ULaval:MED-1209/Flashcards de l'examen 1
- Amygdales palatines
- Amygdales linguales
- Adénoïde (tonsille pharyngienne)
- Tissu lymphoïde du nasopharynx
- Vrai
- Faux
b
Le nasopharynx est normalement une portion uniquement respiratoire.
- Vrai
- Faux
b
La fosse postérieure est la plus basse
Nerf supra-orbitaire (qui est une branche terminale du nerf ophtalmique)
Os sphénoïde
Processus alvéolaire
- Vrai
- Faux
a
Nerf facial (VII)
- Protraction
- Rétraction
- Élévation
- Abaissement
- Rotation
Innervation motrice de la langue (sauf le palatoglosse)
C3
C4-C5
C6
Cartilage cricoïde
Accessoire (XI)
1/3 supérieur
- Nasopharynx
- Oropharynx
- Laryngopharynx
Muscles infra-hyoïdiens
Os propres du nez
Nerf olfactif (NC1)
Cornet inférieur
Méat inférieur
Méat supérieur
Choanes
Cornet suprême
Les vibrisses
Pseudostratifié cilié avec cellules caliciformes
Au sommet du lobe temporal
Os malaire
- Aire de Little
- Tache vasculaire
Sinus maxillaires
Récessus sphénoethmoïdal
Aryténoïde
- Vrai
- Faux
b
Carène
- Vrai
- Faux
a
La carotide commune se divise en carotide interne et en carotide externe au niveau cervical. La carotide externe, avec ses nombreuses branches, vascularise majoritairement le visage, le pharynx et la partie externe de la tête, alors que la carotide interne se dirige vers l'intérieur du crâne avant de donner ses branches.
Au niveau du rebord supérieur du cartilage thyroïde.
- La branche linguale du trijumeau (V) pour les 2/3 antérieurs
- La branche linguale du glossopharyngien (IX) pour le 1/3 postérieur
Sillon mentolabial
- Temporal
- Masséter
- Ptérygoïdien externe (pour les mouvents de latéralité)
- Ptérygoïdien interne
- Vrai
- Faux
a
Dans le cou, la veine jugulaire interne voyage avec la carotide commune. Toutefois, ces deux vaisseaux ne passent pas par le même foramen pour pénétrer dans le crâne. La veine jugulaire interne passe dans le foramen jugulaire, alors que la carotide interne passe par le canal carotidien.
Isthme
- Sensiblité du visage, des fosses nasales, du palais, de la cavité buccale et de la langue
- Innervation motrice des muscles masticatoires
- Innervation parasympathique de la glande parotide
- Ophtalmique (V1)
- Maxillaire (V2)
- Mandibulaire (V3)
Innervation motrice du trapèze et du sterno-cléido-mastoïdien. Il complète aussi l'innervation du vague (X).
Nerf facial (VII)
L'innervation motrice et sensitive est assurée dans sa presque totalité par le plexus pharyngé qui est formé par les branches pharyngées des nerfs vague (X) et glossopharyngien (IX) et les branches sympathiques du ganglion cervical postérieur.
Nerf facial
Un muscle peaucier est un muscle dont au moins une des extrémités s'attache à la face profonde de la peau. Les muscles peauciers faciaux ont une fonction dans l'alimentation (ex. compétence labiale) et dans la protection (ex. pour les yeux) et sont responsables de la mimique.
Larynx
Crâne et face
Le crâne se divise en:
- Voute
- Base (qui se divise elle-même en fosses antérieures, moyennes et postérieures)
- Innervation motrice des muscles de la mimique
- Goût pour les 2/3 antérieurs de la langue
- Fibres parasympathiques des glandes lacrymales et salivaires sublinguale et sous-mandibulaire (Pas la parotide)
Le nerf glossopharyngien (IX) assure l'innervation parasympathique.
Platysma
3 cartilages simples :
- Thyroïde
- Cricoïde
- Épiglotte
3 cartilages en paire :
- Aryténoïdes
- Corniculés
- Cunéiformes
- Sinus maxillaires (c'est le plus gros)
- Sinus ethmoïdes
- Sinus frontaux
- Sinus sphénoïdes
Nasopharynx
- Nerf olfactif
- Nerf optique
- Nerf oculomoteur
- Nerf trochléaire (pathétique)
- Nerf trijumeau
- Nerf oculomoteur
- Nerf facial
- Nerf vestibulocochléaire
- Nerf glossopharyngien
- Nerf vague
- Nerf spinal (accessoire)
- Nerf hypoglosse
- Plafond
- Supra-orbitaire (qui est une branche terminale du nerf ophtalmique)
- Innervation motrice et sensitive pharynx, larynx
- Innervation viscérale importante au niveau des organes du cou, du thorax et de l'abdomen
- Gout et sensibilité 1/3 postérieur de la langue
- Transmet l'innervation sécrétomotrice de la parotide (fonction parasympathique)
- Sensibilité pharynx
- Innervation sensorielle labyrinthe et de la cochlée
- Audition
- Équilibre
- Vrai
- Faux
b
Faux
Le nerf récurrent laryngé passe sous l'aorte à gauche, alors qu'il passe sous l'artère sous-clavière à droite.
