissement de la réponse au stress
- Hypothèse de l'automédication
Vrai
- Vrai
- Faux
b
La consommation d'alcool à elle seule n'est pas suffisante pour provoquer l'apparition d'un trouble lié à l'alcool. Importance de la génétique, des caractéristiques phénotypiques et des interactions sociales plus ou moins favorables.
Préviennent les crises convulsives et le DT.
- Vrai
- Faux
a
But = aider le patient à trouver sa motivation intrinsèque au changement par l'exploration de l'ambivalence.
Atténue le renforcement fait par l'alcool.
Vrai
Vrai
- La cocaïne bloque la recapture NA-5HT-DA.
- La methamphétamine permet la libération de NA-5HT-DA.
- La MDMA permet la libération de 5-HT.
- Le cannabis a un récepteur de type protéine kinase.
d
- Cannabis
- Cocaïne
- Méthanphétamine
- MDMA
- Crystal-Meth
a
- Cannabis: environ 10 jours si usage à court terme et plus de 3 semaines si usage chronique
- Cocaïne: 3 à 7 jours
- Methamphétamine:1 à 3 jours
- Crystal-meth: 1 à 3 jours
- MDMA: 2 à 4 jours
Hommes