- Son processus [#1] retient les racines dentaires inférieures.
- Le nerf et les vaisseaux alvéolaires inférieurs entrent dans la branche horizontale de la mandibule par le foramen [#2], sur le versant interne de l'angle mandibulaire. Ils suivent le canal mandibulaire et ressortent par le trou [#3], sur la surface latérale de la mandibule, vis-à-vis la [#4] prémolaire de chaque côté.
- L'apophyse [#5] en avant du condyle sert d'attache au muscle temporal.
- alvéolaire
- mandibulaire
- mentonnier
- 2e
- coronoïde
Canthus
- Le muscle [#1] sépare le cou en triangles antérieur et postérieur.
- Pour le triangle antérieur, la limite antérieure est la ligne [#2] du cou, la limite supérieure est le [#3] et la limite postérieure, le [#4].
- Pour le triangle postérieur, la limite antérieure est le [#5], la limite postérieure est le [#6] et la limite inférieure est la [#7]
- sternocléidomastoïdien
- médiane
- bord inférieur de la mandibule
- sternocleidomastoïdien
- sternocléidomastoïdien
- trapèze
- clavicule
Nerf hypoglosse (XII). Le muscle palato-glosse n'est pas innervé par le nerf hypoglosse, mais plutôt par le nerf vague (X).
- la selle turcique
- l'hypophyse
Les veines de la face n'ont pas de valves. Le sang peut donc refouler jusqu'en intracrânien en raison de la communication entre les veines de la face et les sinus veineux du cerveau.
- Parotide
- Sous-mandibulaire (parfois appelé sous-maxillaire)
- Sublinguale
- Dessine les " [#1] ".
- Il forme une partie importante du [#2] de la paroi latérale de l'orbite.- pommettes
- plancher
C'est l'ouverture entre les cordes vocales.
- respiratoire
- trompe d'Eustache
- phonation
Nerf trijumeau, via sa 3e branche
- Forment la mâchoire supérieure.
- Pneumatisés (sinus maxillaire)
- Son processus [#1] sert à l'implantation des racines dentaires.
- Son processus [#2] forme la plus grande partie du palais (partie antérieure).
- Sa face supérieure qui est en fait le toit du sinus maxillaire forme une grande partie du plancher de l'[#3].
- Sa face interne qui est la paroi interne du sinus maxillaire forme une partie de la paroi latérale du nez.
- Le trou infraorbitaire laisse passer les nerfs et les vaisseaux infraorbitaires.
- alvéolaire
- palatin
- orbite
- Sinus maxillaire
- Sinus frontal
- Cellules ethmoïdales antérieures
En haut : La langue, la mandibule, le crâne. En bas : cartilage thyroïde, sternum, omoplate. (Ces muscles servent à stabiliser les structures des voies aérodigestives supérieures)
- Aire respiratoire
- Aire olfactive
Conduction
- Vrai
- Faux
a
12-24 cycles/minute
Sphénoïde
Artères carotides interne et externe
- turbulent
- augmente
- défavorisé
- 35
Os temporal, plus précisément dans la partie du rocher
2-3°C
80% L'humidification nasale de l'air inspiré empêche la dessiccation des voies respiratoires inférieures.
- Vrai
- Faux
a
Puisque l'humidification, le réchauffement et les mécanismes de résistance nasale ne sont pas faits.
C'est un flot turbulent qui augmente le temps de contact entre l'air et la muqueuse.
Note: Si le flot diminue (moins de 0,3l/seconde), on aura plutôt un flot laminaire et inversement, si le flot augmente (plus e 35l/min) la respiration buccale doit contribuer.
1. Le gonflement des cornets 2. La sécrétion des glandes séreuses 3. La sécrétion des glandes muqueuses 4. La transsudation à partir des vaisseaux
Note: Tout ces processus sont sous l'influence du parasympathique.
Le mécanisme principal responsable est la conduction.
1. Augmentation de la température de l'air inspiré 2. Évaporation de l'eau sur la muqueuse
Note: Chez l'humain, 10% de la chaleur corporelle est perdue par le nez.
Oui
À la valve nasale
Note: La résistance au niveau du nez permet de garder les alvéoles ouvertes (pression positive) à l'expiration.
1. Le système sympathique entraîne une diminution de la résistance de par la vasoconstriction. 2. Le système parasympathique entraîne une congestion nasale et une augmentation des sécrétions.
Note: C'est au niveau des cornets que la vascularisation est la mieux développée.
1. L'hypoxie et l'hypercapnie 2. L'exercice physique 3. Les corticostéroïdes 4. Les sympathicomimétiques et leurs agonistes (ex. éphédrine) 5. La cocaïne
1. L'oestrogène (rhinite de grossesse, menstruations, puberté) 2. La thyroxine 3. La fumée de cigarette et les vapeurs d'ammoniac 4. L'alcool 5. Les médicaments anti-hypertenseurs 6. Les parasympathicomimétiques et leurs agonistes
2à4 heures
Note: Il peut aussi durer 6 heures et il est présent chez 80% des gens.
Note: La résistance totale demeure égale tout au long du cycle.
Les réflexes naso-pulmonaires et les réflexes naso-cardiaques
Note: Le réflexe naso-pulmonaire est le fait qu'une augmentation du flot aérien dans une fosse nasale augmente la ventilation du poumon homolatéral.
1. La gel layer qui est superficielle et plus visqueuse dans laquelle on retrouve beaucoup de glycoprotéines. 2. La sol layer qui est une couche plus profonde et plus aqueuse et qui permet le mouvement efficace des cils vibratoires.
1. La lactoferrine 2. Le lysozyme 3. Le complément 4. L'immunoglobuline (IgA et IgE +++)
1. La sécheresse 2. Une température plus basse que 10 ou plus haute que 45 3. Une solution saline isotonique plus grande que 5% ou plus petite que 0,2% 4. Une infection 5. Des médicaments (adrénaline diminue et acétylcholine augmente)
- Vrai
- Faux
b
Elle se fait aussi dans la partie supérieure du septum nasal et des cornets moyens et supérieurs
Ils doivent toucher la muqueuse et être solubles dans l'eau et les lipides.
17 odeurs
L'ammoniac (et le piment aussi)
1. La rhinolalie ouverte survient quand le son passe trop par le nez. 2. La rhinolalie fermée survient quand le son ne passe pas suffisamment par le nez.
Ce sont des réservoirs d'oxide nitrique. (fonctionnement muco-ciliaire et défense immunitaire)
1. La rhinoscopie nasale 2. L'endoscopie nasale 3. La cytologie nasale 4. La rhinomanométrie
Le TDM
Note: On procède dans 3 plans : coronale, axiale et sagittale
L'atrésie choanale
1. La rhinite virale 2. La rhinite bactérienne (streptocoque pneumoniae, haemophilus influenzae, streptocoque beta-hémolytique groupe A) 3. La rhinite allergique (la saisonnière et la pérannuelle) 4. La rhinite vasomotrice 5. La rhinite eosinophilique non allergique 6. La rhinite atrophique 7. La rhinite médicamenteuse 8. La rhinite de grossesse
Elle peut être une séquelle d'une chirurgie turbinale agressive, d'une consommation ancienne ou active de cocaïne, idiopathique.
- Vrai
- Faux
b
Ils améliorent les éternuements, le prurit et la rhinorrhée. Ce sont les corticostéroïdes topiques qui améliorent la congestion nasale.
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
Ils pourraient empirer la situation.
L'usage des décongestionnants nasaux topiques utilisés plus de 3à 5 jours peuvent entraîner une vasodilatation secondaire due à la fatigue des vasoconstricteurs, à l'hypoxie et à l'accumulation de métabolites.
Note: On remarque un oedème marqué dans cette condition.
1. Obstruction ostium 2. Diminution de la pression partielle en O2 3. Augmentation de la pression partielle en CO2 4. Hypertrophie polypoïde de la muqueuse sinusienne 5. Diminution du battement ciliaire 6. Stase des sécrétions 7. Prolifération bactérienne primaire ou secondaire
- Vrai
- Faux
a
Note: La majorité des sinusites sont d'origine virale.
1. Streptococcus pneumoniae 2. Haemophilus influenzae
1. Douleur faciale ou dentaire unilatérale 2. Rhinorrhée colorée antérieure ou postérieure 3. Obstruction/congestion nasale
- Vrai
- Faux
a
1. Atteinte importante état général 2. Oedème/rougeur périorbitraire 3. Atteinte SNC 4. Céphalée intense
Note: Dans ces cas, on demande une consultation en milieu hospitalier urgente.
1. Antipyrétique et analgésique 2. Irrigation nasale (au moins 2 fois par jour) 3. Décongestionnant topique à faible dose au moment où la congestion est la plus incommodante.
Avec ou sans polypes
Les corticostéroïdes topiques. On veut traiter l'inflammation.
1. Mucocèle 2. Ostéomyélite (tumeur Pott ) 3. Complications orbitaires 4. La thrombose du sinus caverneux (bilatéralité des symptômes oculaires)
Note: La classification de Chandler décrit les complications orbitaires des sinusites
1. Papillome inversé 2. Rhinophyma 3. Ostéome (la plus fréquente) 4. Angiofibrome juvénile (jeunes hommes-ne pas biopsier car risque de saignement !)
Les carcinomes malpighiens
Dans le sinus maxillaire (60%)
Aire de Kiesselbach (tâche vasculaire)
La déviation septale
- Sucré = Fungiformes du bout de la langue
- Salé = Fungiformes latéraux
- Acide = Fungiformes latéraux
- Amer = Caliciformes au V lingual
- Buccale (Préliminaire, volontaire)
- Pharyngienne (Propulsion du bolus, fermeture des voies aériennes, involontaire)
- Pharyngo-oesophagienne (Onde péristaltique, retour à la position de départ, involontaire)
Ulcération unique peu ou pas douloureuse
- Streptocoque pyogène
- Escherichia coli
- Streptocoque pneumoniae
- Staphylocoque aureus
d
- Sialolithiase (calculs)
- Tumeurs bénignes
Glande sous-maxillaire (90%)
Ulcères aphteux mineurs
Sulcus terminalis
- Innervation des papilles fungiformes (2/3 antérieur): Nerf facial (VII)
- Innvervation des caliciformes (1/3 postérieur): Nerf glossopharyngien (IX)
- Base de la langue et de la face linguale de l'épiglotte: Nerf pneumogastrique (X, Vague)
Candidose aiguë pseudomembraneuse (forme la plus fréquente). Dépôts blanc-jaunâtre que l'on peut détacher avec l'abaisse-langue
- Grande diminution de la fonction salivaire
- Diminution du goût
- Diminution de l'appétit
- Augmentation de l'incidence des caries
- Diabétique
- Néoplasies
- Médicaments cortico-stéroïdes
- Maladies chroniques et immunodéficience
- Nouveau-nés et enfants plus à risque
- Fungiformes: pointues et en latéral du 2/3 antérieur, 8 à 10 bourgeons
- Caliciformes: forment le V lingual, 250 bourgeons
- Filiformes: Surface du 2/3 antérieur, très peu de bourgeons
labiales
- Obstructions sévères des V.A.S
- Abcès périamygdalien
- Suspicion de néoplasie
- Hypertrophie amygdalienne avec malocclusion dentaire
D'autres critères sont aussi possibles, selon la situation clinique du patient:
- Amygdalites à répétition
- Douleurs persistantes au niveau des amygdales
- Dysphagie
- Halitose
Sialadénose : Augmentation du volume des glandes salivaires, surtout au niveau des parotides. Remplacement adipeux sans inflammation. Cela peut être de cause métabolique, nutritionnelle ou hormonale.
Tissu lymphoïde pharyngé qui permet:
- Production d'anticorps (IgA) stables en milieu acide et qui résistent à la déglutition
- Prolifération de lymphocytes B dans les centres germinatifs amygdaliens qui migrent à d'autres sites près du pharynx.
- Candidose buccale
- Infection herpétique plus fréquente
- Sarcome de Kaposi
- Langue
- Voile du palais
- Face linguale de l'épiglotte
- Parois latérales et postérieure du pharynx
- Vrai
- Faux
a
Papilles filiformes :
- Nombreuses
- Rudes
- Contiennent les fibres afférentes sensitives au [#1].
Papilles fongiformes :
- Petites
- Forme de champignon
- Surtout au [#2] et sur les [#3] de la langue
Papilles circumvalées :
- Grosses ou petites? [#4] (1.2 mm)
- Forment le V lingual devant le sulcus terminalis.
- Cylindriques, entourées d'une tranchée profonde dont les parois sont truffées de bourgeons gustatifs.
Papilles foliées :
- Replis [#5] de la muqueuse linguale
- Peu développées chez l'humain
Bourgeons gustatifs :
- Surtout dans les papilles [#6] du V lingual
- Aussi dans les papilles foliées et fongiformes
- Peuvent être isolés dans la muqueuse buccale, palatine, laryngée, etc.
- toucher
- bout
- bords
- grosses
- latéraux
- circumvalées
L'odorat au niveau du nez et le goût au niveau de la langue.
Les sensations tactiles, thermiques et surtout olfactives.
Déloger les particules alimentaires pouvant être retenues dans les fissures en se brossant la langue après les repas avec une brosse à dents à poils souples.
Cellulite à la région sous-mandibulaire avec une induration douloureuse du plancher buccal antérieur.
Détresse respiratoire secondaire au déplacement des 2/3 postérieurs de la langue supérieurement et postérieurement en raison de la progression de l'inflammation.
Le plus souvent traité par antibiothérapie PO (pénicilline, amoxicilline, acide clavulinique ou clindamycine)
Desquamation des papilles filiformes résultant en zones rougeâtres entourées de rebords blanchâtres. Généralement asymptômatique. Souvent associée à une langue fissurée.
Il doit se faire avec un bon éclairage, soit avec un miroir frontal ou une lampe frontale à fibres optiques. Idéalement, on procède à l'examen avec deux abaisse-langues pour permettre de bien écarter les structures de la cavité buccale.
Les amygdales palatines, les amygdales linguales, les aédnoïdes et le tissu lymphoïde
1. Production d'anticorps IgA (stables en milieu acide) 2. Prolifération de lymphocytes B dans les centres germinatifs amygdaliens qui migrent à d'autres sites autour du pharynx
L'infection des racines dentaires de la deuxième ou de la troisième molaire peut se propager dans l'espace sous-mandibulaire sous le muscle mylo-hyoïdien ainsi que dans les tissus mous du plancher de la bouche. Lorsque le processus inflammatoire progresse, celui-ci peut occasionner un déplacement des 2/3 postérieur de la langue supérieurement et postérieurement. Ça peut entraîner une détresse respiratoire aigüe pouvant mener au décès du patient.
Note: On va surveiller l'état respiratoire du patient. Une trachéotomie sous anesthésie locale peut être nécessaire.
Les ulcères aphteux
Note : Ils sont classifiés en 3 classes : mineurs (la plus fréquente) , majeurs et herpétiformes.
1. Infection par un virus coxsackie du groupe A 2. Fièvre associée à un mal de gorge et de la dysphagie haute, plusieurs vésicules sur la muqueuse 3. Les lésions se trouvent sur le voile du palais, la luette, les amygdales, les piliers amygdaliens, les parois pharyngées postérieures
Note : L'absence de lésions au niveau des lèvres, de la gencive et du plancher de la bouche est significatif.
Le sarcome de Kaposi
Afin d'éliminer une anémie ferriprive ou une anémie pernicieuse
1. Papillome 2. Hémangiome capillaire
1. La leucoplasie 2. L'érythroplasie (elle est plus inquiétante que la leucoplasie)
Note: La leucoplasie chez les non-fumeurs est plus inquiétante. Elle est à plus grand risque de se transformer en cancer.
Le carcinome épidermoïde
Note: Le pronostic de ces lésions est moins bon si l'on retrouve des métastases ganglionnaires cervicales associées.
Note: Il faut toujours se méfier d'une ulcération unique peu ou pas douloureuse.
- Vrai
- Faux
a
C'est une otalgie réflexe surtout présente au moment de la déglutition
S'il y a absence de streptocoque B-hemolytique du groupe A, le traitement est symptomatique. On recommande une hydratation adéquates de préférence froide car la chaleur augmente l'irritation locale. Il peut aussi utiliser des médicaments antithermiques et antalgiques (acétaminophène)
S'il y a présence de streptocoque B-hemolytique, le traitement consiste à prescrire de la pénicilline par voie orale pendant 10 jours. (si allergie à la pénicilline, on donne des macrolides)
Les patients ont une pharyngo-amygdalite à streptocoques associée à un érythème cutané et à une langue framboisée
L'hypersensibilité est augmentée chez les patients qui présentent une mononucléose infectieuse. Un érythème cutané important peut survenir plusieurs jours après le début de cet antibiotique. Ce rash cutané a presqu'une valeur diagnostique.
Dans l'abcès péri-amygdalien
Note: Le trismus est une diminution de l'ouverture dûe à la contraction des muscles masticateurs
- Vrai
- Faux
a
Il y a souvent des métastases ganglionnaires cervicales lorsque le diagnostic d'un carcinome épidermoïde de la base de la langue est fait.
1. L'exercice physique intense 2. La déshydratation 3. Le sommeil 4. L'effort mental, le stress, la fatigue 5. La cocaine
1. L'adhérence de la masse aux tissus avoisinants (adhérence à la peau et/ou fixité au plan profond) 2. Masse parotidienne associée à une parésie ou à une paralysie faciale 3. Augmentation de volume rapide et récente de la masse 4.Présence de ganglions cervicaux régionaux
Note: Généralement, les tumeurs malignes des glandes salivaires se présentent comme une masse non douloureuse mais une douleur est possible cependant. Si la tumeur est maligne et douloureuse, il s'agit d'un mauvais pronostic.
Un adénome pléomorphe
Le carcinome muco-epidermoïde
Le carcinome adénoïde kystique
L'IRM permet de mieux démontrer les tissus mous, notamment les structures nerveuses et vasculaires.
- Haemophilus influenzae
- Ataphylocoque aureus
- Streptocoque hémolytique du groupe A
- Parainfluenza 1 et 2
a
- Papillome isolé (origine virale): plus fréquent chez l'homme et chez l'adulte
- Papillomatose (VPH): plus fréquent chez nourissons et jeunes enfants
- Néoplasie du tissu conjonctif (très rare)
- Trachéotomie
- Antibiotiques prophylaxiques (prévention des infections)
- Chirurgie s'il y a un déplacement du cartilage (pour maintenir la fonction et prévenir les complications cicatricielles, comme des synéchies ou une fibrose importante)
La laryngite chronique est habituellement bilatérale et symétrique.
Nodule qui n'est pas encore organisé
- Laryngotrachéite: viral; influenza A ou parainfluenza 1 et 2
- Laryngotrachéobronchite: bactérien; S. aureus, Streptocoque hémolytique du groupe A, Haemophilus influenzae
- Épiglottite (ou laryngite supra-glottique): bactérien; surtout haemophilus influenzae
- Corps étranger
- Sténose sous-glottique : malformation congénitale (déformation cicatricielle, tumeur)
- Maladies de l'enfant : oreillons, rubéole, varicelle (possibilité de surinfection)
Laryngoscopie indirecte
- Hématome
- Abrasion superficielle
- Granulome d'intubation - péricondrite
- Ankylose crico-aryténoidienne (= immobilité corde vocale secondaire à cicatrisation)
- Sténose cicatricielle
- Prélèvement pharyngé (test antigénique rapide ou culture)
- Si présence de streptocoques -hémolytiques du groupe A au prélèvement
Dyspnée très importante
- Hospitalisation
- Humidité
- Antibiotiques
- Épinéphrine en inhalation
- Cortisone
- Hydratation
- Intubation naso-trachéale ou trachéotomie au besoin
- Sus-glottique
- Glottiques
- Sous-glottique
b
- Sus-glottique
- Glottique
- Sous-glottique
a
Lorsque l'espace glottique est compromis de 80%.
- Infection virale (la plus fréquente) ou bactérienne
- Irritation (sécheresse, cigarette, alcool, reflux gastro-oesophagien, irritants, trauma vocal..)
la laryngoscopie indirecte
- Intracrânien, associé à une atteinte des nerfs 9, 11 et 12
- Trou jugulaire à la base du crâne, associé à une atteinte des nerfs 9 et 11
- Cou
- Thorax
- Idiopathique (30% se trouvent dans cette catégorie)
Une corde vocale immobile
À ne pas endommager la muqueuse saine (ou la sous-muqueuse). Il faut éviter les cicatrices, car ces patients auront plusieurs chirurgies.
- Poliomylite aiguë (paralysie bulbaire)
- Poliomyélite chronique
- Atteinte vasculaire (AVC par exemple)
- Tumeur
- Vrai
- Faux
b
Les voies respiratoires sont alors séparées du tractus digestif.
L'odynophagie. Cela amène l'enfant à se pencher vers l'avant, ce qui facilite la respiration et l'écoulement de la salive par la bouche (drooling).
Otalgie
Les cordes vocales ne se ferment pas quand le patient veut sortir un son. La fermeture est par contre adéquate quant au réflexe de la toux.
- Médiane
- Paramédiane
Sténose laryngée et trachéale
- Séquelle de trauma laryngotrachéal non/mal traité
- Ingestion caustique
- Tube endotrachéal
- Congénitale
- 2% des cancers
- Hommes
- Tabac et alcool
Hémorragie sous-muqueuse aiguë
- Due au rapprochement soudain et violent
- Cordes vocales hyperhémiées
- Simple ou multiple
- Dysphonie soudaine
Nodules
- Utilisation excessive de la voix (le traumatisme est donc plus souvent à plus long terme)
- Subit ou progressif
- Bilatéraux, peuvent être minuscules
- D'abord oedémateux; " l'organisation " se produit ensuite pour devenir fibreux à la longue
Diriger les ondes sonores vers le conduit auditif externe
Glandes sudoripares apocrines modifiées
Tirer l'oreille supérieurement et postérieurement
Le tympan
Pars flaccida
- Marteau
- Enclume
- Étrier
Étrier
- Vrai
- Faux
a
- Fenêtre ronde
- Aditus
- Fenêtre ovale
- Trompe d'Eustache
b
Trompe d'Eustache
- Vestibule
- Cochlée
- Canaux semi-circulaires
- Vrai
- Faux
b
La cochlée est antérieure alors que les canaux semi-circulaires sont postérieurs
- Macule
- Papule
- Columelle
- Organe de Corti
d
- Rampe vestibulaire
- Canal cochléaire
- Rampe tympanique
- Trompe d'Eustache
c
Hélicotrème
La strie vasculaire
- Vrai
- Faux
a
- Lobe temporal
- Lobe frontal
- Lobe pariétal
- Lobe occipital
a
- Un son donné possède une longueur d'onde constante
- Plus la longueur d'onde est grande, plus la fréquence du son est basse
- Un son avec une fréquence élevée est perçu comme étant grave
- L'intensité des sons est mesurée en décibel
c
- L'aire du tympan est 17 à 20 fois plus élevée que celle de la fenêtre ovale
- Il y a un rapport de 1.3 entre la longueur du manche du marteau et la longue apophyse de l'enclume
- Vrai
- Faux
b
Celles situées près du sommet résonnent sous l'effet d'ondes de basse fréquence.
La différence d'intensité et l'écart temporel entre les ondes sonores qui atteignent chaque oreille.
- Surdité de conduction
- Surdité de perception
a
- Surdité mixte des deux oreilles
- Surdité de conduction ipsilatérale ou de perception controlatérale
- Surdité de conduction controlatérale ou de perception ipsilatérale
- Aucune surdité
b
- Surdité de conduction
- Surdité de perception
b
- Vrai
- Faux
b
Elle est affectée dans les surdités de perception
- Courbe de type A
- Courbe de type B
- Courbe de type C
- Courbe de type AD
- Courbe de type AS
c
- Courbe de type A
- Courbe de type B
- Courbe de type C
- Courbe de type AD
- Courbe de type AS
e
- Courbe de type A
- Courbe de type B
- Courbe de type C
- Courbe de type AD
- Courbe de type AS
d
- Bouchon de cérumen
- Presbyacousie
- Corps étranger
- Atrésie congénitale du conduit auditif externe
b
Encoche de Carhart
Presbyacousie
- Vrai
- Faux
b
Il faut administrer le traitement le plus rapidement possible (idéalement avant 72h)
Avant l'âge de 2 ans
- Toxoplasmose
- Rubéole
- Cyto-mégalo-virus
- Herpès simplex
- Syphilis
Équilibre statique et équilibre dynamique.
Le vestibule et les canaux semi-circulaires.
- Canal semi-circulaire antérieur
- Canal semi-circulaire postérieur
- Canal semi-circulaire latéral
c
- Vrai
- Faux
a
- Formation réticulaire
- Hypophyse
- Cervelet
- Noyaux vestibulaires
c
- Macule utriculaire
- Macule sacculaire
a
- Dépolarisation des cellules sensorielles
- Hyperpolarisation des cellules sensorielles
b
- Vrai
- Faux
b
Elles sont situées dans les canaux semi-circulaires et sont les récepteurs de l'équilibre dynamique.
C'est le déplacement de la cupule dans la direction opposée à celle de l'utricule.
- Chlorydrate de méclizine (Bonamine)
- Dimenhydrinate (Gravol)
- β-bloqueurs
- Scopolamine (transderme V)
c
- Côté droit
- Côté gauche
b
- Vrai
- Faux
b
Car la diminution de l'activité électrique dans les nerfs et les noyaux vestibulaires est symétrique.
Oscillopsie
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
On les retrouve plus souvent dans les cas de faux vertige.
Test d'hyperventilation
- Vertige subjectif
- Vertige objectif
a
- Antérieur
- Postérieur
- Latéral
b
- Droite
- Gauche
a
Manoeuvre d'Epley
- Basses fréquences
- Hautes fréquences
a
- Vrai
- Faux
b
- Mécanisme implosif
- Mécanisme explosif
b
- Myringite?
- Otite moyenne aiguë?
- Otite moyenne avec effusion?
- Myringite: il n'y a pas d'effusion, ce n'est qu'une inflammation de la membrane tympanique
- Otite moyenne aiguë: effusion purulente, infection cliniquement identifiable, début soudain et de courte durée
- Otite moyenne avec effusion: effusion séreuse ou muqueuse, tympan intact sans symptômes ou signes aigus.
Otite moyenne avec effusion stérile
- Hyperhémie
- Exsudat
- Suppuration
- Coalescence
La flore est plus complexe. Elle peut être mixte, aérobique ou anaérobique. Dans les organismes aérobie, on retrouve:
- E. Coli
- S. Aureus
- Proteus mirabilis
- Pseudomonas aerguginosa
Dans les organismes anaérobie, on retrouve:
- Bactéroides fragilis
- Bactéroides mélaninogénicus
- Peptococcus magnus
- Thrombophlébite progressive
- Érosion osseuse progressive
- Otalgie
- Fièvre
- Vertige
- Paralysie faciale
Streptocoque bêta hémolytique
- Attitude expectative, car une autorésolution est fréquente
- Revoir le patient si les symptômes persistent ou augmentent après 24 à 48 heures
- Si nécessaire, amoxycilline durant 10 jours
- Si la douleur est très importante
- Si une culture est nécessaire pour orienter le traitement
- S'il y a un abcès, il faut le drainer
- Mastoïdectomie simple ou complexe
- Antibiotique selon la culture
Attention! Il peut être silencieux et ne pas être visible à l'examen. Toutefois, il arrive que l'on observe:
- Otorrhée
- Surdité
- Rétraction ou perforation postéro supérieure ou atticale
- Perforation marginale
- Tympanosclérose
- Perforation tympanique persistante
- Érosion ossiculaire (plus souvent à la longue apophyse de l'enclume qui est atteinte, la surdité de conduction peut être très importante)
- Paralysie du nerf facial
- Ataxie
- Disdiadochokinesie
- Tremblement d'intention
Dans une atteinte du lobe temporal, on retrouverait plutôt une confusion focale et pontentiellement une aphasie.
Dans ces deux atteintes, on doit faire un drainage neurochirurgical et éliminer l'infection de l'oreille.Une radiographie
- Osseux
- Cartilagineux
- Cellulite CEA et pavillon
- Adénopathies cervicales
- Température
- Atteinte systémique
Il se trouve généralement au 1/3 externe du conduit auditif externe. S. aureus est un pathogène fréquent.
Dysfonction tubaire
- Diminution pression intratympanique
- Transsudation des vaisseaux sous-épithéliaux
- Liquide séreux et clair qui s'accumule dans l'oreille moyenne
- Obstruction persistante
- Hyperplasie de la muqueuse
- Formation de nouvelles structures glandulaires
- Augmentation et vasodilation de l'espace sous-épithélial
- Accumulation d'un liquide épais dans l'oreille moyenne
- Augmentation de la réaction inflammatoire avec petites hémorragies capillaires
- Libération de cristaux cholestérol et de pigments sanguins
- Réaction inflammatoire à un corps étranger
- Tissu de granulation qui forme éventuellement un granulome de cholestérol
Muscle tenseur du palais mou En se contractant, il tire sur le cartilage entrainant une diminution de la longueur et une augmentation du diamètre de la trompe d'Eustache.
- Pseudomonas
- Staphylocoque aureus
- Proteus vulgaris
- E. Coli
- Flore mixte fréquente
La ventilation
- Solution acidifiante
- Antibiotiques efficaces contre Gram négatifs et S. aureus
- Stéroïde (si composante inflammatoire est importante)
Faire un prélèvement pour identifier l'organisme causal.
Normal
- Aspergillus
- Candida
- Vrai
- Faux
b
Il ne devrait pas y en avoir. Il est responsable de 50-66% des otites externes.
Oui
- Anémie
- Déficience vitaminique
- Déficience endocrinienne
- Dermatite
- Abcès mastoïdien sous-périosté
- Abcès périsinusal
- Abcès extradural
C'est la présence anormal d'un épithélium stratifié kératinisé dans l'oreille moyenne. La desquamation de cet épithélium forme la masse du cholestéatome et peut envahir l'oreille moyenne et détruire les osselets.
- Primaire: Dysfonction tubaire et formation d'une pochette de rétraction.
- Secondaire: Perforation marginale entraînant une croissance directe de l'épithélium à travers la perforation.